Apres Dennis...Emily, Franklin...
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Un peu d'histoire
RECORDS:
LES ANNÉES AVEC LE PLUS D'OURAGANS:
1993: 21 tempêtes tropicales, dont 10 ouragans.
1995: 19 tempêtes tropicales, dont 11 ouragans.
1969: 18 tempêtes tropicales, dont 12 ouragans.
1887: 17 tempêtes tropicales, dont 10 ouragans.
En moyenne (1886-1994): 8,4 tempêtes tropicales et 4,9 ouragans.
LE PLUS DE PRÉCIPITATIONS:
en 12 heures: 1144 mm. Cyclone tropical Denise (7-8 janvier 1966), île de la Réunion.
en 24 heures: 1825 mm. Cyclone tropical Denise (7-8 janvier 1966), île de la Réunion.
en 48 heures: 2467 mm. Cyclone non-nommé, (8-10 avril 1958), île de la Réunion.
en 72 heures: 3240 mm. Cyclone tropical Hyacinthe (24-27 janvier 1980), île de la Réunion.
en 10 jours: 5678 mm. Cyclone tropical Hyacinthe (18-27 janvier 1980), île de la Réunion.
LE PLUS GRAND:
Les vents du typhon Tip, de 54 km/h et plus, soufflaient dans un rayon de 1100 km du centre de l'ouragan, le 12 octobre 1979 dans le nord-ouest du Pacifique.
LE PLUS PETIT:
Le 24 décembre 1974, les vents de plus de 54 km/h du cyclone tropical Tracy ne s'étendaient que jusque dans un rayon de 50 km.
LA DURÉE DE VIE LA PLUS LONGUE:
L'ouragan/typhon John a duré 31 jours en août et septembre 1994. Il a pris naissance dans le nord-est du Pacifique (ouragan John), puis a traversé la ligne de jour pour se retrouver dans le nord-ouest du Pacifique (typhon John), pour finalement retraverser cette ligne et redevenir l'ouragan John.
Il y eut aussi l'ouragan Ginger, dans l'Atlantique nord, qui a duré 28 jours en 1971.
LE PLUS INTENSE:
Le typhon Tip, dans le nord-ouest du Pacifique, avait une pression de 87,0 kPa. C'est la plus basse jamais enregistrée. Les vents étaient alors de 306 km/h.
Pour ce qui est de l'Atlantique, c'est Gilbert qui, vers la mi-septembre 1988, eut la pression la plus basse: 88,8 kPa. Mais lorsqu'il toucha la terre américaine, il était devenu dépression tropicale. Point de vue vents, Camille (1969) et Allen (1980) ne laissaient pas leur place avec des vents dont on a estimé la force à plus de 300 km/h.
LE PLUS DE DÉCÈS:
L'ouragan du Bengladesh, en 1970, a causé le plus de mortalité; au moins 300000 personnes furent submergées par les vagues déferlantes.
ET DE DOMMAGES MATÉRIELS:
Monétairement, c'est l'ouragan Andrew qui, en 1992, causa le plus de dommages: près de 25 milliards de dollars américains.
L'OURAGAN AYANT CAUSÉ LE PLUS GRAND RAZ DE MARÉE:
Celui de Bathurst Bay en Australie, en 1899, a causé des vagues déferlantes de 13 mètres!
L'INTENSIFICATION LA PLUS RAPIDE:
Le typhon Forrest, en septembre 1983 dans le nord-ouest du Pacifique, a vu sa pression barométrique descendre de 97,6 à 87,6 kPas en 24 heures. Les vents, eux, ont augmenté de 55 km/h en 6 heures et sont passés de 120 à 278 km/h en 24 heures.
LES 3 OURAGANS LES PLUS INTENSES AYANT TOUCHÉ LES E-U DE 1900 À 1994:
L'ouragan du "Labor Day" - les Keys en Floride (1935). Catégorie 5; pression centrale: 892 mb; précipitations: 66,88 cm.
Camille - Louisiane/Mississipi (1969). Cat.: 5; press.: 909 mb; préc.: 67,1 cm.
Andrew - Floride sud-est (1992). Cat.: 4; press.: 922 mb; préc.: 68 cm.
LES 3 OURAGANS "LES PLUS DISPENDIEUX" AYANT TOUCHÉ LES E-U DE 1900 À 1994:
(ajusté à la valeur monétaire de 1990 - sauf pour Andrew)
Andrew - Floride/Louisiane (1992). Catégorie 4; coût: 25 milliards de dollars américains.
Hugo - Caroline du sud (1989). Cat.: 4; coût: 7 milliards de dollars américains.
Betsy - Floride/Louisiane (1965). Cat.: 3; coût: 6,5 milliards de dollars américains.
LES 3 OURAGANS LES PLUS MEURTRIERS AYANT TOUCHÉ LES E-U DE 1900 À 1994:
Non-nommé - Galveston, Texas (1900). Catégorie 4; plus de 6000 décès.
Non-nommé - Lake Okeechobee, Floride (1928). Cat.: 4; 1836 décès.
