Montoya gagne à Silverstone
Dimanche 10 juillet 2005 - SILVERSTONE (AFP) - Le Colombien Juan Pablo Montoya (McLaren-Mercedes) a remporté dimanche le Grand Prix de Formule 1 de Grande-Bretagne, en devançant l'Espagnol Fernando Alonso (Renault) et le Finlandais Kimi Raikkonen sur la seconde McLaren-Mercedes.
Montoya, troisième sur la grille, a pris un départ phénoménal et doublé le Britannique Jenson Button (BAR-Honda) dans le premier virage puis Alonso qui s'était élancé de la pole position.
Quant à Raikkonen, parti de la 12e place en raison d'une casse moteur qui l'a obligé à reculer de dix places sur la grille de départ par rapport à son temps des qualifications, il n'a pu remonter que jusqu'à la troisième place. Mais cette remontée s'est encore une fois effectuée plus à la faveur des ravitaillements que sur la piste.
Comme la semaine dernière à Magny-Cours, le Finlandais a donc concédé deux nouveaux points face à Alonso, leader de plus en plus solide du championnat du monde des pilotes qui compte désormais 26 points de plus que Raikkonen.
Néanmoins, pour la première fois depuis le début de la saison, Raikkonen et Alonso se sont véritablement et directement affrontés sur la piste.
Au 26e tour, alors que l'Espagnol venait de ravitailler pour la première fois et avait repris la piste -on le saura plus tard- avec beaucoup d'essence à bord et donc une monoplace lourde, Raikkonen qui était lui en fin de relais, faisait l'intérieur à la Renault sur une freinage.
Bloqué
Mais le Finlandais rentrait ravitailler à la fin de ce même tour et l'Espagnol reprenait sa place pour ne plus jamais être menacé par la Flèche d'argent d'Ice Man.
Dès le départ, Montoya et Alonso avaient imprimé un rythme très élevé que les poursuivants étaient incapables de suivre. Seul Raikkonen semblait pouvoir le faire, mais il était bloqué derrière la Ferrari de Michael Schumacher, lui-même ralenti par la Toyota de Jarno Trulli.
Et lorsque ce dernier s'écartait pour ravitailler au 20e tour, Raikkonen comptait déjà plus de trente secondes de retard sur le duo de tête.
Néanmoins, à la faveur de la première vague de ravitaillements, Raikkonen avait doublé Schumacher et Trulli et pointait à la 6e place au 27e passage, à 26 secondes de Montoya.
En retardant son second ravitaillement à 11 tours de l'arrivée, Alonso espérait reprendre de précieuses secondes à Montoya, mais le trafic l'en empêchait et malgré un arrêt très court, il ressortait derrière le Colombien.
Celui-ci parvenait à contenir l'Espagnol qui, voyant Raikkonen troisième mais trop loin (environ 15 secondes) pour représenter un danger, décidait de se contenter de la deuxième place.
Les Ferrari ont une nouvelle fois terminé loin des premiers: Michael Schumacher s'est classé 6e devant son coéquipier Rubens Barrichello, mais à plus d'une minute et quinze secondes de Montoya.
Classement:
1. Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes)
les 308,355 km en 1h24:29.588
(moyenne: 218,968 km/h)
2. Fernando Alonso (ESP/Renault) à 2.739
3. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes) à 14.436
4. Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) à 17.914
5. Jenson Button (GBR/BAR-Honda) à 40.264
6. Michael Schumacher (ALL/Ferrari) à 1:15.322
7. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) à 1:16.567
8. Ralf Schumacher (ALL/Toyota) à 1:19.212
9. Jarno Trulli (ITA/Toyota) à 1:20.851
10. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) à 1 tour
11. Mark Webber (AUS/Williams-BMW) à 1
12. Nick Heidfeld (ALL/Williams-BMW) à 1
13. David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) à 1
14. Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) à 1
15. Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) à 1
16. Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) à 2 tours
17. Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) à 2
18. Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) à 3 tours
19. Patrick Friesacher (AUT/Minardi-Cosworth) à 4 tours
Les autres concurrents n'ont pas été classés --Message edité par bobépine le 2005-07-10 12:47:38--
F 1
Pas de sanctions contre les équipes
Jeudi 14 juillet 2005 - PARIS (AP) - La Fédération internationale de l'automobile (FIA) a estimé jeudi que les sept écuries de Formule-1 qui avaient refusé de courir le Grand Prix des Etats-Unis pour des raisons de sécurité n'étaient pas coupables d'infractions et qu'aucune sanction ne devait donc être décidée contre elles.
Par cette décision, la FIA fait marche arrière par rapport à sa première prise de position dans cette affaire. Elle avait conclu le 29 juin que les sept écuries concernées (BMW-Williams, Mercedes-McLaren, BAR-Honda, Toyota, Sauber, Red Bull et Renault) étaient coupables de ne pas avoir possédé des pneus en état de bon fonctionnement et d'avoir refusé de courir.
Les sept écuries n'avaient pas participé au GP en raison d'un problème de pneumatiques. Leur manufacturier Michelin n'ayant pu leur assurer une sécurité totale concernant la solidité de ses produits, elles avaient effectué le tour de chauffe avant de regagner les stands sans courir. Michael Schumacher sur une Ferrari équipée de pneus Bridgestone avait remporté une course disputée à six voitures, avec seulement deux autres écuries, Jordan et Minardi.
La FIA avait ensuite fait savoir qu'elle ne prononcerait pas de sanction avant le 14 septembre.
Le sénat de la FIA, composé de huit responsables de la fédération, s'est réuni jeudi à Monaco et a conclu que les écuries avaient eu raison de suivre les recommandations de Michelin, estimant qu'elles étaient "contractuellement tenues" d'agir ainsi, selon un communiqué de la FIA.
La FIA va maintenant recommander à son conseil mondial d'abandonner les procédures de sanctions engagées contre les écuries concernées. Le conseil se prononcera dans quelques jours, selon le communiqué.
Jeudi 14 juillet 2005 - PARIS (AP) - La Fédération internationale de l'automobile (FIA) a estimé jeudi que les sept écuries de Formule-1 qui avaient refusé de courir le Grand Prix des Etats-Unis pour des raisons de sécurité n'étaient pas coupables d'infractions et qu'aucune sanction ne devait donc être décidée contre elles.
Par cette décision, la FIA fait marche arrière par rapport à sa première prise de position dans cette affaire. Elle avait conclu le 29 juin que les sept écuries concernées (BMW-Williams, Mercedes-McLaren, BAR-Honda, Toyota, Sauber, Red Bull et Renault) étaient coupables de ne pas avoir possédé des pneus en état de bon fonctionnement et d'avoir refusé de courir.
Les sept écuries n'avaient pas participé au GP en raison d'un problème de pneumatiques. Leur manufacturier Michelin n'ayant pu leur assurer une sécurité totale concernant la solidité de ses produits, elles avaient effectué le tour de chauffe avant de regagner les stands sans courir. Michael Schumacher sur une Ferrari équipée de pneus Bridgestone avait remporté une course disputée à six voitures, avec seulement deux autres écuries, Jordan et Minardi.
La FIA avait ensuite fait savoir qu'elle ne prononcerait pas de sanction avant le 14 septembre.
Le sénat de la FIA, composé de huit responsables de la fédération, s'est réuni jeudi à Monaco et a conclu que les écuries avaient eu raison de suivre les recommandations de Michelin, estimant qu'elles étaient "contractuellement tenues" d'agir ainsi, selon un communiqué de la FIA.
La FIA va maintenant recommander à son conseil mondial d'abandonner les procédures de sanctions engagées contre les écuries concernées. Le conseil se prononcera dans quelques jours, selon le communiqué.
C'est bobépine ou bépine SVP
Red Bull suit Ferrari jusqu’en 2012
Lundi 18 juillet 2005 - (RDS.CA) - Ferrari aura de la compétition sur la piste en 2008. L’écurie Red Bull Racing est devenue la deuxième équipe à s’engager avec la Formule Un jusqu’en 2012.
Dans un bref communiqué paru lundi, Red Bull Racing a confirmé son intention de prolonger son entente de 2008 à 2012.
L’écurie était l’une des trois équipes indépendantes qui n’avait pas encore indiqué si elle se joignait à la série concurrente que veulent créer les manufacturiers automobiles.
Red Bull Racing a également profité de l’occasion pour prendre part aux discussions avec la FIA et la F1 au sujet de la série actuelle.
La décision de l’écurie n’est pas surprenante puisqu’elle vient de s’entendre pour l’utilisation de moteurs Ferrari à compter de 2006. De plus, il appert que Red Bull Racing laissera tomber les pneus Michelin pour Bridgestone afin d’assister Ferrari dans la recherche.
Lundi 18 juillet 2005 - (RDS.CA) - Ferrari aura de la compétition sur la piste en 2008. L’écurie Red Bull Racing est devenue la deuxième équipe à s’engager avec la Formule Un jusqu’en 2012.
Dans un bref communiqué paru lundi, Red Bull Racing a confirmé son intention de prolonger son entente de 2008 à 2012.
L’écurie était l’une des trois équipes indépendantes qui n’avait pas encore indiqué si elle se joignait à la série concurrente que veulent créer les manufacturiers automobiles.
Red Bull Racing a également profité de l’occasion pour prendre part aux discussions avec la FIA et la F1 au sujet de la série actuelle.
La décision de l’écurie n’est pas surprenante puisqu’elle vient de s’entendre pour l’utilisation de moteurs Ferrari à compter de 2006. De plus, il appert que Red Bull Racing laissera tomber les pneus Michelin pour Bridgestone afin d’assister Ferrari dans la recherche.
