J'en serais bien étonnée. Pas sur les chaines traditionnelles du moins. Quels commanditaires voudraient être associés à son nom? Il a beau avoir des inconditionnels, ça en prend plus que ça pour se refaire une crédibilité morale. Qui voudrait travailler avec lui quand on sait comment il traite son monde, combien l'ambiance de travail est toxique dans son environnement? Irait-il sur des plateformes en ligne? Là, tout reste possible...nancy31f a écrit : s'il etait mettons acquité est ce que ce serait facile pour lui de revenir a la télé?
Allégations de harcèlement ou d'agression
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
Faudrait commencer par trouver un réseau dont les commanditaires acceptent de s'associer à une émission dans laquelle il apparaît ... Pis ça, c'est pas gagné ...
Redouter l'ironie, c'est craindre la raison - Sacha Guitry
Jannic a écrit :
J'en serais bien étonnée. Pas sur les chaines traditionnelles du moins. Quels commanditaires voudraient être associés à son nom? Il a beau avoir des inconditionnels, ça en prend plus que ça pour se refaire une crédibilité morale. Qui voudrait travailler avec lui quand on sait comment il traite son monde, combien l'ambiance de travail est toxique dans son environnement? Irait-il sur des plateformes en ligne? Là, tout reste possible...
Redouter l'ironie, c'est craindre la raison - Sacha Guitry
J’ai bon espoir qu’il sera condamné, sa crédibilité a été fortement minée avec les déclarations des témoins à la police. Ce n’est pas pour rien que son avocat n’a pas voulu les contre-interroger, ca aurait pu lui nuire davantage. Je ne vois pas trop comment il pourrait revenir dans les médias il faudrait bien plus qu’un acquittement pour convaincre les diffuseurs et les commanditaires de s’associer à lui, il y a eu bien trop de témoignages d’inconduites contre lui même s’ils n’ont pas conduits à des accusations. Il est capoute.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Y'a 71 millions d'américains et tout un parti qui supportent Donald Trump, j'imagine qu'on pourrait certainement trouver du monde pour supporter Éric SalvailJannic a écrit : [...]
J'en serais bien étonnée. Pas sur les chaines traditionnelles du moins. Quels commanditaires voudraient être associés à son nom? Il a beau avoir des inconditionnels, ça en prend plus que ça pour se refaire une crédibilité morale. Qui voudrait travailler avec lui quand on sait comment il traite son monde, combien l'ambiance de travail est toxique dans son environnement? Irait-il sur des plateformes en ligne? Là, tout reste possible...
Dernière modification par Nikki le ven. nov. 13, 2020 2:36 pm, modifié 1 fois.
C'est sûr qu'il ne s'est pas aidé avec son attitude chiante quand il a réalisé qu'il ne pouvait plus manipuler le monde à sa guise. Tant pis pour lui, je n'ai aucunement pitié, même que je crois que y'a ben du monde qui doit être soulagé que l'abcès a été crevé, car ça devait être plutôt pénible de travailler avec un tel individu quand il vous avait dans sa mire.
Malike a écrit : J’ai bon espoir qu’il sera condamné, sa crédibilité a été fortement minée avec les déclarations des témoins à la police. Ce n’est pas pour rien que son avocat n’a pas voulu les contre-interroger, ca aurait pu lui nuire davantage. Je ne vois pas trop comment il pourrait revenir dans les médias il faudrait bien plus qu’un acquittement pour convaincre les diffuseurs et les commanditaires de s’associer à lui, il y a eu bien trop de témoignages d’inconduites contre lui même s’ils n’ont pas conduits à des accusations. Il est capoute.
En effet, et j'avais oublié ce bout là, mais il avait avoué ses comportements sur FB et indiqué vouloir se faire aider alors qu'au tribunal il indique n'avoir jamais eu de comportement répréhensibles, c'est un point majeur que la couronne a sortie dans sa plaidoirie.
