Si on s'aimait
Modérateur : Elise-Gisèle
Si on s'aimait
Je n'avais pas du tout l'intention d'écouter cette série, mais la description qui suit me donne envie de l'essayer, même si le couple Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin m'énerve a priori. En fait, ils commenteront essentiellement.
Source : http://www.tvhebdo.com/actualites-tele/ ... ploi/13425
Si on s’aimait | Le couple, mode d’emploi
Du lundi au mercredi 19 h 30, TVA / Début: 9 septembre
Dans un monde où nous sommes plus connectés que jamais, bien des hommes et des femmes souffrent toujours de solitude. Et s’il y avait un mode d’emploi pour mieux vivre à deux? C’est un peu ce que propose le nouveau docuréalité Si on s’aimait, commenté par Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin.
La productrice et autrice Anne Boyer a eu l’idée d’aider les gens à vivre heureux en couple grâce à un docuréalité qui leur montrerait l’exemple. Pour ce faire, elle a recruté trois personnes qui étaient au début d’une relation, qui avaient envie de vivre à deux, mais qui n’y étaient pas parvenues depuis longtemps. Elle les a soumises à ce qu’on pourrait appeler «l’approche Sigouin», une méthode d’amélioration de la vie amoureuse conçue par sa grande amie la sexologue Louise Sigouin. Durant 12 semaines, les caméras suivent ces trois personnes de 30 à 60 ans dans leur quotidien, tandis que Louise Sigouin leur offre un accompagnement thérapeutique.
Faire les choses différemment
«L’approche de Louise est vraiment spectaculaire, mais elle n’est pas miraculeuse, parce que les participants doivent faire un retour sur eux-mêmes pour travailler ce qu’ils sont et avancer dans leur cheminement», explique Anne Boyer. L’autrice de L’heure bleue n’écrit pas les interventions de ces trois personnes, mais a tenu à ce que le tout soit filmé à la manière d’une série de fiction, même si rien n’est coulé dans le béton avant que les caméras se mettent en action.
«Nous avons essayé de prédire ce qui allait se passer avant le tournage, mais nous avons vite compris qu’il fallait être extrêmement flexibles dans notre façon de tourner Si on s’aimait. Les participants évoluent d’une manière tellement surprenante! C’est fascinant», soutient-elle.
En plus d’être surprenantes, les trois personnes choisies pour participer à Si on s’aimait, deux hommes et une femme, sont très ouvertes et d’une grande générosité. C’est grâce à leurs essais et erreurs que les téléspectateurs acquerront des connaissances qu’ils pourront appliquer dans leur propre vie. «Ça prend des gens courageux pour vivre ça devant les caméras et qui sont prêts à faire les choses différemment. Vous allez les voir évoluer à l’écran, ce qui est très touchant», explique Anne Boyer.
Aux premières loges
Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin commenteront les surprises et les émotions que nous feront vivre les participants. Ces amoureux dans la vie agissent en effet comme premier public des aventures du trio et analysent les avancées de chacun sans jamais avoir de contacts avec eux. Comment ont-ils réagi lorsqu’on leur a proposé de participer à une émission sur le couple?
«L’équipe de production a été brillante dans sa façon de nous présenter le projet. Elle nous a d’abord conviés à regarder quelque chose sans nous dire ce que c’était. Après avoir visionné un pilote de l’émission pendant quelques minutes, nous étions déjà emballés et faisions une foule de commentaires. C’est à ce moment qu’on nous a expliqué que c’était exactement ce qu’on attendait de nous. Nous avons passé en quelque sorte une audition sans le savoir», raconte Guillaume.
Les amoureux ne le cachent pas, ils sentent déjà que leur participation à Si on s’aimait ne peut avoir que des effets bénéfiques sur leur propre couple. «C’est troublant de constater à quel point on peut se reconnaître dans les comportements amoureux des autres et apprendre d’eux. Nous allons à l’université pour assimiler une foule de matières; pourquoi ne pas faire aussi des apprentissages pour notre couple? C’est beaucoup de travail de vivre à deux, mais c’est tellement valorisant!» souligne Émily.