C'est bobépine ou bépine SVP
Raikkonen partira premier
Samedi 23 juillet 2005 - HOCKENHEIM (AFP) - Le Finlandais Kimi Raikkonen (McLaren-Mercedes) a été impérial samedi en qualification et partira de la pole position du Grand Prix d'Allemagne de Formule 1, dimanche, avec Jenson Button (BAR-Honda) à ses côtés et les Renault d'Alonso et Fisichella derrière.
A la veille de la douzième épreuve du championnat, Raikkonen a devancé le Britannique Button de près d'une demi-seconde pour s'octroyer la septième pole position de sa carrière, la quatrième de la saison.
L'Espagnol Fernando Alonso, qui domine le championnat du monde, a concédé près de six dixièmes de seconde et partira juste derrière son rival finlandais.
Ice Man, qui n'a jamais terminé le GP d'Allemagne depuis ses débuts en F1 en 2001, espère non seulement mettre un terme à cette série noire, mais le faire avec la manière, en signant une quatrième victoire cette saison qui lui permettrait de conserver des chances pour le titre mondial.
"La voiture n'était pas parfaite et survirait dans les premiers virages", a commenté Raikkonen selon qui l'ensemble châssis-aérodynamique-moteur dont il dispose doit cependant lui permettre "de lutter pour la victoire" dimanche.
"Déstabilisé"
"J'ai perdu trois ou quatre dixièmes dans les premiers virages: il y avait du vent et j'ai été déstabilisé dans la première courbe", a expliqué Alonso, reconnaissant avoir dans la foulée "perdu un peu de confiance pour le freinage suivant".
"Je sentais qu'après ces deux premières courbes, j'étais lent, alors il a fallu beaucoup attaquer, pousser la voiture à la limite" sur le reste du tracé, a-t-il néanmoins ajouté.
Button, lui, sait qu'il aura du mal à conserver sa deuxième place à l'extinction des feux rouges dimanche.
"Les Mclaren et les Renault démarrent très bien, on verra...", a concédé le Britannique qui, au Canada, avait obtenu la pole position mais avait dû s'incliner dans les tout premiers mètres et laisser passer les deux Renault parties de la deuxième ligne.
Bien vite, donc, le GP d'Allemagne pourrait proposer le mano à mano tant attendu entre les deux prétendants au titre mondial, Alonso et Raikkonen.
Sérénité
"Les McLaren-Mercedes sont plus rapides que tout le monde depuis le début du week-end, mais nous savons qu'en course nous serons plus proches", a assuré l'Espagnol.
"Au départ, nous essaierons de passer Jenson (Button) puis de nous battre contre Kimi dès le début de la course. Si nous n'y parvenons pas, nous lutterons pour la deuxième place et si ce n'est pas possible, pour la troisième", a-t-il poursuivi avec la sérénité d'un pilote qui dispose de 26 points d'avance au classement avant les huit dernières courses.
La journée aurait pu être parfaite pour McLaren-Mercedes, qui dispute à Renault le titre constructeurs, sans une sortie de route de Juan Pablo Montoya dans le tout dernier virage de son tour chronométré. Il semblait alors en mesure de s'installer en première ligne au côté de son coéquipier, voire de lui arracher la pole position.
"Il n'y a vraiment aucune excuse, j'ai commis une erreur et perdu le contrôle de la voiture", a expliqué le bouillant Colombien qui s'élancera du fond de la grille, à côté de Narain Karthikeyan (Jordan-Toyota). L'Indien ayant fait plusieurs erreurs dans son tour chronométré a décidé de rentrer au stand avant même de passer la ligne de chronométrage, afin "de préserver les pneus".
Quant à Michael Schumacher, malgré les acclamations du public de Hockenheim, il n'a pu faire mieux que la 5e place sur la grille et n'entrevoit pas de dénouement particulièrement glorieux en course.
"J'ai tiré le maximum de la voiture en qualification, a expliqué le septuple champion du monde. En course, peut-être que je pourrai me battre avec Button, mais viser les sommets n'est pas réaliste."
Grille de départ:
1re ligne:
Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes) 1:14.320
(moyenne: 221,561 km/h)
Jenson Button (GBR/BAR-Honda) 1:14.759
2e ligne:
Fernando Alonso (ESP/Renault) 1:14.904
Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) 1:14.927
3e ligne:
Michael Schumacher (ALL/Ferrari) 1:15.006
Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 1:15.070
4e ligne:
Nick Heidfeld (ALL/Williams-BMW) 1:15.403
Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) 1:15.501
5e ligne:
Jarno Trulli (ITA/Toyota) 1:15.532
Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1:15.635
6e ligne:
David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1:15.679
Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1:15.689
7e ligne:
Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 1:16.009
Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1:16.012
8e ligne:
Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 1:16.230
Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 1:17.519
9e ligne:
Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) 1:18.313
Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) 1:18.599
10e ligne:
Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) 0
Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) 0
Samedi 23 juillet 2005 - HOCKENHEIM (AFP) - Le Finlandais Kimi Raikkonen (McLaren-Mercedes) a été impérial samedi en qualification et partira de la pole position du Grand Prix d'Allemagne de Formule 1, dimanche, avec Jenson Button (BAR-Honda) à ses côtés et les Renault d'Alonso et Fisichella derrière.
A la veille de la douzième épreuve du championnat, Raikkonen a devancé le Britannique Button de près d'une demi-seconde pour s'octroyer la septième pole position de sa carrière, la quatrième de la saison.
L'Espagnol Fernando Alonso, qui domine le championnat du monde, a concédé près de six dixièmes de seconde et partira juste derrière son rival finlandais.
Ice Man, qui n'a jamais terminé le GP d'Allemagne depuis ses débuts en F1 en 2001, espère non seulement mettre un terme à cette série noire, mais le faire avec la manière, en signant une quatrième victoire cette saison qui lui permettrait de conserver des chances pour le titre mondial.
"La voiture n'était pas parfaite et survirait dans les premiers virages", a commenté Raikkonen selon qui l'ensemble châssis-aérodynamique-moteur dont il dispose doit cependant lui permettre "de lutter pour la victoire" dimanche.
"Déstabilisé"
"J'ai perdu trois ou quatre dixièmes dans les premiers virages: il y avait du vent et j'ai été déstabilisé dans la première courbe", a expliqué Alonso, reconnaissant avoir dans la foulée "perdu un peu de confiance pour le freinage suivant".
"Je sentais qu'après ces deux premières courbes, j'étais lent, alors il a fallu beaucoup attaquer, pousser la voiture à la limite" sur le reste du tracé, a-t-il néanmoins ajouté.
Button, lui, sait qu'il aura du mal à conserver sa deuxième place à l'extinction des feux rouges dimanche.
"Les Mclaren et les Renault démarrent très bien, on verra...", a concédé le Britannique qui, au Canada, avait obtenu la pole position mais avait dû s'incliner dans les tout premiers mètres et laisser passer les deux Renault parties de la deuxième ligne.
Bien vite, donc, le GP d'Allemagne pourrait proposer le mano à mano tant attendu entre les deux prétendants au titre mondial, Alonso et Raikkonen.
Sérénité
"Les McLaren-Mercedes sont plus rapides que tout le monde depuis le début du week-end, mais nous savons qu'en course nous serons plus proches", a assuré l'Espagnol.
"Au départ, nous essaierons de passer Jenson (Button) puis de nous battre contre Kimi dès le début de la course. Si nous n'y parvenons pas, nous lutterons pour la deuxième place et si ce n'est pas possible, pour la troisième", a-t-il poursuivi avec la sérénité d'un pilote qui dispose de 26 points d'avance au classement avant les huit dernières courses.
La journée aurait pu être parfaite pour McLaren-Mercedes, qui dispute à Renault le titre constructeurs, sans une sortie de route de Juan Pablo Montoya dans le tout dernier virage de son tour chronométré. Il semblait alors en mesure de s'installer en première ligne au côté de son coéquipier, voire de lui arracher la pole position.
"Il n'y a vraiment aucune excuse, j'ai commis une erreur et perdu le contrôle de la voiture", a expliqué le bouillant Colombien qui s'élancera du fond de la grille, à côté de Narain Karthikeyan (Jordan-Toyota). L'Indien ayant fait plusieurs erreurs dans son tour chronométré a décidé de rentrer au stand avant même de passer la ligne de chronométrage, afin "de préserver les pneus".
Quant à Michael Schumacher, malgré les acclamations du public de Hockenheim, il n'a pu faire mieux que la 5e place sur la grille et n'entrevoit pas de dénouement particulièrement glorieux en course.
"J'ai tiré le maximum de la voiture en qualification, a expliqué le septuple champion du monde. En course, peut-être que je pourrai me battre avec Button, mais viser les sommets n'est pas réaliste."
Grille de départ:
1re ligne:
Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes) 1:14.320
(moyenne: 221,561 km/h)
Jenson Button (GBR/BAR-Honda) 1:14.759
2e ligne:
Fernando Alonso (ESP/Renault) 1:14.904
Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) 1:14.927
3e ligne:
Michael Schumacher (ALL/Ferrari) 1:15.006
Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 1:15.070
4e ligne:
Nick Heidfeld (ALL/Williams-BMW) 1:15.403
Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) 1:15.501
5e ligne:
Jarno Trulli (ITA/Toyota) 1:15.532
Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1:15.635
6e ligne:
David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1:15.679
Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1:15.689
7e ligne:
Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 1:16.009
Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1:16.012
8e ligne:
Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 1:16.230
Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 1:17.519
9e ligne:
Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) 1:18.313
Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) 1:18.599
10e ligne:
Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) 0
Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) 0
C'est bobépine ou bépine SVP
Michael partira premier, Jacques 15e
Samedi 30 juillet 2005 - BUDAPEST (AFP) - On ne l'avait plus vu en pole position depuis 13 courses: samedi, Michael Schumacher (Ferrari) a réussi le meilleur temps des qualifications du Grand Prix de Hongrie de Formule 1 et devancé de près d'une seconde Juan Pablo Montoya (McLaren-Mercedes) qui partira à ses côtés dimanche.
