Je suis certaine que côté musicale, ça va être bon. Mais quelle est cette voix enfantine??? Pas certaine d'aimé ça. Je vais attendre afin de me faire une meilleure idée car pour l'instant...je suis perplexe!!!!
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Albin de la Simone
Interview (Paris) 12 février 2009 (extrait de l'entrevue)
mais ça ne dit pas avec qui vous aimeriez faire un duo...
Pardon, avec qui... Je vais encore botter en touche... J ’avais fait un duo avec Yaël Naim, pour une émission sur Arte, on avait enregistré "What a wonderful world", en duo. J’adore cette version mais je la referais bien en un peu mieux, en ce qui me concerne notamment, je l’enregistrerai bien sur un disque. Sinon une chanteuse qui s’appelle Stéphanie Lapointe, qui a gagné la Star Ac québécoise, qui n'est pas trop mon truc mais elle est super, vachement sensible, très intéressante. Elle m’a proposé de lui écrire une chanson, et je lui ai écrit un duo qui sortira sur son disque. C’est la première fois que j’écris pour quelqu’un... Mais je ne réponds toujours pas à la question, les duos que j’aimerais faire, mais j’aime déjà les duos que j’ai fait !
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Elle jouait "Comptine d'un autre été", tiré de la trame sonore du film Le fabuleux destin d'Amélie Poulain. Un très beau moment à regarder et à écouter.showmee a écrit : "Rose au piano"...ça me fait penser à une vidéo de star-académie...Stéphanie un soir à l'académie, seule au piano et on voit par les grandes fenêtres la neige qui tombe...je me demande si c'est pas cela qu'elle jouait...faudrait que je fouille dans mes vidéos...
merci pour la précision..Gil Bender a écrit : [...]
Elle jouait "Comptine d'un autre été", tiré de la trame sonore du film Le fabuleux destin d'Amélie Poulain. Un très beau moment à regarder et à écouter.
Sinon, j'ai été aussi étonné que vous par la voix de Stéphanie sur les deux chansons, mais avec le temps, je me suis habitué et j'aime beaucoup ces chansons. J'ai vraiment hâte d'avoir l'album complet entre les mains.
le 03 mars 2009
Stéphanie Lapointe à l'Olympia... de Paris
Alain de Repentigny
La Presse
C'est le public parisien qui, le premier, entendra quelques-unes des chansons du tout nouvel album de Stéphanie Lapointe, Donne-moi quelque chose qui ne finit pas.
La jeune chanteuse a en effet accepté l'invitation d'Isabelle Boulay de se produire en première partie de son spectacle à l'Olympia vendredi et samedi de cette semaine.
Stéphanie Lapointe y offrira donc cinq chansons, accompagnée par les deux réalisateurs de ce deuxième album, Joseph Marchand (guitare) et Mélik-Alexandre Farhat (programmations et claviers).
Le premier disque de la gagnante de la deuxième cuvée de Star Académie, Sur le fil, est paru en 2005 chez nous avant d'être lancé en France an avril 2008.
Stéphanie Lapointe reviendra au Québec immédiatement après sa visite éclair à Paris pour lancer Donne-moi quelque chose qui ne finit pas, mardi prochain.
source:
http://www.cyberpresse.ca/arts/spectacl ... -paris.php" onclick="window.open(this.href);return false;
xilef a écrit :le 03 mars 2009
Stéphanie Lapointe à l'Olympia... de Paris
Alain de Repentigny
La Presse
C'est le public parisien qui, le premier, entendra quelques-unes des chansons du tout nouvel album de Stéphanie Lapointe, Donne-moi quelque chose qui ne finit pas.
La jeune chanteuse a en effet accepté l'invitation d'Isabelle Boulay de se produire en première partie de son spectacle à l'Olympia vendredi et samedi de cette semaine.
Stéphanie Lapointe y offrira donc cinq chansons, accompagnée par les deux réalisateurs de ce deuxième album, Joseph Marchand (guitare) et Mélik-Alexandre Farhat (programmations et claviers).
Le premier disque de la gagnante de la deuxième cuvée de Star Académie, Sur le fil, est paru en 2005 chez nous avant d'être lancé en France an avril 2008.
