F 1
Montoya qui est exclu de la course pour une raison discutable, mettons...
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Je suis très très contente pour Raikkonen.
Il a su tenir le coup devant la poussée de Schumi.
Il a su tenir le coup devant la poussée de Schumi.
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Super GP
Sauf Schumi qui finit 2eme ...si il l'avait connu un bon départ il n'aurait pas bloqué ceux derrière lui
Pour Villeneuve dommage qu'il est du arrêter dès le 1er tour au puits....je pense qu'il aurait pu finir 3 ou 4eme...une chose est sure c'est que même si il a fini 9eme...il était plus rapide que Massa ...ca augure bien pour Indianapolis
Alonso....je commence a penser que Villeneuve avait pas tort en disant qu'il allait finir par craquer...contrairement a Fisichella (bris mécanique) Alonso c'est sorti lui-même
Sauf Schumi qui finit 2eme ...si il l'avait connu un bon départ il n'aurait pas bloqué ceux derrière lui
Pour Villeneuve dommage qu'il est du arrêter dès le 1er tour au puits....je pense qu'il aurait pu finir 3 ou 4eme...une chose est sure c'est que même si il a fini 9eme...il était plus rapide que Massa ...ca augure bien pour Indianapolis
Alonso....je commence a penser que Villeneuve avait pas tort en disant qu'il allait finir par craquer...contrairement a Fisichella (bris mécanique) Alonso c'est sorti lui-même
C'est bobépine ou bépine SVP
Raikkonen l'emporte
Dimanche 12 juin 2005 - (RDS.ca) - Dans une course remplie de rebondissements, c'est le Finlandais Kimi Raikkonen qui a enlevé les honneurs du Grand Prix de Formule un du Canada présenté sur le circuit Gilles-Villeneuve à Montréal. Raikkonen a rallié la ligne d'arrivée devant l'Allemand Michael Schumacher, qui était parti en deuxième position.
Cette victoire de Raikkonen, avec une priorité de moins de deux secondes, resserre le championnat des pilotes puisque les voitures Renault, qui dominent le classement, n'ont pas terminé les 70 tours. L'avance de Fernando Alonso en tête du classement a donc légèrement fondu. Ainsi, il a toujours 59 points et avec sa victoire, Raikkonen en totalise maintenant 37. Jarno Trulli, sur Toyota, est au troisième rang avec 27 points. Grâce à cette deuxième place, Schumacher a 24 points au cinquième rang des pilotes.
Départ canon
Les deux pilotes de Renault Fernando Alonso et Giancarlo Fisichella ont connu un départ canon, eux qui partaient respectivement troisième et quatrième. Ils se sont emparés de la tête en doublant Jenson Button sur BAR et Michael Schumacher sur Ferrari.
Fisichella a occupé la tête pendant la première partie de la course. Son coéquipier était derrière lui. Fisichella a toutefois été contraint à l'abandon quand il a éprouvé des ennuis, laissant la première position à Alonso. Cet abandon a laissé la place à une bataille avec Juan Pablo Montoya McLaren-Mercedes, qui n'a malheureusement pas duré très longtemps puisque Alonso a été contraint à l'abandon après seulement cinq tours quand sa voiture a touché un muret.
Il s'agit du plus mauvais résultat de l'écurie française cette année.
Fait rarissime en Formule un quand Montoya a été chassé de la course en pleine épreuve. Les commissaires ont décerné un drapeau noir au Colombien pour avoir quitté la ligne des puits sur un feu rouge quand la voiture de sécurité croisait la sortie de la ligne des puits. Le règlement stipule qu'un pilote doit attendre que la file de voitures qui suit la voiture de sécurité doit avoir passé la ligne de sortie des stands avant que le feu vert lui soit donné pour revenir en piste.
Trulli était en bonne position pour monter sur la troisième marche du podium mais il a abandonné en raison d'un problème avec ses freins à sept tours de la fin.
Jacques Villeneuve
Ayant pris le départ de la huitième place sur la grille de départ, Jacques Villeneuve a rapidement chuté de quelques places dans les premiers instants de la course. Il est rentré rapidement aux puits pour changer son aileron avant quand sa voiture est entrée en collision avec l'arrière de la BAR de Takuma Sato, qui a été le premier pilote à abandonner quelques instants plus tard.
"Je ne sais pas ce qui s'est passé. Il semble que ce soit un problème électrique et je me suis retrouvé coincé dans le virage numéro deux avant de toucher Sato. Puis, la course était foutue."
Le pilote québécois a terminé au neuvième rang, lui dont la qualification avait suscité beaucoup d'espoir chez les amateurs de courses. Il n'a donc pas été en mesure d'offrir des points à son équipe devant ses partisans.
Villeneuve a terminé derrière Christian Klien Red Bull-Cosworth. Après la course, il a déclaré qu'il aurait aimé le dépasser pour obtenir un point au classement mais l'usure de ses pneus faisait glisser sa voiture.
Son coéquipier, le Brésilien Felipe Massa, a mieux fait, récoltant une quatrième place.
Rubens Barrichello
Rien ne sert de courir, il suffit de partir à point dit le vieil adage. C'est exactement ce qu'a appliqué le pilote de Ferrari Rubens Barrichello. Ce dernier, qui n'a pas été en mesure de participer à la séance de qualification officielle samedi, a pris le départ de la ligne des puits, ce qui ne l'a pas empêché de marquer des points avec une incroyable troisième position.
Pour Ferrari, il s'agit de son meilleur résultat depuis le début de la saison avec deux voitures sur le podium.
