liz a écrit : [...]
T'es pas chanceuse avec tes idoles ...
Allégations de harcèlement ou d'agression
oui caline lolliz a écrit : [...]
T'es pas chanceuse avec tes idoles ...
mais j`ai remarqué quelque chose
meme si ca change rien a ce qui se passe
ce gars la on le voyait qu`il etait pas bien malgré son personnage
suis je la seule qui voyait ca
Dernière modification par nancy31f le jeu. juil. 30, 2020 12:21 pm, modifié 1 fois.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
C’est au tour des jumelles Stratis (Carolanne et Josiane) d’être dénoncées pour cyberintimidation, abus de pouvoir, etc, entre autre par Maman Caféine et plusieurs collaboratrices du blog Ton Petit Look.
Le témoignage de Maman Caféine sur facebook :
J’ai hésité à écrire mon cauchemar vécu avec la cyberintimidation car cela me replongeait dans ce qui fut malheureusement les pires mois des dernières années pour moi. Comme la vague de dénonciations des comportements toxiques et cruels des soeurs Stratis est en pleine ascension, et que je sais que des dizaines de personnes craignent encore de parler par peur, je veux me positionner. Pas par vengeances, pas nécessairement pour moi, mais en soutien à celles qui ont eu ce courage de le faire dans un climat de menace, et pour montrer à ceux qui hésitent à le faire, que c’est possible, voir nécéssaire.
Je connais les jumelles Stratis, fondatrices des blogs Ton Petit Look et TPL MOM, depuis des années. En effet, elles viennent de la même ville que moi et j’ai même déjà travaillé avec Josiane dans le cadre de camps de jour, comme animatrice. Dans ces années, d’ailleurs, je souffrais gravement d’anorexie et je faisais beaucoup d’anxiété et de crises de panique. Je n’avais aucune estime de moi et j’étais vraiment vulnérable. Josiane et moi avions tout de même une belle entente, dans mes souvenirs, mais j’avais eu vent qu’elle se moquait de moi et de mon état à plusieurs autres animateurs. Ce qui me peinait beaucoup, mais j’étais en quelques sortes hypnotisée par son pouvoir, sa personnalité forte et son assurance.
Au fil des années, j’ai commencé à les suivre sur leur blog Ton Petit Look car je les trouvais si inspirantes et si avant-gardistes ! J’admirais leurs textes, leurs styles, les événements dans lesquels elles prenaient place. Bref, j’étais naïve comme beaucoup trop de gens l’ont été.
Un jour, elles ont parti TPL MOM car toutes deux étaient enceintes et elles cherchaient des collaboratrices pour pondre des textes sur leur plateformes. Aussitôt vu, aussitôt je me mettais à écrire un essai pour elles. Premièrement, j’avais tellement envie de participer à un blog comme le leur, moi-même étant une nouvelle maman à l’époque, mais aussi car je n’avais pas assez confiance en moi pour fonder mon propre site. Malheureusement, je n’avais pas été sélectionnée, mais sans rancune je me disais, je ne devais pas être assez talentueuse. J’ai donc continué de les suivre avec entrain et loyauté, les admirant pour leur franc-parlé et pour les causes qu’elles défendaient corps et âme. Josiane était même venue acheter un berceau que je vendais pour son bébé, chez moi, tout sourire et enthousiaste de me jaser. Jusqu’au jour où, d’un seul coup, je suis devenue une menace pour elles, à ce moment, l’enfer a commencé. Et ce jour, c’est quelques semaines à peine après avoir vu Josiane chez moi.
Ce jour, c’est celui où j’ai décidé d’ouvrir mon propre blog, Maman Caféine. Dès lors, au premier texte écrit, elles et leur «clic» se sont empressées de m’attaquer intensément. Sur les mots que j’utilisais, sur la façon «ridicule et non-professionelle» que j’avais en écrivant. En fait, avec du recul, c’était tout à fait convenable, voir super, ce que je faisais. Mais sur le coup, j’étais démolie. J’étais devenue une ennemie à leurs yeux, une inconnue, une plaie. Tout ce que je publiais était dénigré, était ridiculisé, était humilié. Elles me détestaient dorénavant , car j’avais du succès, et ça, personne d’autre qu’elles n’y avait droit.
