C'est fou comment le me, my self, and I est fort. Pas juste chez les étrangers mais aussi chez certains de nos compatriotes québécois. Juste le confinement à la maison, si la majorité le respectait on aurait de grandes chances d'éviter le confinement obligatoire. 14 jours c'est rien, si tout le monde y mettait du sien, sauf qu'à cause des délinquants on risque d'être tous pénalisés pendant des mois.joanna a écrit : Mets-en! Ils se promènent partout sans scrupule. Tant mieux s'ils ne trouvent que des endroits fermés, ils n'avaient qu'à demeurer chez-eux. Gang de gnochons voyager en pleine pandémie mondiale!
Coronavirus
Mon père est à l`hôpital depuis 2 semaines déjà, endocardite et delirium ( il a 90 ans), il a commencé à revenir sur terre depuis mercredi dernier seulement; mais il a des antibiotiques par intraveineuse 6 fois par jour jusqu'au 15 avril . Et bien J'ai eu un appel de l’hôpital aujourd'hui que même si il a pas encore été évaluer psychologiquement, il retourne avec ma mère dans leur résidence pour aînés. Ordre du gouvernement; ils doivent libérer des lits pour ce qui s'en vient...
La travailleuse sociale m'a dit; La question est pas de savoir si on va attraper le Covid 19 , mais bel et bien quand !!!
La travailleuse sociale m'a dit; La question est pas de savoir si on va attraper le Covid 19 , mais bel et bien quand !!!
Dernière modification par Sunny le mar. mars 17, 2020 11:08 pm, modifié 1 fois.
[color=#0000FF][i][b]Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse. [/b][/i][/color]
Coronavirus: les propos de Buzyn, une "bombe" pour le gouvernement
L'ex-ministre de la Santé assure qu'elle a prévenu Macron et Philippe au mois de janvier de l'ampleur que prendrait l'épidémie de coronavirus.
Précisant alors que les municipales ne pourraient se tenir.
POLITIQUE - Elle affirme avoir compris très tôt l’ampleur que prendrait l’épidémie du covid-19. Dans Le Monde, Agnès Buzyn livre une série de confessions accablantes sur l’épidémie de coronavirus qui s’étend et provoque en France les mesures de confinement “les plus strictes d’Europe”, à en croire Christophe Castaner.
“Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu”, admet l’ancienne ministre de la Santé. Elle explique que les larmes qui n’avaient cessé de couler sur ses joues lors de la passation de pouvoir avec Olivier Véran étaient celles d’une responsable qui quittait son poste, en sachant que “la vague du tsunami était devant nous.”
Partie de son ministère pour la difficile course à la mairie de Paris, Agnès Buzyn a semble-t-il vécu un calvaire. “Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose: au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting”, explique-t-elle encore dans cette série de confessions explosives pour le gouvernement.
“Il faudra qu’ils rendent des comptes!”
Mais il y a plus difficile encore à assumer politiquement pour le gouvernement: l’ancienne ministre -qui a rapidement mis sa campagne en suspens- affirme avoir prévenu Emmanuel Macron de la situation le 11 janvier 2020. Elle assure même avoir averti le premier ministre Édouard Philippe le 30 de ce mois-là que les élections ne pourraient pas se tenir.
Autant d’états d’âme et de révélations qui ont instantanément ou presque brisé le reste d’union nationale qui demeurait autour de l’action d’Emmanuel Macron sur le coronavirus. “On ne peut se taire sur cette bombe”, a immédiatement prévenu le RN, Jordan Bardella: “Il faudra qu’ils rendent des comptes!”
Même réaction du côté du député de la France insoumise, Éric Coquerel. “Abasourdi”, il se demande qui d’autre au gouvernement était au courant de la dangerosité de “maintenir les élections municipales.”
Quelques minutes plus tard, le patron des députés Insoumis à l’Assemblée Jean-Luc Mélenchon s’est fendu d’un communiqué dans lequel il qualifie les propos d’Agnès Buzyn d’“aveux.” “Se rend-elle compte qu’elle engage sa responsabilité pénale et celles des autres personnes qu’elle dit avoir prévenues?”, interroge-t-il notamment.
La suite...
https://www.huffingtonpost.fr/entry/cor ... re_twitter
L'ex-ministre de la Santé assure qu'elle a prévenu Macron et Philippe au mois de janvier de l'ampleur que prendrait l'épidémie de coronavirus.
Précisant alors que les municipales ne pourraient se tenir.
POLITIQUE - Elle affirme avoir compris très tôt l’ampleur que prendrait l’épidémie du covid-19. Dans Le Monde, Agnès Buzyn livre une série de confessions accablantes sur l’épidémie de coronavirus qui s’étend et provoque en France les mesures de confinement “les plus strictes d’Europe”, à en croire Christophe Castaner.
“Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu”, admet l’ancienne ministre de la Santé. Elle explique que les larmes qui n’avaient cessé de couler sur ses joues lors de la passation de pouvoir avec Olivier Véran étaient celles d’une responsable qui quittait son poste, en sachant que “la vague du tsunami était devant nous.”
