Pour ou contre la Conquête de Mars?
NetRoll a écritBon.... ok, l'idée ne me plaît pas des masses, mais une supposition.
Si mars était en fait l'ancienne terre?
Nous étions des martiens, notre planète était polluée au maximum, elle se réchauffait plus rapidement que ce que nous pouvions contrôler, alors nous avons trouvé une autre planête un peu plus chaude, mais que nos chercheurs étaient certains de pouvoir refroidir en créant une "couche" protectrice à base d'ozone.... Nous y avons établi un camp de base, et peu à peu tous les habitants de Mars y ont été transférés laissant Mars en décrépitude avec plus aucune ressource naturelle. Le départ des martiens aura, après quelques milliers d'années, permi que la planète se refroidisse et devienne dans l'état qu'on connaît actuellement.
J'ai l'impression juste qu'on se dit qu'on a scrappé une planète, on va aller recommencer ailleurs en mettant plus d'argent pour des choses qui sont meilleurs, au lieu de mettre ces choses meilleures ici et sauver celle-ci.
Alors je serais d'avis qu'il en couterait pas mal moins cher de mettre en place ces super technologies ici plutôt que sur Mars (pense juste au temps de déplacement sauvé), mais qu'on ne veux pas parce que... ici il y a des entreprises qui font de l'argent avec ce qui pollue? Ici, on connaît la planète, on sait quelles sont ses ressources, je ne vois pas pourquoi aller sur une autre planète. Des européens ont colonisé l'amérique, et l'europe n'est pas déserte pour autant...?
Mon principal argument c'est le fait qu'en s'éparpillant sur plusieurs planètes on améliore de beaucoup les chances de survis de notre espèce. On n’a qu’à penser au sujet de Cybelle : http://forum.aceboard.net/5397-1600-27532-13-.htm --Message edité par Acrux le 2005-08-07 20:01:09--
Si mars était en fait l'ancienne terre?
Nous étions des martiens, notre planète était polluée au maximum, elle se réchauffait plus rapidement que ce que nous pouvions contrôler, alors nous avons trouvé une autre planête un peu plus chaude, mais que nos chercheurs étaient certains de pouvoir refroidir en créant une "couche" protectrice à base d'ozone.... Nous y avons établi un camp de base, et peu à peu tous les habitants de Mars y ont été transférés laissant Mars en décrépitude avec plus aucune ressource naturelle. Le départ des martiens aura, après quelques milliers d'années, permi que la planète se refroidisse et devienne dans l'état qu'on connaît actuellement.
J'ai l'impression juste qu'on se dit qu'on a scrappé une planète, on va aller recommencer ailleurs en mettant plus d'argent pour des choses qui sont meilleurs, au lieu de mettre ces choses meilleures ici et sauver celle-ci.
Alors je serais d'avis qu'il en couterait pas mal moins cher de mettre en place ces super technologies ici plutôt que sur Mars (pense juste au temps de déplacement sauvé), mais qu'on ne veux pas parce que... ici il y a des entreprises qui font de l'argent avec ce qui pollue? Ici, on connaît la planète, on sait quelles sont ses ressources, je ne vois pas pourquoi aller sur une autre planète. Des européens ont colonisé l'amérique, et l'europe n'est pas déserte pour autant...?
