Lafleur est sans contrat
Mercredi 01 juin 2005 - MONTREAL (PC) -- Le contrat d'ambassadeur de Guy Lafleur avec le Canadien a pris fin le mardi 31 mai et même si des rencontres étaient prévues afin de négocier un renouvellement, l'ancien numéro 10 a confié qu'il n'était "pas pressé".
Lafleur a été choqué récemment d'apprendre qu'un ancien joueur comme Darryl Sittler, moins célèbre que lui, gagnait beaucoup plus d'argent pour moins d'ouvrage dans un rôle assez semblable auprès des Maple Leafs de Toronto.
Reconnu pour son franc parler, Lafleur n'hésite toujours pas à commenter à sa façon le conflit de travail dans la Ligue nationale: "C'est une gang de malades", dit-il, ajoutant qu'il n'en démord pas et qu'on devrait déclarer faillite et repartir à zéro.
Nouvelle , Rumeurs sur la LNH
"Je préfère Montréal à la Finlande" - Saku Koivu
Le capitaine du Canadien, Saku Koivu, espère ne pas avoir à retourner à Turku, en Finlande, la saison prochaine même s'il a aimé jouer devant ses compatriotes. Koivu, comme plusieurs de ses coéquipiers, trouve insupportable l'attente d'un règlement au conflit de travail.
Les joueurs du Canadien ne savent plus sur quel pied danser. L'incertitude qui plane sur la prochaine saison de hockey devient frustrante.
"C'est frustrant mais on ne peut rien faire. Il faut attendre", déplore Saku Koivu.
"Je me fous un peu de ce qu'ils vont décider. Je veux juste jouer au hockey. Peu importe qu'ils imposent un plafond salarial ou non, je veux juste jouer au hockey en septembre. Je pense que ça va faire plaisir à tout le monde si on recommence à l'automne", pense pour sa part Mike Ribeiro.
Les joueurs de la LNH ne veulent pas s'emballer mais certains voient des signes positifs.
"Je commence à être plus positif que durant l'hiver. Je crois qu'il va y avoir du hockey en septembre. Ce n'est qu'une question de temps", indique Simon Gagné.
"Au moins, ils discutent. C'est ce qui est important. S'ils discutent, ça veut dire qu'ils risquent d'arriver à une solution. Faudrait cependant que ça se fasse bientôt, pour que tout le monde puisse faire leur marketing, vendre les billets de saison et organiser le repêchage", pense Stéphane Quintal.
Si plusieurs joueurs ont eu du plaisir à évoluer en Europe pendant le lock-out, la majorité d'entre eux seraient déçus d'y retourner une deuxième saison.
"Ce fut plaisant de jouer en Finlande. Mais je préfère jouer à Montréal", d'ajouter Koivu.
Presque tous les joueurs du Canadien ont été actifs pendant le lock-out, ce qui pourrait devenir un avantage.
"Étant donné que la plupart des joueurs ont évolué quelque part, je pense que le retour au jeu sera plus facile, si je compare avec d'autres équipes dont plusieurs joueurs sont demeurés inactifs. Nous serons prêts, mais je pense qu'il faudra profiter de l'été pour bien s'entraîner. Faudra être prêt au bon moment", selon Ribeiro.
"Dans ce contexte, le Canadien sera en bonne position, si on joue évidemment. Pour un vétéran comme moi, c'était important d'être actif afin de demeurer compétitif", rappelle Koivu.
Le capitaine du Canadien, Saku Koivu, espère ne pas avoir à retourner à Turku, en Finlande, la saison prochaine même s'il a aimé jouer devant ses compatriotes. Koivu, comme plusieurs de ses coéquipiers, trouve insupportable l'attente d'un règlement au conflit de travail.
Les joueurs du Canadien ne savent plus sur quel pied danser. L'incertitude qui plane sur la prochaine saison de hockey devient frustrante.
"C'est frustrant mais on ne peut rien faire. Il faut attendre", déplore Saku Koivu.
"Je me fous un peu de ce qu'ils vont décider. Je veux juste jouer au hockey. Peu importe qu'ils imposent un plafond salarial ou non, je veux juste jouer au hockey en septembre. Je pense que ça va faire plaisir à tout le monde si on recommence à l'automne", pense pour sa part Mike Ribeiro.
Les joueurs de la LNH ne veulent pas s'emballer mais certains voient des signes positifs.
"Je commence à être plus positif que durant l'hiver. Je crois qu'il va y avoir du hockey en septembre. Ce n'est qu'une question de temps", indique Simon Gagné.
"Au moins, ils discutent. C'est ce qui est important. S'ils discutent, ça veut dire qu'ils risquent d'arriver à une solution. Faudrait cependant que ça se fasse bientôt, pour que tout le monde puisse faire leur marketing, vendre les billets de saison et organiser le repêchage", pense Stéphane Quintal.
Si plusieurs joueurs ont eu du plaisir à évoluer en Europe pendant le lock-out, la majorité d'entre eux seraient déçus d'y retourner une deuxième saison.
"Ce fut plaisant de jouer en Finlande. Mais je préfère jouer à Montréal", d'ajouter Koivu.
Presque tous les joueurs du Canadien ont été actifs pendant le lock-out, ce qui pourrait devenir un avantage.
"Étant donné que la plupart des joueurs ont évolué quelque part, je pense que le retour au jeu sera plus facile, si je compare avec d'autres équipes dont plusieurs joueurs sont demeurés inactifs. Nous serons prêts, mais je pense qu'il faudra profiter de l'été pour bien s'entraîner. Faudra être prêt au bon moment", selon Ribeiro.
"Dans ce contexte, le Canadien sera en bonne position, si on joue évidemment. Pour un vétéran comme moi, c'était important d'être actif afin de demeurer compétitif", rappelle Koivu.
C'est bobépine ou bépine SVP
Les Penguins de Portland?
Jeudi 02 juin 2005 - (RDS) - Mario Lemieux seraient sur le point de vendre les Penguins de Pittsburgh. Selon les informations, un groupe de San Jose se porterait acquéreur de l'équipe.
La nouvelle serait confirmée au cours des prochaines heures.
À la suite de cette transaction, Lemieux pourrait ne plus avoir de liens avec l'équipe.
On ignore si les Penguins demeureront à Pittsburgh ou s'ils déménageront.
Plusieurs villes sont mentionnées dans les rumeurs pour accueillir une équipe de la LNH notamment Las Vegas, Portland, Kansas City et Sacramento.
Tout indique que par ce geste, Lemieux n'a pu en venir à une entente avec la ville de Pittsburgh pour la construction d'un nouvel aréna.
Jeudi 02 juin 2005 - (RDS) - Mario Lemieux seraient sur le point de vendre les Penguins de Pittsburgh. Selon les informations, un groupe de San Jose se porterait acquéreur de l'équipe.
La nouvelle serait confirmée au cours des prochaines heures.
À la suite de cette transaction, Lemieux pourrait ne plus avoir de liens avec l'équipe.
On ignore si les Penguins demeureront à Pittsburgh ou s'ils déménageront.
Plusieurs villes sont mentionnées dans les rumeurs pour accueillir une équipe de la LNH notamment Las Vegas, Portland, Kansas City et Sacramento.
Tout indique que par ce geste, Lemieux n'a pu en venir à une entente avec la ville de Pittsburgh pour la construction d'un nouvel aréna.
C'est bobépine ou bépine SVP
Tous espèrent que la fin approche
Jeudi 02 juin 2005 - TORONTO (PC) - Daniel Brière refuse de se laisser berner encore une fois. Le centre des Sabres de Buffalo entend toutes ces rumeurs à l'effet que les discussions entre la LNH et l'Association des joueurs vont bon train et qu'il pourrait y avoir entente d'ici le mois de juillet. Il refuse toutefois de mordre à l'hameçon cette fois.
"Je suis un peu plus prudent malgré toutes les rumeurs positives qu'on entend depuis deux semaines, a déclaré Brière, jeudi. On s'est fait avoir à quelques reprises au cours de l'hiver, alors qu'on pensait qu'il y avait entente mais que dans les faits, ce n'était même pas proche. Je suis le dossier de près, c'est certain, mais je reste calme."
Brière a peut-être raison. Même si on évoque de plus en plus la possibilité d'une entente imminente, il reste encore plusieurs obstacles à franchir.
"Quand ils me diront que tout a été absolument complété et finalisé et que nous allons recommencer à jouer au hockey, seulement à ce moment-là je vais m'exciter", a déclaré Brière depuis Ottawa.
Le capitaine des Islanders de New York, Michael Peca, avait sensiblement la même attitude.
"Je pense que la leçon que nous avons apprise, c'est qu'il ne faut pas trop s'exciter quand on semble faire des progrès, et ne pas trop déprimer quand on semble dans une impasse, a-t-il dit, jeudi, depuis sa résidence de Buffalo. Ce sera fait quand ce sera fait, pas avant. Je ne veux pas trop m'emporter, même si je dois reconnaître que j'ai commencé à m'entraîner un petit peu plus fort afin de me préparer en vue d'une saison."
Les joueurs ne sont pas les seuls à tenter d'éviter de se laisser emporter par les émotions.
"C'est un défi, au jour le jour, d'essayer de tempérer ses émotions", a déclaré le directeur général des Maple Leafs de Toronto, John Ferguson, jeudi, depuis son bureau du Centre Air Canada.