Non-nommé - Keys en Floride/Texas (1919). Cat.: 4; de 600 à 900 décès. --Message edité par °Cybelle° le 2005-07-13 20:32:34--
RECORDS:
LES ANNÉES AVEC LE PLUS D'OURAGANS:
1993: 21 tempêtes tropicales, dont 10 ouragans.
1995: 19 tempêtes tropicales, dont 11 ouragans.
1969: 18 tempêtes tropicales, dont 12 ouragans.
1887: 17 tempêtes tropicales, dont 10 ouragans.
En moyenne (1886-1994): 8,4 tempêtes tropicales et 4,9 ouragans.
LE PLUS DE PRÉCIPITATIONS:
en 12 heures: 1144 mm. Cyclone tropical Denise (7-8 janvier 1966), île de la Réunion.
en 24 heures: 1825 mm. Cyclone tropical Denise (7-8 janvier 1966), île de la Réunion.
en 48 heures: 2467 mm. Cyclone non-nommé, (8-10 avril 1958), île de la Réunion.
en 72 heures: 3240 mm. Cyclone tropical Hyacinthe (24-27 janvier 1980), île de la Réunion.
en 10 jours: 5678 mm. Cyclone tropical Hyacinthe (18-27 janvier 1980), île de la Réunion.
LE PLUS GRAND:
Les vents du typhon Tip, de 54 km/h et plus, soufflaient dans un rayon de 1100 km du centre de l'ouragan, le 12 octobre 1979 dans le nord-ouest du Pacifique.
LE PLUS PETIT:
Le 24 décembre 1974, les vents de plus de 54 km/h du cyclone tropical Tracy ne s'étendaient que jusque dans un rayon de 50 km.
LA DURÉE DE VIE LA PLUS LONGUE:
L'ouragan/typhon John a duré 31 jours en août et septembre 1994. Il a pris naissance dans le nord-est du Pacifique (ouragan John), puis a traversé la ligne de jour pour se retrouver dans le nord-ouest du Pacifique (typhon John), pour finalement retraverser cette ligne et redevenir l'ouragan John.
Il y eut aussi l'ouragan Ginger, dans l'Atlantique nord, qui a duré 28 jours en 1971.
LE PLUS INTENSE:
Le typhon Tip, dans le nord-ouest du Pacifique, avait une pression de 87,0 kPa. C'est la plus basse jamais enregistrée. Les vents étaient alors de 306 km/h.
Pour ce qui est de l'Atlantique, c'est Gilbert qui, vers la mi-septembre 1988, eut la pression la plus basse: 88,8 kPa. Mais lorsqu'il toucha la terre américaine, il était devenu dépression tropicale. Point de vue vents, Camille (1969) et Allen (1980) ne laissaient pas leur place avec des vents dont on a estimé la force à plus de 300 km/h.
LE PLUS DE DÉCÈS:
L'ouragan du Bengladesh, en 1970, a causé le plus de mortalité; au moins 300000 personnes furent submergées par les vagues déferlantes.
ET DE DOMMAGES MATÉRIELS:
Monétairement, c'est l'ouragan Andrew qui, en 1992, causa le plus de dommages: près de 25 milliards de dollars américains.
L'OURAGAN AYANT CAUSÉ LE PLUS GRAND RAZ DE MARÉE:
Celui de Bathurst Bay en Australie, en 1899, a causé des vagues déferlantes de 13 mètres!
L'INTENSIFICATION LA PLUS RAPIDE:
Le typhon Forrest, en septembre 1983 dans le nord-ouest du Pacifique, a vu sa pression barométrique descendre de 97,6 à 87,6 kPas en 24 heures. Les vents, eux, ont augmenté de 55 km/h en 6 heures et sont passés de 120 à 278 km/h en 24 heures.
LES 3 OURAGANS LES PLUS INTENSES AYANT TOUCHÉ LES E-U DE 1900 À 1994:
L'ouragan du "Labor Day" - les Keys en Floride (1935). Catégorie 5; pression centrale: 892 mb; précipitations: 66,88 cm.
Camille - Louisiane/Mississipi (1969). Cat.: 5; press.: 909 mb; préc.: 67,1 cm.
Andrew - Floride sud-est (1992). Cat.: 4; press.: 922 mb; préc.: 68 cm.
LES 3 OURAGANS "LES PLUS DISPENDIEUX" AYANT TOUCHÉ LES E-U DE 1900 À 1994:
(ajusté à la valeur monétaire de 1990 - sauf pour Andrew)
Andrew - Floride/Louisiane (1992). Catégorie 4; coût: 25 milliards de dollars américains.
Hugo - Caroline du sud (1989). Cat.: 4; coût: 7 milliards de dollars américains.
Betsy - Floride/Louisiane (1965). Cat.: 3; coût: 6,5 milliards de dollars américains.
LES 3 OURAGANS LES PLUS MEURTRIERS AYANT TOUCHÉ LES E-U DE 1900 À 1994:
Non-nommé - Galveston, Texas (1900). Catégorie 4; plus de 6000 décès.
