Qui veut le choix des Ducks?
Mardi 26 juillet 2005 - (D'après TSN.ca) - Les Penguins de Pittsburgh n'ont pas l'intention d'échanger leur premier choix, mais les finalistes à la loterie Sidney Crosby, les Mighty Ducks d'Anaheim, sont bien près à laisser aller le deuxième choix.
Le directeur général des Ducks, Brian Burke, soutient qu'il est prêt à transiger son deuxième choix si le prix est bon... évidemment.
"J'ai déjà reçu huit à 10 appels. Toutefois, je n'ai reçu aucune offre qui me pousserait à échanger mon choix pour le moment. Ce n'est même pas passé près", a indiqué Burke au réseau TSN. "Nous allons cependant poursuivre les discussions. Nous avons plusieurs jeunes joueurs qui sont prêts à faire le grand saut - Corey Perry, Ryan Getzlaf, Joffrey Lupul et Ladislav Smid -. Donc, si nous pouvons échanger notre choix contre un joueur établi qui pourrait bien se mêler à notre formation, nous le ferons. Si nous recevons une offre afin de baisser de quelques rangs et que nous pouvons obtenir un autre choix au repêchage, nous le ferons aussi. Nous sommes ouverts à toutes propositions."
Si les Ducks n'échangent pas leur choix contre un joueur établi, ils semblent qu'ils devront faire un choix parmi les cinq espoirs suivants: les attaquants Benoit Pouliot (Sudbury), Bobby Ryan (Owen Sound) et Gilbert Brule (Vancouver), de même que les défenseurs Jack Johnson (programme américain des moins de 18 ans) et Marc Staal (Sudbury).
Repêchage NHL
Le CH pourrait échanger son 1er choix
Trevor Timmins, directeur du personnel des joueurs chez le Canadien. (Photo PC) Jeudi 28 juillet 2005 - (PC) - Le Canadien est assuré de réclamer un joueur de qualité lors du repêchage de la LNH qui se tiendra à Ottawa, samedi. Le Tricolore a eu la chance de tirer le numéro 5 lors de la loterie "Sidney Crosby" et pourra ainsi mettre la main sur un bel espoir.
Crosby sera réclamé au premier rang par les Penguins de Pittsburgh. Mais la suite du repêchage est beaucoup plus nébuleuse. Le défenseur Jack Johnson, un Américain, l'ailier gauche Benoît Pouliot, des Wolves de Sudbury, le centre Gilbert Brulé, des Giants de Vancouver, l'ailier gauche Bobby Ryan, de l'Attack d'Owen Sound, et le centre Anze Kopitar, un Slovène, devraient être parmi les premiers à partir.
"Il s'agit de beaux espoirs", reconnaît Trevor Timmins, directeur du personnel des joueurs chez le Canadien.
"Mais il y en a autres, insiste-t-il. Je pense au gardien Carey Price, à l'ailier gauche Jack Skille et au défenseur Marc Staal. Tous ces joueurs ont des talents comparables. Leur niveau de jeu est à peu près le même. On en vient à comparer des pommes et des oranges. Leur sélection dépendra finalement des préférences de chaque équipe."
Selon les spécialistes, le repêchage de cette année est excellent pour l'équipe qui choisira au cinquième rang.
"Le cinquième rang est toujours bon, peu importe les années", corrige Timmins, manifestement emballé à l'idée de réclamer un joueur si tôt dans le repêchage.
Des options
D'après Timmins, le cinquième rang donne au Canadien différentes options.
"En plus d'avoir la chance de repêcher un bon joueur, on pourra toujours transiger afin d'améliorer notre rang de sélection, explique-t-il. Il n'est pas écarté non plus qu'on baisse d'un rang ou deux si l'offre est intéressante. Quoi qu'il en soit, nous allons devoir étudier sérieusement toutes les propositions qui nous serons faites."
Déjà, les Mighty Ducks d'Anaheim ont annoncé être disposés à céder leur deuxième rang de sélection si jamais le nouveau directeur général Brian Burke reçoit une offre qu'il ne peut refuser.
"Le repêchage de cette année est difficile à cibler en raison de la parité, dit Timmins. Il n'y a pas encore de tendance qui se dessine. On aura sans doute une meilleure idée vendredi lorsque les rumeurs vont commencer à circuler.
"Le Canadien a bien sûr sa propre liste, ajoute-t-il. Sauf que nous n'avons aucune idée des préférences des autres équipes. On ignore quels joueurs seront encore disponibles quand viendra notre tour de parler."
Timmins fait valoir que le repêchage est d'autant plus aléatoire que les jeunes peuvent avoir progressé durant l'été après avoir participé à des écoles de hockey ou des camps d'entraînement.
"Nous avons vu ces jeunes pour la dernière fois en mars ou avril, dit-il. Plusieurs mois se sont écoulés depuis. Certains ont pu s'améliorer entre-temps."