Guillaume et elle sont persuadés que, d’ici quelques mois, des célibataires opteront pour «l’approche Sigouin» afin de consolider leurs liens. Cette approche préconise, entre autres, d’apprendre à se connaître un peu plus avant de passer à l’acte sexuel.
Source : http://www.tvhebdo.com/actualites-tele/ ... ploi/13425
Si on s’aimait | Le couple, mode d’emploi
Du lundi au mercredi 19 h 30, TVA / Début: 9 septembre
Dans un monde où nous sommes plus connectés que jamais, bien des hommes et des femmes souffrent toujours de solitude. Et s’il y avait un mode d’emploi pour mieux vivre à deux? C’est un peu ce que propose le nouveau docuréalité Si on s’aimait, commenté par Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin.
La productrice et autrice Anne Boyer a eu l’idée d’aider les gens à vivre heureux en couple grâce à un docuréalité qui leur montrerait l’exemple. Pour ce faire, elle a recruté trois personnes qui étaient au début d’une relation, qui avaient envie de vivre à deux, mais qui n’y étaient pas parvenues depuis longtemps. Elle les a soumises à ce qu’on pourrait appeler «l’approche Sigouin», une méthode d’amélioration de la vie amoureuse conçue par sa grande amie la sexologue Louise Sigouin. Durant 12 semaines, les caméras suivent ces trois personnes de 30 à 60 ans dans leur quotidien, tandis que Louise Sigouin leur offre un accompagnement thérapeutique.
Faire les choses différemment
«L’approche de Louise est vraiment spectaculaire, mais elle n’est pas miraculeuse, parce que les participants doivent faire un retour sur eux-mêmes pour travailler ce qu’ils sont et avancer dans leur cheminement», explique Anne Boyer. L’autrice de L’heure bleue n’écrit pas les interventions de ces trois personnes, mais a tenu à ce que le tout soit filmé à la manière d’une série de fiction, même si rien n’est coulé dans le béton avant que les caméras se mettent en action.
«Nous avons essayé de prédire ce qui allait se passer avant le tournage, mais nous avons vite compris qu’il fallait être extrêmement flexibles dans notre façon de tourner Si on s’aimait. Les participants évoluent d’une manière tellement surprenante! C’est fascinant», soutient-elle.
En plus d’être surprenantes, les trois personnes choisies pour participer à Si on s’aimait, deux hommes et une femme, sont très ouvertes et d’une grande générosité. C’est grâce à leurs essais et erreurs que les téléspectateurs acquerront des connaissances qu’ils pourront appliquer dans leur propre vie. «Ça prend des gens courageux pour vivre ça devant les caméras et qui sont prêts à faire les choses différemment. Vous allez les voir évoluer à l’écran, ce qui est très touchant», explique Anne Boyer.
Aux premières loges
Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin commenteront les surprises et les émotions que nous feront vivre les participants. Ces amoureux dans la vie agissent en effet comme premier public des aventures du trio et analysent les avancées de chacun sans jamais avoir de contacts avec eux. Comment ont-ils réagi lorsqu’on leur a proposé de participer à une émission sur le couple?
«L’équipe de production a été brillante dans sa façon de nous présenter le projet. Elle nous a d’abord conviés à regarder quelque chose sans nous dire ce que c’était. Après avoir visionné un pilote de l’émission pendant quelques minutes, nous étions déjà emballés et faisions une foule de commentaires. C’est à ce moment qu’on nous a expliqué que c’était exactement ce qu’on attendait de nous. Nous avons passé en quelque sorte une audition sans le savoir», raconte Guillaume.
Les amoureux ne le cachent pas, ils sentent déjà que leur participation à Si on s’aimait ne peut avoir que des effets bénéfiques sur leur propre couple. «C’est troublant de constater à quel point on peut se reconnaître dans les comportements amoureux des autres et apprendre d’eux. Nous allons à l’université pour assimiler une foule de matières; pourquoi ne pas faire aussi des apprentissages pour notre couple? C’est beaucoup de travail de vivre à deux, mais c’est tellement valorisant!» souligne Émily.