Partie de son ministère pour la difficile course à la mairie de Paris, Agnès Buzyn a semble-t-il vécu un calvaire. “Depuis le début je ne pensais qu’à une seule chose: au coronavirus. On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade. La dernière semaine a été un cauchemar. J’avais peur à chaque meeting”, explique-t-elle encore dans cette série de confessions explosives pour le gouvernement.
“Il faudra qu’ils rendent des comptes!”
Mais il y a plus difficile encore à assumer politiquement pour le gouvernement: l’ancienne ministre -qui a rapidement mis sa campagne en suspens- affirme avoir prévenu Emmanuel Macron de la situation le 11 janvier 2020. Elle assure même avoir averti le premier ministre Édouard Philippe le 30 de ce mois-là que les élections ne pourraient pas se tenir.
Autant d’états d’âme et de révélations qui ont instantanément ou presque brisé le reste d’union nationale qui demeurait autour de l’action d’Emmanuel Macron sur le coronavirus. “On ne peut se taire sur cette bombe”, a immédiatement prévenu le RN, Jordan Bardella: “Il faudra qu’ils rendent des comptes!”
Même réaction du côté du député de la France insoumise, Éric Coquerel. “Abasourdi”, il se demande qui d’autre au gouvernement était au courant de la dangerosité de “maintenir les élections municipales.”
Quelques minutes plus tard, le patron des députés Insoumis à l’Assemblée Jean-Luc Mélenchon s’est fendu d’un communiqué dans lequel il qualifie les propos d’Agnès Buzyn d’“aveux.” “Se rend-elle compte qu’elle engage sa responsabilité pénale et celles des autres personnes qu’elle dit avoir prévenues?”, interroge-t-il notamment.
La suite...
https://www.huffingtonpost.fr/entry/cor ... re_twitter
La bombe américaine
Alec Castonguay
Le casse-tête à Ottawa, c’est de gérer la bombe à retardement que représentent les États-Unis. Et Donald Trump. Voici pourquoi fermer la frontière est loin d’être simple.
La discussion téléphonique a été corsée au conseil des ministres fédéral dimanche soir. Faut-il également fermer la frontière aux voyageurs américains ?
Le gouvernement Trudeau y réfléchit et pourrait devoir l’annoncer plus tard cette semaine. Mais ce n’est pas simple.
La décision d’interdire l’entrée au Canada à tous les citoyens de la planète, sauf les Canadiens et les Américains, a été décrétée par Ottawa lundi midi. Pour l’instant, l’épicentre du coronavirus est en Europe et en Asie, ce qui facilitait la décision.
Il faut dire que l’idée qu’une horde de touristes européens qui viendraient nous tousser dans le visage en visitant tranquillement le Stade olympique est un mythe. Les Européens ne voyagent plus depuis longtemps, puisqu’ils sont confinés à la maison, au centre de la crise et qu’ils ne veulent pas tomber malade à l’étranger, loin de leurs proches. Les avions qui atterrissent au pays sont donc essentiellement remplis de… Canadiens qui rentrent à la maison en catastrophe. Et il faut les recevoir. Obligation constitutionnelle.
Mais les États-Unis, c’est un casse-tête pas mal plus complexe. Et Donald Trump, un président imprévisible et souvent irrationnel.
Dans la crise du coronavirus, les Américains ont manqué le virage de prévention, estiment mes sources au gouvernement fédéral. « Notre plus gros problème, c’est que nous sommes à côté des États-Unis. C’est une bombe à retardement », m’a dit une source dans l’entourage de Justin Trudeau qui suit étroitement les développements au pays et au sud de la frontière.
Les États-Unis, en raison du déni de la Maison-Blanche, ont toutes les chances de devenir le prochain épicentre de la crise mondiale de coronavirus.
À ce jour, 25 000 tests de COVID-19 ont été administrés au Canada, qui augmente d’ailleurs rapidement sa capacité en laboratoire, au Québec comme dans les autres provinces. Au moment d’écrire ces lignes, aux États-Unis, c’était à peine 25 162 tests administrés. Autant qu’ici, pour une population dix fois plus nombreuse.
Il y a 11 millions de sans-papiers aux États-Unis, soit des illégaux qui n’iront jamais se faire tester dans un hôpital ou qui n’oseront pas manquer leur travail, souvent précaire, parce qu’ils sont malades, ajoutant au risque de contagion.
Il y a 27,5 millions d’Américains sans couverture d’assurance maladie, et qui ne se rendront pas se faire tester en clinique parce qu’ils ne peuvent pas se le payer ou alors parce qu’ils ne pourront pas s’offrir les soins s’ils sont testés positifs.
Le filet social américain étant minimal, bien des travailleurs ne veulent pas rester à la maison s’ils sont malades, n’ayant pas les moyens de le faire. Les congés payés de plusieurs jours pour cause de maladie ne sont pas la norme, sauf dans les grandes entreprises. Pourtant, les économistes Stefan Pichler et Nicholas Ziebarth ont démontré dans une récente étude qu’aux États-Unis, les endroits où les travailleurs peuvent profiter de congés de maladie payés avaient vu la transmission de la grippe réduite de 5 % en temps normal, et de 40 % en cas de vague soudaine de contagion.
De quoi être heureux du système de santé universel et étatique du Canada, et de notre filet social étendu qui joue un rôle protecteur en cas de crise comme celle-ci.
