Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
«Star Académie»: retour dans la lumière pour Francine Raymond
Marie-Josée R. Roy
Mercredi, 7 avril 2021
Elle a quitté les projecteurs en 2004, mais son héritage musical résonne encore tous les jours dans nos radios. Francine Raymond effectuera un bref retour dans la lumière dimanche, alors que Star Académie soulignera son intronisation au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens.
L’auteure-compositrice-interprète de 64 ans, voix et âme des jamais démodées Y’a les mots, Vivre avec celui qu’on aime, Pense à moi, Souvenirs retrouvés, Tous les bateaux font des vagues, Pour l’amour qu’il nous reste et autres Les années lumières, réparties sur cinq albums encensés (parus entre 1987 et 2002), partagera l’honneur avec son guitariste et complice de longue date, Christian Péloquin.
«Genou à terre»
Au cours de sa riche carrière de plus de 35 ans, Francine Raymond a connu huit numéros un consécutifs au palmarès, reçu 18 prix SOCAN, 14 nominations à l’ADISQ, le Félix de l’auteure-compositrice-interprète de l’année en 1993 (la première femme à lui succéder ensuite fut Klô Pelgag, en 2017) et un Octave d’or de la Francophonie internationale. L’ensemble de son répertoire est encore disponible sur les plateformes numériques.
Or, malgré le legs considérable de Francine Raymond, même si son folk rock nous berce encore, quelque 25 ans après ses grandes gloires, c’était son choix de prendre le large du milieu artistique, elle qui s’affirme très à l’écoute des signaux de la vie.
«C’était un peu volontaire. On continue à m’appeler, à m’inviter, depuis mon retrait de la scène. Les recherchistes sont tenaces! Mais j’avais une quête personnelle à faire, et c’était important pour moi. Je pense que j’avais un peu fait le tour, parce que j’ai commencé mon métier à 14 ans, à jouer sur les scènes, avec ma guitare. Ça n’a pas été des débuts faciles. Puis, de devenir mon propre producteur, en tant que femme, n’a pas été un chemin facile non plus!»
Francine Raymond l’avoue: le bulldozer qu’elle a jadis été et qui a tracé la voie à ses semblables était devenu fatigué. Au milieu des années 2000, explique-t-elle, «la business changeait». Et «à partir de 2004, j’avais un genou à terre», image-t-elle.
Impliquée dans les hautes luttes de son industrie, dont celles pour le droit d’auteur, elle a toujours bûché pour que la chanson et ses créateurs conservent leurs lettres de noblesse.
«Je pense qu’on m’avait assez entendue, et je m’étais assez entendue moi-même, avance-t-elle. Je pense que j’avais besoin de vivre une vie différente, plus connectée à celle que le public, les gens qui me suivaient, mènent. Je ne l’avais jamais vraiment vécu, depuis 14 ans que j’étais sur la galère, à faire mon métier. J’avais besoin d’une réelle pause, qui s’est étirée. Parce que je m’y suis plu, et je m’y suis reconnue.»
«Je peux dire que l’isolement, ça ne tue pas. Si je peux sortir juste pour dire ça, j’espère que ça fera plaisir à des gens et que ça les encouragera», ajoute la dame.
Souvenirs
Elle n’a jamais cessé de créer, «à la journée longue». De la musique, entre autres; elle dit en avoir «pour trois autres vies». Elle a aussi jumelé concerts et expositions de photos. Et, surtout, elle a vécu «le vrai, le tangible, les amis, les relations...».
Peut-être que l’envie de l’existence publique «lui reviendra» éventuellement. Si, post-pandémie, le milieu de la musique fait «sa propre analyse, sa propre recherche pour se bonifier, pour ressembler davantage à la mission que les auteurs-compositeurs se donnent», elle pourrait renouer à mi-chemin avec ses anciens amours.
Elle continue d’ici là de contribuer aux comités pour la défense du droit d’auteur, en soutenant se tenir loin de la politique.
«Les temps ont beaucoup changé, on est inondés de chansons, et la musique est banalisée au point qu’elle ne goûte plus rien et ne coûte plus rien, et goutte à goutte, on la perd. Même si ce constat semble négatif, je me dis qu’ensuite, ça peut seulement changer. Je préfère penser ainsi, mais pour me mettre dans cet état, j’ai besoin de me concentrer seulement sur la magie de la vie.»
Néanmoins loin d’être amère, Francine Raymond discute de sa quête spirituelle avec sérénité, et voit son intronisation au Panthéon comme une «note de remerciement» de la vie.
Certaine d’avoir «passé le tunnel» de la remise en question, Star Académie est la première invitation qu’elle accepte depuis plusieurs années. De visiter le plateau de la populaire émission de TVA, lui rappellera ce temps où elle-même avait gagné l’un des premiers concours de talents de l’antenne Télé-Métropole, à l’époque.
