boutchy a écrit
une tite morsure de ton chien, le reveillerais peu etre?
Des plans pour empoisonner mon chien
Nouvelle , Rumeurs sur la LNH
"Je m'ennuie en Finlande" - Mike Ribeiro
Lundi 31 janvier 2005 - (RDS) - Mike Ribeiro n'est en Finlande que depuis deux semaines seulement. Même s'il passe la majorité de son temps à Helsinki, Il joue pour la formation d'Espoo, une ville de 200 000 habitants située à une vingtaine de minutes de la capitale. L'attaquant du Canadien a choisi la Ligue d'élite Finlandaise pour la qualité du jeu. Il ne regrette pas sa décision mais parfois il se sent bien loin de la maison.
"Oui je m'ennuie, a avoué Ribeiro. La première semaine n'était pas si pire. Mais maintenant j'appelle ma famille à chaque jour et je parle à mon enfant à chaque jour. Ça commence à être long. J'ai hâte de les revoir, je m'ennuie d'être chez moi et d'être dans mes affaires. J'ai pas le choix de jouer au hockey en espérant de pouvoir retourner chez moi le plus vite possible."
Un peu comme ce que vive les Européens qui viennent s'établir en Amérique? "Présentement je le vis. Nous avons des Russes qui jouent avec nous. On ne sait pas trop comment ils s'ajustent. Maintenant que je suis dans leurs souliers je m'aperçois que ça doit être difficile pour eux."
Sur la glace les choses se passent bien pour Ribeiro . Ce qui est tant mieux, puisque les Blues luttent pour une place en séries et ils misent beaucoup sur leur nouveau numéro 23. Après une période d'adaptation de quelques matchs Ribeiro est maintenant plus confortable.
"Les séances d'entraînements sont différentes, a expliqué Ribeiro, le style de jeu est différent et j'essaie de m'ajuster à chaque match. Dernièrement j'ai eu beaucoup de temps de glace, soit 25 minutes ou plus. Je n'ai pas beaucoup de temps pour me reposer au banc, mais j'aime ça. Si le conflit se règle je serais prêt."
Le calendrier de la Ligue d'élite Finlandaise fera relâche pour une période de dix jours à compter du 6 février. Ribeiro profitera de cette pose pour retourner à Montréal pendant quelques jours. Il compte cependant terminer la saison qu'il a entrepris en Finlande, sauf que lorsqu'il reviendra ce sera en compagnie de son épouse et de ses deux fils.
Lundi 31 janvier 2005 - (RDS) - Mike Ribeiro n'est en Finlande que depuis deux semaines seulement. Même s'il passe la majorité de son temps à Helsinki, Il joue pour la formation d'Espoo, une ville de 200 000 habitants située à une vingtaine de minutes de la capitale. L'attaquant du Canadien a choisi la Ligue d'élite Finlandaise pour la qualité du jeu. Il ne regrette pas sa décision mais parfois il se sent bien loin de la maison.
"Oui je m'ennuie, a avoué Ribeiro. La première semaine n'était pas si pire. Mais maintenant j'appelle ma famille à chaque jour et je parle à mon enfant à chaque jour. Ça commence à être long. J'ai hâte de les revoir, je m'ennuie d'être chez moi et d'être dans mes affaires. J'ai pas le choix de jouer au hockey en espérant de pouvoir retourner chez moi le plus vite possible."
Un peu comme ce que vive les Européens qui viennent s'établir en Amérique? "Présentement je le vis. Nous avons des Russes qui jouent avec nous. On ne sait pas trop comment ils s'ajustent. Maintenant que je suis dans leurs souliers je m'aperçois que ça doit être difficile pour eux."
Sur la glace les choses se passent bien pour Ribeiro . Ce qui est tant mieux, puisque les Blues luttent pour une place en séries et ils misent beaucoup sur leur nouveau numéro 23. Après une période d'adaptation de quelques matchs Ribeiro est maintenant plus confortable.
"Les séances d'entraînements sont différentes, a expliqué Ribeiro, le style de jeu est différent et j'essaie de m'ajuster à chaque match. Dernièrement j'ai eu beaucoup de temps de glace, soit 25 minutes ou plus. Je n'ai pas beaucoup de temps pour me reposer au banc, mais j'aime ça. Si le conflit se règle je serais prêt."
Le calendrier de la Ligue d'élite Finlandaise fera relâche pour une période de dix jours à compter du 6 février. Ribeiro profitera de cette pose pour retourner à Montréal pendant quelques jours. Il compte cependant terminer la saison qu'il a entrepris en Finlande, sauf que lorsqu'il reviendra ce sera en compagnie de son épouse et de ses deux fils.
C'est bobépine ou bépine SVP
Au tour de Laraque de traverser l'océan
Mardi 01 février 2005 - (RDS.ca) – Plus de la moitié des 730 joueurs de la Ligue nationale de hockey ont maintenant signé des contrats avec des équipes européennes et le dur-à-cuire des Oilers d’Edmonton, Georges Laraque, est le dernier en lice à traverser l’océan.
Laraque a signé une entente avec le AIK Stockholm de la Ligue élite de Suède avant l’heure limite des transferts.
Selon la Fédération internationale de hockey sur glace, 370 joueurs ont signé des contrats en Europe depuis le début de la saison mais certains d’entre eux sont revenus de ce côté-ci de l’Atlantique depuis.
Voici la liste des derniers transferts :
Le gardien de but des Mighty Ducks d’Anaheim, Jean-Sébastien Giguère, a signé avec la formation de Hambourg en Allemagne.
Le défenseur Magnus Ragnarsson des Flyers de Philadelphie s’alignera avec Almtuna, en Suède.
Le défenseur Mattias Norstrom des Kings de Los Angeles s’alignera avec le AIK Stockholm, en Suède.
Le gardien de but des Rangers de New York, Mike Dunham, a signé un contrat avec le AIK Skelleftea, en Suède.
L’ailier Mike Johnson des Coyotes de Phoenix s’envole pour Farjestad, en Suède.
Le défenseur Toni Lydman des Flames de Calgary jouera avec le HIFK Helsinki, en Finlande.
Le gardien de but et joueur autonome sans restriction Trevor Kidd a signé avec la formation d’Orebro en Suède.
Les ailiers étoiles Marian Hossa des Sénateurs d'Ottawa et Marian Gaborik du Wild du Minnesota ont quitté leur équipe de la Suède pour joindre les rangs de la formation Dukla Trencin en Slovaquie.
Le gardien Vesa Toskala des Sharks de San Jose est passé du HV71 de la Suède à Ives Tampere en Finlande.
Le défenseur Frantisek Kaberle des Hurricanes de la Caroline est passé de l’équipe de Kladno en République tchèque à celle de MoDo en Suède.
Le centre Olli Jokinen des Panthers de la Floride est passé de Soderalje en Suède à IFK Helsinki en Finlande.
Le défenseur Rostislav Klesla des Blue jackets de Columbus est passé de Vsetin en République tchèque au HPK en Finlande.
Pendant ce temps, le gardien des Rangers de New York, Dan Blackburn, a joint les Salmon Kings de Victoria dans la East Coast League. Il pourrait disputer son premier match dès demain contre Fresno.
Les Mechanics de Motor City, une équipe de la United Hockey League de la région de Detroit, a embauché deux joueurs étoiles des Red Wings aujourd’hui, les défenseurs Chris Chelios et Derian Hatcher.
Mardi 01 février 2005 - (RDS.ca) – Plus de la moitié des 730 joueurs de la Ligue nationale de hockey ont maintenant signé des contrats avec des équipes européennes et le dur-à-cuire des Oilers d’Edmonton, Georges Laraque, est le dernier en lice à traverser l’océan.
Laraque a signé une entente avec le AIK Stockholm de la Ligue élite de Suède avant l’heure limite des transferts.
Selon la Fédération internationale de hockey sur glace, 370 joueurs ont signé des contrats en Europe depuis le début de la saison mais certains d’entre eux sont revenus de ce côté-ci de l’Atlantique depuis.
Voici la liste des derniers transferts :
Le gardien de but des Mighty Ducks d’Anaheim, Jean-Sébastien Giguère, a signé avec la formation de Hambourg en Allemagne.
Le défenseur Magnus Ragnarsson des Flyers de Philadelphie s’alignera avec Almtuna, en Suède.
Le défenseur Mattias Norstrom des Kings de Los Angeles s’alignera avec le AIK Stockholm, en Suède.
Le gardien de but des Rangers de New York, Mike Dunham, a signé un contrat avec le AIK Skelleftea, en Suède.
L’ailier Mike Johnson des Coyotes de Phoenix s’envole pour Farjestad, en Suède.
Le défenseur Toni Lydman des Flames de Calgary jouera avec le HIFK Helsinki, en Finlande.
Le gardien de but et joueur autonome sans restriction Trevor Kidd a signé avec la formation d’Orebro en Suède.
Les ailiers étoiles Marian Hossa des Sénateurs d'Ottawa et Marian Gaborik du Wild du Minnesota ont quitté leur équipe de la Suède pour joindre les rangs de la formation Dukla Trencin en Slovaquie.
Le gardien Vesa Toskala des Sharks de San Jose est passé du HV71 de la Suède à Ives Tampere en Finlande.
Le défenseur Frantisek Kaberle des Hurricanes de la Caroline est passé de l’équipe de Kladno en République tchèque à celle de MoDo en Suède.
Le centre Olli Jokinen des Panthers de la Floride est passé de Soderalje en Suède à IFK Helsinki en Finlande.
Le défenseur Rostislav Klesla des Blue jackets de Columbus est passé de Vsetin en République tchèque au HPK en Finlande.
Pendant ce temps, le gardien des Rangers de New York, Dan Blackburn, a joint les Salmon Kings de Victoria dans la East Coast League. Il pourrait disputer son premier match dès demain contre Fresno.
Les Mechanics de Motor City, une équipe de la United Hockey League de la région de Detroit, a embauché deux joueurs étoiles des Red Wings aujourd’hui, les défenseurs Chris Chelios et Derian Hatcher.
C'est bobépine ou bépine SVP
Nouvelle offre mercredi
Mardi 01 février 2005 - (RDS) - La Ligue nationale de hockey présentera une nouvelle offre aux joueurs mercredi. On pourrait donc savoir dès demain si les amateurs pourront se mettre sous la dent quelques matchs d'ici la fin de la saison.
La rencontre se déroulera dans un lieu tenu secret dans la région de New York. Il devrait y avoir quatre personnes autour de la table, soit Bill Daly vice-président de la LNH, Bob Batterman un conseiller externe de la LNH. L'Association des joueurs sera représentée par Ted Saskin directeur senior et John McCambridge, conseiller externe.
Mais est-ce qu'il reste suffisamment de temps pour sauver la saison? Et encore, la Ligue nationale et l'Association des joueurs sont-elles tentées de la sauver.
