Coronavirus
Ni Arruda ni QAnon
Libre opinion - Le Devoir
Maxime Prévost - Département de français, Université d’Ottawa
Est-il encore possible de remettre en question certaines décisions de la Santé publique sans se voir automatiquement reléguer au rang des complotistes, des trumpistes, voire des chantres de l’extrême droite ? Est-il possible de se questionner sur la manière dont la société se réorganise depuis la mi-mars 2020 sans qu’on nous accuse de participer à la foire des illuminés ? Il semblerait que non, le champ discursif actuel verrouillant efficacement toute velléité de contestation, alors que nous en sommes à attendre une deuxième vague comme d’autres attendent Godot. Et si cette deuxième vague menaçait davantage les espaces économique, social, artistique, scolaire, affectif et existentiel que le milieu médical ?
On se demandera sûrement quelle est l’expertise d’un professeur de littérature française en ce qui a trait à la santé publique. Je répondrai simplement que les littéraires, comme tous les universitaires au demeurant, sont fondamentalement formés à exprimer une pensée critique, qui s’exerce sur des réalités en mouvement incessant et débordant le cadre strict de la discipline. […]
Sommes-nous collectivement prêts à substituer le contrat médical au contrat social, comme l’expose Bernard-Henri Lévy dans son dernier livre (Ce virus qui rend fou, Grasset) ? Voulons-nous réellement donner préséance aux médecins sur les politiques, les philosophes, les artistes, les économistes, les psychologues, les sociologues, c’est-à-dire sur tous les penseurs du vivre-ensemble ? Échapper aux virus, est-ce un projet de société valable ? La prolongation indéfinie de l’état d’urgence sanitaire entraîne des conséquences suffisamment nombreuses pour que la parole publique ne se limite plus à celle des seuls épidémiologistes. Plusieurs questions méritent d’être posées — et éventuellement débattues — qui ne le sont pas en ce moment.
Quelques questions
Question aux démographes : pourrait-on analyser de manière claire les chiffres de la surmortalité pour les six premiers mois de 2020, relativement à ceux des cinq années précédentes ?
Questions aux historiens : comment décrire la dangerosité du coronavirus comparativement à celle de la peste, du choléra, de l’influenza, de la grippe asiatique, de la grippe de Hong Kong ? A-t-on jamais connu un tel bouleversement de tous les paramètres de l’existence pour un péril si peu létal ?
Question aux psychologues : quels peuvent être, à moyen et à long terme, l’effet des diverses mesures d’urgence et de distanciation physique (qui devient forcément sociale) sur toute la jeunesse en phase de formation intellectuelle et affective ?
Question aux pédiatres : est-il sain qu’un enfant porte un masque six heures d’affilée cinq jours par semaine ? (Rappelons qu’en Ontario, les enfants de plus de 10 ans seront contraints de garder leur couvre-visage en classe ; le Québec suivra sans doute ce modus operandi, par « principe de précaution », dès que quelques cas asymptomatiques auront été détectés en milieu scolaire.)
Question aux commerçants et aux restaurateurs : jusqu’à quand pourrez-vous éviter la faillite avec les mesures de distanciation actuelles, une fois passés le beau temps, l’achalandage estival et la saison des terrasses ?
Questions à l’industrie culturelle : n’est-il pas urgent, pour tous les artistes, qu’on assure la viabilité en même temps que la nécessité de leurs activités ? L’acceptation absolue des mesures d’urgence ne relègue-t-elle pas les arts au rang de produit de consommation superflu ?
Questions à la population étudiante (cégep et université) : appréciez-vous le virage vers l’enseignement à distance et souhaitez-vous le voir pérennisé ? N’y a-t-il pas lieu d’exprimer le besoin d’une expérience d’apprentissage qui va au-delà de la transmission d’un contenu disciplinaire et qui assure la possibilité d’échanges, de rencontres marquantes, d’une expérience de vie transformatrice ?