C’était en 1978 et la vitrine, appelée Nos lauréats, avait permis à une jeune Francine Raymond de coanimer à la télévision 26 semaines consécutives avec d’autres artistes, en direct de La Ronde, et d’apprendre son métier sur le tas.
Pendant cette période d’apprentissage, elle jouait aussi de la musique dans les bars – déjà avec Christian Péloquin – et travaillait aussi dans les coulisses de Télé-Métropole, dans la traduction de la programmation.
«C’est comme boucler une boucle, pour moi», mentionne-t-elle avec tendresse.
On retrouvera Francine Raymond au variété de Star Académie, dimanche, à 19 h, à TVA.
source:
https://www.journaldemontreal.com/2021/ ... ne-raymond" onclick="window.open(this.href);return false;
Marie-Josée R. Roy
Mercredi, 7 avril 2021
Elle a quitté les projecteurs en 2004, mais son héritage musical résonne encore tous les jours dans nos radios. Francine Raymond effectuera un bref retour dans la lumière dimanche, alors que Star Académie soulignera son intronisation au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens.
L’auteure-compositrice-interprète de 64 ans, voix et âme des jamais démodées Y’a les mots, Vivre avec celui qu’on aime, Pense à moi, Souvenirs retrouvés, Tous les bateaux font des vagues, Pour l’amour qu’il nous reste et autres Les années lumières, réparties sur cinq albums encensés (parus entre 1987 et 2002), partagera l’honneur avec son guitariste et complice de longue date, Christian Péloquin.
«Genou à terre»
Au cours de sa riche carrière de plus de 35 ans, Francine Raymond a connu huit numéros un consécutifs au palmarès, reçu 18 prix SOCAN, 14 nominations à l’ADISQ, le Félix de l’auteure-compositrice-interprète de l’année en 1993 (la première femme à lui succéder ensuite fut Klô Pelgag, en 2017) et un Octave d’or de la Francophonie internationale. L’ensemble de son répertoire est encore disponible sur les plateformes numériques.
Or, malgré le legs considérable de Francine Raymond, même si son folk rock nous berce encore, quelque 25 ans après ses grandes gloires, c’était son choix de prendre le large du milieu artistique, elle qui s’affirme très à l’écoute des signaux de la vie.
«C’était un peu volontaire. On continue à m’appeler, à m’inviter, depuis mon retrait de la scène. Les recherchistes sont tenaces! Mais j’avais une quête personnelle à faire, et c’était important pour moi. Je pense que j’avais un peu fait le tour, parce que j’ai commencé mon métier à 14 ans, à jouer sur les scènes, avec ma guitare. Ça n’a pas été des débuts faciles. Puis, de devenir mon propre producteur, en tant que femme, n’a pas été un chemin facile non plus!»
Francine Raymond l’avoue: le bulldozer qu’elle a jadis été et qui a tracé la voie à ses semblables était devenu fatigué. Au milieu des années 2000, explique-t-elle, «la business changeait». Et «à partir de 2004, j’avais un genou à terre», image-t-elle.
Impliquée dans les hautes luttes de son industrie, dont celles pour le droit d’auteur, elle a toujours bûché pour que la chanson et ses créateurs conservent leurs lettres de noblesse.
«Je pense qu’on m’avait assez entendue, et je m’étais assez entendue moi-même, avance-t-elle. Je pense que j’avais besoin de vivre une vie différente, plus connectée à celle que le public, les gens qui me suivaient, mènent. Je ne l’avais jamais vraiment vécu, depuis 14 ans que j’étais sur la galère, à faire mon métier. J’avais besoin d’une réelle pause, qui s’est étirée. Parce que je m’y suis plu, et je m’y suis reconnue.»
«Je peux dire que l’isolement, ça ne tue pas. Si je peux sortir juste pour dire ça, j’espère que ça fera plaisir à des gens et que ça les encouragera», ajoute la dame.
Souvenirs
Elle n’a jamais cessé de créer, «à la journée longue». De la musique, entre autres; elle dit en avoir «pour trois autres vies». Elle a aussi jumelé concerts et expositions de photos. Et, surtout, elle a vécu «le vrai, le tangible, les amis, les relations...».
Peut-être que l’envie de l’existence publique «lui reviendra» éventuellement. Si, post-pandémie, le milieu de la musique fait «sa propre analyse, sa propre recherche pour se bonifier, pour ressembler davantage à la mission que les auteurs-compositeurs se donnent», elle pourrait renouer à mi-chemin avec ses anciens amours.
Elle continue d’ici là de contribuer aux comités pour la défense du droit d’auteur, en soutenant se tenir loin de la politique.