"J'ai passé à travers cela en 1994 et c'était comme les montagnes russes, a commenté le d.g. des Red Wings de Detroit, Ken Holland. Cette fois, je me suis dit qu'il fallait que je reste le plus calme possible."
Chose que Ken Hitchcock, entraîneur des Flyers de Philadelphie, semble réussir plutôt mal.
"Je ne veux même pas y penser", a-t-il lancé.
Jeudi 02 juin 2005 - TORONTO (PC) - Daniel Brière refuse de se laisser berner encore une fois. Le centre des Sabres de Buffalo entend toutes ces rumeurs à l'effet que les discussions entre la LNH et l'Association des joueurs vont bon train et qu'il pourrait y avoir entente d'ici le mois de juillet. Il refuse toutefois de mordre à l'hameçon cette fois.
"Je suis un peu plus prudent malgré toutes les rumeurs positives qu'on entend depuis deux semaines, a déclaré Brière, jeudi. On s'est fait avoir à quelques reprises au cours de l'hiver, alors qu'on pensait qu'il y avait entente mais que dans les faits, ce n'était même pas proche. Je suis le dossier de près, c'est certain, mais je reste calme."
Brière a peut-être raison. Même si on évoque de plus en plus la possibilité d'une entente imminente, il reste encore plusieurs obstacles à franchir.
"Quand ils me diront que tout a été absolument complété et finalisé et que nous allons recommencer à jouer au hockey, seulement à ce moment-là je vais m'exciter", a déclaré Brière depuis Ottawa.
Le capitaine des Islanders de New York, Michael Peca, avait sensiblement la même attitude.
"Je pense que la leçon que nous avons apprise, c'est qu'il ne faut pas trop s'exciter quand on semble faire des progrès, et ne pas trop déprimer quand on semble dans une impasse, a-t-il dit, jeudi, depuis sa résidence de Buffalo. Ce sera fait quand ce sera fait, pas avant. Je ne veux pas trop m'emporter, même si je dois reconnaître que j'ai commencé à m'entraîner un petit peu plus fort afin de me préparer en vue d'une saison."
Les joueurs ne sont pas les seuls à tenter d'éviter de se laisser emporter par les émotions.
"C'est un défi, au jour le jour, d'essayer de tempérer ses émotions", a déclaré le directeur général des Maple Leafs de Toronto, John Ferguson, jeudi, depuis son bureau du Centre Air Canada.
"J'ai passé à travers cela en 1994 et c'était comme les montagnes russes, a commenté le d.g. des Red Wings de Detroit, Ken Holland. Cette fois, je me suis dit qu'il fallait que je reste le plus calme possible."
Chose que Ken Hitchcock, entraîneur des Flyers de Philadelphie, semble réussir plutôt mal.
"Je ne veux même pas y penser", a-t-il lancé.
C'est bobépine ou bépine SVP
Une idée révolutionnaire?
Vendredi 03 juin 2005 - TORONTO (PC) - Une des expériences les plus originales qui sera testée la semaine prochaine au nouveau camp de recherche et développement de la Ligue nationale ferait disparaître l'obstruction et permettrait aux joueurs plus habiles de marquer plus de buts.
Trop beau pour être vrai? En tout cas, il ne faut pas s'attendre à voir cette mesure dans les règlements dès la reprise des activités dans la LNH
L'idée est la suivante: les lignes bleues actuelles sont remplacées par une mince ligne cinq pieds plus loin que le sommet des cercles de mise en jeu.
"Une fois franchi cette ligne, un joueur peut passer la rondelle n'importe où sur la patinoire", explique le directeur général des Bruins de Boston, Mike O'Connell, qui a développé l'idée avec son président Harry Sinden après l'avoir testée en février sur la glace du Fleet Center avec des joueurs de leur filiale des Bruins de Providence.
"Harry et moi cherchons une façon d'ouvrir le jeu", a dit O'Connell.
"On parle beaucoup d'obstruction. Nous croyons qu'il est difficile de l'éviter avec la surface de jeu telle que dessinée actuellement. On regarde de vieux matchs à la télé et on réalise que la plupart des équipes tentaient de marquer des buts. Aujourd'hui on se concentre sur la défense."
"C'est peut-être révolutionnaire, constate Sinden, mais on a dit la même chose de la ligne rouge en 1943 et elle est encore là."
Ce camp expérimental débutera lundi dans une patinoire près de l'aéroport de Toronto et le noyau de patineurs sera constitué de joueurs autonomes ayant complété leur carrière junior. Des filets plus grands et un équipement réduit pour les gardiens seront parmi les autres sujets testés, de même que les dégagements signalés dès que la rondelle franchit la ligne rouge des buts.
Vendredi 03 juin 2005 - TORONTO (PC) - Une des expériences les plus originales qui sera testée la semaine prochaine au nouveau camp de recherche et développement de la Ligue nationale ferait disparaître l'obstruction et permettrait aux joueurs plus habiles de marquer plus de buts.
Trop beau pour être vrai? En tout cas, il ne faut pas s'attendre à voir cette mesure dans les règlements dès la reprise des activités dans la LNH
L'idée est la suivante: les lignes bleues actuelles sont remplacées par une mince ligne cinq pieds plus loin que le sommet des cercles de mise en jeu.
"Une fois franchi cette ligne, un joueur peut passer la rondelle n'importe où sur la patinoire", explique le directeur général des Bruins de Boston, Mike O'Connell, qui a développé l'idée avec son président Harry Sinden après l'avoir testée en février sur la glace du Fleet Center avec des joueurs de leur filiale des Bruins de Providence.
"Harry et moi cherchons une façon d'ouvrir le jeu", a dit O'Connell.
"On parle beaucoup d'obstruction. Nous croyons qu'il est difficile de l'éviter avec la surface de jeu telle que dessinée actuellement. On regarde de vieux matchs à la télé et on réalise que la plupart des équipes tentaient de marquer des buts. Aujourd'hui on se concentre sur la défense."
"C'est peut-être révolutionnaire, constate Sinden, mais on a dit la même chose de la ligne rouge en 1943 et elle est encore là."
Ce camp expérimental débutera lundi dans une patinoire près de l'aéroport de Toronto et le noyau de patineurs sera constitué de joueurs autonomes ayant complété leur carrière junior. Des filets plus grands et un équipement réduit pour les gardiens seront parmi les autres sujets testés, de même que les dégagements signalés dès que la rondelle franchit la ligne rouge des buts.
C'est bobépine ou bépine SVP
Crosby ralenti aux tests de la LNH
Samedi 04 juin 2005 - (RDS et PC) - Sidney Crosby, de l'Océanic de Rimouski, était parmi les 111 joueurs à avoir été invité par la Centrale de recrutement de la Ligue nationale de hockey, samedi, à Toronto.
Crosby a subi différents examens physiques, mais il n'a pu tous les faire en raison d'une blessure au bas du corps dont il n'a pas voulu parler davantage.
Crosby a aussi rencontré 21 des 30 équipes du circuit Bettman.
"J'ai toujours regardé le repêchage de la Ligue nationale. Je vais maintenant en faire partie", a déclaré Crosby. "Je suis près de mon but. Je suis confiant que le conflit se réglera."
Crosby combattait aussi une vilaine grippe qui l'a forcé à se rendre à l'hôpital jeudi soir.
La saison junior de Crosby a pris fin il y a une semaine lorsque l'Océanic s'est incliné 4-0 devant les Knights de London, en finale de la coupe Memorial.
Au cours de cette compétition, le père de Crosby, Troy, avait indiqué que son fils se défonçait depuis 10 mois et qu'il avait besoin d'un repos.
Samedi, Crosby a pu compléter les tests impliquant le haut de son corps. Toutefois, en raison de sa blessure, il n'a pu faire les tests de vélo et d'aérobie.
"J'ai été ennuyé par cette blessure pendant toutes les séries", a indiqué Crosby. "On m'a dit de prendre un repos de deux semaines. Ça fait maintenant cinq jours que je suis en congé et je ne veux pas aggraver ma blessure."
"Je veux reprendre l'entraînement au cours de l'été et être prêt pour la prochaine saison."
Crosby n'a pas voulu préciser la nature de sa blessure, mais il a déclaré que ce n,est pas la même qui l'a contraint à rater la rencontre des espoirs au mois de février.
Pour ce qui est du repêchage, il n'aura pas lieu tant qu'il n'y aura pas une entente entre la Ligue nationale et l'Association des joueurs.
Samedi 04 juin 2005 - (RDS et PC) - Sidney Crosby, de l'Océanic de Rimouski, était parmi les 111 joueurs à avoir été invité par la Centrale de recrutement de la Ligue nationale de hockey, samedi, à Toronto.
Crosby a subi différents examens physiques, mais il n'a pu tous les faire en raison d'une blessure au bas du corps dont il n'a pas voulu parler davantage.
Crosby a aussi rencontré 21 des 30 équipes du circuit Bettman.
"J'ai toujours regardé le repêchage de la Ligue nationale. Je vais maintenant en faire partie", a déclaré Crosby. "Je suis près de mon but. Je suis confiant que le conflit se réglera."
Crosby combattait aussi une vilaine grippe qui l'a forcé à se rendre à l'hôpital jeudi soir.
La saison junior de Crosby a pris fin il y a une semaine lorsque l'Océanic s'est incliné 4-0 devant les Knights de London, en finale de la coupe Memorial.