Benoît Pouliot est un bel exemple.
"Je me souviendrai toujours de la première fois que j'ai vu Pouliot, raconte Timmins. Il jouait dans le tiers 2. C'était un joueur frêle, presque chétif. Puis je l'ai revu en septembre dernier à Sudbury. Je n'en croyais pas mes yeux. C'était un joueur qui, physiquement, était complètement transformé. Comme quoi un jeune, à cet âge, peut changer très rapidement." --Message edité par GenTiL le 2005-07-28 16:56:33--
Trevor Timmins, directeur du personnel des joueurs chez le Canadien. (Photo PC) Jeudi 28 juillet 2005 - (PC) - Le Canadien est assuré de réclamer un joueur de qualité lors du repêchage de la LNH qui se tiendra à Ottawa, samedi. Le Tricolore a eu la chance de tirer le numéro 5 lors de la loterie "Sidney Crosby" et pourra ainsi mettre la main sur un bel espoir.
Crosby sera réclamé au premier rang par les Penguins de Pittsburgh. Mais la suite du repêchage est beaucoup plus nébuleuse. Le défenseur Jack Johnson, un Américain, l'ailier gauche Benoît Pouliot, des Wolves de Sudbury, le centre Gilbert Brulé, des Giants de Vancouver, l'ailier gauche Bobby Ryan, de l'Attack d'Owen Sound, et le centre Anze Kopitar, un Slovène, devraient être parmi les premiers à partir.
"Il s'agit de beaux espoirs", reconnaît Trevor Timmins, directeur du personnel des joueurs chez le Canadien.
"Mais il y en a autres, insiste-t-il. Je pense au gardien Carey Price, à l'ailier gauche Jack Skille et au défenseur Marc Staal. Tous ces joueurs ont des talents comparables. Leur niveau de jeu est à peu près le même. On en vient à comparer des pommes et des oranges. Leur sélection dépendra finalement des préférences de chaque équipe."
Selon les spécialistes, le repêchage de cette année est excellent pour l'équipe qui choisira au cinquième rang.
"Le cinquième rang est toujours bon, peu importe les années", corrige Timmins, manifestement emballé à l'idée de réclamer un joueur si tôt dans le repêchage.
Des options
D'après Timmins, le cinquième rang donne au Canadien différentes options.
"En plus d'avoir la chance de repêcher un bon joueur, on pourra toujours transiger afin d'améliorer notre rang de sélection, explique-t-il. Il n'est pas écarté non plus qu'on baisse d'un rang ou deux si l'offre est intéressante. Quoi qu'il en soit, nous allons devoir étudier sérieusement toutes les propositions qui nous serons faites."
Déjà, les Mighty Ducks d'Anaheim ont annoncé être disposés à céder leur deuxième rang de sélection si jamais le nouveau directeur général Brian Burke reçoit une offre qu'il ne peut refuser.
"Le repêchage de cette année est difficile à cibler en raison de la parité, dit Timmins. Il n'y a pas encore de tendance qui se dessine. On aura sans doute une meilleure idée vendredi lorsque les rumeurs vont commencer à circuler.
"Le Canadien a bien sûr sa propre liste, ajoute-t-il. Sauf que nous n'avons aucune idée des préférences des autres équipes. On ignore quels joueurs seront encore disponibles quand viendra notre tour de parler."
Timmins fait valoir que le repêchage est d'autant plus aléatoire que les jeunes peuvent avoir progressé durant l'été après avoir participé à des écoles de hockey ou des camps d'entraînement.
"Nous avons vu ces jeunes pour la dernière fois en mars ou avril, dit-il. Plusieurs mois se sont écoulés depuis. Certains ont pu s'améliorer entre-temps."
Benoît Pouliot est un bel exemple.
"Je me souviendrai toujours de la première fois que j'ai vu Pouliot, raconte Timmins. Il jouait dans le tiers 2. C'était un joueur frêle, presque chétif. Puis je l'ai revu en septembre dernier à Sudbury. Je n'en croyais pas mes yeux. C'était un joueur qui, physiquement, était complètement transformé. Comme quoi un jeune, à cet âge, peut changer très rapidement." --Message edité par GenTiL le 2005-07-28 16:56:33--
Jeudi 28 Juillet 2005- Tout le monde doit se demander pourquoi les Panthers de la Floride n'ont pas signé le jeune attaquant Dany Roussin.
Et bien la raison est simple, la floride avait jusqu'à 17:00 pm pour signer Roussin et ils voulaient en effet le signer, mais ils ont dépassé le temps par 3 minutes! La raison, Mike Keenan et Pat Brisson l'agent de l'attaquant négociaient et n'ont malheureusement pas vue le temps passé.