Le spécialiste du hockey Bob McKenzie du Réseau TSN se pose la question lui aussi. Comme tous les observateurs, il a bien peur que le temps manque. Il ajoute que plusieurs sources laissent croire que les deux parties pourraient se parler aujourd'hui ou demain. On pense même que les deux principales têtes dirigeantes des deux organisations, Gary Bettman et Bob Goodenow, vont se rencontrer cette semaine, probablement jeudi.
McKenzie affirme qu'une date butoir doit être annoncée pour l'annulation de la saison. Une source près de la LNH a indiqué qu'il était grand temps pour Bettman et Goodenow de se rencontrer, d'identifier une date et de négocier un nouveau contrat de travail ou d'annuler la saison si l'Association des joueurs rejette une nouvelle offre.
Le chroniqueur hockey estime que la note de service qui a circulé parmi les équipes au cours du week end démontre que la LNH cherche des solutions. Il s'agit d'un concept que la Ligue a présenté aux joueurs jeudi dernier à New York.
Il ne servirait à rien à l'Association des joueurs de repousser cette proposition du revers de la main en déclarant qu'il ne s'agit pas d'une base de négociation. Il est possible qu'une nouvelle proposition diffère légèrement de ce qui a été avancé la semaine dernière mais, selon McKenzie, il ne devrait pas y avoir de changements majeurs.
Voici en dix points, ce que contiendrait la proposition de la Ligue nationale de hockey.
Le terme: Un pacte de six ans, n'incluant pas le reste de l'actuelle saison (s'il y en a une), avec la possibilité pour les joueurs de mettre fin à ce pacte après la quatrième saison.
Salaires: La proposition viserait à mettre en place un système de contrôle des coûts ou un plafond salarial par équipe, à la hauteur de 55% des revenus de la Ligue. La masse salariale plancher serait de 32 millions de dollars avec un plafond à 42 millions. Ces coûts comprendraient les avantages sociaux annuels (soins de santé, assurances, etc). Comme les avantages sociaux coûtent environ deux millions par saison aux équipes, ça signifie que le montant net versé aux joueurs serait de 30 à 40 millions. Si toutefois la masse salariale et les avantages sociaux dépassent 55% des revenus annuels du circuit, l'Association des joueurs devra combler le manque à gagner. Si par contre la masse salariale et les avantages sociaux ne dépassent pas 55% des revenus, la Ligue s'engagerait à verser aux joueurs les montants excédentaires.
Taxe de luxe: La Ligue ne proposerait pas de taxe de luxe mais serait ouverte à en négocier une si les joueurs l'exigeaient.
Il n'y a aucune indication que la Ligue abandonnerait son système de contrôle des dépenses pour le remplacer par une taxe.
Partage des profits: Voilà un nouveau concept. La Ligue aurait proposé aux joueurs de partager les profits à la hauteur de 50% s'ils atteignent 115 millions de dollars. La Ligue mettrait aussi en place un système punitif sévère (on parle d'argent et de choix au repêchage) pour les équipes qui seraient trouvées coupables de ne pas dévoiler un véritable bilan financier.
Partage des revenus: La Ligue n'a pas vraiment de plan spécifique pour un partage des revenus mais elle s'engagerait à un mettre en place un mécanisme qui permettrait aux petites équipes d'avoir une masse salariale plancher de 32 millions de dollars. L'argent proviendrait en partie des profits engendrés par les matchs de séries éliminatoires.
Arbitrage salarial: Il n'y a pas que les joueurs qui pourraient se prévaloir d'aller en arbitrage car les équipes auraient aussi l'opportunité de le faire. La Ligue aurait le droit de ne pas accepter la décision de l'arbitre, ce qui permettrait à un joueur de devenir autonome. Ce dernier aurait aussi le droit de refuser la décision de l'arbitre.
Offre de qualification: Les équipes seraient obligées de présenter une offre qualificative à la hauteur de 75% du salaire de la saison précédente pour conserver les droits sur un joueur autonome. Selon l'ancienne convention collective, les offres qualificatives étaient à la hauteur de 100% ou encore 110% du salaire d'un joueur la saison précédente, selon que le joueur touchait ou non, le salaire moyen de la Ligue.
Restrictions pour les joueurs repêchés: La Ligue proposerait un système basé sur une période de quatre ans pour les joueurs repêchés, qui inclurait le salaire et un boni de signature qui ne dépasseraient pas 850 000 dollars par saison. Il y aurait toutefois la possibilité de verser des bonis. On parle d'un boni de niveau A d'un maximum de 100 000 dollars et un boni de niveau B, d'un maximum de 250 000 dollars, ce qui signifie qu'un joueur repêché pourrait recevoir une rémunération annuelle pouvant atteindre 1,2 million.
Contrats garantis: Il y aura possibilité de rachat de contrat au deux tiers du salaire comme c'était le cas dans la précédente convention collective.
Joueurs autonomes sans restriction: L'âge des joueurs autonomes sans restriction passerait de 31 à 30 ans.
Maintenant, tout est une question de temps avant que cette proposition ne soit présentée dans l'espoir de trouver une solution et de sauver la saison.
Mardi 01 février 2005 - (RDS) - La Ligue nationale de hockey présentera une nouvelle offre aux joueurs mercredi. On pourrait donc savoir dès demain si les amateurs pourront se mettre sous la dent quelques matchs d'ici la fin de la saison.
La rencontre se déroulera dans un lieu tenu secret dans la région de New York. Il devrait y avoir quatre personnes autour de la table, soit Bill Daly vice-président de la LNH, Bob Batterman un conseiller externe de la LNH. L'Association des joueurs sera représentée par Ted Saskin directeur senior et John McCambridge, conseiller externe.
Mais est-ce qu'il reste suffisamment de temps pour sauver la saison? Et encore, la Ligue nationale et l'Association des joueurs sont-elles tentées de la sauver.
Le spécialiste du hockey Bob McKenzie du Réseau TSN se pose la question lui aussi. Comme tous les observateurs, il a bien peur que le temps manque. Il ajoute que plusieurs sources laissent croire que les deux parties pourraient se parler aujourd'hui ou demain. On pense même que les deux principales têtes dirigeantes des deux organisations, Gary Bettman et Bob Goodenow, vont se rencontrer cette semaine, probablement jeudi.
McKenzie affirme qu'une date butoir doit être annoncée pour l'annulation de la saison. Une source près de la LNH a indiqué qu'il était grand temps pour Bettman et Goodenow de se rencontrer, d'identifier une date et de négocier un nouveau contrat de travail ou d'annuler la saison si l'Association des joueurs rejette une nouvelle offre.
Le chroniqueur hockey estime que la note de service qui a circulé parmi les équipes au cours du week end démontre que la LNH cherche des solutions. Il s'agit d'un concept que la Ligue a présenté aux joueurs jeudi dernier à New York.
Il ne servirait à rien à l'Association des joueurs de repousser cette proposition du revers de la main en déclarant qu'il ne s'agit pas d'une base de négociation. Il est possible qu'une nouvelle proposition diffère légèrement de ce qui a été avancé la semaine dernière mais, selon McKenzie, il ne devrait pas y avoir de changements majeurs.
Voici en dix points, ce que contiendrait la proposition de la Ligue nationale de hockey.
Le terme: Un pacte de six ans, n'incluant pas le reste de l'actuelle saison (s'il y en a une), avec la possibilité pour les joueurs de mettre fin à ce pacte après la quatrième saison.
Salaires: La proposition viserait à mettre en place un système de contrôle des coûts ou un plafond salarial par équipe, à la hauteur de 55% des revenus de la Ligue. La masse salariale plancher serait de 32 millions de dollars avec un plafond à 42 millions. Ces coûts comprendraient les avantages sociaux annuels (soins de santé, assurances, etc). Comme les avantages sociaux coûtent environ deux millions par saison aux équipes, ça signifie que le montant net versé aux joueurs serait de 30 à 40 millions. Si toutefois la masse salariale et les avantages sociaux dépassent 55% des revenus annuels du circuit, l'Association des joueurs devra combler le manque à gagner. Si par contre la masse salariale et les avantages sociaux ne dépassent pas 55% des revenus, la Ligue s'engagerait à verser aux joueurs les montants excédentaires.
Taxe de luxe: La Ligue ne proposerait pas de taxe de luxe mais serait ouverte à en négocier une si les joueurs l'exigeaient.
Il n'y a aucune indication que la Ligue abandonnerait son système de contrôle des dépenses pour le remplacer par une taxe.
Partage des profits: Voilà un nouveau concept. La Ligue aurait proposé aux joueurs de partager les profits à la hauteur de 50% s'ils atteignent 115 millions de dollars. La Ligue mettrait aussi en place un système punitif sévère (on parle d'argent et de choix au repêchage) pour les équipes qui seraient trouvées coupables de ne pas dévoiler un véritable bilan financier.
Partage des revenus: La Ligue n'a pas vraiment de plan spécifique pour un partage des revenus mais elle s'engagerait à un mettre en place un mécanisme qui permettrait aux petites équipes d'avoir une masse salariale plancher de 32 millions de dollars. L'argent proviendrait en partie des profits engendrés par les matchs de séries éliminatoires.
Arbitrage salarial: Il n'y a pas que les joueurs qui pourraient se prévaloir d'aller en arbitrage car les équipes auraient aussi l'opportunité de le faire. La Ligue aurait le droit de ne pas accepter la décision de l'arbitre, ce qui permettrait à un joueur de devenir autonome. Ce dernier aurait aussi le droit de refuser la décision de l'arbitre.
Offre de qualification: Les équipes seraient obligées de présenter une offre qualificative à la hauteur de 75% du salaire de la saison précédente pour conserver les droits sur un joueur autonome. Selon l'ancienne convention collective, les offres qualificatives étaient à la hauteur de 100% ou encore 110% du salaire d'un joueur la saison précédente, selon que le joueur touchait ou non, le salaire moyen de la Ligue.
Restrictions pour les joueurs repêchés: La Ligue proposerait un système basé sur une période de quatre ans pour les joueurs repêchés, qui inclurait le salaire et un boni de signature qui ne dépasseraient pas 850 000 dollars par saison. Il y aurait toutefois la possibilité de verser des bonis. On parle d'un boni de niveau A d'un maximum de 100 000 dollars et un boni de niveau B, d'un maximum de 250 000 dollars, ce qui signifie qu'un joueur repêché pourrait recevoir une rémunération annuelle pouvant atteindre 1,2 million.
Contrats garantis: Il y aura possibilité de rachat de contrat au deux tiers du salaire comme c'était le cas dans la précédente convention collective.
Joueurs autonomes sans restriction: L'âge des joueurs autonomes sans restriction passerait de 31 à 30 ans.
Maintenant, tout est une question de temps avant que cette proposition ne soit présentée dans l'espoir de trouver une solution et de sauver la saison.