Au cours de cette compétition, le père de Crosby, Troy, avait indiqué que son fils se défonçait depuis 10 mois et qu'il avait besoin d'un repos.
Samedi, Crosby a pu compléter les tests impliquant le haut de son corps. Toutefois, en raison de sa blessure, il n'a pu faire les tests de vélo et d'aérobie.
"J'ai été ennuyé par cette blessure pendant toutes les séries", a indiqué Crosby. "On m'a dit de prendre un repos de deux semaines. Ça fait maintenant cinq jours que je suis en congé et je ne veux pas aggraver ma blessure."
"Je veux reprendre l'entraînement au cours de l'été et être prêt pour la prochaine saison."
Crosby n'a pas voulu préciser la nature de sa blessure, mais il a déclaré que ce n,est pas la même qui l'a contraint à rater la rencontre des espoirs au mois de février.
Pour ce qui est du repêchage, il n'aura pas lieu tant qu'il n'y aura pas une entente entre la Ligue nationale et l'Association des joueurs.
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Il y a un an...
(Photo PC) Vincent Lecavalier soulève le précieux trophée.
Mardi 07 juin 2005 - TORONTO (PC) - Vincent Lecavalier est parvenu à refiler la rondelle au moment où il était sur le point de tomber dans un coin de patinoire, pourchassé par deux joueurs des Flames de Calgary. Puis le lancer de Ruslan Fedotenko dans la lucarne a battu Miikka Kiprusoff à 14:38 de la deuxième période.
Quelque 20 000 partisans du Lightning ont alors explosé de joie au St.Pete Times Forum alors qu'en Alberta, on pouvait lire la déception sur tous les visages.
Le but de Fedotenko devait être le filet vainqueur du septième match de la finale de la coupe Stanley que le Lightning de Tampa a remporté 2-1 face aux Flames.
C'était le 7 juin 2004.
"C'est le rêve de tout joueur et je suis fier de faire partie de cette équipe, avait alors déclaré Martin St-Louis, du Lightning. Nous sommes unis pour la vie.
"Nous sommes des gagnants. Rien ne peut décrire le sentiment que nous ressentons d'être la dernière équipe encore debout."
En raison du lock-out, il n'y a pas eu de match depuis, les négociations en vue du renouvellement de la convention collective ayant remplacé la compétition sur la glace.
A cause du lock-lock justement, le Lightning est devenu l'équipe ayant régné le plus longtemps après avoir remporté la coupe à une seule reprise depuis que la Ligue nationale a pris possession du prestigieux trophée en 1926.
"Ca ne semble pas si lointain", a déclaré cette semaine Brad Richards, vainqueur du trophée Conn Smythe, depuis sa maison de l'Ile-du-Prince-Edouard. "Le temps a passé si rapidement.
"Je suppose que le temps aurait passé encore plus rapidement si on avait joué. Mais il s'agit de beaux souvenirs que j'ai pu partager avec mes coéquipiers, mes amis, ma famille."
Les joueurs du Lightning sont passés par les bureaux de l'équipe en Floride au cours des derniers mois afin de prendre possession de leur bague de la coupe Stanley.
L'équipe a obtenu la permission de la LNH de réunir les joueurs qui n'évoluaient pas dans d'autres circuits afin de leur remettre leur bague le 16 novembre dernier. Cette remise a été faite par le président du Lightning, Ron Campbell, le directeur général Jay Feaster, et l'entraîneur John Tortorella lors d'une cérémonie empreinte de simplicité.
Richards, Dave Andreychuk, Tim Taylor, Jassen Cullimore, Ben Clymer, Cory Stillman, André Roy, John Grahame, Nolan Pratt, Chris Dingman, Darryl Sydor, Brad Lukowich, Cory Sarich et Dan Boyle étaient présents à la petite fête. Après la remise des bagues, tout le monde s'est réuni dans un hôtel de Tampa.
Feaster a présenté leur bague à Eric Perrin et Darren Rumble lors d'un match de la Ligue américaine. Fredrik Modin et Martin Cibak ont pris possession de la leur ces trois dernières semaines. Nikolai Khabibulin, Dimitry Afanasenkov et Pavel Kubina n'ont toujours pas leur bague, un an après la victoire du Lightning.
Une cérémonie aura lieu au centre de la glace lors de la reprise des activités dans la LNH.
"Lorsque le hockey reprendra, nous allons hisser la bannière et nous serons les champions, a dit Richards. Nous attendons tous ce moment."
(Photo PC) Vincent Lecavalier soulève le précieux trophée.
Mardi 07 juin 2005 - TORONTO (PC) - Vincent Lecavalier est parvenu à refiler la rondelle au moment où il était sur le point de tomber dans un coin de patinoire, pourchassé par deux joueurs des Flames de Calgary. Puis le lancer de Ruslan Fedotenko dans la lucarne a battu Miikka Kiprusoff à 14:38 de la deuxième période.
Quelque 20 000 partisans du Lightning ont alors explosé de joie au St.Pete Times Forum alors qu'en Alberta, on pouvait lire la déception sur tous les visages.
Le but de Fedotenko devait être le filet vainqueur du septième match de la finale de la coupe Stanley que le Lightning de Tampa a remporté 2-1 face aux Flames.
C'était le 7 juin 2004.
"C'est le rêve de tout joueur et je suis fier de faire partie de cette équipe, avait alors déclaré Martin St-Louis, du Lightning. Nous sommes unis pour la vie.
"Nous sommes des gagnants. Rien ne peut décrire le sentiment que nous ressentons d'être la dernière équipe encore debout."
En raison du lock-out, il n'y a pas eu de match depuis, les négociations en vue du renouvellement de la convention collective ayant remplacé la compétition sur la glace.
A cause du lock-lock justement, le Lightning est devenu l'équipe ayant régné le plus longtemps après avoir remporté la coupe à une seule reprise depuis que la Ligue nationale a pris possession du prestigieux trophée en 1926.
"Ca ne semble pas si lointain", a déclaré cette semaine Brad Richards, vainqueur du trophée Conn Smythe, depuis sa maison de l'Ile-du-Prince-Edouard. "Le temps a passé si rapidement.
"Je suppose que le temps aurait passé encore plus rapidement si on avait joué. Mais il s'agit de beaux souvenirs que j'ai pu partager avec mes coéquipiers, mes amis, ma famille."
Les joueurs du Lightning sont passés par les bureaux de l'équipe en Floride au cours des derniers mois afin de prendre possession de leur bague de la coupe Stanley.
L'équipe a obtenu la permission de la LNH de réunir les joueurs qui n'évoluaient pas dans d'autres circuits afin de leur remettre leur bague le 16 novembre dernier. Cette remise a été faite par le président du Lightning, Ron Campbell, le directeur général Jay Feaster, et l'entraîneur John Tortorella lors d'une cérémonie empreinte de simplicité.
Richards, Dave Andreychuk, Tim Taylor, Jassen Cullimore, Ben Clymer, Cory Stillman, André Roy, John Grahame, Nolan Pratt, Chris Dingman, Darryl Sydor, Brad Lukowich, Cory Sarich et Dan Boyle étaient présents à la petite fête. Après la remise des bagues, tout le monde s'est réuni dans un hôtel de Tampa.
Feaster a présenté leur bague à Eric Perrin et Darren Rumble lors d'un match de la Ligue américaine. Fredrik Modin et Martin Cibak ont pris possession de la leur ces trois dernières semaines. Nikolai Khabibulin, Dimitry Afanasenkov et Pavel Kubina n'ont toujours pas leur bague, un an après la victoire du Lightning.
Une cérémonie aura lieu au centre de la glace lors de la reprise des activités dans la LNH.
"Lorsque le hockey reprendra, nous allons hisser la bannière et nous serons les champions, a dit Richards. Nous attendons tous ce moment."
C'est bobépine ou bépine SVP
Des fusillades dans la LNH?
Steve Tambellini : "Les amateurs ont appris à aimer les fusillades dans la LAH".
Mardi 07 juin 2005 - TORONTO (PC) - En cas d'égalité après trois périodes, une fusillade pourrait déterminer le vainqueur d'un match de la saison régulière à la reprise des activités dans la LNH.
Ce n'est pas officiel mais les directeurs des équipes s'entendent sur la nécessité de présenter un produit plus divertissant, a dit le directeur général des Islanders de New York, Mike Milbury.
"S'il n'y a pas de fusillade, je serai très surpris, a dit Milbury. C'est ce que veulent les amateurs de hockey, et c'est la moindre des choses à faire après avoir craché sur eux lors des 12 derniers mois."
Les amateurs de hockey de la Ligue américaine et d'ailleurs ont appris à apprécier les fusillades, a noté Steve Tambellini, le directeur du personnel des Canucks de Vancouver. La tendance est évidente.
"Il semble que la plupart des gens veulent une issue claire, que ce soit une victoire ou une défaite", a dit Tambellini pendant une pause mardi lors de la deuxième de trois journées d'expériences avec de nouveaux règlements.
Les représentants des équipes ont assisté lundi à un match d'essai sans ligne rouge et lignes bleues auquel ont pris part des joueurs autonomes juniors et des joueurs collégiaux. Les filets étaient de plus grande dimension, étant plus haut de quatre pouces (6,5 centimètres) et plus large de huit pouces (20 centimètres).
Mardi, il y a eu un match avec degré de tolérance zéro en ce qui concerne les obstructions et les filets avaient des poteaux arqués. On a vu un défilé constant de joueurs vers le banc des pénalités car aucune obstruction n'était permise. Il y a eu beaucoup d'arrêts de jeu durant la rencontre et des jeux de puissance à répétition pendant la majeure partie de la rencontre.