Le classement
1. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes)
les 305,270 km en 1 h 32:09.290
(moyenne: 198,755 km/h)
2. Michael Schumacher (ALL/Ferrari) à 1.137
3. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 40.483
4. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 55.139
5. Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 55.779
6. Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1 tour
7. David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1 tour
8. Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1 tour
9. Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1 tour
10. Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) 3 tours
11. Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 3 tours
Les autres concurrents n'ont pas été classés
Classement des pilotes:
1. Fernando Alonso (ESP) 59 pts
2. Kimi Raikkonen (FIN) 37
3. Jarno Trulli (ITA) 27
4. Nick Heidfeld (ALL) 25
5. Michael Schumacher (ALL) 24
6. Mark Webber (AUS) 22
7. Rubens Barrichello (BRE) 21
8. Ralf Schumacher (ALL) 20
9. Giancarlo Fisichella (ITA) 17
10. David Coulthard (GBR) 17
11. Juan Pablo Montoya (COL) 16
12. Felipe Massa (BRE) 7
13. Alexander Wurz (AUT) 6
14. Jacques Villeneuve (CAN) 5
15. Pedro de la Rosa (ESP) 4
16. Christian Klien (AUT) 4
17. Vitantonio Liuzzi (ITA) 1
Classement des constructeurs:
1. Renault 76 pts
2. McLaren-Mercedes 63
3. Toyota 47
4. Williams-BMW 47
5. Ferrari 45
6. Red Bull - Cosworth 22
7. Sauber-Petronas 12 --Message edité par bobépine le 2005-06-12 16:07:23--
Dimanche 12 juin 2005 - (RDS.ca) - Dans une course remplie de rebondissements, c'est le Finlandais Kimi Raikkonen qui a enlevé les honneurs du Grand Prix de Formule un du Canada présenté sur le circuit Gilles-Villeneuve à Montréal. Raikkonen a rallié la ligne d'arrivée devant l'Allemand Michael Schumacher, qui était parti en deuxième position.
Cette victoire de Raikkonen, avec une priorité de moins de deux secondes, resserre le championnat des pilotes puisque les voitures Renault, qui dominent le classement, n'ont pas terminé les 70 tours. L'avance de Fernando Alonso en tête du classement a donc légèrement fondu. Ainsi, il a toujours 59 points et avec sa victoire, Raikkonen en totalise maintenant 37. Jarno Trulli, sur Toyota, est au troisième rang avec 27 points. Grâce à cette deuxième place, Schumacher a 24 points au cinquième rang des pilotes.
Départ canon
Les deux pilotes de Renault Fernando Alonso et Giancarlo Fisichella ont connu un départ canon, eux qui partaient respectivement troisième et quatrième. Ils se sont emparés de la tête en doublant Jenson Button sur BAR et Michael Schumacher sur Ferrari.
Fisichella a occupé la tête pendant la première partie de la course. Son coéquipier était derrière lui. Fisichella a toutefois été contraint à l'abandon quand il a éprouvé des ennuis, laissant la première position à Alonso. Cet abandon a laissé la place à une bataille avec Juan Pablo Montoya McLaren-Mercedes, qui n'a malheureusement pas duré très longtemps puisque Alonso a été contraint à l'abandon après seulement cinq tours quand sa voiture a touché un muret.
Il s'agit du plus mauvais résultat de l'écurie française cette année.
Fait rarissime en Formule un quand Montoya a été chassé de la course en pleine épreuve. Les commissaires ont décerné un drapeau noir au Colombien pour avoir quitté la ligne des puits sur un feu rouge quand la voiture de sécurité croisait la sortie de la ligne des puits. Le règlement stipule qu'un pilote doit attendre que la file de voitures qui suit la voiture de sécurité doit avoir passé la ligne de sortie des stands avant que le feu vert lui soit donné pour revenir en piste.
Trulli était en bonne position pour monter sur la troisième marche du podium mais il a abandonné en raison d'un problème avec ses freins à sept tours de la fin.
Jacques Villeneuve
Ayant pris le départ de la huitième place sur la grille de départ, Jacques Villeneuve a rapidement chuté de quelques places dans les premiers instants de la course. Il est rentré rapidement aux puits pour changer son aileron avant quand sa voiture est entrée en collision avec l'arrière de la BAR de Takuma Sato, qui a été le premier pilote à abandonner quelques instants plus tard.
"Je ne sais pas ce qui s'est passé. Il semble que ce soit un problème électrique et je me suis retrouvé coincé dans le virage numéro deux avant de toucher Sato. Puis, la course était foutue."
Le pilote québécois a terminé au neuvième rang, lui dont la qualification avait suscité beaucoup d'espoir chez les amateurs de courses. Il n'a donc pas été en mesure d'offrir des points à son équipe devant ses partisans.
Villeneuve a terminé derrière Christian Klien Red Bull-Cosworth. Après la course, il a déclaré qu'il aurait aimé le dépasser pour obtenir un point au classement mais l'usure de ses pneus faisait glisser sa voiture.
Son coéquipier, le Brésilien Felipe Massa, a mieux fait, récoltant une quatrième place.
Rubens Barrichello
Rien ne sert de courir, il suffit de partir à point dit le vieil adage. C'est exactement ce qu'a appliqué le pilote de Ferrari Rubens Barrichello. Ce dernier, qui n'a pas été en mesure de participer à la séance de qualification officielle samedi, a pris le départ de la ligne des puits, ce qui ne l'a pas empêché de marquer des points avec une incroyable troisième position.
Pour Ferrari, il s'agit de son meilleur résultat depuis le début de la saison avec deux voitures sur le podium.
Le classement
1. Kimi Raikkonen (FIN/McLaren-Mercedes)
les 305,270 km en 1 h 32:09.290
(moyenne: 198,755 km/h)
2. Michael Schumacher (ALL/Ferrari) à 1.137
3. Rubens Barrichello (BRE/Ferrari) 40.483
4. Felipe Massa (BRE/Sauber-Petronas) 55.139
5. Mark Webber (AUS/Williams-BMW) 55.779
6. Ralf Schumacher (ALL/Toyota) 1 tour
7. David Coulthard (GBR/Red Bull - Cosworth) 1 tour
8. Christian Klien (AUT/Red Bull - Cosworth) 1 tour
9. Jacques Villeneuve (CAN/Sauber-Petronas) 1 tour
10. Tiago Monteiro (POR/Jordan-Toyota) 3 tours
11. Christijan Albers (PBS/Minardi-Cosworth) 3 tours
Les autres concurrents n'ont pas été classés
Classement des pilotes:
1. Fernando Alonso (ESP) 59 pts
2. Kimi Raikkonen (FIN) 37
3. Jarno Trulli (ITA) 27
4. Nick Heidfeld (ALL) 25
5. Michael Schumacher (ALL) 24
6. Mark Webber (AUS) 22
7. Rubens Barrichello (BRE) 21
8. Ralf Schumacher (ALL) 20
9. Giancarlo Fisichella (ITA) 17
10. David Coulthard (GBR) 17
11. Juan Pablo Montoya (COL) 16
12. Felipe Massa (BRE) 7
13. Alexander Wurz (AUT) 6
14. Jacques Villeneuve (CAN) 5
15. Pedro de la Rosa (ESP) 4
16. Christian Klien (AUT) 4
17. Vitantonio Liuzzi (ITA) 1
Classement des constructeurs:
1. Renault 76 pts
2. McLaren-Mercedes 63
3. Toyota 47
4. Williams-BMW 47
5. Ferrari 45
6. Red Bull - Cosworth 22
7. Sauber-Petronas 12 --Message edité par bobépine le 2005-06-12 16:07:23--
C'est bobépine ou bépine SVP
"Un grand week-end pour nous" - Michael Schumacher
Dimanche 12 juin 2005 - (PC) - Classés 1-2 ici l'an dernier, Michael Schumacher et Rubens Barichello ont reculé d'un rang dimanche, mais les deux pilotes Ferrari étaient très heureux dans les circonstances.