Les Courageuses déboutées
Pas d’action collective contre Gilbert Rozon
Coup dur pour « Les Courageuses ». La Cour suprême a refusé lundi d’entendre leur appel afin d’autoriser une action collective contre Gilbert Rozon. Ces femmes qui disent avoir été agressées ou harcelées sexuellement par l’ancien dirigeant de Juste pour rire ne pourront donc pas s’unir pour obtenir réparation.
Le plus haut tribunal du pays a annoncé lundi matin le rejet de l’appel du collectif Les Courageuses. Comme c’est toujours le cas, les sages de la Cour suprême n’ont pas justifié leur décision.
La décision partagée de la Cour d’appel du Québec rendue en janvier dernier est donc maintenue. Les juges avaient alors infirmé la décision de la Cour supérieure du Québec en rejetant la demande d’autorisation d’action collective visant l’ancien magnat de l’humour.
L’action collective intentée en 2018 dans la foulée du mouvement #moiaussi visait « toutes les personnes agressées et/ou harcelées sexuellement par Gilbert Rozon » de 1982 à 2016. Les victimes réclamaient plus de 10 millions de dollars pour les dizaines de victimes potentielles.
Or, selon la Cour d’appel, les victimes alléguées de Gilbert Rozon n’avaient pas assez de points en commun pour justifier une action collective. Ainsi, le premier critère de la loi n’était pas rempli, puisque les membres de l’action collective n’auraient pas été victimes de faits « identiques, similaires ou connexes ».
« La nature des gestes varie grandement d’une personne à l’autre. Le contexte n’est pas toujours le même. […] Le présent cas est plutôt une série de fautes alléguées qui auraient été commises sur une période d’au moins 34 ans, chacune ayant sa propre trame factuelle », avait écrit le juge Stephen W. Hamilton de la Cour d’appel du Québec.
Contrairement à la Cour supérieure, le plus haut tribunal de la province n’a pas été convaincu que Gilbert Rozon a utilisé le même modus operandi pour cibler des femmes de son entourage et dans la sphère artistique. Essentiellement, les femmes visées par l’action collective proviennent de plusieurs milieux et n’étaient pas toutes sous l’influence de Gilbert Rozon.
Notons que le rejet de cette demande d’autorisation d’action collective n’empêche pas les plaignantes d’intenter individuellement des recours civils contre Gilbert Rozon. D’ailleurs, la Cour d’appel avait rappelé que le rejet de l’action ne devait pas « nécessairement entraîner un abandon des procédures ou une négation de la responsabilité de [M. Rozon] ».
La dissidence de la juge de la Cour d’appel Dominique Bélanger n’a donc pas suffi pour convaincre la Cour suprême d’entendre l’appel des Courageuses. La juge Bélanger relevait la ressemblance évidente des récits des victimes. Le modus operandi allégué de Gilbert Rozon présentait également « un caractère de similarité » à ses yeux.
Les déboires judiciaires de l’ancien dirigeant de Juste pour rire ne sont toutefois pas terminés. Son procès criminel pour viol et attentat à la pudeur se poursuit jeudi au palais de justice de Montréal pour les plaidoiries de la Couronne. Gilbert Rozon est accusé d’avoir agressé sexuellement une femme en 1980 dans les Laurentides.
Pas d’action collective contre Gilbert Rozon
Coup dur pour « Les Courageuses ». La Cour suprême a refusé lundi d’entendre leur appel afin d’autoriser une action collective contre Gilbert Rozon. Ces femmes qui disent avoir été agressées ou harcelées sexuellement par l’ancien dirigeant de Juste pour rire ne pourront donc pas s’unir pour obtenir réparation.
Le plus haut tribunal du pays a annoncé lundi matin le rejet de l’appel du collectif Les Courageuses. Comme c’est toujours le cas, les sages de la Cour suprême n’ont pas justifié leur décision.
