Skarhet a écrit : [...]
"Un p'tit mot pour vos fans ?" Câlisse TVA !
Pensé la même chose que toi
Allégations de harcèlement ou d'agression
Jadomo a écrit : J'espère qu'il pourra revenir à la télévision entre temps. On s'ennuie tellement de toi mon beau Éric! tu n'as pas tué personne et tes blagues ont été incomprises c'est tout.
Je ne pourrais dire mieux. Les autres contre toi sont de mauvaises foi.On t’aime Éric. Plein de luv
Propriétaire de 3 enfants de 14, 16 et 18 ans. Négociable pour en vendre un ou deux. Payable en vin.
Intégrale a écrit : [...]
On t’aime Éric. Plein de luv
Pis ceux qui se plaignent parce que quand ils se sont retournés, tu leur a mis ton pénis dans la face, ben ce sont des gens qui n'ont aucun sens de l'humour! t'es comme ça toi mon beau Éric, tu fais toujours des niaiseries pour faire rire!
Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
-
jojo3couleurs
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DERNIÈRE HEURE: Éric Salvail change d'idée et opte pour un procès devant juge seul
Nouvelle importante concernant le procès de l'ex-producteur et animateur vedette Éric Salvail, l'accusé a finalement décidé d'opter pour un procès devant juge seul qui aura lieu en février prochain. Salvail avait initialement décidé d'opter pour un procès devant juge et jury.
Voici ce que la journaliste judiciaire de Radio-Canada Geneviève Garon a écrit sur son compte Twitter, lundi matin:
« Éric Salvail choisit finalement un procès devant juge seul. Le procès sera en février 2020 pour agression sexuelle, harcèlement et séquestration.
Rappelons qu'Éric Salvail fait face à trois chefs d'accusation pour des gestes qui auraient été posés il y a plus de 25 ans contre le plaignant Donald Duguay. L'ancien King de V est accusé de harcèlement criminel, séquestration et agression sexuelle. Le procès aura lieu du 17 au 20 février 2020 dans une cause qui promet de retenir l'attention de tous les médias à travers la province.
Au moment d'annoncer qu'il optait pour un procès devant juge et jury, il y a quelques mois, plusieurs juristes interrogés sur le sujet avaient affirmé que s'il avait choisi d'obtenir un procès devant juge et jury c'est que Salvail et ses avocats avaient l'impression qu'ils seraient en mesure de convaincre des citoyens normaux sélectionnés pour faire partie du jury.
On ne sait pas exactement pour quelle raison ils ont choisi de procéder à ce changement, au moment d'écrire ces lignes.
Plus de détails à venir
Nouvelle importante concernant le procès de l'ex-producteur et animateur vedette Éric Salvail, l'accusé a finalement décidé d'opter pour un procès devant juge seul qui aura lieu en février prochain. Salvail avait initialement décidé d'opter pour un procès devant juge et jury.
Voici ce que la journaliste judiciaire de Radio-Canada Geneviève Garon a écrit sur son compte Twitter, lundi matin:
« Éric Salvail choisit finalement un procès devant juge seul. Le procès sera en février 2020 pour agression sexuelle, harcèlement et séquestration.
Rappelons qu'Éric Salvail fait face à trois chefs d'accusation pour des gestes qui auraient été posés il y a plus de 25 ans contre le plaignant Donald Duguay. L'ancien King de V est accusé de harcèlement criminel, séquestration et agression sexuelle. Le procès aura lieu du 17 au 20 février 2020 dans une cause qui promet de retenir l'attention de tous les médias à travers la province.
Au moment d'annoncer qu'il optait pour un procès devant juge et jury, il y a quelques mois, plusieurs juristes interrogés sur le sujet avaient affirmé que s'il avait choisi d'obtenir un procès devant juge et jury c'est que Salvail et ses avocats avaient l'impression qu'ils seraient en mesure de convaincre des citoyens normaux sélectionnés pour faire partie du jury.
On ne sait pas exactement pour quelle raison ils ont choisi de procéder à ce changement, au moment d'écrire ces lignes.
Plus de détails à venir
Fabi a écrit : DERNIÈRE HEURE: Éric Salvail change d'idée et opte pour un procès devant juge seul
Nouvelle importante concernant le procès de l'ex-producteur et animateur vedette Éric Salvail, l'accusé a finalement décidé d'opter pour un procès devant juge seul qui aura lieu en février prochain. Salvail avait initialement décidé d'opter pour un procès devant juge et jury.
Voici ce que la journaliste judiciaire de Radio-Canada Geneviève Garon a écrit sur son compte Twitter, lundi matin:
« Éric Salvail choisit finalement un procès devant juge seul. Le procès sera en février 2020 pour agression sexuelle, harcèlement et séquestration.