"Compte tenu des malchances qu'on a eues et avec Rubens passé de dernier à troisième, c'est un grand week-end pour nous", a estimé Schumacher, qui avait remporté les trois courses précédentes sur le circuit Gilles-Villeneuve, six des huit dernières et sept en tout.
Les deux Ferrari n'ont pas éprouvé de problèmes avec leurs boîtes de vitesses en course, mais Schumacher a pris un très mauvais départ, tout comme, dans une moindre mesure, Jenson Button à ses côtés en première ligne, et il s'est retrouvé en sixième place.
Le champion du monde n'a pas cherché d'excuses: "Jenson et moi n'avions pas d'adhérence. On reculait! Et tout le monde semblait voler à côté de nous." En fait, seules les Renault ont dépassé Button.
Schumacher, qui traîne encore à 35 points de Fernando Alonso au championnat du monde, a reconnu que si Ferrari s'est beaucoup améliorée à Montréal, il reste encore du travail à faire pour devenir l'égal de Renault.
"Il nous faut maintenant travailler davantage sur l'ensemble de la voiture pour la rendre efficace dans toutes les conditions", a-t-il précisé.
Barichello, comme Brisebois!
Barichello, qui n'avait même pas pu se qualifier la veille trahi par sa boîte de vitesses, ne pouvait lui aussi que se réjouir de se retrouver sur le podium.
"C'est la toute première fois en plus de 200 courses que je dois partir des puits et, d'une certaine façon, la nouveauté m'a amusé.
"J'ai fait une course fantastique, mais c'était difficile au début parce que j'étais très, très chargé en essence. Mais je suis parvenu à faire des dépassements et on a fait un merveilleux travail en me faisant entrer aux puits juste au bon moment. Par contre, mon radio ne fonctionnait pas au début et j'étais inquiet parce que je ne recevais pas d'instructions.
"J'ai été chanceux lors de la relance (après le drapeau jaune). Webber est arrivé trop vite dans le premier virage et a dû en prendre large. Massa a d freiner pour l'éviter et j'ai pu les dépasser. Je suis juste déçu de ce qui s'est passé aux qualifications, car on aurait pu faire encore mieux tous les deux. Mais je suis tout de même très heureux d'être passé de dernier à troisième."
Le Brésilien a prétendu n'avoir jamais douté qu'il pouvait faire une remontée à la Patrice Brisebois...
Celui-ci, remonté de la 21e à la huitième place en un demi-tour du Challenge Ferrari avant d'être accidenté, avait déclaré au directeur général de Ferrari Jean Todt que rien n'était donc perdu pour Barrichello en partant de la fin du peloton.
"Si je n'avais pas cru en mes chances, je serais retourné chez moi hier (samedi)", a dit Barrichello.
Dimanche 12 juin 2005 - (PC) - Classés 1-2 ici l'an dernier, Michael Schumacher et Rubens Barichello ont reculé d'un rang dimanche, mais les deux pilotes Ferrari étaient très heureux dans les circonstances.
"Compte tenu des malchances qu'on a eues et avec Rubens passé de dernier à troisième, c'est un grand week-end pour nous", a estimé Schumacher, qui avait remporté les trois courses précédentes sur le circuit Gilles-Villeneuve, six des huit dernières et sept en tout.
Les deux Ferrari n'ont pas éprouvé de problèmes avec leurs boîtes de vitesses en course, mais Schumacher a pris un très mauvais départ, tout comme, dans une moindre mesure, Jenson Button à ses côtés en première ligne, et il s'est retrouvé en sixième place.
Le champion du monde n'a pas cherché d'excuses: "Jenson et moi n'avions pas d'adhérence. On reculait! Et tout le monde semblait voler à côté de nous." En fait, seules les Renault ont dépassé Button.
Schumacher, qui traîne encore à 35 points de Fernando Alonso au championnat du monde, a reconnu que si Ferrari s'est beaucoup améliorée à Montréal, il reste encore du travail à faire pour devenir l'égal de Renault.
"Il nous faut maintenant travailler davantage sur l'ensemble de la voiture pour la rendre efficace dans toutes les conditions", a-t-il précisé.
Barichello, comme Brisebois!
Barichello, qui n'avait même pas pu se qualifier la veille trahi par sa boîte de vitesses, ne pouvait lui aussi que se réjouir de se retrouver sur le podium.
"C'est la toute première fois en plus de 200 courses que je dois partir des puits et, d'une certaine façon, la nouveauté m'a amusé.
"J'ai fait une course fantastique, mais c'était difficile au début parce que j'étais très, très chargé en essence. Mais je suis parvenu à faire des dépassements et on a fait un merveilleux travail en me faisant entrer aux puits juste au bon moment. Par contre, mon radio ne fonctionnait pas au début et j'étais inquiet parce que je ne recevais pas d'instructions.
"J'ai été chanceux lors de la relance (après le drapeau jaune). Webber est arrivé trop vite dans le premier virage et a dû en prendre large. Massa a d freiner pour l'éviter et j'ai pu les dépasser. Je suis juste déçu de ce qui s'est passé aux qualifications, car on aurait pu faire encore mieux tous les deux. Mais je suis tout de même très heureux d'être passé de dernier à troisième."
Le Brésilien a prétendu n'avoir jamais douté qu'il pouvait faire une remontée à la Patrice Brisebois...
Celui-ci, remonté de la 21e à la huitième place en un demi-tour du Challenge Ferrari avant d'être accidenté, avait déclaré au directeur général de Ferrari Jean Todt que rien n'était donc perdu pour Barrichello en partant de la fin du peloton.
"Si je n'avais pas cru en mes chances, je serais retourné chez moi hier (samedi)", a dit Barrichello.
C'est bobépine ou bépine SVP
"On est de retour dans la course" - Kimi Raikkonen
Dimanche 12 juin 2005 - (PC) - Un coup de baguette a transformé la malchance du Nurburgring en chance à Montréal.