La décision partagée de la Cour d’appel du Québec rendue en janvier dernier est donc maintenue. Les juges avaient alors infirmé la décision de la Cour supérieure du Québec en rejetant la demande d’autorisation d’action collective visant l’ancien magnat de l’humour.
L’action collective intentée en 2018 dans la foulée du mouvement #moiaussi visait « toutes les personnes agressées et/ou harcelées sexuellement par Gilbert Rozon » de 1982 à 2016. Les victimes réclamaient plus de 10 millions de dollars pour les dizaines de victimes potentielles.
Or, selon la Cour d’appel, les victimes alléguées de Gilbert Rozon n’avaient pas assez de points en commun pour justifier une action collective. Ainsi, le premier critère de la loi n’était pas rempli, puisque les membres de l’action collective n’auraient pas été victimes de faits « identiques, similaires ou connexes ».
« La nature des gestes varie grandement d’une personne à l’autre. Le contexte n’est pas toujours le même. […] Le présent cas est plutôt une série de fautes alléguées qui auraient été commises sur une période d’au moins 34 ans, chacune ayant sa propre trame factuelle », avait écrit le juge Stephen W. Hamilton de la Cour d’appel du Québec.
Contrairement à la Cour supérieure, le plus haut tribunal de la province n’a pas été convaincu que Gilbert Rozon a utilisé le même modus operandi pour cibler des femmes de son entourage et dans la sphère artistique. Essentiellement, les femmes visées par l’action collective proviennent de plusieurs milieux et n’étaient pas toutes sous l’influence de Gilbert Rozon.
Notons que le rejet de cette demande d’autorisation d’action collective n’empêche pas les plaignantes d’intenter individuellement des recours civils contre Gilbert Rozon. D’ailleurs, la Cour d’appel avait rappelé que le rejet de l’action ne devait pas « nécessairement entraîner un abandon des procédures ou une négation de la responsabilité de [M. Rozon] ».
La dissidence de la juge de la Cour d’appel Dominique Bélanger n’a donc pas suffi pour convaincre la Cour suprême d’entendre l’appel des Courageuses. La juge Bélanger relevait la ressemblance évidente des récits des victimes. Le modus operandi allégué de Gilbert Rozon présentait également « un caractère de similarité » à ses yeux.
Les déboires judiciaires de l’ancien dirigeant de Juste pour rire ne sont toutefois pas terminés. Son procès criminel pour viol et attentat à la pudeur se poursuit jeudi au palais de justice de Montréal pour les plaidoiries de la Couronne. Gilbert Rozon est accusé d’avoir agressé sexuellement une femme en 1980 dans les Laurentides.
C'est triste, car c'est évident qu'aucune de ces femmes là ont les moyens financiers d'entamer des procédures judiciaires individuellement contre Gilbert Rozon, il est multi millionnaires et il a amplement les moyens de se payer les meilleurs avocats, de plus il a le privilège de les victimiser encore plus en les rendant responsables de leur propre sort, car on s'entend que selon son témoignage avec la seule victime alléguée ce serait finalement Gilbert Rozon la victime "consentente" dans toutes ses histoires . J'espère qu'il ne s'en sortira pas encore une fois, déjà qu'il a été chanceux de s'en sortir avec l'histoire du Manoir Rouville, ça serait plus que décevant que la quantité de femmes crédibles qui ne peuvent le poursuivre perdent la face s'il était innocenté. D'autant plus que je le crois coupable, pour moi il n'y a aucun doute.Anya a écrit : Les Courageuses déboutées
Pas d’action collective contre Gilbert Rozon
Coup dur pour « Les Courageuses ». La Cour suprême a refusé lundi d’entendre leur appel afin d’autoriser une action collective contre Gilbert Rozon. Ces femmes qui disent avoir été agressées ou harcelées sexuellement par l’ancien dirigeant de Juste pour rire ne pourront donc pas s’unir pour obtenir réparation.
