Allégations de harcèlement ou d'agression
https://www.journaldequebec.com/2020/12 ... cceptables" onclick="window.open(this.href);return false;
Pas sûre que c'est à la bonne place, mais je n'ai pas trouvé mieux...
Je le crois quand il dit qu'il ne voulait pas encourager la culture du viol.. Pas consciemment du moins...
Mais je me dis, n'est-ce pas justement ce qui est dangereux dans ce genre de propos?.. Avoir l'impression que c'est normal de devoir ''forcer'' sa femme pour avoir du sexe?.. N'est-ce pas justement la côté pernicieux de la culture du viol, que cela soit banalisé et qu'on trouve ça correct de dire aux femmes que leur homme aimerait avoir du sexe et de se forcer pour en avoir le goût?
Ça me met mal à l'aise, qu'un jeune homme ait encore la ligne de pensée que c'est normal pour un homme d'insister pour avoir du sexe même si sa femme n'en a pas le goût..
Vous en pensez quoi?
Pas sûre que c'est à la bonne place, mais je n'ai pas trouvé mieux...
Je le crois quand il dit qu'il ne voulait pas encourager la culture du viol.. Pas consciemment du moins...
Mais je me dis, n'est-ce pas justement ce qui est dangereux dans ce genre de propos?.. Avoir l'impression que c'est normal de devoir ''forcer'' sa femme pour avoir du sexe?.. N'est-ce pas justement la côté pernicieux de la culture du viol, que cela soit banalisé et qu'on trouve ça correct de dire aux femmes que leur homme aimerait avoir du sexe et de se forcer pour en avoir le goût?
Ça me met mal à l'aise, qu'un jeune homme ait encore la ligne de pensée que c'est normal pour un homme d'insister pour avoir du sexe même si sa femme n'en a pas le goût..
Vous en pensez quoi?
Je suis ambigüe, je ne suis pas certaine qu’il voulait dire de forcer sa conjointe a avoir des rapports sexuels. Faut l’avouer, souvent les aléas du quotidien prennent beaucoup de place dans la tête d’une femme et comme on est beaucoup connectées sur notre mental pour notre libido, bien ca occasionne des pannes de désir. Les hommes étant connectés directement sur leur besoin physiologique, bien ca fait un clash entre les deux partenaires, surtout les couples qui sont ensemble depuis longtemps. Mais c’est jamais simple à régler, tout est inter-relié, il y a la faute d’un peu des deux dans toutes les situations, mais le fait est que plus souvent qu’autrement les femmes ont une charge mentale plus grande à assumer dans la famille donc s’ensuit de la fatigue et une panne de désir, qui génère alors des insatisfactions chez le conjoint et la roue tourne. Je ne sais pas si la solution est aussi simple que l’homme prend plus de parts dans la charge de la maison si la conjointe est plus libre mentalement donc plus libre dans sa tête …
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Oui je comprends ça, je trouve que ce que tu dis très vrai, mais ce n'est pas ça qu'il a dit, il a parlé de ''forcer'' sa femme, qu'elle devait se parler pour entretenir la flamme, et c'est là je trouve que le discours a de l'importance.. Les mots choisis ont de l'importance à mes yeux, et ce n'est pas en disant aux femmes qu'elles devraient se rendre disponible pour les besoins de leur mari en se forçant à avoir le goût de faire l'amour qu'on démontre qu'on comprend la situation souvent plus compliquée des femmes en lien avec les aléas de la famille..Malike a écrit : Je suis ambigüe, je ne suis pas certaine qu’il voulait dire de forcer sa conjointe a avoir des rapports sexuels. Faut l’avouer, souvent les aléas du quotidien prennent beaucoup de place dans la tête d’une femme et comme on est beaucoup connectées sur notre mental pour notre libido, bien ca occasionne des pannes de désir. Les hommes étant connectés directement sur leur besoin physiologique, bien ca fait un clash entre les deux partenaires, surtout les couples qui sont ensemble depuis longtemps. Mais c’est jamais simple à régler, tout est inter-relié, il y a la faute d’un peu des deux dans toutes les situations, mais le fait est que plus souvent qu’autrement les femmes ont une charge mentale plus grande à assumer dans la famille donc s’ensuit de la fatigue et une panne de désir, qui génère alors des insatisfactions chez le conjoint et la roue tourne. Je ne sais pas si la solution est aussi simple que l’homme prend plus de parts dans la charge de la maison si la conjointe est plus libre mentalement donc plus libre dans sa tête …
C'est ça qui me titille dans ce discours ..