Rappelons qu'Éric Salvail fait face à trois chefs d'accusation pour des gestes qui auraient été posés il y a plus de 25 ans contre le plaignant Donald Duguay. L'ancien King de V est accusé de harcèlement criminel, séquestration et agression sexuelle. Le procès aura lieu du 17 au 20 février 2020 dans une cause qui promet de retenir l'attention de tous les médias à travers la province.
Au moment d'annoncer qu'il optait pour un procès devant juge et jury, il y a quelques mois, plusieurs juristes interrogés sur le sujet avaient affirmé que s'il avait choisi d'obtenir un procès devant juge et jury c'est que Salvail et ses avocats avaient l'impression qu'ils seraient en mesure de convaincre des citoyens normaux sélectionnés pour faire partie du jury.
On ne sait pas exactement pour quelle raison ils ont choisi de procéder à ce changement , au moment d'écrire ces lignes.
Plus de détails à venir
Faut pas être un génie pour penser qu'il espère se donner de meilleures chances devant une seule personne que devant 12 ...
Redouter l'ironie, c'est craindre la raison - Sacha Guitry
Il y a des journalistes qui pensent qu'il va demander le huitclos
pour ça qu'il a changé d'idée pour les 12 jurés .
moins de fuite
pour ça qu'il a changé d'idée pour les 12 jurés .
moins de fuite
Dernière modification par Lollita le mar. nov. 05, 2019 10:23 am, modifié 1 fois.
Gilbert Rozon refuse son enquête préliminaire et ira directement à procès
Nouvelle surprenante, mercredi matin, alors qu'on apprend que Gilbert Rozon a décidé de renoncer à son enquête préliminaire et qu'il ira donc directement à son procès. Le fondateur de Juste pour rire a pris tout le monde par surprise puisqu'il n'était pas à l'horaire de la cour, mercredi, et qu'il devait plutôt être de retour devant le Tribunal la semaine prochaine pour entendre la version de la femme qui l'accuse de l'avoir violée, en 1980.
C'est mardi 12 novembre que Gilbert Rozon devait revenir devant le Tribunal pour son enquête préliminaire qui ne devait durer qu'une seule journée, a expliqué à Radio-Canada la journaliste judiciaire Geneviève Garon. C'est la vidéo de la déposition de la plaignante devant les policiers qui devait être présentée en salle d'audience. La victime alléguée devait être présente, puisqu'elle aurait pu être contre interrogée par l'avocat de Gilbert Rozon.
Il est donc officiellement cité à procès pour chefs d'accusation, soit viol et attentat à la pudeur. Ni Gilbert Rozon ni son avocat ne se sont adressés aux médias, après leur comparution devant le juge.
Cette décision est surprenante puisque l'enquête préliminaire devait permettre d'entendre la preuve pour que le juge puisse décider si elle est suffisante pour la tenue d'un procès. En renonçant à l'enquête préliminaire, le magnat de l'humour renonce donc à la chance que le juge décide de ne pas tenir de procès. Cette décision aura également pour effet d'accélérer le processus puisque le procès se tiendra ainsi beaucoup plus rapidement.
Nouvelle surprenante, mercredi matin, alors qu'on apprend que Gilbert Rozon a décidé de renoncer à son enquête préliminaire et qu'il ira donc directement à son procès. Le fondateur de Juste pour rire a pris tout le monde par surprise puisqu'il n'était pas à l'horaire de la cour, mercredi, et qu'il devait plutôt être de retour devant le Tribunal la semaine prochaine pour entendre la version de la femme qui l'accuse de l'avoir violée, en 1980.
C'est mardi 12 novembre que Gilbert Rozon devait revenir devant le Tribunal pour son enquête préliminaire qui ne devait durer qu'une seule journée, a expliqué à Radio-Canada la journaliste judiciaire Geneviève Garon. C'est la vidéo de la déposition de la plaignante devant les policiers qui devait être présentée en salle d'audience. La victime alléguée devait être présente, puisqu'elle aurait pu être contre interrogée par l'avocat de Gilbert Rozon.
Il est donc officiellement cité à procès pour chefs d'accusation, soit viol et attentat à la pudeur. Ni Gilbert Rozon ni son avocat ne se sont adressés aux médias, après leur comparution devant le juge.
Cette décision est surprenante puisque l'enquête préliminaire devait permettre d'entendre la preuve pour que le juge puisse décider si elle est suffisante pour la tenue d'un procès. En renonçant à l'enquête préliminaire, le magnat de l'humour renonce donc à la chance que le juge décide de ne pas tenir de procès. Cette décision aura également pour effet d'accélérer le processus puisque le procès se tiendra ainsi beaucoup plus rapidement.