Elles et leur groupe fermé Facebook ont alors commencé à me «bitcher» quotidiennement, en sortant les pires insultes à mon égard. J’étais devenue leur proie, la tête de turc. Cela passait par dénigrer mes projets et mon blog, jusqu’à insulter mon physique, celui des membres de ma famille, les prénoms de mes ENFANTS, et même, d’attaquer mon quotient intellectuel et ma santé mentale. Elles me traitaient avec dédain de «petite anorexique folle» auprès de d’autres femmes de la communauté de blog qui osaient s’éprendre d’amitié pour moi. Elles s’empressaient de préparer les membres de leur garde rapprochée, pour m’attaquer en gang et publiquement sur le web, en campagne de salissage, si un débat partait sous mes publications de blog. Elles parlaient aux autres membres de l’industrie dans mon dos, en utilisant les pires termes qui soient, en détruisant avec leurs paroles cruelles, les petites victoires que j’avais. Pourquoi je sais toutes ces informations ? Car tous les gens qui se sont sentis dépassées par ces situations sont venus me le dire et m’ont envoyé des captures d’écran. À chaque fois je recevais cela comme une tonne de briques au visage, me laissant brûlée par en dedans.
Je gardais quand même la tête haute en me disant que j’allais demeurer forte, que je devais montrer le bon exemple, que le milieu du blog pouvait tout de même être positif pour plusieurs personnes. Mais si vous saviez, au début, j’évitais les événements où l’on m’invitait car je savais qu’elles allaient aussi y être. Je paniquais et j’hyperventilais à l’idée de les croiser et j’en dormais mal la nuit. Si vous saviez à quel point Josiane et Carolane étaient puissantes dans leur toxicité, c’était au point où même moi, adulte majeure et vaccinée, avec une personnalité forte, j’étais terrorisée à l’idée de les voir. Il m’a été confirmé qu’au plan professionnel, elles dénigraient ma personne auprès d’entreprises afin de les manipuler sournoisement pour que je perde des contrats. On m’a également dit que lors de quelques évenements, elles m’insultaient et me rabaissaient avant mon arrivée sur place, auprès de tout ceux et celles présents, afin que je vive un malaise lorsque j’entrerais. Je n’en pouvais plus, je songeais sans cesse à tout abandonner, mais le bien que je faisais aux femmes qui suivaient ma page était plus fort pour moi que leur acharnement à mon égard.
Un jour, une boite m’a invité à un voyage de presse dans l’un des états américain les plus glamour pour y rencontrer des vedettes de cinéma, dans le cadre d’un lancement de film que je couvrais. L’invitation était officielle, la confirmation du départ était à 90%, lorsque j’ai su que l’autre blogueuse invitée était Josiane Stratis. J’avais alors expliqué que c’était correct pour moi, je me devais de rester professionnelle quand même, malgré le fait que j’éprouvais le plus grand des malaise et une peur irrationnelle de la côtoyer pour ce séjour. Mais à ce que l’on m’a confirmé, elle, ne voulait en aucun cas de ma présence là-bas. Elle a donc fait en sorte que je n’y soit pas envoyée. On m’a annoncé que ça ne fonctionnerait pas, elle avait gagné. Mais encore là, je ne suis pas restée haineuse, je me disais que d’autres belles opportunités se présenteraient à moi et que je devais demeurer focus sur mes projets.