Non-nommé - Lake Okeechobee, Floride (1928). Cat.: 4; 1836 décès.
Non-nommé - Keys en Floride/Texas (1919). Cat.: 4; de 600 à 900 décès. --Message edité par °Cybelle° le 2005-07-13 20:32:34--
oui tres intéressant l,histoire des ouragans mais ont entends moins parlés des ouraqgans dans le pacifique coté amérique dommage
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Je ne sais pas pourquoi p-e parce les médias en parlent moins...surement parce que les conséquences ce n'est pas nous qui les subissons...(physiquement et matéirellement) alors ca a p-e moins d'importance pour eux...Notre société est tellement individualiste...
ce n'est pas parce qu'on en entends pas parler qu'il n'y en a pas....
et merci pour le lien! c'Est tres apprécié...
Pourtant qu'on disent cyclone, ouragan ou typhon: les noms changent dépendamment d'ou l'on vient mais désignent le même phénomène météorologique, c'est-à-dire une dépressions tropicales, capable de dégager une puissance de 200 kilotonnes, soit dix fois celle de la bombe d'Hiroshima. --Message edité par °Cybelle° le 2005-07-13 20:58:15--
ce n'est pas parce qu'on en entends pas parler qu'il n'y en a pas....
et merci pour le lien! c'Est tres apprécié...
Pourtant qu'on disent cyclone, ouragan ou typhon: les noms changent dépendamment d'ou l'on vient mais désignent le même phénomène météorologique, c'est-à-dire une dépressions tropicales, capable de dégager une puissance de 200 kilotonnes, soit dix fois celle de la bombe d'Hiroshima. --Message edité par °Cybelle° le 2005-07-13 20:58:15--
oui p-etre c'est a cause qu'on ai du coté atlantique aussialors ce qui se passe coté pacigique intéresse pas les media de ce coté ci
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Climat
La Grenade durement touchée par Emily
Michael Bascombe
Associated Press
St. George, Grenade
L'ouragan Emily a frappé tôt jeudi l'île de la Grenade, dans les Caraïbes, tuant au moins un homme, soufflant les vitres de l'hôpital flambant neuf de la capitale, St. George, détruisant des récoltes et provoquant des inondations.
À 14h GMT, l'oeil du cyclone se trouvait à 900 kilomètres au sud-est de Saint-Domingue, la capitale de la République dominicaine, qui comme Haïti, a émis une alerte aux tempêtes tropicales pour son littoral sud. Emily marche sur les traces de l'ouragan Dennis, qui a fait au moins 25 morts à Haïti et 16 à Cuba la semaine dernière.
Ex-tempête tropicale qui s'est transformée en ouragan mercredi, Emily a particulièrement affecté la partie nord de la Grenade, et deux îles de cet État insulaire, Carriacou et Petite Martinique, selon les autorités locales.
«De nombreuses parties de la Grenade ont subi des dégâts sérieux», a souligné Rawle Titus, un porte-parole de l'Agence nationale de gestion des catastrophes. Un homme d'une quarantaine d'années a été tué chez lui dans la paroisse de Saint Andrew par un glissement de terrain, selon les autorités.
Dans la capitale, St. George, les vents violents ont soufflé les vitres d'un nouvel hôpital construit avec l'aide du gouvernement cubain, provoquant une inondation. À Carriacou, le cyclone a endommagé le toit du seul hôpital sur place et contraint à l'évacuation des patients. Ailleurs dans le pays, des bâtiments ont été endommagés, des rues inondées et des récoltes détruites.
Les autorités ont demandé aux habitants de rester chez eux ou dans des abris, où 1600 personnes ont trouvé refuge, le temps qu'elles évaluent les dommages. La Grenade a subi les assauts d'Emily alors qu'elle n'est pas encore remise du passage dévastateur de l'ouragan Ivan l'an dernier.
Accompagnée de vents soufflant à 160 km/h, Emily a provoqué une forte houle et des pluies sur les côtes du Venezuela, où des pétroliers étaient bloqués à quai en raison du mauvais temps.
À Trinidad, des inondations ont été signalées et une maison emportée par les flots.
Les Antilles néerlandaises ont publié un avis de tempête tropicale pour les îles de Bonaire, Curaçao et Aruba. La même disposition a été prise pour la côte nord du Venezuela.
La Grenade durement touchée par Emily
Michael Bascombe
Associated Press
St. George, Grenade
L'ouragan Emily a frappé tôt jeudi l'île de la Grenade, dans les Caraïbes, tuant au moins un homme, soufflant les vitres de l'hôpital flambant neuf de la capitale, St. George, détruisant des récoltes et provoquant des inondations.
À 14h GMT, l'oeil du cyclone se trouvait à 900 kilomètres au sud-est de Saint-Domingue, la capitale de la République dominicaine, qui comme Haïti, a émis une alerte aux tempêtes tropicales pour son littoral sud. Emily marche sur les traces de l'ouragan Dennis, qui a fait au moins 25 morts à Haïti et 16 à Cuba la semaine dernière.