Stéphanie Lapointe reviendra au Québec immédiatement après sa visite éclair à Paris pour lancer Donne-moi quelque chose qui ne finit pas, mardi prochain.
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Entrevue avec Stéphanie Lapointe - Chaque fois le grand saut
Sylvain Cormier
Édition du vendredi 06 mars 2009
L'approche du dernier Stéphanie Lapointe est plus piano que guitare, avec des échafaudages pop bâtis dessus. Façon Pierre Lapointe. Cordes à l'avant-plan, mélodies ambitieuses, arrangements sophistiqués.
Là, maintenant, alors que vous lisez ces lignes, décalage horaire pris en compte, Stéphanie Lapointe, flanquée du guitariste Joseph Marchand et du claviériste Mélik-Alexandre Farhat, s'apprête à monter sur la scène de l'Olympia. Ou elle y est déjà. Peut-être chante-t-elle en ce moment même L'Eau salée, l'une des deux merveilles que Pierre Lapointe et Philippe B. ont sorties de leur haut-de-forme pour son deuxième album.
Mardi, à trois jours d'affronter le Tout-Paris médiatique, elle sourit gentiment quand je lui tâte le système nerveux. Eh! La première partie d'Isabelle Boulay à l'Olympia, deux soirs, quatre chansons nouvelles à casser et à défendre, ça devrait rendre fébrile. «Je ne jouerai pas de piano, c'est la seule concession que je fais au stress. Sinon, ça va. On a tellement répété. Et puis c'est une salle assise. Le public d'Isabelle est respectueux, j'en suis certaine. Au pire, je crains une froideur.»
Elle est comme ça. De celles qui s'avancent sur le tremplin, plongent, et advienne que pourra. «Je redeviens comme ça, en fait. Plus jeune, avant Star Académie, je faisais du théâtre; y avait rien qui pouvait m'arriver sur scène. Jamais peur de déplaire. Et puis à Star Académie, plus les galas passaient, moins je me trouvais bonne, et plus les gens aimaient ça. Et puis j'ai gagné et je faisais des entrevues au lieu de faire de la musique, et là, je stressais en masse. Les gens que j'admirais le plus trouvaient moyen ce que je faisais, et c'était moyen! Et puis, peu à peu, j'ai retrouvé ma confiance. En allant vers les gens que j'aimais.»
Ç'a donné Sur le fil, premier album de folk-pop délicat, où elle chante du Catherine Durand, quatre fois plutôt qu'une, et du Sylvie Paquette. «J'avais le goût très fort d'apprendre d'elles. C'est grâce à elles que j'ose signer autant de textes sur cet album-ci. Je suis sortie du premier album avec des assises.» Ce qui ne voulait pas dire récidiver: du premier album, il ne reste que Joseph Marchand, complice des Pierre Lapointe et Ariane Moffatt. L'approche est plus piano que guitare, avec des échafaudages pop bâtis dessus. Façon Pierre Lapointe. Cordes à l'avant-plan, mélodies ambitieuses, arrangements sophistiqués. «Oui, c'est encore un virage à 90 degrés. J'imagine que j'explore comme ça. Je pense que j'ai besoin d'aller voir ailleurs comment les choses se font.»
D'où le Darfour, où la porte-parole de Care «n'a même pas les mots pour dire» ce qu'elle a vu, vécu et ressenti dans les camps de déplacés. D'où le Kilimanjaro escaladé. «C'est mon équilibre. J'ai besoin de savoir que je peux faire autre chose que de la musique. Même si on a passé trois ans à faire l'album, qu'on a changé de studio quatre fois, qu'on a tout mis là-dedans avec Joseph et Mélik, ce n'est pas la fin du monde pour autant. C'est rien qu'un album de chansons. Discuter pendant des jours au Darfour avec un enfant soldat, c'est autre chose.»