"Je ne suis pas étonné d'avoir été en mesure de lutter pour la pole position, en revanche, je suis étonné par l'écart, a lancé le septuple champion du monde. Etre en pole est une chose, mais avec un tel écart..."
Dimanche, sur le Hungaroring, où se court le 13e GP de la saison, il s'élancera pour la 64e fois de sa carrière depuis la première position sur une grille de départ. Encore une et il égale le record du Brésilien Ayrton Senna, l'un des seuls qui ne lui appartienne pas. Sa dernière pole position datait du GP du Japon 2004, l'avant dernier d'une saison qu'il avait dominée outrageusement.
Toutefois, Schumi a reconnu que la très conséquente différence avec les autres concurrents pouvait être due à la stratégie. "Tout le monde se focalise sur la pole position, mais il est encore plus important d'être du bon côté de la piste, et surtout, sur ce circuit, tout est question de stratégie", a-t-il affirmé.
De là à penser que la Ferrari embarquait très peu d'essence et effectuera un arrêt de plus que ses principaux adversaires, il n'y a qu'un pas.
"Retour"
Néanmoins, l'Allemand ne voulait pas bouder sa joie, notant avec satisfaction que sa monoplace n'avait jamais été "aussi bien" depuis le début de la saison. "C'est sans doute dû en grande partie aux nouveaux pneus Bridgestone que nous avons ici", a-t-il expliqué.
Le pilote allemand, troisième au championnat en raison des circonstances plus que par sa compétitivité, espère toutefois que ce résultat "marquera le début du retour de Ferrari" au plus haut niveau.
"Oui, Ferrari est plus rapide que nous pensions, mais je n'ai pas fait un très bon tour, la voiture survirant un peu dans les premiers virages", a noté à son tour Montoya qui a lui même devancé la Toyota de Jarno Trulli de 60/1000.
"Compte-tenu de notre stratégie, et même si nous ne savons pas ce qu'ont prévu les autres, nous avons de bonnes chances de gagner", a poursuivi le Colombien.
Son coéquipier Kimi Raikkonen, qui était largement désavantagé en s'élançant en premier pour son tour chronométré, a réussi un véritable exploit en obtenant malgré tout le quatrième temps, à une seconde de Schumacher.
"Maximum"
"J'ai l'impression d'avoir attaqué autant que possible (...), je suis content de mon tour et compte-tenu des circonstances, je pense avoir obtenu le maximum de ce que je pouvais espérer", a commenté le Finlandais. "Il est maintenant très important de réussir un bon départ", a-t-il poursuivi.
Sa satisfaction pouvait être d'autant plus grande qu'il s'élancera devant celui qu'il considère comme son seul adversaire: Fernando Alonso (Renault), solidement installé en tête du championnat du monde, mais qui s'élancera de la 6e position, aux côtés de la seconde Toyota de Ralf Schumacher.
L'Espagnol a en effet manqué son dernier virage: sorti trop large, il a mis les deux roues gauches dans l'herbe et perdu de précieux dixièmes. Sans cette erreur, il n'aurait vraisemblablement pas délogé Michael Schumacher, mais il se serait certainement qualifié devant "Ice Man".
"La voiture n'était pas équilibrée et mon tour n'a pas été propre, a analysé Alonso. J'ai perdu beaucoup de temps dans le dernier virage où j'ai manqué la trajectoire et me suis retrouvé sur la partie sale de la piste. La voiture a commencé à sous-virer, je suis passé dans l'herbe et cela m'a coûté des positions" sur la grille.
Ce résultat est d'autant plus pénalisant, a-t-il estimé, qu'il est "très difficile de doubler sur ce circuit: les seules occasions seront au départ et lors des arrêts".
Pour sa part, Jacques Villeneuve s'élancera de la 15e position au volant de sa Sauber. Son coéquipier Felipe Massa partira 14e.
Grille de départ:
1re ligne:
Michael Schumacher (ALL/Ferrari) 1:19.882
(moyenne: 197,436 km/h)
Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) 1:20.779
2e ligne:
Jarno Trulli (ITA/Toyota) 1:20.839
Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes) 1:20.891
3e ligne:
Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1:20.964
Fernando Alonso (ESP/Renault) 1:21.141
4e ligne:
Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 1:21.158
Jenson Button (GBR/BAR-Honda) 1:21.302
5e ligne:
Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) 1:21.333
Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) 1:21.787
6e ligne:
Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1:21.937
Nick Heidfeld (ALL/Williams-BMW) 1:22.086
7e ligne:
David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1:22.279
Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 1:22.565
8e ligne:
Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1:22.866
Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 1:23.495
9e ligne:
Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 1:24.443
Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) 1:25.057
10e ligne:
Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) 1:25.484
Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota)
Samedi 30 juillet 2005 - BUDAPEST (AFP) - On ne l'avait plus vu en pole position depuis 13 courses: samedi, Michael Schumacher (Ferrari) a réussi le meilleur temps des qualifications du Grand Prix de Hongrie de Formule 1 et devancé de près d'une seconde Juan Pablo Montoya (McLaren-Mercedes) qui partira à ses côtés dimanche.
"Je ne suis pas étonné d'avoir été en mesure de lutter pour la pole position, en revanche, je suis étonné par l'écart, a lancé le septuple champion du monde. Etre en pole est une chose, mais avec un tel écart..."
Dimanche, sur le Hungaroring, où se court le 13e GP de la saison, il s'élancera pour la 64e fois de sa carrière depuis la première position sur une grille de départ. Encore une et il égale le record du Brésilien Ayrton Senna, l'un des seuls qui ne lui appartienne pas. Sa dernière pole position datait du GP du Japon 2004, l'avant dernier d'une saison qu'il avait dominée outrageusement.
Toutefois, Schumi a reconnu que la très conséquente différence avec les autres concurrents pouvait être due à la stratégie. "Tout le monde se focalise sur la pole position, mais il est encore plus important d'être du bon côté de la piste, et surtout, sur ce circuit, tout est question de stratégie", a-t-il affirmé.
De là à penser que la Ferrari embarquait très peu d'essence et effectuera un arrêt de plus que ses principaux adversaires, il n'y a qu'un pas.
"Retour"
Néanmoins, l'Allemand ne voulait pas bouder sa joie, notant avec satisfaction que sa monoplace n'avait jamais été "aussi bien" depuis le début de la saison. "C'est sans doute dû en grande partie aux nouveaux pneus Bridgestone que nous avons ici", a-t-il expliqué.
Le pilote allemand, troisième au championnat en raison des circonstances plus que par sa compétitivité, espère toutefois que ce résultat "marquera le début du retour de Ferrari" au plus haut niveau.
"Oui, Ferrari est plus rapide que nous pensions, mais je n'ai pas fait un très bon tour, la voiture survirant un peu dans les premiers virages", a noté à son tour Montoya qui a lui même devancé la Toyota de Jarno Trulli de 60/1000.
"Compte-tenu de notre stratégie, et même si nous ne savons pas ce qu'ont prévu les autres, nous avons de bonnes chances de gagner", a poursuivi le Colombien.
Son coéquipier Kimi Raikkonen, qui était largement désavantagé en s'élançant en premier pour son tour chronométré, a réussi un véritable exploit en obtenant malgré tout le quatrième temps, à une seconde de Schumacher.
"Maximum"
"J'ai l'impression d'avoir attaqué autant que possible (...), je suis content de mon tour et compte-tenu des circonstances, je pense avoir obtenu le maximum de ce que je pouvais espérer", a commenté le Finlandais. "Il est maintenant très important de réussir un bon départ", a-t-il poursuivi.
Sa satisfaction pouvait être d'autant plus grande qu'il s'élancera devant celui qu'il considère comme son seul adversaire: Fernando Alonso (Renault), solidement installé en tête du championnat du monde, mais qui s'élancera de la 6e position, aux côtés de la seconde Toyota de Ralf Schumacher.
L'Espagnol a en effet manqué son dernier virage: sorti trop large, il a mis les deux roues gauches dans l'herbe et perdu de précieux dixièmes. Sans cette erreur, il n'aurait vraisemblablement pas délogé Michael Schumacher, mais il se serait certainement qualifié devant "Ice Man".
"La voiture n'était pas équilibrée et mon tour n'a pas été propre, a analysé Alonso. J'ai perdu beaucoup de temps dans le dernier virage où j'ai manqué la trajectoire et me suis retrouvé sur la partie sale de la piste. La voiture a commencé à sous-virer, je suis passé dans l'herbe et cela m'a coûté des positions" sur la grille.
Ce résultat est d'autant plus pénalisant, a-t-il estimé, qu'il est "très difficile de doubler sur ce circuit: les seules occasions seront au départ et lors des arrêts".
Pour sa part, Jacques Villeneuve s'élancera de la 15e position au volant de sa Sauber. Son coéquipier Felipe Massa partira 14e.
Grille de départ:
1re ligne:
Michael Schumacher (ALL/Ferrari) 1:19.882
(moyenne: 197,436 km/h)
Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) 1:20.779
2e ligne:
Jarno Trulli (ITA/Toyota) 1:20.839
Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes) 1:20.891
3e ligne:
Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1:20.964
Fernando Alonso (ESP/Renault) 1:21.141
4e ligne:
Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 1:21.158
Jenson Button (GBR/BAR-Honda) 1:21.302
5e ligne:
Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) 1:21.333
Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) 1:21.787
6e ligne:
Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1:21.937
Nick Heidfeld (ALL/Williams-BMW) 1:22.086
7e ligne:
David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1:22.279
Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 1:22.565
8e ligne:
Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1:22.866
Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 1:23.495
9e ligne:
Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 1:24.443
Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) 1:25.057
10e ligne:
Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) 1:25.484
Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota)
C'est bobépine ou bépine SVP
Kimi s'approche d'Alonso
Dimanche 31 juillet 2005 - BUDAPEST, Hongrie (PC) - Victime de pas mal d'ennuis mécaniques ces dernières semaines, le Finlandais Kimi Raikkonen a remporté, dimanche, le Grand Prix de Hongrie de Formule 1 sur le circuit du Hungaroring. Au volant de sa McLaren-Mercedes, il a devancé les frères Schumacher, Michael (Ferrari) et Ralf (Toyota).