Ex-tempête tropicale qui s'est transformée en ouragan mercredi, Emily a particulièrement affecté la partie nord de la Grenade, et deux îles de cet État insulaire, Carriacou et Petite Martinique, selon les autorités locales.
«De nombreuses parties de la Grenade ont subi des dégâts sérieux», a souligné Rawle Titus, un porte-parole de l'Agence nationale de gestion des catastrophes. Un homme d'une quarantaine d'années a été tué chez lui dans la paroisse de Saint Andrew par un glissement de terrain, selon les autorités.
Dans la capitale, St. George, les vents violents ont soufflé les vitres d'un nouvel hôpital construit avec l'aide du gouvernement cubain, provoquant une inondation. À Carriacou, le cyclone a endommagé le toit du seul hôpital sur place et contraint à l'évacuation des patients. Ailleurs dans le pays, des bâtiments ont été endommagés, des rues inondées et des récoltes détruites.
Les autorités ont demandé aux habitants de rester chez eux ou dans des abris, où 1600 personnes ont trouvé refuge, le temps qu'elles évaluent les dommages. La Grenade a subi les assauts d'Emily alors qu'elle n'est pas encore remise du passage dévastateur de l'ouragan Ivan l'an dernier.
Accompagnée de vents soufflant à 160 km/h, Emily a provoqué une forte houle et des pluies sur les côtes du Venezuela, où des pétroliers étaient bloqués à quai en raison du mauvais temps.
À Trinidad, des inondations ont été signalées et une maison emportée par les flots.
Les Antilles néerlandaises ont publié un avis de tempête tropicale pour les îles de Bonaire, Curaçao et Aruba. La même disposition a été prise pour la côte nord du Venezuela.
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Le vendredi 15 juillet 2005
Photo AFP
Climat
Emily menace la Jamaïque
Agence France-Presse
Miami
Le cylone Emily, affaibli, menace la Jamaïque et poursuit sa route vers les côtes mexicaines, selon le dernier bulletin du Centre national des ouragans basé à Miami.
Deuxième cyclone de la saison dans la région des Caraïbes après Dennis, Emily a été reclassé en catégorie 2 sur l'échelle Saffir-Simpson qui en compte 5. Il était classé en catégorie 3 (cyclone majeur) depuis vendredi.
À 21h00 GMT, le centre du cyclone se trouvait à 565 kilomètres au sud-est de Kingston (Jamaïque) et se déplaçait vers l'ouest à la vitesse de 32 km/h.
Cette tendance devrait se maintenir au cours de la nuit de vendredi à samedi avant que la dépression s'oriente vers l'ouest-nord-ouest samedi. Selon cette trajectoire, le centre d'Emily devrait passer à environ 70 kilomètres des côtes sud de la Jamaïque dans les prochaines 24 heures et pourrait causer des dégâts sur l'île.
Les vents maximaux au centre ont baissé pour s'établir à 165 km/h avec des rafales plus fortes. Il ne devrait pas changer d'intensité au cours des prochaines 24 heures.
Les vents de force cyclonique s'étendaient jusqu'à 55 kilomètres du centre et les vents de force tempête jusqu'à 220 kilomètres.
Un avis d'alerte cyclonique est en vigueur pour les îles Caïmans et la Jamaïque tandis qu'un avis de tempête tropicale a été décrété pour une partie des côtes sud de la République Dominicaine et d'Haïti.
Pour le moment, aucune victime n'a été signalée en raison du passage d'Emily.
Le passage du cyclone Dennis la semaine dernière a fait au moins 62 morts en Haïti, Jamaïque, Cuba et aux États-Unis et d'importants dégâts matériels.
Photo AFP
Climat
Emily menace la Jamaïque
Agence France-Presse
Miami
Le cylone Emily, affaibli, menace la Jamaïque et poursuit sa route vers les côtes mexicaines, selon le dernier bulletin du Centre national des ouragans basé à Miami.
Deuxième cyclone de la saison dans la région des Caraïbes après Dennis, Emily a été reclassé en catégorie 2 sur l'échelle Saffir-Simpson qui en compte 5. Il était classé en catégorie 3 (cyclone majeur) depuis vendredi.
À 21h00 GMT, le centre du cyclone se trouvait à 565 kilomètres au sud-est de Kingston (Jamaïque) et se déplaçait vers l'ouest à la vitesse de 32 km/h.
Cette tendance devrait se maintenir au cours de la nuit de vendredi à samedi avant que la dépression s'oriente vers l'ouest-nord-ouest samedi. Selon cette trajectoire, le centre d'Emily devrait passer à environ 70 kilomètres des côtes sud de la Jamaïque dans les prochaines 24 heures et pourrait causer des dégâts sur l'île.
Les vents maximaux au centre ont baissé pour s'établir à 165 km/h avec des rafales plus fortes. Il ne devrait pas changer d'intensité au cours des prochaines 24 heures.
