Les pays d'en haut - Ici Radio-Canada
Modérateur : Elise-Gisèle
Re: Un remake télé des Belles histoires des pays d'en haut
Mais le Alexis de l'époque était beaucoup plus attirant et viril que Le Flaguais. Et il aimait Donalda. Artėmise aussi mais bon... Ce Alexis-là, on dirait qu'il va tripper sur lui-même. Je pense que c'est ça qui me fatigue. Le nouveau Alexis, c'est un genre de hipster Alexis. Il aurait plus fittė dans le rôle de Corneille dans un remake de Chambres en ville...
Dernière modification par kamisole le mer. avr. 29, 2015 2:11 am, modifié 1 fois.
kamisole a écrit : Mais le Alexis de l'époque était beaucoup plus attirant et viril que Le Flaguais. Et il aimait Donalda. Artėmise aussi mais bon... Ce Alexis-là, on dirait qu'il va tripper sur lui-même. Je pense que c'est ça qui me fatigue. Le nouveau Alexis, c'est un genre de hipster Alexis. Il aurait plus fittė dans le rôle de Corneille dans un remake de Chambres en ville...
Un remake de Chambre en ville serait débile !!!!!!!!!!!
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Parce que ces personnages n'étaient pas encore présents au début de la série, tout simplement.Mauricette a écrit : [...]
Je trouve pas qu'il fait un beau Alexis , ils ne mentionnent pas les personnages d'Artémise ,Léon ( fils de Baby ) ,la grosse lionne ( femme de père Ovide ), la femme de Todore et sa fille Aurélie, Ephigénie et Florent ( le forgeron ),la femme de Bidou , Basile Fourchu sa femme et leurs 13 enfants vivants , j'ai bien hâte de voir cette nouvelle mouture de personnages , j'espère m'y attacher autant
En audition, Ron Jeremy a toujours une ''longueur d'avance'' sur le autres.
hipster Alexis...mais peut-être que s'il vivait aujourd'hui, il serait hipster... et Séraphin serait admiré pour sa fortune beaucoup plus de nos jours, il serait chef du tea party aux états.kamisole a écrit : Mais le Alexis de l'époque était beaucoup plus attirant et viril que Le Flaguais. Et il aimait Donalda. Artėmise aussi mais bon... Ce Alexis-là, on dirait qu'il va tripper sur lui-même. Je pense que c'est ça qui me fatigue. Le nouveau Alexis, c'est un genre de hipster Alexis. Il aurait plus fittė dans le rôle de Corneille dans un remake de Chambres en ville...
Dernière modification par bouquet le mer. avr. 29, 2015 1:58 pm, modifié 1 fois.
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Re: Un remake télé des Belles histoires des pays d'en haut
refrencher son ex ca doit faire biz loll
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Re: Re : Un remake télé des Belles histoires des pays d'en h
Maxime Leflaguais est pas populaire sur le domaine moi aussi sa face me revient pas pentoute !!jojo3couleurs a écrit :moi non plus, y'a de quoi dans sa face qui ne me revient juste pas.Skarhet a écrit : Je ne le trouve pas beau non plus Maxime LeFlaguais. Mais dans un party récemment j'étais la seule parmi un groupe de fille à ne pas le trouver beau.
Re: Un remake télé des Belles histoires des pays d'en haut
Je ne connais rien aux belles histoires des pays d'en haut car quand ça joue ça l'air plate rare mais je vais écouter le remake et laisser la chance aux coureurs mais j'avoue que Roy Dupuis aurait été plus hot
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10 choses à savoir sur la nouvelle série Les pays d’en haut!
Aujourd’hui, je vous emmène dans les coulisses de la toute nouvelle série Les pays d’en haut!
En cette veille de la Saint-Jean-Baptiste, les médias étaient invités à venir passer un avant-midi avec l’équipe de tournage, à l’extérieur, en plein coeur des Laurentides. On nous avait prévenus qu’on ferait face à des maringouins voraces, mais personne ne nous avait dit qu’on tomberait littéralement sous le charme de l’endroit!
Les décors sont majestueux, fidèles à l’époque, et les (excellents) comédiens sont vêtus de costumes reflétant la réalité de la fin du 19e siècle. Mais le plus important dans tout ça : Les pays d’en haut, ce sera totalement différent de ce qu’on a pu voir dans la série Les Belles Histoires des pays d’en haut et dans le film Un homme et son péché.
Antoine Bertrand
Michel Charette
Voici donc 10 choses à savoir sur Les pays d’en haut :
1 - L’histoire est directement inspirée du roman de 1933 de Claude-Henri Grignon, et laissera beaucoup plus de place à la politique.