Question aux journalistes d’enquête : où êtes-vous ?
Il semble urgent d’ouvrir un véritable dialogue, d’accepter les « débats » sur ces questions avant qu’on ne nous impose cet automne, avec toute la force de la pseudo-évidence, le port du couvre-visage à l’extérieur. Certains consensus sont sans doute moins consensuels qu’on le prétend, lorsqu’on creuse un peu.
Ceux qu’on a rangés sous l’étiquette englobante de « complotistes » se targuent actuellement, non sans raison, de former l’opposition officielle à l’ère du coronavirus : pourquoi leur céder tout ce terrain ? Il y a moyen de mettre en question les décisions de la Santé publique sans pour autant crier à la domination occulte des réseaux pédosatanistes ni voir en Donald Trump et Vladimir Poutine les sauveurs de la planète.
Ni l’OMS ni Donald Trump.
Ni Horacio Arruda ni QAnon.
https://www.ledevoir.com/opinion/libre- ... a-ni-qanon
Libre opinion - Le Devoir
Maxime Prévost - Département de français, Université d’Ottawa
Est-il encore possible de remettre en question certaines décisions de la Santé publique sans se voir automatiquement reléguer au rang des complotistes, des trumpistes, voire des chantres de l’extrême droite ? Est-il possible de se questionner sur la manière dont la société se réorganise depuis la mi-mars 2020 sans qu’on nous accuse de participer à la foire des illuminés ? Il semblerait que non, le champ discursif actuel verrouillant efficacement toute velléité de contestation, alors que nous en sommes à attendre une deuxième vague comme d’autres attendent Godot. Et si cette deuxième vague menaçait davantage les espaces économique, social, artistique, scolaire, affectif et existentiel que le milieu médical ?
On se demandera sûrement quelle est l’expertise d’un professeur de littérature française en ce qui a trait à la santé publique. Je répondrai simplement que les littéraires, comme tous les universitaires au demeurant, sont fondamentalement formés à exprimer une pensée critique, qui s’exerce sur des réalités en mouvement incessant et débordant le cadre strict de la discipline. […]
Sommes-nous collectivement prêts à substituer le contrat médical au contrat social, comme l’expose Bernard-Henri Lévy dans son dernier livre (Ce virus qui rend fou, Grasset) ? Voulons-nous réellement donner préséance aux médecins sur les politiques, les philosophes, les artistes, les économistes, les psychologues, les sociologues, c’est-à-dire sur tous les penseurs du vivre-ensemble ? Échapper aux virus, est-ce un projet de société valable ? La prolongation indéfinie de l’état d’urgence sanitaire entraîne des conséquences suffisamment nombreuses pour que la parole publique ne se limite plus à celle des seuls épidémiologistes. Plusieurs questions méritent d’être posées — et éventuellement débattues — qui ne le sont pas en ce moment.
Quelques questions
Question aux démographes : pourrait-on analyser de manière claire les chiffres de la surmortalité pour les six premiers mois de 2020, relativement à ceux des cinq années précédentes ?
Questions aux historiens : comment décrire la dangerosité du coronavirus comparativement à celle de la peste, du choléra, de l’influenza, de la grippe asiatique, de la grippe de Hong Kong ? A-t-on jamais connu un tel bouleversement de tous les paramètres de l’existence pour un péril si peu létal ?
Question aux psychologues : quels peuvent être, à moyen et à long terme, l’effet des diverses mesures d’urgence et de distanciation physique (qui devient forcément sociale) sur toute la jeunesse en phase de formation intellectuelle et affective ?
Question aux pédiatres : est-il sain qu’un enfant porte un masque six heures d’affilée cinq jours par semaine ? (Rappelons qu’en Ontario, les enfants de plus de 10 ans seront contraints de garder leur couvre-visage en classe ; le Québec suivra sans doute ce modus operandi, par « principe de précaution », dès que quelques cas asymptomatiques auront été détectés en milieu scolaire.)
