Moi pour ma part, je fais une différence entre rire de quelqu'un de précis, et rire d'un groupe qui ne vise personne en particulièrement. Mais effectivement, ça avait aussi une incidence et ce n'était pas ben ben mieux...bububulle a écrit : [...]
J'ai bien de la misère avec cette affirmation là! Ah oui? À l'époque, c'était vraiment différent? Les enfants dodus qui se faisaient chanter la chanson par qqn d'autre que leur ami avec qui ils étaient régulièrement complices étaient contents de se faire chanter ça partout où ils allaient? Ils étaient contents pour vrais? Ou ils étaient tristes mais gênés car tout le monde riait, donc se taisait et pleuraient dans leur chambre le soir venu? Pierre Trudel (auteur de l'article) était-il un petit gros à l'époque pour en témoigner avec autant d'assurance?
En tout cas, moi je me souviens que les petits gros de mon école étaient offensés quand ils se faisaient faire des Pillsbury par n'importe qui dans la cour d'école.... et c'était bien avant la loi contre l'intimidation...
Sauf que je trouve que les médias cherchent beaucoup d'exemples pour appuyer leurs opinions (pour ou contre, peu importe) alors qu'on parle d'un cas en particulier. Un cas d'espèce qui a nuit à quelqu'un de précis parce que le quelqu'un était visé soir après soir...
Perso, je ne pense pas que c'est en trouvant des exemples qui ont aussi fait du mal à des gens qu'on fait avancer la cause...
Pour moi, c'est comme si on disait que le fait que ça a déjà existé justifiait le fait de le faire encore...