2 - On découvrira une Donalda différente, forte, intelligente et qui sait se débrouiller.
3 - Antoine Bertrand incarnera un Curé Labelle bagarreur désirant l’indépendance du Québec.
4 - On réussira peut-être enfin à « aimer Séraphin », nous a confié Sarah-Jeanne Labrosse, sinon, on pourra le comprendre.
5 - Les scènes qui ne sont pas tournées en studio sont filmées à Rawdon, mais l’action de la série se déroule à Sainte-Adèle et au Massachusetts.
6 - Certains acteurs, comme Michel Charette qui campe Ovide Ruisselet, on dû se faire jaunir les dents pour être fidèle à l’époque.
7 - Il n’y aura aucun patois employé par les personnages. Séraphin ne lancera donc pas son célèbre « viande à chien! ».
8 - Antoine Bertrand nous confirme qu’il y aura beaucoup de bagarres tout au long de la saison.
9 - La deuxième saison de la série Les pays d’en haut est déjà confirmée, et sera présentée à l’hiver 2016.
10 - Les costumes ont dû être volontairement vieillis, même parfois endommagés pour les besoins du tournage, et des poules, des chevaux, moutons, chèvres et autres animaux accompagnent les comédiens sur le plateau!
Aujourd’hui, je vous emmène dans les coulisses de la toute nouvelle série Les pays d’en haut!
En cette veille de la Saint-Jean-Baptiste, les médias étaient invités à venir passer un avant-midi avec l’équipe de tournage, à l’extérieur, en plein coeur des Laurentides. On nous avait prévenus qu’on ferait face à des maringouins voraces, mais personne ne nous avait dit qu’on tomberait littéralement sous le charme de l’endroit!
Les décors sont majestueux, fidèles à l’époque, et les (excellents) comédiens sont vêtus de costumes reflétant la réalité de la fin du 19e siècle. Mais le plus important dans tout ça : Les pays d’en haut, ce sera totalement différent de ce qu’on a pu voir dans la série Les Belles Histoires des pays d’en haut et dans le film Un homme et son péché.
Antoine Bertrand
Michel Charette
Voici donc 10 choses à savoir sur Les pays d’en haut :
1 - L’histoire est directement inspirée du roman de 1933 de Claude-Henri Grignon, et laissera beaucoup plus de place à la politique.
2 - On découvrira une Donalda différente, forte, intelligente et qui sait se débrouiller.
3 - Antoine Bertrand incarnera un Curé Labelle bagarreur désirant l’indépendance du Québec.
4 - On réussira peut-être enfin à « aimer Séraphin », nous a confié Sarah-Jeanne Labrosse, sinon, on pourra le comprendre.
5 - Les scènes qui ne sont pas tournées en studio sont filmées à Rawdon, mais l’action de la série se déroule à Sainte-Adèle et au Massachusetts.
6 - Certains acteurs, comme Michel Charette qui campe Ovide Ruisselet, on dû se faire jaunir les dents pour être fidèle à l’époque.
7 - Il n’y aura aucun patois employé par les personnages. Séraphin ne lancera donc pas son célèbre « viande à chien! ».
8 - Antoine Bertrand nous confirme qu’il y aura beaucoup de bagarres tout au long de la saison.
9 - La deuxième saison de la série Les pays d’en haut est déjà confirmée, et sera présentée à l’hiver 2016.
10 - Les costumes ont dû être volontairement vieillis, même parfois endommagés pour les besoins du tournage, et des poules, des chevaux, moutons, chèvres et autres animaux accompagnent les comédiens sur le plateau!
Dernière modification par Anya le mer. juin 24, 2015 1:28 pm, modifié 1 fois.
Les pays d'en haut: plus réaliste que la série culte
Antoine Bertrand dans la peau du curé Labelle, pratiquant une scène avec Jean Maheux.
Le tournage de la série Les pays d'en haut, qui sera diffusée dès janvier 2016, à Ici Radio-Canada télé, se poursuit actuellement au Village Canadiana, de Rawdon. Après avoir passé plus d'un mois en studio, l'équipe s'est installée sur le site d'un ancien village ancestral avec ses maisons antiques, ses décors et objets de décoration d'antan.
Les médias ont pu assister, mardi matin, au tournage d'une scène où Antoine Bertrand, qui joue le curé Labelle, s'amusait à donner des coups de poing pour régler ses comptes et à se rouler dans la boue au cours d'une bataille épique au centre du village.