Question aux commerçants et aux restaurateurs : jusqu’à quand pourrez-vous éviter la faillite avec les mesures de distanciation actuelles, une fois passés le beau temps, l’achalandage estival et la saison des terrasses ?
Questions à l’industrie culturelle : n’est-il pas urgent, pour tous les artistes, qu’on assure la viabilité en même temps que la nécessité de leurs activités ? L’acceptation absolue des mesures d’urgence ne relègue-t-elle pas les arts au rang de produit de consommation superflu ?
Questions à la population étudiante (cégep et université) : appréciez-vous le virage vers l’enseignement à distance et souhaitez-vous le voir pérennisé ? N’y a-t-il pas lieu d’exprimer le besoin d’une expérience d’apprentissage qui va au-delà de la transmission d’un contenu disciplinaire et qui assure la possibilité d’échanges, de rencontres marquantes, d’une expérience de vie transformatrice ?
Question aux journalistes d’enquête : où êtes-vous ?
Il semble urgent d’ouvrir un véritable dialogue, d’accepter les « débats » sur ces questions avant qu’on ne nous impose cet automne, avec toute la force de la pseudo-évidence, le port du couvre-visage à l’extérieur. Certains consensus sont sans doute moins consensuels qu’on le prétend, lorsqu’on creuse un peu.
Ceux qu’on a rangés sous l’étiquette englobante de « complotistes » se targuent actuellement, non sans raison, de former l’opposition officielle à l’ère du coronavirus : pourquoi leur céder tout ce terrain ? Il y a moyen de mettre en question les décisions de la Santé publique sans pour autant crier à la domination occulte des réseaux pédosatanistes ni voir en Donald Trump et Vladimir Poutine les sauveurs de la planète.
Ni l’OMS ni Donald Trump.
Ni Horacio Arruda ni QAnon.
https://www.ledevoir.com/opinion/libre- ... a-ni-qanon
Re: Coronavirus
Je trouve ce texte assez bon, les questions sont très pertinentes
les complotiste et anti masque certains sont de vrais malades mentals
ciboire
voir capture du tweet de Bernard drainville
c vraiment epouvantable de lire ca ya des incitation aux meurtre plusieurs personnes ont envoyé la capture d`ecran avec les noms et paroles a SQ
https://twitter.com/search?q=menaces%20 ... yped_query
ciboire
voir capture du tweet de Bernard drainville
c vraiment epouvantable de lire ca ya des incitation aux meurtre plusieurs personnes ont envoyé la capture d`ecran avec les noms et paroles a SQ
https://twitter.com/search?q=menaces%20 ... yped_query
Dernière modification par nancy31f le dim. sept. 06, 2020 5:52 pm, modifié 1 fois.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Guy Lapointe Jrnancy31f a écrit : les complotiste et anti masque certains sont de vrais malades mentals
ciboire
voir capture du tweet de Bernard drainville
c vraiment epouvantable de lire ca ya des incitation aux meurtre plusieurs personnes ont envoyé la capture d`ecran avec les noms et paroles
https://twitter.com/search?q=menaces%20 ... yped_query
@GuyLapointeSQ
Inspecteur-chef & Directeur des communications
Vous êtes nombreux à signaler des propos menaçants tenus dans un fil de discussion Facebook à l'endroit d'un élu de l'Assemblée nationale.
Nous sommes au fait de la situation et des actions appropriées seront prises. Toutes les situations du genre sont prises très au sérieux.