"Iceman" signe la sixième victoire de sa carrière et la quatrième de la saison après Barcelone, Monaco et Montréal. Il possède désormais 61 points au classement général des pilotes derrière l'Espagnol Fernando Alonso (Renault), qui n'a fini que 11e dimanche, handicapé par la perte d'un aileron, et possède toujours 87 points au général.
"Ça s'est beaucoup mieux passé que lors de la dernière course, a confié Raikkonen en faisant référence à son abandon lors du GP d'Allemagne. C'est comme si on jetait dix points par la fenêtre, avant de les récupérer après. Ça va et ça vient."
Jacques Villeneuve (Sauber) a été contraint à l'abandon à la suite d'une perte de puissance due à la chaleur qui a provoqué une surchauffe d'une bobine d'allumage.
"Ce fut une course décevante et disputée dans la chaleur, dont l'issue nous forcera à nous élancer en mauvaise position pour les qualifications du prochain Grand Prix, a indiqué Villeneuve. La pause estivale va aider toute l'équipe et nous ferons de notre mieux en Turquie."
Sur un circuit dont la température au sol était de 45 degrés Celsius, le Finlandais a terminé avec 35,5 secondes d'avance sur Michael Schumacher, qui avait signé la veille sa première position de tête en dix mois et la 64e de sa carrière, à une longueur désormais du record d'Ayrton Senna.
Tout s'est joué au second ravitaillement: Schumacher s'est arrêté au 36e tour et Raikkonen un tour plus tard. Parti avec moins d'essence, le Finlandais est sorti des stands juste devant le "Baron rouge", ralenti auparavant par le trafic. Pour une fois fiable, sa McLaren a vite pris sept secondes d'avance au 38e tour, puis 12 au 40e tour.
Le seul souci de Schumacher a été de voir la Toyota de son frère cadet Ralf revenir sur lui, ne comptant que six dixièmes d'avance à quatre tours de l'arrivée. Avec sa science du pilotage, le grand frère a toutefois su résister.
"J'attendais une erreur qu'il n'a pas commise", a commenté Ralf.
Loin derrière, Alonso a fini hors des points, 11e à plus d'un tour. Il y a deux ans sur ce même circuit, il avait dominé Michael Schumacher pour devenir le plus jeune vainqueur d'une course de F1.
Le prochain Grand Prix se disputera le 21 août à Istanbul en Turquie. C'est la première fois que la F1 dispute une manche du championnat dans ce pays.
Classement
1. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes)
les 306,663 km en 1H37:25.552
(moyenne: 188,859 km/h)
2. Michael Schumacher (ALL/Ferrari) à 35.581
3. Ralf Schumacher (ALL/Toyota) à 36.129
4. Jarno Trulli (ITA/Toyota) à 54.221
5. Jenson Button (GBR/BAR-Honda) à 58.832
6. Nick Heidfeld (ALL/Williams-BMW) à 1:08.375
7. Mark Webber (AUS/Williams-BMW) à 1
8. Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) à 1
9. Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) à 1
10. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) à 1
11. Fernando Alonso (ESP/Renault) à 1
12. Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) à 3
13. Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) à 4
14. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) à 7
Dimanche 31 juillet 2005 - BUDAPEST, Hongrie (PC) - Victime de pas mal d'ennuis mécaniques ces dernières semaines, le Finlandais Kimi Raikkonen a remporté, dimanche, le Grand Prix de Hongrie de Formule 1 sur le circuit du Hungaroring. Au volant de sa McLaren-Mercedes, il a devancé les frères Schumacher, Michael (Ferrari) et Ralf (Toyota).
"Iceman" signe la sixième victoire de sa carrière et la quatrième de la saison après Barcelone, Monaco et Montréal. Il possède désormais 61 points au classement général des pilotes derrière l'Espagnol Fernando Alonso (Renault), qui n'a fini que 11e dimanche, handicapé par la perte d'un aileron, et possède toujours 87 points au général.
"Ça s'est beaucoup mieux passé que lors de la dernière course, a confié Raikkonen en faisant référence à son abandon lors du GP d'Allemagne. C'est comme si on jetait dix points par la fenêtre, avant de les récupérer après. Ça va et ça vient."
Jacques Villeneuve (Sauber) a été contraint à l'abandon à la suite d'une perte de puissance due à la chaleur qui a provoqué une surchauffe d'une bobine d'allumage.
"Ce fut une course décevante et disputée dans la chaleur, dont l'issue nous forcera à nous élancer en mauvaise position pour les qualifications du prochain Grand Prix, a indiqué Villeneuve. La pause estivale va aider toute l'équipe et nous ferons de notre mieux en Turquie."
Sur un circuit dont la température au sol était de 45 degrés Celsius, le Finlandais a terminé avec 35,5 secondes d'avance sur Michael Schumacher, qui avait signé la veille sa première position de tête en dix mois et la 64e de sa carrière, à une longueur désormais du record d'Ayrton Senna.
Tout s'est joué au second ravitaillement: Schumacher s'est arrêté au 36e tour et Raikkonen un tour plus tard. Parti avec moins d'essence, le Finlandais est sorti des stands juste devant le "Baron rouge", ralenti auparavant par le trafic. Pour une fois fiable, sa McLaren a vite pris sept secondes d'avance au 38e tour, puis 12 au 40e tour.
Le seul souci de Schumacher a été de voir la Toyota de son frère cadet Ralf revenir sur lui, ne comptant que six dixièmes d'avance à quatre tours de l'arrivée. Avec sa science du pilotage, le grand frère a toutefois su résister.
"J'attendais une erreur qu'il n'a pas commise", a commenté Ralf.
Loin derrière, Alonso a fini hors des points, 11e à plus d'un tour. Il y a deux ans sur ce même circuit, il avait dominé Michael Schumacher pour devenir le plus jeune vainqueur d'une course de F1.
Le prochain Grand Prix se disputera le 21 août à Istanbul en Turquie. C'est la première fois que la F1 dispute une manche du championnat dans ce pays.
Classement
1. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes)
les 306,663 km en 1H37:25.552
(moyenne: 188,859 km/h)
2. Michael Schumacher (ALL/Ferrari) à 35.581
3. Ralf Schumacher (ALL/Toyota) à 36.129
4. Jarno Trulli (ITA/Toyota) à 54.221
5. Jenson Button (GBR/BAR-Honda) à 58.832
6. Nick Heidfeld (ALL/Williams-BMW) à 1:08.375
7. Mark Webber (AUS/Williams-BMW) à 1
8. Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) à 1
9. Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) à 1
10. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) à 1
11. Fernando Alonso (ESP/Renault) à 1
12. Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) à 3
13. Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) à 4
14. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) à 7
C'est bobépine ou bépine SVP
Barrichello quitte Ferrari
Mardi 02 août 2005 - PARIS (AFP) - Le pilote brésilien Rubens Barrichello quittera l'écurie Ferrari de Formule 1 à la fin de la saison 2005, a annoncé son équipe mardi dans un communiqué.
"Rubens Barrichello quittera la Scuderia à la fin de la saison 2005 après une collaboration fructueuse qui remonte à 2000 et a contribué, à ce jour, à la conquête de cinq titres des constructeurs", a indiqué le communiqué.
Ferrari annonce qu'elle s'est assurée une option renouvelable sur un contrat remontant à 2001 liant le Brésilien Felipe Massa à la Scuderia. "En conséquence, cet accord signifie que Felipe pilotera pour l'équipe lors de la saison 2006.
Massa, 24 ans, fera donc équipe avec l'Allemand Michael Schumacher, septuple champion du monde.
L'annonce du départ de Barrichello intervient trois jours après un démenti du Brésilien à propos d'affirmations parues dans certains quotidiens sud-américains sur son passage dans les rangs de BAR-Honda la saison prochaine, de son compatriote et ancien champion du monde, Nelson Piquet.
"Je vous garantis qu'il n'y a rien de vrai", avait déclaré Barrichello interrogé au terme de la séance d'essais officiels du Grand Prix de Hongrie. "C'est comme si je vous disais que l'an prochain Michael (Schumacher) ira chez Red Bull et que vous y croyiez, tout en sachant que ce n'est qu'une boutade".
"Hélas, nous vivons dans un monde où il y a trop souvent beaucoup de personnes qui n'ont rien à faire et qui disent des choses sans aucun sens. Si vous pensez que celà (son passage à BAR-Honda) est possible alors allez le demander à (Nelson) Piquet".
Barrichello, 33 ans, a fait ses débuts en F1 en 1993 dans l'équipe Jordan-Hart. Passé chez Peugeot en 1995 puis chez Stewart deux ans plus tard, il était au volant d'une Ferrari depuis 2000, année de sa première victoire en Grand Prix, en Allemagne.
Le pilote de Sao Paulo totalise 9 victoires dans sa carrière. Cette saison, il pointe au 7e rang du classement des pilotes après 13 épreuves, avec pour meilleur résultat deux deuxièmes places à Melbourne (Australie) et à Indianapolis (Etats-Unis), une course réduite à six voitures au départ.