Des fans inconditionnels au spectacle de Patrick Bruel
C’était presque ni vu, ni connu. Même si Patrick Bruel est présentement sous enquête suite aux allégations de cinq femmes affirmant avoir été victimes d’inconduites sexuelles de sa part, au Centre Bell, où le chanteur français se produisait, mercredi soir, l’ambiance était à la fête et à l’amour inconditionnel.
«On t’aime!», ont même hurlé plusieurs demoiselles après une vingtaine de minutes de prestation de l’artiste de 60 ans, qui venait d’enfiler les pièces «Comment ça va?», «Alors regarde», «Tout recommencer» et «Dors» devant 10 135 spectatrices (et quelques spectateurs) visiblement éprises.
Bruel lui-même n’a fait aucune allusion à la tourmente dans laquelle il est plongé, si ce n’est du fait qu’il a particulièrement insisté sur le «Du fond du cœur, merci d’être là» qu’il a prononcé avant et après une «Qui a le droit» acclamée à outrance.
Les visages heureux projetés sur l’écran géant pendant le moment - un des éléments de l’impressionnant dispositif scénique du spectacle - ne laissaient transparaître aucun reproche à l’égard de l’idole. Pas plus que la chorale spontanée qui s’est élevée, quelques minutes plus tard, sur «J’te l’dis quand même».
Fans loyaux
Dans les gradins du Centre Bell, aucun trou béant, preuve que la majorité des détenteurs de billets pour le concert a pris part à la soirée comme prévu, malgré les soupçons qui pèsent sur Patrick Bruel. Questionnées à leur arrivée au Centre Bell, plusieurs personnes lui ont réitéré leur soutien indéfectible.
«Ça ne lui enlève pas son talent, a mentionné Lorraine Makarios, de Montréal. Je pense qu’il n’a pas fait mal à personne. À un moment donné, il faut passer par-dessus, parce que, sinon, on va s’asseoir chez nous, on ne sortira plus et on n’écoutera plus de musique. C’est comme Éric Lapointe ; les postes de radio ne jouent plus ses "tunes". Tout le monde en ont, des problèmes, souvent, conjugal (sic). Je trouve que ça n’a pas rapport avec leur talent.»
Elena Mitrofan, de Montréal, était accompagnée de sa fille de 10 ans, Eva, laquelle ignorait les récentes manchettes concernant son favori.
«Je ne sais même pas si c’est vrai, a indiqué Madame Mitrofan. Il y a toujours deux côtés. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’artiste, le chanteur. J’espère que ce n’est pas vrai, mais la musique qu’il fait, je trouve que c’est important. On ne peut pas tout annuler à cause de ça. Pour l’instant, on veut juste s’amuser et profiter de ses chansons.»
Adeptes de l’œuvre de Bruel depuis «très longtemps», Shirley et Paul Leblanc étaient partis de Gatineau pour assister à l’événement et n’ont nullement remis leur voyage en question. Et s’il devait être accusé et reconnu coupable de quelque chose?
«Je ne suis pas rendue là, encore», a avoué Shirley Leblanc.
Quant à Stéphanie Janelle, de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, elle craignait que le rendez-vous de mercredi soit annulé. «Moi, c’est l’artiste que j’aime, pas la personne en elle-même», a-t-elle nuancé.
Non remboursable
Patrick Bruel avait interrompu son actuelle tournée pendant cinq semaines, au début septembre, après la parution d’un premier article dans le quotidien français «Le Parisien», évoquant une première dénonciation de ses actes présumés.
Il avait notamment annulé des activités de promotion au Québec la même semaine, où il devait participer aux émissions «En direct de l’univers», «Les enfants de la télé» et «La vraie nature». Puis, il a repris sa série de spectacles en France. Il sera au Centre Vidéotron de Québec ce samedi, 9 novembre.
Sur la page Facebook du passage de Patrick Bruel à Montréal, quelques fidèles avaient émis, dans les derniers jours, la volonté de voir leurs billets remboursés, compte tenu des circonstances. À ceux et celles qui en ont officiellement fait la demande, le promoteur evenko a répondu en rappelant sa politique de non-remboursement une fois un billet acheté, et fait valoir «qu’à ce jour et selon la loi, aucune infraction n’a été commise.» «Rappelons qu’il s’agit d’allégations et non d’accusations dont fait l’objet M. Bruel», a aussi spécifié evenko.
C’était presque ni vu, ni connu. Même si Patrick Bruel est présentement sous enquête suite aux allégations de cinq femmes affirmant avoir été victimes d’inconduites sexuelles de sa part, au Centre Bell, où le chanteur français se produisait, mercredi soir, l’ambiance était à la fête et à l’amour inconditionnel.