C'est bobépine ou bépine SVP
L'offre est rejetée
Mercredi 02 février 2005 - (RDS) - Après quatre heures de discussion, à Newark, au New Jersey, l'Association des joueurs a rejeté la dernière offre de la Ligue nationale de hockey, mais elle n'a pas fermé la porte à d'éventuelles discussions. En fait, les deux parties vont de nouveau se rencontrer jeudi, cette fois en présence de directeur exécutif, Bob Goodenow, et du commissaire de la LNH, Gary Bettman.
Comme il fallait s'y attendre, la dernière offre de la LNH comprend un plafond salarial. Le montant minimum versé en masse salariale par une formation serait de 32 millions de dollars avec un plafond à 42 millions.
La nouvelle offre de la LNH comprend aussi un système révisé du système d'arbitrage et le maintient des contrats garantis.
"La ligue nous a présenté une proposition écrite avec quelques changements mineurs sur le concept présenté oralement jeudi dernier", a indiqué le directeur senior de la LNH, Ted Saskin. "Nous avons mentionné à la LNH la semaine dernière et encore une fois aujourd'hui qu'une offre comprenant un plafond salarial n'est pas une base pour que l'on puisse s'entendre."
Il n'y avait que quatre personnes autour de la table. Du côté de la LNH, il y avait le vice-président, Bill Daly, et Bob Batterman, un conseiller externe. L'Association des joueurs était quant à elle représentée par Saskin et John McCambridge, conseiller externe.
Encore une fois, le commissaire de la LNH, Gary Bettman, et le directeur exécutif de l'Association des joueurs, Bob Goodenow, brillaient par leur absence.
La rencontre de mercredi s'est entamée peu de temps après 10 h et s,est terminée vers 14h.
Les deux parties ne s'étaient pas rencontrées depuis jeudi dernier à New York. Lors de cette rencontre, L'Association des joueurs n'avait pas été impressionnée par les nouvelles idées de la Ligue.
Pendant ce temps, la saison continue de nous glisser sous les pieds. Pas moins de 762 des 1230 rencontres de la saison régulière ont été annulées.
L'offre de la LNH
http://nhlcbanews.com/news/nhlproposal020205.html
Mercredi 02 février 2005 - (RDS) - Après quatre heures de discussion, à Newark, au New Jersey, l'Association des joueurs a rejeté la dernière offre de la Ligue nationale de hockey, mais elle n'a pas fermé la porte à d'éventuelles discussions. En fait, les deux parties vont de nouveau se rencontrer jeudi, cette fois en présence de directeur exécutif, Bob Goodenow, et du commissaire de la LNH, Gary Bettman.
Comme il fallait s'y attendre, la dernière offre de la LNH comprend un plafond salarial. Le montant minimum versé en masse salariale par une formation serait de 32 millions de dollars avec un plafond à 42 millions.
La nouvelle offre de la LNH comprend aussi un système révisé du système d'arbitrage et le maintient des contrats garantis.
"La ligue nous a présenté une proposition écrite avec quelques changements mineurs sur le concept présenté oralement jeudi dernier", a indiqué le directeur senior de la LNH, Ted Saskin. "Nous avons mentionné à la LNH la semaine dernière et encore une fois aujourd'hui qu'une offre comprenant un plafond salarial n'est pas une base pour que l'on puisse s'entendre."
Il n'y avait que quatre personnes autour de la table. Du côté de la LNH, il y avait le vice-président, Bill Daly, et Bob Batterman, un conseiller externe. L'Association des joueurs était quant à elle représentée par Saskin et John McCambridge, conseiller externe.
Encore une fois, le commissaire de la LNH, Gary Bettman, et le directeur exécutif de l'Association des joueurs, Bob Goodenow, brillaient par leur absence.
La rencontre de mercredi s'est entamée peu de temps après 10 h et s,est terminée vers 14h.
Les deux parties ne s'étaient pas rencontrées depuis jeudi dernier à New York. Lors de cette rencontre, L'Association des joueurs n'avait pas été impressionnée par les nouvelles idées de la Ligue.
Pendant ce temps, la saison continue de nous glisser sous les pieds. Pas moins de 762 des 1230 rencontres de la saison régulière ont été annulées.
L'offre de la LNH
http://nhlcbanews.com/news/nhlproposal020205.html
C'est bobépine ou bépine SVP
Fasel : un regard intéressé!
Yvon Pedneault
Mercredi 02 février 2005 - René Fasel dirige l’influente Fédération internationale de hockey sur glace. Il a un regard sur tout ce qui se déroule en Europe et en Asie. Il entretient des liens étroits avec les dirigeants du hockey au Canada et aux Etats-Unis. Et, il a l’occasion de parler affaires avec Bob Goodenow et Gary Bettman, bien qu’au cours des derniers mois, il s’est abstenu de prolonger les conversations sur des dossiers importants.
. Notamment, les Jeux olympique de Turin en 2006.
. Également sur l’avenir de la Ligue nationale de hockey.
. Sans aucun doute sur les championnats du monde de hockey prévus à Vienne, en avril.
. Enfin, sur différents projets que Fasel conserve précieusement sur son bureau.
Le président de la FIHG profite pleinement du lock-out dans la Ligue nationale mais il s’empresse d’ajouter, avec un petit sourire en coin, qu’il déplore néanmoins que le hockey professionnel soit paralysé en Amérique du Nord.
Entre-temps, près de 400 joueurs de la Ligue nationale évoluent en Europe, les assistances augmentent dans la plupart des amphithéâtres de la Suède, de la Finlande, de la République tchèque et de la Russie. Même phénomène en Suisse et en Allemagne. « C’est évident que nous profitons de la situation quand même malheureuse pour le hockey nord-américain, me disait-il, lundi midi, lors du passage de Jacques Rogge, président du Comité international olympique, à Montréal. On ne se réjouit jamais de voir le hockey dans une telle situation mais, de notre côté, il y a des intérêts d’affaires qu’on ne peut négliger non plus. »
Les Européens, c’est évident, étudieront de très près la création d’un super ligue professionnelle, en affaires, on saute toujours sur les bonnes occasions, or ils ne pouvaient souhaiter un meilleur scénario pour pousser leurs études sur l’impact que pourrait exercer un tel circuit sur le développement du hockey, sur les consommateurs et également sur les chaînes de télévision. On ne peut demeurer insensible à un conflit risquant de s’aggraver au point que le leader syndical recommande à ses membres de prendre des engagements dans une autre ligue pour l’an prochain.
Fasel surveille de très près l’évolution du dossier. À Salt Lake City, en 2002, on parlait déjà de la possibilité de créer une nouvelle ligue mais ce n’était qu’un projet parmi tant d’autres. Mais le contexte change à tous les jours, puisque les deux entêtés qui dirigent le hockey de la Ligue nationale se disputent tous les pouvoirs, par conséquent, l’occasion pour le hockey européen d’innover, de se lancer dans des projets audacieux, est invitante. Le conflit lui offre des opportunités que l’Europe n’avait jamais espéré compter à court ou à moyen terme.
La Ligue nationale, si jamais elle reprend les activités avec tous ses attributs, ce qui est peu probable, risque d’avoir un rival de taille à son retour dans un an ou dans deux ans. Les principales ligues européennes offrent des conditions intéressantes. Rien de comparable à ce que les hockeyeurs ont connu au cours des dix dernières années, mais on est tous d’accord que ce temps-là est révolu. Par conséquent, l’Europe s’avérera maintenant une option intéressante pour les hockeyeurs et leurs agents et agacante pour les propriétaires de la LNH.
Entre-temps, Fasel ne voulant surtout pas créer trop de remous et sympathisant avec les dirigeants du hockey professionnel, affirme qu’il a plusieurs projets en tête.
. Une coupe Ryder pour le hockey.
. Plus de tournois internationaux.
. Plus d’affrontements entre les équipes européennes et canadiennes et américaines.
Mais, il lui faudra un partenaire en Amérique.
Et le mot partenariat ne semble pas inscrit dans le dictionnaire de Gary Bettman et de Bob Goodenow.
Un boni
Mes collègues de CKAC soutiennent depuis quelques semaines que Gary Bettman a une clause lui permettant de toucher un boni important si jamais il parvient à imposer un plafond salarial. Or, au cours des derniers jours, la rumeur s’intensifie, une rumeur voulant, qu’à la suggestion de Jeremy Jacobs, Bettman aurait une clause de $1 million attachée à son contrat, dans l’éventualité de l’imposition d’un plafond salarial. Si tel est le cas, alors Bettman est en total conflit d’intérêt et ne devrait plus avoir aucun pouvoir décisionnel sur les présentes négociations…. Oh, c’était le 12e anniversaire de son arrivée à la tête de la Ligue nationale, hier, 1er février…
Curieusement, après avoir reçu la visite de Mario Lemieux, voilà que Tie Domi, un membre très influent de l’AJLNH, lance un cri d’alarme et recommande aux deux leaders – Gary Bettman et Bob Goodenow – de faire leur boulot et de trouver une formule innovatrice pour mettre fin à ce conflit. « Le hockey est malade, sérieusement malade, dit-il, alors il faut trouver un remède miracle. » Tiens, tiens, on dirait que le ton change. Pourquoi avoir attendu six mois?
Yvon Pedneault
Mercredi 02 février 2005 - René Fasel dirige l’influente Fédération internationale de hockey sur glace. Il a un regard sur tout ce qui se déroule en Europe et en Asie. Il entretient des liens étroits avec les dirigeants du hockey au Canada et aux Etats-Unis. Et, il a l’occasion de parler affaires avec Bob Goodenow et Gary Bettman, bien qu’au cours des derniers mois, il s’est abstenu de prolonger les conversations sur des dossiers importants.
. Notamment, les Jeux olympique de Turin en 2006.
. Également sur l’avenir de la Ligue nationale de hockey.
. Sans aucun doute sur les championnats du monde de hockey prévus à Vienne, en avril.
. Enfin, sur différents projets que Fasel conserve précieusement sur son bureau.
Le président de la FIHG profite pleinement du lock-out dans la Ligue nationale mais il s’empresse d’ajouter, avec un petit sourire en coin, qu’il déplore néanmoins que le hockey professionnel soit paralysé en Amérique du Nord.
Entre-temps, près de 400 joueurs de la Ligue nationale évoluent en Europe, les assistances augmentent dans la plupart des amphithéâtres de la Suède, de la Finlande, de la République tchèque et de la Russie. Même phénomène en Suisse et en Allemagne. « C’est évident que nous profitons de la situation quand même malheureuse pour le hockey nord-américain, me disait-il, lundi midi, lors du passage de Jacques Rogge, président du Comité international olympique, à Montréal. On ne se réjouit jamais de voir le hockey dans une telle situation mais, de notre côté, il y a des intérêts d’affaires qu’on ne peut négliger non plus. »
Les Européens, c’est évident, étudieront de très près la création d’un super ligue professionnelle, en affaires, on saute toujours sur les bonnes occasions, or ils ne pouvaient souhaiter un meilleur scénario pour pousser leurs études sur l’impact que pourrait exercer un tel circuit sur le développement du hockey, sur les consommateurs et également sur les chaînes de télévision. On ne peut demeurer insensible à un conflit risquant de s’aggraver au point que le leader syndical recommande à ses membres de prendre des engagements dans une autre ligue pour l’an prochain.