Kimi Raikkonen, qui avait dû abandonner la victoire à Fernando Alonso au tout dernier tour du Grand Prix d'Europe lorsque sa suspension abîmée par une crevaison n'avait pu tenir le coup, a profité de quelques coups du sort pour s'imposer à Montréal.
"On a repris les 10 points perdus au Nurburgring et on est de retour dans la course au championnat", a constaté le terne Finlandais en étant le premier
à reconnaître sa chance d'avoir vu les deux Renault devant lui devoir abandonner et son propre équipier Juan Pablo Montoya, qui avait roulé devant lui jusque-là, être disqualifié.
Parti de la cinquième position, deux rangs devant Raikkonen, Montoya roulait devant lui depuis le départ.
Raikkonen aurait pu craindre encore d'écoper vers la toute fin de la course.
"Mon équipe m'a signalé que quelque chose clochait et je savais que c'était le volant, qui tirait à gauche. Mais il ne s'est rien passé comme à la dernière course."
Même pressé par la Ferrari de Michael Schumacher.
"Je ne voulais pas pousser trop fort. J'ai même relaxé un peu trop et je suis presque passé tout droit dans la chicane", a expliqué Raikkonen.
"J'étais aussi rapide que lui sinon plus, mais pas assez pour le doubler, a raconté Schumacher. J'espérais une faute de sa part, il m'a bien fait une petite faveur, mais il ne m'en a pas donné assez."
Content de se rapprocher d'Alonso dans la course au championnat, Raikkonen l'était aussi d'avoir l'occasion de se qualifier en tout dernier samedi à Indianapolis pour le Grand Prix des Etats-Unis.
"Ca va aider et de plus cette piste convient mieux à nos voitures. On devrait bien se classer et nous rapprocher encore plus des meneurs."
Dimanche 12 juin 2005 - (PC) - Un coup de baguette a transformé la malchance du Nurburgring en chance à Montréal.
Kimi Raikkonen, qui avait dû abandonner la victoire à Fernando Alonso au tout dernier tour du Grand Prix d'Europe lorsque sa suspension abîmée par une crevaison n'avait pu tenir le coup, a profité de quelques coups du sort pour s'imposer à Montréal.
"On a repris les 10 points perdus au Nurburgring et on est de retour dans la course au championnat", a constaté le terne Finlandais en étant le premier
à reconnaître sa chance d'avoir vu les deux Renault devant lui devoir abandonner et son propre équipier Juan Pablo Montoya, qui avait roulé devant lui jusque-là, être disqualifié.
Parti de la cinquième position, deux rangs devant Raikkonen, Montoya roulait devant lui depuis le départ.
Raikkonen aurait pu craindre encore d'écoper vers la toute fin de la course.
"Mon équipe m'a signalé que quelque chose clochait et je savais que c'était le volant, qui tirait à gauche. Mais il ne s'est rien passé comme à la dernière course."
Même pressé par la Ferrari de Michael Schumacher.
"Je ne voulais pas pousser trop fort. J'ai même relaxé un peu trop et je suis presque passé tout droit dans la chicane", a expliqué Raikkonen.
"J'étais aussi rapide que lui sinon plus, mais pas assez pour le doubler, a raconté Schumacher. J'espérais une faute de sa part, il m'a bien fait une petite faveur, mais il ne m'en a pas donné assez."
Content de se rapprocher d'Alonso dans la course au championnat, Raikkonen l'était aussi d'avoir l'occasion de se qualifier en tout dernier samedi à Indianapolis pour le Grand Prix des Etats-Unis.
"Ca va aider et de plus cette piste convient mieux à nos voitures. On devrait bien se classer et nous rapprocher encore plus des meneurs."
C'est bobépine ou bépine SVP
"Jacques a lutté très fort" - Peter Sauber
Dimanche 12 juin 2005 - (PC) - Jacques Villeneuve n'a pas souvent connu du succès sur le circuit Gilles-Villeneuve dans le cadre du Grand Prix du Canada de Formule 1. Après avoir décroché la huitième position sur la grille la veille, il espérait compléter l'épreuve en bonne position, peut-être même dans les points, dimanche.
Il n'a pas tardé à déchanter puisqu'il s'est retrouvé au dernier rang dès le deuxième tour. Un départ difficile et un contact au deuxième virage l'ont obligé à repasser par les puits prématurément.
"Je ne sais pas ce qui s'est passé au départ avec l'électronique, a expliqué Villeneuve, après avoir finalement complété l'épreuve au neuvième rang. La voiture n'a pas bougé pendant un certain temps. J'ai été doublé. Ensuite, j'ai été coincé au deuxième virage et je me suis montré un peu trop agressif et, malheureusement, j'ai tamponné Sato (Takuma, BAR-Honda), endommageant mon aileron avant. Par la suite, ma course était foutue."
Cette mésaventure est d'autant plus frustrante que Villeneuve estimait disposer, pour une fois, d'une voiture rapide.
Et comble de malchance, son arrêt aux puits pour changer son aileron a été compliqué par un pépin imprévisible.
"Pour la première fois, on avait une caméra dans le nez de la voiture et le fil de la caméra s'est coincé. Cela nous a fait perdre encore plus de temps."
Malgré tout, Villeneuve a refusé d'abandonner et ses efforts ont failli être récompensé.
"Même quand vous faites un arrêt dès le premier tour et que vous vous retrouvez dernier, il faut continuer à se battre et à pousser parce qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver en course, a dit Villeneuve. On peut espérer des drapeaux jaunes (neutralisation) ou des bris mécaniques _ comme ce fut le cas _ pour remonter au classement.
"Mais après avoir disputé toute la course, on ne veut pas finir neuvième, a-t-il ajouté. Neuvième, c'est la pire position."
Dans les derniers tours, Villeneuve chauffait Christian Klien (Red Bull) et il pouvait espérer marquer un point en le doublant.
"La neutralisation - ndlr: après l'accident de Jenson Button (BAR-Honda) au 47e tour - m'a permis de me rapprocher de lui. Mais il sortait mieux des virages que moi, a commenté le pilote. Mes pneus étaient usés en fin de course et la voiture glissait. Il m'en manquait un peu pour le doubler."
Sauber déçu pour son pilote
En dépit des circonstances, Villeneuve tire un bilan positif de son week-end montréalais. C'est la première fois qu'il parvient à compléter l'épreuve depuis 1998 lorsqu'il avait fini au 10e rang.
"C'est dommage car nous étions compétitifs pendant tout le week-end. Mais bon, il suffit de ne pas s'accrocher au premier virage, c'est tout."