Je crois que j’ai atteint un point culminant lorsqu’un soir, elles avaient encore partie une campagne de salissage gratuitement à mon égard sur leur plateforme, incitant leur «clic» à y ajouter leur grain de sel, et où tout avait grandement dégénéré. Je m’en souviens comme si c’était hier car je me dirigeais vers le souper de fête de Jf, le papa de mes enfants. C’était un vendredi soir, je n’étais pas dans le tort car en fait, il n’y avait pas de situations à débattre, mais selon elles, je devais avoir fait un outrage au milieu du blog et je méritais fortement de me faire démolir sur la voie publique. C’était devenu si incontrôlable, que Jf m’avait dis :« Check, il faut que ça cesse, ça n’a pas de sens, mets toi en live et offre des excuses aux gens que tu as pu offusquer, demande une trêve de guerre, dis que tu veux la paix. » Moi, sincère et tellement juste bien intentionnée dans tout cela, j’avais fait un live, dans la voiture, en direction de notre souper à Montréal. Comme si ce n’était pas assez, elles étaient venues commenter mon live en groupe en riant de moi et en me diabolisant. Me traitant de menteuse à pathétique, me disant des dérivés de «t’es pas vite vite» à toutes les saveurs, jusqu’à envoyer des sous-entendus exprimant qu’elles feraient tout pour faire fermer ma page. Bref. Je suis arrivée à mon souper, le mascara coulé, les yeux bouffis, l’estomac à l’envers, le coeur qui palpitait. Leurs attaques ont complètement gâchés notre souper de groupe et nous sommes partis avant même le dessert, toujours anxieux des prochaines insultes qu’elles lanceraient. À ce moment, j’étais enceinte de 11 semaines et je ne l’avais pas encore annoncé. Après 5 attaques de panique ce soir-là, du jamais vu pour moi, la pression dans le tapis, j’avais eu des saignements me menant à l’hôpital. On m’avait alors fortement suggéré de m’éloigner de toute forme de stress et de me calmer. J’avais eu de nouveaux médocs pour l’anxiété. Elles avaient eu le dessus sur ma santé physique ce soir-là. C’était la goutte de trop.
J’ai subi une hantise de les croiser ou de les lire sur mes plateformes pendant des années. Ne sachant jamais quelles méchancetés j’allais y découvrir. Elles prônaient la diversité corporelles, l’importance de sensibiliser la communauté à la santé mentale, l’importance de cesser le «mom shaming» , l’importance de demeurer authentique. Alors que de l’autre côté, elles parlaient de mon physique et de mon corps avec les plus cruelles insultes, elles me traitaient de «folle», de «petite anorexique», de «dégueue», de «débile», elles humiliaient aussi mes choix comme mère, me traitaient d’hypocrite, donc au final, aucunes de leurs causes défendues n’étaient respectées ni soutenues sincèrement.
J’ai eu le syndrome de l’imposteur pendant des années, aujourd’hui encore, par leur faute. J’ai pleuré tant de soirs et de nuits en apprenant les gratuités dites à mon sujet. J’ai perdue la plus grande partie de mon estime en mon travail par leur cruauté. J’ai eu envie de tout abandonner mes projets tellement mais TELLEMENT de fois à cause d’elles. Et l’année dernière, au gala d’info-presse, j’ai gagné le prix d’influencer de l’année la plus appréciée des 17-35 ans au Québec. Et vous savez quoi ? Je ne l’assimile toujours pas à ce jour, tant je pars de loin.
Bref, voici mon histoire, une pointe du iceberg de tout ce que les soeurs Stratis ont pu me faire subir. Lorsque j’ai su qu’une cinquantaine de témoignages étaient sortis de l’ombre pour les dénoncer, pour stopper leur toxicité, j’ai eu envie de boucler la boucle enfin. C’est terminé. Je suis cassée un peu, mais ENFIN, c’est terminé.
P.s : Je vous invite à stopper cette game toxique et malsaine, peu importe les influences ou personnalités qui vous intimident.. Je vous invite à dénoncer, à ne plus avoir peur, à croire en vos projets, en vos blogs. Présentement, je sais également qu’il y a une espèce d’ambiance semblable à ce que j’ai vécue, sur Instagram. Certaines victimes se sont confiées à moi. Si tu ressens de la peur viscérale face à une créatrice/ créateur de contenu, Youtubeuse / Youtubeur, ce n’est PAS NORMAL. Le milieu du web et des médias sociaux N’APPARTIENT À PERSONNE et tout le monde à sa place. La jalousie, la mesquinerie, les insultes faites à des entreprises pour enlever des contrats à d’autres personnes, sont des manques flagrants de professionnalisme et devraient être DÉNONCÉS. Sur le web, dans le milieu du blog et des médias, solidarité, échange, entraide et paix devraient être les mots d’ordre. Point. Pas oeil pour oeil, dent pour dent. Juste, de la paix. THATS IT.
p.s 2 : Tpl mom n'est plus gèré par ces femmes, de bonnes personnes bien intentionnées s'en occupent. Oboxmedia
Tu peux aller voir la page : @allies.autodeclares sur instagram pour voir d'autres témoignages, et, j'en suis ravies, quelques explications de la part des filles....
