Allégations de harcèlement ou d'agression
2e partie d'un article publié dans le journal Le Soleil :
« LES VICTIMES S'EXPOSENT À UN LIBELLE DIFFAMATOIRE
Dénoncer une agression sexuelle via les médias sociaux peut avoir de graves conséquences, autant sur la victime que sur le présumé agresseur. Non seulement il n’y aura jamais de condamnation, mais la victime s’expose à une poursuite en diffamation.
Selon le criminaliste Me Charles Cantin, la majorité des gens ont encore une mauvaise perception du système de justice. « Plusieurs pensent que les plaignants sont laissés à eux-mêmes, ce qui est faux. Remettre le dossier entre les mains d’un enquêteur, c’est s’assurer que le travail sera fait selon les règles de l’art. Une personne qui décide de dénoncer son agresseur sur Instagram, non seulement elle s’expose au tribunal populaire, mais aussi à un libelle diffamatoire. Au bout du compte, ça peut avoir des conséquences graves », explique Me Cantin, qui pratique le droit criminel depuis une trentaine d’années.
Livrer un témoignage sur sa page Facebook ou dans une story Instagram sur un événement traumatisant vécu n’a rien d’illégal. Le problème, c’est lorsqu’on met un nom sur une accusation. Et si cette même victime décide, un an ou 20 ans plus tard, de porter plainte officiellement, ces allégations peuvent refaire surface et miner sa crédibilité en cour. Même si ces accusations ont été diffusées via une story, qui ne dure que 24 heures, la technologie étant ce qu’elle, cela n’assure pas qu’elles disparaîtront totalement de la circulation. On n’a qu’à penser aux captures d’écran.
« De plus, toutes les personnes qui ont commenté les publications peuvent, elles aussi, faire l’objet d’une poursuite en diffamation. Si je dis qu’un tel m’a agressé et que 15 personnes commentent ensuite, il peut y avoir 16 plaintes au bout de la ligne », ajoute Me Cantin.
Notons qu’une poursuite en diffamation peut être intentée, que les allégations soient vraies ou fausses. »
Article au complet : https://www.lesoleil.com/actualite/le-f ... 35912015c0
« LES VICTIMES S'EXPOSENT À UN LIBELLE DIFFAMATOIRE
Dénoncer une agression sexuelle via les médias sociaux peut avoir de graves conséquences, autant sur la victime que sur le présumé agresseur. Non seulement il n’y aura jamais de condamnation, mais la victime s’expose à une poursuite en diffamation.
Selon le criminaliste Me Charles Cantin, la majorité des gens ont encore une mauvaise perception du système de justice. « Plusieurs pensent que les plaignants sont laissés à eux-mêmes, ce qui est faux. Remettre le dossier entre les mains d’un enquêteur, c’est s’assurer que le travail sera fait selon les règles de l’art. Une personne qui décide de dénoncer son agresseur sur Instagram, non seulement elle s’expose au tribunal populaire, mais aussi à un libelle diffamatoire. Au bout du compte, ça peut avoir des conséquences graves », explique Me Cantin, qui pratique le droit criminel depuis une trentaine d’années.
Livrer un témoignage sur sa page Facebook ou dans une story Instagram sur un événement traumatisant vécu n’a rien d’illégal. Le problème, c’est lorsqu’on met un nom sur une accusation. Et si cette même victime décide, un an ou 20 ans plus tard, de porter plainte officiellement, ces allégations peuvent refaire surface et miner sa crédibilité en cour. Même si ces accusations ont été diffusées via une story, qui ne dure que 24 heures, la technologie étant ce qu’elle, cela n’assure pas qu’elles disparaîtront totalement de la circulation. On n’a qu’à penser aux captures d’écran.
« De plus, toutes les personnes qui ont commenté les publications peuvent, elles aussi, faire l’objet d’une poursuite en diffamation. Si je dis qu’un tel m’a agressé et que 15 personnes commentent ensuite, il peut y avoir 16 plaintes au bout de la ligne », ajoute Me Cantin.