Fasel surveille de très près l’évolution du dossier. À Salt Lake City, en 2002, on parlait déjà de la possibilité de créer une nouvelle ligue mais ce n’était qu’un projet parmi tant d’autres. Mais le contexte change à tous les jours, puisque les deux entêtés qui dirigent le hockey de la Ligue nationale se disputent tous les pouvoirs, par conséquent, l’occasion pour le hockey européen d’innover, de se lancer dans des projets audacieux, est invitante. Le conflit lui offre des opportunités que l’Europe n’avait jamais espéré compter à court ou à moyen terme.
La Ligue nationale, si jamais elle reprend les activités avec tous ses attributs, ce qui est peu probable, risque d’avoir un rival de taille à son retour dans un an ou dans deux ans. Les principales ligues européennes offrent des conditions intéressantes. Rien de comparable à ce que les hockeyeurs ont connu au cours des dix dernières années, mais on est tous d’accord que ce temps-là est révolu. Par conséquent, l’Europe s’avérera maintenant une option intéressante pour les hockeyeurs et leurs agents et agacante pour les propriétaires de la LNH.
Entre-temps, Fasel ne voulant surtout pas créer trop de remous et sympathisant avec les dirigeants du hockey professionnel, affirme qu’il a plusieurs projets en tête.
. Une coupe Ryder pour le hockey.
. Plus de tournois internationaux.
. Plus d’affrontements entre les équipes européennes et canadiennes et américaines.
Mais, il lui faudra un partenaire en Amérique.
Et le mot partenariat ne semble pas inscrit dans le dictionnaire de Gary Bettman et de Bob Goodenow.
Un boni
Mes collègues de CKAC soutiennent depuis quelques semaines que Gary Bettman a une clause lui permettant de toucher un boni important si jamais il parvient à imposer un plafond salarial. Or, au cours des derniers jours, la rumeur s’intensifie, une rumeur voulant, qu’à la suggestion de Jeremy Jacobs, Bettman aurait une clause de $1 million attachée à son contrat, dans l’éventualité de l’imposition d’un plafond salarial. Si tel est le cas, alors Bettman est en total conflit d’intérêt et ne devrait plus avoir aucun pouvoir décisionnel sur les présentes négociations…. Oh, c’était le 12e anniversaire de son arrivée à la tête de la Ligue nationale, hier, 1er février…
Curieusement, après avoir reçu la visite de Mario Lemieux, voilà que Tie Domi, un membre très influent de l’AJLNH, lance un cri d’alarme et recommande aux deux leaders – Gary Bettman et Bob Goodenow – de faire leur boulot et de trouver une formule innovatrice pour mettre fin à ce conflit. « Le hockey est malade, sérieusement malade, dit-il, alors il faut trouver un remède miracle. » Tiens, tiens, on dirait que le ton change. Pourquoi avoir attendu six mois?
C'est bobépine ou bépine SVP
Roenick ouvert à un plafond
Vendredi 04 février 2005 - (RDS.ca) - Le joueur vedette Jeremy Roenick des Flyers de Philadelphie a déclaré au Réseau ESPN qu'il pourrait vivre avec l'idée d'un plafond salarial et que le syndicat des joueurs devrait permettre à ses membres de voter sur n'importe quelle offre raisonnable de la LNH.
C'est une des déclarations faites par Roenick au sujet du lock-out, qui en est à sa 142e journée.
Bien qu'il soit en faveur de la tenue d'un vote, Roenick espère que les propriétaires vont présenter quelque chose d'intéressant. "Je suis en faveur d'un vote, c'est mon opinion personnelle. Je souhaite que les joueurs décident eux-mêmes. À un certain point, je ne veux pas que quelqu'un d'autre décide à ma place. Quand je vois tous les ravages de l'actuel conflit sur notre sport, je me dis que je pourrais vivre avec un plafond. J'aimerais me prononcer par vote et j'ai exprimé mon point de vue à mon association et à des gens de la Ligue nationale."
"S'il y a quelque chose de proposé aux joueurs par la LNH et les propriétaires, les joueurs devraient procéder prendre un vote. Si c'était le cas, je pense que nous jouerions au hockey actuellement."
Roenick a aussi mentionné qu'un plafond salarial pourrait être acceptable à certaines conditions. "Je pense vraiment que nous pourrions survivre avec un plafond. On pourrait survivre mais il faudrait surtout éviter que le plafond se situe à un niveau aussi ridicule que proposé actuellement. Je pense que les joueurs pourraient dire si quelque chose d'acceptable était présenté."
"Mais nous nous sommes jamais rendus là. Nous n'avons jamais reçu une offre acceptable. Je pense que plusieurs joueurs voudraient jouer avec un plafond mais pas celui actuellement proposé."
La LNH et l'AJLNH ont négocié pendant neuf heures jeudi. Les deux parties se rencontrent aussi vendredi. Aucun détail n'a encore été rendu public. "Je ne suis pas très optimiste," a dit Roenick.
Roenick estime que des syndiqués pourraient briser les rangs et rentrer au boulot éventuellement. "Nous continuons la bataille mais sans salaire, il y aura sans doute des joueurs qui pourraient accepter de jouer quand même. Des joueurs de troisième ou quatrième trios pourraient se laisser tenter. Ces joueurs pourraient dire "Nous avons besoin de nos salaires et nous devons jouer pour notre bien et celui de nos familles." "
Vendredi 04 février 2005 - (RDS.ca) - Le joueur vedette Jeremy Roenick des Flyers de Philadelphie a déclaré au Réseau ESPN qu'il pourrait vivre avec l'idée d'un plafond salarial et que le syndicat des joueurs devrait permettre à ses membres de voter sur n'importe quelle offre raisonnable de la LNH.
C'est une des déclarations faites par Roenick au sujet du lock-out, qui en est à sa 142e journée.
Bien qu'il soit en faveur de la tenue d'un vote, Roenick espère que les propriétaires vont présenter quelque chose d'intéressant. "Je suis en faveur d'un vote, c'est mon opinion personnelle. Je souhaite que les joueurs décident eux-mêmes. À un certain point, je ne veux pas que quelqu'un d'autre décide à ma place. Quand je vois tous les ravages de l'actuel conflit sur notre sport, je me dis que je pourrais vivre avec un plafond. J'aimerais me prononcer par vote et j'ai exprimé mon point de vue à mon association et à des gens de la Ligue nationale."
"S'il y a quelque chose de proposé aux joueurs par la LNH et les propriétaires, les joueurs devraient procéder prendre un vote. Si c'était le cas, je pense que nous jouerions au hockey actuellement."
Roenick a aussi mentionné qu'un plafond salarial pourrait être acceptable à certaines conditions. "Je pense vraiment que nous pourrions survivre avec un plafond. On pourrait survivre mais il faudrait surtout éviter que le plafond se situe à un niveau aussi ridicule que proposé actuellement. Je pense que les joueurs pourraient dire si quelque chose d'acceptable était présenté."
"Mais nous nous sommes jamais rendus là. Nous n'avons jamais reçu une offre acceptable. Je pense que plusieurs joueurs voudraient jouer avec un plafond mais pas celui actuellement proposé."
La LNH et l'AJLNH ont négocié pendant neuf heures jeudi. Les deux parties se rencontrent aussi vendredi. Aucun détail n'a encore été rendu public. "Je ne suis pas très optimiste," a dit Roenick.
Roenick estime que des syndiqués pourraient briser les rangs et rentrer au boulot éventuellement. "Nous continuons la bataille mais sans salaire, il y aura sans doute des joueurs qui pourraient accepter de jouer quand même. Des joueurs de troisième ou quatrième trios pourraient se laisser tenter. Ces joueurs pourraient dire "Nous avons besoin de nos salaires et nous devons jouer pour notre bien et celui de nos familles." "
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C'est encore l'impasse
Vendredi 04 février 2005 - (RDS.ca) – Les pourparlers entre la Ligue nationale de hockey et l’Association des joueurs ont pris fin abruptement après quatre heures aujourd’hui, à New York
Aucune autre rencontre n'est prévue.
Le vice-président exécutif de la LNH, Bill Daly, a émis le communiqué suivant : “Nous avons eu des discussions constructives avec les représentants de l’Association des joueurs et nous avons convenu que les communications étaient maintenues entre les deux parties. Même si plusieurs médias rapportaient le contraire, nous n’avons pas l’intention de faire une annonce concernant les négociations ou le sort de la saison à ce moment-ci. »
Les deux parties avaient rendez-vous à 11 h cet avant-midi et la rencontre a pris fin autour de 15h. Le directeur exécutif de l’Association des joueurs, Bob Goodenow, a déclaré à sa sortie de la réunion qu’aucun progrès n’avait été fait au cours des deux derniers jours.
Goodenow a aussi indiqué que bien qu’il espérait que la porte demeure ouverte, il s’en retournait à Toronto.
Une source proche des négociations a déclaré que les discussions ne se sont pas bien déroulées entre les deux parties aujourd’hui.
Avec le sort de la saison 2004-05 entre leurs mains, la LNH et les joueurs avaient aussi tenu une rencontre de neuf heures jeudi.
Mais le plafond salarial demeure un obstacle majeur.
Le lock-out en est à une 142e journée et a forcé l’annulation de 775 des 1 230 rencontres de la saison régulière.
C'est encore l'impasse
Vendredi 04 février 2005 - (RDS.ca) – Les pourparlers entre la Ligue nationale de hockey et l’Association des joueurs ont pris fin abruptement après quatre heures aujourd’hui, à New York
Aucune autre rencontre n'est prévue.
Le vice-président exécutif de la LNH, Bill Daly, a émis le communiqué suivant : “Nous avons eu des discussions constructives avec les représentants de l’Association des joueurs et nous avons convenu que les communications étaient maintenues entre les deux parties. Même si plusieurs médias rapportaient le contraire, nous n’avons pas l’intention de faire une annonce concernant les négociations ou le sort de la saison à ce moment-ci. »
Les deux parties avaient rendez-vous à 11 h cet avant-midi et la rencontre a pris fin autour de 15h. Le directeur exécutif de l’Association des joueurs, Bob Goodenow, a déclaré à sa sortie de la réunion qu’aucun progrès n’avait été fait au cours des deux derniers jours.
Goodenow a aussi indiqué que bien qu’il espérait que la porte demeure ouverte, il s’en retournait à Toronto.
Une source proche des négociations a déclaré que les discussions ne se sont pas bien déroulées entre les deux parties aujourd’hui.
Avec le sort de la saison 2004-05 entre leurs mains, la LNH et les joueurs avaient aussi tenu une rencontre de neuf heures jeudi.
Mais le plafond salarial demeure un obstacle majeur.
Le lock-out en est à une 142e journée et a forcé l’annulation de 775 des 1 230 rencontres de la saison régulière.