Le propriétaire de l'écurie Peter Sauber s'est dit déçu que son pilote ne soit pas parvenu à finir dans les points. Mais il était satisfait de l'avoir vu se battre jusqu'à la fin malgré ses problèmes en début de course.
"Jacques a lutté très fort pendant toute la course, a confié Sauber. A la fin, il était tout juste derrière les Red Bull (David Coulthard et Klien) même s'il a effectué un arrêt de plus, et un très long. C'est d'autant plus décevant que je pense qu'il était possible pour Jacques de marquer des points ici."
Sauber a même excusé Villeneuve pour l'accrochage dans le virage Senna, prétendant que Sato avait freiné un peu trop tôt.
Comment Villeneuve entrevoit-il maintenant la prochaine épreuve à Indianapolis, à compter de vendredi?
"C'est difficile à dire, mais je crois que ce sera plus difficile pour nous là-bas. Le circuit d'Indianapolis comporte une très longue droite, un gros freinage et, par la suite, des virages très lents. Mais si la piste est abrasive et que les pneus sont très sollicités, cela devrait nous convenir."
Et l'idée de disputer deux Grands Prix en autant de semaines lui convient.
"C'est beaucoup de travail. Mais avec les autres équipes, j'aurais eu droit à trois journées d'essais. Personnellement, je préfère trois journées de Grand Prix."
Dimanche 12 juin 2005 - (PC) - Jacques Villeneuve n'a pas souvent connu du succès sur le circuit Gilles-Villeneuve dans le cadre du Grand Prix du Canada de Formule 1. Après avoir décroché la huitième position sur la grille la veille, il espérait compléter l'épreuve en bonne position, peut-être même dans les points, dimanche.
Il n'a pas tardé à déchanter puisqu'il s'est retrouvé au dernier rang dès le deuxième tour. Un départ difficile et un contact au deuxième virage l'ont obligé à repasser par les puits prématurément.
"Je ne sais pas ce qui s'est passé au départ avec l'électronique, a expliqué Villeneuve, après avoir finalement complété l'épreuve au neuvième rang. La voiture n'a pas bougé pendant un certain temps. J'ai été doublé. Ensuite, j'ai été coincé au deuxième virage et je me suis montré un peu trop agressif et, malheureusement, j'ai tamponné Sato (Takuma, BAR-Honda), endommageant mon aileron avant. Par la suite, ma course était foutue."
Cette mésaventure est d'autant plus frustrante que Villeneuve estimait disposer, pour une fois, d'une voiture rapide.
Et comble de malchance, son arrêt aux puits pour changer son aileron a été compliqué par un pépin imprévisible.
"Pour la première fois, on avait une caméra dans le nez de la voiture et le fil de la caméra s'est coincé. Cela nous a fait perdre encore plus de temps."
Malgré tout, Villeneuve a refusé d'abandonner et ses efforts ont failli être récompensé.
"Même quand vous faites un arrêt dès le premier tour et que vous vous retrouvez dernier, il faut continuer à se battre et à pousser parce qu'on ne sait jamais ce qui peut arriver en course, a dit Villeneuve. On peut espérer des drapeaux jaunes (neutralisation) ou des bris mécaniques _ comme ce fut le cas _ pour remonter au classement.
"Mais après avoir disputé toute la course, on ne veut pas finir neuvième, a-t-il ajouté. Neuvième, c'est la pire position."
Dans les derniers tours, Villeneuve chauffait Christian Klien (Red Bull) et il pouvait espérer marquer un point en le doublant.
"La neutralisation - ndlr: après l'accident de Jenson Button (BAR-Honda) au 47e tour - m'a permis de me rapprocher de lui. Mais il sortait mieux des virages que moi, a commenté le pilote. Mes pneus étaient usés en fin de course et la voiture glissait. Il m'en manquait un peu pour le doubler."
Sauber déçu pour son pilote
En dépit des circonstances, Villeneuve tire un bilan positif de son week-end montréalais. C'est la première fois qu'il parvient à compléter l'épreuve depuis 1998 lorsqu'il avait fini au 10e rang.
"C'est dommage car nous étions compétitifs pendant tout le week-end. Mais bon, il suffit de ne pas s'accrocher au premier virage, c'est tout."
Le propriétaire de l'écurie Peter Sauber s'est dit déçu que son pilote ne soit pas parvenu à finir dans les points. Mais il était satisfait de l'avoir vu se battre jusqu'à la fin malgré ses problèmes en début de course.
"Jacques a lutté très fort pendant toute la course, a confié Sauber. A la fin, il était tout juste derrière les Red Bull (David Coulthard et Klien) même s'il a effectué un arrêt de plus, et un très long. C'est d'autant plus décevant que je pense qu'il était possible pour Jacques de marquer des points ici."
Sauber a même excusé Villeneuve pour l'accrochage dans le virage Senna, prétendant que Sato avait freiné un peu trop tôt.
Comment Villeneuve entrevoit-il maintenant la prochaine épreuve à Indianapolis, à compter de vendredi?
"C'est difficile à dire, mais je crois que ce sera plus difficile pour nous là-bas. Le circuit d'Indianapolis comporte une très longue droite, un gros freinage et, par la suite, des virages très lents. Mais si la piste est abrasive et que les pneus sont très sollicités, cela devrait nous convenir."
Et l'idée de disputer deux Grands Prix en autant de semaines lui convient.
"C'est beaucoup de travail. Mais avec les autres équipes, j'aurais eu droit à trois journées d'essais. Personnellement, je préfère trois journées de Grand Prix."
C'est bobépine ou bépine SVP
Mission accomplie
Lundi 13 juin 2005 - MONTREAL (PC) - Au lendemain d'une course intéressante et d'un autre succès populaire, les organisateurs du Grand Prix du Canada se disaient "extrêmement satisfaits" de la présentation de la 27e édition de l'événement à Montréal.
La victoire du Finlandais Kimi Raikkonen (McLaren-Mercedes) après de multiples rebondissements, dimanche, a relancé de plus belle une course au championnat déjà très disputée.
Et malgré la chaleur accablante et le smog qui ont sévi pendant les trois jours du programme de course, une foule record de 334 000 personnes, dont 121 000 pour la course, ont assisté à ce rendez-vous très couru.
L'initiative du nouveau directeur général Martin Spalding d'inviter le populaire groupe québécois Simple Plan à donner un spectacle immédiatement après la course a aussi été saluée. Quelque 33 000 des 121 000 spectateurs sont restés sur le site pour continuer la fête et apprécier l'une des rares prestations du groupe devant les leurs.
