Ruptures - Radio-Canada
Modérateur : Elise-Gisèle
Vincent Leclerc jouera dans la prochaine saison de Ruptures
Vincent Leclerc troquera la ferme pour le palais de justice grâce à son nouveau rôle dans la passionnante série Ruptures. Celui qu’on connaît sous les traits de Séraphin Poudrier dans la série Les Pays d’en haut nous épatera donc sous un tout autre registre l’automne prochain, puisque la série dans laquelle il jouera un avocat a devancé ses diffusions à notre plus grand bonheur.
« C’est un autre univers, c’est moderne. C’est une série qui est vraiment solide avec une belle gang d’acteurs. Je jouerai dans plusieurs épisodes, on est en tournage en ce moment », a-t-il confié au Journal de Montréal.
La série sera d’ailleurs dirigée par un nouveau réalisateur, Raphaël Ouellet, qui avait également repris le volant de Cheval-Serpent après qu’ait éclaté le scandale entourant Sylvain Archambault. On a hâte de voir comment s’imbriquera le personnage de Vincent dans cette quatrième saison, surtout après la finale tout à fait intense de la dernière…
L’acteur jongle d’ailleurs sur plusieurs fronts, tenant la vedette dans le premier court-métrage de sa conjointe, l’actrice Mélanie Pilon, intitulé Assises. Il s’implique également au sein des organismes Médecins du Monde et Amnistie internationale afin de pouvoir offrir à des enfants au statut migratoire précaire des soins de santé gratuits.
Vincent Leclerc troquera la ferme pour le palais de justice grâce à son nouveau rôle dans la passionnante série Ruptures. Celui qu’on connaît sous les traits de Séraphin Poudrier dans la série Les Pays d’en haut nous épatera donc sous un tout autre registre l’automne prochain, puisque la série dans laquelle il jouera un avocat a devancé ses diffusions à notre plus grand bonheur.
« C’est un autre univers, c’est moderne. C’est une série qui est vraiment solide avec une belle gang d’acteurs. Je jouerai dans plusieurs épisodes, on est en tournage en ce moment », a-t-il confié au Journal de Montréal.
La série sera d’ailleurs dirigée par un nouveau réalisateur, Raphaël Ouellet, qui avait également repris le volant de Cheval-Serpent après qu’ait éclaté le scandale entourant Sylvain Archambault. On a hâte de voir comment s’imbriquera le personnage de Vincent dans cette quatrième saison, surtout après la finale tout à fait intense de la dernière…
L’acteur jongle d’ailleurs sur plusieurs fronts, tenant la vedette dans le premier court-métrage de sa conjointe, l’actrice Mélanie Pilon, intitulé Assises. Il s’implique également au sein des organismes Médecins du Monde et Amnistie internationale afin de pouvoir offrir à des enfants au statut migratoire précaire des soins de santé gratuits.
Ruptures 4 : quand le fil d’Ariane casse
Hugo Dumas
Coucou, les membres de l’Académie du cinéma et de la télévision ! Bon an, mal an, vous attribuez 130 prix Gémeaux dans autant de catégories et vous n’arrivez toujours pas à en décerner un seul à Ruptures, une des séries dramatiques les plus palpitantes du petit écran québécois ? Faites vos devoirs, ça presse.
C’est quasiment un cas de poursuite pour faute professionnelle. Car dans la quatrième saison de Ruptures, qui décolle lundi à 21 h sur les ondes de Radio-Canada, les actrices principales se révèlent encore au sommet de leur forme. Je pense au deuxième épisode, où les avocates pugnaces Ariane Beaumont (Mélissa Désormeaux-Poulin) et Marie Rousseau (Catherine Trudeau) croisent le fer dans une joute remplie de colère et de hargne. C’est épique.
Cette série, écrite par Isabelle Pelletier, Daniel Thibault et François Camirand, nous garde constamment en état d’alerte. C’est particulièrement anxiogène et étouffant dans le premier épisode, qui reprend quelques secondes après la finale relayée au printemps dernier.
La guerrière Ariane tente toujours de calmer le père en détresse (brillant David Savard), qui a découvert qu’il n’est pas le père biologique de son dernier garçon. Briquet à la main, le papa menace de s’immoler devant les yeux de son bambin, qu’il a drogué et imbibé d’essence.
Cette prise d’otages occupe pratiquement toute l’heure. Le téléphone sonne sans arrêt dans la maison encerclée par la police et ça se crie par la tête. Avec sa caméra nerveuse, le réalisateur Rafaël Ouellet frôle la limite du tolérable.