Ouin dit de même, tu as raison les mots sont importants surtout quand la personne a une tribune publique. S’il faut qu’en plus de toutes les charges qu’on prend sur nos épaules nous les femmes, on nous mette celle de satisfaire notre homme, à entretenir la flamme ca ajoute à la pression je trouve et ca a l'effet inverse d'avoir encore moins de libido.Nikki a écrit : [...]
Oui je comprends ça, je trouve que ce que tu dis très vrai, mais ce n'est pas ça qu'il a dit, il a parlé de ''forcer'' sa femme, qu'elle devait se parler pour entretenir la flamme, et c'est là je trouve que le discours a de l'importance.. Les mots choisis ont de l'importance à mes yeux, et ce n'est pas en disant aux femmes qu'elles devraient se rendre disponible pour les besoins de leur mari en se forçant à avoir le goût de faire l'amour qu'on démontre qu'on comprend la situation souvent plus compliquée des femmes en lien avec les aléas de la famille..
C'est ça qui me titille dans ce discours ..
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Ça ne vous ai jamais arrivé de vouloir faire l'amour et que ça tente plus ou moins à votre conjoint et de lui dire "envoye donc, fais un petit effort, moi aussi ça me tentait pas l'autre jour et je me suis forcée"?
Ben moi oui.... Et ça m'est arrivé aussi de me le faire dire et je ne me suis pas sentie agressée pour autant, je ne me sens pas agresseure pour autant non plus...
Je ne dois surement pas être la seule qui trouve que tout à coup, tout est agression, pression, matière à plainte et compliqué? Je ne dis pas vraiment forcer l'autre en le garochant sur le lit malgré ses non répétés et le violer là mais lui demander de faire un effort, lui forcer un peu la main disons....
Ben moi oui.... Et ça m'est arrivé aussi de me le faire dire et je ne me suis pas sentie agressée pour autant, je ne me sens pas agresseure pour autant non plus...
Je ne dois surement pas être la seule qui trouve que tout à coup, tout est agression, pression, matière à plainte et compliqué? Je ne dis pas vraiment forcer l'autre en le garochant sur le lit malgré ses non répétés et le violer là mais lui demander de faire un effort, lui forcer un peu la main disons....
exactement tu a raison ca arrive des fois des affaires de meme meme chose que toiAnnouk a écrit : Ça ne vous ai jamais arrivé de vouloir faire l'amour et que ça tente plus ou moins à votre conjoint et de lui dire "envoye donc, fais un petit effort, moi aussi ça me tentait pas l'autre jour et je me suis forcée"?
Ben moi oui.... Et ça m'est arrivé aussi de me le faire dire et je ne me suis pas sentie agressée pour autant, je ne me sens pas agresseure pour autant non plus...
Je ne dois surement pas être la seule qui trouve que tout à coup, tout est agression, pression, matière à plainte et compliqué? Je ne dis pas vraiment forcer l'autre en le garochant sur le lit malgré ses non répétés et le violer là mais lui demander de faire un effort, lui forcer un peu la main disons....
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Bien sûr que ca nous arrive, c'est même je dirais normal de ne pas toujours avoir envie en même temps et on le fait parce qu'on veut faire plaisir à l'autre et vice versa. Je pense que ce qui accroche c'est peut-être de lire que la responsabilité de la bonne santé sexuelle d'un couple repose encore et toujours sur le bon vouloir de la femme dans le couple. L'usage du mot "viol" est quand même percutant, c'est pour cela que pour ma part je suis ambiguë, parce que bien que je suis consciente qu'il y a des hommes qui violent bel et bien leurs conjointes, pour moi de demander à avoir des relations même si ca tente moins à l'autre ne constitue pas une agression.Annouk a écrit : Ça ne vous ai jamais arrivé de vouloir faire l'amour et que ça tente plus ou moins à votre conjoint et de lui dire "envoye donc, fais un petit effort, moi aussi ça me tentait pas l'autre jour et je me suis forcée"?