Mon principal argument c'est le fait qu'en s'éparpillant sur plusieurs planètes on améliore de beaucoup les chances de survis de notre espèce. On n’a qu’à penser au sujet de Cybelle : http://forum.aceboard.net/5397-1600-27532-13-.htm --Message edité par Acrux le 2005-08-07 20:01:09--
Juventus a écritC'est juste mon opinion. Pourquoi focusser sur d'autres planetes alors que nous devrions essayer de regler les problemes sur la notre! Tu dois t'en douter comme ca coute cher envoyer des vessos fusees etc. en orbite. Cet argent la ca vient de nous avec nos taxes! Quand je pense que le 2/3 du monde crevent de faim, ca me revolte de penser que l'argent qu'on donne au gouvernement va dans ce genre de chose plutot qu'a aider ceux qui en ont vraiment besoin
faut pas oublier que oui, ils vont explorer l'univers, mais que plusieurs découvertes ont étés faites dans l'espace....une étude sur des changements subis par le corps humain et par d'autres organismes vivants en impesanteur et leur adaptation à celle-ci. Cette recherche a déjà mené à des traitements pour les personnes atteintes de dystrophie musculaire....et y en a d'autres. Les missions dans l'espace ont permis de découvrir aussi de nouveaux matériaux, des recherches médicales et de nouvelles technologies. Faut pas juste voir la conquête de l'univers dans ca ;)
faut pas oublier que oui, ils vont explorer l'univers, mais que plusieurs découvertes ont étés faites dans l'espace....une étude sur des changements subis par le corps humain et par d'autres organismes vivants en impesanteur et leur adaptation à celle-ci. Cette recherche a déjà mené à des traitements pour les personnes atteintes de dystrophie musculaire....et y en a d'autres. Les missions dans l'espace ont permis de découvrir aussi de nouveaux matériaux, des recherches médicales et de nouvelles technologies. Faut pas juste voir la conquête de l'univers dans ca ;)
NetRoll a écrit
Je ne le vois pas, tk pas dans ce sujet.
Et je suppose que Mars serait à l'épreuve des dangers? Non, vraiment, à mon sens, c'est le syndrôme de "l'herbe est plus verte chez le voisin". Elle ne serait pas mieux, ce qui serait mieux c'est d'être à plusieurs endroits.
Tiens, vla le post en question
Faut-il avoir peur de 2004 MN4 ?
Cet astéroïde doit effleurer la Terre le vendredi 13 avril 2029, à une distance très inférieure à celle qui nous sépare de la Lune, peut-être même 30 000 kilomètres, soit l'altitude de nos satellites géostationnaires. Si les calculs sont confirmés d'ici là, 2004 MN 4 deviendrait alors le corps céleste à nous avoir frôlés au plus près depuis que l'homme dispose de moyens d'observation perfectionnés. Or son diamètre, d'environ 300 mètres, est bien supérieur à celui de la météorite de la Toungouska, dernier objet spatial à avoir atteint la Terre, en 1908, en libérant une énergie mille fois supérieure à celle de la bombe d'Hiroshima, qui détruisit 2 000 km2 de la Taïga sibérienne... A elle seule, 2004 MN4 concentre ainsi les craintes, les risques réels et les incertitudes nombreuses qui lestent les petits corps menaçant de tomber du ciel.
Comment les connaître ?
Lorsqu'ils sont susceptibles de couper l'orbite de la Terre, ces corps, principalement des astéroïdes, sont appelés des géocroiseurs. "D'après nos estimations, environ 2 000 d'entre eux sont potentiellement dangereux, indique François Colas, de l'Institut de mécanique céleste. On en a repéré les deux tiers." Depuis plusieurs années, un programme américain s'appuie sur deux télescopes automatiques qui servirent à détecter les satellites espions durant la guerre froide, pour observer la totalité du ciel en un mois. "Ce sont les plus gros pourvoyeurs de découvertes, dit M. Colas. Mais l'on ne sera jamais sûr de tout voir."
Pour cerner les risques, rien de tel que les bonnes vieilles probabilités. Statistiquement, un astéroïde de plusieurs dizaines de mètres de diamètre nous atteint chaque siècle. Les objets de 1 à 2 kilomètres, susceptibles de créer d'immenses dégâts dans un pays, nous frappent en moyenne tous les 500 000 ans. Les cataclysmes majeurs, tel celui qui provoqua la disparition des dinosaures il y a 65 millions d'années, n'arriveraient qu'une fois tous les 100 millions d'années.
Comment les voir venir ?