Steve Tambellini : "Les amateurs ont appris à aimer les fusillades dans la LAH".
Mardi 07 juin 2005 - TORONTO (PC) - En cas d'égalité après trois périodes, une fusillade pourrait déterminer le vainqueur d'un match de la saison régulière à la reprise des activités dans la LNH.
Ce n'est pas officiel mais les directeurs des équipes s'entendent sur la nécessité de présenter un produit plus divertissant, a dit le directeur général des Islanders de New York, Mike Milbury.
"S'il n'y a pas de fusillade, je serai très surpris, a dit Milbury. C'est ce que veulent les amateurs de hockey, et c'est la moindre des choses à faire après avoir craché sur eux lors des 12 derniers mois."
Les amateurs de hockey de la Ligue américaine et d'ailleurs ont appris à apprécier les fusillades, a noté Steve Tambellini, le directeur du personnel des Canucks de Vancouver. La tendance est évidente.
"Il semble que la plupart des gens veulent une issue claire, que ce soit une victoire ou une défaite", a dit Tambellini pendant une pause mardi lors de la deuxième de trois journées d'expériences avec de nouveaux règlements.
Les représentants des équipes ont assisté lundi à un match d'essai sans ligne rouge et lignes bleues auquel ont pris part des joueurs autonomes juniors et des joueurs collégiaux. Les filets étaient de plus grande dimension, étant plus haut de quatre pouces (6,5 centimètres) et plus large de huit pouces (20 centimètres).
Mardi, il y a eu un match avec degré de tolérance zéro en ce qui concerne les obstructions et les filets avaient des poteaux arqués. On a vu un défilé constant de joueurs vers le banc des pénalités car aucune obstruction n'était permise. Il y a eu beaucoup d'arrêts de jeu durant la rencontre et des jeux de puissance à répétition pendant la majeure partie de la rencontre.
C'est bobépine ou bépine SVP
Entente sur le plafond salarial?
Mercredi 08 juin 2005 - TORONTO (PC et RDS) - La LNH et l'Association des joueurs ont conclu un accord sur une formule de plafond salarial basée sur les revenus de chaque équipe, a rapporté le journal "The Globe and Mail" sur son site internet, mercredi.
Le plafond salarial était le principal point en litige.
Selon le quotidien, un plancher et un plafond salarial seront basés sur le pourcentage des revenus de chaque formation.
Le Globe rapporte que la taxe punitive entrerait en vigueur à la moyenne du plancher et du plafond salarial. Exemple: si le plancher de l'équipe la moins dépensière est de 22 millions et que le plafond le plus élevé est de 36 millions, la taxe punitive entrerait en vigueur à 29 millions. Chaque dollar dépensé après cette barre serait taxé à 100 pour cent.
Bien qu'il reste encore plusieurs points à régler, les deux parties croient qu'il y a une chance qu'une entente intervienne avant le mois de juillet. Toutefois, elles concèdent qu'il reste des obstacles pouvant empêcher la conclusion d'une entente.
Il y a encore beaucoup de chemin à faire", a dit un informateur.
Mentionnon que le vice-président de la LNH, Bill Daly, et le directeur exécutif de l'Association des joueurs, Ted Saskin, n'ont pas voulu confirmer ou nier la nouvelle du Globe and Mail.
Mercredi 08 juin 2005 - TORONTO (PC et RDS) - La LNH et l'Association des joueurs ont conclu un accord sur une formule de plafond salarial basée sur les revenus de chaque équipe, a rapporté le journal "The Globe and Mail" sur son site internet, mercredi.
Le plafond salarial était le principal point en litige.
Selon le quotidien, un plancher et un plafond salarial seront basés sur le pourcentage des revenus de chaque formation.
Le Globe rapporte que la taxe punitive entrerait en vigueur à la moyenne du plancher et du plafond salarial. Exemple: si le plancher de l'équipe la moins dépensière est de 22 millions et que le plafond le plus élevé est de 36 millions, la taxe punitive entrerait en vigueur à 29 millions. Chaque dollar dépensé après cette barre serait taxé à 100 pour cent.
Bien qu'il reste encore plusieurs points à régler, les deux parties croient qu'il y a une chance qu'une entente intervienne avant le mois de juillet. Toutefois, elles concèdent qu'il reste des obstacles pouvant empêcher la conclusion d'une entente.
Il y a encore beaucoup de chemin à faire", a dit un informateur.
Mentionnon que le vice-président de la LNH, Bill Daly, et le directeur exécutif de l'Association des joueurs, Ted Saskin, n'ont pas voulu confirmer ou nier la nouvelle du Globe and Mail.
C'est bobépine ou bépine SVP
Le travail des arbitres passé à la loupe
Mardi 07 juin 2005 - (RDS) - Au moment où on tente toujours de régler le conflit de travail, du côté de New York, d'autres dirigeants du circuit, réunis à Toronto, se penchent sur les moyens pour rendre le hockey plus attrayant. Aujourd'hui, c’est le travail des officiels qui était passé à la loupe...
Pendant un match complet, les arbitres ont appelé toute forme d'obstruction qui était fait au porteur de la rondelle. En bout de ligne, 32 pénalités ont été décernées. La Ligue nationale a le mandat de ses dirigeants de pénaliser les joueurs qui accrochent et dès le mois de septembre, les règlements seront plus sévères.
"Tout le monde veut réduire ou éliminer l'accrochage. Les joueurs disent qu'ils n'ont pas d'espace sur la glace en ce moment", explique le directeur général du Canadien, Bob Gainey.
Les joueurs de talent comme Vincent Lecavalier du Lightning ont toujours affirmé que la solution aux problèmes de la Ligue était dans le livre des règlements. Si l'accrochage était puni, les matchs seraient plus excitants. Pourtant, il y a sept ans, la Ligue avait décidé d'être plus ferme, sauf qu'à l'approche des séries, les arbitres avaient rangé les sifflets.
"Si les arbitres avaient tenu leur bout, je crois qu'après deux autres mois, les joueurs se seraient habitués", croit Guy Carbonneau.
Le défi est donc de donner les outils aux arbitres pour qu'ils fassent leur travail, et cela, c'est tout un défi.
« Nous voulons aider les joueurs rapides, habiles, intelligents et forts. Nous voulons punir ce qui apprennent à tricher et qui retiennent loin des arbitres », lance Mike Murphy, vice-président des opérations hockey.
Ne soyons pas dupes. C'est facile pour la Ligue nationale d'affirmer que les arbitres pourront faire leur travail la saison prochaine, mais on verra s'ils auront autant de liberté lorsque les matchs seront importants.
Autre concept
Un autre concept a aussi été étudié. Cette idée est venue de Scotty Bowman.
Une mince ligne bleue serait située directement en haut des cercles de mises en jeu. Une longue passe peut être effectuée de cet endroit jusqu'à la vraie ligne bleue en territoire adverse.
Ainsi, selon Bowman, les joueurs auraient plus d'espace sur la patinoire. Mais il faut aussi que les arbitres décernent davantage de pénalité pour accrochage.
"Je pense que c'est nécessaire qu'un des deux arbitres surveille l'obstruction. Tout ce qu'un arbitre a à faire, c'est de s'assurer qu'aucun joueur ne touche un autre joueur avec son bâton", pense Bowman.
Les gardiens
La plupart des joueurs de la Ligue nationale gardent un oeil attentif sur ce qui se déroule cette semaine à Toronto. Même s'iIs n'ont pas été consultés dans ce dossier, ils semblent unanimes à l'idée de voir les gardiens travailler avec des jambières plus étroites.
"Les filets, c'est un peu exagéré, mais l'équipement des gardiens va faire une grosse différence. Tu peux protéger les gardiens en gardant un format qui est adéquat. De ce que j'ai vu, quand le gardien est devant le filet, on voit un peu de filet derrière eux. C'est une grosse différence avec les équipements du passé", selon Ian Laperrière.
« Je ne crois pas que changer les dimensions du filet soit une bonne idée. Je crois que la solution serait plutôt de changer l'équipement. Cela serait plus amusant pour les joueurs", soutient Francis Lessard.
"Il faut faire des essais dans la vie et je crois qu'il y a de l'amélioration à faire. Je crois que le changement de l'équipement du gardien de but est une nécessité. J'ai beaucoup d'amis gardiens de but, je les adore, mais la réalité, c'est qu'il n'y a pas beaucoup d'espace. Si tu regardes les images des années 60 et 70, il y a une très grande différence", estime Joël Bouchard. --Message edité par bobépine le 2005-06-08 17:01:20--
Mardi 07 juin 2005 - (RDS) - Au moment où on tente toujours de régler le conflit de travail, du côté de New York, d'autres dirigeants du circuit, réunis à Toronto, se penchent sur les moyens pour rendre le hockey plus attrayant. Aujourd'hui, c’est le travail des officiels qui était passé à la loupe...
Pendant un match complet, les arbitres ont appelé toute forme d'obstruction qui était fait au porteur de la rondelle. En bout de ligne, 32 pénalités ont été décernées. La Ligue nationale a le mandat de ses dirigeants de pénaliser les joueurs qui accrochent et dès le mois de septembre, les règlements seront plus sévères.