https://twitter.com/GuyLapointeSQ/statu ... 6893541377
Propos menaçants visant François Legault : la SQ enquête
https://www.lapresse.ca/actualites/poli ... nquete.php
https://www.lapresse.ca/actualites/poli ... nquete.php
une maudite gang avaient signalé yon du etre saturé a SQ
je suis allé voir certain noms ecrit pis ca vole pas haut les commentaires dans leurs fils
yen a qquun qui on enlevé les derniers mois de leur fil FB
pas de chance pour eux jsuis pas mal sure que ya des copies qui se sauvegardent en cas d`enquete policieres
je suis allé voir certain noms ecrit pis ca vole pas haut les commentaires dans leurs fils
yen a qquun qui on enlevé les derniers mois de leur fil FB
pas de chance pour eux jsuis pas mal sure que ya des copies qui se sauvegardent en cas d`enquete policieres
Dernière modification par nancy31f le dim. sept. 06, 2020 5:50 pm, modifié 1 fois.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Il en a été question aux nouvelles à LCN et à Radio-Canada aussi que la SQ travaillait à retracer ces personnes. C'est très grave des menaces de mort à François Legault. Ça fait plusieurs fois que ça se produit et pour Dr.Arruda également. S'il fallait qu'il arrive un malheur, ce serait loin d'être drôle. J'ai encore en mémoire l'assassinat du président John Kennedy et la tentative pour Pauline Marois.
Il faut qu'on les fasse payer ces gens-là, ce sont des menaces criminelles. Personne ne mérite ça. Je me demande comment ils se sentent F.L. et Horacio d'être menacés. Ce ne sont plus des jokes...même si on ose appeler ça ainsi une fois qu'on se fait prendre. Qu'on les renferme pour les faire réfléchir, c'est tout ce qu'ils méritent ces malades.
Il faut qu'on les fasse payer ces gens-là, ce sont des menaces criminelles. Personne ne mérite ça. Je me demande comment ils se sentent F.L. et Horacio d'être menacés. Ce ne sont plus des jokes...même si on ose appeler ça ainsi une fois qu'on se fait prendre. Qu'on les renferme pour les faire réfléchir, c'est tout ce qu'ils méritent ces malades.
Le hic, c'est que ça ne réfléchit pas ce monde-là. Ça carbure à la haine.joanna a écrit : Il en a été question aux nouvelles à LCN et à Radio-Canada aussi que la SQ travaillait à retracer ces personnes. C'est très grave des menaces de mort à François Legault. Ça fait plusieurs fois que ça se produit et pour Dr.Arruda également. S'il fallait qu'il arrive un malheur, ce serait loin d'être drôle. J'ai encore en mémoire l'assassinat du président John Kennedy et la tentative pour Pauline Marois.
Il faut qu'on les fasse payer ces gens-là, ce sont des menaces criminelles. Personne ne mérite ça. Je me demande comment ils se sentent F.L. et Horacio d'être menacés. Ce ne sont plus des jokes...même si on ose appeler ça ainsi une fois qu'on se fait prendre. Qu'on les renferme pour les faire réfléchir, c'est tout ce qu'ils méritent ces malades.
Je ne dis pas que ceux qui profèrent des menaces ne doivent pas être condamnés. Que non!joanna a écrit : [...]
Il n'en demeure pas moins qu'un p'tit séjour à l'ombre pourrait changer les idées malsaines, on sait jamais...
Mais, je ne crois pas que cela ait un impact sur leurs croyances. Un peu comme avec les sectes, ça prend
un programme de décontamination genre.
J'avais bien compris ce que tu disais mais au cas où. Tu penses qu'il faudrait les déprogrammer? C'est clair que lorsque leurs idées sont faites, il ne doit pas y avoir grand'chose à faire mais je me dis que de se faire enfermer un bout pourrait donner des petits résultats sauf que c'est pas garanti non plus.L'habitude de carburer à la haine est bien ancrée sans doute.
Ces gens-là peuvent-ils être heureux dans cet était d'esprit? C'est la question qui tue!
Ces gens-là peuvent-ils être heureux dans cet était d'esprit? C'est la question qui tue!