"Nous cherchions une façon de prolonger l'après-midi à la lumière des commentaires émis par des spectateurs tristes de quitter le site aussitôt la course terminée, a expliqué Normand Prieur, chef de presse du Grand Prix. Martin a eu cette idée à la mi-avril et il faut admettre que cela s'est révélé un bon coup. Nous avons ainsi rejoint une nouvelle clientèle."
Le précédent record le jour de la course (117 000) avait été enregistré en 2002.
Petit soucis
Par ailleurs, tout ne s'est pas déroulé sans anicroche. La chaleur étouffante des derniers jours combinée à un mauvais fonctionnement de système de climatisation dans la salle de presse, vendredi, ont rendu plus criante encore l'exiguïté des installations réservées aux journalistes.
Plusieurs journalistes internationaux ont ainsi signé une pétition dénonçant leurs conditions de travail et l'ont remis aux dirigeants de la Fédération internationale de l'automobile (FIA).
"Cette pétition ne nous a pas été remise officiellement mais nous en avons eu connaissance et nous en prenons acte, a laissé entendre Prieur. Il ne faut pas oublier que nous avons fait face à des circonstances exceptionnelles."
Lundi matin, tout le matériel des 10 équipes de F1 avait déjà quitté le circuit en direction d'Indianapolis, qui accueille le prochain Grand Prix cette semaine, et Prieur assure que toutes les infrastructures temporaires (tribunes, clôture, etc) seront démontées avant la fin du mois.
Lundi 13 juin 2005 - MONTREAL (PC) - Au lendemain d'une course intéressante et d'un autre succès populaire, les organisateurs du Grand Prix du Canada se disaient "extrêmement satisfaits" de la présentation de la 27e édition de l'événement à Montréal.
La victoire du Finlandais Kimi Raikkonen (McLaren-Mercedes) après de multiples rebondissements, dimanche, a relancé de plus belle une course au championnat déjà très disputée.
Et malgré la chaleur accablante et le smog qui ont sévi pendant les trois jours du programme de course, une foule record de 334 000 personnes, dont 121 000 pour la course, ont assisté à ce rendez-vous très couru.
L'initiative du nouveau directeur général Martin Spalding d'inviter le populaire groupe québécois Simple Plan à donner un spectacle immédiatement après la course a aussi été saluée. Quelque 33 000 des 121 000 spectateurs sont restés sur le site pour continuer la fête et apprécier l'une des rares prestations du groupe devant les leurs.
"Nous cherchions une façon de prolonger l'après-midi à la lumière des commentaires émis par des spectateurs tristes de quitter le site aussitôt la course terminée, a expliqué Normand Prieur, chef de presse du Grand Prix. Martin a eu cette idée à la mi-avril et il faut admettre que cela s'est révélé un bon coup. Nous avons ainsi rejoint une nouvelle clientèle."
Le précédent record le jour de la course (117 000) avait été enregistré en 2002.
Petit soucis
Par ailleurs, tout ne s'est pas déroulé sans anicroche. La chaleur étouffante des derniers jours combinée à un mauvais fonctionnement de système de climatisation dans la salle de presse, vendredi, ont rendu plus criante encore l'exiguïté des installations réservées aux journalistes.
Plusieurs journalistes internationaux ont ainsi signé une pétition dénonçant leurs conditions de travail et l'ont remis aux dirigeants de la Fédération internationale de l'automobile (FIA).
"Cette pétition ne nous a pas été remise officiellement mais nous en avons eu connaissance et nous en prenons acte, a laissé entendre Prieur. Il ne faut pas oublier que nous avons fait face à des circonstances exceptionnelles."
Lundi matin, tout le matériel des 10 équipes de F1 avait déjà quitté le circuit en direction d'Indianapolis, qui accueille le prochain Grand Prix cette semaine, et Prieur assure que toutes les infrastructures temporaires (tribunes, clôture, etc) seront démontées avant la fin du mois.
C'est bobépine ou bépine SVP
L'homme de glace arrive
Lundi 13 juin 2005 - MONTREAL (PC) - À voir la mine déconfite du patron de l'écurie Renault Flavio Briatore à l'issue du Grand Prix du Canada, dimanche, on pouvait mieux mesurer l'impact des abandons des deux voitures de l'équipe française repartie bredouille de Montréal.
Certes, après huit des 19 manches de la saison, l'écurie trône toujours au sommet du championnat des constructeurs, avec 76 points, et son pilote vedette Fernando Alonso conserve le premier rang du classement des pilotes avec 59 points. Mais il est clair que Renault ne fera pas cavalier seul contrairement à ce qu'avait laissé présager leur début de saison en fanfare - quatre victoires d'affilée.
McLaren-Mercedes s'estime désormais en mesure de remporter le championnat après la troisième victoire du Finlandais Kimi Raikkonen en quatre épreuves. L'écart entre les deux équipes n'est plus que de 13 points avant le Grand Prix d'Indianapolis en fin de semaine.
Et Raikkonen entend faire la lutte à Alonso pour le titre des pilotes.
"Renault ferait bien de passer des vêtements chauds, car l'homme de glace arrive", s'est d'ailleurs enthousiasmé Norbert Haug, directeur sportif de Mercedes, en parlant de Raikkonen qui a hérité depuis son arrivée en F1 du surnom "Ice Man".
Briatore demeure confiant pour sa part que le faux pas de dimanche est un accident de parcours et que ses pilotes seront de retour aux avant-postes à Indianapolis.
Et on aurait tort d'éliminer de la course aux titres Ferrari et Michael Schumacher même s'ils ont été à la peine en début de saison.
Schumacher et son coéquipier Rubens Barrichello ont offert à la Scuderia son meilleur résultat de la saison, dimanche, en terminant respectivement 2e et 3e. Bien entendu, Ferrari a profité des mésaventures des Renault et de l'autre McLaren de Juan-Pablo Montoya (disqualifié) pour monter sur le podium.
"Ce résultat est encourageant mais il ne faut pas oublier que notre objectif est la victoire", a constaté le directeur général Jean Todt. Ce jour n'est peut-être pas loin.
Villeneuve progresse
Jacques Villeneuve, écorché par les déclarations de son patron Peter Sauber et du tsar de la F1 Bernie Ecclestone, a démontré ce week-end qu'il commence à dompter sa voiture.
Malgré sa neuvième position après un départ raté en raison d'un mauvais ajustement du système d'antipatinage, il continue de progresser.