C’est difficile à regarder, mais nécessaire pour comprendre ce qu’il adviendra d’Ariane par la suite. Comme sa collègue Claude (Isabel Richer) en désintox, Ariane touche le fond cette année. Sa santé la lâche. Ses nerfs aussi. Elle s’appuiera beaucoup sur son collègue et associé Marc Dalpé, un nouveau personnage campé par Vincent Leclerc, Séraphin pour les intimes.
Bien sûr, dans le camp opposé, le visqueux Jean-Luc De Vries (Normand D’Amour) n’a pas craché sa dernière insulte. Il réintègre son cabinet après avoir été blanchi des accusations d’agressions sexuelles portées contre lui. Et Jean-Luc compte bien se venger de Claude, qui a brillamment orchestré sa chute, ne l’oublions pas.
Les auteurs promettent de régler cette saison la mort mystérieuse du père d’Ariane, qui traîne depuis trop longtemps. Même chose pour ce qui entoure la fin de vie de la femme d’Antoine (Guillaume Lemay-Thivierge) : le dénouement approche.
Étienne Dalphond (Vincent-Guillaume Otis), l’ex-ami de cœur d’Ariane, reviendra plus tard dans la saison, notamment pour épauler Ariane. Et j’étais bien content de renouer avec le détective Grimard (Serge Postigo), un personnage bourru, mais attachant. Avis aux intéressés : le chignon de Gabrielle (Dominique Laniel) n’a pas pris sa retraite !
Au fil des 12 prochains épisodes, vous verrez les acteurs Gabriel Sabourin et Émilie Bibeau dans un cas impliquant un enfant transgenre. Salomé Corbo et Guy Nadon se joindront aussi à la distribution le temps de quelques épisodes.
Le combat risque d’être épique les lundis à 21 h. Dans le coin droit, des avocates stylées qui jettent les gants. Dans le coin gauche, les cyberintimidateurs du thriller Le jeu à TVA, qui vomissent sur leurs victimes, bien cachés derrière leur clavier. Dieu merci, il existe des enregistreurs numériques.
http://plus.lapresse.ca/screens/76d6633 ... ent=Screen
Hugo Dumas
Coucou, les membres de l’Académie du cinéma et de la télévision ! Bon an, mal an, vous attribuez 130 prix Gémeaux dans autant de catégories et vous n’arrivez toujours pas à en décerner un seul à Ruptures, une des séries dramatiques les plus palpitantes du petit écran québécois ? Faites vos devoirs, ça presse.
C’est quasiment un cas de poursuite pour faute professionnelle. Car dans la quatrième saison de Ruptures, qui décolle lundi à 21 h sur les ondes de Radio-Canada, les actrices principales se révèlent encore au sommet de leur forme. Je pense au deuxième épisode, où les avocates pugnaces Ariane Beaumont (Mélissa Désormeaux-Poulin) et Marie Rousseau (Catherine Trudeau) croisent le fer dans une joute remplie de colère et de hargne. C’est épique.
Cette série, écrite par Isabelle Pelletier, Daniel Thibault et François Camirand, nous garde constamment en état d’alerte. C’est particulièrement anxiogène et étouffant dans le premier épisode, qui reprend quelques secondes après la finale relayée au printemps dernier.
La guerrière Ariane tente toujours de calmer le père en détresse (brillant David Savard), qui a découvert qu’il n’est pas le père biologique de son dernier garçon. Briquet à la main, le papa menace de s’immoler devant les yeux de son bambin, qu’il a drogué et imbibé d’essence.
Cette prise d’otages occupe pratiquement toute l’heure. Le téléphone sonne sans arrêt dans la maison encerclée par la police et ça se crie par la tête. Avec sa caméra nerveuse, le réalisateur Rafaël Ouellet frôle la limite du tolérable.
C’est difficile à regarder, mais nécessaire pour comprendre ce qu’il adviendra d’Ariane par la suite. Comme sa collègue Claude (Isabel Richer) en désintox, Ariane touche le fond cette année. Sa santé la lâche. Ses nerfs aussi. Elle s’appuiera beaucoup sur son collègue et associé Marc Dalpé, un nouveau personnage campé par Vincent Leclerc, Séraphin pour les intimes.
Bien sûr, dans le camp opposé, le visqueux Jean-Luc De Vries (Normand D’Amour) n’a pas craché sa dernière insulte. Il réintègre son cabinet après avoir été blanchi des accusations d’agressions sexuelles portées contre lui. Et Jean-Luc compte bien se venger de Claude, qui a brillamment orchestré sa chute, ne l’oublions pas.