Les vents de force cyclonique s'étendaient jusqu'à 55 kilomètres du centre et les vents de force tempête jusqu'à 220 kilomètres.
Un avis d'alerte cyclonique est en vigueur pour les îles Caïmans et la Jamaïque tandis qu'un avis de tempête tropicale a été décrété pour une partie des côtes sud de la République Dominicaine et d'Haïti.
Pour le moment, aucune victime n'a été signalée en raison du passage d'Emily.
Le passage du cyclone Dennis la semaine dernière a fait au moins 62 morts en Haïti, Jamaïque, Cuba et aux États-Unis et d'importants dégâts matériels.
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Le samedi 16 juillet 2005
Photo AP
Un homme s'accroche tant bien que mal à un tronc d'arbre pour éviter d'être emporté par les vagues provoquées par le passage d'Emily en Jamaïque.
Emily frappe la Jamaïque
L'ouragan le plus violent cette saison dans l'Atlantique
Associated Press
Kingston
L'ouragan Emily, arrivé samedi sur la Jamaïque, est devenu le plus violent ouragan jamais observé à cette saison dans l'Atlantique, et pourrait passer en catégorie 5 avec des vents soufflant jusqu'à 250 km/h.
Si les vents se maintiennent à la vitesse de 250 km/h, Emily sera classée en catégorie 5, la plus haute sur l'échelle de Saffir-Simpson, a déclaré le Centre national américain des ouragans de Miami.
C'est l'ouragan le plus important à s'être jamais formé aussi tôt dans la saison sur l'océan Atlantique depuis 1860, date à laquelle la violence des ouragans a commencé à être enregistrée, a affirmé le météorologue Dave Roberts.
Deuxième ouragan important de la saison dans l'Atlantique, Emily est passé au sud de la Jamaïque, et devait près de l'île de Grand Cayman avant de s'abattre, probablement dimanche soir, sur la Presqu'Ile du Yucatan, où les autorités mexicaines ont lancé l'évacuation de plus de 125 000 personnes.
Dans l'État de Quintana Roo, l'évacuation de 85 000 personnes devait commencer samedi, a annoncé la ministre du Tourisme Gabriela Rodriguez.
Les autorités ont également ordonné le relogement dimanche matin à Cancun de 30 000 touristes, dont 70 % sont étrangers, dans des hôtels plus grands et mieux abrités. Moins de 2 000 personnes ont déjà été évacuées des îles aux large du Yucatan.
Samedi soir, l'oeil d'Emily se trouvait à peu près 210km au sud-ouest de Kingston en Jamaïque, et à 315 km au sud-est de Grand Cayman. Emily se déplaçait vers l'ouest-nord-ouest à la vitesse de 30km/h.
Photo AP
Un homme s'accroche tant bien que mal à un tronc d'arbre pour éviter d'être emporté par les vagues provoquées par le passage d'Emily en Jamaïque.
Emily frappe la Jamaïque
L'ouragan le plus violent cette saison dans l'Atlantique
Associated Press
Kingston
L'ouragan Emily, arrivé samedi sur la Jamaïque, est devenu le plus violent ouragan jamais observé à cette saison dans l'Atlantique, et pourrait passer en catégorie 5 avec des vents soufflant jusqu'à 250 km/h.
Si les vents se maintiennent à la vitesse de 250 km/h, Emily sera classée en catégorie 5, la plus haute sur l'échelle de Saffir-Simpson, a déclaré le Centre national américain des ouragans de Miami.
C'est l'ouragan le plus important à s'être jamais formé aussi tôt dans la saison sur l'océan Atlantique depuis 1860, date à laquelle la violence des ouragans a commencé à être enregistrée, a affirmé le météorologue Dave Roberts.
Deuxième ouragan important de la saison dans l'Atlantique, Emily est passé au sud de la Jamaïque, et devait près de l'île de Grand Cayman avant de s'abattre, probablement dimanche soir, sur la Presqu'Ile du Yucatan, où les autorités mexicaines ont lancé l'évacuation de plus de 125 000 personnes.
Dans l'État de Quintana Roo, l'évacuation de 85 000 personnes devait commencer samedi, a annoncé la ministre du Tourisme Gabriela Rodriguez.
Les autorités ont également ordonné le relogement dimanche matin à Cancun de 30 000 touristes, dont 70 % sont étrangers, dans des hôtels plus grands et mieux abrités. Moins de 2 000 personnes ont déjà été évacuées des îles aux large du Yucatan.
Samedi soir, l'oeil d'Emily se trouvait à peu près 210km au sud-ouest de Kingston en Jamaïque, et à 315 km au sud-est de Grand Cayman. Emily se déplaçait vers l'ouest-nord-ouest à la vitesse de 30km/h.
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Le dimanche 17 juillet 2005
Photo AP
Des touristes sont évacués de leur hôtel à Cancun.