Dany Roussin Left Wing
Born Jan 9 1985 -- Qu颥c, PQ
Height 6.02 -- Weight 195 -- Shoots L
Selected by Florida Panthers round 7 #223 overall 2003 NHL Entry Draft
Regular Season Playoffs
Season Team Lge GP G A Pts PIM GP G A Pts PIM
2001-02 Sherbrooke Beavers QMJHL 66 10 14 24 38 -- -- -- -- --
2002-03 Sherbrooke Beavers QMJHL 33 8 8 16 18 -- -- -- -- --
2002-03 Rimouski Oceanic QMJHL 38 12 26 38 69 -- -- -- -- --
2003-04 Rimouski Oceanic QMJHL 66 59 58 117 70 9 2 10 12 12
2004-05 Rimouski Oceanic QMJHL 69 54 62 116 66 13 11 9 20 8 --Message edité par voyeur23 le 2005-07-29 09:22:05--
Et bien la raison est simple, la floride avait jusqu'à 17:00 pm pour signer Roussin et ils voulaient en effet le signer, mais ils ont dépassé le temps par 3 minutes! La raison, Mike Keenan et Pat Brisson l'agent de l'attaquant négociaient et n'ont malheureusement pas vue le temps passé.
Dany Roussin Left Wing
Born Jan 9 1985 -- Qu颥c, PQ
Height 6.02 -- Weight 195 -- Shoots L
Selected by Florida Panthers round 7 #223 overall 2003 NHL Entry Draft
Regular Season Playoffs
Season Team Lge GP G A Pts PIM GP G A Pts PIM
2001-02 Sherbrooke Beavers QMJHL 66 10 14 24 38 -- -- -- -- --
2002-03 Sherbrooke Beavers QMJHL 33 8 8 16 18 -- -- -- -- --
2002-03 Rimouski Oceanic QMJHL 38 12 26 38 69 -- -- -- -- --
2003-04 Rimouski Oceanic QMJHL 66 59 58 117 70 9 2 10 12 12
2004-05 Rimouski Oceanic QMJHL 69 54 62 116 66 13 11 9 20 8 --Message edité par voyeur23 le 2005-07-29 09:22:05--
Pouliot n'aura pas beaucoup de temps pour célébrer
Sylvain St-Laurent
Le Droit
Ottawa
Benoît Pouliot doit être l'adolescent à l'agenda le plus chargé de tout l'Est ontarien.
D'ordinaire, l'attaquant des Wolves de Sudbury se rend à Montréal cinq fois par semaine pour suivre son programme d'entraînement hors glace. Hier, il a fait abstraction à la routine, se rendant plutôt à Ottawa pour discuter avec les dirigeants de quelques formations de la Ligue nationale de hockey.
Deux jours avant le repêchage, les Hurricanes de la Caroline, les Mighty Ducks d'Anaheim et deux autres formations tenaient à le rencontrer.
Aujourd'hui, il sautera sur la patinoire du Bell Sensplex vers 11 h, en compagnie de Sidney Crosby et des autres plus beaux espoirs du repêchage amateur.
Demain, il saura finalement dans quelle ville il entreprendra sa carrière chez les pros. Dans le meilleur des scénarios, il sera sélectionné au deuxième rang, immédiatement derrière Sidney Crosby. Dans le pire, il sera quand même choisi parmi les 10 premiers.
Une petite célébration pourrait avoir lieu, en soirée, à la résidence familiale. Il ne faudrait cependant pas que la fête se termine aux petites heures. «Je ne pourrai pas me coucher trop tard, dit Pouliot. Je dois me lever tôt, dimanche, pour me rendre au Vermont.»
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La fin de l'été s'annonce carrément démente.
Au Vermont, Pouliot doit participer à un camp d'entraînement de quatre jours en compagnie des autres clients de son agent, Phil Lecavalier.
Il doit rentrer chez lui mercredi, afin de participer à l'Omnium de golf Bob Hartley.
Du 10 au 17 août, il sera un des joueurs les plus en vue lors du camp d'évaluation estival d'Équipe Canada Junior, en Colombie-Britannique.
Au retour, s'il n'est pas complètement éreinté, il s'élancera sur les allées du club de golf Hammond, à l'occasion du tournoi de bienfaisance de Derek Roy.
Le temps de le dire, il prendra encore l'avion pour participer à son premier camp d'entraînement chez les pros.
Horaire de fous, vous dites ?
«Un peu, mais c'est pas grave. J'aime ça», souriait le principal intéressé, cette semaine, quand Le Droit lui a rendu visite.
C'est dans la résidence familiale de Saint-Isidore - un petit village qui compte à peine un millier d'habitants - que Benoît Pouliot retrouve un peu de tranquillité.
L'endroit ressemble à n'importe quelle autre résidence où vivent de jeunes hockeyeurs.
Les sacs d'équipement sont entassés dans le garage.
À l'intérieur, des photos et des récentes coupures de presse sont placées en évidence.