«Les temps ont beaucoup changé, on est inondés de chansons, et la musique est banalisée au point qu’elle ne goûte plus rien et ne coûte plus rien, et goutte à goutte, on la perd. Même si ce constat semble négatif, je me dis qu’ensuite, ça peut seulement changer. Je préfère penser ainsi, mais pour me mettre dans cet état, j’ai besoin de me concentrer seulement sur la magie de la vie.»
Néanmoins loin d’être amère, Francine Raymond discute de sa quête spirituelle avec sérénité, et voit son intronisation au Panthéon comme une «note de remerciement» de la vie.
Certaine d’avoir «passé le tunnel» de la remise en question, Star Académie est la première invitation qu’elle accepte depuis plusieurs années. De visiter le plateau de la populaire émission de TVA, lui rappellera ce temps où elle-même avait gagné l’un des premiers concours de talents de l’antenne Télé-Métropole, à l’époque.
C’était en 1978 et la vitrine, appelée Nos lauréats, avait permis à une jeune Francine Raymond de coanimer à la télévision 26 semaines consécutives avec d’autres artistes, en direct de La Ronde, et d’apprendre son métier sur le tas.
Pendant cette période d’apprentissage, elle jouait aussi de la musique dans les bars – déjà avec Christian Péloquin – et travaillait aussi dans les coulisses de Télé-Métropole, dans la traduction de la programmation.
«C’est comme boucler une boucle, pour moi», mentionne-t-elle avec tendresse.
On retrouvera Francine Raymond au variété de Star Académie, dimanche, à 19 h, à TVA.
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Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
Bien hâte de voir qui passera à la prochaine étape.
À moins d'une surprise, je m'attends à ce que Maéva quitte l'aventure. Malgré tout le cheminement qu'elle a fait, je ne crois pas qu'elle sera sauvé par le public ou encore par les profs.
William et Lunou auraient pu frapper un grand coup, mais je crains que les chansons qu'ils ont choisies ne nuisent à leurs chances. La chanson de Renée Wilkin (écrite par Marc Dupré) est une grosse guimauve super cheesy. J'avais détesté cette chanson lors de La Voix. Les paroles sont vraiment peu recherchées et la mélodie entendue 1000 fois. La chanson choisie par Lunou, quant à elle, n'est pas mauvaise, mais elle n'est pas non plus mémorable.
Shayan m'a touché pendant sa préparation et cela pourrait résonner dans le coeurs des Québécois... À suivre... Il s'agit d'une chanson très connue et cela pourrait lui servir... Même s'il s'agit d'une chanson anglophone.
À moins d'une surprise, je m'attends à ce que Maéva quitte l'aventure. Malgré tout le cheminement qu'elle a fait, je ne crois pas qu'elle sera sauvé par le public ou encore par les profs.
William et Lunou auraient pu frapper un grand coup, mais je crains que les chansons qu'ils ont choisies ne nuisent à leurs chances. La chanson de Renée Wilkin (écrite par Marc Dupré) est une grosse guimauve super cheesy. J'avais détesté cette chanson lors de La Voix. Les paroles sont vraiment peu recherchées et la mélodie entendue 1000 fois. La chanson choisie par Lunou, quant à elle, n'est pas mauvaise, mais elle n'est pas non plus mémorable.
Shayan m'a touché pendant sa préparation et cela pourrait résonner dans le coeurs des Québécois... À suivre... Il s'agit d'une chanson très connue et cela pourrait lui servir... Même s'il s'agit d'une chanson anglophone.
Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
On fera PLEINS d’heureux ce dimanche, c’est garanti !
Intronisés au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens, Francine Raymond et Christian Péloquin partagent la scène avec les Académiciens pour vous offrir tout un numéro pour leur grand retour télé
On accompagne Jonathan Roy en coulisse pendant les répétitions de son medley et il n’y a pas un, mais deux Académiciens qui nous quittent demain.
vidéo promo
https://www.facebook.com/staracademietv ... 5598172261" onclick="window.open(this.href);return false;
Intronisés au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens, Francine Raymond et Christian Péloquin partagent la scène avec les Académiciens pour vous offrir tout un numéro pour leur grand retour télé
On accompagne Jonathan Roy en coulisse pendant les répétitions de son medley et il n’y a pas un, mais deux Académiciens qui nous quittent demain.
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Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
J'ai l'impression que si les choix de chanson des 4 en danger n'ont pas changé depuis l'émission de jeudi... Shayan a de fortes chances d'être sauvé par le public! Mais! ca dépend toujours de la performance du dimanche soir.