Ben moi oui.... Et ça m'est arrivé aussi de me le faire dire et je ne me suis pas sentie agressée pour autant, je ne me sens pas agresseure pour autant non plus...
Je ne dois surement pas être la seule qui trouve que tout à coup, tout est agression, pression, matière à plainte et compliqué? Je ne dis pas vraiment forcer l'autre en le garochant sur le lit malgré ses non répétés et le violer là mais lui demander de faire un effort, lui forcer un peu la main disons....
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Tant que le message s'adresse aux deux je n'y vois rien de répréhensible de souligner quelque chose qui est vrai, la sexualité c'est quand même un morceau important de la vie de couple. Mais elle ne doit pas reposer sur les épaules d'un(e) seul(e) partenaire, c'est un truc d'équipe.Nikki a écrit :Moi quand je lis ça, je ne vois pas de badinage amoureux d'un conjoint qui tente de convaincre l'autre, je vois du chantage émotif gros comme le bras...Un moment donné, mesdames, il y a comme un minimum à faire dans la vie, si vous voulez entretenir une relation
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Ça ne m'est jamais arrivé de le verbaliser disons. Mais je sais que ça nous est arrivé à tout les deux de "faire un petit effort" pour faire plaisir à l'autre à l'occasion. Et je sais que mon chum me respecte trop pour insister si il voit que je n'ai VRAIMENT pas envie, que je suis malade ou très fatiguée. Même chose de mon côté.Annouk a écrit : Ça ne vous ai jamais arrivé de vouloir faire l'amour et que ça tente plus ou moins à votre conjoint et de lui dire "envoye donc, fais un petit effort, moi aussi ça me tentait pas l'autre jour et je me suis forcée"?
Ben moi oui.... Et ça m'est arrivé aussi de me le faire dire et je ne me suis pas sentie agressée pour autant, je ne me sens pas agresseure pour autant non plus...
Je ne dois surement pas être la seule qui trouve que tout à coup, tout est agression, pression, matière à plainte et compliqué? Je ne dis pas vraiment forcer l'autre en le garochant sur le lit malgré ses non répétés et le violer là mais lui demander de faire un effort, lui forcer un peu la main disons....
Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
Alex Nevsky brise le silence, après les révélations de Stéphanie Boulay pendant la vague de dénonciations
Alex Nevsky et Stéphanie Boulay ont fait la paix, suite au événements de juillet dernier, en plein coeur de la vague de dénonciations sans précédent qui a déferlé sur le Québec.
Sur leur compte Instagram respectif, les deux artistes ont publié une déclaration commune qui dit ceci:
« Depuis les événements de juillet dernier entre Stéphanie Boulay et moi, nous avons décidé de tenter de défaire les noeuds, d'apaiser les blessures et les non-dites et d'entreprendre ensemble une démarche réparatrice. C'est difficile de le faire, parfois même impossible, mais nous avons réussi à nous parler. Nos échanges ont été constructifs et nous sommes aujourd'hui prêts à déclarer que nous avons fait la paix.
Puisse notre histoire contribuer à poursuivre cette discussion courageuse et saine déjà entamée sur les rapports de pouvoir et les rapports hommes-femmes dans notre société.
Le travail ne s'arrête pas là: nous nous engageons à tout faire pour lutter contre les violences, quelles qu'elles soient. Et nous nous souhaitons mutuellement, avec bienveillance, un chemin harmonieux pour la suite de nos carrières et de nos vies respectives.
Nous ne ferons aucun autre commentaire. »
Alex Nevsky et Stéphanie Boulay ont fait la paix, suite au événements de juillet dernier, en plein coeur de la vague de dénonciations sans précédent qui a déferlé sur le Québec.