«On t’aime!», ont même hurlé plusieurs demoiselles après une vingtaine de minutes de prestation de l’artiste de 60 ans, qui venait d’enfiler les pièces «Comment ça va?», «Alors regarde», «Tout recommencer» et «Dors» devant 10 135 spectatrices (et quelques spectateurs) visiblement éprises.
Bruel lui-même n’a fait aucune allusion à la tourmente dans laquelle il est plongé, si ce n’est du fait qu’il a particulièrement insisté sur le «Du fond du cœur, merci d’être là» qu’il a prononcé avant et après une «Qui a le droit» acclamée à outrance.
Les visages heureux projetés sur l’écran géant pendant le moment - un des éléments de l’impressionnant dispositif scénique du spectacle - ne laissaient transparaître aucun reproche à l’égard de l’idole. Pas plus que la chorale spontanée qui s’est élevée, quelques minutes plus tard, sur «J’te l’dis quand même».
Fans loyaux
Dans les gradins du Centre Bell, aucun trou béant, preuve que la majorité des détenteurs de billets pour le concert a pris part à la soirée comme prévu, malgré les soupçons qui pèsent sur Patrick Bruel. Questionnées à leur arrivée au Centre Bell, plusieurs personnes lui ont réitéré leur soutien indéfectible.
«Ça ne lui enlève pas son talent, a mentionné Lorraine Makarios, de Montréal. Je pense qu’il n’a pas fait mal à personne. À un moment donné, il faut passer par-dessus, parce que, sinon, on va s’asseoir chez nous, on ne sortira plus et on n’écoutera plus de musique. C’est comme Éric Lapointe ; les postes de radio ne jouent plus ses "tunes". Tout le monde en ont, des problèmes, souvent, conjugal (sic). Je trouve que ça n’a pas rapport avec leur talent.»
Elena Mitrofan, de Montréal, était accompagnée de sa fille de 10 ans, Eva, laquelle ignorait les récentes manchettes concernant son favori.
«Je ne sais même pas si c’est vrai, a indiqué Madame Mitrofan. Il y a toujours deux côtés. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’artiste, le chanteur. J’espère que ce n’est pas vrai, mais la musique qu’il fait, je trouve que c’est important. On ne peut pas tout annuler à cause de ça. Pour l’instant, on veut juste s’amuser et profiter de ses chansons.»
Adeptes de l’œuvre de Bruel depuis «très longtemps», Shirley et Paul Leblanc étaient partis de Gatineau pour assister à l’événement et n’ont nullement remis leur voyage en question. Et s’il devait être accusé et reconnu coupable de quelque chose?
«Je ne suis pas rendue là, encore», a avoué Shirley Leblanc.
Quant à Stéphanie Janelle, de Sainte-Marthe-sur-le-Lac, elle craignait que le rendez-vous de mercredi soit annulé. «Moi, c’est l’artiste que j’aime, pas la personne en elle-même», a-t-elle nuancé.
Non remboursable
Patrick Bruel avait interrompu son actuelle tournée pendant cinq semaines, au début septembre, après la parution d’un premier article dans le quotidien français «Le Parisien», évoquant une première dénonciation de ses actes présumés.
Il avait notamment annulé des activités de promotion au Québec la même semaine, où il devait participer aux émissions «En direct de l’univers», «Les enfants de la télé» et «La vraie nature». Puis, il a repris sa série de spectacles en France. Il sera au Centre Vidéotron de Québec ce samedi, 9 novembre.
Sur la page Facebook du passage de Patrick Bruel à Montréal, quelques fidèles avaient émis, dans les derniers jours, la volonté de voir leurs billets remboursés, compte tenu des circonstances. À ceux et celles qui en ont officiellement fait la demande, le promoteur evenko a répondu en rappelant sa politique de non-remboursement une fois un billet acheté, et fait valoir «qu’à ce jour et selon la loi, aucune infraction n’a été commise.» «Rappelons qu’il s’agit d’allégations et non d’accusations dont fait l’objet M. Bruel», a aussi spécifié evenko.
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Gestes à caractère sexuel: l'ex-chef cuisinier François Robert plaide coupable
Un ancien chroniqueur culinaire à Salut, Bonjour! week-end, qui devait subir son procès pour des gestes à caractère sexuel commis sur une période de huit ans, a finalement choisi de reconnaître les faits et d’admettre ses crimes.
Entre 2008 et 2016, ce sont quatre victimes, âgées entre 13 et 23 ans, que François Robert a réussi à attirer entre ses griffes et par différents moyens.