La situation aux États-Unis risque donc d’être très difficile dans les prochaines semaines. Justin Trudeau a abordé avec Donald Trump la possibilité de fermer la frontière canado-américaine aux voyageurs, mais le président américain ne veut rien savoir de cette idée, qui démontrerait qu’il a mal géré la crise et que son pays est un problème.
Comment réagirait-il si le Canada allait tout de même de l’avant ? Fâché, invoquerait-il la « sécurité nationale » pour interdire à certains produits de franchir la frontière vers le Canada ? Par exemple, 50 % des équipements médicaux utilisés au Canada proviennent des États-Unis. Près de 80 % de nos fruits et légumes à ce temps-ci de l’année viennent des États-Unis ou y transitent. Ainsi de suite.
Le plus important est de garder la frontière ouverte pour le commerce afin que le pays ne manque de rien, les deux économies étant fortement intégrées. La chaîne de distribution et de fabrication est intimement liée entre les deux pays.
« On est pris avec un président impulsif et il faut y aller avec doigté », m’a dit une source fédérale. Les discussions se poursuivent donc avec l’administration Trump sur la gestion de la frontière.
Dans son point de presse, Justin Trudeau a dit que les Américains qui franchissent la frontière devront se mettre en quarantaine volontaire au Canada. C’est une première étape. Pourrait-on leur interdire l’entrée au pays ? « Pas pour l’instant », a répondu Justin Trudeau. Les mots « pour l’instant », pèsent lourd. Ottawa surveille de près la situation aux États-Unis.
De plus, il y a 400 000 personnes par jour qui franchissent de part et d’autre la frontière entre les deux pays. De ce nombre, plusieurs milliers de Canadiens vont travailler aux États-Unis chaque jour et rentrent dormir à la maison. C’est une situation moins courante au Québec en raison de la langue, mais plus courante dans les villes frontalières du Nouveau-Brunswick, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique. Si la frontière est fermée aux voyageurs, il faut penser à des mesures pour ces travailleurs. Pas simple.
Pendant qu’on parle de l’Europe et de l’interdiction d’entrée au pays de leurs ressortissants, à Ottawa, le casse-tête des prochaines heures, c’est de gérer la bombe à retardement que représentent les États-Unis. Et Donald Trump.
https://lactualite.com/politique/la-bombe-americaine/
Alec Castonguay
Le casse-tête à Ottawa, c’est de gérer la bombe à retardement que représentent les États-Unis. Et Donald Trump. Voici pourquoi fermer la frontière est loin d’être simple.
La discussion téléphonique a été corsée au conseil des ministres fédéral dimanche soir. Faut-il également fermer la frontière aux voyageurs américains ?
Le gouvernement Trudeau y réfléchit et pourrait devoir l’annoncer plus tard cette semaine. Mais ce n’est pas simple.
La décision d’interdire l’entrée au Canada à tous les citoyens de la planète, sauf les Canadiens et les Américains, a été décrétée par Ottawa lundi midi. Pour l’instant, l’épicentre du coronavirus est en Europe et en Asie, ce qui facilitait la décision.
Il faut dire que l’idée qu’une horde de touristes européens qui viendraient nous tousser dans le visage en visitant tranquillement le Stade olympique est un mythe. Les Européens ne voyagent plus depuis longtemps, puisqu’ils sont confinés à la maison, au centre de la crise et qu’ils ne veulent pas tomber malade à l’étranger, loin de leurs proches. Les avions qui atterrissent au pays sont donc essentiellement remplis de… Canadiens qui rentrent à la maison en catastrophe. Et il faut les recevoir. Obligation constitutionnelle.
Mais les États-Unis, c’est un casse-tête pas mal plus complexe. Et Donald Trump, un président imprévisible et souvent irrationnel.
Dans la crise du coronavirus, les Américains ont manqué le virage de prévention, estiment mes sources au gouvernement fédéral. « Notre plus gros problème, c’est que nous sommes à côté des États-Unis. C’est une bombe à retardement », m’a dit une source dans l’entourage de Justin Trudeau qui suit étroitement les développements au pays et au sud de la frontière.
Les États-Unis, en raison du déni de la Maison-Blanche, ont toutes les chances de devenir le prochain épicentre de la crise mondiale de coronavirus.
À ce jour, 25 000 tests de COVID-19 ont été administrés au Canada, qui augmente d’ailleurs rapidement sa capacité en laboratoire, au Québec comme dans les autres provinces. Au moment d’écrire ces lignes, aux États-Unis, c’était à peine 25 162 tests administrés. Autant qu’ici, pour une population dix fois plus nombreuse.
Il y a 11 millions de sans-papiers aux États-Unis, soit des illégaux qui n’iront jamais se faire tester dans un hôpital ou qui n’oseront pas manquer leur travail, souvent précaire, parce qu’ils sont malades, ajoutant au risque de contagion.
Il y a 27,5 millions d’Américains sans couverture d’assurance maladie, et qui ne se rendront pas se faire tester en clinique parce qu’ils ne peuvent pas se le payer ou alors parce qu’ils ne pourront pas s’offrir les soins s’ils sont testés positifs.