Arrivée imminente d'Emily
Les touristes fuient Cancun
Mark Stevenson
AP, PC
Cancun, Mexique
Les touristes nerveux quittaient à la hâte les hôtels de la côte à Cancun dimanche pour entrer dans les terres avant l'arrivée imminente, prévue dimanche soir ou tôt lundi, de l'ouragan Emily, dont les vents fouettaient déjà la péninsule du Yucatan.
La tempête avait frappé la Jamaïque, samedi, laissant derrière elle quatre morts. Aussi, deux occupants d'un hélicoptère ont péri dans son écrasement dans le golfe du Mexique, tandis que plus de 15 500 travailleurs ont été évacué des plate-formes de forage pétrolier au large.
Informations complémentaires
> Fermeture de l'aéroport de Cancun avant le passage d'Emily
> Emily devrait frapper la côte mexicaine
> L'ouragan le plus violent cette saison dans l'Atlantique
L'ouragan de catégorie 4 a déferlé sur la côte sud de la Jamaïque, puis a effectué un crochet vers le sud, épargnant ainsi les îles Caïman. Ensuite, il s'est aligné sur le Mexique, poussant des vents de 235 km-h. Il devait aborder Cancun dimanche en soirée ou dans la nuit de lundi.
L'organisme américain responsable de la surveillance des ouragans prévoyait un affaiblissement d'Emily sur la péninsule, en route vers le golfe.
L'ouragan devrait de nouveau toucher les côtes mercredi, quelque part entre le nord-est du Mexique et le sud du Texas, a indiqué le spécialiste de l'organisme basé à Miami, Jack Beven, qui a ajouté qu'il était prématuré de préciser le point de contact exact.
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Pendant ce temps, une flotte d'autocars acheminait les 30 000 touristes — dont 70 pour cent d'étrangers — de Cancun vers des refuges temporaires, tandis que de 70 000 à 80 000 personnes étaient évacuées de l'État de Quintana Roo.
Environ 200 passagers qui devaient s'envoler de Cancun vers Toronto samedi soir sont restés coincés en raison de l'annulation de leur vol. Un véhicule d'entretien de l'aéroport a endommagé l'une des ailes de l'appareil, a expliqué Sheila Whaley, porte-parole des lignes aériennes qui assurait la liaison, Skyservice. Les voyageurs allaient être amenés dans un centre des congrès à Merida, à quatre heures de Cancun, a précisé la porte-parole.
On ne rapporte aucun Canadien mort ou blessé aux îles Caïman, en Jamaïque, ou dans les autres régions déjà touchées, a fait savoir Dan McTeague, secrétaire parlementaire du ministre des Affaires étrangères Pierre Pettigrew.
À Cancun, des centaines de touristes étrangers attendaient les cars. D'autres étaient au coude-à-coude sur des coussins de sol dans des gymnases près du centre de la ville, réputée pour ses plages, ses complexes hôteliers et ses boîtes de nuit.
De l'eau embouteillée et des sandwiches gratuits étaient distribués aux évacués en attente.
Le maire de l'endroit, Francisco Alor, a dit que la ville se préparait pour un impact frontal. Sur la bande de terre où se concentre la majorité des hôtels, la plupart des commerces étaient barricadés et les feux de circulation avaient été enlevés.
«Cet ouragan file avec la même force que Gilbert», a-t-il dit, évoquant cette tempête de 1988 qui avait tué 300 personnes au Mexique et dans les Antilles. À l'époque, la région ne disposait que de 8000 chambres d'hôtels, alors que ce chiffre s'élève aujourd'hui à plus de 50 000.
Les autorités hôtelières et touristiques avaient fait savoir que les touristes logés dans les établissements du bord de mer seraient relocalisés dans des salles de bal et de congrès d'hôtel mieux protégés, mais les premières vagues de «sinistrés» ont été conduits dans des gymnases et des écoles publiques.
Samedi, les pluies torrentielles ont noyé la côte sud de la Jamaïque en emportant au moins trois résidences. Un véhicule roulant sur une route inondée a été projeté au bas d'une falaise, avec à bord, un homme, une femme, une petite fille de cinq ans et un bébé, a déclaré la police. Les sauveteurs ont finalement trouvé les corps prisonniers du véhicule, rempli de boue et de débris.
Les îles Caïman s'en sont tirées dimanche sans grand dommage. L'an dernier, elles avaient été dévastées par trois tempêtes, Frances, Ivan, et Jeanne.
Si les vents atteignent la vitesse de 250 km-h, Emily sera classée en catégorie 5, la plus haute sur l'échelle de Saffir-Simpson, a déclaré le Centre national américain des ouragans de Miami. Samedi soir, ses vents se sont renforcés à près de 250 km-h, avant de retomber à 240 km-h. Selon le météorologue Dave Roberts, c'est l'ouragan le plus important à s'être jamais formé aussi tôt dans la saison sur l'Atlantique depuis 1860, date à laquelle leur niveau de force a commencé à être enregistrée.