Le témoignage de Maman Caféine sur facebook :
J’ai hésité à écrire mon cauchemar vécu avec la cyberintimidation car cela me replongeait dans ce qui fut malheureusement les pires mois des dernières années pour moi. Comme la vague de dénonciations des comportements toxiques et cruels des soeurs Stratis est en pleine ascension, et que je sais que des dizaines de personnes craignent encore de parler par peur, je veux me positionner. Pas par vengeances, pas nécessairement pour moi, mais en soutien à celles qui ont eu ce courage de le faire dans un climat de menace, et pour montrer à ceux qui hésitent à le faire, que c’est possible, voir nécéssaire.
Je connais les jumelles Stratis, fondatrices des blogs Ton Petit Look et TPL MOM, depuis des années. En effet, elles viennent de la même ville que moi et j’ai même déjà travaillé avec Josiane dans le cadre de camps de jour, comme animatrice. Dans ces années, d’ailleurs, je souffrais gravement d’anorexie et je faisais beaucoup d’anxiété et de crises de panique. Je n’avais aucune estime de moi et j’étais vraiment vulnérable. Josiane et moi avions tout de même une belle entente, dans mes souvenirs, mais j’avais eu vent qu’elle se moquait de moi et de mon état à plusieurs autres animateurs. Ce qui me peinait beaucoup, mais j’étais en quelques sortes hypnotisée par son pouvoir, sa personnalité forte et son assurance.
Au fil des années, j’ai commencé à les suivre sur leur blog Ton Petit Look car je les trouvais si inspirantes et si avant-gardistes ! J’admirais leurs textes, leurs styles, les événements dans lesquels elles prenaient place. Bref, j’étais naïve comme beaucoup trop de gens l’ont été.
Un jour, elles ont parti TPL MOM car toutes deux étaient enceintes et elles cherchaient des collaboratrices pour pondre des textes sur leur plateformes. Aussitôt vu, aussitôt je me mettais à écrire un essai pour elles. Premièrement, j’avais tellement envie de participer à un blog comme le leur, moi-même étant une nouvelle maman à l’époque, mais aussi car je n’avais pas assez confiance en moi pour fonder mon propre site. Malheureusement, je n’avais pas été sélectionnée, mais sans rancune je me disais, je ne devais pas être assez talentueuse. J’ai donc continué de les suivre avec entrain et loyauté, les admirant pour leur franc-parlé et pour les causes qu’elles défendaient corps et âme. Josiane était même venue acheter un berceau que je vendais pour son bébé, chez moi, tout sourire et enthousiaste de me jaser. Jusqu’au jour où, d’un seul coup, je suis devenue une menace pour elles, à ce moment, l’enfer a commencé. Et ce jour, c’est quelques semaines à peine après avoir vu Josiane chez moi.
Ce jour, c’est celui où j’ai décidé d’ouvrir mon propre blog, Maman Caféine. Dès lors, au premier texte écrit, elles et leur «clic» se sont empressées de m’attaquer intensément. Sur les mots que j’utilisais, sur la façon «ridicule et non-professionelle» que j’avais en écrivant. En fait, avec du recul, c’était tout à fait convenable, voir super, ce que je faisais. Mais sur le coup, j’étais démolie. J’étais devenue une ennemie à leurs yeux, une inconnue, une plaie. Tout ce que je publiais était dénigré, était ridiculisé, était humilié. Elles me détestaient dorénavant , car j’avais du succès, et ça, personne d’autre qu’elles n’y avait droit.
Elles et leur groupe fermé Facebook ont alors commencé à me «bitcher» quotidiennement, en sortant les pires insultes à mon égard. J’étais devenue leur proie, la tête de turc. Cela passait par dénigrer mes projets et mon blog, jusqu’à insulter mon physique, celui des membres de ma famille, les prénoms de mes ENFANTS, et même, d’attaquer mon quotient intellectuel et ma santé mentale. Elles me traitaient avec dédain de «petite anorexique folle» auprès de d’autres femmes de la communauté de blog qui osaient s’éprendre d’amitié pour moi. Elles s’empressaient de préparer les membres de leur garde rapprochée, pour m’attaquer en gang et publiquement sur le web, en campagne de salissage, si un débat partait sous mes publications de blog. Elles parlaient aux autres membres de l’industrie dans mon dos, en utilisant les pires termes qui soient, en détruisant avec leurs paroles cruelles, les petites victoires que j’avais. Pourquoi je sais toutes ces informations ? Car tous les gens qui se sont sentis dépassées par ces situations sont venus me le dire et m’ont envoyé des captures d’écran. À chaque fois je recevais cela comme une tonne de briques au visage, me laissant brûlée par en dedans.