Guillaume et elle sont persuadés que, d’ici quelques mois, des célibataires opteront pour «l’approche Sigouin» afin de consolider leurs liens. Cette approche préconise, entre autres, d’apprendre à se connaître un peu plus avant de passer à l’acte sexuel.
Re: Si on s'aimait
C’est reporté à cet hiver.
https://www.lesoleil.com/arts/richard-t ... 89baec655a" onclick="window.open(this.href);return false;
https://www.lesoleil.com/arts/richard-t ... 89baec655a" onclick="window.open(this.href);return false;
Je vais tenter le coup pour cette docuréalité qui débutera le 6 avril sur TVA. C'est le volet développement personnel qui me plaît le plus, mais ça dépendra comment c'est présenté et du sérieux des participants. Au pire, je pourrai passer par-dessus les commentaires des deux vedettes.
Extraits de l'article :
« Pendant 12 semaines, les caméras suivent ces trois candidats âgés de 30 à 60 ans dans leur quotidien alors que Louise Sigouin leur offre un accompagnement thérapeutique.
[...]
«L’approche de Louise est vraiment spectaculaire, mais elle n’est pas miraculeuse, parce que les candidats doivent faire un retour sur eux-mêmes pour travailler ce qu’ils sont et avancer dans leur cheminement», explique Anne Boyer. L’auteure de L’heure bleue n’a pas écrit les interventions des candidats, mais elle a tenu à ce que tout soit filmé à la manière d’une fiction.
«Nous avons essayé de prédire ce qui allait se passer avant le tournage, mais nous avons vite compris qu’il fallait être extrêmement flexibles dans notre façon de tourner Si on s’aimait. Les participants sont tellement surprenants dans leur évolution, c’est fascinant!» admet-elle.
Surprenantes, les trois personnes choisies pour participer à Si on s’aimait, deux hommes et une femme, s’avèrent aussi généreuses qu’ouvertes d’esprit. Grâce à leurs essais et leurs erreurs, les téléspectateurs acquièrent des connaissances qu’ils pourront appliquer dans leur propre vie. «Ça prend des gens courageux pour vivre ça devant les caméras, et ils sont prêts à faire les choses différemment. Vous allez les voir évoluer à l’écran, ce qui est très touchant», explique Anne Boyer. »
Pour l'article au complet : https://www.7jours.ca/2020/03/27/guilla ... eaute-tele
Extraits de l'article :
« Pendant 12 semaines, les caméras suivent ces trois candidats âgés de 30 à 60 ans dans leur quotidien alors que Louise Sigouin leur offre un accompagnement thérapeutique.
[...]
«L’approche de Louise est vraiment spectaculaire, mais elle n’est pas miraculeuse, parce que les candidats doivent faire un retour sur eux-mêmes pour travailler ce qu’ils sont et avancer dans leur cheminement», explique Anne Boyer. L’auteure de L’heure bleue n’a pas écrit les interventions des candidats, mais elle a tenu à ce que tout soit filmé à la manière d’une fiction.
«Nous avons essayé de prédire ce qui allait se passer avant le tournage, mais nous avons vite compris qu’il fallait être extrêmement flexibles dans notre façon de tourner Si on s’aimait. Les participants sont tellement surprenants dans leur évolution, c’est fascinant!» admet-elle.