La compagnie pétrolière d'État Petroleos Mexicanos a également ordonné l'évacuation de plus de 15 500 personnes employées sur ses plate-formes du golfe du Mexique. Soixante-trois puits de forage ont été fermés, réduisant la production de 480 000 barils par jour, a annoncé la compagnie dans un communiqué.
Dimanche soir, l'oeil de l'ouragan se trouvait à environ 220 km au sud-est de l'île mexicaine de Cozumel, au sud de Cancun, s'approchant de la péninsule du Yucatan à la vitesse de 30 km-h.
Les touristes de Cozumel avaient aussi été déplacées dans des installations moins exposées, alors que les habitants se préparaient à se réfugier dans les écoles de l'île, presque directement sur la trajectoire d'Emily.
Emily survient juste après le passage de l'ouragan Dennis, qui a fait au moins 25 morts à Haïti et 16 à Cuba la semaine dernière. Les météorologues ont prédit jusqu'à 15 tempêtes tropicales cette année dans l'Atlantique, dont trois à cinq ouragans. La saison débute le 1er juin pour s'achever le 30 novembre.
Photo AP
Des touristes sont évacués de leur hôtel à Cancun.
Arrivée imminente d'Emily
Les touristes fuient Cancun
Mark Stevenson
AP, PC
Cancun, Mexique
Les touristes nerveux quittaient à la hâte les hôtels de la côte à Cancun dimanche pour entrer dans les terres avant l'arrivée imminente, prévue dimanche soir ou tôt lundi, de l'ouragan Emily, dont les vents fouettaient déjà la péninsule du Yucatan.
La tempête avait frappé la Jamaïque, samedi, laissant derrière elle quatre morts. Aussi, deux occupants d'un hélicoptère ont péri dans son écrasement dans le golfe du Mexique, tandis que plus de 15 500 travailleurs ont été évacué des plate-formes de forage pétrolier au large.
Informations complémentaires
> Fermeture de l'aéroport de Cancun avant le passage d'Emily
> Emily devrait frapper la côte mexicaine
> L'ouragan le plus violent cette saison dans l'Atlantique
L'ouragan de catégorie 4 a déferlé sur la côte sud de la Jamaïque, puis a effectué un crochet vers le sud, épargnant ainsi les îles Caïman. Ensuite, il s'est aligné sur le Mexique, poussant des vents de 235 km-h. Il devait aborder Cancun dimanche en soirée ou dans la nuit de lundi.
L'organisme américain responsable de la surveillance des ouragans prévoyait un affaiblissement d'Emily sur la péninsule, en route vers le golfe.
L'ouragan devrait de nouveau toucher les côtes mercredi, quelque part entre le nord-est du Mexique et le sud du Texas, a indiqué le spécialiste de l'organisme basé à Miami, Jack Beven, qui a ajouté qu'il était prématuré de préciser le point de contact exact.
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Pendant ce temps, une flotte d'autocars acheminait les 30 000 touristes — dont 70 pour cent d'étrangers — de Cancun vers des refuges temporaires, tandis que de 70 000 à 80 000 personnes étaient évacuées de l'État de Quintana Roo.
Environ 200 passagers qui devaient s'envoler de Cancun vers Toronto samedi soir sont restés coincés en raison de l'annulation de leur vol. Un véhicule d'entretien de l'aéroport a endommagé l'une des ailes de l'appareil, a expliqué Sheila Whaley, porte-parole des lignes aériennes qui assurait la liaison, Skyservice. Les voyageurs allaient être amenés dans un centre des congrès à Merida, à quatre heures de Cancun, a précisé la porte-parole.
On ne rapporte aucun Canadien mort ou blessé aux îles Caïman, en Jamaïque, ou dans les autres régions déjà touchées, a fait savoir Dan McTeague, secrétaire parlementaire du ministre des Affaires étrangères Pierre Pettigrew.
À Cancun, des centaines de touristes étrangers attendaient les cars. D'autres étaient au coude-à-coude sur des coussins de sol dans des gymnases près du centre de la ville, réputée pour ses plages, ses complexes hôteliers et ses boîtes de nuit.
De l'eau embouteillée et des sandwiches gratuits étaient distribués aux évacués en attente.
Le maire de l'endroit, Francisco Alor, a dit que la ville se préparait pour un impact frontal. Sur la bande de terre où se concentre la majorité des hôtels, la plupart des commerces étaient barricadés et les feux de circulation avaient été enlevés.
«Cet ouragan file avec la même force que Gilbert», a-t-il dit, évoquant cette tempête de 1988 qui avait tué 300 personnes au Mexique et dans les Antilles. À l'époque, la région ne disposait que de 8000 chambres d'hôtels, alors que ce chiffre s'élève aujourd'hui à plus de 50 000.
Les autorités hôtelières et touristiques avaient fait savoir que les touristes logés dans les établissements du bord de mer seraient relocalisés dans des salles de bal et de congrès d'hôtel mieux protégés, mais les premières vagues de «sinistrés» ont été conduits dans des gymnases et des écoles publiques.