Les auteurs promettent de régler cette saison la mort mystérieuse du père d’Ariane, qui traîne depuis trop longtemps. Même chose pour ce qui entoure la fin de vie de la femme d’Antoine (Guillaume Lemay-Thivierge) : le dénouement approche.
Étienne Dalphond (Vincent-Guillaume Otis), l’ex-ami de cœur d’Ariane, reviendra plus tard dans la saison, notamment pour épauler Ariane. Et j’étais bien content de renouer avec le détective Grimard (Serge Postigo), un personnage bourru, mais attachant. Avis aux intéressés : le chignon de Gabrielle (Dominique Laniel) n’a pas pris sa retraite !
Au fil des 12 prochains épisodes, vous verrez les acteurs Gabriel Sabourin et Émilie Bibeau dans un cas impliquant un enfant transgenre. Salomé Corbo et Guy Nadon se joindront aussi à la distribution le temps de quelques épisodes.
Le combat risque d’être épique les lundis à 21 h. Dans le coin droit, des avocates stylées qui jettent les gants. Dans le coin gauche, les cyberintimidateurs du thriller Le jeu à TVA, qui vomissent sur leurs victimes, bien cachés derrière leur clavier. Dieu merci, il existe des enregistreurs numériques.
http://plus.lapresse.ca/screens/76d6633 ... ent=Screen
Re: Ruptures - Radio-Canada
quelle brillante idée d'écouter l'épisode de ce soir enceinte de 8 mois full hormones j'ai braillé ma vie!!
Re: Ruptures - Radio-Canada
C'est reparti en force!! Tout un épisode!
Re: Ruptures - Radio-Canada
La mère du petit gars celle qui jouait dans l’auberge du chien noir à trop abusé du botox c’est affreux
- Lady_Libellule
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1825
- Inscription : sam. mai 09, 2009 12:50 pm
Amélie B-Simard, moi aussi j'ai trouvé qu'elle avait beaucoup changé et pas pour le mieux. Je la trouvais si jolie avant! Là non seulement elle a maigri (trop à mon avis), et elle s'est maganée la face par trop de botox.kali a écrit : La mère du petit gars celle qui jouait dans l’auberge du chien noir à trop abusé du botox c’est affreux
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- Inscription : sam. mai 09, 2009 12:50 pm
Re: Ruptures - Radio-Canada
Je pouvais bien pas la replacer, j'ai écouté l'épisode de Ruptures seulement cet après-midi. Comme j'enregistre beaucoup de programmes, je n'avais pas réalisé que je ne l'avais pas encore écouté.
Re: Ruptures - Radio-Canada
Je n’ai pas encore écouté l’émission mais Amélie B Simard était une consommatrice qui a suivi une cure dans les dernières années. Peut-être de là son changement physique.
La fille de Sylvie Léonard jouera sa mère plus jeune dans Ruptures
http://showbizz.net/2018/11/07/la-fille ... -ruptures/
http://showbizz.net/2018/11/07/la-fille ... -ruptures/
Bien hâte de voir ça!Anya a écrit : La fille de Sylvie Léonard jouera sa mère plus jeune dans Ruptures
http://showbizz.net/2018/11/07/la-fille ... -ruptures/
J'adore cette série!
Une ordonnance de sauvegarde pour Ruptures, SVP
Hugo Dumas
L’avocate hyper dévouée Ariane Beaumont (Mélissa Désormeaux-Poulin) a (encore) traversé un automne mouvementé dans Ruptures, ponctué de batailles en cour avec la féroce Marie Rousseau (Catherine Trudeau) et de chutes de tension en période de stress.
Ajoutez les souvenirs ensanglantés du meurtre de son père, sa relation compliquée avec Antoine (Guillaume Lemay-Thivierge) et ses causes complexes devant le tribunal, notre valeureuse Ariane mérite du repos.
C’est vers l’apaisement que se dirige Ariane dans l’épisode final de la quatrième saison de Ruptures, que Radio-Canada relaiera lundi à 21 h. Cette excellente heure de télé, déjà disponible dans l’Extra d’ICI Tou.tv, boucle toutes les intrigues en suspens. Pas de prise d’otage angoissante, cette fois-ci.
Rassurez-vous, aucun divulgâcheur ne ponctuera cette chronique. Ça va ? À la fin de cet épisode, j’ai paniqué. Parce que la série judiciaire de Radio-Canada pourrait s’arrêter là, comme ça, et je ne suis pas prêt à dire adieu à Ariane, à la survivante Claude (Isabel Richer) et au dangereux Jean-Luc De Vries (Normand D’Amour).