"Tout le monde veut réduire ou éliminer l'accrochage. Les joueurs disent qu'ils n'ont pas d'espace sur la glace en ce moment", explique le directeur général du Canadien, Bob Gainey.
Les joueurs de talent comme Vincent Lecavalier du Lightning ont toujours affirmé que la solution aux problèmes de la Ligue était dans le livre des règlements. Si l'accrochage était puni, les matchs seraient plus excitants. Pourtant, il y a sept ans, la Ligue avait décidé d'être plus ferme, sauf qu'à l'approche des séries, les arbitres avaient rangé les sifflets.
"Si les arbitres avaient tenu leur bout, je crois qu'après deux autres mois, les joueurs se seraient habitués", croit Guy Carbonneau.
Le défi est donc de donner les outils aux arbitres pour qu'ils fassent leur travail, et cela, c'est tout un défi.
« Nous voulons aider les joueurs rapides, habiles, intelligents et forts. Nous voulons punir ce qui apprennent à tricher et qui retiennent loin des arbitres », lance Mike Murphy, vice-président des opérations hockey.
Ne soyons pas dupes. C'est facile pour la Ligue nationale d'affirmer que les arbitres pourront faire leur travail la saison prochaine, mais on verra s'ils auront autant de liberté lorsque les matchs seront importants.
Autre concept
Un autre concept a aussi été étudié. Cette idée est venue de Scotty Bowman.
Une mince ligne bleue serait située directement en haut des cercles de mises en jeu. Une longue passe peut être effectuée de cet endroit jusqu'à la vraie ligne bleue en territoire adverse.
Ainsi, selon Bowman, les joueurs auraient plus d'espace sur la patinoire. Mais il faut aussi que les arbitres décernent davantage de pénalité pour accrochage.
"Je pense que c'est nécessaire qu'un des deux arbitres surveille l'obstruction. Tout ce qu'un arbitre a à faire, c'est de s'assurer qu'aucun joueur ne touche un autre joueur avec son bâton", pense Bowman.
Les gardiens
La plupart des joueurs de la Ligue nationale gardent un oeil attentif sur ce qui se déroule cette semaine à Toronto. Même s'iIs n'ont pas été consultés dans ce dossier, ils semblent unanimes à l'idée de voir les gardiens travailler avec des jambières plus étroites.
"Les filets, c'est un peu exagéré, mais l'équipement des gardiens va faire une grosse différence. Tu peux protéger les gardiens en gardant un format qui est adéquat. De ce que j'ai vu, quand le gardien est devant le filet, on voit un peu de filet derrière eux. C'est une grosse différence avec les équipements du passé", selon Ian Laperrière.
« Je ne crois pas que changer les dimensions du filet soit une bonne idée. Je crois que la solution serait plutôt de changer l'équipement. Cela serait plus amusant pour les joueurs", soutient Francis Lessard.
"Il faut faire des essais dans la vie et je crois qu'il y a de l'amélioration à faire. Je crois que le changement de l'équipement du gardien de but est une nécessité. J'ai beaucoup d'amis gardiens de but, je les adore, mais la réalité, c'est qu'il n'y a pas beaucoup d'espace. Si tu regardes les images des années 60 et 70, il y a une très grande différence", estime Joël Bouchard. --Message edité par bobépine le 2005-06-08 17:01:20--
C'est bobépine ou bépine SVP
Cam Neely entre au Temple
(Photo PC) Cam Neely a connu trois saisons de 50 buts au cours de sa carrière.
Mercredi 08 juin 2005 - (RDS) - Après six ans d'attente, Cam Neely fera finalement son apparition au Temple de la renommée du hockey. L'ancien attaquant des Bruins de Boston a été sélectionné mercredi en compagnie du regretté Valeri Kharlamov et de l'ancien président de l'Association canadienne de hockey, Murray Costello. Ce dernier a été élu dans la catégorie des bâtisseurs.
Échangé aux Bruins par les Canucks le jour de son 21e anniversaire, soit le 6 juin 1986, Neely a dominé la colonne des pointeurs des Bruins à sept reprises.
En 1989-1990, Neely est devenu le cinquième joueur de l'histoire des Bruins à marquer 50 buts en une saison. Il avait terminé la campagne avec 55 filets. La saison suivante, il en avait inscrit 51 pour ainsi devenir le deuxième joueur de l'histoire des Bruins, après Phil Esposito, à réussir deux saisons de suite de 50 buts.
En 525 parties dans la LNH en saison régulière, Neely a marqué 344 buts et amassé 590 points, tout en passant 921 minutes au banc des pénalités.
Neely domine l'histoire des Bruins avec 55 buts en séries. À deux occasions, les Bruins ont atteint la finale de la coupe Stanley avec Neely dans leur alignement. Cependant, à chaque fois, ils ont été défaits par les Oilers d'Edmonton.
En raison de blessures, Neely a été contraint à prendre une retraite prématurée au terme de la saison 1990-1991. Il n'a disputé que 22 rencontres au cours des deux saisons suivantes en raison de blessures à une cuisse et à un genou.
Il a finalement effectué un retour lors de la saison 1993-1994 où il a marqué 50 buts en 44 parties. Wayne Gretzky a été le seul autre joueur de l'histoire à atteindre le plateau des 50 buts en moins de rencontres que Neely. Cependant, deux saisons plus tard, Neely a pris sa retraite définitive le 5 septembre 1996, à l'âge de 31 ans, en raison de problèmes chroniques à une hanche.
Kharlamov qui est décédé en 1981 à la suite d'un accident de la route, s'est distingué avec l'équipe de l'Armée Rouge de 1969 à 1981.
Costello, qui a connu une brève carrière dans la LNH, a été le président de l'Association canadienne de hockey pendant 19 ans.
Parmi les autres candidats admissibles qui n'ont pas été sélectionnés - soit ceux qui sont à la retraite depuis au moins trois ans -, on retrouvait Glenn Anderson, Steve Larmer, Dino Cicarelli, Kevin Lowe et Doug Wilson.
La cérémonie d'intronisation aura lieu le 7 novembre à Toronto.
(Photo PC) Cam Neely a connu trois saisons de 50 buts au cours de sa carrière.
Mercredi 08 juin 2005 - (RDS) - Après six ans d'attente, Cam Neely fera finalement son apparition au Temple de la renommée du hockey. L'ancien attaquant des Bruins de Boston a été sélectionné mercredi en compagnie du regretté Valeri Kharlamov et de l'ancien président de l'Association canadienne de hockey, Murray Costello. Ce dernier a été élu dans la catégorie des bâtisseurs.
Échangé aux Bruins par les Canucks le jour de son 21e anniversaire, soit le 6 juin 1986, Neely a dominé la colonne des pointeurs des Bruins à sept reprises.
En 1989-1990, Neely est devenu le cinquième joueur de l'histoire des Bruins à marquer 50 buts en une saison. Il avait terminé la campagne avec 55 filets. La saison suivante, il en avait inscrit 51 pour ainsi devenir le deuxième joueur de l'histoire des Bruins, après Phil Esposito, à réussir deux saisons de suite de 50 buts.
En 525 parties dans la LNH en saison régulière, Neely a marqué 344 buts et amassé 590 points, tout en passant 921 minutes au banc des pénalités.
Neely domine l'histoire des Bruins avec 55 buts en séries. À deux occasions, les Bruins ont atteint la finale de la coupe Stanley avec Neely dans leur alignement. Cependant, à chaque fois, ils ont été défaits par les Oilers d'Edmonton.
En raison de blessures, Neely a été contraint à prendre une retraite prématurée au terme de la saison 1990-1991. Il n'a disputé que 22 rencontres au cours des deux saisons suivantes en raison de blessures à une cuisse et à un genou.
Il a finalement effectué un retour lors de la saison 1993-1994 où il a marqué 50 buts en 44 parties. Wayne Gretzky a été le seul autre joueur de l'histoire à atteindre le plateau des 50 buts en moins de rencontres que Neely. Cependant, deux saisons plus tard, Neely a pris sa retraite définitive le 5 septembre 1996, à l'âge de 31 ans, en raison de problèmes chroniques à une hanche.
Kharlamov qui est décédé en 1981 à la suite d'un accident de la route, s'est distingué avec l'équipe de l'Armée Rouge de 1969 à 1981.
Costello, qui a connu une brève carrière dans la LNH, a été le président de l'Association canadienne de hockey pendant 19 ans.
Parmi les autres candidats admissibles qui n'ont pas été sélectionnés - soit ceux qui sont à la retraite depuis au moins trois ans -, on retrouvait Glenn Anderson, Steve Larmer, Dino Cicarelli, Kevin Lowe et Doug Wilson.
La cérémonie d'intronisation aura lieu le 7 novembre à Toronto.
C'est bobépine ou bépine SVP
"Anderson mérite sa place" - Glen Sather
Mardi 07 juin 2005 - TORONTO (PC) - Glenn Anderson devrait être un choix automatique pour entrer au Temple de la renommée quand le comité de sélection se réunira mercredi, estime son ancien entraîneur Glen Sather.
"Il ne devrait même pas y avoir un débat à son sujet", a dit Sather.
Anderson a quitté la LNH en 1996 après avoir inscrit 498 buts en saison régulière et 93 buts en séries éliminatoires. Il a récolté un total de six bagues de la Coupe Stanley, incluant cinq quand Sather était à la barre des Oilers d'Edmonton.