Facebook et applications
Si, certains jeunes garçons ont été contactés via des applications destinées aux homosexuels, d’autres l’ont simplement été via Facebook où Robert s’était créé un faux profil au nom de «Franck James».
«En février 2016, à la suite d’échange de messages textes, une victime âgée de 15 ans est allée rencontrer l’accusé chez lui et, en échange de deux paquets de cigarettes, il y a eu contacts sexuels», a résumé au juge Jean-Louis Lemay, la procureure de la Couronne, Me Mélanie Dufour.
L’enquête a également démontré qu’antérieurement, l’ex-chroniqueur a eu des relations sexuelles complètes avec de jeunes adolescents qu’il voyait dans des motels ou encore qu’il recevait chez lui et à qui il donnait des montants d’argent pouvant aller jusqu’à 400$.
Robert a également reconnu avoir contraint un jeune homme a subir une relation anale qu’il avait dès le départ, refusée. « Malgré cela, la relation s’est poursuivie jusqu’à éjaculation», a précisé Me Dufour.
Avec «sa valise»
Robert sera de retour devant le président du Tribunal le 4 décembre dans le cadre des observations sur la peine.
Me Susan Corriveau qui représente l’accusé a déjà fait savoir qu’une suggestion commune serait présentée à la Cour et son client a ajouté, en s’adressant au magistrat, qu’à cette date, il «va arriver avec sa valise».
https://www.journaldequebec.com/2019/11 ... ses-crimes
Un ancien chroniqueur culinaire à Salut, Bonjour! week-end, qui devait subir son procès pour des gestes à caractère sexuel commis sur une période de huit ans, a finalement choisi de reconnaître les faits et d’admettre ses crimes.
Entre 2008 et 2016, ce sont quatre victimes, âgées entre 13 et 23 ans, que François Robert a réussi à attirer entre ses griffes et par différents moyens.
Facebook et applications
Si, certains jeunes garçons ont été contactés via des applications destinées aux homosexuels, d’autres l’ont simplement été via Facebook où Robert s’était créé un faux profil au nom de «Franck James».
«En février 2016, à la suite d’échange de messages textes, une victime âgée de 15 ans est allée rencontrer l’accusé chez lui et, en échange de deux paquets de cigarettes, il y a eu contacts sexuels», a résumé au juge Jean-Louis Lemay, la procureure de la Couronne, Me Mélanie Dufour.
L’enquête a également démontré qu’antérieurement, l’ex-chroniqueur a eu des relations sexuelles complètes avec de jeunes adolescents qu’il voyait dans des motels ou encore qu’il recevait chez lui et à qui il donnait des montants d’argent pouvant aller jusqu’à 400$.
Robert a également reconnu avoir contraint un jeune homme a subir une relation anale qu’il avait dès le départ, refusée. « Malgré cela, la relation s’est poursuivie jusqu’à éjaculation», a précisé Me Dufour.
Avec «sa valise»
Robert sera de retour devant le président du Tribunal le 4 décembre dans le cadre des observations sur la peine.
Me Susan Corriveau qui représente l’accusé a déjà fait savoir qu’une suggestion commune serait présentée à la Cour et son client a ajouté, en s’adressant au magistrat, qu’à cette date, il «va arriver avec sa valise».
https://www.journaldequebec.com/2019/11 ... ses-crimes
Dernière modification par Anya le mer. déc. 04, 2019 8:48 pm, modifié 1 fois.
Gilbert Rozon utilise la même stratégie qu'Éric Salvail pour son procès
Le dossier Gilbert Rozon était de retour devant le Tribunal, lundi, alors qu'il était convoqué au Palais de justice de Montréal pour fixer la date de son procès. Le fondateur de Juste pour rire n'était pas présent en cour, alors que sa présence n'était pas obligatoire et il a donc été représenté par son avocat. On a appris qu'il avait choisi de subir son procès devant juge seul et non pas devant jury.
Éric Salvail a pris la même décision, au cours des dernières semaines, après avoir préalablement annoncé qu'il comptait subir son procès devant juge et jury.
C'est le 7 janvier prochain que Gilbert Rozon sera de retour devant le Tribunal pour répondre aux accusations de viol et d'attentat à la pudeur qui ont été portées contre lui. En novembre dernier, l'ancien magnat du monde de l'humour avait décidé de renoncer à la tenue de son enquête préliminaire, ce qui aura notamment pour effet d'accélérer le processus judiciaire
Les faits allégués se seraient produits en 1980, à Saint-Sauveur, contre une femme.
Plus de détails à venir
Le dossier Gilbert Rozon était de retour devant le Tribunal, lundi, alors qu'il était convoqué au Palais de justice de Montréal pour fixer la date de son procès. Le fondateur de Juste pour rire n'était pas présent en cour, alors que sa présence n'était pas obligatoire et il a donc été représenté par son avocat. On a appris qu'il avait choisi de subir son procès devant juge seul et non pas devant jury.