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La résignation s'installe
Dimanche 06 février 2005 - TORONTO (PC) - Les amateurs sont résignés à ce qu'il n'y ait pas de hockey cette saison. Les joueurs le sont également. Cette semaine, les propriétaires pourraient l'être à leur tour.
A moins que l'Association des joueurs de la LNH n'accepte le principe d'un plafond salarial liant les salaires aux revenus, ou que la ligue laisse tomber sa demande, le commissaire Gary Bettman devrait profiter des prochains jours pour annoncer officiellement l'annulation de la saison 2004-2005. Ainsi, chacun pourra poursuivre ses activités sans attendre la conclusion d'un accord qui mettra fin au lock-out.
Des sources ont confirmé dimanche qu'il n'y a pas eu de pourparlers entre les deux parties depuis la réunion de vendredi dernier à New York.
Une autre source a dit que les représentants des joueurs n'ont pas l'intention de décrocher le téléphone. C'est pour cette raison que la LNH pourrait justement donner un coup de fil dès lundi. La ligue aimerait tenter un dernier rapprochement avant qu'il ne soit trop tard.
Alors que des rumeurs circulent selon lesquelles la ligue serait sur le point d'annoncer l'annulation de la saison, certains croient que ces dites rumeurs sont lancées afin de convaincre les joueurs de l'urgence de la situation.
Et si la ligue n'avait pas l'intention d'annuler la saison avant la fin du mois de février? Combien y aura-t-il eu alors de semaines "décisives"?
"Je ne comprends pas très bien leur démarche", dit le représentant des joueurs des Blue Jackets de Columbus, Todd Marchant. "Je ne sais pas pourquoi ils n'ont toujours pas donné une date butoir pour mettre fin à la saison?.
"Je suis prêt, peu importe ce qui arrivera. Je suis prêt à jouer comme j'accepte le fait qu'il n'y ait de hockey cette saison."
Marchant se préoccupe davantage de la saison 2005-2006.
"Peu importe ce qui arrive cette saison, je pense que tout le monde - les joueurs, les amateurs, les propriétaires - souhaite commencer la prochaine saison à temps, a dit Marchant.
"J'espère que les deux parties vont poursuivre les négociations même s'il se fait tard."
Un joueur, qui a requis l'anonymat, dit aimer le principe d'une taxe punitive à l'intérieur d'un plafond salarial. Il croit qu'une taxe punitive avec des dents à 35 millions $, avec plus de dents à 45 millions $, et enfin un plafond salarial à 50 millions pourraient satisfaire les propriétaires.
"Un accord est possible et les deux parties pourraient sauver la face, fait valoir ce joueur. Assez, c'est assez."
Dimanche 06 février 2005 - TORONTO (PC) - Les amateurs sont résignés à ce qu'il n'y ait pas de hockey cette saison. Les joueurs le sont également. Cette semaine, les propriétaires pourraient l'être à leur tour.
A moins que l'Association des joueurs de la LNH n'accepte le principe d'un plafond salarial liant les salaires aux revenus, ou que la ligue laisse tomber sa demande, le commissaire Gary Bettman devrait profiter des prochains jours pour annoncer officiellement l'annulation de la saison 2004-2005. Ainsi, chacun pourra poursuivre ses activités sans attendre la conclusion d'un accord qui mettra fin au lock-out.
Des sources ont confirmé dimanche qu'il n'y a pas eu de pourparlers entre les deux parties depuis la réunion de vendredi dernier à New York.
Une autre source a dit que les représentants des joueurs n'ont pas l'intention de décrocher le téléphone. C'est pour cette raison que la LNH pourrait justement donner un coup de fil dès lundi. La ligue aimerait tenter un dernier rapprochement avant qu'il ne soit trop tard.
Alors que des rumeurs circulent selon lesquelles la ligue serait sur le point d'annoncer l'annulation de la saison, certains croient que ces dites rumeurs sont lancées afin de convaincre les joueurs de l'urgence de la situation.
Et si la ligue n'avait pas l'intention d'annuler la saison avant la fin du mois de février? Combien y aura-t-il eu alors de semaines "décisives"?
"Je ne comprends pas très bien leur démarche", dit le représentant des joueurs des Blue Jackets de Columbus, Todd Marchant. "Je ne sais pas pourquoi ils n'ont toujours pas donné une date butoir pour mettre fin à la saison?.
"Je suis prêt, peu importe ce qui arrivera. Je suis prêt à jouer comme j'accepte le fait qu'il n'y ait de hockey cette saison."
Marchant se préoccupe davantage de la saison 2005-2006.
"Peu importe ce qui arrive cette saison, je pense que tout le monde - les joueurs, les amateurs, les propriétaires - souhaite commencer la prochaine saison à temps, a dit Marchant.
"J'espère que les deux parties vont poursuivre les négociations même s'il se fait tard."
Un joueur, qui a requis l'anonymat, dit aimer le principe d'une taxe punitive à l'intérieur d'un plafond salarial. Il croit qu'une taxe punitive avec des dents à 35 millions $, avec plus de dents à 45 millions $, et enfin un plafond salarial à 50 millions pourraient satisfaire les propriétaires.
"Un accord est possible et les deux parties pourraient sauver la face, fait valoir ce joueur. Assez, c'est assez."
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Toujours une question de passion?
Lundi 07 février 2005 - OTTAWA (PC) - Ken Dryden estime que le lock-out de la LNH a enseigné à plusieurs Canadiens que leur relation avec leur sport national était beaucoup plus une question d'habitude que de passion.
C'est une révélation qui pourrait faire mal à la Ligue nationale longtemps après que les joueurs soient de retour sur les patinoires, a déclaré le ministre à l'extérieur de la chambre des communes lundi.
"Je crois qu'il y a un certain nombre d'amateurs de hockey dans ce pays qui ont réalisé au cours des derniers mois que c'est peut-être plus une affaire d'habitude que de passion.
"Je pense que c'est encore une passion pour la grande majorité, mais les autres ont découvert qu'il s'agissait peut-être d'autre chose.
"Et même si on parle beaucoup du problème aux États-Unis, je pense que c'en est un aussi dans notre pays."
Dryden a fait ces commentaires au moment où le lock-out est près de compléter son cinquième mois.
Ancien grand gardien qui a gagné six coupes Stanley à Montréal et ancien président des Maple Leafs de Toronto, Dryden, qui est aujourd'hui ministre du Développement social, ne pense pas que le gouvernement fédéral ait un rôle d'arbitre à ce stade-ci.
Pour lui, c'est d'abord aux joueurs et aux propriétaires à s'entendre.
"Leurs philosophies sont tellement éloignées, a-t-il cependant constaté, que je ne vois pas à partir de quoi ils peuvent commencer à discuter.
"Ils se sont rarement rencontrés ces derniers mois, même si on envisage l'annulation complète de la saison, parce qu'ils n'ont pas eu beaucoup de points à discuter.
"C'est là le problème."
Et les deux parties pourraient se retrouver perdantes après avoir privé les amateurs de hockey aussi longtemps, selon Dryden.
"Il ne faut jamais donner une occasion au partisan de découvrir s'il est habité par l'habitude ou la passion", a-t-il conclu.
Lundi 07 février 2005 - OTTAWA (PC) - Ken Dryden estime que le lock-out de la LNH a enseigné à plusieurs Canadiens que leur relation avec leur sport national était beaucoup plus une question d'habitude que de passion.
C'est une révélation qui pourrait faire mal à la Ligue nationale longtemps après que les joueurs soient de retour sur les patinoires, a déclaré le ministre à l'extérieur de la chambre des communes lundi.
"Je crois qu'il y a un certain nombre d'amateurs de hockey dans ce pays qui ont réalisé au cours des derniers mois que c'est peut-être plus une affaire d'habitude que de passion.
"Je pense que c'est encore une passion pour la grande majorité, mais les autres ont découvert qu'il s'agissait peut-être d'autre chose.
"Et même si on parle beaucoup du problème aux États-Unis, je pense que c'en est un aussi dans notre pays."
Dryden a fait ces commentaires au moment où le lock-out est près de compléter son cinquième mois.
Ancien grand gardien qui a gagné six coupes Stanley à Montréal et ancien président des Maple Leafs de Toronto, Dryden, qui est aujourd'hui ministre du Développement social, ne pense pas que le gouvernement fédéral ait un rôle d'arbitre à ce stade-ci.
Pour lui, c'est d'abord aux joueurs et aux propriétaires à s'entendre.
"Leurs philosophies sont tellement éloignées, a-t-il cependant constaté, que je ne vois pas à partir de quoi ils peuvent commencer à discuter.
"Ils se sont rarement rencontrés ces derniers mois, même si on envisage l'annulation complète de la saison, parce qu'ils n'ont pas eu beaucoup de points à discuter.
"C'est là le problème."
Et les deux parties pourraient se retrouver perdantes après avoir privé les amateurs de hockey aussi longtemps, selon Dryden.
"Il ne faut jamais donner une occasion au partisan de découvrir s'il est habité par l'habitude ou la passion", a-t-il conclu.
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Daigle jouera en Suisse
Lundi 07 février 2005 - (RDS) – L’exode se poursuit chez les joueurs de la Ligue nationale de hockey. C’est maintenant au tour de l’attaquant Alexandre Daigle de s'entendre avec une formation du vieux continent alors qu’il a accepté un contrat avec la formation de Morges, dans la ligue de Suisse.
Daigle, qui évolue pour le Wild du Minnesota, a accepté un contrat qui le mènera à la fin de la saison, sous réserve d'une reprise des activités dans la LNH. Il a participé à la Caravane McDonald avant la période des fêtes.
Il a inscrit 51 points, dont 20 buts, en 78 matchs avec le Wild la saison dernière.
L’ancien premier choix au repêchage rejoint Martin Gélinas, des Flames de Calgary, avec les Bulldogs de Morges, de la deuxième division suisse.
Lundi 07 février 2005 - (RDS) – L’exode se poursuit chez les joueurs de la Ligue nationale de hockey. C’est maintenant au tour de l’attaquant Alexandre Daigle de s'entendre avec une formation du vieux continent alors qu’il a accepté un contrat avec la formation de Morges, dans la ligue de Suisse.
Daigle, qui évolue pour le Wild du Minnesota, a accepté un contrat qui le mènera à la fin de la saison, sous réserve d'une reprise des activités dans la LNH. Il a participé à la Caravane McDonald avant la période des fêtes.
Il a inscrit 51 points, dont 20 buts, en 78 matchs avec le Wild la saison dernière.
L’ancien premier choix au repêchage rejoint Martin Gélinas, des Flames de Calgary, avec les Bulldogs de Morges, de la deuxième division suisse.
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Gretzky et Hull ne s'entendent pas
Mardi 08 février 2005 - (D'après TSN.ca) - Le copropriétaire des Coyotes de Phoenix, Wayne Gretzky, et l'attaquant des Coyotes, Brett Hull, sont peut-être de très bons amis et d'anciens coéquipiers, mais lorsqu'on parle du lock-out dans la LNH, ils ont des opinions complètement opposées.