Le sujet principal des reportages a l'air de n'importe quel autre adolescent quand il vous accueille : casquette Dazed and Confused bien vissée sur la tête, longues mèches qui sortent dans toutes les directions, collier de coquillages dans le cou...
Ah, oui. Quelques jours avant de se retrouver sous le feu des projecteurs, lors de l'événement qui marquera le retour du hockey professionnel de premier niveau en Amérique du Nord, il affichait une insouciance désarmante.
«J'ai juste hâte de savoir où je m'en vais. Pour le reste, je ne m'inquiète pas trop. Peu importe la destination, je serai heureux de me retrouver dans la LNH», dit-il.
On peut facilement croire Pouliot quand il dit qu'il se fiche un peu de l'organisation qui le sélectionnera.
À preuve, il trouve des aspects positifs à raconter à propos de toutes les équipes qui détiennent des choix au début de la première ronde.
Les Mighty Ducks ? Le soleil, la plage, les charmes de la grande voisine Los Angeles.
Les Hurricanes ? Des bons attaquants comme Rod Brind'Amour et Eric Staal comme coéquipiers et les beaux terrains de golf de la Caroline du Nord. Le Wild ? Évoluer dans une bonne ville de hockey.
Le Canadien ? Ses amis pourraient assister à ses matches régulièrement.
«Il doit être difficile, cependant, de jouer à Montréal.»
Benoît Pouliot aimerait faire le saut dans les rangs professionnels dès l'an prochain. Son entraîneur à Sudbury, Mike Foligno, est convaincu qu'il est assez vif et élégant sur patins pour y parvenir.
«Quand les recruteurs épient les joueurs dans les rangs juniors, ils se posent d'abord une question. Qui sont ceux qui possèdent un assez bon coup de patin pour briller dans la LNH ? Dans le cas de Benoît, je n'ai aucun doute», faisait-il valoir, récemment, sur les ondes de la station radiophonique The Team 1200.
«En plus, il comprend assez rapidement les directives. Pas besoin de lui crier par la tête pour qu'il se mette au travail.»
D'autres pensent qu'une deuxième saison dans la LHOntario ne lui ferait pas de tort.
Comme la plupart des jeunes de son âge, Benoît Pouliot est un «gars de gang.»
«Il est très fidèle en amitié. Pour lui, ses chums sont très importants», confiait cette semaine un ancien coéquipier dans le hockey mineur, le gardien des Bulls de Belleville Kevin Lalande.
Quand ils se retrouvent sur la même patinoire, lors d'un match de saison régulière, Pouliot prend souvent le temps de venir saluer son vieux copain. Il a sa façon bien particulière de dire «bonjour».
«Il m'a fait tomber sur la patinoire deux fois, la saison dernière. Il passe derrière moi et, à la toute dernière seconde, il glisse un patin ou son bâton derrière mes jambières. Il s'arrange pour que les arbitres ne le remarquent pas, et il continue à patiner comme si de rien n'était», raconte Lalande.
À l'été, Pouliot consacre ses rares moments libres à ses copains de l'Est ontarien. Il fait partie d'un petit cercle qui comprend une vingtaine de membres. Des anciens collègues de classe à l'école secondaire et des anciens coéquipiers du hockey mineur, pour la plupart.
Ils vont au cinéma, ils fréquentent des restaurants où les ailes de poulet sont abordables. Comme tous les autres jeunes de leur âge.
Pouliot n'a pas l'intention de couper les liens avec sa région d'origine, même quand il sera devenu une très grande vedette. En Californie, au Minnesota ou en Caroline du Nord, les amis de Hawkesbury et des environs seront toujours les bienvenus.
«Des joueurs peuvent changer quand ils sont repêchés et qu'ils vont jouer dans la LNH. Ce ne sera pas mon cas, promet-il. Je vais toujours demeurer un gars de Saint-Isidore.»
Benoit Pouliot Left Wing
Born Sep 29 1986 -- Ottawa, ONT
Height 6.02 -- Weight 180 -- Shoots L
Regular Season Playoffs
Season Team Lge GP G A Pts PIM GP G A Pts PIM
2003-04 Sudbury Wolves OHL 4 2 2 4 0 4 2 1 3 0
2004-05 Sudbury Wolves OHL 67 29 36 65 102 12 6 8 14 20
Sylvain St-Laurent
Le Droit
Ottawa
Benoît Pouliot doit être l'adolescent à l'agenda le plus chargé de tout l'Est ontarien.
D'ordinaire, l'attaquant des Wolves de Sudbury se rend à Montréal cinq fois par semaine pour suivre son programme d'entraînement hors glace. Hier, il a fait abstraction à la routine, se rendant plutôt à Ottawa pour discuter avec les dirigeants de quelques formations de la Ligue nationale de hockey.
Deux jours avant le repêchage, les Hurricanes de la Caroline, les Mighty Ducks d'Anaheim et deux autres formations tenaient à le rencontrer.