Surprenantes, les trois personnes choisies pour participer à Si on s’aimait, deux hommes et une femme, s’avèrent aussi généreuses qu’ouvertes d’esprit. Grâce à leurs essais et leurs erreurs, les téléspectateurs acquièrent des connaissances qu’ils pourront appliquer dans leur propre vie. «Ça prend des gens courageux pour vivre ça devant les caméras, et ils sont prêts à faire les choses différemment. Vous allez les voir évoluer à l’écran, ce qui est très touchant», explique Anne Boyer. »
Pour l'article au complet : https://www.7jours.ca/2020/03/27/guilla ... eaute-tele
Après l'écoute du 1er épisode, le concept m'apparaît comme intéressant au niveau relations humaines. Les 3 participants sont différents tant dans leur approche que dans leur parcours, ce sera plaisant de les découvrir et de suivre leur évolution au fil des semaines. Par contre, les interventions du couple Bégin-Lemay-Thivierge n'ajoutent absolument rien d'intelligent à l'émission.
Retraitée de l'enseignement primaire et universitaire depuis juin 2011.
C'est essentiellement ce que je m'en venais écrire.Pichou a écrit : Après l'écoute du 1er épisode, le concept m'apparaît comme intéressant au niveau relations humaines. Les 3 participants sont différents tant dans leur approche que dans leur parcours, ce sera plaisant de les découvrir et de suivre leur évolution au fil des semaines. Par contre, les interventions du couple Bégin-Lemay-Thivierge n'ajoutent absolument rien d'intelligent à l'émission.
- Elise-Gisèle
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- Inscription : sam. oct. 25, 2003 12:00 am
Re: Si on s'aimait
Y ajuste Louise que j'aime (la thérapeute) que je connais bien pour avoir fait des formations et des suivis à son bureau et chez elle , une femme exceptionnelle.
Re: Si on s'aimait
J'ai trouvé ça un peu long ce soir, ça ne dure pourtant que 20 minutes (à part les annonces). Je vais persévérer parce que je suis curieuse de la suite des trois couples, que je trouve mal assortis.
Je ne mets pas en doute la compétence de la thérapeute, mais j'ai du mal avec l'étiquetage des personnes et les pronostics qui viennent avec, par exemple de dire que celui-là est dépendant, donc constamment dans une demande impossible à satisfaire. Je trouve que ça manque de nuances et que ça simplifie trop des choses bien plus complexes. Je comprends que ça se veut de la pédagogie populaire, mais le côté réducteur me dérange quand même.
Je ne mets pas en doute la compétence de la thérapeute, mais j'ai du mal avec l'étiquetage des personnes et les pronostics qui viennent avec, par exemple de dire que celui-là est dépendant, donc constamment dans une demande impossible à satisfaire. Je trouve que ça manque de nuances et que ça simplifie trop des choses bien plus complexes. Je comprends que ça se veut de la pédagogie populaire, mais le côté réducteur me dérange quand même.
Les gros malaises!
Hugo Dumas
Depuis un an, les échos à propos de Si on s’aimait sont atroces. TVA a reporté deux fois la diffusion de cette docuréalité psycho-amoureuse coanimée par Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin.
Le montage des épisodes a été encore plus difficile qu’un casse-tête de 3000 morceaux. La structure de l’émission a été bâtie, démolie, reconstruite, redynamitée, puis reconstituée.
Dans le petit monde de la télé, plusieurs s’attendaient à un fiasco du calibre de Célibataires et nus, rien de moins.
C’est donc lundi à 19 h 30 que nous avons enfin vu les premières images de Si on s’aimait, un croisement entre À table avec mon ex de V, Les naufragés de l’amour de Canal Vie et une thérapie professionnelle. Verdict ? Je n’ai vraiment pas haï ça, même si le concept reste flou.
Si on s’aimait, qui joue du lundi au mercredi à TVA, suit trois célibataires dans leur recherche de l’âme sœur. Il y a Jonathan, 35 ans, un directeur du marketing très pointilleux sur ses choix de fromage. La saga interminable du Doré-Mi (un halloumi québécois) a provoqué un immense malaise à l’épicerie. Décroche, Jonathan, seigneur.
Il y a Jean-Philippe, 45 ans, propriétaire d’une entreprise de création de trophées et adepte des foulards comme en 2008. Pas le plus sympathique du lot, ce Jean-Philippe, un hyper performant bête et cassant avec sa prétendante Fanny, une agente de voyages de 43 ans.