Déceler à temps, parmi les géocroiseurs, ceux qui sont susceptibles d'attenter à notre planète peut donner des migraines aux astronomes les plus chevronnés. Parce qu'il ne faut ni sous-estimer le risque ni l'exagérer. "Au début de nos observations, nous disposons de très peu d'informations sur la trajec toire du corps , explique Patrick Michel (CNRS), du laboratoire Cassiopée de l'observatoire de la Côte d'Azur, à Nice, et membre du comité Néomap, mis en place par l'Agence spatiale européenne (ESA) pour réfléchir à une prévention de ces catastrophes potentielles. Des variations infimes peuvent se propager de manière exponentielle sur le tracé de l'orbite que nous calculons." Les astronomes doivent faire appel à des probabilités qui n'excluent que rarement, dans un premier temps, un éventuel choc avec la Terre. Puis, au gré des observations, ils affinent les statistiques, qui deviennent, dans la plupart des cas, rassurantes.
2004 MN4 illustre bien ces variations. Aperçu en juin puis en décembre 2004, l'astéroïde s'est vu attribuer à la fin de ce mois une probabilité de collision avec la Terre encore jamais atteinte : 2,7 %. Début 2005, de nouveaux calculs ont relativisé le risque : 2004 MN4 ne ferait que frôler la Terre en 2029. Depuis, l'astéroïde est caché par le Soleil. "Nous le reverrons en 2013, pour constater peut-être qu'il est encore moins menaçant que prévu", prévoit M. Michel.
Qui prévenir ?
Les spécialistes ne cessent de se demander quand informer le grand public sans provoquer de panique. Plusieurs fausses alertes les ont conduits à mettre au point une échelle de risques graduée de 1 à 10 selon la taille du géocroiseur et sa probabilité d'impact avec la Terre. A chaque niveau, l'échelle de Turin, du nom du colloque où elle a été adoptée en 1999, précise qui prévenir, public ou spécialistes.
Là encore, 2004 MN4 est venu souligner les limites de ces bonnes intentions. Fin décembre, l'astéroïde est devenu le premier géocroiseur de l'histoire à se hisser au niveau 4 de l'échelle de Turin.
La nouvelle a été rendue publique, mais n'a sans doute pas rencontré le retentissement prévisible, car les yeux du grand public se sont alors rivés sur le tsunami indien. L'alerte était inutile, la panique eût été malvenue : début janvier, avec les nouvelles estimations, 2004 MN4 redescendait au premier étage. Depuis, l'échelle de Turin est au centre d'une polémique entre spécialistes. "Elle institutionnalise un système d'alerte, sans prendre en compte les barres d'erreur des calculs", estime M. Michel. Ses promoteurs viennent de repréciser les procédures d'information.
Comment s'en débarrasser [g]?
Le jour où un géocroiseur menacera vraiment la Terre, il ne faudra surtout pas faire comme dans les films. Tenter de le faire exploser serait la pire solution, de l'avis unanime. Les morceaux seraient aussi dangereux que l'ensemble. "Pour le pulvériser totalement, il faudra une énergie d'impact impossible à rassembler", ajoute M. Michel.
Entre autres scénarios, la déviation de la trajectoire est aujourd'hui privilégiée. Deep Impact n'a pas été conçue pour tester une telle possibilité. Mais d'autres projets ont été envisagés. Une fondation américaine imagine de remorquer l'importun grâce à un satellite, d'autres grâce à une voile solaire. L'ESA réfléchit au projet Don Quichotte, qui prévoit d'envoyer deux engins spatiaux vers un astéroïde. Le premier irait s'écraser sur l'astre, tandis que l'autre ("Sancho Pança"), en orbite autour du corps, l'étudierait plusieurs mois avant, pendant et après l'impact. Dans l'espoir de le voir dévier....
Je ne le vois pas, tk pas dans ce sujet.
Et je suppose que Mars serait à l'épreuve des dangers? Non, vraiment, à mon sens, c'est le syndrôme de "l'herbe est plus verte chez le voisin". Elle ne serait pas mieux, ce qui serait mieux c'est d'être à plusieurs endroits.