Je gardais quand même la tête haute en me disant que j’allais demeurer forte, que je devais montrer le bon exemple, que le milieu du blog pouvait tout de même être positif pour plusieurs personnes. Mais si vous saviez, au début, j’évitais les événements où l’on m’invitait car je savais qu’elles allaient aussi y être. Je paniquais et j’hyperventilais à l’idée de les croiser et j’en dormais mal la nuit. Si vous saviez à quel point Josiane et Carolane étaient puissantes dans leur toxicité, c’était au point où même moi, adulte majeure et vaccinée, avec une personnalité forte, j’étais terrorisée à l’idée de les voir. Il m’a été confirmé qu’au plan professionnel, elles dénigraient ma personne auprès d’entreprises afin de les manipuler sournoisement pour que je perde des contrats. On m’a également dit que lors de quelques évenements, elles m’insultaient et me rabaissaient avant mon arrivée sur place, auprès de tout ceux et celles présents, afin que je vive un malaise lorsque j’entrerais. Je n’en pouvais plus, je songeais sans cesse à tout abandonner, mais le bien que je faisais aux femmes qui suivaient ma page était plus fort pour moi que leur acharnement à mon égard.
Un jour, une boite m’a invité à un voyage de presse dans l’un des états américain les plus glamour pour y rencontrer des vedettes de cinéma, dans le cadre d’un lancement de film que je couvrais. L’invitation était officielle, la confirmation du départ était à 90%, lorsque j’ai su que l’autre blogueuse invitée était Josiane Stratis. J’avais alors expliqué que c’était correct pour moi, je me devais de rester professionnelle quand même, malgré le fait que j’éprouvais le plus grand des malaise et une peur irrationnelle de la côtoyer pour ce séjour. Mais à ce que l’on m’a confirmé, elle, ne voulait en aucun cas de ma présence là-bas. Elle a donc fait en sorte que je n’y soit pas envoyée. On m’a annoncé que ça ne fonctionnerait pas, elle avait gagné. Mais encore là, je ne suis pas restée haineuse, je me disais que d’autres belles opportunités se présenteraient à moi et que je devais demeurer focus sur mes projets.
Je crois que j’ai atteint un point culminant lorsqu’un soir, elles avaient encore partie une campagne de salissage gratuitement à mon égard sur leur plateforme, incitant leur «clic» à y ajouter leur grain de sel, et où tout avait grandement dégénéré. Je m’en souviens comme si c’était hier car je me dirigeais vers le souper de fête de Jf, le papa de mes enfants. C’était un vendredi soir, je n’étais pas dans le tort car en fait, il n’y avait pas de situations à débattre, mais selon elles, je devais avoir fait un outrage au milieu du blog et je méritais fortement de me faire démolir sur la voie publique. C’était devenu si incontrôlable, que Jf m’avait dis :« Check, il faut que ça cesse, ça n’a pas de sens, mets toi en live et offre des excuses aux gens que tu as pu offusquer, demande une trêve de guerre, dis que tu veux la paix. » Moi, sincère et tellement juste bien intentionnée dans tout cela, j’avais fait un live, dans la voiture, en direction de notre souper à Montréal. Comme si ce n’était pas assez, elles étaient venues commenter mon live en groupe en riant de moi et en me diabolisant. Me traitant de menteuse à pathétique, me disant des dérivés de «t’es pas vite vite» à toutes les saveurs, jusqu’à envoyer des sous-entendus exprimant qu’elles feraient tout pour faire fermer ma page. Bref. Je suis arrivée à mon souper, le mascara coulé, les yeux bouffis, l’estomac à l’envers, le coeur qui palpitait. Leurs attaques ont complètement gâchés notre souper de groupe et nous sommes partis avant même le dessert, toujours anxieux des prochaines insultes qu’elles lanceraient. À ce moment, j’étais enceinte de 11 semaines et je ne l’avais pas encore annoncé. Après 5 attaques de panique ce soir-là, du jamais vu pour moi, la pression dans le tapis, j’avais eu des saignements me menant à l’hôpital. On m’avait alors fortement suggéré de m’éloigner de toute forme de stress et de me calmer. J’avais eu de nouveaux médocs pour l’anxiété. Elles avaient eu le dessus sur ma santé physique ce soir-là. C’était la goutte de trop.