Éric Salvail a pris la même décision, au cours des dernières semaines, après avoir préalablement annoncé qu'il comptait subir son procès devant juge et jury.
C'est le 7 janvier prochain que Gilbert Rozon sera de retour devant le Tribunal pour répondre aux accusations de viol et d'attentat à la pudeur qui ont été portées contre lui. En novembre dernier, l'ancien magnat du monde de l'humour avait décidé de renoncer à la tenue de son enquête préliminaire, ce qui aura notamment pour effet d'accélérer le processus judiciaire
Les faits allégués se seraient produits en 1980, à Saint-Sauveur, contre une femme.
Plus de détails à venir
63 mois de prison pour le chef François Robert pour des gestes sexuels sur des mineurs
L’ex-chroniqueur culinaire à Salut Bonjour week-end, François Robert, a été condamné à une peine de 63 mois de pénitencier pour avoir commis des gestes à caractère sexuel sur quatre victimes mineures pendant huit ans.
C’est tout vêtu de coton ouaté que l’homme de 53 ans s’est présenté en salle de cour, sacs à la main, prêt à entendre sa peine avant de se diriger vers les cellules.
L’ex-chroniqueur avait finalement plaidé coupable en novembre à une dizaine d’accusations relatives à des crimes sexuels avec quatre mineurs.
Les gestes reprochés, qui incluent des relations sexuelles complètes, se sont étalés sur une période de huit ans, jusqu’à son arrestation à la suite d’une opération policière d’infiltration.
Pendant cette période, Robert a leurré des garçons adolescents sur internet en utilisant différents profils sur Facebook ou d’autres sites.
Le juge Jean-Louis Lemay a rappelé à l’accusé que le législateur avait imposé des peines minimales dans ce type de dossier « pour marquer le pas » sur la gravité des crimes à l’endroit de mineurs.
Une peine totale de cinq ans et trois mois a ainsi été infligée à l’ex-chroniqueur.
https://www.journaldequebec.com/2019/12 ... ois-robert
L’ex-chroniqueur culinaire à Salut Bonjour week-end, François Robert, a été condamné à une peine de 63 mois de pénitencier pour avoir commis des gestes à caractère sexuel sur quatre victimes mineures pendant huit ans.
C’est tout vêtu de coton ouaté que l’homme de 53 ans s’est présenté en salle de cour, sacs à la main, prêt à entendre sa peine avant de se diriger vers les cellules.
L’ex-chroniqueur avait finalement plaidé coupable en novembre à une dizaine d’accusations relatives à des crimes sexuels avec quatre mineurs.
Les gestes reprochés, qui incluent des relations sexuelles complètes, se sont étalés sur une période de huit ans, jusqu’à son arrestation à la suite d’une opération policière d’infiltration.
Pendant cette période, Robert a leurré des garçons adolescents sur internet en utilisant différents profils sur Facebook ou d’autres sites.
Le juge Jean-Louis Lemay a rappelé à l’accusé que le législateur avait imposé des peines minimales dans ce type de dossier « pour marquer le pas » sur la gravité des crimes à l’endroit de mineurs.
Une peine totale de cinq ans et trois mois a ainsi été infligée à l’ex-chroniqueur.
https://www.journaldequebec.com/2019/12 ... ois-robert
Ari Behn, une présumée victime de Kevin Spacey, s'est suicidé
Triste nouvelle en cette période des fêtes : Ari Behn, l'une des présumée victimes de Kevin Spacey, s'est enlevé la vie.
L'auteur norvégien avait 47 ans. Il s'est suicidé le jour de Noël, le 25 décembre 2019.
Un porte-parole de la famille a annoncé son décès par le biais d'un communiqué :
« C'est avec une profonde tristesse dans nos coeurs que l'on doit, en tant que proches d'Ari Behn, vous annoncer qu'il s'est enlevé la vie aujourd'hui. On vous demande de respecter notre vie privée en cette période difficile. »
On avait beaucoup entendu parler d'Ari Behn dans les médias lorsqu'il a accusé Kevin Spacey d'inconduite sexuelle. L'homme avait raconté qu'il l'avait attouché sexuellement en 2007 lors d'un concert dans le cadre du prix Nobel.
L'acteur déchu n'a jamais commenté ces allégations.
Par ailleurs, Ari Behn était aussi bien connu en Europe : il a été marié avec la princesse Martha Louise de Norvège pendant 14 ans. Ils ont eu 3 enfants ensemble et avant de divorcer en 2016.