Mon hypothèse concernant les complotistes qui peuvent en venir à poser des gestes de nature criminelle, c'est qu'ils se retrouvent dans un effet d'entraînement de groupe, qu'ils s'encouragent les uns les autres dans leur déni de la réalité et s'enfoncent là-dedans. En ce sens, le fait de se retrouver sous enquête, voire d'être accusée d'un crime, une personne pourrait y trouver un fameux wake up call, autrement dit quelque chose qui la ramène dans la réalité, aux limites à ne pas franchir entre autres. Comme de dire que la pandémie n'existe pas et de se retrouver malade au boutte de la C-19. Je pense que pour certaines personnes, ça va les secouer et au moins atténuer un peu leur délire du moment.
Cela dit, je pense aussi que pour se rendre à commettre des délits criminels, comme de menacer de mort, il faut être quelqu'un qui réagissait déjà par la violence, au moins verbale. Il y en a que ça rend juste plus en colère d'être pris sur le fait, juste avec la conviction d'être encore plus victime de ci et de ça, d'où l'impression d'être justifié de leur agir criminel.
Bref, je crois qu'il y a plein de situations personnelles sous-jacentes qui conduisent à ces délires plus ou moins prononcés et, pour certains, à en venir à proférer des menaces de mort. Il est certain, selon moi, que ces temps d'incertitudes et de contraintes à nos vies habituelles font vaciller la santé mentale déjà fragilisée de beaucoup de monde et que les délires complotistes n'en sont qu'une des nombreuses manifestations. C'est pourquoi, je crois que le monde a surtout besoin d'empathie et de non jugement en ces temps difficiles (mais des fois, c'est difficile de ne pas juger... )
Cela dit, je pense aussi que pour se rendre à commettre des délits criminels, comme de menacer de mort, il faut être quelqu'un qui réagissait déjà par la violence, au moins verbale. Il y en a que ça rend juste plus en colère d'être pris sur le fait, juste avec la conviction d'être encore plus victime de ci et de ça, d'où l'impression d'être justifié de leur agir criminel.
Bref, je crois qu'il y a plein de situations personnelles sous-jacentes qui conduisent à ces délires plus ou moins prononcés et, pour certains, à en venir à proférer des menaces de mort. Il est certain, selon moi, que ces temps d'incertitudes et de contraintes à nos vies habituelles font vaciller la santé mentale déjà fragilisée de beaucoup de monde et que les délires complotistes n'en sont qu'une des nombreuses manifestations. C'est pourquoi, je crois que le monde a surtout besoin d'empathie et de non jugement en ces temps difficiles (mais des fois, c'est difficile de ne pas juger... )
C'est vrai que c'est très inquiétant et, tout comme toi, j'ai plus peur d'eux que de la Covid. On dirait qu'ils sont prêts à tout pour saboter un retour à la normale le plus tôt possible. D'un côté ils contestent tout tout tout et de l'autre ils rendent les gouvernements responsables de tout au point de faire des menaces de mort . J'espère aussi qu'ils servent d'exemples pour tous les coucous qui se radicalisent de plus en plus que y'a une limite à "la liberté d'expression".joanna a écrit : Je trouve ça terrible ces menaces. J'espère qu'on va arrêter ces meneurs de troubles et les enfermer pour éviter le pire. C'est plus difficile de subir ça que la crainte de contracter le virus.
Selon moi ça peut donner certains résultats de calmer un peu plus le groupe. Non pas de les convertir, mais de voir poindre un dossier criminel à l'horizon pourraient "peut-être" en faire réfléchir plusieurs. Mais le pire c'est de voir qu'une des têtes dirigeantes de ces mouvements-là encourage le passage à l'acte, LUI j'aimerais qu'il se fasse ramasser solide par la SQ pour incitation à la violence, ça calmerait peut-être les troupes.joanna a écrit : J'avais bien compris ce que tu disais mais au cas où. Tu penses qu'il faudrait les déprogrammer? C'est clair que lorsque leurs idées sont faites, il ne doit pas y avoir grand'chose à faire mais je me dis que de se faire enfermer un bout pourrait donner des petits résultats sauf que c'est pas garanti non plus.L'habitude de carburer à la haine est bien ancrée sans doute.