J’ai subi une hantise de les croiser ou de les lire sur mes plateformes pendant des années. Ne sachant jamais quelles méchancetés j’allais y découvrir. Elles prônaient la diversité corporelles, l’importance de sensibiliser la communauté à la santé mentale, l’importance de cesser le «mom shaming» , l’importance de demeurer authentique. Alors que de l’autre côté, elles parlaient de mon physique et de mon corps avec les plus cruelles insultes, elles me traitaient de «folle», de «petite anorexique», de «dégueue», de «débile», elles humiliaient aussi mes choix comme mère, me traitaient d’hypocrite, donc au final, aucunes de leurs causes défendues n’étaient respectées ni soutenues sincèrement.
J’ai eu le syndrome de l’imposteur pendant des années, aujourd’hui encore, par leur faute. J’ai pleuré tant de soirs et de nuits en apprenant les gratuités dites à mon sujet. J’ai perdue la plus grande partie de mon estime en mon travail par leur cruauté. J’ai eu envie de tout abandonner mes projets tellement mais TELLEMENT de fois à cause d’elles. Et l’année dernière, au gala d’info-presse, j’ai gagné le prix d’influencer de l’année la plus appréciée des 17-35 ans au Québec. Et vous savez quoi ? Je ne l’assimile toujours pas à ce jour, tant je pars de loin.
Bref, voici mon histoire, une pointe du iceberg de tout ce que les soeurs Stratis ont pu me faire subir. Lorsque j’ai su qu’une cinquantaine de témoignages étaient sortis de l’ombre pour les dénoncer, pour stopper leur toxicité, j’ai eu envie de boucler la boucle enfin. C’est terminé. Je suis cassée un peu, mais ENFIN, c’est terminé.
P.s : Je vous invite à stopper cette game toxique et malsaine, peu importe les influences ou personnalités qui vous intimident.. Je vous invite à dénoncer, à ne plus avoir peur, à croire en vos projets, en vos blogs. Présentement, je sais également qu’il y a une espèce d’ambiance semblable à ce que j’ai vécue, sur Instagram. Certaines victimes se sont confiées à moi. Si tu ressens de la peur viscérale face à une créatrice/ créateur de contenu, Youtubeuse / Youtubeur, ce n’est PAS NORMAL. Le milieu du web et des médias sociaux N’APPARTIENT À PERSONNE et tout le monde à sa place. La jalousie, la mesquinerie, les insultes faites à des entreprises pour enlever des contrats à d’autres personnes, sont des manques flagrants de professionnalisme et devraient être DÉNONCÉS. Sur le web, dans le milieu du blog et des médias, solidarité, échange, entraide et paix devraient être les mots d’ordre. Point. Pas oeil pour oeil, dent pour dent. Juste, de la paix. THATS IT.
p.s 2 : Tpl mom n'est plus gèré par ces femmes, de bonnes personnes bien intentionnées s'en occupent. Oboxmedia
Tu peux aller voir la page : @allies.autodeclares sur instagram pour voir d'autres témoignages, et, j'en suis ravies, quelques explications de la part des filles....
J'ai aucune idée qui elles sont mais j'ai été voir leur FB et elles s'excusent presque à genoux mais avec un ton salement faux et condescendant.
Ces excuses précipitées me font penser à une personne violente qui se retrouve au pied du mur dans son couple. Tout de suite les excuses et les belles paroles. "J'vais changer, promis!"
Ben oui, on y croit aux promesses inventées en une couple de minutes.
Ces excuses précipitées me font penser à une personne violente qui se retrouve au pied du mur dans son couple. Tout de suite les excuses et les belles paroles. "J'vais changer, promis!"
Ben oui, on y croit aux promesses inventées en une couple de minutes.