Le propre du risque est de ne pas toujours payer. Aller du côté Pierre Lapointe du miroir, c'est s'exposer à un style très marqué. Déjà qu'il y a Coeur de pirate qui batifole dans ce terrain-là. Avec un timbre de même grain fin. «Je sais. Il y a une proximité. J'assume ça. Tant pis, c'est l'album que je voulais. Mon copain dit que je collectionne les suicides artistiques...»
Beau risque. Duo délicieux avec Albin de la Simone, du Pierre Lapointe de première qualité, des mélodies liquéfiantes et diaphanes, une expérience d'écoute à laquelle on s'abonnerait à l'infini, de bien beaux textes tristes comme ceux de Françoise Hardy. Dont la biographie accompagne Stéphanie partout ces jours-ci: «Elle est tellement paradoxale. Elle aime la chanson, mais pas tellement les siennes, ni sa voix; elle déteste le showbiz, mais continue à faire ce métier. Sa force, c'est qu'elle dure.» Ce n'est pas un hasard: le nouvel album de Stéphanie Lapointe s'intitule Donne-moi quelque chose qui ne finit pas.
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http://www.ledevoir.com/2009/03/06/237557.html" onclick="window.open(this.href);return false;
STÉPHANIE LAPOINTE
Un long et beau voyage
Michelle Coude-Lord
Le Journal de Montréal
07-03-2009 | 04h00
© Le Journal de Montréal
Stéphanie nous ouvre son journal de création pour son nouvel album Donne-moi quelque chose qui ne finit pas.
Stéphanie Lapointe arrive d’un long et beau voyage au fond de son coeur avec dans ses mains son deuxième album, toute en douceur et en maturité, Donne-moi quelque chose qui ne finit pas…
Elle a aimé, elle a eu mal, elle aime à nouveau. Amoureuse d’un réalisateur dont elle taira le nom.
À 25 ans, Stéphanie Lapointe connaît de plus en plus la femme et l’artiste qu’elle est et qu’elle devient.
Au moment où vous lisez ces lignes, la jeune auteure-compositrice qui aura 25 ans dans trois semaines, est à Paris, choisie par Isabelle Boulay pour faire sa première à l’Olympia. Le public parisien apprivoise donc les chansons de son deuxième album avant nous. L’album est lancé mardi prochain au Québec.
C’est dans les coulisses de Star Académie, il y a trois semaines, qu’Isabelle Boulay lui a fait ce cadeau.
«C’est un rêve que de chanter à l’Olympia. J’admire sa solidité, son naturel, son authenticité malgré son énorme succès» confie Stéphanie Lapointe en entrevue au Journal.
LE PLONGEON
Authenticité et vérité, voilà des mots qui habillent bien Stéphanie Lapointe en pleine évolution en tant que femme et artiste.
Gagnante de Star Académie en 2004, elle a connu vite les sommets, parfois même un peu trop vite. Entre l’aventure de Star Académie et la réalité d’un artiste, le plongeon est grand.
«Je ne regrette pas un seul instant Star Académie. C’est comme si pendant un certain temps on choisissait de vivre dans une troupe musicale.
Mais c’est l’après Star Académie qui est difficile. Tu n’as pas fait tes preuves et soudainement au bout de quelques semaines, on te voit partout. Cette frénésie passée, le plongeon est brutal. C’est alors que tu dois aller à la recherche de ton identité. Ce n’est pas évident.»
Son premier album Sur le fil a surpris. Son second montre un cheminement d’une profondeur surprenante pour une fille de 25 ans.
COLLABORATION UNIQUE
Pierre Lapointe lui a écrit deux chansons. «Il n’écrit jamais pour les autres. C’est une marque de confiance merveilleuse.
Pour moi, il a un talent extraordinaire.
C’est notre Boris Vian québécois.
Je suis honorée et je sens même une responsabilité», dira-t-elle de ce cadeau.
De l’amour, elle veut vivre le moment présent. La vie lui a appris.
«Je sais qu’au lieu de vouloir changer l’autre… tu dois toi changer, évoluer. Je suis de la génération où tout est instantané, magique. Mais l’amour qui dure n’a pas de magie. Je suis redescendue sur terre et j’ai enterré la petite ado qui attend son Roméo», confie-t-elle avec sa douceur qui la caractérise si bien.