Puis il y a Jennifer, une adjointe exécutive de 50 ans qui ne parle que de son chien Casper. Le pauvre Mike, 51 ans, qui essaie de la séduire, se fait constamment retourner comme une crêpe. C’est gênant.
Vous voyez ? Si on s’aimait fonctionne. Cette docuréalité nous transporte dans l’intimité de ces gens « ordinaires », qui en sont aux balbutiements d’une relation amoureuse « potentielle ».
Et comme Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin sur leur sofa, nous suranalysons leur moindre petit geste. Ah, mon Dieu, pourquoi Jennifer casse-t-elle Mike de cette façon ? Le sac à blagues maladroites de Jonathan est-il vide ? Et à quel point Jean-Philippe se trouve-t-il bon dans tout ce qu’il entreprend ?
La sexologue Louise Sigouin, « experte en accompagnement relationnel », rencontre tous les participants en séance privée et essaie de défaire les nœuds. Elle distille de bons conseils, même si je trouve simpliste sa théorie des « cinq dualités » dans les couples.
Toi, tu es un rêveur et elle, une active ! Toi, tu es une vite et lui, un lent ! Fusionnel, solitaire. Dépendant, codépendant. Rationnel, émotif. Pas besoin d’une spécialiste pour comprendre ça.
La suite des choses de Si on s’aimait demeure nébuleuse. Les trois célibataires principaux peuvent-ils changer de partenaires ou sont-ils coincés dans leur étau pendant 13 semaines ? Pour Jean-Philippe et Fanny, ça risque d’être long, longtemps. Même constat pour Jennifer et Mike.
En théorie, l’émission doit montrer toutes les étapes de la formation d’un couple, de la rencontre à la fréquentation, en passant par la cohabitation et le voyage. Jean-Philippe et Fanny ne survivront pas plus de cinq minutes sous le même toit.
Toujours au chapitre des malaises, j’en ai provoqué un petit dans ma chronique de mardi en débaptisant Isabèle Chevalier, une des investisseuses de la téléréalité Dans l’œil du dragon. La dragonne s’appelle bien Isabèle Chevalier et non Chevrier (aucun lien de parenté avec Martine Chevrier la chanteuse !).
https://www.lapresse.ca/arts/television ... laises.php
Hugo Dumas
Depuis un an, les échos à propos de Si on s’aimait sont atroces. TVA a reporté deux fois la diffusion de cette docuréalité psycho-amoureuse coanimée par Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin.
Le montage des épisodes a été encore plus difficile qu’un casse-tête de 3000 morceaux. La structure de l’émission a été bâtie, démolie, reconstruite, redynamitée, puis reconstituée.
Dans le petit monde de la télé, plusieurs s’attendaient à un fiasco du calibre de Célibataires et nus, rien de moins.
C’est donc lundi à 19 h 30 que nous avons enfin vu les premières images de Si on s’aimait, un croisement entre À table avec mon ex de V, Les naufragés de l’amour de Canal Vie et une thérapie professionnelle. Verdict ? Je n’ai vraiment pas haï ça, même si le concept reste flou.
Si on s’aimait, qui joue du lundi au mercredi à TVA, suit trois célibataires dans leur recherche de l’âme sœur. Il y a Jonathan, 35 ans, un directeur du marketing très pointilleux sur ses choix de fromage. La saga interminable du Doré-Mi (un halloumi québécois) a provoqué un immense malaise à l’épicerie. Décroche, Jonathan, seigneur.
Il y a Jean-Philippe, 45 ans, propriétaire d’une entreprise de création de trophées et adepte des foulards comme en 2008. Pas le plus sympathique du lot, ce Jean-Philippe, un hyper performant bête et cassant avec sa prétendante Fanny, une agente de voyages de 43 ans.
Puis il y a Jennifer, une adjointe exécutive de 50 ans qui ne parle que de son chien Casper. Le pauvre Mike, 51 ans, qui essaie de la séduire, se fait constamment retourner comme une crêpe. C’est gênant.