"J'étais là pour la plupart de ses réalisations et il a accompli beaucoup plus que certains gars qui sont déjà au Temple", a noté Sather, maintenant le directeur général des Rangers de New York.
Anderson, qui était à son mieux lors des séries éliminatoires, a été ignoré à cinq reprises par le comité de sélection.
"Plus le match était important, mieux il faisait, a rappelé Sather pendant une pause lors de la deuxième journée d'essais de nouveaux règlements par la LNH. En se basant uniquement sur ses réalisations en séries éliminatoires, je pense qu'il est vraiment un joueur qui se qualifie."
L'actuel directeur général des Oilers, Kevin Lowe, qui était un des défenseurs de l'équipe lors des conquêtes de la Coupe Stanley par les Oilers dans les années '80 et qui pourrait aussi être choisi par le comité de sélection mercredi, est d'avis que le fait qu'Anderson n'ait pas déjà été nommé "est quelque peu un mystère" à ses yeux.
Wayne Gretzky, Jari Kurri, Paul Coffey et Grant Fuhr, tous des coéquipiers d'Anderson, ont déjà été élus au Temple, et Mark Messier les rejoindra quand il sera admissible.
Alors pourquoi pas Anderson?
"Quand j'étais assis dans le vestiaire aux côtés de tous ces grands joueurs, a dit Lowe, et que je regardais autour de moi lors d'un match important, j'estimais que le gars qui allait marquer le but important était Anderson, et c'est ce qu'il faisait.
"Peut-être accordait-il moins d'importance aux autres matchs. Il aurait marqué 600 buts si tel avait été le cas. Mais quiconque a déjà remporté des championnats reconnaît que Anderson était un joueur clé lors d'un match important. Ses statistiques le démontrent."
En plus d'Anderson, Steve Larmer et Dino Ciccarelli ont aussi été ignorés ces dernières années même s'ils ont connu de brillantes carrières.
Larmer a amassé 1012 points dans la LNH tandis que Ciccarelli a inscrit 608 buts.
Mardi 07 juin 2005 - TORONTO (PC) - Glenn Anderson devrait être un choix automatique pour entrer au Temple de la renommée quand le comité de sélection se réunira mercredi, estime son ancien entraîneur Glen Sather.
"Il ne devrait même pas y avoir un débat à son sujet", a dit Sather.
Anderson a quitté la LNH en 1996 après avoir inscrit 498 buts en saison régulière et 93 buts en séries éliminatoires. Il a récolté un total de six bagues de la Coupe Stanley, incluant cinq quand Sather était à la barre des Oilers d'Edmonton.
"J'étais là pour la plupart de ses réalisations et il a accompli beaucoup plus que certains gars qui sont déjà au Temple", a noté Sather, maintenant le directeur général des Rangers de New York.
Anderson, qui était à son mieux lors des séries éliminatoires, a été ignoré à cinq reprises par le comité de sélection.
"Plus le match était important, mieux il faisait, a rappelé Sather pendant une pause lors de la deuxième journée d'essais de nouveaux règlements par la LNH. En se basant uniquement sur ses réalisations en séries éliminatoires, je pense qu'il est vraiment un joueur qui se qualifie."
L'actuel directeur général des Oilers, Kevin Lowe, qui était un des défenseurs de l'équipe lors des conquêtes de la Coupe Stanley par les Oilers dans les années '80 et qui pourrait aussi être choisi par le comité de sélection mercredi, est d'avis que le fait qu'Anderson n'ait pas déjà été nommé "est quelque peu un mystère" à ses yeux.
Wayne Gretzky, Jari Kurri, Paul Coffey et Grant Fuhr, tous des coéquipiers d'Anderson, ont déjà été élus au Temple, et Mark Messier les rejoindra quand il sera admissible.
Alors pourquoi pas Anderson?
"Quand j'étais assis dans le vestiaire aux côtés de tous ces grands joueurs, a dit Lowe, et que je regardais autour de moi lors d'un match important, j'estimais que le gars qui allait marquer le but important était Anderson, et c'est ce qu'il faisait.
"Peut-être accordait-il moins d'importance aux autres matchs. Il aurait marqué 600 buts si tel avait été le cas. Mais quiconque a déjà remporté des championnats reconnaît que Anderson était un joueur clé lors d'un match important. Ses statistiques le démontrent."
En plus d'Anderson, Steve Larmer et Dino Ciccarelli ont aussi été ignorés ces dernières années même s'ils ont connu de brillantes carrières.
Larmer a amassé 1012 points dans la LNH tandis que Ciccarelli a inscrit 608 buts.
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Lettre d'intention pour l'achat des Penguins
Vendredi 10 juin 2005 - (RDS.ca) - Le Pittsburgh Post-Gazette affirme que des investisseurs de la cote Ouest ont déposé une lettre d'intention dans le but de se porter acquéreurs des Penguins.
Selon le journal, Mario Lemieux et les investisseurs locaux garderaient des parts dans l'équipe mais leurs pourcentages seraient dilués, ce qui renforcerait la rumeur qu'il n'y a pas de plan pour déménager l'équipe dans l'immédiat.
William "Boots" Del Biaggio, serait à la tête du groupe d'investisseurs. Ce dernier est actionnaire des Lancers d'Omaha de la United States Hockey League. Il détient aussi des parts des Sharks de San Jose.
Les Penguins ont fait savoir que des discussions étaient en cours avec un groupe qui désire investir dans l'équipe. "L'intention de ce groupe est de garder la franchise à Pittsburgh, de bâtir une équipe de calibre sur glace et d'obtenir une licence pour administrer des machines à sous pour financer la construction d'un nouvel amphithéâtre."
Vendredi 10 juin 2005 - (RDS.ca) - Le Pittsburgh Post-Gazette affirme que des investisseurs de la cote Ouest ont déposé une lettre d'intention dans le but de se porter acquéreurs des Penguins.
Selon le journal, Mario Lemieux et les investisseurs locaux garderaient des parts dans l'équipe mais leurs pourcentages seraient dilués, ce qui renforcerait la rumeur qu'il n'y a pas de plan pour déménager l'équipe dans l'immédiat.
William "Boots" Del Biaggio, serait à la tête du groupe d'investisseurs. Ce dernier est actionnaire des Lancers d'Omaha de la United States Hockey League. Il détient aussi des parts des Sharks de San Jose.
Les Penguins ont fait savoir que des discussions étaient en cours avec un groupe qui désire investir dans l'équipe. "L'intention de ce groupe est de garder la franchise à Pittsburgh, de bâtir une équipe de calibre sur glace et d'obtenir une licence pour administrer des machines à sous pour financer la construction d'un nouvel amphithéâtre."
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"Nous visons à garder l'équipe à Pittsburgh" - Mario Lemieux
À Montréal, Mario Lemieux et Tie Domie étaient les invités d'Alex Schnaider de l'écurie Jordan.
Samedi 11 juin 2005 - MONTREAL (PC) — Le joueur-propriétaire Mario Lemieux des Penguins de Pittsburgh était un spectateur attentif, samedi, lors de la séance de qualifications du Grand Prix du Canada.
Accompagné de sa conjointe Nathalie, Lemieux était l'invité de l'homme d'affaires torontois d'origine russe Alex Shnaider, nouveau propriétaire de l'écurie Jordan.
Lemieux en était à sa première expérience lors d'un week-end de Grand Prix et il a apprécié sa journée.
"C'est excitant. Nous avons bien aimé notre journée", a-t-il confié, lui qui a déjà eu le goût de la vitesse puisqu'il a possédé une Ferrari "quand j'étais jeune".
Il ne pourra assister à la course, dimanche, car il est attendu à Pittsburgh pour une réunion.
Interrogé sur l'offre d'un groupe d'investisseurs de la côte ouest américaine, dirigé par son ami William (Boots) Del Baggio, de se porter acquéreur des Penguins, Lemieux a mentionné qu'il entend demeurer associer à l'équipe.
"Peu importe ce qu'il advient, je vais demeurer avec l'organisation, a-t-il mentionné. Et nous visons à garder l'équipe à Pittsburgh.
"C'est notre objectif et c'est également le sien."
Le joueur vedette, qui est le propriétaire majoritaire des Penguins depuis 1999, a reçu la déclaration d'intention du groupe de Del Baggio la semaine dernière.
"On examine les détails mais il s'agit d'un processus complexe. Je devrais être capable d'en dire plus d'ici trois ou quatre mois."
Lemieux qui, en 1999, s'est porté acquéreur des Penguins alors en faillite, conserverait une petite partie du capital de l'équipe. Et il entend poursuivre sa carrière de joueur si le conflit se règle à temps pour la reprise des activités cet l'automne.
Del Biaggio a confié au Pittsburgh Post-Gazette, samedi, qu'il voulait garder l'équipe à Pittsburgh.
"Notre intention est de garder l'équipe à Pittsburgh", a-t-il révélé.
Il désire que Lemieux, qu'il a rencontré il y a cinq ans lors d'un tournoi de golf charitable, "s'implique activement dans toutes les facettes de l'organisation".
Lemieux est heureux de constater que des investisseurs cherchent toujours s'impliquer après l'annulation de la saison 2004-05 en raison du lock-out dans la LNH.
Il entrevoit par ailleurs un règlement prochain du conflit.
"C'est encourageant, a-t-il poursuivi au sujet des récentes séances de négociations. Les deux parties ont fait beaucoup de progrès depuis trois semaines. Tout le monde est confiant qu'une entente pourrait être conclue d'ici peu."