Gretzky et Hull ne s'entendent évidemment pas sur la question fondamentale du conflit: le plafond salarial. Ils sont aussi en désaccord à savoir si la LNH doit reprendre ses activités dès cette saison.
Pendant que la Merveille souhaite une saison écourtée, le meneur chez les joueurs actifs au chapitre des buts marqués dans la LNH ne veut rien savoir d'une telle possibilité.
"Ça serait ridicule", a indiqué Hull au réseau TSN. Les deux parties se sont battu ardemment sur ce qu'elles croient être la solution aux problèmes. Le sport en a souffert. Donc, annulons la saison et reprenons la compétition en octobre prochain."
"Nous devrions annuler la saison maintenant. Réglons par la suite le conflit afin de permettre aux formations de se préparer pour la prochaine saison."
"Je respecte son opinion", a déclaré Gretzky, Brett a disputé presque 20 saisons dans la LNH, il est l'un de mes bons amis, un individu merveilleux qui est bon pour le hockey. Si c'est ce qu'il pense, je respecte son opinion. Je ne vais pas m'asseoir et tenter de lui faire changer d'idée."
Même s'ils ont des opinions différentes sur certains sujets, ils sont cependant d'accord sur un point: les dommages causés à la LNH par ce conflit.
"À la fin du conflit, nous aurons tous perdu", a affirmé Gretzky. "Nous devons régler le problème. Quelle est cette réponse? Je ne sais pas. Les gens me le demandent tout le temps et je n'ai pas cette réponse. Monsieur Bettman a été clair. Il tient à la certitude des coûts. Les joueurs aussi ont été clairs: ils ne veulent pas de plafond salarial."
Malgré leur divergence au sujet du lock-out, Gretzky et Hull demeurent de très bons amis. Il y a aussi un autre chapitre de leur relation qu'ils doivent avoir hâte de vivre. Le jour où Gretzky, le propriétaire, surveillera son joueur, Hull, sur la glace.
Les Coyotes ont fait signer un contrat de deux ans à Hull, d'une valeur de 4,5 millions de dollars, en août dernier.
Mardi 08 février 2005 - (D'après TSN.ca) - Le copropriétaire des Coyotes de Phoenix, Wayne Gretzky, et l'attaquant des Coyotes, Brett Hull, sont peut-être de très bons amis et d'anciens coéquipiers, mais lorsqu'on parle du lock-out dans la LNH, ils ont des opinions complètement opposées.
Gretzky et Hull ne s'entendent évidemment pas sur la question fondamentale du conflit: le plafond salarial. Ils sont aussi en désaccord à savoir si la LNH doit reprendre ses activités dès cette saison.
Pendant que la Merveille souhaite une saison écourtée, le meneur chez les joueurs actifs au chapitre des buts marqués dans la LNH ne veut rien savoir d'une telle possibilité.
"Ça serait ridicule", a indiqué Hull au réseau TSN. Les deux parties se sont battu ardemment sur ce qu'elles croient être la solution aux problèmes. Le sport en a souffert. Donc, annulons la saison et reprenons la compétition en octobre prochain."
"Nous devrions annuler la saison maintenant. Réglons par la suite le conflit afin de permettre aux formations de se préparer pour la prochaine saison."
"Je respecte son opinion", a déclaré Gretzky, Brett a disputé presque 20 saisons dans la LNH, il est l'un de mes bons amis, un individu merveilleux qui est bon pour le hockey. Si c'est ce qu'il pense, je respecte son opinion. Je ne vais pas m'asseoir et tenter de lui faire changer d'idée."
Même s'ils ont des opinions différentes sur certains sujets, ils sont cependant d'accord sur un point: les dommages causés à la LNH par ce conflit.
"À la fin du conflit, nous aurons tous perdu", a affirmé Gretzky. "Nous devons régler le problème. Quelle est cette réponse? Je ne sais pas. Les gens me le demandent tout le temps et je n'ai pas cette réponse. Monsieur Bettman a été clair. Il tient à la certitude des coûts. Les joueurs aussi ont été clairs: ils ne veulent pas de plafond salarial."
Malgré leur divergence au sujet du lock-out, Gretzky et Hull demeurent de très bons amis. Il y a aussi un autre chapitre de leur relation qu'ils doivent avoir hâte de vivre. Le jour où Gretzky, le propriétaire, surveillera son joueur, Hull, sur la glace.
Les Coyotes ont fait signer un contrat de deux ans à Hull, d'une valeur de 4,5 millions de dollars, en août dernier.
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Le compte à rebours est commencé
Mercredi 09 février 2005 - TORONTO (PC) - La saison dans la Ligue nationale de hockey sera annulée à moins que les deux parties ne couchent sur papier une entente d'ici la fin du week-end, a déclaré le commissaire Gary Bettman, mercredi.
Le message a été lancé après que l'Association des joueurs de la LNH eut rejeté une offre que la ligue a qualifié de "compromis" lors d'une rencontre tenue secrète, mercredi, à l'initiative de la LNH.
"Pour moi, il est clair qu'il ne pourra y avoir de saison si aucun document n'est signé ce week-end", a déclaré Bettman lors d'un point de presse. "C'est le message que j'ai transmis aux représentants des joueurs cet après-midi."
Bettman a également fait une nouvelle offre à l'AJLNH.
Selon la proposition de la ligue, la nouvelle convention collective comprendrait l'offre des joueurs faite le 9 décembre dernier dans laquelle on retrouve une taxe punitive. La nouvelle entente évoluerait vers l'offre patronale du 2 février, laquelle comprend un plafond salarial, si la formule des joueurs n'apporte pas les résultats escomptés.
Quatre déclencheurs détermineraient le moment de passer en mode "plafond salarial":
-Si la ligue doit verser plus de 55 pour cent de ses revenus en salaires.
-Si trois équipes ont une masse salariale supérieure à 42 millions $ US.
-Si la masse salariale moyenne des trois équipes les plus dépensières est supérieure à plus de 33 pour cent de la masse salariale moyenne des trois équipes les plus frugales.
-Si la masse salariale moyenne de la ligue est supérieure à 36,5 millions $ US.
"Chacun de ces déclencheurs nous indiquerait que nous dépensons trop, plus en fait que nous le pouvons, ou que l'écart entre les équipes est trop grand", a indiqué Bettman.
"Nos propositions visent à créer un cadre de travail qui nous permet de payer les joueurs selon nos moyens, a-t-il ajouté. Nous ne voulons pas payer les joueurs moins que nous le pouvons et pas plus que nous le pouvons."
L'AJLNH n'a pas voulu expliquer son refus.
En fait, la ligue propose une formule hybride qui commencerait par une taxe punitive et qui pourrait évoluer vers un plafond salarial.
Bettman a proposé de rester à Toronto en compagnie du conseiller juridique de la LNH, Bill Daly. D'autres pourparlers étaient prévus, peut-être mercredi soir ou jeudi dans l'espoir de conclure une entente de dernière heure.
La ligue et l'association ne s'étaient pas rencontrées depuis leur réunion de vendredi dernier à New York. Cette fois, les conseillers extérieurs Bob Batterman (LNH) et John McCambridge (AJLNH) étaient absents. Seulement Bettman, Daly, le directeur administratif de l'AJLNH Bob Goodenow et le directeur senior Ted Saskin étaient présents. Goodenow et Bettman étaient de retour à la table de négociations après avoir raté les cinq dernières réunions tenues le mois dernier.
Les amateurs et les joueurs semblent avoir abandonné l'idée de voir du hockey cette saison. Mais si une entente intervient, une saison écourtée commencerait d'ici la fin du mois.
D'après le calendrier original, les séries devraient commencer dans neuf semaines. Mais déjà, 813 des 1230 matchs ont été annulés. Le match des étoiles devait être présenté dimanche à Atlanta. --Message edité par bobépine le 2005-02-09 22:18:04--
Mercredi 09 février 2005 - TORONTO (PC) - La saison dans la Ligue nationale de hockey sera annulée à moins que les deux parties ne couchent sur papier une entente d'ici la fin du week-end, a déclaré le commissaire Gary Bettman, mercredi.
Le message a été lancé après que l'Association des joueurs de la LNH eut rejeté une offre que la ligue a qualifié de "compromis" lors d'une rencontre tenue secrète, mercredi, à l'initiative de la LNH.
"Pour moi, il est clair qu'il ne pourra y avoir de saison si aucun document n'est signé ce week-end", a déclaré Bettman lors d'un point de presse. "C'est le message que j'ai transmis aux représentants des joueurs cet après-midi."
Bettman a également fait une nouvelle offre à l'AJLNH.
Selon la proposition de la ligue, la nouvelle convention collective comprendrait l'offre des joueurs faite le 9 décembre dernier dans laquelle on retrouve une taxe punitive. La nouvelle entente évoluerait vers l'offre patronale du 2 février, laquelle comprend un plafond salarial, si la formule des joueurs n'apporte pas les résultats escomptés.
Quatre déclencheurs détermineraient le moment de passer en mode "plafond salarial":
-Si la ligue doit verser plus de 55 pour cent de ses revenus en salaires.
-Si trois équipes ont une masse salariale supérieure à 42 millions $ US.
-Si la masse salariale moyenne des trois équipes les plus dépensières est supérieure à plus de 33 pour cent de la masse salariale moyenne des trois équipes les plus frugales.
-Si la masse salariale moyenne de la ligue est supérieure à 36,5 millions $ US.
"Chacun de ces déclencheurs nous indiquerait que nous dépensons trop, plus en fait que nous le pouvons, ou que l'écart entre les équipes est trop grand", a indiqué Bettman.
"Nos propositions visent à créer un cadre de travail qui nous permet de payer les joueurs selon nos moyens, a-t-il ajouté. Nous ne voulons pas payer les joueurs moins que nous le pouvons et pas plus que nous le pouvons."
L'AJLNH n'a pas voulu expliquer son refus.
En fait, la ligue propose une formule hybride qui commencerait par une taxe punitive et qui pourrait évoluer vers un plafond salarial.
Bettman a proposé de rester à Toronto en compagnie du conseiller juridique de la LNH, Bill Daly. D'autres pourparlers étaient prévus, peut-être mercredi soir ou jeudi dans l'espoir de conclure une entente de dernière heure.
La ligue et l'association ne s'étaient pas rencontrées depuis leur réunion de vendredi dernier à New York. Cette fois, les conseillers extérieurs Bob Batterman (LNH) et John McCambridge (AJLNH) étaient absents. Seulement Bettman, Daly, le directeur administratif de l'AJLNH Bob Goodenow et le directeur senior Ted Saskin étaient présents. Goodenow et Bettman étaient de retour à la table de négociations après avoir raté les cinq dernières réunions tenues le mois dernier.
Les amateurs et les joueurs semblent avoir abandonné l'idée de voir du hockey cette saison. Mais si une entente intervient, une saison écourtée commencerait d'ici la fin du mois.