Le filet social américain étant minimal, bien des travailleurs ne veulent pas rester à la maison s’ils sont malades, n’ayant pas les moyens de le faire. Les congés payés de plusieurs jours pour cause de maladie ne sont pas la norme, sauf dans les grandes entreprises. Pourtant, les économistes Stefan Pichler et Nicholas Ziebarth ont démontré dans une récente étude qu’aux États-Unis, les endroits où les travailleurs peuvent profiter de congés de maladie payés avaient vu la transmission de la grippe réduite de 5 % en temps normal, et de 40 % en cas de vague soudaine de contagion.
De quoi être heureux du système de santé universel et étatique du Canada, et de notre filet social étendu qui joue un rôle protecteur en cas de crise comme celle-ci.
La situation aux États-Unis risque donc d’être très difficile dans les prochaines semaines. Justin Trudeau a abordé avec Donald Trump la possibilité de fermer la frontière canado-américaine aux voyageurs, mais le président américain ne veut rien savoir de cette idée, qui démontrerait qu’il a mal géré la crise et que son pays est un problème.
Comment réagirait-il si le Canada allait tout de même de l’avant ? Fâché, invoquerait-il la « sécurité nationale » pour interdire à certains produits de franchir la frontière vers le Canada ? Par exemple, 50 % des équipements médicaux utilisés au Canada proviennent des États-Unis. Près de 80 % de nos fruits et légumes à ce temps-ci de l’année viennent des États-Unis ou y transitent. Ainsi de suite.
Le plus important est de garder la frontière ouverte pour le commerce afin que le pays ne manque de rien, les deux économies étant fortement intégrées. La chaîne de distribution et de fabrication est intimement liée entre les deux pays.
« On est pris avec un président impulsif et il faut y aller avec doigté », m’a dit une source fédérale. Les discussions se poursuivent donc avec l’administration Trump sur la gestion de la frontière.
Dans son point de presse, Justin Trudeau a dit que les Américains qui franchissent la frontière devront se mettre en quarantaine volontaire au Canada. C’est une première étape. Pourrait-on leur interdire l’entrée au pays ? « Pas pour l’instant », a répondu Justin Trudeau. Les mots « pour l’instant », pèsent lourd. Ottawa surveille de près la situation aux États-Unis.
De plus, il y a 400 000 personnes par jour qui franchissent de part et d’autre la frontière entre les deux pays. De ce nombre, plusieurs milliers de Canadiens vont travailler aux États-Unis chaque jour et rentrent dormir à la maison. C’est une situation moins courante au Québec en raison de la langue, mais plus courante dans les villes frontalières du Nouveau-Brunswick, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique. Si la frontière est fermée aux voyageurs, il faut penser à des mesures pour ces travailleurs. Pas simple.
Pendant qu’on parle de l’Europe et de l’interdiction d’entrée au pays de leurs ressortissants, à Ottawa, le casse-tête des prochaines heures, c’est de gérer la bombe à retardement que représentent les États-Unis. Et Donald Trump.
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https://www.20minutes.fr/sante/2742011- ... -restreint" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Coronavirus
On parle beaucoup des jeunes qui ne respectent pas le confinement mais à mon travail ce sont les personnes âgées qui ne se privent pas de passer nous voir alors qu'ils pourraient très bien nous appeler. C'est inquiétant de voir que plusieurs ne prennent pas ça au sérieux... Vivement qu'on commence le télétravail...
Mon père s'est fait juger par sa bande d'amis car il refuse de sortir aller déjeuner au resto. La plus vieille de ses amis a 90 ans, déjà affaiblie et elle a très hâte de sortir déjeuner.
Mon père s'est fait juger par sa bande d'amis car il refuse de sortir aller déjeuner au resto. La plus vieille de ses amis a 90 ans, déjà affaiblie et elle a très hâte de sortir déjeuner.
- misscool45
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 7647
- Inscription : sam. janv. 24, 2009 10:19 am
C'est ce que je lis moi aussi. Hier j'ai lu une dame, travaillant dans le domaine de santé, dire qu'un patient lui a dit que c'est pas grave s'il en meurt, que mourir dans 3 mois ou 2 ans ça changeait rien pour lui..Mortine a écrit : On parle beaucoup des jeunes qui ne respectent pas le confinement mais à mon travail ce sont les personnes âgées qui ne se privent pas de passer nous voir alors qu'ils pourraient très bien nous appeler. C'est inquiétant de voir que plusieurs ne prennent pas ça au sérieux... Vivement qu'on commence le télétravail...
Mon père s'est fait juger par sa bande d'amis car il refuse de sortir aller déjeuner au resto. La plus vieille de ses amis a 90 ans, déjà affaiblie et elle a très hâte de sortir déjeuner.
Ok, mais elle risque sa vie pour soigner les autres elle...
Ne m'envoyer pas de ME s.v.p je ne les recois pas
- misscool45
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- Inscription : sam. janv. 24, 2009 10:19 am
Ouff, mais c'est dont bien stressant de lire çaSunny a écrit : Mon père est à l`hôpital depuis 2 semaines déjà, endocardite et delirium ( il a 90 ans), il a commencé à revenir sur terre depuis mercredi dernier seulement; mais il a des antibiotiques par intraveineuse 6 fois par jour jusqu'au 15 avril . Et bien J'ai eu un appel de l’hôpital aujourd'hui que même si il a pas encore été évaluer psychologiquement, il retourne avec ma mère dans leur résidence pour aînés. Ordre du gouvernement; ils doivent libérer des lits pour ce qui s'en vient...