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flashgordon
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- Inscription : sam. mars 21, 2009 5:22 pm
J'ai l'impression qu'ils vont garder un gars et une fille. Si William ou Shayan a le vote du public, ils devraient garder Lunou, car ils ont déjà sauvé Maëva deux fois. S'ils avaient vraiment voulu la garder, ils auraient mis Queenie en danger, qui ne l'a été qu'une seule fois contrairement à Maëva dont c'est la troisième fois. Pour les gars, ça peut pencher d'un coté comme de l'autre. C'est difficile à dire, les deux semblent autant appréciés sur les réseaux sociaux. J'ai un feeling que ce sera William qui aura le vote du public. Je suis pas mal sûre que ce sera deux gars en finale.
Je suis curieuse de voir qui ils vont mettre en danger la semaine prochaine parmi les 4 qui ne le sont pas cette semaine. Est-ce qu'ils vont faire s'affronter Jacob et Guillaume, ou ils vont mettre Guillaume contre Rosalie et Queenie? À voir.
Je suis curieuse de voir qui ils vont mettre en danger la semaine prochaine parmi les 4 qui ne le sont pas cette semaine. Est-ce qu'ils vont faire s'affronter Jacob et Guillaume, ou ils vont mettre Guillaume contre Rosalie et Queenie? À voir.
Dernière modification par flashgordon le sam. avr. 10, 2021 10:21 pm, modifié 1 fois.
À compter de demain soir, il ne restera que 6 candidats et il y aura 2 demies-finales donc, 3 chaque semaine et 2 qui partiront chaque fois. Je pense que Guillaume va remporter lors d'une demie-finale et si c'est ça il remportera la grande finale aussi, peu importe qui sera avec lui.
Les grands amateurs de country sont heureux qu'il y ait un candidat enfin dans leur catégorie à S.A. et doivent voter en grand nombre. Sauf que ses chansons ne joueront pas sur les chaînes de radio si elles sont country. Mais il vendra beaucoup de CD.
J'ai hâte à demain soir, on verra bien...comme tu dis. Je ne me fais plus d'idées au sujet du vote du public. J'étais certaine que Rosalie partait il y a 2 semaines. Ce fut la surprise!
Les grands amateurs de country sont heureux qu'il y ait un candidat enfin dans leur catégorie à S.A. et doivent voter en grand nombre. Sauf que ses chansons ne joueront pas sur les chaînes de radio si elles sont country. Mais il vendra beaucoup de CD.
J'ai hâte à demain soir, on verra bien...comme tu dis. Je ne me fais plus d'idées au sujet du vote du public. J'étais certaine que Rosalie partait il y a 2 semaines. Ce fut la surprise!
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flashgordon
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Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
Je ne crois pas que ce soit gagné d'avance pour Guillaume. Jacob a fait une grosse remontée dans les dernières semaines. Ça va dépendre de qui va être contre qui dans les demie-finale et du choix de chansons. Si Guillaume et Jacob sont dans la même demi-finale, j'ai l'impression que ce sera très serré. Et plus on approche de la fin, plus de gens votent, alors ça pourrait "diluer" le vote country. Mais j'ai aussi l'impression que les fans de Guillaume ne sont pas juste des amateurs de country. Difficile à prédire.
C'est sûr que le choix de chanson compte beaucoup pour les votes. Ça ne m'étonnerait pas que Shayan ait le vote du public demain à cause de ça. Et il est si beau à voir aller sur la scène, ça aide aussi. Si c'est ainsi, je crois bien que William sera choisi par les profs. Chose certaine,ce sera pénible pour eux de choisir.
J'en reviens juste pas comme je prends ça à coeur. J'aimerais que Lunou reste encore...et je ne veux pas que William parte. Mon petit Shayan non plus. Misère! C'est mission impossible de garder les trois, je vais devoir faire avec et le pire ce sera triste encore les semaines suivantes. Oufff!
On dirait que je n'aime pas Maëva...je pense que ce serait moins difficile de la voir quitter même si elle prend beaucoup de place...
Je vais aller manger un toast et regarder la fin de l'univers de Ginette Reno plutôt de penser à mes chouchoux de l'académie. À demain!
J'en reviens juste pas comme je prends ça à coeur. J'aimerais que Lunou reste encore...et je ne veux pas que William parte. Mon petit Shayan non plus. Misère! C'est mission impossible de garder les trois, je vais devoir faire avec et le pire ce sera triste encore les semaines suivantes. Oufff!
On dirait que je n'aime pas Maëva...je pense que ce serait moins difficile de la voir quitter même si elle prend beaucoup de place...
Je vais aller manger un toast et regarder la fin de l'univers de Ginette Reno plutôt de penser à mes chouchoux de l'académie. À demain!
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flashgordon
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Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
Choix déchirants en vue
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flashgordon
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Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
Entrevue avec la conjointe de William
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flashgordon
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Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
Je viens d'aller voir sur le Facebook de Star Académie. Ça semble assez partagé entre William, Lunou et Shayan.
Re: Neuvième Variété , dimanche 11 avril 2021
Dans 20 minutes....