Notons qu’une poursuite en diffamation peut être intentée, que les allégations soient vraies ou fausses. »
Article au complet : https://www.lesoleil.com/actualite/le-f ... 35912015c0
Je partage un article, Le bûcher #metoo, qui me rejoint beaucoup : https://www.lapresse.ca/actualites/2020 ... -metoo.php
Extraits :
« pour l’heure, le bûcher n’est pas celui que l’on pense. J’ai vu trop de victimes — des femmes pour la plupart — subir le supplice du silence et du feu. »
« Au gré des différentes vagues de dénonciations, la parole se libère et des choses bougent. La culture du silence et de l’impunité est ébranlée. Mais ce que les dernières années nous ont aussi appris, c’est qu’il est illusoire de penser que la réponse au mouvement #moiaussi ne peut être que judiciaire. Cette réponse, elle appartient à la société dans son ensemble (famille, école, milieu d’études et de travail…). »
Extraits :
« pour l’heure, le bûcher n’est pas celui que l’on pense. J’ai vu trop de victimes — des femmes pour la plupart — subir le supplice du silence et du feu. »
« Au gré des différentes vagues de dénonciations, la parole se libère et des choses bougent. La culture du silence et de l’impunité est ébranlée. Mais ce que les dernières années nous ont aussi appris, c’est qu’il est illusoire de penser que la réponse au mouvement #moiaussi ne peut être que judiciaire. Cette réponse, elle appartient à la société dans son ensemble (famille, école, milieu d’études et de travail…). »
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
Effectivement, ça fait du bien de revenir à la base, il y a dérapage actuellement dans l'autre sens, mais à la base... c'est ce qui ne fonctionne pas...
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
http://www.tvanouvelles.ca/2020/07/15/i ... c-nie-tout" onclick="window.open(this.href);return false;
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Merci DePassage, je n'avais pas eu le temps de le lire jusqu'à maintenant. Ça donne à réfléchir...DePassage a écrit : Je partage un article, Le bûcher #metoo, qui me rejoint beaucoup : https://www.lapresse.ca/actualites/2020 ... -metoo.php
Extraits :
« pour l’heure, le bûcher n’est pas celui que l’on pense. J’ai vu trop de victimes — des femmes pour la plupart — subir le supplice du silence et du feu. »
« Au gré des différentes vagues de dénonciations, la parole se libère et des choses bougent. La culture du silence et de l’impunité est ébranlée. Mais ce que les dernières années nous ont aussi appris, c’est qu’il est illusoire de penser que la réponse au mouvement #moiaussi ne peut être que judiciaire. Cette réponse, elle appartient à la société dans son ensemble (famille, école, milieu d’études et de travail…). »
Hmmm je ne serais pas surprise que ce soit vrai cette histoire. J'ai été témoin d'une histoire le concernant, c'était consensuel dans ce cas je précise, mais quand même ca donne une idée du personnage.Placeress a écrit : http://www.tvanouvelles.ca/2020/07/15/i ... c-nie-tout" onclick="window.open(this.href);return false;
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
A suivre ..... en étant gérant d’Eric Lapointe on s’entend qu’il n’a jamais caché ses années hop la vie, les gens l’ont élu en connaissance de cause ... il y a une différence entre ça et une agression.
Ce que j’ai hâte de voir est si cette stratégie passera .... plutôt que se confondre en excuses et promesses de thérapie ... à date les commentaires sous les articles sont de son plus de son bord et des femmes ayant travaillé pour lui à l’époque le défende ..... à suivre
Ce que j’ai hâte de voir est si cette stratégie passera .... plutôt que se confondre en excuses et promesses de thérapie ... à date les commentaires sous les articles sont de son plus de son bord et des femmes ayant travaillé pour lui à l’époque le défende ..... à suivre
Dernière modification par Placeress le mer. juil. 15, 2020 12:55 pm, modifié 4 fois.
Malike a écrit : [...]