Tiens, vla le post en question
Faut-il avoir peur de 2004 MN4 ?
Cet astéroïde doit effleurer la Terre le vendredi 13 avril 2029, à une distance très inférieure à celle qui nous sépare de la Lune, peut-être même 30 000 kilomètres, soit l'altitude de nos satellites géostationnaires. Si les calculs sont confirmés d'ici là, 2004 MN 4 deviendrait alors le corps céleste à nous avoir frôlés au plus près depuis que l'homme dispose de moyens d'observation perfectionnés. Or son diamètre, d'environ 300 mètres, est bien supérieur à celui de la météorite de la Toungouska, dernier objet spatial à avoir atteint la Terre, en 1908, en libérant une énergie mille fois supérieure à celle de la bombe d'Hiroshima, qui détruisit 2 000 km2 de la Taïga sibérienne... A elle seule, 2004 MN4 concentre ainsi les craintes, les risques réels et les incertitudes nombreuses qui lestent les petits corps menaçant de tomber du ciel.
Comment les connaître ?
Lorsqu'ils sont susceptibles de couper l'orbite de la Terre, ces corps, principalement des astéroïdes, sont appelés des géocroiseurs. "D'après nos estimations, environ 2 000 d'entre eux sont potentiellement dangereux, indique François Colas, de l'Institut de mécanique céleste. On en a repéré les deux tiers." Depuis plusieurs années, un programme américain s'appuie sur deux télescopes automatiques qui servirent à détecter les satellites espions durant la guerre froide, pour observer la totalité du ciel en un mois. "Ce sont les plus gros pourvoyeurs de découvertes, dit M. Colas. Mais l'on ne sera jamais sûr de tout voir."
Pour cerner les risques, rien de tel que les bonnes vieilles probabilités. Statistiquement, un astéroïde de plusieurs dizaines de mètres de diamètre nous atteint chaque siècle. Les objets de 1 à 2 kilomètres, susceptibles de créer d'immenses dégâts dans un pays, nous frappent en moyenne tous les 500 000 ans. Les cataclysmes majeurs, tel celui qui provoqua la disparition des dinosaures il y a 65 millions d'années, n'arriveraient qu'une fois tous les 100 millions d'années.
Comment les voir venir ?
Déceler à temps, parmi les géocroiseurs, ceux qui sont susceptibles d'attenter à notre planète peut donner des migraines aux astronomes les plus chevronnés. Parce qu'il ne faut ni sous-estimer le risque ni l'exagérer. "Au début de nos observations, nous disposons de très peu d'informations sur la trajec toire du corps , explique Patrick Michel (CNRS), du laboratoire Cassiopée de l'observatoire de la Côte d'Azur, à Nice, et membre du comité Néomap, mis en place par l'Agence spatiale européenne (ESA) pour réfléchir à une prévention de ces catastrophes potentielles. Des variations infimes peuvent se propager de manière exponentielle sur le tracé de l'orbite que nous calculons." Les astronomes doivent faire appel à des probabilités qui n'excluent que rarement, dans un premier temps, un éventuel choc avec la Terre. Puis, au gré des observations, ils affinent les statistiques, qui deviennent, dans la plupart des cas, rassurantes.
2004 MN4 illustre bien ces variations. Aperçu en juin puis en décembre 2004, l'astéroïde s'est vu attribuer à la fin de ce mois une probabilité de collision avec la Terre encore jamais atteinte : 2,7 %. Début 2005, de nouveaux calculs ont relativisé le risque : 2004 MN4 ne ferait que frôler la Terre en 2029. Depuis, l'astéroïde est caché par le Soleil. "Nous le reverrons en 2013, pour constater peut-être qu'il est encore moins menaçant que prévu", prévoit M. Michel.
Qui prévenir ?