Sur leur compte Instagram respectif, les deux artistes ont publié une déclaration commune qui dit ceci:
« Depuis les événements de juillet dernier entre Stéphanie Boulay et moi, nous avons décidé de tenter de défaire les noeuds, d'apaiser les blessures et les non-dites et d'entreprendre ensemble une démarche réparatrice. C'est difficile de le faire, parfois même impossible, mais nous avons réussi à nous parler. Nos échanges ont été constructifs et nous sommes aujourd'hui prêts à déclarer que nous avons fait la paix.
Puisse notre histoire contribuer à poursuivre cette discussion courageuse et saine déjà entamée sur les rapports de pouvoir et les rapports hommes-femmes dans notre société.
Le travail ne s'arrête pas là: nous nous engageons à tout faire pour lutter contre les violences, quelles qu'elles soient. Et nous nous souhaitons mutuellement, avec bienveillance, un chemin harmonieux pour la suite de nos carrières et de nos vies respectives.
Nous ne ferons aucun autre commentaire. »
Gilbert Rozon connaîtra le verdict sous peu, l'identité de la plaignante dévoilée
La juge Mélanie Hébert s’apprête à lire son jugement dans le procès de l'ex-magnat de l'humour Gilbert Rozon.
La plaignante au procès de Gilbert Rozon vient de demander la levée de l’interdit de publication sur son identité, avant que la juge ne rende sa décision.
La juge l’accorde. Il s’agit d’Annick Charrette, secrétaire générale-trésorière de la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).
La juge Mélanie Hébert rappelle qu’une femme peut être violée sans toutefois résister. Penser qu’une « vraie » victime doit absolument se débattre est un mythe et un stéréotype.
Ce n’est pas « fatal » que la plaignante Annick Charette ne se souvienne pas de détails périphériques, ou même l’année exacte du viol allégué, explique la juge qui dit qu’il est normal qu’un témoin n’ait pas souvenir total d’un événement survenu il y a 40 ans.
« Elle est transparente dans les limites de ses souvenirs », dit la magistrate.
Le fait que la plaignante soit restée sur place après avoir rejeté les premières avances de Rozon, tout comme le fait qu’elle se soit laissée faire quand elle aurait été violée, n’est pas invraisemblable. Croire le contraire, tel que l’a prétendu la défense, est fondé sur des mythes et stéréotypes « révolus depuis longtemps », note la juge.
Présomption d’innocence
« Le mot d’ordre "croire la victime" poussé par le mouvement #MoiAussi n’a pas sa place en droit criminel, il est contraire au principe de la présomption d’innocence », dit la juge.
Elle précise aussi qu’un acquittement ne signifie pas que l’événement n’est pas survenu, mais plutôt que la Couronne n’a pas réussi à se décharger de son fardeau de prouver « hors de tout doute raisonnable » la culpabilité d’un accusé.
https://www.journaldequebec.com/2020/12 ... n-jugement
La juge Mélanie Hébert s’apprête à lire son jugement dans le procès de l'ex-magnat de l'humour Gilbert Rozon.
La plaignante au procès de Gilbert Rozon vient de demander la levée de l’interdit de publication sur son identité, avant que la juge ne rende sa décision.
La juge l’accorde. Il s’agit d’Annick Charrette, secrétaire générale-trésorière de la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).
La juge Mélanie Hébert rappelle qu’une femme peut être violée sans toutefois résister. Penser qu’une « vraie » victime doit absolument se débattre est un mythe et un stéréotype.
Ce n’est pas « fatal » que la plaignante Annick Charette ne se souvienne pas de détails périphériques, ou même l’année exacte du viol allégué, explique la juge qui dit qu’il est normal qu’un témoin n’ait pas souvenir total d’un événement survenu il y a 40 ans.
« Elle est transparente dans les limites de ses souvenirs », dit la magistrate.