Felipe Massa en bref
-
Nom: Massa
Prénom: Felipe
Date de naissance: 25 avril 1981
Lieu de naissance: Sao Paulo (Brésil)
Taille: 1,65 m
Poids: 58 kg
Champion de Formule 3000 Europe en 2001 (6 victoires)
Débuts en F1: 2002 (GP d'Australie)
Nombre de Grands Prix: 47
Victoire: 0
Ecuries: Sauber (2002), Ferrari (pilote essayeur/2003), Sauber (depuis 2004)
Championnat du monde:
Classement général: 12e (2004/12 pts), 12e (2002/4 pts)
Classement au 2 août 2005 après le 13e GP de la saison (Budapest): 13e avec 8 points
Rubens Barrichello en bref
Nom: Barrichello
Prénom: Rubens
Date de naissance: 23 mai 1972
Lieu de naissance: Sao Paulo (Brésil)
Taille: 1,72 m
Poids: 79 kg
Nombre de Grand Prix: 208
Nombre de pole positions: 13
Nombre de victoires: 9
Nombre de 2e places: 26
Nombre de 3e places: 26
Débuts en F1: 1993 (GP d'Afrique du sud)
Ecuries: Jordan-Hart (1993-94), Jordan-Peugeot (1995-96), Stewart (1997-99), Ferrari (depuis 2000)
Première victoire en GP: Allemagne 2000
Championnat du monde:
Classement général : 2e (2002/77 pts, 2004/114 pts), 3e (2001/56 pts), 4e (2000/62 pts, 2003/65 pts), 6e (1994/19 pts), 7e (1999/21 pts), 8e (1996/14 pts), 11e (1995/11 pts), 12e (1998/4 pts), 13e (1997/6 pts), 17e (1993/2 pts)
Classement au 2 août 2005 après le 13e GP de la saison (Budapest): 7e avec 31 points
Mardi 02 août 2005 - PARIS (AFP) - Le pilote brésilien Rubens Barrichello quittera l'écurie Ferrari de Formule 1 à la fin de la saison 2005, a annoncé son équipe mardi dans un communiqué.
"Rubens Barrichello quittera la Scuderia à la fin de la saison 2005 après une collaboration fructueuse qui remonte à 2000 et a contribué, à ce jour, à la conquête de cinq titres des constructeurs", a indiqué le communiqué.
Ferrari annonce qu'elle s'est assurée une option renouvelable sur un contrat remontant à 2001 liant le Brésilien Felipe Massa à la Scuderia. "En conséquence, cet accord signifie que Felipe pilotera pour l'équipe lors de la saison 2006.
Massa, 24 ans, fera donc équipe avec l'Allemand Michael Schumacher, septuple champion du monde.
L'annonce du départ de Barrichello intervient trois jours après un démenti du Brésilien à propos d'affirmations parues dans certains quotidiens sud-américains sur son passage dans les rangs de BAR-Honda la saison prochaine, de son compatriote et ancien champion du monde, Nelson Piquet.
"Je vous garantis qu'il n'y a rien de vrai", avait déclaré Barrichello interrogé au terme de la séance d'essais officiels du Grand Prix de Hongrie. "C'est comme si je vous disais que l'an prochain Michael (Schumacher) ira chez Red Bull et que vous y croyiez, tout en sachant que ce n'est qu'une boutade".
"Hélas, nous vivons dans un monde où il y a trop souvent beaucoup de personnes qui n'ont rien à faire et qui disent des choses sans aucun sens. Si vous pensez que celà (son passage à BAR-Honda) est possible alors allez le demander à (Nelson) Piquet".
Barrichello, 33 ans, a fait ses débuts en F1 en 1993 dans l'équipe Jordan-Hart. Passé chez Peugeot en 1995 puis chez Stewart deux ans plus tard, il était au volant d'une Ferrari depuis 2000, année de sa première victoire en Grand Prix, en Allemagne.
Le pilote de Sao Paulo totalise 9 victoires dans sa carrière. Cette saison, il pointe au 7e rang du classement des pilotes après 13 épreuves, avec pour meilleur résultat deux deuxièmes places à Melbourne (Australie) et à Indianapolis (Etats-Unis), une course réduite à six voitures au départ.
Felipe Massa en bref
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Nom: Massa
Prénom: Felipe
Date de naissance: 25 avril 1981
Lieu de naissance: Sao Paulo (Brésil)
Taille: 1,65 m
Poids: 58 kg
Champion de Formule 3000 Europe en 2001 (6 victoires)
Débuts en F1: 2002 (GP d'Australie)
Nombre de Grands Prix: 47
Victoire: 0
Ecuries: Sauber (2002), Ferrari (pilote essayeur/2003), Sauber (depuis 2004)
Championnat du monde:
Classement général: 12e (2004/12 pts), 12e (2002/4 pts)
Classement au 2 août 2005 après le 13e GP de la saison (Budapest): 13e avec 8 points
Rubens Barrichello en bref
Nom: Barrichello
Prénom: Rubens
Date de naissance: 23 mai 1972
Lieu de naissance: Sao Paulo (Brésil)
Taille: 1,72 m
Poids: 79 kg
Nombre de Grand Prix: 208
Nombre de pole positions: 13
Nombre de victoires: 9
Nombre de 2e places: 26
Nombre de 3e places: 26
Débuts en F1: 1993 (GP d'Afrique du sud)
Ecuries: Jordan-Hart (1993-94), Jordan-Peugeot (1995-96), Stewart (1997-99), Ferrari (depuis 2000)
Première victoire en GP: Allemagne 2000
Championnat du monde:
Classement général : 2e (2002/77 pts, 2004/114 pts), 3e (2001/56 pts), 4e (2000/62 pts, 2003/65 pts), 6e (1994/19 pts), 7e (1999/21 pts), 8e (1996/14 pts), 11e (1995/11 pts), 12e (1998/4 pts), 13e (1997/6 pts), 17e (1993/2 pts)
Classement au 2 août 2005 après le 13e GP de la saison (Budapest): 7e avec 31 points
C'est bobépine ou bépine SVP
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Blanche Neige
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- Inscription : lun. janv. 26, 2004 1:00 am
Jacques jouera dans Villeneuve… le film
Pour que la légende continue
Gilles Villeneuve
Le film « Villeneuve » retraçant la vie de Gilles et Jacques devrait sortir en 2007. Le pilote de l’équipe Sauber a révélé quelques détails sur la ‘super- production’ dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport.
Jacques apparaîtra dans diverses scènes de pilotage - mais le film ne sera pas entièrement basé sur le sport-automobile. « Ce ne sera sûrement pas une histoire où les voitures auront le premier rôle. J’en suis heureux car chaque fois que quelqu'un a essayé de parler de F1 sur le grand écran, ça n’a jamais été une grande réussite » avouait-il.
Villeneuve ‘junior’ devrait avoir un rôle de conseiller auprès des scénaristes bien qu'il ait dit qu'il ne serait pas crédité pour l'écriture.
« Je devrai seulement leur expliquer la manière dont certains événements se sont déroulés afin d’essayer de coller à la réalité. Mais au cas où ils ne souhaiteraient pas utiliser ma version, la production peut faire comment elle veut et arranger les choses pour que ça soit plus dans le style hollywoodien. Après tout, en une heure et demie/deux heures, c’est impossible de raconter convenablement la vie d'une personne » reconnaissait Jacques.
Villeneuve n’incarnera pas lui-même son personnage : « Les acteurs n'ont pas été encore choisis. Je suis curieux de savoir qui acceptera… mais ce ne sera pas quelqu’un de très grand. Je préférerais un bon acteur qu’un playboy. Mais si pour mon rôle, s’ils choisissaient un garçon comme Leonardo di Caprio, je ne me plaindrai pas ! »
Interrogé sur ce qui l’a poussé à soutenir le film, Villeneuve a indiqué qu’il appréciait l'idée : « parce que les gens se rappellent toujours de mon père. Après ça, ils auront l'occasion de savoir quel genre de personne il était et le chemin qu’il a suivi pour atteindre le succès. Ce sera plus facile de comprendre sa personnalité et pourquoi il avait tant de plaisir à prendre tant de risques » expliquait-il.
Jacques n’avait que 11 ans quand son père, âgé de 32 ans, s’est tué à Zolder aux essais. Par le passé, il refusait de parler de son père ou de faire des parallèles entre leurs carrières. Désormais, il est devenu plus facile de faire la différence entre le père et le fils.
Jacques Villeneuve
« A une époque, les gens ne voulaient pas écouter ce que j'avais à dire – ils ne me parlaient pas, ils voulaient entendre parler de mon père. Ils ne comprenaient pas que je puisse courir pour mon plaisir personnel sans chercher à perpétuer le travail de Gilles. Certaines personnes pensaient même qui plus est que je le détestais. Ce n’est pas vrais. Je suis fier d'être le fils d'un homme aussi apprécié. Il était mon héros, mais il était important de préciser que je n'étais pas lui » déclarait le Canadien, champion du monde de F1 et vainqueur des 500 Miles d’Indianapolis.
« Aujourd'hui, les gens ne nous voient plus comme une seule et même personne. J'ai gagné le championnat du monde et fait beaucoup de choses, et j'ai déjà vécu plus d'années que lui. Mais quand j'ai eu la chance de conduire sa Ferrari 312T3 à Goodwood l'année dernière – de mettre son casque… c'était un moment très spécial, et une manière de le saluer et de le remercier » concluait Jacques Villeneuve.
J-P.K
© CAPSIS International
Pour que la légende continue
Gilles Villeneuve
Le film « Villeneuve » retraçant la vie de Gilles et Jacques devrait sortir en 2007. Le pilote de l’équipe Sauber a révélé quelques détails sur la ‘super- production’ dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport.