Le plus haut tribunal du pays a annoncé lundi matin le rejet de l’appel du collectif Les Courageuses. Comme c’est toujours le cas, les sages de la Cour suprême n’ont pas justifié leur décision.
La décision partagée de la Cour d’appel du Québec rendue en janvier dernier est donc maintenue. Les juges avaient alors infirmé la décision de la Cour supérieure du Québec en rejetant la demande d’autorisation d’action collective visant l’ancien magnat de l’humour.
L’action collective intentée en 2018 dans la foulée du mouvement #moiaussi visait « toutes les personnes agressées et/ou harcelées sexuellement par Gilbert Rozon » de 1982 à 2016. Les victimes réclamaient plus de 10 millions de dollars pour les dizaines de victimes potentielles.
Or, selon la Cour d’appel, les victimes alléguées de Gilbert Rozon n’avaient pas assez de points en commun pour justifier une action collective. Ainsi, le premier critère de la loi n’était pas rempli, puisque les membres de l’action collective n’auraient pas été victimes de faits « identiques, similaires ou connexes ».
« La nature des gestes varie grandement d’une personne à l’autre. Le contexte n’est pas toujours le même. […] Le présent cas est plutôt une série de fautes alléguées qui auraient été commises sur une période d’au moins 34 ans, chacune ayant sa propre trame factuelle », avait écrit le juge Stephen W. Hamilton de la Cour d’appel du Québec.
Contrairement à la Cour supérieure, le plus haut tribunal de la province n’a pas été convaincu que Gilbert Rozon a utilisé le même modus operandi pour cibler des femmes de son entourage et dans la sphère artistique. Essentiellement, les femmes visées par l’action collective proviennent de plusieurs milieux et n’étaient pas toutes sous l’influence de Gilbert Rozon.
Notons que le rejet de cette demande d’autorisation d’action collective n’empêche pas les plaignantes d’intenter individuellement des recours civils contre Gilbert Rozon. D’ailleurs, la Cour d’appel avait rappelé que le rejet de l’action ne devait pas « nécessairement entraîner un abandon des procédures ou une négation de la responsabilité de [M. Rozon] ».
La dissidence de la juge de la Cour d’appel Dominique Bélanger n’a donc pas suffi pour convaincre la Cour suprême d’entendre l’appel des Courageuses. La juge Bélanger relevait la ressemblance évidente des récits des victimes. Le modus operandi allégué de Gilbert Rozon présentait également « un caractère de similarité » à ses yeux.
Les déboires judiciaires de l’ancien dirigeant de Juste pour rire ne sont toutefois pas terminés. Son procès criminel pour viol et attentat à la pudeur se poursuit jeudi au palais de justice de Montréal pour les plaidoiries de la Couronne. Gilbert Rozon est accusé d’avoir agressé sexuellement une femme en 1980 dans les Laurentides.
Après ça on s'indigne que des victimes passent par les réseaux sociaux pour dénoncer
Perso, je suis pour la présomption d'innocence, et je suis consciente que des accusations non fondées peuvent ruiner la vie d'une personne et de ses proches.. Mais là, c'est évident qu'on a affaire à un agresseur et il va encore s'en tirer... Faudra que la justice mette ses culottes un jour, sinon les dénonciations sur les RS va continuer ...
Perso, je suis pour la présomption d'innocence, et je suis consciente que des accusations non fondées peuvent ruiner la vie d'une personne et de ses proches.. Mais là, c'est évident qu'on a affaire à un agresseur et il va encore s'en tirer... Faudra que la justice mette ses culottes un jour, sinon les dénonciations sur les RS va continuer ...
Éric Lapointe de retour sur scène
Il prépare un nouvel album après ses déboires judiciaires
Deux mois après son passage devant la justice pour voies de fait, Éric Lapointe sera de retour sous les projecteurs le 27 décembre prochain, pour son traditionnel spectacle de fin d’année, qui sera présenté virtuellement. Il plancherait également sur un nouvel album pour 2021.