La travailleuse sociale m'a dit; La question est pas de savoir si on va attraper le Covid 19 , mais bel et bien quand !!!
Ne m'envoyer pas de ME s.v.p je ne les recois pas
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- Inscription : sam. janv. 24, 2009 10:19 am
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COVID-19
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Voici les mesures mises en place par Vidéotron afin de faciliter la vie de nos clients au courant des prochains jours. Ces mesures sont appliquées automatiquement dans les comptes de nos clients, il n’est donc pas nécessaire de contacter Vidéotron pour s’en prévaloir.
Internet
Retrait des limites de données sur tous les forfaits Internet résidentiels et affaires de nos clients jusqu’au 30 avril 2020.
Télévision
Débrouillage de plusieurs chaînes LCN, CTV News, RDI, Family, Yoopa, Family JR, Télémagino, CHRGD, BBC Earth, Cottage Life, National Geographic, Slice, HGTV et d’autres à venir.
Vidéotron offre l’accès à certains contenus sur demande gratuit à l’ensemble de ses clients ayant un forfait télévision, et ce, jusqu’au 30 avril 2020. Via la section « Gratuit pour tous » les clients auront accès via leur terminal de télévision (HELIX ou Illico).
https://videotron.com/residentiel/p/ser ... _email_0_0
COVID-19
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Télévision
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Les GAFAM contribuent trop peu de leur richesse pour combattre la COVID-19, selon une fiscaliste
Les géants du numérique et les multimilliardaires investissent trop peu dans la lutte au coronavirus, estime Brigitte Alepin, professeure en fiscalité de l’Université du Québec en Outaouais.
Selon les données recueillies par la fiscaliste, les grandes entreprises des technologies que sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft ne fourniraient qu’entre 0,01 et 0,05 % de leur richesse pour combattre la crise actuelle.
«Oui, les sociétés contribuent, mais leur contribution n’a aucun rapport avec leur capacité de contribuer», a-t-elle dénoncé à QUB radio mardi matin.
«Si on prend une société comme Google [...], elle contribue à 0,01 % de sa richesse», l’équivalent de 25 millions $ contre une richesse s’établissant à 201 000 millions $, a-t-elle renchéri.
Mince contribution, faibles impôts
Brigitte Alepin ne peut s’expliquer que les plus riches de la planète, qui sont de surcroît épargnés par les impôts, ne mettent pas les mains dans leurs poches à l’heure actuelle.
«On s’aperçoit que ces sociétés-là n’étaient pas au rendez-vous pour payer leur juste part d’impôts durant les 20 dernières années et elles ne sont pas plus au rendez-vous pour faire leur juste part pour combattre la COVID-19», a-t-elle déploré.
Jugeant cet état de fait particulièrement «fâchant», elle croit que la présente pandémie permettra de constater les conséquences des écarts de richesse et de mettre en lumière les sociétés qui s’impliquent réellement dans les crises sociales.
«On va sortir de cette épreuve-là avec une société qui va être changée. [...] Plus que jamais, on va demander des changements en matière d’environnement et en matière de justice fiscale, parce que c’est par la justice fiscale que l'on conserve nos démocraties et nos systèmes sociaux», a-t-elle affirmé.
Données recueillies par Mme Alepin:
Scénario semblable au Québec
L’invitée de l’animateur Benoit Dutrizac a également fait un parallèle avec les milliardaires de la province, soulignant qu’un seul Québécois avait fait un don jusqu’à présent.
«C’est M. [Pierre Karl] Péladeau et Québecor qui ont fait des gestes en mettant de l’argent et en faisant en sorte qu’on puisse avoir accès à des postes de télévision, etc.», a-t-elle indiqué.
Alors que le Cirque du Soleil a dû mettre à pied la moitié de ses employés dans les derniers jours, Mme Alepin a notamment dénoncé l’inaction de son fondateur, Guy Laliberté.
Selon elle, la plupart des milliardaires du Québec et leur multinationale, comme Saputo ou Couche-Tard par exemple, ne mentionnent même pas le coronavirus sur leurs plateformes.
Les géants du numérique et les multimilliardaires investissent trop peu dans la lutte au coronavirus, estime Brigitte Alepin, professeure en fiscalité de l’Université du Québec en Outaouais.
Selon les données recueillies par la fiscaliste, les grandes entreprises des technologies que sont Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft ne fourniraient qu’entre 0,01 et 0,05 % de leur richesse pour combattre la crise actuelle.
«Oui, les sociétés contribuent, mais leur contribution n’a aucun rapport avec leur capacité de contribuer», a-t-elle dénoncé à QUB radio mardi matin.
«Si on prend une société comme Google [...], elle contribue à 0,01 % de sa richesse», l’équivalent de 25 millions $ contre une richesse s’établissant à 201 000 millions $, a-t-elle renchéri.
Mince contribution, faibles impôts
Brigitte Alepin ne peut s’expliquer que les plus riches de la planète, qui sont de surcroît épargnés par les impôts, ne mettent pas les mains dans leurs poches à l’heure actuelle.