A Montréal, il a éclipsé son coéquipier Felipe Massa en qualifications avec une huitième position sur la grille. Et encore en course, le Québécois d'origine s'est offert un meilleur tour que Massa (1:15,945 comparativement à 1:16,008). Pas mal pour un pilote qu'on dit lent sur un tour.
Apparemment impertubable face aux critiques, Villeneuve est conscient qu'il joue gros. Désireux de poursuivre sa carrière encore quelques saisons, il lui faut convaincre les sceptiques qu'il peut toujours rivaliser avec les pilotes de la jeune génération. Et pour y parvenir, il n'a pas droit à l'erreur.
"Je sais qu'au moindre faux pas, les critiques vont se faire entendre", a confié Villeneuve ce week-end.
En prévision d'Indianapolis, où il a gagné les 500 Milles sur le prestigieux ovale en 1995, Villeneuve ne s'aventure pas à faire de prédiction mais il sait maintenant qu'il peut être rapide avec sa Sauber.
Lundi 13 juin 2005 - MONTREAL (PC) - À voir la mine déconfite du patron de l'écurie Renault Flavio Briatore à l'issue du Grand Prix du Canada, dimanche, on pouvait mieux mesurer l'impact des abandons des deux voitures de l'équipe française repartie bredouille de Montréal.
Certes, après huit des 19 manches de la saison, l'écurie trône toujours au sommet du championnat des constructeurs, avec 76 points, et son pilote vedette Fernando Alonso conserve le premier rang du classement des pilotes avec 59 points. Mais il est clair que Renault ne fera pas cavalier seul contrairement à ce qu'avait laissé présager leur début de saison en fanfare - quatre victoires d'affilée.
McLaren-Mercedes s'estime désormais en mesure de remporter le championnat après la troisième victoire du Finlandais Kimi Raikkonen en quatre épreuves. L'écart entre les deux équipes n'est plus que de 13 points avant le Grand Prix d'Indianapolis en fin de semaine.
Et Raikkonen entend faire la lutte à Alonso pour le titre des pilotes.
"Renault ferait bien de passer des vêtements chauds, car l'homme de glace arrive", s'est d'ailleurs enthousiasmé Norbert Haug, directeur sportif de Mercedes, en parlant de Raikkonen qui a hérité depuis son arrivée en F1 du surnom "Ice Man".
Briatore demeure confiant pour sa part que le faux pas de dimanche est un accident de parcours et que ses pilotes seront de retour aux avant-postes à Indianapolis.
Et on aurait tort d'éliminer de la course aux titres Ferrari et Michael Schumacher même s'ils ont été à la peine en début de saison.
Schumacher et son coéquipier Rubens Barrichello ont offert à la Scuderia son meilleur résultat de la saison, dimanche, en terminant respectivement 2e et 3e. Bien entendu, Ferrari a profité des mésaventures des Renault et de l'autre McLaren de Juan-Pablo Montoya (disqualifié) pour monter sur le podium.
"Ce résultat est encourageant mais il ne faut pas oublier que notre objectif est la victoire", a constaté le directeur général Jean Todt. Ce jour n'est peut-être pas loin.
Villeneuve progresse
Jacques Villeneuve, écorché par les déclarations de son patron Peter Sauber et du tsar de la F1 Bernie Ecclestone, a démontré ce week-end qu'il commence à dompter sa voiture.
Malgré sa neuvième position après un départ raté en raison d'un mauvais ajustement du système d'antipatinage, il continue de progresser.
A Montréal, il a éclipsé son coéquipier Felipe Massa en qualifications avec une huitième position sur la grille. Et encore en course, le Québécois d'origine s'est offert un meilleur tour que Massa (1:15,945 comparativement à 1:16,008). Pas mal pour un pilote qu'on dit lent sur un tour.
Apparemment impertubable face aux critiques, Villeneuve est conscient qu'il joue gros. Désireux de poursuivre sa carrière encore quelques saisons, il lui faut convaincre les sceptiques qu'il peut toujours rivaliser avec les pilotes de la jeune génération. Et pour y parvenir, il n'a pas droit à l'erreur.
"Je sais qu'au moindre faux pas, les critiques vont se faire entendre", a confié Villeneuve ce week-end.
En prévision d'Indianapolis, où il a gagné les 500 Milles sur le prestigieux ovale en 1995, Villeneuve ne s'aventure pas à faire de prédiction mais il sait maintenant qu'il peut être rapide avec sa Sauber.
C'est bobépine ou bépine SVP
"BAR a la grosse tête" - Jacques Villeneuve
Jeudi 16 juin 2005 - INDIANAPOLIS (PC) - Jacques Villeneuve a critiqué son ancienne écurie BAR, qu'il trouve arrogante, dans les pages de l'Indianapolis Star.
"Ils ont la grosse tête et sont à nouveau arrogants après leur deuxième place au championnat acquise l'année dernière, a-t-il déclaré. Ils sont soudain de retour là où ils étaient lorsqu'ils ont commencé. Si vous n'avez jamais connu les sommets, ce n'est pas un problème. Mais lorsque vous avez goûté aux succès, c'est plus difficile!"
Villeneuve est revenu sur ses relations difficiles avec son ancien patron David Richards: "Il fait cela avec toutes personnes qu'il estime supérieur à lui. Il a un grand problème d'ego. Il était en mission pour me détruire, et je ne sais pas pourquoi. Il ne cessait de prétendre que mon salaire grevait le budget de l'écurie, alors qu'il ne venait pas d'elle."
Beaux souvenirs
Villeneuve conserve de bons souvenirs d'Indianapolis, où il a déjà gagné les prestigieux 500 milles.
"Indy est un beau circuit. Vous avez la portion intérieure, mais à la fin du tour c'est à fond en déboulant sur le banking et l'ovale. On atteint 300 kilomètres-heure dans le banking, et le virage ne semble pas en être un. Finalement, il y a la très longue ligne droite d'arrivée, où on monte jusqu'à 340. Le freinage est très dur à la fin, ce qui est différent des autres circuits. Cette section est favorable aux dépassements. Le circuit est bosselé, et assez difficile", a commenté le pilote d'origine québécoise.