Vérification faite, la production de la cinquième saison de Ruptures n’a pas encore été autorisée. Par contre, les chances qu’Ariane renfile sa toge en 2019 s’annoncent très bonnes, me dit-on.
Les auteurs Daniel Thibault et Isabelle Pelletier ont entamé l’écriture des nouveaux chapitres et les cotes d’écoute confirmées de Ruptures, qui incluent les enregistrements, ont gonflé jusqu’à 930 000 téléspectateurs le soir du 12 novembre.
Voici maintenant quelques souhaits en prévision de la possible future saison de Ruptures. Il faudrait mieux utiliser le personnage de la maman Mireille (Sylvie Léonard), qui a été vraiment inutile cet automne, à part pour répéter qu’elle refusait de parler à la police.
Les affrontements entre Marie Rousseau, Claude Boily, Ariane Beaumont et Justine Salvail (Julie Ringuette), c’est toujours du bonbon. Rajoutez-en, ce n’est pas de l’onguent.
J’ai bien aimé l’ajout du personnage de Marc Dalpé (Vincent Leclerc), qui partage son bureau avec Ariane. Gardons-le dans le décor, s’il vous plaît.
À ne pas écarter non plus : Étienne Dalphond (Vincent-Guillaume Otis), que je reverrais en couple avec Ariane. Ces deux-là ne sont pas allés au bout de leur histoire amoureuse. Ils se complètent vraiment bien.
Et pas question de se débarrasser du détective Alain Grimard (Serge Postigo). Il est trop utile !
http://plus.lapresse.ca/screens/10da6bd ... ent=Screen
Hugo Dumas
L’avocate hyper dévouée Ariane Beaumont (Mélissa Désormeaux-Poulin) a (encore) traversé un automne mouvementé dans Ruptures, ponctué de batailles en cour avec la féroce Marie Rousseau (Catherine Trudeau) et de chutes de tension en période de stress.
Ajoutez les souvenirs ensanglantés du meurtre de son père, sa relation compliquée avec Antoine (Guillaume Lemay-Thivierge) et ses causes complexes devant le tribunal, notre valeureuse Ariane mérite du repos.
C’est vers l’apaisement que se dirige Ariane dans l’épisode final de la quatrième saison de Ruptures, que Radio-Canada relaiera lundi à 21 h. Cette excellente heure de télé, déjà disponible dans l’Extra d’ICI Tou.tv, boucle toutes les intrigues en suspens. Pas de prise d’otage angoissante, cette fois-ci.
Rassurez-vous, aucun divulgâcheur ne ponctuera cette chronique. Ça va ? À la fin de cet épisode, j’ai paniqué. Parce que la série judiciaire de Radio-Canada pourrait s’arrêter là, comme ça, et je ne suis pas prêt à dire adieu à Ariane, à la survivante Claude (Isabel Richer) et au dangereux Jean-Luc De Vries (Normand D’Amour).
Vérification faite, la production de la cinquième saison de Ruptures n’a pas encore été autorisée. Par contre, les chances qu’Ariane renfile sa toge en 2019 s’annoncent très bonnes, me dit-on.
Les auteurs Daniel Thibault et Isabelle Pelletier ont entamé l’écriture des nouveaux chapitres et les cotes d’écoute confirmées de Ruptures, qui incluent les enregistrements, ont gonflé jusqu’à 930 000 téléspectateurs le soir du 12 novembre.
Voici maintenant quelques souhaits en prévision de la possible future saison de Ruptures. Il faudrait mieux utiliser le personnage de la maman Mireille (Sylvie Léonard), qui a été vraiment inutile cet automne, à part pour répéter qu’elle refusait de parler à la police.
Les affrontements entre Marie Rousseau, Claude Boily, Ariane Beaumont et Justine Salvail (Julie Ringuette), c’est toujours du bonbon. Rajoutez-en, ce n’est pas de l’onguent.
J’ai bien aimé l’ajout du personnage de Marc Dalpé (Vincent Leclerc), qui partage son bureau avec Ariane. Gardons-le dans le décor, s’il vous plaît.
À ne pas écarter non plus : Étienne Dalphond (Vincent-Guillaume Otis), que je reverrais en couple avec Ariane. Ces deux-là ne sont pas allés au bout de leur histoire amoureuse. Ils se complètent vraiment bien.
Et pas question de se débarrasser du détective Alain Grimard (Serge Postigo). Il est trop utile !
http://plus.lapresse.ca/screens/10da6bd ... ent=Screen