Les spécialistes ne cessent de se demander quand informer le grand public sans provoquer de panique. Plusieurs fausses alertes les ont conduits à mettre au point une échelle de risques graduée de 1 à 10 selon la taille du géocroiseur et sa probabilité d'impact avec la Terre. A chaque niveau, l'échelle de Turin, du nom du colloque où elle a été adoptée en 1999, précise qui prévenir, public ou spécialistes.
Là encore, 2004 MN4 est venu souligner les limites de ces bonnes intentions. Fin décembre, l'astéroïde est devenu le premier géocroiseur de l'histoire à se hisser au niveau 4 de l'échelle de Turin.
La nouvelle a été rendue publique, mais n'a sans doute pas rencontré le retentissement prévisible, car les yeux du grand public se sont alors rivés sur le tsunami indien. L'alerte était inutile, la panique eût été malvenue : début janvier, avec les nouvelles estimations, 2004 MN4 redescendait au premier étage. Depuis, l'échelle de Turin est au centre d'une polémique entre spécialistes. "Elle institutionnalise un système d'alerte, sans prendre en compte les barres d'erreur des calculs", estime M. Michel. Ses promoteurs viennent de repréciser les procédures d'information.
Comment s'en débarrasser [g]?
Le jour où un géocroiseur menacera vraiment la Terre, il ne faudra surtout pas faire comme dans les films. Tenter de le faire exploser serait la pire solution, de l'avis unanime. Les morceaux seraient aussi dangereux que l'ensemble. "Pour le pulvériser totalement, il faudra une énergie d'impact impossible à rassembler", ajoute M. Michel.
Entre autres scénarios, la déviation de la trajectoire est aujourd'hui privilégiée. Deep Impact n'a pas été conçue pour tester une telle possibilité. Mais d'autres projets ont été envisagés. Une fondation américaine imagine de remorquer l'importun grâce à un satellite, d'autres grâce à une voile solaire. L'ESA réfléchit au projet Don Quichotte, qui prévoit d'envoyer deux engins spatiaux vers un astéroïde. Le premier irait s'écraser sur l'astre, tandis que l'autre ("Sancho Pança"), en orbite autour du corps, l'étudierait plusieurs mois avant, pendant et après l'impact. Dans l'espoir de le voir dévier....
NetRoll a écritJe l'ai trouvé là .
Mais ça ne change pas mon opinion, des fois, ça vaut la peine de mettre un peu d'argent sur sa vieille auté qui est payée plutôt que de s'embarquer pour une auto neuve qui coute très cher.
Et la surpopulation ??? , on va faire quoi dans 20 ans -50 ans pour tous nous nourrir ? Et plus y a de monde , plus on pollue......
Mais ça ne change pas mon opinion, des fois, ça vaut la peine de mettre un peu d'argent sur sa vieille auté qui est payée plutôt que de s'embarquer pour une auto neuve qui coute très cher.
Et la surpopulation ??? , on va faire quoi dans 20 ans -50 ans pour tous nous nourrir ? Et plus y a de monde , plus on pollue......
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Je ne sais pas. Franchement, je ne me suis pas posé ces questions là, je ne suis pas rendu à cette étape il faut croire...
Parce qu'il ne faut pas se leurrer. Qui va aller "démarrer" la civilisation sur la lune? Les grosses entreprises qui vont se faire eux-même des milliards sur le dos des habitants des pays participants. Je présume qu'un tel projet qui a vraiment pour but le salut de la race humaine m'embarquerait, mais je sais très bien que pour l'instant, ce n'est que pour enrichir des gens déjà bien assez riche à mon goût.
Alors... je ne sais pas quoi dire, au sujet de la surpopulation entres autres, il va falloir que j'y songe pour pouvoir me forger ma propre opinion.
Au fait... faudrait que je prenne en note le nom des entreprises qui vont y travailler pour m'acheter des actions
Parce qu'il ne faut pas se leurrer. Qui va aller "démarrer" la civilisation sur la lune? Les grosses entreprises qui vont se faire eux-même des milliards sur le dos des habitants des pays participants. Je présume qu'un tel projet qui a vraiment pour but le salut de la race humaine m'embarquerait, mais je sais très bien que pour l'instant, ce n'est que pour enrichir des gens déjà bien assez riche à mon goût.