"C'est toujours sympathique d'aller à Indy parce que l'ambiance en dehors du paddock est toujours bonne, a-t-il poursuivi. C'est un peu comme un Grand Prix à domicile car il y a beaucoup de fans canadiens qui font le déplacement et il faudra compter aussi sur les nombreux supporters qui me suivaient en IndyCar et après ma victoire aux 500 milles. Bien évidemment, j'ai de bons souvenirs là-bas et je suis toujours heureux d'y retourner "
Massa plus optimiste
Interrogé sur ses chances de terminer dans les points ce week-end à Indianapolis, Villeneuve n'a pas paru très enthousiaste. "Il n'y a pas de raison que nos voitures soient subitement hyper rapides. Si tout va bien pour nous et que les autres ont des problèmes, alors nous aurons une petite chance. Nous sommes, suivant le cas, en queue de peloton ou en milieu du peloton."
Son coéquipier Felipe Massa était plus optimiste.
"A Montréal j'ai ajouté cinq points à notre total et avec Spa l'an dernier ceci est mon meilleur résultat en Formule 1 à ce jour", a-t-il rappelé.
"Ce résultat a montré que nous étions capables de faire un bon résultat grâce à la détermination et au travail d'équipe. Je pense aussi que des circuits comme Montréal sont adaptés à mon pilotage et Indianapolis est un bel endroit aussi. Je n'ai couru qu'une fois là-bas en F1, l'an dernier, lorsque ma course s'est arrêtée au premier virage ! Il y a donc de bonnes chances que je fasse mieux cette saison, j'espère voir le drapeau à damier cette fois! Le banking est facile et ne pose pas de problème. Ce n'est pas du tout un virage au volant d'une F1. J'aime Indianapolis. L'histoire autour de ce circuit est palpable."
Jeudi 16 juin 2005 - INDIANAPOLIS (PC) - Jacques Villeneuve a critiqué son ancienne écurie BAR, qu'il trouve arrogante, dans les pages de l'Indianapolis Star.
"Ils ont la grosse tête et sont à nouveau arrogants après leur deuxième place au championnat acquise l'année dernière, a-t-il déclaré. Ils sont soudain de retour là où ils étaient lorsqu'ils ont commencé. Si vous n'avez jamais connu les sommets, ce n'est pas un problème. Mais lorsque vous avez goûté aux succès, c'est plus difficile!"
Villeneuve est revenu sur ses relations difficiles avec son ancien patron David Richards: "Il fait cela avec toutes personnes qu'il estime supérieur à lui. Il a un grand problème d'ego. Il était en mission pour me détruire, et je ne sais pas pourquoi. Il ne cessait de prétendre que mon salaire grevait le budget de l'écurie, alors qu'il ne venait pas d'elle."
Beaux souvenirs
Villeneuve conserve de bons souvenirs d'Indianapolis, où il a déjà gagné les prestigieux 500 milles.
"Indy est un beau circuit. Vous avez la portion intérieure, mais à la fin du tour c'est à fond en déboulant sur le banking et l'ovale. On atteint 300 kilomètres-heure dans le banking, et le virage ne semble pas en être un. Finalement, il y a la très longue ligne droite d'arrivée, où on monte jusqu'à 340. Le freinage est très dur à la fin, ce qui est différent des autres circuits. Cette section est favorable aux dépassements. Le circuit est bosselé, et assez difficile", a commenté le pilote d'origine québécoise.
"C'est toujours sympathique d'aller à Indy parce que l'ambiance en dehors du paddock est toujours bonne, a-t-il poursuivi. C'est un peu comme un Grand Prix à domicile car il y a beaucoup de fans canadiens qui font le déplacement et il faudra compter aussi sur les nombreux supporters qui me suivaient en IndyCar et après ma victoire aux 500 milles. Bien évidemment, j'ai de bons souvenirs là-bas et je suis toujours heureux d'y retourner "
Massa plus optimiste
Interrogé sur ses chances de terminer dans les points ce week-end à Indianapolis, Villeneuve n'a pas paru très enthousiaste. "Il n'y a pas de raison que nos voitures soient subitement hyper rapides. Si tout va bien pour nous et que les autres ont des problèmes, alors nous aurons une petite chance. Nous sommes, suivant le cas, en queue de peloton ou en milieu du peloton."
Son coéquipier Felipe Massa était plus optimiste.
"A Montréal j'ai ajouté cinq points à notre total et avec Spa l'an dernier ceci est mon meilleur résultat en Formule 1 à ce jour", a-t-il rappelé.
"Ce résultat a montré que nous étions capables de faire un bon résultat grâce à la détermination et au travail d'équipe. Je pense aussi que des circuits comme Montréal sont adaptés à mon pilotage et Indianapolis est un bel endroit aussi. Je n'ai couru qu'une fois là-bas en F1, l'an dernier, lorsque ma course s'est arrêtée au premier virage ! Il y a donc de bonnes chances que je fasse mieux cette saison, j'espère voir le drapeau à damier cette fois! Le banking est facile et ne pose pas de problème. Ce n'est pas du tout un virage au volant d'une F1. J'aime Indianapolis. L'histoire autour de ce circuit est palpable."
C'est bobépine ou bépine SVP
Horaire pour GP des États-Unis
RDS
18 Juin
13:52 Qualification GP des Etats-unis
20:30 Qualification GP des Etats-unis (reprise)
19 Juin
10:00 Qualification GP des Etats-unis (reprise)
19:30 Grand Prix des États-Unis (Reprise)
SRC
19 Juin
13:30 Grand Prix des États-Unis (Direct) --Message edité par bobépine le 2005-06-16 19:34:03--
RDS
18 Juin
13:52 Qualification GP des Etats-unis
20:30 Qualification GP des Etats-unis (reprise)
19 Juin
10:00 Qualification GP des Etats-unis (reprise)
19:30 Grand Prix des États-Unis (Reprise)
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13:30 Grand Prix des États-Unis (Direct) --Message edité par bobépine le 2005-06-16 19:34:03--
C'est bobépine ou bépine SVP
bobépine a écritHoraire pour GP des États-Unis
RDS
18 Juin
13:52 Qualification GP des Etats-unis
20:30 Qualification GP des Etats-unis (reprise)
19 Juin
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19:30 Grand Prix des États-Unis (Reprise)
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19 Juin
13:30 Grand Prix des États-Unis (Direct)
C'est drôle qu'il ne soit pas en direct sur RDS également...
RDS
18 Juin
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20:30 Qualification GP des Etats-unis (reprise)
19 Juin
10:00 Qualification GP des Etats-unis (reprise)
19:30 Grand Prix des États-Unis (Reprise)
SRC
19 Juin
13:30 Grand Prix des États-Unis (Direct)
C'est drôle qu'il ne soit pas en direct sur RDS également...