Aujourd'hui, il sautera sur la patinoire du Bell Sensplex vers 11 h, en compagnie de Sidney Crosby et des autres plus beaux espoirs du repêchage amateur.
Demain, il saura finalement dans quelle ville il entreprendra sa carrière chez les pros. Dans le meilleur des scénarios, il sera sélectionné au deuxième rang, immédiatement derrière Sidney Crosby. Dans le pire, il sera quand même choisi parmi les 10 premiers.
Une petite célébration pourrait avoir lieu, en soirée, à la résidence familiale. Il ne faudrait cependant pas que la fête se termine aux petites heures. «Je ne pourrai pas me coucher trop tard, dit Pouliot. Je dois me lever tôt, dimanche, pour me rendre au Vermont.»
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La fin de l'été s'annonce carrément démente.
Au Vermont, Pouliot doit participer à un camp d'entraînement de quatre jours en compagnie des autres clients de son agent, Phil Lecavalier.
Il doit rentrer chez lui mercredi, afin de participer à l'Omnium de golf Bob Hartley.
Du 10 au 17 août, il sera un des joueurs les plus en vue lors du camp d'évaluation estival d'Équipe Canada Junior, en Colombie-Britannique.
Au retour, s'il n'est pas complètement éreinté, il s'élancera sur les allées du club de golf Hammond, à l'occasion du tournoi de bienfaisance de Derek Roy.
Le temps de le dire, il prendra encore l'avion pour participer à son premier camp d'entraînement chez les pros.
Horaire de fous, vous dites ?
«Un peu, mais c'est pas grave. J'aime ça», souriait le principal intéressé, cette semaine, quand Le Droit lui a rendu visite.
C'est dans la résidence familiale de Saint-Isidore - un petit village qui compte à peine un millier d'habitants - que Benoît Pouliot retrouve un peu de tranquillité.
L'endroit ressemble à n'importe quelle autre résidence où vivent de jeunes hockeyeurs.
Les sacs d'équipement sont entassés dans le garage.
À l'intérieur, des photos et des récentes coupures de presse sont placées en évidence.
Le sujet principal des reportages a l'air de n'importe quel autre adolescent quand il vous accueille : casquette Dazed and Confused bien vissée sur la tête, longues mèches qui sortent dans toutes les directions, collier de coquillages dans le cou...
Ah, oui. Quelques jours avant de se retrouver sous le feu des projecteurs, lors de l'événement qui marquera le retour du hockey professionnel de premier niveau en Amérique du Nord, il affichait une insouciance désarmante.
«J'ai juste hâte de savoir où je m'en vais. Pour le reste, je ne m'inquiète pas trop. Peu importe la destination, je serai heureux de me retrouver dans la LNH», dit-il.
On peut facilement croire Pouliot quand il dit qu'il se fiche un peu de l'organisation qui le sélectionnera.
À preuve, il trouve des aspects positifs à raconter à propos de toutes les équipes qui détiennent des choix au début de la première ronde.
Les Mighty Ducks ? Le soleil, la plage, les charmes de la grande voisine Los Angeles.
Les Hurricanes ? Des bons attaquants comme Rod Brind'Amour et Eric Staal comme coéquipiers et les beaux terrains de golf de la Caroline du Nord. Le Wild ? Évoluer dans une bonne ville de hockey.
Le Canadien ? Ses amis pourraient assister à ses matches régulièrement.
«Il doit être difficile, cependant, de jouer à Montréal.»
Benoît Pouliot aimerait faire le saut dans les rangs professionnels dès l'an prochain. Son entraîneur à Sudbury, Mike Foligno, est convaincu qu'il est assez vif et élégant sur patins pour y parvenir.
«Quand les recruteurs épient les joueurs dans les rangs juniors, ils se posent d'abord une question. Qui sont ceux qui possèdent un assez bon coup de patin pour briller dans la LNH ? Dans le cas de Benoît, je n'ai aucun doute», faisait-il valoir, récemment, sur les ondes de la station radiophonique The Team 1200.
«En plus, il comprend assez rapidement les directives. Pas besoin de lui crier par la tête pour qu'il se mette au travail.»
D'autres pensent qu'une deuxième saison dans la LHOntario ne lui ferait pas de tort.
Comme la plupart des jeunes de son âge, Benoît Pouliot est un «gars de gang.»
«Il est très fidèle en amitié. Pour lui, ses chums sont très importants», confiait cette semaine un ancien coéquipier dans le hockey mineur, le gardien des Bulls de Belleville Kevin Lalande.
Quand ils se retrouvent sur la même patinoire, lors d'un match de saison régulière, Pouliot prend souvent le temps de venir saluer son vieux copain. Il a sa façon bien particulière de dire «bonjour».