Alors... je ne sais pas quoi dire, au sujet de la surpopulation entres autres, il va falloir que j'y songe pour pouvoir me forger ma propre opinion.
Au fait... faudrait que je prenne en note le nom des entreprises qui vont y travailler pour m'acheter des actions
Pour ce qui est de la question de la surpopulation... Ça me rappelle un texte de Jacquard qui expliquait que les problèmes de la surpopulation et de la consommation des ressources... En gros, ça disait que si nous n'apprenons pas à nous modérer... Nous allons atteindre un point où même si on trouvait une deuxième terre... Si la population continue de doubler, les ressources de la deuxième terre seront épuisées à peine une génération plus tard...
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
reaper007 a écritPour ce qui est de la question de la surpopulation... Ça me rappelle un texte de Jacquard qui expliquait que les problèmes de la surpopulation et de la consommation des ressources... En gros, ça disait que si nous n'apprenons pas à nous modérer... Nous allons atteindre un point où même si on trouvait une deuxième terre... Si la population continue de doubler, les ressources de la deuxième terre seront épuisées à peine une génération plus tard...
Et Hubert Reeves d'ajouter : Si tous les habitants du monde consommaient autant d'énergie que les américains, il faudrait pas moins de 12 planètes pour tous nous accueillir!
Et Hubert Reeves d'ajouter : Si tous les habitants du monde consommaient autant d'énergie que les américains, il faudrait pas moins de 12 planètes pour tous nous accueillir!
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Je suis d'accord avec les propos de NetRoll. On a une planète à sauver, et plutôt que de le faire, on s'en sauverait? Et le besoin d'aide, il est immédiat, lui. C,est pas sur Mars qu'on va pouvoir régler la famine et le manque d,eau potable sur terre. Et comme reaper a dit, si on ne change pas notre manière de faire, c'est une planète de plus qu'on gaspillera, mais en un plus court laps de temps.
Alors ma réponse au sondage est "contre"
Alors ma réponse au sondage est "contre"
kolem a écritJe suis d'accord avec les propos de NetRoll. On a une planète à sauver, et plutôt que de le faire, on s'en sauverait? Et le besoin d'aide, il est immédiat, lui. C,est pas sur Mars qu'on va pouvoir régler la famine et le manque d,eau potable sur terre. Et comme reaper a dit, si on ne change pas notre manière de faire, c'est une planète de plus qu'on gaspillera, mais en un plus court laps de temps.
Alors ma réponse au sondage est "contre" Personne parle de se sauver ni de déménage, le principe c'est d'avoir deux maisons. Comme les retraités qui ont une maison au Québec et un autre en Floride...
Si une catastrophe arrive sur terre (une guerre nucléaire, une comète ou une météorite, ou quelque chose du genre) et que toute vie sur terre disparait (comme c'est arrivé avec les dinosaures) et bien plusieurs millions d'années d'évolution vers la complexité sera gaspillé... Alors que s’il y avait une colonie sur mars on doublerait les chances de survis de notre espèce…
Et comme dit Rénatane, un n’empêche pas l’autre, on peut très bien aller sur Mars et guérir notre planète en même temps, si c’est possible.
Alors ma réponse au sondage est "contre" Personne parle de se sauver ni de déménage, le principe c'est d'avoir deux maisons. Comme les retraités qui ont une maison au Québec et un autre en Floride...