Hmmm je ne serais pas surprise que ce soit vrai cette histoire. J'ai été témoin d'une histoire le concernant, c'était consensuel dans ce cas je précise, mais quand même ca donne une idée du personnage.
Je ne dis pas qu'il n'a rien fait là, je ne le connais pas..
Mais si l'histoire dont tu parles était entre 2 personnes consentantes, je vois mal en quoi ça nous donne une idée du personnage?..
Moi je pense que c'est une bonne stratégie qui permet de ne pas dévoiler ses cartes à l'avance. Si tu n'es pas coupable, tu n'auras pas avoué de quoi que tu n'as pas fait et si tu l'es, tu pourras toujours te rabattre sur le droit à une justice pleine et entière et que dans tous les cas, les avocats suggèrent de ne rien dire en dehors de leur présence...Placeress a écrit : A suivre ..... en étant gérant d’Eric Lapointe on s’entend qu’il n’a jamais caché ses années hop la vie ... il y a une différence entre ça et une agression.
Ce que j’ai hâte de voir est si cette stratégie passera .... plutôt que se confondre en excuses et promesses de thérapie ... à date les commentaires sous les articles sont de son plus de son bord... à suivre
Anyway si tu es coupable, tu ne pourras pas passer plus pour un chien sale si tu vas en cours..
Nikki a écrit : [...]
Moi je pense que c'est une bonne stratégie qui permet de ne pas dévoiler ses cartes à l'avance. Si tu n'es pas coupable, tu n'auras pas avoué de quoi que tu n'as pas fait et si tu l'es, tu pourras toujours te rabattre sur le droit à une justice pleine et entière et que dans tous les cas, les avocats suggèrent de ne rien dire en dehors de leur présence...
Anyway si tu es coupable, tu ne pourras pas passer plus pour un chien sale si tu vas en cours..
D’accord avec toi, surtout à la lumière des derniers jours ... un moment donné faut mettre un frein
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- Manitou de la Parlotte
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Nikki a écrit : [...]
Moi je pense que c'est une bonne stratégie qui permet de ne pas dévoiler ses cartes à l'avance. Si tu n'es pas coupable, tu n'auras pas avoué de quoi que tu n'as pas fait et si tu l'es, tu pourras toujours te rabattre sur le droit à une justice pleine et entière et que dans tous les cas, les avocats suggèrent de ne rien dire en dehors de leur présence...
Anyway si tu es coupable, tu ne pourras pas passer plus pour un chien sale si tu vas en cours..
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
Etk si ça fait pas plus de vague que ça pour lui y’en a qui doivent s’en mordre les doigts à l’heure où on se parle ...
Ce que je veux dire par là, c’est que ce dont j’ai été témoin m’a montré une facette de YFB dans un contexte on va dire très festif. Juste cela. C’est facile d’imaginer que ca n’était pas une première pour lui ce genre de soirée et son dénouement. Maintenant ses années en politique l’ont peut-être assagi c’est très possible, mais dans ses années Lapointe c’est assez facile de croire qu’il ait pu être fortement insistant lors de soirées très arrosées et autres quand on a été témoin de ce à quoi ressemblait un de ses débordements festif.Nikki a écrit : [...]
Je ne dis pas qu'il n'a rien fait là, je ne le connais pas..
Mais si l'histoire dont tu parles était entre 2 personnes consentantes, je vois mal en quoi ça nous donne une idée du personnage?..
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
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J'ai lu le témoignage ( anonyme ) de la victime en question ( hyènes en jupons ) bcp de détails sur la dite soirée où cela c'est produit ,elle a sorti ca hier parce que ce n'est seulement qu'hier qu'elle a réalisé que JFB chef du Bloc est celui qui l'aurait agressée .. .pourtant c'est pas d'hier qu'on le voit dans les médias et dans le monde politique
Mauricette a écrit : J'ai lu le témoignage ( anonyme ) de la victime en question ( hyènes en jupons ) bcp de détails sur la dite soirée où cela c'est produit ,elle a sorti ca hier parce que ce n'est seulement qu'hier qu'elle a réalisé que JFB chef du Bloc est celui qui l'aurait agressée .. .pourtant c'est pas d'hier qu'on le voit dans les médias et dans le monde politique
Pas sûre de comprendre ... s'il avait pas été chef du BQ elle aurait rien dit ? Ou elle savait pas son nom avant ?