«On s’aperçoit que ces sociétés-là n’étaient pas au rendez-vous pour payer leur juste part d’impôts durant les 20 dernières années et elles ne sont pas plus au rendez-vous pour faire leur juste part pour combattre la COVID-19», a-t-elle déploré.
Jugeant cet état de fait particulièrement «fâchant», elle croit que la présente pandémie permettra de constater les conséquences des écarts de richesse et de mettre en lumière les sociétés qui s’impliquent réellement dans les crises sociales.
«On va sortir de cette épreuve-là avec une société qui va être changée. [...] Plus que jamais, on va demander des changements en matière d’environnement et en matière de justice fiscale, parce que c’est par la justice fiscale que l'on conserve nos démocraties et nos systèmes sociaux», a-t-elle affirmé.
Données recueillies par Mme Alepin:
Scénario semblable au Québec
L’invitée de l’animateur Benoit Dutrizac a également fait un parallèle avec les milliardaires de la province, soulignant qu’un seul Québécois avait fait un don jusqu’à présent.
«C’est M. [Pierre Karl] Péladeau et Québecor qui ont fait des gestes en mettant de l’argent et en faisant en sorte qu’on puisse avoir accès à des postes de télévision, etc.», a-t-elle indiqué.
Alors que le Cirque du Soleil a dû mettre à pied la moitié de ses employés dans les derniers jours, Mme Alepin a notamment dénoncé l’inaction de son fondateur, Guy Laliberté.
Selon elle, la plupart des milliardaires du Québec et leur multinationale, comme Saputo ou Couche-Tard par exemple, ne mentionnent même pas le coronavirus sur leurs plateformes.
DERNIÈRE HEURE
Donald Trump annonce la fermeture de la frontière États-Unis/Canada pour les déplacements «non-essentiels»
Plus de détails à venir.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/16 ... -fermeture
Donald Trump annonce la fermeture de la frontière États-Unis/Canada pour les déplacements «non-essentiels»
Plus de détails à venir.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/16 ... -fermeture
« Après la 6e journée, c’est devenu difficile de respirer… »
Sous le choc, une femme de Montréal raconte l’histoire de son conjoint, l’un des cinq patients présentement hospitalisés au Québec en raison de la COVID-19.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/16 ... e-montreal
Sous le choc, une femme de Montréal raconte l’histoire de son conjoint, l’un des cinq patients présentement hospitalisés au Québec en raison de la COVID-19.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/16 ... e-montreal
C'est assez épeurantAnya a écrit : « Après la 6e journée, c’est devenu difficile de respirer… »
Sous le choc, une femme de Montréal raconte l’histoire de son conjoint, l’un des cinq patients présentement hospitalisés au Québec en raison de la COVID-19.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/16 ... e-montreal
Je suis venue lire sur le forum avant d'aller dormir. Je n'aurais pas du venir lire sur le sujet de l'heure, car cette phrase-là a nui à mon sommeil.Sunny a écrit : Mon père est à l`hôpital depuis 2 semaines déjà, endocardite et delirium ( il a 90 ans), il a commencé à revenir sur terre depuis mercredi dernier seulement; mais il a des antibiotiques par intraveineuse 6 fois par jour jusqu'au 15 avril . Et bien J'ai eu un appel de l’hôpital aujourd'hui que même si il a pas encore été évaluer psychologiquement, il retourne avec ma mère dans leur résidence pour aînés. Ordre du gouvernement; ils doivent libérer des lits pour ce qui s'en vient...
La travailleuse sociale m'a dit; La question est pas de savoir si on va attraper le Covid 19 , mais bel et bien quand !!!
Quand je lis cette même phrase aujourd'hui, je me demande si la travailleuse sociale parle pour elle-même, qui travaille dans le réseau de la santé et des services sociaux, ou si c'est vrai pour la population en général, vrai pour les gens qui font le maximum humainement possible pour respecter les consignes d'isolement social. Bref, je me permets de tempérer cette affirmation, pensant plutôt qu'il sera inévitable qu'un pourcentage plus ou moins grand de personnes seront infectées et que ce pourcentage va varier en fonction du niveau de respect des consignes en vigueur par une masse significative de la population. C'est plus encourageant comme perspective en tout cas.
Re: Coronavirus
Les mesures préventives instaurés sont pour qu'il n'y ait pas un pic de gens atteint en même temps, car on a pas les ressources pour soigner tout ce monde ; donc le gouvernement va faire que l'épidémie va durer un peu plus longtemps mais avec moins de cas en même temps . D'ou la phrase de la travailleuse sociale; et ce serait vraiment horrible de devoir choisir quel patient on doit priorisé et sauver
[color=#0000FF][i][b]Qui veut faire quelque chose trouve un moyen, qui ne veut rien faire trouve une excuse. [/b][/i][/color]
Ottawa annonce une série de mesures économiques
Justin Trudeau annonce une série de mesures économiques visant à «protéger notre économie ainsi que la santé, la sécurité et les emplois de tous les Canadiens».
Ottawa instaure notamment une «allocation pour soins d’urgence» pouvant atteindre 900 $ aux deux semaines, pendant un maximum de 15 semaines.