Ces gens-là peuvent-ils être heureux dans cet était d'esprit? C'est la question qui tue!
Ici, effectivement, je rejoins cette vision de la chose. L'éventualité d'un dossier criminel, ça peut avoir du poids pour calmer certaines ardeurs, du moins chez les suiveux. Les leaders se servent souvent de leur arrestation comme d'un fait d'arme les confirmant dans leur prise de position.Capuchino a écrit : [...]
Selon moi ça peut donner certains résultats de calmer un peu plus le groupe. Non pas de les convertir, mais de voir poindre un dossier criminel à l'horizon pourraient "peut-être" en faire réfléchir plusieurs. Mais le pire c'est de voir qu'une des têtes dirigeantes de ces mouvements-là encourage le passage à l'acte, LUI j'aimerais qu'il se fasse ramasser solide par la SQ pour incitation à la violence, ça calmerait peut-être les troupes.
Propos menaçants contre le premier ministre: deux hommes rencontrés par la SQ
Deux hommes de 59 et 65 ans ont été rencontrés par la Sûreté du Québec (SQ) pour avoir tenu des propos menaçants contre
François Legault sur les médias sociaux.
L’inspecteur-chef et directeur des communications de la SQ, Guy Lapointe, a communiqué la nouvelle sur son compte Twitter.
https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... ar-la-sq-1
Deux hommes de 59 et 65 ans ont été rencontrés par la Sûreté du Québec (SQ) pour avoir tenu des propos menaçants contre
François Legault sur les médias sociaux.
L’inspecteur-chef et directeur des communications de la SQ, Guy Lapointe, a communiqué la nouvelle sur son compte Twitter.
https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... ar-la-sq-1
Dernière modification par nancy31f le mar. sept. 08, 2020 8:25 pm, modifié 1 fois.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Des menaces lourdes de conséquences sur internet
Pas besoin de les mettre à exécution pour être condamné à la prison
Les personnes qui ont proféré des menaces de mort à l’endroit de François Legault sur les réseaux sociaux peuvent faire face
à de lourdes conséquences allant jusqu’à la prison, même si elles se cachaient derrière un ordinateur.
https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... r-internet
Pas besoin de les mettre à exécution pour être condamné à la prison
Les personnes qui ont proféré des menaces de mort à l’endroit de François Legault sur les réseaux sociaux peuvent faire face
à de lourdes conséquences allant jusqu’à la prison, même si elles se cachaient derrière un ordinateur.
https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... r-internet
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
ceux qui chialent contre Legault sont pas au bout de leur peine
Le grand sondage de la rentrée: la CAQ trône au sommet, le PCC est en hausse au Québec
POPULARITÉ HISTORIQUE POUR FRANÇOIS LEGAULT
Du «jamais vu» en politique québécoise : de mois en mois, François Legault maintient une popularité presque digne d’une république démocratique socialiste.
«Avec un taux de 76 % d’opinion positive, c’est du jamais vu dans l’histoire, et surtout depuis aussi longtemps. On a déjà vu des bons importants, comme lors de la crise du verglas, mais ça ne se maintient pas dans le temps», souligne Jean-Marc Léger
https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... -au-quebec
Le grand sondage de la rentrée: la CAQ trône au sommet, le PCC est en hausse au Québec
POPULARITÉ HISTORIQUE POUR FRANÇOIS LEGAULT
Du «jamais vu» en politique québécoise : de mois en mois, François Legault maintient une popularité presque digne d’une république démocratique socialiste.
«Avec un taux de 76 % d’opinion positive, c’est du jamais vu dans l’histoire, et surtout depuis aussi longtemps. On a déjà vu des bons importants, comme lors de la crise du verglas, mais ça ne se maintient pas dans le temps», souligne Jean-Marc Léger
https://www.journaldemontreal.com/2020/ ... -au-quebec
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Re: Coronavirus
Les 2% qui connaissent pas Justin Trudeau, ils vivent sur quelle planète ?