Le rockeur a annoncé la tenue du spectacle, intitulé À l’abri du monde entier : Lapointe, le show virtuel, vendredi dernier sur les réseaux sociaux. Les billets sont en vente sur lepointdevente.com, au coût de 32,10 $. Selon son gérant, Jean-Yves Blais, des centaines de billets ont déjà été vendus.
« Salut la gang, je m’ennuie de vous tous ! De mes boys ! De mon rock ! Dieu que ma guitare a besoin d’air... Le 27 décembre, on se fait plaisir et on débarque dans votre salon », a écrit le chanteur dans sa publication.
Éric Lapointe a plaidé coupable le 7 octobre dernier à une accusation de voies de fait sur une femme. Il s’en est tiré avec une absolution conditionnelle et sans casier judiciaire.
Pour ses fans
Le chanteur a décliné la demande d’entrevue du Journal. Par courriel, son gérant Jean-Yves Blais a mentionné que le spectacle de 90 minutes est « une manière de faire du bien à ses fans en cette période difficile où plusieurs personnes se sentent seules. »
L’annonce de son retour a provoqué une vague de réactions sur les réseaux sociaux. Si les fans se réjouissent, d’autres dénoncent son retour.
« Éric a fait face à la justice et a plaidé coupable à une accusation de voies de fait simple. Je n’ai aucun autre commentaire à faire sur le sujet », a écrit M. Blais.
« Éric travaille beaucoup en ce moment, ajoute-t-il. On peut espérer un album pour 2021 et nous avons espoir de pouvoir faire des spectacles dès que la situation sanitaire le permettra. »
Un retour « pas surprenant »
Pour Chantal Arsenault, présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, ce retour n’est « pas surprenant ».
« L’ensemble des conjoints violents qu’on voit ici reprennent leur vie assez rapidement suite aux événements de violence conjugale, commente-t-elle. Par contre, c’est une tout autre histoire pour les femmes victimes. »
« J’ai une pensée particulière pour cette femme-là qui a été victime parce qu’en plus de devoir passer peut-être à travers différents processus, comme c’est une personnalité publique, elle revoit son agresseur régulièrement reprendre sa vie. [...] Elle va le voir sur les réseaux sociaux. Elle sera confrontée tous les jours à ça. »
Gaëlle Fédida, coprésidente d’Hébergement femmes Canada, trouve ce retour « épouvantable ». « Le problème, c’est que la justice est passée, dit-elle. Effectivement, il peut reprendre ses activités. Ça envoie un très, très mauvais message aux femmes victimes qui osent se plaindre pour changer les choses. »
« Moi, je questionne le réseau qu’il a autour de lui, ajoute-t-elle. Qui est le producteur qui continue de le mettre en scène ? Qui le diffuse ? Tous ces gens-là, comment ils se sentent ? Et si on va leur poser la question, ils vont répondre la même affaire : la justice est passée. »
Il prépare un nouvel album après ses déboires judiciaires
Deux mois après son passage devant la justice pour voies de fait, Éric Lapointe sera de retour sous les projecteurs le 27 décembre prochain, pour son traditionnel spectacle de fin d’année, qui sera présenté virtuellement. Il plancherait également sur un nouvel album pour 2021.
Le rockeur a annoncé la tenue du spectacle, intitulé À l’abri du monde entier : Lapointe, le show virtuel, vendredi dernier sur les réseaux sociaux. Les billets sont en vente sur lepointdevente.com, au coût de 32,10 $. Selon son gérant, Jean-Yves Blais, des centaines de billets ont déjà été vendus.
« Salut la gang, je m’ennuie de vous tous ! De mes boys ! De mon rock ! Dieu que ma guitare a besoin d’air... Le 27 décembre, on se fait plaisir et on débarque dans votre salon », a écrit le chanteur dans sa publication.