«Il m'a fait tomber sur la patinoire deux fois, la saison dernière. Il passe derrière moi et, à la toute dernière seconde, il glisse un patin ou son bâton derrière mes jambières. Il s'arrange pour que les arbitres ne le remarquent pas, et il continue à patiner comme si de rien n'était», raconte Lalande.
À l'été, Pouliot consacre ses rares moments libres à ses copains de l'Est ontarien. Il fait partie d'un petit cercle qui comprend une vingtaine de membres. Des anciens collègues de classe à l'école secondaire et des anciens coéquipiers du hockey mineur, pour la plupart.
Ils vont au cinéma, ils fréquentent des restaurants où les ailes de poulet sont abordables. Comme tous les autres jeunes de leur âge.
Pouliot n'a pas l'intention de couper les liens avec sa région d'origine, même quand il sera devenu une très grande vedette. En Californie, au Minnesota ou en Caroline du Nord, les amis de Hawkesbury et des environs seront toujours les bienvenus.
«Des joueurs peuvent changer quand ils sont repêchés et qu'ils vont jouer dans la LNH. Ce ne sera pas mon cas, promet-il. Je vais toujours demeurer un gars de Saint-Isidore.»
Benoit Pouliot Left Wing
Born Sep 29 1986 -- Ottawa, ONT
Height 6.02 -- Weight 180 -- Shoots L
Regular Season Playoffs
Season Team Lge GP G A Pts PIM GP G A Pts PIM
2003-04 Sudbury Wolves OHL 4 2 2 4 0 4 2 1 3 0
2004-05 Sudbury Wolves OHL 67 29 36 65 102 12 6 8 14 20
Roussin admissible au repêchage
Vendredi 29 juillet 2005 - (RDS) - Dany Roussin redevient admissible au repêchage. Choix de septième ronde des Panthers de la Floride en 2003, le coéquipier de Sidney Crosby avec l'Océanic de Rimouski s'était pourtant bel et bien entendu avec l'équipe, mais l'entente n'est pas valide puisqu'elle a été reçue trop tard aux bureaux de la Ligue nationale de hockey.
Étant donné que Crosby et Roussin ont le même agent, Pat Brisson, peut-être se retrouvera-t-il à nouveau aux côtés de son ancien coéquipier.
"Que Pittsburgh le sélectionne, c'est logique. Il a sa place dans leur organisation", a souligné Brisson.
"C'est très bon s'il a la chance d'aller à Pittsburgh. Je pense que moi et Dany serions très heureux de pouvoir jouer ensemble à nouveau", a indiqué Sidney Crosby.
Vendredi 29 juillet 2005 - (RDS) - Dany Roussin redevient admissible au repêchage. Choix de septième ronde des Panthers de la Floride en 2003, le coéquipier de Sidney Crosby avec l'Océanic de Rimouski s'était pourtant bel et bien entendu avec l'équipe, mais l'entente n'est pas valide puisqu'elle a été reçue trop tard aux bureaux de la Ligue nationale de hockey.
Étant donné que Crosby et Roussin ont le même agent, Pat Brisson, peut-être se retrouvera-t-il à nouveau aux côtés de son ancien coéquipier.
"Que Pittsburgh le sélectionne, c'est logique. Il a sa place dans leur organisation", a souligné Brisson.
"C'est très bon s'il a la chance d'aller à Pittsburgh. Je pense que moi et Dany serions très heureux de pouvoir jouer ensemble à nouveau", a indiqué Sidney Crosby.
C'est bobépine ou bépine SVP
L'attention sur Crosby!
Vendredi 29 juillet 2005 - OTTAWA (PC) - Sidney Crosby a eu un avant-goût de ce qui l'attend dans la Ligue nationale lorsqu'il a dû affronter amateurs et médias à la veille du repêchage qui aura lieu samedi (12 h), à Ottawa.
L'athlète de Cole Harbour, en Nouvelle-Ecosse, a dû signer des dizaines d'autographes lors de la présentation des meilleurs espoirs faite au parc Major's Hill situé derrière le Parlement canadien. Il a dû ensuite répondre pendant 20 minutes aux questions des journalistes dans un hôtel de la capitale fédérale. Crosby s'est exprimé dans les deux langues officielles, passant tout naturellement de l'anglais au français.
Une fois cet exercice terminé, Crosby a pu quitter la salle afin de laisser toute la place à la vingtaine de joueurs qui seront réclamés dès le premier tour. On peut être certain qu'il devra remettre ça samedi lorsque les Penguins de Pittsburgh le réclameront au tout premier rang.
L'intérêt de ce repêchage réside justement dans le deuxième choix. Dans les coulisses du repêchage, le nom du défenseur Jack Johnson revient souvent. On pense que les Mighty Ducks d'Anaheim pourraient le réclamer si le directeur général Brian Burke ne transige pas d'ici là.
