Tapis rouge du Gala du cinéma québécois 2016
Le Gala du cinéma québécois se fait démolir sur les réseaux sociaux
Le Gala du cinéma québécois fait énormément réagir sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes se disent déçus par l’animation de Stéphane Bellavance et
de Pénélope McQuade, par les numéros qui sont présentés entre les prix et par les blagues qui, pour la plupart, créent un malaise plutôt que de faire sourire.
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Le Gala du cinéma québécois fait énormément réagir sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes se disent déçus par l’animation de Stéphane Bellavance et
de Pénélope McQuade, par les numéros qui sont présentés entre les prix et par les blagues qui, pour la plupart, créent un malaise plutôt que de faire sourire.
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Léa Pool et le film La Passion d’Augustine a remporté le prix du meilleur film.
Il n’y a pas eu de lutte serrée, comme le laissait pourtant présager le dévoilement des nominations, au Gala du cinéma québécois qui s’est tenu dimanche soir, au Monument-National.
L’équipe de La passion d’Augustine a complètement éclipsé celle de son rival Corbo en mettant la main sur six prix, dont celui du meilleur film.
Léa Pool, Céline Bonnier et Diane Lavallée ont été récompensées, respectivement avec les trophées de la meilleure réalisation, de la meilleure actrice et de la meilleure actrice de soutien, dans le long métrage qui se déroule dans un couvent spécialisé en musique sur le bord du Richelieu. Les artisans des costumes et du maquillage ont aussi célébré la victoire.
Les grands ignorés
Malgré 10 nominations, le drame biographique Corbo a été boudé, si bien que le réalisateur Mathieu Denis et son clan sont repartis bredouilles. Dur gala aussi pour Les êtres chers d’Anne Émond qui a mordu la poussière à sept reprises.
Pourtant deuxième au box-office en 2015 par une importante marge, la comédie dramatique de Ricardo Trogi et Louis Morissette Le mirage a subi le même sort, car Christine Beaulieu, finaliste dans la catégorie de la meilleure actrice de soutien, s’est avouée vaincue.
Roi des recettes dans les salles obscures, le film La guerre des tuques 3D n’a été primé que deux fois, grâce au Billet d’or et à la catégorie du meilleur son.
C’est la comédie politique de Philippe Falardeau Guibord s’en va-t-en guerre qui s’en tire le mieux avec trois prix. Irdens Exantus (meilleur acteur de soutien), Martin Léon (meilleure musique originale) et l’équipe du meilleur montage font partie des vainqueurs.
Encensé pour sa prestation dans Paul à Québec, Gilbert Sicotte repart quant à lui avec le trophée du meilleur acteur, étant préféré à Xavier Dolan.
Le cas Félix et Meira
Choix du Canada pour représenter le pays dans la course aux Oscars, l’histoire d’amour Félix et Meira tournée par Maxime Giroux a été la gagnante du prix du meilleur scénario. C’est aussi l’œuvre s’étant le plus illustrée à l’extérieur du Québec, succédant ainsi à Mommy de Xavier Dolan.
Nouveau trophée, mêmes animateurs
Pour une deuxième année consécutive, Stéphane Bellavance et Pénélope McQuade étaient les maîtres de cérémonie du gala récompensant l’excellence du septième art québécois. Ils ont marqué le début de la soirée en offrant un simple court message à l'endroit des victimes de Claude Jutra.
En plus de livrer un hommage au compositeur et chef d’orchestre François Dompierre, les organisateurs du Gala du cinéma québécois ont décerné un nouveau et éphémère trophée.
Il n’y a pas eu de lutte serrée, comme le laissait pourtant présager le dévoilement des nominations, au Gala du cinéma québécois qui s’est tenu dimanche soir, au Monument-National.
L’équipe de La passion d’Augustine a complètement éclipsé celle de son rival Corbo en mettant la main sur six prix, dont celui du meilleur film.
Léa Pool, Céline Bonnier et Diane Lavallée ont été récompensées, respectivement avec les trophées de la meilleure réalisation, de la meilleure actrice et de la meilleure actrice de soutien, dans le long métrage qui se déroule dans un couvent spécialisé en musique sur le bord du Richelieu. Les artisans des costumes et du maquillage ont aussi célébré la victoire.
Les grands ignorés
Malgré 10 nominations, le drame biographique Corbo a été boudé, si bien que le réalisateur Mathieu Denis et son clan sont repartis bredouilles. Dur gala aussi pour Les êtres chers d’Anne Émond qui a mordu la poussière à sept reprises.
Pourtant deuxième au box-office en 2015 par une importante marge, la comédie dramatique de Ricardo Trogi et Louis Morissette Le mirage a subi le même sort, car Christine Beaulieu, finaliste dans la catégorie de la meilleure actrice de soutien, s’est avouée vaincue.
Roi des recettes dans les salles obscures, le film La guerre des tuques 3D n’a été primé que deux fois, grâce au Billet d’or et à la catégorie du meilleur son.
C’est la comédie politique de Philippe Falardeau Guibord s’en va-t-en guerre qui s’en tire le mieux avec trois prix. Irdens Exantus (meilleur acteur de soutien), Martin Léon (meilleure musique originale) et l’équipe du meilleur montage font partie des vainqueurs.
Encensé pour sa prestation dans Paul à Québec, Gilbert Sicotte repart quant à lui avec le trophée du meilleur acteur, étant préféré à Xavier Dolan.
Le cas Félix et Meira
Choix du Canada pour représenter le pays dans la course aux Oscars, l’histoire d’amour Félix et Meira tournée par Maxime Giroux a été la gagnante du prix du meilleur scénario. C’est aussi l’œuvre s’étant le plus illustrée à l’extérieur du Québec, succédant ainsi à Mommy de Xavier Dolan.
Nouveau trophée, mêmes animateurs
Pour une deuxième année consécutive, Stéphane Bellavance et Pénélope McQuade étaient les maîtres de cérémonie du gala récompensant l’excellence du septième art québécois. Ils ont marqué le début de la soirée en offrant un simple court message à l'endroit des victimes de Claude Jutra.
En plus de livrer un hommage au compositeur et chef d’orchestre François Dompierre, les organisateurs du Gala du cinéma québécois ont décerné un nouveau et éphémère trophée.
Re: Re : Tapis rouge du Gala du cinéma québécois 2016
Étrangement je m'attendais à pire comme animation. Sans être extra j'ai quand même passé un bon moment.Anya a écrit :Le Gala du cinéma québécois se fait démolir sur les réseaux sociaux
Le Gala du cinéma québécois fait énormément réagir sur les réseaux sociaux. Plusieurs internautes se disent déçus par l’animation de Stéphane Bellavance et
de Pénélope McQuade, par les numéros qui sont présentés entre les prix et par les blagues qui, pour la plupart, créent un malaise plutôt que de faire sourire.
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Y a eu des piques à Fabienne Larouche (que Mariloup Wolfe a pas semblé apprécier) , à Reno Dépôt Blais ( que Valérie a pas aimé mais que j'ai trouvé pas mal drôle ) .
Redouter l'ironie, c'est craindre la raison - Sacha Guitry