«Je suis né pour porter la soutane, s'est exclamé Antoine Bertrand en riant. Je m'amuse comme un petit fou. Jouer un curé de cette époque, c'est aussi jouer un politicien, un stratège, un homme qui impose le respect et qui a un certain pouvoir. Mais notre curé Labelle va avec son environnement, qui est un peu dangereux et assez "rough". Il ne peut pas gérer tous ces bûcherons juste en priant, il doit aussi donner des claques et des coups de bâton, le tout arrosé d'un peu de whisky.»
Cette nouvelle version de l'histoire des pays d'en haut se veut beaucoup plus réaliste et proche de ce qui s'est réellement passé, au début du XIXe siècle, et se dissocie ainsi de la série emblématique des années 50-60, Les Belles Histoires des pays d'en haut.
Une époque «sauvage»
«J'ai voulu que la dimension sociale de l'époque soit plus réaliste, a expliqué Gilles Desjardins, l'auteur des dix épisodes de cette première saison. C'est hyperréaliste, avec de la violence, de la sexualité, ce qui était totalement évacué du téléroman original. On va aussi se rapprocher de la réalité des personnages historiques. L'époque de la colonisation était vraiment sauvage, on est complètement dans le western. J'avais envie de redonner aux Québécois notre vraie histoire.»
L'auteur ne comprenait en effet pas pourquoi les pionniers américains sont considérés comme des héros, alors qu'au Québec, un colon est une injure. Ce sont pourtant la même chose.
«Je joue un Séraphin, plus jeune, barbu et roux, a raconté le comédien Vincent Leclerc. C'est un homme qui est en mutation et en évolution. La palette à jouer est très riche, plus que ce que j'avais pensé.»
Trente-huit jours de tournage sur la soixantaine prévue ont déjà été complétés, et le réalisateur Sylvain Archambault est très satisfait des premières images.
«La température peut être très critique, mais on joue avec. S'il pleut, ça participe à l'ambiance et on s'en sert. On ne peut pas combattre la pluie, alors il faut l'utiliser. En plus, ça donne souvent de très belles images.»
Sylvain Archambault revendique une certaine modernité qui va aussi se voir dans les images. «On filme des gens qui vivent dans un autre temps, mais c'est capté de manière très moderne comme aujourd'hui. Le jeu des comédiens aussi est très actuel.»
Antoine Bertrand dans la peau du curé Labelle, pratiquant une scène avec Jean Maheux.
Le tournage de la série Les pays d'en haut, qui sera diffusée dès janvier 2016, à Ici Radio-Canada télé, se poursuit actuellement au Village Canadiana, de Rawdon. Après avoir passé plus d'un mois en studio, l'équipe s'est installée sur le site d'un ancien village ancestral avec ses maisons antiques, ses décors et objets de décoration d'antan.
Les médias ont pu assister, mardi matin, au tournage d'une scène où Antoine Bertrand, qui joue le curé Labelle, s'amusait à donner des coups de poing pour régler ses comptes et à se rouler dans la boue au cours d'une bataille épique au centre du village.
«Je suis né pour porter la soutane, s'est exclamé Antoine Bertrand en riant. Je m'amuse comme un petit fou. Jouer un curé de cette époque, c'est aussi jouer un politicien, un stratège, un homme qui impose le respect et qui a un certain pouvoir. Mais notre curé Labelle va avec son environnement, qui est un peu dangereux et assez "rough". Il ne peut pas gérer tous ces bûcherons juste en priant, il doit aussi donner des claques et des coups de bâton, le tout arrosé d'un peu de whisky.»
Cette nouvelle version de l'histoire des pays d'en haut se veut beaucoup plus réaliste et proche de ce qui s'est réellement passé, au début du XIXe siècle, et se dissocie ainsi de la série emblématique des années 50-60, Les Belles Histoires des pays d'en haut.
Une époque «sauvage»
«J'ai voulu que la dimension sociale de l'époque soit plus réaliste, a expliqué Gilles Desjardins, l'auteur des dix épisodes de cette première saison. C'est hyperréaliste, avec de la violence, de la sexualité, ce qui était totalement évacué du téléroman original. On va aussi se rapprocher de la réalité des personnages historiques. L'époque de la colonisation était vraiment sauvage, on est complètement dans le western. J'avais envie de redonner aux Québécois notre vraie histoire.»
L'auteur ne comprenait en effet pas pourquoi les pionniers américains sont considérés comme des héros, alors qu'au Québec, un colon est une injure. Ce sont pourtant la même chose.
«Je joue un Séraphin, plus jeune, barbu et roux, a raconté le comédien Vincent Leclerc. C'est un homme qui est en mutation et en évolution. La palette à jouer est très riche, plus que ce que j'avais pensé.»