Vous voyez ? Si on s’aimait fonctionne. Cette docuréalité nous transporte dans l’intimité de ces gens « ordinaires », qui en sont aux balbutiements d’une relation amoureuse « potentielle ».
Et comme Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin sur leur sofa, nous suranalysons leur moindre petit geste. Ah, mon Dieu, pourquoi Jennifer casse-t-elle Mike de cette façon ? Le sac à blagues maladroites de Jonathan est-il vide ? Et à quel point Jean-Philippe se trouve-t-il bon dans tout ce qu’il entreprend ?
La sexologue Louise Sigouin, « experte en accompagnement relationnel », rencontre tous les participants en séance privée et essaie de défaire les nœuds. Elle distille de bons conseils, même si je trouve simpliste sa théorie des « cinq dualités » dans les couples.
Toi, tu es un rêveur et elle, une active ! Toi, tu es une vite et lui, un lent ! Fusionnel, solitaire. Dépendant, codépendant. Rationnel, émotif. Pas besoin d’une spécialiste pour comprendre ça.
La suite des choses de Si on s’aimait demeure nébuleuse. Les trois célibataires principaux peuvent-ils changer de partenaires ou sont-ils coincés dans leur étau pendant 13 semaines ? Pour Jean-Philippe et Fanny, ça risque d’être long, longtemps. Même constat pour Jennifer et Mike.
En théorie, l’émission doit montrer toutes les étapes de la formation d’un couple, de la rencontre à la fréquentation, en passant par la cohabitation et le voyage. Jean-Philippe et Fanny ne survivront pas plus de cinq minutes sous le même toit.
Toujours au chapitre des malaises, j’en ai provoqué un petit dans ma chronique de mardi en débaptisant Isabèle Chevalier, une des investisseuses de la téléréalité Dans l’œil du dragon. La dragonne s’appelle bien Isabèle Chevalier et non Chevrier (aucun lien de parenté avec Martine Chevrier la chanteuse !).
https://www.lapresse.ca/arts/television ... laises.php
- lorraine48
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8240
- Inscription : mar. janv. 13, 2009 10:17 pm
Re: Si on s'aimait
Il me semble que guillaume a pas prouvé à date dans ses amours qu il était bon
Re: Si on s'aimait
Je continue de suivre l'émission, par curiosité de la suite et par manque d'émissions à me mettre sous la dent. Il y a deux couples qui ne me semblent pas avoir assez d'intérêt réciproque pour poursuivre, alors je trouve étrange qu'ils continuent. Perso, quelqu'un qui manifeste si peu d'intérêt pour l'autre, je conseillerais à cette autre de le crisser là, pas de persévérer en faisant de la relation d'aide.
Je l'ai regardé pour la première fois hier. Celle qui cuisinait la pizza mon dieu qu'elle est coincée!! Je ne comprends pas non plus pourquoi continuer de voir une personne qui ne nous intéresse pas, c'est quoi le but rendu là. Avoir été le gars je ne me serais pas rendu au souper, je l'aurais laissée dans sa cuisine. Je ne comprends pas le concept de l'émission, il faut former un couple? Il va y avoir d'autres participants si ca marche pas? Le gars qui a initié la fille à la boxe, ca non plus ca ne fera pas des enfants forts, c'est quoi le but de perdurer?
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
- gingerstar
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. sept. 21, 2003 12:00 am
Dis-moi s'il y a un légume que tu détestes que je l'achète et te le cuisine...
Le gars lui tombe visiblement sur les nerfs, je trouve que c'est tellement malaisant pour nous et tellement nocif pour son estime de soi à lui...
L'autre avec la couverture sur la tête a pas l'air hop la vie trop trop...
Peut-être qu'ils ont signé un contrat qui les oblige à se rendre jusqu'à la fin.
Le couple plus jeune est plus cute à voir aller heureusement.