Jacques apparaîtra dans diverses scènes de pilotage - mais le film ne sera pas entièrement basé sur le sport-automobile. « Ce ne sera sûrement pas une histoire où les voitures auront le premier rôle. J’en suis heureux car chaque fois que quelqu'un a essayé de parler de F1 sur le grand écran, ça n’a jamais été une grande réussite » avouait-il.
Villeneuve ‘junior’ devrait avoir un rôle de conseiller auprès des scénaristes bien qu'il ait dit qu'il ne serait pas crédité pour l'écriture.
« Je devrai seulement leur expliquer la manière dont certains événements se sont déroulés afin d’essayer de coller à la réalité. Mais au cas où ils ne souhaiteraient pas utiliser ma version, la production peut faire comment elle veut et arranger les choses pour que ça soit plus dans le style hollywoodien. Après tout, en une heure et demie/deux heures, c’est impossible de raconter convenablement la vie d'une personne » reconnaissait Jacques.
Villeneuve n’incarnera pas lui-même son personnage : « Les acteurs n'ont pas été encore choisis. Je suis curieux de savoir qui acceptera… mais ce ne sera pas quelqu’un de très grand. Je préférerais un bon acteur qu’un playboy. Mais si pour mon rôle, s’ils choisissaient un garçon comme Leonardo di Caprio, je ne me plaindrai pas ! »
Interrogé sur ce qui l’a poussé à soutenir le film, Villeneuve a indiqué qu’il appréciait l'idée : « parce que les gens se rappellent toujours de mon père. Après ça, ils auront l'occasion de savoir quel genre de personne il était et le chemin qu’il a suivi pour atteindre le succès. Ce sera plus facile de comprendre sa personnalité et pourquoi il avait tant de plaisir à prendre tant de risques » expliquait-il.
Jacques n’avait que 11 ans quand son père, âgé de 32 ans, s’est tué à Zolder aux essais. Par le passé, il refusait de parler de son père ou de faire des parallèles entre leurs carrières. Désormais, il est devenu plus facile de faire la différence entre le père et le fils.
Jacques Villeneuve
« A une époque, les gens ne voulaient pas écouter ce que j'avais à dire – ils ne me parlaient pas, ils voulaient entendre parler de mon père. Ils ne comprenaient pas que je puisse courir pour mon plaisir personnel sans chercher à perpétuer le travail de Gilles. Certaines personnes pensaient même qui plus est que je le détestais. Ce n’est pas vrais. Je suis fier d'être le fils d'un homme aussi apprécié. Il était mon héros, mais il était important de préciser que je n'étais pas lui » déclarait le Canadien, champion du monde de F1 et vainqueur des 500 Miles d’Indianapolis.
« Aujourd'hui, les gens ne nous voient plus comme une seule et même personne. J'ai gagné le championnat du monde et fait beaucoup de choses, et j'ai déjà vécu plus d'années que lui. Mais quand j'ai eu la chance de conduire sa Ferrari 312T3 à Goodwood l'année dernière – de mettre son casque… c'était un moment très spécial, et une manière de le saluer et de le remercier » concluait Jacques Villeneuve.
J-P.K
© CAPSIS International
Les vertus, la sagesse, le bonheur s'acquièrent par l'éducation. L'art de vivre s'apprend. Aristote.
Williams s'associe à Cosworth
Lundi 15 août 2005 - PARIS (AFP) - Le motoriste britannique Cosworth a signé un accord de partenariat avec l'écurie Williams pour la fourniture et le développement de moteurs pour la saison 2006 du Championnat du monde de Formule 1, ont annoncé lundi les deux parties.
L'accord dépasse le cadre habituel des relations entre un constructeur de châssis et son motoriste puisque Cosworth participera à l'élaboration de la future monoplace Williams (transmission, électronique, logiciels, et architecture de la voiture).
Les monoplaces Williams, actuellement 5e du Championnat du monde des constructeurs (52 points), sont équipées jusqu'ici de moteurs BMW. Le constructeur allemand a annoncé le 22 juin avoir pris le contrôle de l'écurie Sauber afin de s'engager à partir de janvier 2006 sous son propre nom, et avec les pleins pouvoirs, dans le Championnat du monde de Formule 1.
"Cosworth possède une expertise de la technologie des moteurs V8, a déclaré Frank Williams, patron de l'écurie du même nom. L'année prochaine sera un nouveau départ après 16 ans de moteurs V10. Les preuves des progrès réalisés par le V8 de Cosworth valident totalement nos attentes pour avoir une voiture compétitive, respectant les nouvelles règles de motorisation en vigueur l'année prochaine."
A partir de la saison 2006, les écuries de F1 sont tenues de s'élancer avec des moteurs V8 (2,4 litres) en lieu et place du V10 (3 litres). Une possibilité a cependant été laissée aux équipes par la Fédération internationale automobile (FIA) pour utiliser une année supplémentaire le moteur V10 tout en les pénalisant.
"Williams a noué ce partenariat uniquement sur des critères techniques, a de son côté précisé Patrick Head, directeur technique de Williams. Parmi les différentes pistes que nous avons étudiées, Cosworth était le plus avancé."
"Notre expérience (...) avec les moteurs V8 n'a pas d'équivalent et nous sommes naturellement ravis de collaborer avec l'une des plus emblématiques écuries de la Formule 1, a de son côté réagi Tim Routsis, PDG de Cosworth. Nous travaillons sur le développement du V8 de l'année prochaine depuis avril 2004. Nous avons développé le V8-CA de Cosworth pour 2006 avec à l'esprit le succès, aussi bien à court terme que sur la durée."
Lundi 15 août 2005 - PARIS (AFP) - Le motoriste britannique Cosworth a signé un accord de partenariat avec l'écurie Williams pour la fourniture et le développement de moteurs pour la saison 2006 du Championnat du monde de Formule 1, ont annoncé lundi les deux parties.
L'accord dépasse le cadre habituel des relations entre un constructeur de châssis et son motoriste puisque Cosworth participera à l'élaboration de la future monoplace Williams (transmission, électronique, logiciels, et architecture de la voiture).
Les monoplaces Williams, actuellement 5e du Championnat du monde des constructeurs (52 points), sont équipées jusqu'ici de moteurs BMW. Le constructeur allemand a annoncé le 22 juin avoir pris le contrôle de l'écurie Sauber afin de s'engager à partir de janvier 2006 sous son propre nom, et avec les pleins pouvoirs, dans le Championnat du monde de Formule 1.
"Cosworth possède une expertise de la technologie des moteurs V8, a déclaré Frank Williams, patron de l'écurie du même nom. L'année prochaine sera un nouveau départ après 16 ans de moteurs V10. Les preuves des progrès réalisés par le V8 de Cosworth valident totalement nos attentes pour avoir une voiture compétitive, respectant les nouvelles règles de motorisation en vigueur l'année prochaine."
A partir de la saison 2006, les écuries de F1 sont tenues de s'élancer avec des moteurs V8 (2,4 litres) en lieu et place du V10 (3 litres). Une possibilité a cependant été laissée aux équipes par la Fédération internationale automobile (FIA) pour utiliser une année supplémentaire le moteur V10 tout en les pénalisant.
"Williams a noué ce partenariat uniquement sur des critères techniques, a de son côté précisé Patrick Head, directeur technique de Williams. Parmi les différentes pistes que nous avons étudiées, Cosworth était le plus avancé."
"Notre expérience (...) avec les moteurs V8 n'a pas d'équivalent et nous sommes naturellement ravis de collaborer avec l'une des plus emblématiques écuries de la Formule 1, a de son côté réagi Tim Routsis, PDG de Cosworth. Nous travaillons sur le développement du V8 de l'année prochaine depuis avril 2004. Nous avons développé le V8-CA de Cosworth pour 2006 avec à l'esprit le succès, aussi bien à court terme que sur la durée."
C'est bobépine ou bépine SVP
Mario Theissen prévoit une grande rivalité entre William et BMW, et il a déjà commencé à protéger ses arrières en évoquant que William les surpasseront l’année prochaine, ça change des débuts de BAR qui se voyait battre tout le monde lors de leur fondation.
Le crétin prétentieux est celui qui se croit plus intelligent que ceux qui sont aussi bêtes que lui.
D’après se que j’ai lu sur GP2005, il aparait que Montoya se fout éperdument de son coéquipier, lorsqu’il s’est apperçu qu’il n’avait pas de chance de ratraper Räikkönen au GP d’ Istanbul, il a laisser Alonso le dépasser, l’histoire du diffuseur endomagé n’était que pour étoufer l’affaire de la par de McLaren.
--Message edité par TL1000R le 2005-08-30 21:05:16--
--Message edité par TL1000R le 2005-08-30 21:05:16--
Le crétin prétentieux est celui qui se croit plus intelligent que ceux qui sont aussi bêtes que lui.
Montoya partira premier
Samedi 03 septembre 2005 - MONZA (AFP) - Kimi Raikkonen a encore été trahi par le moteur de sa McLaren-Mercedes samedi et malgré le meilleur temps des qualifications, il a abandonné la pole position à son coéquipier Juan Pablo Montoya sur la grille de départ du Grand Prix d'Italie de Formule 1, dimanche à Monza.
Jacques Villeneuve sur Sauber partira en 12e place.
La mésaventure de Raikkonen permet en outre à son rival Fernando Alonso (Renault) de se hisser en première ligne.
Durant la quatrième séance d'essais libres dont il a signé le meilleur temps, Raikkonen a ressenti des signes de fragilité du côté de son moteur, signes confirmés par la télémétrie dans son stand.
Pour ne pas prendre de risque en course et limiter d'éventuels dégâts en qualifications, les ingénieurs ont décidé de changer le moteur de la Flèche d'argent numéro 9 avant celles-ci, impliquant un recul d'office de dix places sur la grille de départ pour le Finlandais.