Dernière modification par Mortine le dim. août 02, 2020 10:32 pm, modifié 2 fois.
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
(mais on va se le dire ils ont des noms de marde ses enfants).
Skarhet a écrit : (mais on va se le dire ils ont des noms de marde ses enfants).
Dernière modification par Pichou le mar. août 04, 2020 5:50 am, modifié 1 fois.
Retraitée de l'enseignement primaire et universitaire depuis juin 2011.
- gingerstar
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Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
C'est quoi le nom de ses enfants?
Océannes 20-5-2006, Sofianne 26-5-2008
Maélie 12-8-2010, Coralie 21-07-2013
Maélie 12-8-2010, Coralie 21-07-2013
Anya a écrit : [...]
Léo, Robinson et Balzac.
Sauf pour Léo ouffff... pauv p'tites bêtes! Ils n'ont pas fini de répéter leur prénom, en personne, au téléphone. 90% des fois, on voudra être certain d'avoir bien compris. Quant à Balzac, qui est d'ailleurs un nom de famille et non un prénom, eh bien, le jeune aura à justifier, expliquer son prénom toute sa vie durant. Un prénom, c'est pour la vie et même après. Tout en recherchant l'originalité, il faut penser à l'enfant, à l'adulte en devenir et faire en sorte que son prénom ne soit pas objet de risée, de moquerie ou même de rejet. Un prénom, c'est ta signature en société, c'est ta devanture.
J'aime beaucoup aussi, surtout Robinson et Balzac, ce sont des prénoms originaux et francophones contrairement à cette mode de prénom anglophone avec un nom de famille de Québécois de souche.Sunny a écrit : [...]
Ben moi j'adore le nom de ses enfants
Retraitée de l'enseignement primaire et universitaire depuis juin 2011.
Tu as bien raison, les modes viennent et passent de toute manière, les vieux prénoms qu’on voit ressurgir ont jadis été de nouveaux prénoms eux-aussi pour une autre génération alors c’est juste une roue qui tourne. Moi j’ai choisi un prénom avec une consonnance anglophone pour ma fille et je trouve cela très joli avec son nom de famille francophone de souche bin pour dire les goûts. Ce prénom je l’ai choisi parce qu’il évoquait quelque chose de personnel et ma fille elle-même l’aime, ce qui est quand même bien puisque c’est elle qui va le porter toute sa vie. Alors peu importe qu’on aime ou pas le choix des parents, puisqu’il est toujours choisi avec amour ca ne devrait pas être un débat selon moi.Nikki a écrit : De toute façon, qu'on aime ou pas, ça ne devrait pas être une raison pour qu'ils fassent rire d'eux par ces personnes (dont je n'ai pas la moindre idées qui elles sont, pas plus que maman Caféine d'ailleurs)
Dernière modification par Malike le mar. août 04, 2020 1:53 pm, modifié 1 fois.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
C'est tellement personnel les prénoms qu'on donne à nos enfants. Alors moi, tant que ça a du sens comme prénom, et que c'est orthographié correctement, je vois mal comment on peut s'en moquer, comme si c'était pas une personne qui reçoit ces moqueries en plein coeur.Malike a écrit : [...]
Tu as bien raison, les modes viennent et passent de toute manière, les vieux prénoms qu’on voit ressurgir ont jadis été de nouveaux prénoms eux-aussi pour une autre génération alors c’est juste une roue qui tourne. Moi j’ai choisi un prénom avec une consonnance anglophobe pour ma fille et je trouve cela très joli avec son nom de famille francophone de souche bin pour dire les goûts. Ce prénom je l’ai choisi parce qu’il évoquait quelque chose de personnel et ma fille elle-même l’aime, ce qui est quand même bien puisque c’est elle qui va le porter toute sa vie. Alors peu importe qu’on aime ou pas le choix des parents, puisqu’il est toujours choisi avec amour ca ne devrait pas être un débat selon moi.
Remarquez, le fait que ce soit bizarrement écrit ne devrait pas non plus susciter la moquerie, surtout venant de gens qui possèdent une tribune...
Malike a écrit : [...]