Le gars lui tombe visiblement sur les nerfs, je trouve que c'est tellement malaisant pour nous et tellement nocif pour son estime de soi à lui...
L'autre avec la couverture sur la tête a pas l'air hop la vie trop trop...
Peut-être qu'ils ont signé un contrat qui les oblige à se rendre jusqu'à la fin.
Le couple plus jeune est plus cute à voir aller heureusement.
Re: Si on s'aimait
My God, la fille qui cuisine la pizza, quel malaise!!! Elle s'est évidement pas rétablit de la mort de son mari!!! J'aimerais juste pas être à la place du gars!
Pis il lui dit que le seul légume qu'il n'aime pas est le choux de Bruxelles et il faut qu'elle en achète absolument. J'ai trouvé ca un gros manque de courtoisie, il était quand même son invité elle aurait pu acheter un légume qui leur plaisait aux deux. Quand je reçois je ne cuisine pas LE plat que personne n'aime juste pour m'imposer avec mes goûts, ca démontre comment elle n'est pas ouverte aux autres. Elle est aussi bien rester seule avec son chien rendu là.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
-
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1571
- Inscription : jeu. sept. 11, 2014 10:02 pm
Ca fait 20 ans que son mari est décédé et ils ont été mariés 5 mois , elle a été sur les anti-dépresseurs pendant 7 ans suite au décès de son mari , sans porter jugement elle n'est pas prête et ne le sera probablement jamais elle semble se couvrir de sa peine comme on se couvre d'une doudou en période hivernale , sauf que l'hiver passe et la chaleur revient un moment donné .Il faut une certaine volonté pour s'en sortir et elle ne semble pas mettre ou vouloir mettre d'efforts dans ce sens . J'ose même pas imaginer si elle avait perdu un enfant la condition dans laquelle elle serait aujourd'hui parce que selon moi il n'y aura jamais rien de pire comme malheur que de perdre son enfant .nijaocet a écrit : My God, la fille qui cuisine la pizza, quel malaise!!! Elle s'est évidement pas rétablit de la mort de son mari!!! J'aimerais juste pas être à la place du gars!
Si on s'aimait : Un candidat abandonne déjà l'aventure
Il n'avait pas d'attirance envers sa prétendante.
Jean-Philippe, 45 ans, a décidé ce mercredi d'abandonner l'aventure après seulement quelques rendez-vous avec sa prétendante, Fanny.
En consultation avec la psychologue, il précise qu'il n'avait pas de véritable attirance physique envers cette personne et que la sexualité est trop importante dans sa vie pour passer à côté de cet aspect.
Plutôt que de continuer l'expérience avec une autre femme, il a décidé de se retirer, avouant que ce jeu n'était pas pour lui. Les téléspectateurs seront donc amenés à poursuivre l'aventure avec Fanny qui, elle, est ouverte à faire de nouvelles rencontres.
Il faut dire que Jean-Philippe est un homme exigeant, autant envers lui qu'envers la femme qui partagera sa vie. Il recherche une partenaire de vie intense comme lui et on lui souhaite de trouver cette perle rare.
Sur les réseaux sociaux, la plupart des téléspectateurs comprennent la décision de Jean-Philippe : s'il n'y a pas d'attirance, ça ne vaut pas la peine de continuer. Plusieurs saluent son honnêteté et sa force de caractère. Il y a aussi, de l'autre côté de la médaille, des gens qui le critiquent.
Un autre couple qui bat de l'aile à Si on s'aimait est celui de Jennifer et Mike. L'éternelle célibataire de 50 ans ne laisse pas beaucoup de place à Mike pour qu'il entre dans sa vie, malgré les efforts de ce dernier. Encore là, on comprend qu'il n'y a pas d'attirance d'un côté comme de l'autre. On peut s'attendre à une rupture imminente.
La carapace épaisse de Jennifer fait beaucoup jaser sur les réseaux sociaux. Le public est derrière Mike, qui fait tout pour tenter de la mettre à l'aise. Mais comme celle-ci ne semble pas attirée par Mike, on peut comprendre qu'elle ne lui laissera pas de chance.