D'après le calendrier original, les séries devraient commencer dans neuf semaines. Mais déjà, 813 des 1230 matchs ont été annulés. Le match des étoiles devait être présenté dimanche à Atlanta. --Message edité par bobépine le 2005-02-09 22:18:04--
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Souray se plaît en Suède
Mercredi 09 février 2005 - (RDS) - Les joueurs qui ont pris la décision d'aller jouer en Europe par crainte que le conflit se prolonge, doivent sans doute se réjouir d'avoir trouvé un nouvel endroit pour jouer. C'est le cas de Sheldon Souray qui file le parfait bonheur en Suède.
Ennuyé par les blessures plus souvent qu'à son tour, Sheldon Souray n'a pas beaucoup joué au hockey depuis qu'il est passé des Devils au Canadien il y a près de cinq ans. Après avoir connu une saison de rêve l'an passé, cet automne, lorsque le lock-out a été déclenché, le sympathique défenseur ne voulait pas rester à la maison alors que pour une fois il était en pleine santé. "Je savais que le conflit allait durer longtemps et je voulais garder la forme mais je ne pensais pas être encore ici à cette date."
Comme il fut l'un des premiers joueurs à s'exiler en Europe, Souray avait l'embarras du choix lorsqu'il est venu le temps de choisir une équipe d'adoption. Quelques critères étaient plus importants que d'autres pour Souray qui ne regrette pas du tout d'avoir signé une entente avec Farjestad. "J'aimais cette équipe car elle avait une tradition victorieuse, a ajouté Souray. Je voulais bien venir ici en Europe et avoir du plaisir mais dans un cadre compétitif."
A 28 ans, Sheldon Souray n'avait pas disputé un seul match sur une patinoire de dimension olympique lorsqu'il a décidé de quitter le confort de son foyer pour l'Europe. Même si ses nouveaux patrons se disaient très satisfaits de son travail dès son arrivée avec Farjestad, le principal intéressé lui, avoue qu'il ne commence seulement qu'à être véritablement à l'aise. "J'ai eu besoin d'une période pour m'ajuster. Les stratégies et les plans de match sont différents. Ça fait trois mois que je suis ici et je commence à peine à me sentir confortable sur la patinoire."
Finalement, pas certain que Souray se soit véritablement ajusté au style de jeu européen! Lors du passage de RDS à Karlstad, il a jeté les gants face à un rival lors d'un match opposant son équipe à celle de Djurgarden. Il faut comprendre qu'il est très rare de voir deux joueurs se battre en Europe et tant qu'à jeter les gants, Souray n'a pas fait les choses à moitié. Résultat; il a été suspendu pour s'être battu et il n'a pas pris part au dernier match de son équipe disputé samedi. "Si un coéquipier se fait malmener, je dois intervenir, a indiqué Souray. Je recommencerais, c'est certain."
Vous devinez sans doute que Sheldon Souray, l'étranger venu voler des jobs il y a quelques mois, est vite devenu très populaire dans le vestiaire.
Souray se plaît en Suède
Mercredi 09 février 2005 - (RDS) - Les joueurs qui ont pris la décision d'aller jouer en Europe par crainte que le conflit se prolonge, doivent sans doute se réjouir d'avoir trouvé un nouvel endroit pour jouer. C'est le cas de Sheldon Souray qui file le parfait bonheur en Suède.
Ennuyé par les blessures plus souvent qu'à son tour, Sheldon Souray n'a pas beaucoup joué au hockey depuis qu'il est passé des Devils au Canadien il y a près de cinq ans. Après avoir connu une saison de rêve l'an passé, cet automne, lorsque le lock-out a été déclenché, le sympathique défenseur ne voulait pas rester à la maison alors que pour une fois il était en pleine santé. "Je savais que le conflit allait durer longtemps et je voulais garder la forme mais je ne pensais pas être encore ici à cette date."
Comme il fut l'un des premiers joueurs à s'exiler en Europe, Souray avait l'embarras du choix lorsqu'il est venu le temps de choisir une équipe d'adoption. Quelques critères étaient plus importants que d'autres pour Souray qui ne regrette pas du tout d'avoir signé une entente avec Farjestad. "J'aimais cette équipe car elle avait une tradition victorieuse, a ajouté Souray. Je voulais bien venir ici en Europe et avoir du plaisir mais dans un cadre compétitif."
A 28 ans, Sheldon Souray n'avait pas disputé un seul match sur une patinoire de dimension olympique lorsqu'il a décidé de quitter le confort de son foyer pour l'Europe. Même si ses nouveaux patrons se disaient très satisfaits de son travail dès son arrivée avec Farjestad, le principal intéressé lui, avoue qu'il ne commence seulement qu'à être véritablement à l'aise. "J'ai eu besoin d'une période pour m'ajuster. Les stratégies et les plans de match sont différents. Ça fait trois mois que je suis ici et je commence à peine à me sentir confortable sur la patinoire."
Finalement, pas certain que Souray se soit véritablement ajusté au style de jeu européen! Lors du passage de RDS à Karlstad, il a jeté les gants face à un rival lors d'un match opposant son équipe à celle de Djurgarden. Il faut comprendre qu'il est très rare de voir deux joueurs se battre en Europe et tant qu'à jeter les gants, Souray n'a pas fait les choses à moitié. Résultat; il a été suspendu pour s'être battu et il n'a pas pris part au dernier match de son équipe disputé samedi. "Si un coéquipier se fait malmener, je dois intervenir, a indiqué Souray. Je recommencerais, c'est certain."
Vous devinez sans doute que Sheldon Souray, l'étranger venu voler des jobs il y a quelques mois, est vite devenu très populaire dans le vestiaire.
C'est bobépine ou bépine SVP
De plus en plus l'indifférence au Canada
Mercredi 09 février 2005 - OTTAWA (PC) - Près de 40 pour cent des amateurs de hockey Canadiens plus convaincus ont répondu que la LNH ne leur manquait pas selon un nouveau sondage qui n'a rien de rassurant pour les joueurs et dirigeants de la Ligue nationale.
Cinq mois après le début d'un lock-out qui va vraisemblablement annuler la saison 2004-05 de la LNH, "la tendance de l'opinion publique semble glisser vers l'indifférence", estime le chef de direction de la firme de sondage Decima, Bruce Anderson.
Trente-neuf pour cent des 1008 personnes sondées ont affirmé suivre régulièrement les activités de la LNH. Or parmi celles-ci, plus d'une sur trois, ou 37 pour cent, ont déclaré qu'elles ne se faisaient pas de mauvais sang pour le hockey de la LNH.
Au total de la population, à peine plus d'un quart des répondants, soit 28 pour cent, ont dit s'ennuyer du sport.
"Si chaque parti s'en tient à ses positions dans cette dispute en attendant que la demande se fasse pressante pour le retour du hockey, ces statistiques leur disent que ça ne va pas arriver", a déclaré Anderson.
Ce sondage étaye une observation remarquée faite par Ken Dryden cette semaine, à savoir que plusieurs amateurs de hockey au pays en sont venus à réaliser que leur relation avec leur sport national relevait davantage de l'habitude que de la passion.
"Il ne faut jamais donner une occasion à un partisan de découvrir s'il est habité par l'habitude ou la passion", disait l'ancien gardien du Canadien et président des Maple Leafs de Toronto devenu ministre fédéral.
Un sondage de Compas effectué le mois dernier concluait que l'intérêt pour le hockey a chuté de 30 pour cent au Canada.
Coup dur pour les joueurs
Autre coup dur pour les joueurs, le sondage de Decima révèle que seulement neuf pour cent des Canadiens favorisent leur position. Mais ils ne sont aussi que 28 pour cent à appuyer les propriétaires et leur plafond salarial.
Un autre 27 pour cent des répondants supportent les deux partis également tandis que 22 pour cent n'en endossent aucun.
Parmi les répondants qui se disent de vrais mordus, 34 pour cent appuient les propriétaires, 15 pour cent les joueurs, 34 pour cent les deux également et 14 pour cent aucun des deux groupes.
Mercredi 09 février 2005 - OTTAWA (PC) - Près de 40 pour cent des amateurs de hockey Canadiens plus convaincus ont répondu que la LNH ne leur manquait pas selon un nouveau sondage qui n'a rien de rassurant pour les joueurs et dirigeants de la Ligue nationale.
Cinq mois après le début d'un lock-out qui va vraisemblablement annuler la saison 2004-05 de la LNH, "la tendance de l'opinion publique semble glisser vers l'indifférence", estime le chef de direction de la firme de sondage Decima, Bruce Anderson.
Trente-neuf pour cent des 1008 personnes sondées ont affirmé suivre régulièrement les activités de la LNH. Or parmi celles-ci, plus d'une sur trois, ou 37 pour cent, ont déclaré qu'elles ne se faisaient pas de mauvais sang pour le hockey de la LNH.
Au total de la population, à peine plus d'un quart des répondants, soit 28 pour cent, ont dit s'ennuyer du sport.
"Si chaque parti s'en tient à ses positions dans cette dispute en attendant que la demande se fasse pressante pour le retour du hockey, ces statistiques leur disent que ça ne va pas arriver", a déclaré Anderson.
Ce sondage étaye une observation remarquée faite par Ken Dryden cette semaine, à savoir que plusieurs amateurs de hockey au pays en sont venus à réaliser que leur relation avec leur sport national relevait davantage de l'habitude que de la passion.
"Il ne faut jamais donner une occasion à un partisan de découvrir s'il est habité par l'habitude ou la passion", disait l'ancien gardien du Canadien et président des Maple Leafs de Toronto devenu ministre fédéral.
Un sondage de Compas effectué le mois dernier concluait que l'intérêt pour le hockey a chuté de 30 pour cent au Canada.
Coup dur pour les joueurs
Autre coup dur pour les joueurs, le sondage de Decima révèle que seulement neuf pour cent des Canadiens favorisent leur position. Mais ils ne sont aussi que 28 pour cent à appuyer les propriétaires et leur plafond salarial.
Un autre 27 pour cent des répondants supportent les deux partis également tandis que 22 pour cent n'en endossent aucun.
Parmi les répondants qui se disent de vrais mordus, 34 pour cent appuient les propriétaires, 15 pour cent les joueurs, 34 pour cent les deux également et 14 pour cent aucun des deux groupes.
C'est bobépine ou bépine SVP
Point de non-retour?
Jeudi 10 février 2005 - (RDS.ca) – Les pourparlers ont repris aujourd’hui entre la Ligue nationale de hockey et les représentants de l’Association des joueurs avec comme épée de Damoclès la date-butoir de la fin de semaine. Mais elles ont été rompues en après-midi.
Aucune progression n’a été noté depuis hier et il n’y a aucune rencontre de prévue et une annonce officielle de l’annulation de la saison pourrait être faite très bientôt.