Redouter l'ironie, c'est craindre la raison - Sacha Guitry
Éric Lapointe visé par des allégations d'agression sexuelle et séquestration : il nie tout
Il a partagé un message sur les réseaux sociaux.
Dans cette nouvelle vague de dénonciations, le nom d'Éric Lapointe a fait surface sur la page Facebook « Hyènes en jupons ».
La victime alléguée était une figurante dans un des vidéoclips du rockeur. Voyez des passages de son récit ci-dessous.
« [...] C’est enfin rendu une de mes scènes avec le chanteur (qui boit depuis le début du tournage). Il est déjà très saoul. On se place, on fait la scène plusieurs fois. Il doit me prendre dans ses bras. J’ai peur qu’il m’échappe. Une fois que le réalisateur dit ‘’Parfait! On l’a! On fait le set pour la prochaine scène guys’, je demande à Éric Lapointe de me poser à terre.
Il rit et s’en va (avec moi dans ses bras) dans une pièce avoisinante. Il me jette sur le lit, ferme la porte et me dit ‘’on a le temps de se toucher un ti peu’’. Je me lève et lui demande d’ouvrir la porte. Il rit et essaie de me toucher. La taille, les seins, les fesses. Je prends ses bras et lui dis : ''NON ARRÊTE''. J’essaie ensuite d’ouvrir la porte, ça ne marche pas. Je ne sais pas si c’est la panique ou qu’elle était barrée. Je lui demande d’ouvrir la porte. Il rit et essaie encore de me toucher. Il continue à dire qu’on a encore le temps de s’amuser ‘’un ti peu’’. Je lui dis encore non en repoussant ses mains, il revient toujours à la charge et n’arrête pas de me toucher. Je lui dis de rester professionnel et que sa blonde en plus est en bas! Il me répond ‘’Penses-tu qu’elle le sait pas que je fais ça, elle a marié Éric Lapointe!’’. Ça m’a dégoutée. Elle était juste à côté. Il continue et je lui dis que j’ai un chum (ce qui n’était pas vrai). Il me demande de l’appeler pour lui demander la permission. Il cherche mon cellulaire et le trouve. Je lui dis de lâcher ça. Et revient encore en continuant de me toucher avec des ‘’aweille, juste un ti peu’’. C’est là que j’ai vu que qu’importe ce que je disais, il allait continuer. J’ai entendu quelqu’un approcher. J’ai crié. ''OUVREZ LA PORTE. JE SUIS LÀ.''
Le réalisateur ouvre la porte et me voit. Ses yeux changent. Il voit la panique dans mes yeux. Je lui dis de ne plus jamais me laisser seule avec lui. Il me dit ‘’je m’en occupe’’ et va parler à Éric.
[...]
Depuis cette expérience, quand quelqu’un me dit que j’ai des beaux yeux, j’ai juste la voix d’Éric Lapointe qui dit que mes yeux le font bander. Ça me dégoute. »
L'équipe d'Éric Lapointe a rapidement répondu sur la page Facebook du chanteur : « Éric Lapointe nie catégoriquement avoir posé les gestes qui lui sont reprochés sur la page Facebook Hyènes en jupons. Il encourage cependant les personnes ayant subi des agressions à porter plainte à la police.
Veuillez noter qu’Éric ne fera aucun autre commentaire. »
Il a partagé un message sur les réseaux sociaux.
Dans cette nouvelle vague de dénonciations, le nom d'Éric Lapointe a fait surface sur la page Facebook « Hyènes en jupons ».
La victime alléguée était une figurante dans un des vidéoclips du rockeur. Voyez des passages de son récit ci-dessous.