Lemieux était accompagné du vétéran Tie Domi des Maple Leafs de Toronto lorsqu'ils ont visité les garages de Jordan à l'issue des qualifications, samedi.
Et les deux joueurs ont longuement été photographiés à côté des voitures jaunes, qui portent la mention "bring hockey back" ("ramenez-nous le hockey") sur chaque côté.
Le capitaine du Canadien Saku Koivu a également rendu visite à son compatriote Kimi Raikkonen chez McLaren.
À Montréal, Mario Lemieux et Tie Domie étaient les invités d'Alex Schnaider de l'écurie Jordan.
Samedi 11 juin 2005 - MONTREAL (PC) — Le joueur-propriétaire Mario Lemieux des Penguins de Pittsburgh était un spectateur attentif, samedi, lors de la séance de qualifications du Grand Prix du Canada.
Accompagné de sa conjointe Nathalie, Lemieux était l'invité de l'homme d'affaires torontois d'origine russe Alex Shnaider, nouveau propriétaire de l'écurie Jordan.
Lemieux en était à sa première expérience lors d'un week-end de Grand Prix et il a apprécié sa journée.
"C'est excitant. Nous avons bien aimé notre journée", a-t-il confié, lui qui a déjà eu le goût de la vitesse puisqu'il a possédé une Ferrari "quand j'étais jeune".
Il ne pourra assister à la course, dimanche, car il est attendu à Pittsburgh pour une réunion.
Interrogé sur l'offre d'un groupe d'investisseurs de la côte ouest américaine, dirigé par son ami William (Boots) Del Baggio, de se porter acquéreur des Penguins, Lemieux a mentionné qu'il entend demeurer associer à l'équipe.
"Peu importe ce qu'il advient, je vais demeurer avec l'organisation, a-t-il mentionné. Et nous visons à garder l'équipe à Pittsburgh.
"C'est notre objectif et c'est également le sien."
Le joueur vedette, qui est le propriétaire majoritaire des Penguins depuis 1999, a reçu la déclaration d'intention du groupe de Del Baggio la semaine dernière.
"On examine les détails mais il s'agit d'un processus complexe. Je devrais être capable d'en dire plus d'ici trois ou quatre mois."
Lemieux qui, en 1999, s'est porté acquéreur des Penguins alors en faillite, conserverait une petite partie du capital de l'équipe. Et il entend poursuivre sa carrière de joueur si le conflit se règle à temps pour la reprise des activités cet l'automne.
Del Biaggio a confié au Pittsburgh Post-Gazette, samedi, qu'il voulait garder l'équipe à Pittsburgh.
"Notre intention est de garder l'équipe à Pittsburgh", a-t-il révélé.
Il désire que Lemieux, qu'il a rencontré il y a cinq ans lors d'un tournoi de golf charitable, "s'implique activement dans toutes les facettes de l'organisation".
Lemieux est heureux de constater que des investisseurs cherchent toujours s'impliquer après l'annulation de la saison 2004-05 en raison du lock-out dans la LNH.
Il entrevoit par ailleurs un règlement prochain du conflit.
"C'est encourageant, a-t-il poursuivi au sujet des récentes séances de négociations. Les deux parties ont fait beaucoup de progrès depuis trois semaines. Tout le monde est confiant qu'une entente pourrait être conclue d'ici peu."
Lemieux était accompagné du vétéran Tie Domi des Maple Leafs de Toronto lorsqu'ils ont visité les garages de Jordan à l'issue des qualifications, samedi.
Et les deux joueurs ont longuement été photographiés à côté des voitures jaunes, qui portent la mention "bring hockey back" ("ramenez-nous le hockey") sur chaque côté.
Le capitaine du Canadien Saku Koivu a également rendu visite à son compatriote Kimi Raikkonen chez McLaren.
C'est bobépine ou bépine SVP
La LNH serait présente à Turin
Lundi 13 juin 2005 - TORONTO (PC) - Réunies en petits groupes encore une fois, la Ligue nationale et l'Association des joueurs ont continué de discuter sérieusement lundi à Toronto afin de régler le conflit de travail qui dure depuis neuf mois. Mais, si l'on s'entend sur une formule d'entente basée sur un plafond salarial lié aux revenus de chaque équipe, il faudra encore environ deux semaines pour en venir à un accord complet et signé, selon des sources.
On ne voudra pas répéter l'erreur de 1994 quand on a agi avec précipitation dans le but de sauver une saison de 48 matchs mais pour réaliser par la suite que la convention collective n'était pas vraiment ce qu'on avait cru...
Il semble cependant que l'Association des joueurs a déjà gagné un point et que les joueurs de la LNH pourront participer aux Jeux olympiques de Turin en février.
Il faut aussi s'attendre à ce qu'une séance de repêchage soit tenue peu après la signature officielle de la nouvelle entente.
D'autre part, il n'y a que 288 joueurs, dont plusieurs marginaux, sous contrat pour la prochaine saison. C'est une moyenne de moins de 10 par équipe. Des dizaines de grands noms auront besoin de nouveaux contrats, autonomes avec ou sans restrictions.
Et chaque équipe devra tenir compte de son plafond salarial.
Les directeurs généraux ne manqueront pas d'ouvrage!
Les Capitals de Washington n'auront que six joueurs sous contrat, et les Hurricanes de la Caroline, sept.
"Mais nous avons aussi de bons jeunes joueurs à réengager qui sont autonomes avec restrictions", a toutefois souligné le directeur général des Hurricanes Jim Rutherford.
A l'autre extrémité, les Coyotes de Phoenix ont déjà 21 joueurs sous contrat et les Blue Jackets de Columbus, 20.
Lundi 13 juin 2005 - TORONTO (PC) - Réunies en petits groupes encore une fois, la Ligue nationale et l'Association des joueurs ont continué de discuter sérieusement lundi à Toronto afin de régler le conflit de travail qui dure depuis neuf mois. Mais, si l'on s'entend sur une formule d'entente basée sur un plafond salarial lié aux revenus de chaque équipe, il faudra encore environ deux semaines pour en venir à un accord complet et signé, selon des sources.
On ne voudra pas répéter l'erreur de 1994 quand on a agi avec précipitation dans le but de sauver une saison de 48 matchs mais pour réaliser par la suite que la convention collective n'était pas vraiment ce qu'on avait cru...
Il semble cependant que l'Association des joueurs a déjà gagné un point et que les joueurs de la LNH pourront participer aux Jeux olympiques de Turin en février.
Il faut aussi s'attendre à ce qu'une séance de repêchage soit tenue peu après la signature officielle de la nouvelle entente.
D'autre part, il n'y a que 288 joueurs, dont plusieurs marginaux, sous contrat pour la prochaine saison. C'est une moyenne de moins de 10 par équipe. Des dizaines de grands noms auront besoin de nouveaux contrats, autonomes avec ou sans restrictions.
Et chaque équipe devra tenir compte de son plafond salarial.
Les directeurs généraux ne manqueront pas d'ouvrage!
Les Capitals de Washington n'auront que six joueurs sous contrat, et les Hurricanes de la Caroline, sept.
"Mais nous avons aussi de bons jeunes joueurs à réengager qui sont autonomes avec restrictions", a toutefois souligné le directeur général des Hurricanes Jim Rutherford.
A l'autre extrémité, les Coyotes de Phoenix ont déjà 21 joueurs sous contrat et les Blue Jackets de Columbus, 20.
C'est bobépine ou bépine SVP
Tie Domi virulent
Mercredi 15 juin 2005 - TORONTO (PC) - Tie Domi ne s'est pas gêné cette semaine pour critiquer les dirigeants de la LNH et plus spécialement les propriétaires des équipes de Boston, Nashville, Caroline et Chicago. Les trois premiers font partie du comité de négociations des propriétaires.
"Prenez un gars comme Jacobs (Jeremy, le proprio des Bruins) par exemple. Il avait un des bijoux de la ligue aux Etats-Unis et il l'a laissé se détériorer. Même chose pour le gars à Chicago (Bill Wirtz). Il ne montre même pas les matchs de son équipe à la télé."
Le dur-à-cuire des Maple Leafs de Toronto a aussi visé le commissaire Gary Bettman et, plus subtilement, le directeur exécutif de l'Association des joueurs Bob Goodenow.
Il a indiqué qu'il recommencera à jouer toujours fâché contre un lock-out déclenché pour assurer la survie des équipes évoluant dans de petits marchés américains, tandis qu'on a laissé mourir celles évoluant au Canada sous l'ère Bettman.
"Pourquoi tentent-ils de sauver Nashville et la Caroline? Pourquoi n'ont-ils pas fait la même chose pour Winnipeg et Québec?"
Domi, qui aura 36 ans en novembre, sera un joueur autonome sans restriction à la reprise des activités mais il ne s'attend pas à jouer ailleurs qu'à Toronto.
"Je suis totalement préparé à négocier avec Toronto. C'est là qu'est mon coeur et je ne me vois pas nulle part ailleurs."
Mercredi 15 juin 2005 - TORONTO (PC) - Tie Domi ne s'est pas gêné cette semaine pour critiquer les dirigeants de la LNH et plus spécialement les propriétaires des équipes de Boston, Nashville, Caroline et Chicago. Les trois premiers font partie du comité de négociations des propriétaires.