Triste nouvelle en cette période des fêtes : Ari Behn, l'une des présumée victimes de Kevin Spacey, s'est enlevé la vie.
L'auteur norvégien avait 47 ans. Il s'est suicidé le jour de Noël, le 25 décembre 2019.
Un porte-parole de la famille a annoncé son décès par le biais d'un communiqué :
« C'est avec une profonde tristesse dans nos coeurs que l'on doit, en tant que proches d'Ari Behn, vous annoncer qu'il s'est enlevé la vie aujourd'hui. On vous demande de respecter notre vie privée en cette période difficile. »
On avait beaucoup entendu parler d'Ari Behn dans les médias lorsqu'il a accusé Kevin Spacey d'inconduite sexuelle. L'homme avait raconté qu'il l'avait attouché sexuellement en 2007 lors d'un concert dans le cadre du prix Nobel.
L'acteur déchu n'a jamais commenté ces allégations.
Par ailleurs, Ari Behn était aussi bien connu en Europe : il a été marié avec la princesse Martha Louise de Norvège pendant 14 ans. Ils ont eu 3 enfants ensemble et avant de divorcer en 2016.
Action collective des Courageuses: Gilbert Rozon gagne en appel
La Cour d’appel du Québec vient de donner raison à Gilbert Rozon en mettant fin à une action collective contre lui, intentée par un collectif de femmes qui l’accusaient d’être un prédateur sexuel.
«À mon avis, et cela dit avec égards, le recours ne présente aucune question identique, similaire ou connexe», a tranché le juge Stephen W. Hamilton, dans une décision rendue ce mercredi à Montréal.
Il s’agit là d’une victoire cruciale pour le fondateur de Juste pour rire, qui était poursuivi par le collectif Les Courageuses. Ce groupe était composé d’une vingtaine de femmes affirmant avoir été agressées sexuellement par Rozon, entre 1982 et 2016.
Lancé dans la foulée du mouvement #MoiAussi, le collectif avait réussi à faire autoriser une action collective de plus de 10 millions $ contre l’ancien magnat de l’humour. Un juge de la Cour supérieure du Québec avait donné son aval, en affirmant que s’il était refusé, « il est fort probable que de très nombreuses victimes seraient privées de l’exercice de leurs droits en justice ».
Trop différents
Mais dans une décision partagée de deux juges contre une, le plus haut tribunal du Québec n’a pas été de cet avis.
C’est que pour qu’une action collective puisse aller de l’avant, il faut que chaque cas présente une similitude. Et de l’avis majoritaire de la Cour d’appel, ce n’était pas le cas.
«Les gestes et les paroles reprochés auraient eu lieu à différents moments sur une période d’au moins 34 ans envers différentes personnes, peut-on lire dans la décision. La nature des gestes varie grandement d’une personne à l’autre. Le contexte n’est pas toujours le même.»
Le tribunal note aussi que selon la Cour supérieure, la similitude entre les gestes était le modus operandi de Rozon, qui aurait utilisé son influence et son pouvoir pour commettre les agressions alléguées. Or, cela n’est pas suffisant, selon le juge Hamilton.
Dissidence
La juge Dominique Bélanger n’a toutefois pas été de l’avis de ses confrères, car de son avis, Rozon avait tort «sur tous les points» de son appel.
«C’est toute la notion d’abus de pouvoir qui est en cause et qui pourra être évaluée de façon collective, de même que l’impact que cet abus de pouvoir aurait pu causer chez des femmes oeuvrant dans l’entourage professionnel de l’appelant, écrit la magistrate. En fait, la question de l’abus de pouvoir est centrale et fondamentale en l’espèce et elle est commune à chacune des membres du groupe selon les allégations.»
La juge a également rappelé la difficulté de dénoncer des victimes d’agressions sexuelles qui, dans le cas de Rozon, aurait été amplifiée par la position de ce dernier.
«Le fait que les victimes prétendent avoir été agressées par le même agresseur dans un contexte d’abus de pouvoir présente un caractère de connexité évident», note-t-elle.
Mais son avis n’a pas eu suffisamment de poids, puisque le troisième juge à avoir entendu l’affaire, Martin Vauclair, s’est rangé derrière la position du juge Hamilton qui a de son côté décidé de mettre fin à l’action collective.
Et même si la Cour supérieure avait prévenu que sans action collective, de nombreuses victimes alléguées n’auraient pas accès à la justice, la Cour d’appel a affirmé qu’il n’en était rien.
«D’autres moyens légaux sont à la portée des membres qui souhaitent entreprendre une action contre [Rozon], le rejet de l’action collective ne devant pas nécessairement entraîner un abandon des procédures ou une négation de la responsabilité de [Rozon]», conclut le juge Hamilton.