Johnson, un Américain, est un ami proche de Crosby, les deux jeunes ayant été des coéquipiers à l'école Shattuck-St.Mary's au Minnesota alors qu'ils avaient 15 ans. Johnson est un bon patineur doté d'un fort lancer. A six pieds un pouce et 201 livres, il pratique également un style robuste.
"À la blague, on parlait d'être repêchés premier et deuxième", a rappelé Crosby sans préciser l'ordre de sélection.
Le Canadien
Le troisième choix appartient aux Hurricanes de la Caroline. Le directeur général Jim Rutherford pourrait bien réclamer Benoît Pouliot, un ailier gauche qui serait le complément parfait au centre Eric Staal.
Pouliot, de Saint-Isidore, une petite localité située dans la région d'Ottawa, a fait sensation à Sudbury à sa première année dans la Ligue junior de l'Ontario. En 67 matchs, cet élégant patineur de six pieds trois pouces a marqué 29 buts et récolté 67 points en 67 rencontres.
"Ma progression s'explique par le fait que j'ai gagné plus de 20 livres l'été dernier. Je suis passé de 160 livres à près de 185 livres."
Pouliot n'a pas de préférence quant à sa prochaine destination. Mais il est évident que Montréal n'est pas son premier choix.
"C'est sûr que jouer à Montréal serait plus difficile, admet-il. Il y a toujours plus de pression pour un joueur francophone. Les attentes des amateurs et des journalistes sont élevées.
"D'un autre côté, Montréal est proche de chez moi", ajoute Pouliot, qui a eu la douleur de perdre son père Sylvain, décédé l'an dernier des suites d'un cancer (leucémie) à l'âge de 44 ans.
Pouliot a eu l'occasion de découvrir la métropole cet été. Il s'est entraîné en compagnie de Vincent Lecavalier pendant deux mois à raison de cinq jours par semaine. Pouliot a pour conseiller Phil Lecavalier, le frère de la vedette du Lightning de Tampa Bay.
Pouliot s'est entretenu avec toutes les équipes de la ligue à l'exception des Red Wings de Detroit et des Sénateurs d'Ottawa. Il ne cache pas ressentir une certaine nervosité à quelques heures du repêchage.
"Je dors mal depuis une semaine, admet-il. Cette nuit, j'étais réveillé à 4 heures 30. J'ai vraiment hâte à samedi."
Vendredi 29 juillet 2005 - OTTAWA (PC) - Sidney Crosby a eu un avant-goût de ce qui l'attend dans la Ligue nationale lorsqu'il a dû affronter amateurs et médias à la veille du repêchage qui aura lieu samedi (12 h), à Ottawa.
L'athlète de Cole Harbour, en Nouvelle-Ecosse, a dû signer des dizaines d'autographes lors de la présentation des meilleurs espoirs faite au parc Major's Hill situé derrière le Parlement canadien. Il a dû ensuite répondre pendant 20 minutes aux questions des journalistes dans un hôtel de la capitale fédérale. Crosby s'est exprimé dans les deux langues officielles, passant tout naturellement de l'anglais au français.
Une fois cet exercice terminé, Crosby a pu quitter la salle afin de laisser toute la place à la vingtaine de joueurs qui seront réclamés dès le premier tour. On peut être certain qu'il devra remettre ça samedi lorsque les Penguins de Pittsburgh le réclameront au tout premier rang.
L'intérêt de ce repêchage réside justement dans le deuxième choix. Dans les coulisses du repêchage, le nom du défenseur Jack Johnson revient souvent. On pense que les Mighty Ducks d'Anaheim pourraient le réclamer si le directeur général Brian Burke ne transige pas d'ici là.
Johnson, un Américain, est un ami proche de Crosby, les deux jeunes ayant été des coéquipiers à l'école Shattuck-St.Mary's au Minnesota alors qu'ils avaient 15 ans. Johnson est un bon patineur doté d'un fort lancer. A six pieds un pouce et 201 livres, il pratique également un style robuste.
"À la blague, on parlait d'être repêchés premier et deuxième", a rappelé Crosby sans préciser l'ordre de sélection.
Le Canadien
Le troisième choix appartient aux Hurricanes de la Caroline. Le directeur général Jim Rutherford pourrait bien réclamer Benoît Pouliot, un ailier gauche qui serait le complément parfait au centre Eric Staal.
Pouliot, de Saint-Isidore, une petite localité située dans la région d'Ottawa, a fait sensation à Sudbury à sa première année dans la Ligue junior de l'Ontario. En 67 matchs, cet élégant patineur de six pieds trois pouces a marqué 29 buts et récolté 67 points en 67 rencontres.
"Ma progression s'explique par le fait que j'ai gagné plus de 20 livres l'été dernier. Je suis passé de 160 livres à près de 185 livres."
Pouliot n'a pas de préférence quant à sa prochaine destination. Mais il est évident que Montréal n'est pas son premier choix.