Cette mesure touche:
- les travailleurs, y compris les travailleurs autonomes, qui sont malades, en quarantaine ou qui ont reçu la directive de s’isoler, mais qui ne sont pas admissibles aux prestations de maladie de l'assurance-emploi (AE);
- les travailleurs, y compris les travailleurs autonomes, qui s'occupent d'un membre de leur famille atteint de la COVID-19, comme un parent âgé ou une autre personne à charge malade, mais qui ne sont pas admissibles aux prestations de maladie de l'AE;
- les parents qui travaillent, qu'ils soient ou non admissibles à l'AE, et qui doivent rester à la maison sans salaire parce que leurs enfants sont malades ou ont besoin de services supplémentaires en raison de la fermeture des écoles.
«Ces mesures, mises en œuvre dans le cadre du Plan d’intervention économique du Canada pour répondre à la COVID-19, fourniront aux travailleurs et aux entreprises du Canada un soutien direct pouvant atteindre 27 milliards de dollars. Elles prévoient également 55 milliards de dollars pour répondre aux besoins de liquidités des familles et des entreprises canadiennes au moyen de reports d’impôts. Cela contribuera à stabiliser l’économie. Au total, ce soutien de 82 milliards de dollars représente plus de 3 % du PIB du Canada. Ce vaste plan aidera les Canadiens à payer leur loyer et leur épicerie et les entreprises à payer leurs employés et leurs factures pendant cette période d’incertitude», écrit Ottawa.
Jusqu'au 1er juin pour les déclarations de revenus
Ottawa repousse par ailleurs au 1er juin la date limite pour la transmission de déclarations de revenus des particuliers et permet à tous les contribuables de reporter après le 31 août 2020 le paiement de tout montant d'impôt sur le revenu qui devient exigible entre aujourd'hui et septembre 2020. Cette mesure de soutien s’appliquera aux soldes d’impôt dus ainsi qu’aux acomptes provisionnels. Aucun intérêt et aucune pénalité ne seront appliqués à ces montants pendant cette période.
Petites entreprises
Ottawa va offrir aux petites entreprises admissibles une subvention salariale équivalant à 10 % des salaires pendant les 90 prochains jours, et ce, jusqu’à concurrence de 1 375 $ par employé et de 25 000 $ par employeur.
Les entreprises admissibles à la déduction accordée aux petites entreprises ainsi que les organisations sans but lucratif et les organismes de bienfaisance pourront s'en prévaloir.
Justin Trudeau annonce une série de mesures économiques visant à «protéger notre économie ainsi que la santé, la sécurité et les emplois de tous les Canadiens».
Ottawa instaure notamment une «allocation pour soins d’urgence» pouvant atteindre 900 $ aux deux semaines, pendant un maximum de 15 semaines.
Cette mesure touche:
- les travailleurs, y compris les travailleurs autonomes, qui sont malades, en quarantaine ou qui ont reçu la directive de s’isoler, mais qui ne sont pas admissibles aux prestations de maladie de l'assurance-emploi (AE);
- les travailleurs, y compris les travailleurs autonomes, qui s'occupent d'un membre de leur famille atteint de la COVID-19, comme un parent âgé ou une autre personne à charge malade, mais qui ne sont pas admissibles aux prestations de maladie de l'AE;
- les parents qui travaillent, qu'ils soient ou non admissibles à l'AE, et qui doivent rester à la maison sans salaire parce que leurs enfants sont malades ou ont besoin de services supplémentaires en raison de la fermeture des écoles.
«Ces mesures, mises en œuvre dans le cadre du Plan d’intervention économique du Canada pour répondre à la COVID-19, fourniront aux travailleurs et aux entreprises du Canada un soutien direct pouvant atteindre 27 milliards de dollars. Elles prévoient également 55 milliards de dollars pour répondre aux besoins de liquidités des familles et des entreprises canadiennes au moyen de reports d’impôts. Cela contribuera à stabiliser l’économie. Au total, ce soutien de 82 milliards de dollars représente plus de 3 % du PIB du Canada. Ce vaste plan aidera les Canadiens à payer leur loyer et leur épicerie et les entreprises à payer leurs employés et leurs factures pendant cette période d’incertitude», écrit Ottawa.
Jusqu'au 1er juin pour les déclarations de revenus
Ottawa repousse par ailleurs au 1er juin la date limite pour la transmission de déclarations de revenus des particuliers et permet à tous les contribuables de reporter après le 31 août 2020 le paiement de tout montant d'impôt sur le revenu qui devient exigible entre aujourd'hui et septembre 2020. Cette mesure de soutien s’appliquera aux soldes d’impôt dus ainsi qu’aux acomptes provisionnels. Aucun intérêt et aucune pénalité ne seront appliqués à ces montants pendant cette période.
Petites entreprises
Ottawa va offrir aux petites entreprises admissibles une subvention salariale équivalant à 10 % des salaires pendant les 90 prochains jours, et ce, jusqu’à concurrence de 1 375 $ par employé et de 25 000 $ par employeur.
Les entreprises admissibles à la déduction accordée aux petites entreprises ainsi que les organisations sans but lucratif et les organismes de bienfaisance pourront s'en prévaloir.