Notons que malgré cette victoire, Rozon devra toujours se défendre en cour criminelle d’une accusation de viol et d’une autre d’attentat à la pudeur, pour des faits qui seraient survenus à Saint-Sauveur en 1980.
De toutes les plaintes criminelles déposées par des membres des Courageuses, aucune n’avait été retenue par la Couronne.
https://www.journaldequebec.com/2020/01 ... en-appel-1
La Cour d’appel du Québec vient de donner raison à Gilbert Rozon en mettant fin à une action collective contre lui, intentée par un collectif de femmes qui l’accusaient d’être un prédateur sexuel.
«À mon avis, et cela dit avec égards, le recours ne présente aucune question identique, similaire ou connexe», a tranché le juge Stephen W. Hamilton, dans une décision rendue ce mercredi à Montréal.
Il s’agit là d’une victoire cruciale pour le fondateur de Juste pour rire, qui était poursuivi par le collectif Les Courageuses. Ce groupe était composé d’une vingtaine de femmes affirmant avoir été agressées sexuellement par Rozon, entre 1982 et 2016.
Lancé dans la foulée du mouvement #MoiAussi, le collectif avait réussi à faire autoriser une action collective de plus de 10 millions $ contre l’ancien magnat de l’humour. Un juge de la Cour supérieure du Québec avait donné son aval, en affirmant que s’il était refusé, « il est fort probable que de très nombreuses victimes seraient privées de l’exercice de leurs droits en justice ».
Trop différents
Mais dans une décision partagée de deux juges contre une, le plus haut tribunal du Québec n’a pas été de cet avis.
C’est que pour qu’une action collective puisse aller de l’avant, il faut que chaque cas présente une similitude. Et de l’avis majoritaire de la Cour d’appel, ce n’était pas le cas.
«Les gestes et les paroles reprochés auraient eu lieu à différents moments sur une période d’au moins 34 ans envers différentes personnes, peut-on lire dans la décision. La nature des gestes varie grandement d’une personne à l’autre. Le contexte n’est pas toujours le même.»
Le tribunal note aussi que selon la Cour supérieure, la similitude entre les gestes était le modus operandi de Rozon, qui aurait utilisé son influence et son pouvoir pour commettre les agressions alléguées. Or, cela n’est pas suffisant, selon le juge Hamilton.
Dissidence
La juge Dominique Bélanger n’a toutefois pas été de l’avis de ses confrères, car de son avis, Rozon avait tort «sur tous les points» de son appel.
«C’est toute la notion d’abus de pouvoir qui est en cause et qui pourra être évaluée de façon collective, de même que l’impact que cet abus de pouvoir aurait pu causer chez des femmes oeuvrant dans l’entourage professionnel de l’appelant, écrit la magistrate. En fait, la question de l’abus de pouvoir est centrale et fondamentale en l’espèce et elle est commune à chacune des membres du groupe selon les allégations.»
La juge a également rappelé la difficulté de dénoncer des victimes d’agressions sexuelles qui, dans le cas de Rozon, aurait été amplifiée par la position de ce dernier.
«Le fait que les victimes prétendent avoir été agressées par le même agresseur dans un contexte d’abus de pouvoir présente un caractère de connexité évident», note-t-elle.
Mais son avis n’a pas eu suffisamment de poids, puisque le troisième juge à avoir entendu l’affaire, Martin Vauclair, s’est rangé derrière la position du juge Hamilton qui a de son côté décidé de mettre fin à l’action collective.
Et même si la Cour supérieure avait prévenu que sans action collective, de nombreuses victimes alléguées n’auraient pas accès à la justice, la Cour d’appel a affirmé qu’il n’en était rien.
«D’autres moyens légaux sont à la portée des membres qui souhaitent entreprendre une action contre [Rozon], le rejet de l’action collective ne devant pas nécessairement entraîner un abandon des procédures ou une négation de la responsabilité de [Rozon]», conclut le juge Hamilton.
Notons que malgré cette victoire, Rozon devra toujours se défendre en cour criminelle d’une accusation de viol et d’une autre d’attentat à la pudeur, pour des faits qui seraient survenus à Saint-Sauveur en 1980.
De toutes les plaintes criminelles déposées par des membres des Courageuses, aucune n’avait été retenue par la Couronne.
https://www.journaldequebec.com/2020/01 ... en-appel-1
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
C'est triste comme jugement, mais pas surprenant. Même si ce n'était pas mentionné, je crois que la peur de créer un précédent a pu jouer dans l'appréciation des deux juges.
Sûrement très décevant pour les femmes du groupe des Courageuses...
Sûrement très décevant pour les femmes du groupe des Courageuses...