"Prenez un gars comme Jacobs (Jeremy, le proprio des Bruins) par exemple. Il avait un des bijoux de la ligue aux Etats-Unis et il l'a laissé se détériorer. Même chose pour le gars à Chicago (Bill Wirtz). Il ne montre même pas les matchs de son équipe à la télé."
Le dur-à-cuire des Maple Leafs de Toronto a aussi visé le commissaire Gary Bettman et, plus subtilement, le directeur exécutif de l'Association des joueurs Bob Goodenow.
Il a indiqué qu'il recommencera à jouer toujours fâché contre un lock-out déclenché pour assurer la survie des équipes évoluant dans de petits marchés américains, tandis qu'on a laissé mourir celles évoluant au Canada sous l'ère Bettman.
"Pourquoi tentent-ils de sauver Nashville et la Caroline? Pourquoi n'ont-ils pas fait la même chose pour Winnipeg et Québec?"
Domi, qui aura 36 ans en novembre, sera un joueur autonome sans restriction à la reprise des activités mais il ne s'attend pas à jouer ailleurs qu'à Toronto.
"Je suis totalement préparé à négocier avec Toronto. C'est là qu'est mon coeur et je ne me vois pas nulle part ailleurs."
C'est bobépine ou bépine SVP
bobépine a écritTie Domi virulent
Le dur-à-cuire des Maple Leafs de Toronto a aussi visé le commissaire Gary Bettman et, plus subtilement, le directeur exécutif de l'Association des joueurs Bob Goodenow.
Il a indiqué qu'il recommencera à jouer toujours fâché contre un lock-out déclenché pour assurer la survie des équipes évoluant dans de petits marchés américains, tandis qu'on a laissé mourir celles évoluant au Canada sous l'ère Bettman.
"Pourquoi tentent-ils de sauver Nashville et la Caroline? Pourquoi n'ont-ils pas fait la même chose pour Winnipeg et Québec?"
Je n'ai jamais été une fan de Domi...mais je suis d'accord avec ses propos
Le dur-à-cuire des Maple Leafs de Toronto a aussi visé le commissaire Gary Bettman et, plus subtilement, le directeur exécutif de l'Association des joueurs Bob Goodenow.
Il a indiqué qu'il recommencera à jouer toujours fâché contre un lock-out déclenché pour assurer la survie des équipes évoluant dans de petits marchés américains, tandis qu'on a laissé mourir celles évoluant au Canada sous l'ère Bettman.
"Pourquoi tentent-ils de sauver Nashville et la Caroline? Pourquoi n'ont-ils pas fait la même chose pour Winnipeg et Québec?"
Je n'ai jamais été une fan de Domi...mais je suis d'accord avec ses propos
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Les Blues sont à vendre
Vendredi 17 juin 2005 - (RDS) - Après avoir perdu 60 millions de dollars américains au cours des deux dernières années, les propriétaires des Blues de St. Louis, Bill et Nancy Laurie, ont décidé de mettre l'équipe à vendre.
Les héritiers de Wal-Mart avaient versé 100 millions de dollars américains pour mettre la main sur les Blues en 1999.
Le nom du domicile des Blues, le Sawis Center, est aussi à vendre. La compagnie Sawis a annoncé jeudi qu'elle ne détiendrait plus les droits du nom de l'amphithéâtre. Elle a versé 5,5 millions de dollars pour mettre un terme au contrat de 20 ans (72 millions $) qui a débuté en août 2000.
"Les Laurie ont pris la décision de vendre les Blues et le Sawis Center parce qu'ils ne peuvent plus justifier le fait de demeurer actif dans une entreprise qui a perdu 60 millions de dollars au cours des deux dernières années et qui en perdra encore au cours des prochaines années.", a affirmé, via un communiqué, le président des Blues, Mark Sauer.
La direction des Blues a aussi souligné que le déficit des Blues et du Sawis Center, depuis que l'édifice a ouvert ses portes en 19994, excède les 225 millions de dollars.
Vendredi 17 juin 2005 - (RDS) - Après avoir perdu 60 millions de dollars américains au cours des deux dernières années, les propriétaires des Blues de St. Louis, Bill et Nancy Laurie, ont décidé de mettre l'équipe à vendre.
Les héritiers de Wal-Mart avaient versé 100 millions de dollars américains pour mettre la main sur les Blues en 1999.
Le nom du domicile des Blues, le Sawis Center, est aussi à vendre. La compagnie Sawis a annoncé jeudi qu'elle ne détiendrait plus les droits du nom de l'amphithéâtre. Elle a versé 5,5 millions de dollars pour mettre un terme au contrat de 20 ans (72 millions $) qui a débuté en août 2000.
"Les Laurie ont pris la décision de vendre les Blues et le Sawis Center parce qu'ils ne peuvent plus justifier le fait de demeurer actif dans une entreprise qui a perdu 60 millions de dollars au cours des deux dernières années et qui en perdra encore au cours des prochaines années.", a affirmé, via un communiqué, le président des Blues, Mark Sauer.
La direction des Blues a aussi souligné que le déficit des Blues et du Sawis Center, depuis que l'édifice a ouvert ses portes en 19994, excède les 225 millions de dollars.
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Brian Burke, nouveau d.g. des Ducks
Lundi 20 juin 2005 - (RDS.ca) – Brian Burke est le nouveau vice-président exécutif et le directeur général des Mighty Ducks d’Anaheim. Les nouveaux propriétaires de la formation de la Ligue nationale de hockey, Henry et Susan Samueli, qui sont aussi propriétaires du Anaheim Arena Management (AAM), ont choisi Burke parmi une longue liste de candidats.
« Je suis fier de me joindre à l’organisation des Ducks », a indiqué Burke dans un communiqué aujourd’hui. « Mes objectifs sont clairs : avoir une équipe gagnante année après année et de m’assurer que l’équipe fasse partie intégrante de la communauté d’Orange County ».
Michael Schulman a été nommé chef exécutif de l’équipe alors que le président de l’AAM, Tim Ryan assumera, en plus les fonctions de vice-président exécutif et chef des opérations.
Bob Wagner, qui était jusqu’ici vice-président et chef du marketing de l’AAM, a été nommé vice-président senior et chef du marketing de l’AAM et de la formation de la LNH. Mike O’Donnell, qui occupait jusqu’ici les fonctions de vice-président et chef des opérations de l’AAM, a été promu vice-président senior et directeur général de l’Arrowhead Pond, l’amphithéâtre dans lequel évolue les Mighty Ducks.
Le bureau des gouverneurs a approuvé à l’unanimité la vente de l’équipe la semaine dernière et l'entente a été complété aujourd’hui.
Lundi 20 juin 2005 - (RDS.ca) – Brian Burke est le nouveau vice-président exécutif et le directeur général des Mighty Ducks d’Anaheim. Les nouveaux propriétaires de la formation de la Ligue nationale de hockey, Henry et Susan Samueli, qui sont aussi propriétaires du Anaheim Arena Management (AAM), ont choisi Burke parmi une longue liste de candidats.
« Je suis fier de me joindre à l’organisation des Ducks », a indiqué Burke dans un communiqué aujourd’hui. « Mes objectifs sont clairs : avoir une équipe gagnante année après année et de m’assurer que l’équipe fasse partie intégrante de la communauté d’Orange County ».
Michael Schulman a été nommé chef exécutif de l’équipe alors que le président de l’AAM, Tim Ryan assumera, en plus les fonctions de vice-président exécutif et chef des opérations.
Bob Wagner, qui était jusqu’ici vice-président et chef du marketing de l’AAM, a été nommé vice-président senior et chef du marketing de l’AAM et de la formation de la LNH. Mike O’Donnell, qui occupait jusqu’ici les fonctions de vice-président et chef des opérations de l’AAM, a été promu vice-président senior et directeur général de l’Arrowhead Pond, l’amphithéâtre dans lequel évolue les Mighty Ducks.
Le bureau des gouverneurs a approuvé à l’unanimité la vente de l’équipe la semaine dernière et l'entente a été complété aujourd’hui.
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Nouveau d.g. chez les Blackhawks
Lundi 20 juin 2005 - (RDS.ca) – Les Blackhawks de Chicago ont convoqué la presse mardi eux qui annonceront vraisemblablement que Dale Tallon sera le nouveau directeur général.
Bob Pulford, vice-président senior des Blackhawks, occupait également les fonctions de directeur général depuis le congédiement de Mike Smith en octobre 2003.
Tallon est adjoint au directeur général chez les Blackhawks depuis le 5 novembre 2003. Il a aussi été directeur du personnel des joueurs de l’équipe et a œuvré à la radio et à la télévision des Blackhawks.
Choix de première ronde des Canucks de Vancouver en 1970, Tallon a disputé dix saisons dans la Ligue nationale dont quatre avec les Blackhawks (1974-1978).
Lundi 20 juin 2005 - (RDS.ca) – Les Blackhawks de Chicago ont convoqué la presse mardi eux qui annonceront vraisemblablement que Dale Tallon sera le nouveau directeur général.
Bob Pulford, vice-président senior des Blackhawks, occupait également les fonctions de directeur général depuis le congédiement de Mike Smith en octobre 2003.
Tallon est adjoint au directeur général chez les Blackhawks depuis le 5 novembre 2003. Il a aussi été directeur du personnel des joueurs de l’équipe et a œuvré à la radio et à la télévision des Blackhawks.
Choix de première ronde des Canucks de Vancouver en 1970, Tallon a disputé dix saisons dans la Ligue nationale dont quatre avec les Blackhawks (1974-1978).
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