Éric Lapointe a plaidé coupable le 7 octobre dernier à une accusation de voies de fait sur une femme. Il s’en est tiré avec une absolution conditionnelle et sans casier judiciaire.
Pour ses fans
Le chanteur a décliné la demande d’entrevue du Journal. Par courriel, son gérant Jean-Yves Blais a mentionné que le spectacle de 90 minutes est « une manière de faire du bien à ses fans en cette période difficile où plusieurs personnes se sentent seules. »
L’annonce de son retour a provoqué une vague de réactions sur les réseaux sociaux. Si les fans se réjouissent, d’autres dénoncent son retour.
« Éric a fait face à la justice et a plaidé coupable à une accusation de voies de fait simple. Je n’ai aucun autre commentaire à faire sur le sujet », a écrit M. Blais.
« Éric travaille beaucoup en ce moment, ajoute-t-il. On peut espérer un album pour 2021 et nous avons espoir de pouvoir faire des spectacles dès que la situation sanitaire le permettra. »
Un retour « pas surprenant »
Pour Chantal Arsenault, présidente du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, ce retour n’est « pas surprenant ».
« L’ensemble des conjoints violents qu’on voit ici reprennent leur vie assez rapidement suite aux événements de violence conjugale, commente-t-elle. Par contre, c’est une tout autre histoire pour les femmes victimes. »
« J’ai une pensée particulière pour cette femme-là qui a été victime parce qu’en plus de devoir passer peut-être à travers différents processus, comme c’est une personnalité publique, elle revoit son agresseur régulièrement reprendre sa vie. [...] Elle va le voir sur les réseaux sociaux. Elle sera confrontée tous les jours à ça. »
Gaëlle Fédida, coprésidente d’Hébergement femmes Canada, trouve ce retour « épouvantable ». « Le problème, c’est que la justice est passée, dit-elle. Effectivement, il peut reprendre ses activités. Ça envoie un très, très mauvais message aux femmes victimes qui osent se plaindre pour changer les choses. »
« Moi, je questionne le réseau qu’il a autour de lui, ajoute-t-elle. Qui est le producteur qui continue de le mettre en scène ? Qui le diffuse ? Tous ces gens-là, comment ils se sentent ? Et si on va leur poser la question, ils vont répondre la même affaire : la justice est passée. »
- lorraine48
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 8240
- Inscription : mar. janv. 13, 2009 10:17 pm
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
savez vous c est qui la femme agressée
- Piment_fort
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- Inscription : sam. nov. 06, 2004 1:00 am
Son ex-conjointe *édité*lorraine48 a écrit : savez vous c est qui la femme agressée
Dernière modification par Annouk le dim. déc. 06, 2020 9:19 pm, modifié 1 fois.
*édité* je croisPiment_fort a écrit : [...]
Son ex-conjointe *édité*
Dernière modification par Annouk le dim. déc. 06, 2020 9:19 pm, modifié 1 fois.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
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c que c la meme blonde qu'en 2018 il en parlait tout le temps et ctait fait faire un tatou avec son nomNikki a écrit : Vous savez que quand il y a un interdit de publication et que vous avez des infos privilégiées vous n'avez pas le droit de les divulguer?.. Si la cours protège le nom il doit y avoir des raisons?
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
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Oui mais il y a quand même un interdit de divulgation émis par la cours. Moi je ne connaissais pas son nom, et maintenant je le connais. Sûrement que c'est la raison pour laquelle il y a des interdits, que les noms ne se propagent pas.
Et c'est pour la protéger elle, la victime... Me semble qu'on pourrait respecter ça...
Et c'est pour la protéger elle, la victime... Me semble qu'on pourrait respecter ça...
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
Même que je dirais que les messages qui indiquent le nom (ou des infos permettant de savoir qui est la personne) visé par un interdit de publication devraient être édités... Je ne crois pas que personne ici, ni le forum d'ailleurs, ne souhaite se voir accusé d'outrage au tribunal.