Trente-huit jours de tournage sur la soixantaine prévue ont déjà été complétés, et le réalisateur Sylvain Archambault est très satisfait des premières images.
«La température peut être très critique, mais on joue avec. S'il pleut, ça participe à l'ambiance et on s'en sert. On ne peut pas combattre la pluie, alors il faut l'utiliser. En plus, ça donne souvent de très belles images.»
Sylvain Archambault revendique une certaine modernité qui va aussi se voir dans les images. «On filme des gens qui vivent dans un autre temps, mais c'est capté de manière très moderne comme aujourd'hui. Le jeu des comédiens aussi est très actuel.»
C'était ma question... Est-ce que c'est basé sur les Belles histoires des pays d'en haut ou sur Un homme et son péché... L'histoire est beaucoup plus sombre que la télésérie tournée avec Andrée Champagne (Donalda) et Jean-Pierre Masson (Séraphin) dans les années 50 et 60... Le film avec Pierre Lebeau et Karine Vanasse était beaucoup plus près du roman original...Anya a écrit : 10 choses à savoir sur la nouvelle série Les pays d’en haut!
Voici donc 10 choses à savoir sur Les pays d’en haut :
1 - L’histoire est directement inspirée du roman de 1933 de Claude-Henri Grignon, et laissera beaucoup plus de place à la politique.
2 - On découvrira une Donalda différente, forte, intelligente et qui sait se débrouiller.
3 - Antoine Bertrand incarnera un Curé Labelle bagarreur désirant l’indépendance du Québec.
4 - On réussira peut-être enfin à « aimer Séraphin », nous a confié Sarah-Jeanne Labrosse, sinon, on pourra le comprendre.
5 - Les scènes qui ne sont pas tournées en studio sont filmées à Rawdon, mais l’action de la série se déroule à Sainte-Adèle et au Massachusetts.
6 - Certains acteurs, comme Michel Charette qui campe Ovide Ruisselet, on dû se faire jaunir les dents pour être fidèle à l’époque.
7 - Il n’y aura aucun patois employé par les personnages. Séraphin ne lancera donc pas son célèbre « viande à chien! ».
8 - Antoine Bertrand nous confirme qu’il y aura beaucoup de bagarres tout au long de la saison.
9 - La deuxième saison de la série Les pays d’en haut est déjà confirmée, et sera présentée à l’hiver 2016.
10 - Les costumes ont dû être volontairement vieillis, même parfois endommagés pour les besoins du tournage, et des poules, des chevaux, moutons, chèvres et autres animaux accompagnent les comédiens sur le plateau!
- *Raphaëlle*
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Re: Un remake télé des Belles histoires des pays d'en haut
Ben moi je l'adore et c'est un ami fait que je vais toute vous péter la yeule. Haaahahaha! Ben non, je respecte vos opinions, mais je comprends pas trop la haine, c'est vraiment un gars gentil (et qui sent bon.) et je le trouve aussi talentueux
- geneviève-2
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- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Un remake télé des Belles histoires des pays d'en haut
Moi aussi j'aime Maxime LeFlaguais
Je ne reçois pas les messages éclairs
Nikki a écrit : [...]
C'était ma question... Est-ce que c'est basé sur les Belles histoires des pays d'en haut ou sur Un homme et son péché... L'histoire est beaucoup plus sombre que la télésérie tournée avec Andrée Champagne (Donalda) et Jean-Pierre Masson (Séraphin) dans les années 50 et 60... Le film avec Pierre Lebeau et Karine Vanasse était beaucoup plus près du roman original...
Perso un homme et son péché avec Hector Charland et Nicole Germain était très très sombre
Je n'ai aucune haine à son endroit, mais je n'aime pas son jeu, et pas trop sa face non plus... Mais je comprend qu'on voit quelqu'un autrement lorsqu'on le connait...*Raphaëlle* a écrit : Ben moi je l'adore et c'est un ami fait que je vais toute vous péter la yeule. Haaahahaha! Ben non, je respecte vos opinions, mais je comprends pas trop la haine, c'est vraiment un gars gentil (et qui sent bon.) et je le trouve aussi talentueux
Nikki a écrit : [...]
Je ne connais pas cette version-là...
J'avais vu le film en noir et blanc et j'ai aussi des cassettes radio du feuilleton avec Hector Charland mais je crois que c'était Estelle Mauffette qui faisait Donalda. Mettons que dans ma vingtaine, je trippais vraiment là dessus !
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Dernière modification par kali le mer. juil. 15, 2015 7:29 pm, modifié 1 fois.