"C'est sûr que jouer à Montréal serait plus difficile, admet-il. Il y a toujours plus de pression pour un joueur francophone. Les attentes des amateurs et des journalistes sont élevées.
"D'un autre côté, Montréal est proche de chez moi", ajoute Pouliot, qui a eu la douleur de perdre son père Sylvain, décédé l'an dernier des suites d'un cancer (leucémie) à l'âge de 44 ans.
Pouliot a eu l'occasion de découvrir la métropole cet été. Il s'est entraîné en compagnie de Vincent Lecavalier pendant deux mois à raison de cinq jours par semaine. Pouliot a pour conseiller Phil Lecavalier, le frère de la vedette du Lightning de Tampa Bay.
Pouliot s'est entretenu avec toutes les équipes de la ligue à l'exception des Red Wings de Detroit et des Sénateurs d'Ottawa. Il ne cache pas ressentir une certaine nervosité à quelques heures du repêchage.
"Je dors mal depuis une semaine, admet-il. Cette nuit, j'étais réveillé à 4 heures 30. J'ai vraiment hâte à samedi."
C'est bobépine ou bépine SVP
Dans un peu plus d'une heure Sidney sera un
Et qui sera le premier choix du Canadien ?
Le défenseur Jack Johnson qu'on compare a Chris Chelios ?
Benoit Pouliot un gros ailier talentueux qui donne des mises en échecs ?
Le défenseur Luc Bourdon des Foreurs de Val D'Or ?
Le joueur de centre format géant Anze Kopitar ?
Bobby Ryan un gros aillier de puissance ?
Le gros défenseur Marc Staal?
Le Canadien se recule de quelques rang et repêche un petit québecois soit Guillaume Latendresse des Voltigeurs ou Alex Bourret des Cataractes ?
Nous s'aurons tout cela très bientôt
Et qui sera le premier choix du Canadien ?
Le défenseur Jack Johnson qu'on compare a Chris Chelios ?
Benoit Pouliot un gros ailier talentueux qui donne des mises en échecs ?
Le défenseur Luc Bourdon des Foreurs de Val D'Or ?
Le joueur de centre format géant Anze Kopitar ?
Bobby Ryan un gros aillier de puissance ?
Le gros défenseur Marc Staal?
Le Canadien se recule de quelques rang et repêche un petit québecois soit Guillaume Latendresse des Voltigeurs ou Alex Bourret des Cataractes ?
Nous s'aurons tout cela très bientôt
Le CH sélectionne Carey Price
Carey Price Samedi 30 juillet 2005 - (RDS) - Le Canadien a causé une certaine surprise avec son choix de première ronde, le cinquième au total, en sélectionnant le gardien des Americans de Tri-City, Carey Price.
Price est un cerbère de six pieds deux pouces, 222 livres. Il était le gardien numéro un de la formation canadienne lors du dernier championnat mondial des moins de 18 ans.
Carey Price Samedi 30 juillet 2005 - (RDS) - Le Canadien a causé une certaine surprise avec son choix de première ronde, le cinquième au total, en sélectionnant le gardien des Americans de Tri-City, Carey Price.
Price est un cerbère de six pieds deux pouces, 222 livres. Il était le gardien numéro un de la formation canadienne lors du dernier championnat mondial des moins de 18 ans.
Voyeur23 a écritce choix veux dire beaucoup sur l'avenir de theo a mlt
Je ne crois pas, il ne fera pas le saut avant au moins 4 ans, et dans 4 ans Théo aura 34 ans et proche de la retraite C'est tres rare un goaler qui passe du junior à la NHL directement, il faut habituellement 1 ans de transition dans la ligue américaine
Je ne crois pas, il ne fera pas le saut avant au moins 4 ans, et dans 4 ans Théo aura 34 ans et proche de la retraite C'est tres rare un goaler qui passe du junior à la NHL directement, il faut habituellement 1 ans de transition dans la ligue américaine
Raven a écrit
Je ne crois pas, il ne fera pas le saut avant au moins 4 ans, et dans 4 ans Théo aura 34 ans et proche de la retraite C'est tres rare un goaler qui passe du junior à la NHL directement, il faut habituellement 1 ans de transition dans la ligue américaine
Un cinquième choix au repêchage qui ne fait pas le saut avant 4 ans serait un TRÈS mauvais choix............moi je voulais Benoit Pouliot ....maudit Wild --Message edité par GenTiL le 2005-07-30 12:57:04--
Je ne crois pas, il ne fera pas le saut avant au moins 4 ans, et dans 4 ans Théo aura 34 ans et proche de la retraite C'est tres rare un goaler qui passe du junior à la NHL directement, il faut habituellement 1 ans de transition dans la ligue américaine
Un cinquième choix au repêchage qui ne fait pas le saut avant 4 ans serait un TRÈS mauvais choix............moi je voulais Benoit Pouliot ....maudit Wild --Message edité par GenTiL le 2005-07-30 12:57:04--