Si une catastrophe arrive sur terre (une guerre nucléaire, une comète ou une météorite, ou quelque chose du genre) et que toute vie sur terre disparait (comme c'est arrivé avec les dinosaures) et bien plusieurs millions d'années d'évolution vers la complexité sera gaspillé... Alors que s’il y avait une colonie sur mars on doublerait les chances de survis de notre espèce…
Et comme dit Rénatane, un n’empêche pas l’autre, on peut très bien aller sur Mars et guérir notre planète en même temps, si c’est possible.
pour les cometes ou meteorite ca peut aussi tomber sur mars mais on a les moyen de se protegé pas envoyé un e bombe nucléaire pour faire explosé comme dans les films la mais les faire devier
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Earendil a écritpour les cometes ou meteorite ca peut aussi tomber sur mars mais on a les moyen de se protegé pas envoyé un e bombe nucléaire pour faire explosé comme dans les films la mais les faire devier
Oui, mais les chances que ça tombe sur deux planètes en même temps est plutôt minime
Pour ce qui est de les faire exploser, ça n'a jamais été testé de un, et de deux ; faudrait qu'on le voit venir le truc, ce qui ne serait pas nécessairement le cas... --Message edité par Acrux le 2005-08-10 15:19:57--
Oui, mais les chances que ça tombe sur deux planètes en même temps est plutôt minime
Pour ce qui est de les faire exploser, ça n'a jamais été testé de un, et de deux ; faudrait qu'on le voit venir le truc, ce qui ne serait pas nécessairement le cas... --Message edité par Acrux le 2005-08-10 15:19:57--
Tk... juste pour te dire, tu n'as pas réussi à me convaincre
On va où après Mars? Il ne reste plus beaucoup de choix
Je continue de trouver que c'est l'appât de la nouveauté. C'est neuf, il faut construire à nuveau. C'est certain que c'est plus intéressant que de "réparer" une vieille planète. Et il y a beaucoup d'argent à faire pour ceux qui auront les contrats.
On va où après Mars? Il ne reste plus beaucoup de choix
Je continue de trouver que c'est l'appât de la nouveauté. C'est neuf, il faut construire à nuveau. C'est certain que c'est plus intéressant que de "réparer" une vieille planète. Et il y a beaucoup d'argent à faire pour ceux qui auront les contrats.
C’est dans notre nature se multiplier et acquérir du territoire… Tout homme étudie depuis sa tendre enfance dans le but d’avoir un bon travail plus tard, dans le but d’avoir une bonne femme et dans le but d’avoir une belle maison, et tous ces buts mèneront au but d’avoir des enfants. Y en a pu de place, alors faut en trouver
Sinon faudra trouver un moyen vraiment drastique…
Sinon faudra trouver un moyen vraiment drastique…
NetRoll a écritTk... juste pour te dire, tu n'as pas réussi à me convaincre
On va où après Mars? Il ne reste plus beaucoup de choix
Je continue de trouver que c'est l'appât de la nouveauté. C'est neuf, il faut construire à nuveau. C'est certain que c'est plus intéressant que de "réparer" une vieille planète. Et il y a beaucoup d'argent à faire pour ceux qui auront les contrats.
On peut réparer ET créer d'autres *mondes*.....
Sinon , va falloir s'empêcher de se reproduire.....Intêressant pour les futurs générations...... Au train ou on va , c'est sur qu'il va falloir que la population baisse , car ça sera impossible de nourrir tout le monde.....d'ailleurs c'est déja le cas...... --Message edité par Renatane le 2005-08-11 10:17:28--
On va où après Mars? Il ne reste plus beaucoup de choix
Je continue de trouver que c'est l'appât de la nouveauté. C'est neuf, il faut construire à nuveau. C'est certain que c'est plus intéressant que de "réparer" une vieille planète. Et il y a beaucoup d'argent à faire pour ceux qui auront les contrats.
On peut réparer ET créer d'autres *mondes*.....
Sinon , va falloir s'empêcher de se reproduire.....Intêressant pour les futurs générations...... Au train ou on va , c'est sur qu'il va falloir que la population baisse , car ça sera impossible de nourrir tout le monde.....d'ailleurs c'est déja le cas...... --Message edité par Renatane le 2005-08-11 10:17:28--
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]