Un incident qui pénalise de la sorte Raikkonen pour la troisième fois de l'année, après les Grands Prix de France et de Grande-Bretagne en juillet.
"Ce n'est pas bon, mais la voiture a été très rapide et j'ai fait de mon mieux", a sobrement commenté le Finlandais, reconnaissant avoir dû "légèrement changer de stratégie" en vue de la course.
Après avoir laissé se dessiner sur son visage une moue de dépit au moment où il a compris qu'il allait falloir changer le moteur de sa monoplace, il a rapidement retrouvé son air impassible et affiché sa volonté implacable.
Alonso savoure
"J'ai la vitesse, une bonne tactique et ici il y a plusieurs opportunités de doubler, mais il sera difficile de gagner", a-t-il commenté, soulignant que le résultat des qualifications était pour lui "le meilleur que l'on pouvait espérer".
Un avis partagé, mais de façon positive, par Alonso qui, lui, savourait ce nouveau coup du destin en sa faveur.
"N'ayant pas la meilleure voiture, je ne pouvais pas espérer mieux, a reconnu l'Espagnol. Nous doutions d'avoir suffisamment de vitesse pour bien nous qualifier, mais non..."
"Je n'ai pas la voiture la plus rapide, mais elle est fiable et je dois finir toutes les courses et essayer de monter sur le podium, en utilisant les opportunités que McLaren nous offre parfois", a martelé Alonso, comme pour remuer le couteau dans la plaie de son adversaire.
Et de rajouter: "Demain, tout peut arriver, nous pouvons même peut-être espérer gagner !"
A cinq courses de la fin du Championnat, Alonso possède 24 longueurs d'avance sur Raikkonen qui ne peut donc plus se permettre de laisser des points lui échapper s'il compte coiffer la couronne mondiale.
Les BAR-Honda proches
Ayant confirmé en qualifications leurs bons essais privés de la semaine dernière, les pilotes BAR-Honda, Jenson Button et Takuma Sato, s'élanceront de la deuxième ligne dimanche.
"Alonso et moi sommes très proches pour la deuxième place, mais ici, partir de la troisième position permet de s'élancer du côté propre de la piste", a commenté Button.
"C'est bon de partir de devant et l'on peut espérer qu'avec notre stratégie nous serons en mesure d'y rester", a ajouté le Britannique, alors que Sato savourait sa quatrième position.
Quant aux Ferrari, Michael Schumacher a certes noté un certain "mieux par rapport à la Turquie", mais son 7e temps et le 8e de son coéquipier Rubens Barrichello -qui détient le record de la piste établi l'an dernier en qualifications- ne sont pas suffisants pour satisfaire les pilotes, l'équipe et les dizaines de milliers de tifosi.
"Si l'on met de côté une équipe (McLaren-Mercedes), qui domine vraiment trop, nous sommes dans les temps", a commenté le septuple champion du monde qui estime cependant que "viser le podium est trop optimiste".
"Le réel objectif de dimanche est de terminer dans les points, même s'il serait fantastique de terminer sur le podium devant notre public", a-t-il reconnu.
Grille de départ:
1re ligne:
Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) 1:21.054
Fernando Alonso (ESP/Renault) 1:21.319
2e ligne:
Jenson Button (GBR/BAR-Honda) 1:21.369
Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) 1:21.477
3e ligne:
Jarno Trulli (ITA/Toyota) 1:21.640
Michael Schumacher (ALL/Ferrari) 1:21.721
4e ligne:
Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 1:21.962
Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) 1:22.068
5e ligne:
Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1:22.266
Kimi Raikkonen (FIN/Mc Laren-Mercedes) 1:20.878
(moyenne: 257,855 km/h)
6e ligne:
David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1:22.304
Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1:22.356
7e ligne:
Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1:22.532
Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 1:22.560
8e ligne:
Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 1:23.060
Antonio Pizzonia (BRE/Williams-BMW) 1:23.291
9e ligne:
Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) 1:24.666
Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) 1:24.904
10e ligne:
Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) 1:25.859
Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 1:26.964
Samedi 03 septembre 2005 - MONZA (AFP) - Kimi Raikkonen a encore été trahi par le moteur de sa McLaren-Mercedes samedi et malgré le meilleur temps des qualifications, il a abandonné la pole position à son coéquipier Juan Pablo Montoya sur la grille de départ du Grand Prix d'Italie de Formule 1, dimanche à Monza.
Jacques Villeneuve sur Sauber partira en 12e place.
La mésaventure de Raikkonen permet en outre à son rival Fernando Alonso (Renault) de se hisser en première ligne.
Durant la quatrième séance d'essais libres dont il a signé le meilleur temps, Raikkonen a ressenti des signes de fragilité du côté de son moteur, signes confirmés par la télémétrie dans son stand.
Pour ne pas prendre de risque en course et limiter d'éventuels dégâts en qualifications, les ingénieurs ont décidé de changer le moteur de la Flèche d'argent numéro 9 avant celles-ci, impliquant un recul d'office de dix places sur la grille de départ pour le Finlandais.
Un incident qui pénalise de la sorte Raikkonen pour la troisième fois de l'année, après les Grands Prix de France et de Grande-Bretagne en juillet.
"Ce n'est pas bon, mais la voiture a été très rapide et j'ai fait de mon mieux", a sobrement commenté le Finlandais, reconnaissant avoir dû "légèrement changer de stratégie" en vue de la course.
Après avoir laissé se dessiner sur son visage une moue de dépit au moment où il a compris qu'il allait falloir changer le moteur de sa monoplace, il a rapidement retrouvé son air impassible et affiché sa volonté implacable.
Alonso savoure
"J'ai la vitesse, une bonne tactique et ici il y a plusieurs opportunités de doubler, mais il sera difficile de gagner", a-t-il commenté, soulignant que le résultat des qualifications était pour lui "le meilleur que l'on pouvait espérer".
Un avis partagé, mais de façon positive, par Alonso qui, lui, savourait ce nouveau coup du destin en sa faveur.
"N'ayant pas la meilleure voiture, je ne pouvais pas espérer mieux, a reconnu l'Espagnol. Nous doutions d'avoir suffisamment de vitesse pour bien nous qualifier, mais non..."
"Je n'ai pas la voiture la plus rapide, mais elle est fiable et je dois finir toutes les courses et essayer de monter sur le podium, en utilisant les opportunités que McLaren nous offre parfois", a martelé Alonso, comme pour remuer le couteau dans la plaie de son adversaire.
Et de rajouter: "Demain, tout peut arriver, nous pouvons même peut-être espérer gagner !"
A cinq courses de la fin du Championnat, Alonso possède 24 longueurs d'avance sur Raikkonen qui ne peut donc plus se permettre de laisser des points lui échapper s'il compte coiffer la couronne mondiale.
Les BAR-Honda proches
Ayant confirmé en qualifications leurs bons essais privés de la semaine dernière, les pilotes BAR-Honda, Jenson Button et Takuma Sato, s'élanceront de la deuxième ligne dimanche.
"Alonso et moi sommes très proches pour la deuxième place, mais ici, partir de la troisième position permet de s'élancer du côté propre de la piste", a commenté Button.
"C'est bon de partir de devant et l'on peut espérer qu'avec notre stratégie nous serons en mesure d'y rester", a ajouté le Britannique, alors que Sato savourait sa quatrième position.
Quant aux Ferrari, Michael Schumacher a certes noté un certain "mieux par rapport à la Turquie", mais son 7e temps et le 8e de son coéquipier Rubens Barrichello -qui détient le record de la piste établi l'an dernier en qualifications- ne sont pas suffisants pour satisfaire les pilotes, l'équipe et les dizaines de milliers de tifosi.
"Si l'on met de côté une équipe (McLaren-Mercedes), qui domine vraiment trop, nous sommes dans les temps", a commenté le septuple champion du monde qui estime cependant que "viser le podium est trop optimiste".
"Le réel objectif de dimanche est de terminer dans les points, même s'il serait fantastique de terminer sur le podium devant notre public", a-t-il reconnu.
Grille de départ:
1re ligne:
Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) 1:21.054
Fernando Alonso (ESP/Renault) 1:21.319
2e ligne:
Jenson Button (GBR/BAR-Honda) 1:21.369
Takuma Sato (JAP/BAR-Honda) 1:21.477
3e ligne:
Jarno Trulli (ITA/Toyota) 1:21.640
Michael Schumacher (ALL/Ferrari) 1:21.721
4e ligne:
Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 1:21.962
Giancarlo Fisichella (ITA/Renault) 1:22.068
5e ligne:
Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1:22.266
Kimi Raikkonen (FIN/Mc Laren-Mercedes) 1:20.878
(moyenne: 257,855 km/h)
6e ligne:
David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1:22.304
Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1:22.356
7e ligne:
Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1:22.532
Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 1:22.560
8e ligne:
Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 1:23.060
Antonio Pizzonia (BRE/Williams-BMW) 1:23.291
9e ligne:
Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) 1:24.666
Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) 1:24.904
10e ligne:
Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) 1:25.859
Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 1:26.964
C'est bobépine ou bépine SVP
Quelle course de Räikkönen, mais quelle dévaine, après avoir remonté de la 12e à la deuxième place à la mi-course, il est encore touché par la malchance et doit rentrer au stands pour remplacer un pneu.
Jacques à fait quand même un belle première moitié de course, mais il avait la mauvaise stratégie (d’habitude il a une stratégie d’un plus long premier arrêt, il la échangé avec Massa).
Jacques à fait quand même un belle première moitié de course, mais il avait la mauvaise stratégie (d’habitude il a une stratégie d’un plus long premier arrêt, il la échangé avec Massa).
Le crétin prétentieux est celui qui se croit plus intelligent que ceux qui sont aussi bêtes que lui.