Stéphanie Lapointe, c’est une fleur qui résiste au plus grand vent.
Elle ajoute «l’amour égal générosité».
Elle a maintenant son gérant Réjean Villeneuve, celui qui s’est occupé pendant des années de la carrière de Stéphane Rousseau. Il a quitté les Productions J pour ne s’occuper que de Stéphanie Lapointe. Elle se sent rassurée.
«J’ai confiance en lui et il connaît bien la France, donc c’est rassurant si on veut essayer le marché là-bas. Comme dit René Angelil… ça ne s’appelle pas show-business pour rien. C’est une business.»
Une grosse bête qu’elle a su apprivoiser au fil des ans. Elle accepte dorénavant les exigences de ce métier.
«Tout n’est pas parfait, tu dois assumer et te permettre des virages si c’est ce que tu veux comme artiste. Je me sens bien là présentement. Là où je suis.»
PRÊTE À RENTRER CHEZ VOUS
Son premier album était son passeport.
«Comme si j’avais juste cogné à la porte des gens.»
Mais là, son coeur bien cicatrisé, elle a décidé de frapper à nouveau et d’accepter l’invitation de rentrer, rassurée encore plus sur qui elle est et ce qu’elle a à offrir.
Et ma foi, on a envie de l’écouter!
Ambassadrice de l’UNICEF, elle souhaite retourner en Afrique cet été pour toucher à nouveau à ce pays où elle se sent si bien, et elle voudrait jouer à nouveau.
On se souvient de sa performance dans Le Négociateur.
«Je me cherchais une peau… une identité.
Aujourd’hui, je sais encore plus qui je suis. Écrire est un processus très confrontant. J’ai appris et j’apprends encore», conclut Stéphanie Lapointe qui se dit prête à interpréter les chansons d’un autre pour son prochain album…
elle le connaît déjà, l’admire et rêve de travailler avec lui depuis longtemps. À suivre…
Donne-moi quelque chose qui ne finit pas sera lancé mardi prochain.
Les secrets de création
© Le Journal de Montréal
LE TITRE
Donne-moi quelque chose qui ne finit pas, elle l’a trouvé à la toute fin du processus de création. C’est comme la boucle sur le cadeau. Après avoir vécu une peine d’amour, elle espère que la prochaine fois il n’y aura pas de recommencement.
DÉSERT
«je me suis questionnée si je savais aimer. Cette chanson-là est née de l’envie d’être capable de tourner la page.
ON EST LOIN
«Combien de fois peut-on dire je t’aime... C’est aussi la phrase qui résume l’album, je crois.»
EAU SALÉE
(cadeau de Pierre Lapointe et Philippe B) «Ils m’ont offert l’espoir, le droit d’aimer à nouveau. Elle ouvre sur tout cette chanson.»
PETIT GARÇON EN HABIT D’HOMME
«les gens parfois se cachent pour ne pas donner l’heure juste.»
BANG BANG
elle reprend le succès de Sonny Bono My baby shot me down
«au fond il y a toujours une partie de nous qui ne guérira jamais, mais en même temps cette même cicatrice nous apprend à mieux aimer.»
ROSE TRANSPARENTE
«je devais aller à un spectacle, je suis restée à la maison et j’ai composé cette chanson qui exprime la souffrance certes, mais celle aussi qui fait grandir.»
UNE FLEUR
(Pierre Lapointe): c’est la lumière. Une chanson qui me prouve encore plus que Pierre Lapointe est notre Boris Vian.
À QUOI
(en duo avec Albin de la Simone): «deux amis qui viennent de vivre un beau moment d’amour et qu’ils ont peur d’en parler, d’avouer... comme si deux êtres étaient cachés dans la garde-robe et regardaient la scène d’amour.»
L’ÎLE
Chanson inspirée du film documentaire L’île aux fleurs: c’est le regard de l’enfant sur le monde. Une île achetée par un homme d’affaires devient une industrie à cochons... soudainement, l’enfant qui doit aller sur cette île pour manger n’a plus accès à son paradis.
NUS SOUS LES ÉTOILES
«c’est vivre le moment présent.»
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