Selon les résumés des épisodes suivants, on peut voir que Jennifer et Mike feront un appel d'urgence à Louise, la psychologue. Serait-ce le début de la fin?
Rappelons que, la semaine dernière, c'est plutôt du couple formé de Marie-Ève et Jonathan qui a fait parler. Tout ça en raison d'un fromage...
Il n'avait pas d'attirance envers sa prétendante.
Jean-Philippe, 45 ans, a décidé ce mercredi d'abandonner l'aventure après seulement quelques rendez-vous avec sa prétendante, Fanny.
En consultation avec la psychologue, il précise qu'il n'avait pas de véritable attirance physique envers cette personne et que la sexualité est trop importante dans sa vie pour passer à côté de cet aspect.
Plutôt que de continuer l'expérience avec une autre femme, il a décidé de se retirer, avouant que ce jeu n'était pas pour lui. Les téléspectateurs seront donc amenés à poursuivre l'aventure avec Fanny qui, elle, est ouverte à faire de nouvelles rencontres.
Il faut dire que Jean-Philippe est un homme exigeant, autant envers lui qu'envers la femme qui partagera sa vie. Il recherche une partenaire de vie intense comme lui et on lui souhaite de trouver cette perle rare.
Sur les réseaux sociaux, la plupart des téléspectateurs comprennent la décision de Jean-Philippe : s'il n'y a pas d'attirance, ça ne vaut pas la peine de continuer. Plusieurs saluent son honnêteté et sa force de caractère. Il y a aussi, de l'autre côté de la médaille, des gens qui le critiquent.
Un autre couple qui bat de l'aile à Si on s'aimait est celui de Jennifer et Mike. L'éternelle célibataire de 50 ans ne laisse pas beaucoup de place à Mike pour qu'il entre dans sa vie, malgré les efforts de ce dernier. Encore là, on comprend qu'il n'y a pas d'attirance d'un côté comme de l'autre. On peut s'attendre à une rupture imminente.
La carapace épaisse de Jennifer fait beaucoup jaser sur les réseaux sociaux. Le public est derrière Mike, qui fait tout pour tenter de la mettre à l'aise. Mais comme celle-ci ne semble pas attirée par Mike, on peut comprendre qu'elle ne lui laissera pas de chance.
Selon les résumés des épisodes suivants, on peut voir que Jennifer et Mike feront un appel d'urgence à Louise, la psychologue. Serait-ce le début de la fin?
Rappelons que, la semaine dernière, c'est plutôt du couple formé de Marie-Ève et Jonathan qui a fait parler. Tout ça en raison d'un fromage...
Je ne trouvais pas Jean-Philippe particulièrement sympathique, c’est un genre de personne qui m’horripile dans la vie, mais au moins il n’a pas étiré la sauce pour rien. Pas d’attirance ni de chimie avec Fanny, il préfère terminer le tout. C’est une personne que je pense superficielle en amour mais il a l’air d’assumer ce fait. J’ai l’impression qu’il est un père aimant et dévoué, mais c’est comme conjoint que ca se gâte. Jennifer et Mike qui disent l’un et l’autre ne pas avoir d’attirance … pourquoi continuer?! Chaque rencontre entre eux est malaisante, lui a juste l’air du gars qui fait tout pour se conformer à l’autre, à ses attentes, à dire ce que l’autre veux entendre. Il a l’air d’une lavette et c’est ben plate mais pas beaucoup de femmes sont attirées par cela. Pourquoi Jennifer ne conclut-elle pas? Elle pourrait tester avec un autre s’il y a plus de chimie au lieu de perdre son temps avec un homme qu’elle sait ne lui plait juste pas.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
- little_miss
- Magicien des Mots
- Messages : 4180
- Inscription : ven. sept. 04, 2009 7:43 pm
Re: Si on s'aimait
je trouve Jennifer tellement froide.