Samedi, les pluies torrentielles ont noyé la côte sud de la Jamaïque en emportant au moins trois résidences. Un véhicule roulant sur une route inondée a été projeté au bas d'une falaise, avec à bord, un homme, une femme, une petite fille de cinq ans et un bébé, a déclaré la police. Les sauveteurs ont finalement trouvé les corps prisonniers du véhicule, rempli de boue et de débris.
Les îles Caïman s'en sont tirées dimanche sans grand dommage. L'an dernier, elles avaient été dévastées par trois tempêtes, Frances, Ivan, et Jeanne.
Si les vents atteignent la vitesse de 250 km-h, Emily sera classée en catégorie 5, la plus haute sur l'échelle de Saffir-Simpson, a déclaré le Centre national américain des ouragans de Miami. Samedi soir, ses vents se sont renforcés à près de 250 km-h, avant de retomber à 240 km-h. Selon le météorologue Dave Roberts, c'est l'ouragan le plus important à s'être jamais formé aussi tôt dans la saison sur l'Atlantique depuis 1860, date à laquelle leur niveau de force a commencé à être enregistrée.
La compagnie pétrolière d'État Petroleos Mexicanos a également ordonné l'évacuation de plus de 15 500 personnes employées sur ses plate-formes du golfe du Mexique. Soixante-trois puits de forage ont été fermés, réduisant la production de 480 000 barils par jour, a annoncé la compagnie dans un communiqué.
Dimanche soir, l'oeil de l'ouragan se trouvait à environ 220 km au sud-est de l'île mexicaine de Cozumel, au sud de Cancun, s'approchant de la péninsule du Yucatan à la vitesse de 30 km-h.
Les touristes de Cozumel avaient aussi été déplacées dans des installations moins exposées, alors que les habitants se préparaient à se réfugier dans les écoles de l'île, presque directement sur la trajectoire d'Emily.
Emily survient juste après le passage de l'ouragan Dennis, qui a fait au moins 25 morts à Haïti et 16 à Cuba la semaine dernière. Les météorologues ont prédit jusqu'à 15 tempêtes tropicales cette année dans l'Atlantique, dont trois à cinq ouragans. La saison débute le 1er juin pour s'achever le 30 novembre.
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
bikeuse encore pire devant une tornade moi jaimerais pas
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
L'ouragan Emily arrive au Mexique
Associated Press
Cancun
L'ouragan Emily s'est abattu sur la péninsule du Yucatan au Mexique, tôt ce matin. Les vents accompagnant la tempête ont balayé les plages blanches de la région touristique.
Selon le Centre national des ouragans à Miami, Emily a touché la terre près de Tulum, au sud de Cancun. On ne déplore aucun décès ou dommage majeur pour le moment.
Auparavant en Jamaïque, quatre morts ont été imputées à l'ouragan. Deux pilotes d'hélicoptères ont également péri hier en tentant d'évacuer une plate-forme pétrolière au large du Mexique.
La tempête de catégorie 4 a provoqué des pannes de courant et de service téléphonique sur une bonne partie de la côte de la Riviera Maya. Des écoles et couloirs d'hôtels y ont été utilisés comme centres d'hébergement.
Même si elle est devenue une tempête de catégorie 2, Emily pourrait reprendre de la vigueur au-dessus des eaux du Golfe du Mexique après avoir traversé la péninsule du Yucatan. Le nord-est du Mexique et le sud de l'État américain du Texas sont menacés.
Par mesure de précaution, près de 60 000 touristes ont été évacués hier, alors que l'aéroport de Cancun a été fermé.
La dernière grande évacuation de Cancun remontait à l'ouragan Gilbert qui a fait 300 morts au Mexique et dans les Antilles en 1988.
Associated Press
Cancun
L'ouragan Emily s'est abattu sur la péninsule du Yucatan au Mexique, tôt ce matin. Les vents accompagnant la tempête ont balayé les plages blanches de la région touristique.
Selon le Centre national des ouragans à Miami, Emily a touché la terre près de Tulum, au sud de Cancun. On ne déplore aucun décès ou dommage majeur pour le moment.
Auparavant en Jamaïque, quatre morts ont été imputées à l'ouragan. Deux pilotes d'hélicoptères ont également péri hier en tentant d'évacuer une plate-forme pétrolière au large du Mexique.
La tempête de catégorie 4 a provoqué des pannes de courant et de service téléphonique sur une bonne partie de la côte de la Riviera Maya. Des écoles et couloirs d'hôtels y ont été utilisés comme centres d'hébergement.
Même si elle est devenue une tempête de catégorie 2, Emily pourrait reprendre de la vigueur au-dessus des eaux du Golfe du Mexique après avoir traversé la péninsule du Yucatan. Le nord-est du Mexique et le sud de l'État américain du Texas sont menacés.
Par mesure de précaution, près de 60 000 touristes ont été évacués hier, alors que l'aéroport de Cancun a été fermé.
La dernière grande évacuation de Cancun remontait à l'ouragan Gilbert qui a fait 300 morts au Mexique et dans les Antilles en 1988.
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