« [...] C’est enfin rendu une de mes scènes avec le chanteur (qui boit depuis le début du tournage). Il est déjà très saoul. On se place, on fait la scène plusieurs fois. Il doit me prendre dans ses bras. J’ai peur qu’il m’échappe. Une fois que le réalisateur dit ‘’Parfait! On l’a! On fait le set pour la prochaine scène guys’, je demande à Éric Lapointe de me poser à terre.
Il rit et s’en va (avec moi dans ses bras) dans une pièce avoisinante. Il me jette sur le lit, ferme la porte et me dit ‘’on a le temps de se toucher un ti peu’’. Je me lève et lui demande d’ouvrir la porte. Il rit et essaie de me toucher. La taille, les seins, les fesses. Je prends ses bras et lui dis : ''NON ARRÊTE''. J’essaie ensuite d’ouvrir la porte, ça ne marche pas. Je ne sais pas si c’est la panique ou qu’elle était barrée. Je lui demande d’ouvrir la porte. Il rit et essaie encore de me toucher. Il continue à dire qu’on a encore le temps de s’amuser ‘’un ti peu’’. Je lui dis encore non en repoussant ses mains, il revient toujours à la charge et n’arrête pas de me toucher. Je lui dis de rester professionnel et que sa blonde en plus est en bas! Il me répond ‘’Penses-tu qu’elle le sait pas que je fais ça, elle a marié Éric Lapointe!’’. Ça m’a dégoutée. Elle était juste à côté. Il continue et je lui dis que j’ai un chum (ce qui n’était pas vrai). Il me demande de l’appeler pour lui demander la permission. Il cherche mon cellulaire et le trouve. Je lui dis de lâcher ça. Et revient encore en continuant de me toucher avec des ‘’aweille, juste un ti peu’’. C’est là que j’ai vu que qu’importe ce que je disais, il allait continuer. J’ai entendu quelqu’un approcher. J’ai crié. ''OUVREZ LA PORTE. JE SUIS LÀ.''
Le réalisateur ouvre la porte et me voit. Ses yeux changent. Il voit la panique dans mes yeux. Je lui dis de ne plus jamais me laisser seule avec lui. Il me dit ‘’je m’en occupe’’ et va parler à Éric.
[...]
Depuis cette expérience, quand quelqu’un me dit que j’ai des beaux yeux, j’ai juste la voix d’Éric Lapointe qui dit que mes yeux le font bander. Ça me dégoute. »
L'équipe d'Éric Lapointe a rapidement répondu sur la page Facebook du chanteur : « Éric Lapointe nie catégoriquement avoir posé les gestes qui lui sont reprochés sur la page Facebook Hyènes en jupons. Il encourage cependant les personnes ayant subi des agressions à porter plainte à la police.
Veuillez noter qu’Éric ne fera aucun autre commentaire. »
Description détaillée et très crédible à mon sens. La manière de citer Lapointe en monosyllabes, lui ressemble. Pertinent ou pas de témoigner sur les réseaux sociaux, je la crois. Je me permets d'extrapoler, il doit y en avoir des dizaines de femmes que Lapointe a abordé de cette manière. Celle-ci doit être une parmi tant d'autres.Anya a écrit : Éric Lapointe visé par des allégations d'agression sexuelle et séquestration : il nie tout
Il a partagé un message sur les réseaux sociaux.
Dans cette nouvelle vague de dénonciations, le nom d'Éric Lapointe a fait surface sur la page Facebook « Hyènes en jupons ».
La victime alléguée était une figurante dans un des vidéoclips du rockeur. Voyez des passages de son récit ci-dessous.
« [...] C’est enfin rendu une de mes scènes avec le chanteur (qui boit depuis le début du tournage). Il est déjà très saoul. On se place, on fait la scène plusieurs fois. Il doit me prendre dans ses bras. J’ai peur qu’il m’échappe. Une fois que le réalisateur dit ‘’Parfait! On l’a! On fait le set pour la prochaine scène guys’, je demande à Éric Lapointe de me poser à terre.