Dernière modification par Anya le mer. mars 18, 2020 11:11 am, modifié 1 fois.
Re: Coronavirus
Je n’aime pas ce genre de message fataliste, ca décourage le monde pour rien. Il faut être rassurant tout en demeurant réalistes. Puis ca vient d’une travailleuse sociale, pas d’une pathologiste. Même dans les pays qui sont plus durement touchés c’est une infime partie de la population qui est infectée et de cette partie, une minime partie qui se retrouve hospitalisée et un nombre encore plus petit qui en décède . C’est trop oui mais c’est pas l’apocalypse non plus. Il faut faire la part des choses et considérer que certaines personnes sont plus enclines à voir le négatif à la base, c’est dans leur nature et je range cette dame dans cette catégorie jusqu’à preuve du contraire. Moi tant qu’il n’y a aucune certitude, je ne suis pas du genre à anticiper des scénarios, je reste optimiste et l’important c’est de continuer dans un effort collectif pour limiter la transmission … ce que nous faisons tous pour la plupart. Oui il y a des sans desseins qui font fi des recommandations mais bon ils ne se sont pas réveillés d’un coup plus brillants parce qu’il y a une pandémie.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Ce sont des faits qu'elle énonce ou bien juste sa vision personnelle? Les gens parlent beaucoup et souvent sans données justes, seulement à mon travail il y a des gens qui parlent de complot chinois faque ca en dit long jusqu'où ca peut aller.Sunny a écrit : Les mesures préventives instaurés sont pour qu'il n'y ait pas un pic de gens atteint en même temps, car on a pas les ressources pour soigner tout ce monde ; donc le gouvernement va faire que l'épidémie va durer un peu plus longtemps mais avec moins de cas en même temps . D'ou la phrase de la travailleuse sociale; et ce serait vraiment horrible de devoir choisir quel patient on doit priorisé et sauver
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Le Dr Arruda demande d’éviter l’usage de masques à des fins préventives
Le directeur national de santé publique du Québec, le Dr Horacio Arruda, demande aux Québécois de ne pas utiliser des masques pour prévenir la contamination par la COVID-19. Ces derniers doivent être réservés au personnel de la santé et aux patients atteints.
Dans une vidéo publiée sur les réseau sociaux, il rappelle que «le masque n'est pas un moyen de prévention dans la communauté» et rappelle que le lavage des mains demeure la chose la plus importante pour éviter la propagation de la COVID-19.
Près de 2400 cas dans l'État de New York
Le gouverneur de l'État de New York, Andrew Cuomo, a annoncé que 2382 cas sont maintenant répertoriés sur son territoire, soit 1000 de plus qu'hier.
En conséquence, le gouvernement fédéral va prendre la «mesure extraordinaire» d'envoyer un «navire-hôpital» à New York pour faire face à l'afflux de patients attendu avec la progression de la pandémie de coronavirus.
«Le président Donald Trump va organiser l'envoi d'un navire-hôpital, le US Comfort, qui a 1000 chambres et des salles d'opération», a indiqué le gouverneur Andrew Cuomo lors d'un point de presse.
L'Allemagne transforme des hôtels en hôpitaux
Le gouvernement allemand a annoncé qu'il va transformer des hôtels et des grandes halles en hôpitaux afin d'accroître les capacités d'accueil dans les services de soins intensifs de malades atteints du nouveau coronavirus.
La mise sur pied de ces structures provisoires, qui ne dispenseront que des soins courants, «doit permettre aux hôpitaux de se concentrer sur l'élargissement de leurs capacités en soins intensifs», a précisé le gouvernement dans un communiqué.
Le directeur national de santé publique du Québec, le Dr Horacio Arruda, demande aux Québécois de ne pas utiliser des masques pour prévenir la contamination par la COVID-19. Ces derniers doivent être réservés au personnel de la santé et aux patients atteints.
Dans une vidéo publiée sur les réseau sociaux, il rappelle que «le masque n'est pas un moyen de prévention dans la communauté» et rappelle que le lavage des mains demeure la chose la plus importante pour éviter la propagation de la COVID-19.
Près de 2400 cas dans l'État de New York
Le gouverneur de l'État de New York, Andrew Cuomo, a annoncé que 2382 cas sont maintenant répertoriés sur son territoire, soit 1000 de plus qu'hier.
En conséquence, le gouvernement fédéral va prendre la «mesure extraordinaire» d'envoyer un «navire-hôpital» à New York pour faire face à l'afflux de patients attendu avec la progression de la pandémie de coronavirus.
«Le président Donald Trump va organiser l'envoi d'un navire-hôpital, le US Comfort, qui a 1000 chambres et des salles d'opération», a indiqué le gouverneur Andrew Cuomo lors d'un point de presse.
L'Allemagne transforme des hôtels en hôpitaux
Le gouvernement allemand a annoncé qu'il va transformer des hôtels et des grandes halles en hôpitaux afin d'accroître les capacités d'accueil dans les services de soins intensifs de malades atteints du nouveau coronavirus.
La mise sur pied de ces structures provisoires, qui ne dispenseront que des soins courants, «doit permettre aux hôpitaux de se concentrer sur l'élargissement de leurs capacités en soins intensifs», a précisé le gouvernement dans un communiqué.