Le fait que la plaignante soit restée sur place après avoir rejeté les premières avances de Rozon, tout comme le fait qu’elle se soit laissée faire quand elle aurait été violée, n’est pas invraisemblable. Croire le contraire, tel que l’a prétendu la défense, est fondé sur des mythes et stéréotypes « révolus depuis longtemps », note la juge.
Présomption d’innocence
« Le mot d’ordre "croire la victime" poussé par le mouvement #MoiAussi n’a pas sa place en droit criminel, il est contraire au principe de la présomption d’innocence », dit la juge.
Elle précise aussi qu’un acquittement ne signifie pas que l’événement n’est pas survenu, mais plutôt que la Couronne n’a pas réussi à se décharger de son fardeau de prouver « hors de tout doute raisonnable » la culpabilité d’un accusé.
https://www.journaldequebec.com/2020/12 ... n-jugement
Dernière modification par Anya le mar. déc. 15, 2020 4:30 pm, modifié 1 fois.
Annick Charette, la plaignante dans le procès de Gilbert Rozon.
Annick Charette, qui affirme avoir été agressée sexuellement par Gilbert Rozon à deux reprises à la fin d’un rendez-vous en 1980, réagira par la suite au verdict.
Règle générale, les plaignants en matière d’agression sexuelle bénéficient d’un interdit de publication de leur identité. Il arrive parfois qu’ils demandent au juge de lever cette restriction afin de pouvoir s’exprimer publiquement.
Au cours du procès, Mme Charette et M. Rozon ont livré des versions contradictoires des évènements.
https://www.lapresse.ca/actualites/just ... voilee.php
Annick Charette, qui affirme avoir été agressée sexuellement par Gilbert Rozon à deux reprises à la fin d’un rendez-vous en 1980, réagira par la suite au verdict.
Règle générale, les plaignants en matière d’agression sexuelle bénéficient d’un interdit de publication de leur identité. Il arrive parfois qu’ils demandent au juge de lever cette restriction afin de pouvoir s’exprimer publiquement.
Au cours du procès, Mme Charette et M. Rozon ont livré des versions contradictoires des évènements.
https://www.lapresse.ca/actualites/just ... voilee.php
Procès pour viol et attentat à la pudeur Gilbert Rozon reconnu non coupable
Devant des versions contradictoires, la juge Mélanie Hébert a acquitté Gilbert Rozon au terme de son procès pour agression sexuelle, mardi après-midi.
Véronique Lauzon Véronique Lauzon
La Presse
Plus tôt, la plaignante avait demandé et obtenu de la juge que soit levé l’interdit de publication qui empêchait de l’identifier. Annick Charette, qui affirmait avoir été agressée sexuellement par Gilbert Rozon à deux reprises à la fin d’un rendez-vous en 1980, réagira par la suite au verdict.
Règle générale, les plaignants en matière d’agression sexuelle bénéficient d’un interdit de publication de leur identité. Il arrive parfois qu’ils demandent au juge de lever cette restriction afin de pouvoir s’exprimer publiquement.
Au cours du procès, Mme Charette et M. Rozon ont livré des versions contradictoires des évènements.
https://www.lapresse.ca/actualites/just ... upable.php
Devant des versions contradictoires, la juge Mélanie Hébert a acquitté Gilbert Rozon au terme de son procès pour agression sexuelle, mardi après-midi.
Véronique Lauzon Véronique Lauzon
La Presse
Plus tôt, la plaignante avait demandé et obtenu de la juge que soit levé l’interdit de publication qui empêchait de l’identifier. Annick Charette, qui affirmait avoir été agressée sexuellement par Gilbert Rozon à deux reprises à la fin d’un rendez-vous en 1980, réagira par la suite au verdict.
Règle générale, les plaignants en matière d’agression sexuelle bénéficient d’un interdit de publication de leur identité. Il arrive parfois qu’ils demandent au juge de lever cette restriction afin de pouvoir s’exprimer publiquement.
Au cours du procès, Mme Charette et M. Rozon ont livré des versions contradictoires des évènements.
https://www.lapresse.ca/actualites/just ... upable.php
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
WoW ... on se surprend de la déferlanse sur les réseaux sociaux