Publié : mar. juin 28, 2005 8:02 am
Aurore: la vraie histoire présenté à Radio-Canada
Danièle L. Gauthier
Presse Canadienne
Montréal
Jean-François Blais, concepteur et réalisateur de Aurore: la vraie histoire en est convaincu: ce film provoquera un déferlement de dénonciations d'enfants violentés. Tous ceux qui ont visionné le document sont catégoriques; nous n'avons plus le droit de fermer les yeux sur les mauvais traitements infligés aux enfants.
Cette émission spéciale nous ramène à Fortierville, lieu des tristes événements survenus il y a 85 ans.
On pénètre dans la maison de la famille Gagnon où Aurore fut battue et brûlée au tisonnier, on visite l'église et le cimetière où sont enterrés les membres de la famille. On apprend que Télesphore (Serge Postigo), à la suite du décès de sa fille, a purgé une peine de prison puis est revenu vivre paisiblement dans son village. Quant à la marâtre (Hélène Bougeois Leclerc), coupable de la mort de la petite et condamnée à la pendaison, elle fut pourtant épargnée parce qu'elle était enceinte à ce moment-là. Toutefois, à 46 ans, elle décède des suites d'une tumeur au cerveau. On se questionne d'ailleurs sur cette tumeur qui pourrait avoir été à l'origine de sa cruauté.
Le réalisateur, Luc Dionne, et plusieurs des interprètes dont Rémy Girard, Stéphanie Lapointe, Yves Jacques, Serge Postigo et Hélène Bourgeois Leclerc, livrent à Joane Prince et Amélie Giguère leurs impressions sur une histoire vraie qui a secoué et marqué les Québécois à jamais. À Radio-Canada, ce dimanche, 20 h.
Danièle L. Gauthier
Presse Canadienne
Montréal
Jean-François Blais, concepteur et réalisateur de Aurore: la vraie histoire en est convaincu: ce film provoquera un déferlement de dénonciations d'enfants violentés. Tous ceux qui ont visionné le document sont catégoriques; nous n'avons plus le droit de fermer les yeux sur les mauvais traitements infligés aux enfants.
Cette émission spéciale nous ramène à Fortierville, lieu des tristes événements survenus il y a 85 ans.
On pénètre dans la maison de la famille Gagnon où Aurore fut battue et brûlée au tisonnier, on visite l'église et le cimetière où sont enterrés les membres de la famille. On apprend que Télesphore (Serge Postigo), à la suite du décès de sa fille, a purgé une peine de prison puis est revenu vivre paisiblement dans son village. Quant à la marâtre (Hélène Bougeois Leclerc), coupable de la mort de la petite et condamnée à la pendaison, elle fut pourtant épargnée parce qu'elle était enceinte à ce moment-là. Toutefois, à 46 ans, elle décède des suites d'une tumeur au cerveau. On se questionne d'ailleurs sur cette tumeur qui pourrait avoir été à l'origine de sa cruauté.
Le réalisateur, Luc Dionne, et plusieurs des interprètes dont Rémy Girard, Stéphanie Lapointe, Yves Jacques, Serge Postigo et Hélène Bourgeois Leclerc, livrent à Joane Prince et Amélie Giguère leurs impressions sur une histoire vraie qui a secoué et marqué les Québécois à jamais. À Radio-Canada, ce dimanche, 20 h.