Tu as bien raison, les modes viennent et passent de toute manière, les vieux prénoms qu’on voit ressurgir ont jadis été de nouveaux prénoms eux-aussi pour une autre génération alors c’est juste une roue qui tourne. Moi j’ai choisi un prénom avec une consonnance anglophobe pour ma fille et je trouve cela très joli avec son nom de famille francophone de souche bin pour dire les goûts. Ce prénom je l’ai choisi parce qu’il évoquait quelque chose de personnel et ma fille elle-même l’aime, ce qui est quand même bien puisque c’est elle qui va le porter toute sa vie. Alors peu importe qu’on aime ou pas le choix des parents, puisqu’il est toujours choisi avec amour ca ne devrait pas être un débat selon moi.
Je sais bien que c'est une coquille, mais je la trouve comique compte tenu de nos opinions divergentes sur l'association des prénoms et noms de famille québécois . Mais je suis totalement en accord avec le fait que le choix d'un prénom est personnel et doit correspondre aux valeurs et vécu de chaque parent. Jamais je ne pourrais dénigrer ou ridiculiser qui que ce soit en raison de son prénom.Malike a écrit : [...]
Tu as bien raison, les modes viennent et passent de toute manière, les vieux prénoms qu’on voit ressurgir ont jadis été de nouveaux prénoms eux-aussi pour une autre génération alors c’est juste une roue qui tourne. Moi j’ai choisi un prénom avec une consonnance anglophobe pour ma fille et je trouve cela très joli avec son nom de famille francophone de souche bin pour dire les goûts. Ce prénom je l’ai choisi parce qu’il évoquait quelque chose de personnel et ma fille elle-même l’aime, ce qui est quand même bien puisque c’est elle qui va le porter toute sa vie. Alors peu importe qu’on aime ou pas le choix des parents, puisqu’il est toujours choisi avec amour ca ne devrait pas être un débat selon moi.
Retraitée de l'enseignement primaire et universitaire depuis juin 2011.
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
J'ai toujours pensée (et lue) les soeurs srabisme!!
Ca devait pas être évident de travailler avec eux.
Ca devait pas être évident de travailler avec eux.
Je l'ai corrigée merci. En effet c'est une drôle de coquille. Perso je commente rarement les choix de prénoms .... à moins que ce soit vraiment hors du commun comme choix. J’ai mes goûts bien sûr et je préfère les garder pour moi pour éviter de blesser celles qui nomment leurs enfants ainsi. Les modes il y en a de toutes sortes, il y a celle des vieux prénoms d'autrefois qui se fait plus présente ces dernières années, celle des prénoms à consonnance anglophone ou celle de prénoms plus originaux, ethniques ou autres, alors je me garde une petite gêne à me prononcer de ce qui est beau ou pas puisqu’il y a pas mal de tout ici parmi les mamans et les goûts des autres valent bien les miens.Pichou a écrit : [...]
Je sais bien que c'est une coquille, mais je la trouve comique compte tenu de nos opinions divergentes sur l'association des prénoms et noms de famille québécois . Mais je suis totalement en accord avec le fait que le choix d'un prénom est personnel et doit correspondre aux valeurs et vécu de chaque parent. Jamais je ne pourrais dénigrer ou ridiculiser qui que ce soit en raison de son prénom.
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- gingerstar
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Je ne crois pas que ce soit tellement problématique si je me fie aux autres prénoms. Ma fille est orthopédagogue au primaire et lorsqu'elle rédige ses bilans à la fin de l'année scolaire, elle me demande toujours de vérifier s'il n'y aurait pas des coquilles ou fautes d'orthographe oubliées et si tu voyais les prénoms étranges de ses petits élèves, c'est vraiment incroyable... Balzac et Robinson sont vraiment très simples à côté...Jannic a écrit : [...]
Sauf pour Léo ouffff... pauv p'tites bêtes! Ils n'ont pas fini de répéter leur prénom, en personne, au téléphone. 90% des fois, on voudra être certain d'avoir bien compris. Quant à Balzac, qui est d'ailleurs un nom de famille et non un prénom, eh bien, le jeune aura à justifier, expliquer son prénom toute sa vie durant. Un prénom, c'est pour la vie et même après. Tout en recherchant l'originalité, il faut penser à l'enfant, à l'adulte en devenir et faire en sorte que son prénom ne soit pas objet de risée, de moquerie ou même de rejet. Un prénom, c'est ta signature en société, c'est ta devanture.