Raikkonen résiste; JV 6e
Dimanche 11 septembre 2005 - SPA-FRANCORCHAMPS (Belgique), 11 sept (AFP) - Le Finlandais Kimi Raikkonen (McLaren-Mercedes) a remporté dimanche le Grand Prix de Belgique de Formule 1 en devançant l'Espagnol Fernando Alonso (Renault) et le Britannique Jenson Button (BAR-Honda), sur le circuit de Spa-Francorchamps.
Le Québécois Jacques Villeneuve a quant à lui pris le sixième rang.
En signant, sur une piste humide, sa sixième victoire de la saison, la 8e de sa carrière, Raikkonen a repoussé un peu l'échéance du sacre d'Alonso.
Ce dernier, en ne concédant que deux points au Finlandais, compte désormais 25 points d'avance sur son dernier rival à trois courses de la fin du Championnat. Il lui suffit désormais de marquer six points en trois courses ou de ne pas perdre plus de quatre points sur Raikkonen lors du prochain GP, au Brésil, pour s'assurer le titre.
Alonso, jamais en position d'attaquer Raikkonen, a profité d'un accrochage entre le Colombien Juan Pablo Montoya sur la seconde McLaren-Mercedes et la Williams-BMW du Brésilien Antonio Pizzonia à un peu plus de trois tours de l'arrivée.
Montoya, qui occupait solidement la deuxième position intercalé entre Raikkonen et Alonso, a été obligé d'abandonner au 41e tour alors qu'il prenait un tour à Pizzonia.
Le coéquipier d'Alonso, Giancarlo Fisichella, ayant également abandonné, Renault possède désormais six points d'avance sur McLaren-Mercedes au classement des constructeurs.
La pluie n'a pas perturbé la course, mais la piste humide a néanmoins provoqué plusieurs sorties et accrochages.
Après un départ où les Flèches d'argent s'élançant de la première ligne sont parvenues à conserver leur avantage, Fisichella fut le premier à perdre le contrôle de sa monoplace dans le raidillon de l'Eau Rouge, là-même où son patron Flavio Briatore lui avait dit d'être prudent alors qu'ils regardaient la course des GP2 plus tôt dans la journée.
Neutralisation
Parti en tête à queue, il a pulvérisé sa R25 dans un mur de pneus, provoquant la neutralisation de la course par la voiture de sécurité durant deux tours.
La quasi-totalité des pilotes en ont profité pour ravitailler, sauf Jacques Villeneuve (Sauber-Petronas) qui s'est ainsi trouvé deuxième lorsque la voiture de sécurité a libéré la meute. Raikkonen était alors 4e, derrière Ralf Schumacher (Toyota).
Mais dès la course relancée, Villeneuve a manqué son freinage à l'épingle de la Source, laissant Ralf et Raikkonen passer. En revenant sur la trajectoire, il a failli éperonner Alonso.
Le temps pour ce peloton de passer et ont surgi Michael Schumacher (Ferrari) suivi de la BAR-Honda de Takuma Sato.
Ce dernier a manqué son freinage et percuté l'Allemand par l'arrière. Ainsi contraint à l'abandon alors qu'il comptait profiter d'une piste difficile pour se mêler à la lutte devant, le septuple champion du monde est sorti comme un diable de sa Ferrari et s'est précipité sur le Japonais, toujours harnaché dans son baquet. Le temps de lui hurler ses reproches visière contre visière et Schumacher s'en est allé, non sans avoir donné une tape sur le casque de Sato.
Au 24e tour, Ralf Schumacher a ravitaillé et laissé la 2e place à Raikkonen qui est alors remonté comme un flèche sur Montoya.
A la faveur de leurs deuxièmes ravitaillements, les deux McLaren-Mercedes ont échangé leurs positions et le Finlandais a pu filer vers une victoire incontestée.
Le premier doublé de McLaren-Mercedes depuis le GP d'Autriche 2000 semblait se dessiner immanquablement, jusqu'à ce que Pizzonia n'emboutisse le Colombien.
Classement
1. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes)
les 306,927 km en 1h30:01.295
(moyenne: 204,569 km/h)
2. Fernando Alonso (ESP/Renault) à 28.394
3. Jenson Button (GBR/BAR-Honda) à 32.077
4. Mark Webber (AUS/Williams-BMW) à 1:09.167
5. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) à 1:18.136
6. Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) à 1:27.435
7. Ralf Schumacher (ALL/Toyota) à 1:27.574
8. Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) à 1
9. Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) à 1
10. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) à 1
11. Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) à 1
12. Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) à 2
13. Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) à 3
14. Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) à 4
15. Antonio Pizzonia (BRE/Williams-BMW) à 5
Dimanche 11 septembre 2005 - SPA-FRANCORCHAMPS (Belgique), 11 sept (AFP) - Le Finlandais Kimi Raikkonen (McLaren-Mercedes) a remporté dimanche le Grand Prix de Belgique de Formule 1 en devançant l'Espagnol Fernando Alonso (Renault) et le Britannique Jenson Button (BAR-Honda), sur le circuit de Spa-Francorchamps.
Le Québécois Jacques Villeneuve a quant à lui pris le sixième rang.
En signant, sur une piste humide, sa sixième victoire de la saison, la 8e de sa carrière, Raikkonen a repoussé un peu l'échéance du sacre d'Alonso.
Ce dernier, en ne concédant que deux points au Finlandais, compte désormais 25 points d'avance sur son dernier rival à trois courses de la fin du Championnat. Il lui suffit désormais de marquer six points en trois courses ou de ne pas perdre plus de quatre points sur Raikkonen lors du prochain GP, au Brésil, pour s'assurer le titre.
Alonso, jamais en position d'attaquer Raikkonen, a profité d'un accrochage entre le Colombien Juan Pablo Montoya sur la seconde McLaren-Mercedes et la Williams-BMW du Brésilien Antonio Pizzonia à un peu plus de trois tours de l'arrivée.
Montoya, qui occupait solidement la deuxième position intercalé entre Raikkonen et Alonso, a été obligé d'abandonner au 41e tour alors qu'il prenait un tour à Pizzonia.
Le coéquipier d'Alonso, Giancarlo Fisichella, ayant également abandonné, Renault possède désormais six points d'avance sur McLaren-Mercedes au classement des constructeurs.
La pluie n'a pas perturbé la course, mais la piste humide a néanmoins provoqué plusieurs sorties et accrochages.
Après un départ où les Flèches d'argent s'élançant de la première ligne sont parvenues à conserver leur avantage, Fisichella fut le premier à perdre le contrôle de sa monoplace dans le raidillon de l'Eau Rouge, là-même où son patron Flavio Briatore lui avait dit d'être prudent alors qu'ils regardaient la course des GP2 plus tôt dans la journée.
Neutralisation
Parti en tête à queue, il a pulvérisé sa R25 dans un mur de pneus, provoquant la neutralisation de la course par la voiture de sécurité durant deux tours.
La quasi-totalité des pilotes en ont profité pour ravitailler, sauf Jacques Villeneuve (Sauber-Petronas) qui s'est ainsi trouvé deuxième lorsque la voiture de sécurité a libéré la meute. Raikkonen était alors 4e, derrière Ralf Schumacher (Toyota).
Mais dès la course relancée, Villeneuve a manqué son freinage à l'épingle de la Source, laissant Ralf et Raikkonen passer. En revenant sur la trajectoire, il a failli éperonner Alonso.
Le temps pour ce peloton de passer et ont surgi Michael Schumacher (Ferrari) suivi de la BAR-Honda de Takuma Sato.
Ce dernier a manqué son freinage et percuté l'Allemand par l'arrière. Ainsi contraint à l'abandon alors qu'il comptait profiter d'une piste difficile pour se mêler à la lutte devant, le septuple champion du monde est sorti comme un diable de sa Ferrari et s'est précipité sur le Japonais, toujours harnaché dans son baquet. Le temps de lui hurler ses reproches visière contre visière et Schumacher s'en est allé, non sans avoir donné une tape sur le casque de Sato.
Au 24e tour, Ralf Schumacher a ravitaillé et laissé la 2e place à Raikkonen qui est alors remonté comme un flèche sur Montoya.
A la faveur de leurs deuxièmes ravitaillements, les deux McLaren-Mercedes ont échangé leurs positions et le Finlandais a pu filer vers une victoire incontestée.
Le premier doublé de McLaren-Mercedes depuis le GP d'Autriche 2000 semblait se dessiner immanquablement, jusqu'à ce que Pizzonia n'emboutisse le Colombien.
Classement
1. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes)
les 306,927 km en 1h30:01.295
(moyenne: 204,569 km/h)
2. Fernando Alonso (ESP/Renault) à 28.394
3. Jenson Button (GBR/BAR-Honda) à 32.077
4. Mark Webber (AUS/Williams-BMW) à 1:09.167
5. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) à 1:18.136
6. Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) à 1:27.435
7. Ralf Schumacher (ALL/Toyota) à 1:27.574
8. Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) à 1
9. Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) à 1
10. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) à 1
11. Narain Karthikeyan (IND/Jordan-Toyota) à 1
12. Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) à 2
13. Robert Doornbos (PBS/Minardi-Cosworth) à 3
14. Juan Pablo Montoya (COL/McLaren-Mercedes) à 4
15. Antonio Pizzonia (BRE/Williams-BMW) à 5
C'est bobépine ou bépine SVP
Quelle belle course, Jacques a pris la bonne décision en restant en piste après la neutralisation. En ce qui concerne Montoya, il est capable du mieux comme du pire, pour ce qui est de « Crash »thikeyan , il est capable que du pire. Et que dire de Button qui est revenu sur Alonso à la toute fin.
Le crétin prétentieux est celui qui se croit plus intelligent que ceux qui sont aussi bêtes que lui.