Il rit et s’en va (avec moi dans ses bras) dans une pièce avoisinante. Il me jette sur le lit, ferme la porte et me dit ‘’on a le temps de se toucher un ti peu’’. Je me lève et lui demande d’ouvrir la porte. Il rit et essaie de me toucher. La taille, les seins, les fesses. Je prends ses bras et lui dis : ''NON ARRÊTE''. J’essaie ensuite d’ouvrir la porte, ça ne marche pas. Je ne sais pas si c’est la panique ou qu’elle était barrée. Je lui demande d’ouvrir la porte. Il rit et essaie encore de me toucher. Il continue à dire qu’on a encore le temps de s’amuser ‘’un ti peu’’. Je lui dis encore non en repoussant ses mains, il revient toujours à la charge et n’arrête pas de me toucher. Je lui dis de rester professionnel et que sa blonde en plus est en bas! Il me répond ‘’Penses-tu qu’elle le sait pas que je fais ça, elle a marié Éric Lapointe!’’. Ça m’a dégoutée. Elle était juste à côté. Il continue et je lui dis que j’ai un chum (ce qui n’était pas vrai). Il me demande de l’appeler pour lui demander la permission. Il cherche mon cellulaire et le trouve. Je lui dis de lâcher ça. Et revient encore en continuant de me toucher avec des ‘’aweille, juste un ti peu’’. C’est là que j’ai vu que qu’importe ce que je disais, il allait continuer. J’ai entendu quelqu’un approcher. J’ai crié. ''OUVREZ LA PORTE. JE SUIS LÀ.''
Le réalisateur ouvre la porte et me voit. Ses yeux changent. Il voit la panique dans mes yeux. Je lui dis de ne plus jamais me laisser seule avec lui. Il me dit ‘’je m’en occupe’’ et va parler à Éric.
[...]
Depuis cette expérience, quand quelqu’un me dit que j’ai des beaux yeux, j’ai juste la voix d’Éric Lapointe qui dit que mes yeux le font bander. Ça me dégoute. »
L'équipe d'Éric Lapointe a rapidement répondu sur la page Facebook du chanteur : « Éric Lapointe nie catégoriquement avoir posé les gestes qui lui sont reprochés sur la page Facebook Hyènes en jupons. Il encourage cependant les personnes ayant subi des agressions à porter plainte à la police.
Veuillez noter qu’Éric ne fera aucun autre commentaire. »
Le texte complet...
https://www.facebook.com/hyenesenjupons ... __tn__=K-R" onclick="window.open(this.href);return false;
https://www.facebook.com/hyenesenjupons ... __tn__=K-R" onclick="window.open(this.href);return false;
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- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : jeu. sept. 11, 2014 10:02 pm
Elle le citait avec les initiales YB alors qu'on le connais tous sous les initiales YFB , mais ca change rien dans le sens que la face de son agresseur reste tjrs la même , elle dit que ses allégations n'ont rien de politique ,mais elle vient juste de découvrir que le chef du Bloc est son agresseur d'il y a 20ansliz a écrit : [...]
Pas sûre de comprendre ... s'il avait pas été chef du BQ elle aurait rien dit ? Ou elle savait pas son nom avant ?
Je dois dire que je ne comprends pas pourquoi elles se sont donné le nom de Hyènes en jupon.
En plus d'être quand même assez sexiste et réducteur, comme si le jupon en soi était le symbole féminin ultime, les hyènes n'ont pas particulièrement une bonne réputation dans le monde sauvage, vivant en général dans le sillage des lions pour ramasser leur corps morts..
TK, c'est assez douteux comme choix de nom mettons
En plus d'être quand même assez sexiste et réducteur, comme si le jupon en soi était le symbole féminin ultime, les hyènes n'ont pas particulièrement une bonne réputation dans le monde sauvage, vivant en général dans le sillage des lions pour ramasser leur corps morts..
TK, c'est assez douteux comme choix de nom mettons