"Je me demande pourquoi ils nous ont demandé de passer la nuit ici puisqu'il n'y pas eu de progrès. Nous avons fait tout ce que nous pouvions faire pour régler le conflit mais il faut de la volonté des deux côtés", a expliqué le vice-président de la Ligue nationale de hockey, Bill Daly, lors d'un point de presse. "Nous avons fait trois nouvelles propositions ces derniers jours sans recevoir de contre-offre. Je ne crois pas que la présence d'un médiateur changera quelque chose."
"Nous n'avons pas l'intention de rencontrer les joueurs de nouveau. Nous n'avons rien à ajouter."
Les pourparlers avaient repris à 11 h ce matin aux bureaux de la ligue à Toronto en présence de Daly, du commissaire Gary Bettman, le directeur exécutif de l’Association des joueurs Bob Goodenow et le directeur senior de l’Association des joueurs Ted Saskin.
Saskin a convoqué la presse à 17h.
L’association des joueurs avait rejeté la dernière offre de la LNH mercredi, une entente qui était basée sur la proposition des joueurs faite le 9 décembre laquelle comprenait une taxe de luxe et un partage des revenus qui aurait évolué vers la proposition de la LNH faite le 2 février basée sur le plafond salarial si l’autre option ne fonctionnait pas.
Jeudi 10 février 2005 - (RDS.ca) – Les pourparlers ont repris aujourd’hui entre la Ligue nationale de hockey et les représentants de l’Association des joueurs avec comme épée de Damoclès la date-butoir de la fin de semaine. Mais elles ont été rompues en après-midi.
Aucune progression n’a été noté depuis hier et il n’y a aucune rencontre de prévue et une annonce officielle de l’annulation de la saison pourrait être faite très bientôt.
"Je me demande pourquoi ils nous ont demandé de passer la nuit ici puisqu'il n'y pas eu de progrès. Nous avons fait tout ce que nous pouvions faire pour régler le conflit mais il faut de la volonté des deux côtés", a expliqué le vice-président de la Ligue nationale de hockey, Bill Daly, lors d'un point de presse. "Nous avons fait trois nouvelles propositions ces derniers jours sans recevoir de contre-offre. Je ne crois pas que la présence d'un médiateur changera quelque chose."
"Nous n'avons pas l'intention de rencontrer les joueurs de nouveau. Nous n'avons rien à ajouter."
Les pourparlers avaient repris à 11 h ce matin aux bureaux de la ligue à Toronto en présence de Daly, du commissaire Gary Bettman, le directeur exécutif de l’Association des joueurs Bob Goodenow et le directeur senior de l’Association des joueurs Ted Saskin.
Saskin a convoqué la presse à 17h.
L’association des joueurs avait rejeté la dernière offre de la LNH mercredi, une entente qui était basée sur la proposition des joueurs faite le 9 décembre laquelle comprenait une taxe de luxe et un partage des revenus qui aurait évolué vers la proposition de la LNH faite le 2 février basée sur le plafond salarial si l’autre option ne fonctionnait pas.
C'est bobépine ou bépine SVP
Minuit moins une
Jeudi 10 février 2005 - TORONTO (PC) - La Ligue nationale a presque annoncé l'annulation de la saison jeudi, indiquant que les dernières négociations n'ont rien donné.
"A ce stade-ci, nous n'avons plus de lapins dans notre chapeau", a déclaré Bill Daly, vice-président et conseiller juridique de la LNH.
"Nous avons fait tous les efforts dans l'espoir d'en venir à une entente avec l'Association des joueurs. Nous avons déposé trois offres successives sans rien recevoir en contre-partie. Aujourd'hui, nous n'avons plus rien à offrir."
Ted Saskin, directeur senior de l'AJLNH, semble tout aussi pessimiste.
"Nous sommes les seuls à avoir proposé quelque chose qui soit substantiel. Maintenant, nous en avons terminé", a déclaré Saskin lors d'un point de presse.
A moins d'un revirement de situation, le commissaire Gary Bettman n'obtiendra pas qu'un document soit rédigé d'ici la fin du week-end, condition sine qua non pour éviter l'annulation de la saison.
"On ne s'attend pas à ce qu'il se passe quelque chose d'ici l'annonce faite par le commissaire", a ajouté Daly.
Alors qu'aucune des deux parties ne semble disposée à saisir le téléphone, il paraît évident que la saison 2004-2005 sera annulée la semaine prochaine.
Daly a dit qu'il entend retourner immédiatement à New York en compagnie du commissaire.
Les deux clans ont discuté durant environ quatre heures, jeudi, dont plus de la moitié en groupes isolés. Dale a qualifié la réunion "d'inutile".
"Pour être gentils, nous n'avons rien obtenu", a-t-il conclu.
Et Saskin de dire: "Il nous a semblé que Gary (Bettman) devenait frustré par le ton des discussions et nous lui avons dit qu'il était clair qu'aucune entente ne semblait possible dans les circonstances. Gary a alors annoncé qu'il retournait à New York et qu'aucune autre réunion n'était prévue."
Les pourparlers ont eu lieu aux bureaux de la ligue à Toronto au lendemain d'un dîner auquel Bettman, Daly, le directeur administratif de l'AJLNH, Bob Goodenow, et Saskin avaient pris part en soirée.
"Les représentants des joueurs n'ont rien apporté de neuf à la table", a déclaré Gary Meagher, porte-parole de la ligue.
"S'il n'y a pas de déblocage dans les négociations, la ligue fera une annonce officielle relativement à la saison dans un avenir très rapproché", a-t-il ajouté.
Selon une source, Bettman annoncera l'annulation de la saison mardi, au plus tôt, ou jeudi, au plus tard, lors d'un point de presse à New York.
Aucune autre réunion n'est prévue.
"Nous n'allons pas faire les premiers pas... nous n'avons vraiment plus rien de nouveau à proposer", a répété Daly.
De son côté, Saskin a déclaré que l'association n'a pas l'intention de décrocher le téléphone.
Daly a révélé que la ligue et le syndicat des joueurs ont consulté des médiateurs américains pas plus tard que la semaine dernière à Newark, au New Jersey. Mais les médiateurs n'ont pu faire avancer le dossier même s'ils avaient été consultés une première fois avant même le début du lock-out en septembre.
Saskin a fait valoir qu'il n'a jamais accordé d'importance à la médiation compte tenu que la LNH ne l'a jamais prise au sérieux.
Mercredi, la ligue a fait une nouvelle proposition. La convention collective comprendrait l'offre des joueurs faite le 9 décembre dernier dans laquelle on retrouve une taxe punitive. La nouvelle entente évoluerait vers l'offre patronale du 2 février, laquelle comprend un plafond salarial, si la formule des joueurs n'apporte pas les résultats escomptés.
Quatre éléments déclencheurs détermineraient le moment de passer en mode "plafond salarial":
-Si la ligue doit verser plus de 55 pour cent de ses revenus en salaires.
-Si trois équipes ont une masse salariale supérieure à 42 millions $ US.
-Si la masse salariale moyenne des trois équipes les plus dépensières est supérieure à plus de 33 pour cent de la masse salariale moyenne des trois équipes les plus frugales.
-Si la masse salariale moyenne de la ligue est supérieure à 36,5 millions $ US.
L'association des joueurs prétend qu'un et même deux de ces éléments déclencheurs agiraient dès maintenant, ce qui rend inacceptable l'offre de la ligue.
Saskin a rejeté du revers de la main l'affirmation de la ligue selon laquelle l'offre comporte "un plafond salarial à trois niveaux".
"Personne n'est dupe de ces éléments déclencheurs", a-t-il dit.
Goodenow avait invité la ligue à de nouveaux pourparlers jeudi dans l'espoir d'en arriver à une entente de dernière minute.
"Nous n'avons pas progressé aujourd'hui, a noté Daly. Nous avons parlé encore une fois de sujets dont nous avons déjà abondamment discuté, en fait pas plus tard que la semaine dernière. C'est pourquoi je ne comprends pas leur démarche. Je sais seulement que nous n'avons réalisé aucun progrès."
A ce jour, un total de 824 des 1230 matchs ont été annulés. Le match des étoiles devait avoir lieu dimanche à Atlanta.
Jeudi 10 février 2005 - TORONTO (PC) - La Ligue nationale a presque annoncé l'annulation de la saison jeudi, indiquant que les dernières négociations n'ont rien donné.
"A ce stade-ci, nous n'avons plus de lapins dans notre chapeau", a déclaré Bill Daly, vice-président et conseiller juridique de la LNH.
"Nous avons fait tous les efforts dans l'espoir d'en venir à une entente avec l'Association des joueurs. Nous avons déposé trois offres successives sans rien recevoir en contre-partie. Aujourd'hui, nous n'avons plus rien à offrir."
Ted Saskin, directeur senior de l'AJLNH, semble tout aussi pessimiste.
"Nous sommes les seuls à avoir proposé quelque chose qui soit substantiel. Maintenant, nous en avons terminé", a déclaré Saskin lors d'un point de presse.
A moins d'un revirement de situation, le commissaire Gary Bettman n'obtiendra pas qu'un document soit rédigé d'ici la fin du week-end, condition sine qua non pour éviter l'annulation de la saison.
"On ne s'attend pas à ce qu'il se passe quelque chose d'ici l'annonce faite par le commissaire", a ajouté Daly.
Alors qu'aucune des deux parties ne semble disposée à saisir le téléphone, il paraît évident que la saison 2004-2005 sera annulée la semaine prochaine.
Daly a dit qu'il entend retourner immédiatement à New York en compagnie du commissaire.
Les deux clans ont discuté durant environ quatre heures, jeudi, dont plus de la moitié en groupes isolés. Dale a qualifié la réunion "d'inutile".
"Pour être gentils, nous n'avons rien obtenu", a-t-il conclu.
Et Saskin de dire: "Il nous a semblé que Gary (Bettman) devenait frustré par le ton des discussions et nous lui avons dit qu'il était clair qu'aucune entente ne semblait possible dans les circonstances. Gary a alors annoncé qu'il retournait à New York et qu'aucune autre réunion n'était prévue."
Les pourparlers ont eu lieu aux bureaux de la ligue à Toronto au lendemain d'un dîner auquel Bettman, Daly, le directeur administratif de l'AJLNH, Bob Goodenow, et Saskin avaient pris part en soirée.
"Les représentants des joueurs n'ont rien apporté de neuf à la table", a déclaré Gary Meagher, porte-parole de la ligue.
"S'il n'y a pas de déblocage dans les négociations, la ligue fera une annonce officielle relativement à la saison dans un avenir très rapproché", a-t-il ajouté.
Selon une source, Bettman annoncera l'annulation de la saison mardi, au plus tôt, ou jeudi, au plus tard, lors d'un point de presse à New York.
Aucune autre réunion n'est prévue.
"Nous n'allons pas faire les premiers pas... nous n'avons vraiment plus rien de nouveau à proposer", a répété Daly.
De son côté, Saskin a déclaré que l'association n'a pas l'intention de décrocher le téléphone.
Daly a révélé que la ligue et le syndicat des joueurs ont consulté des médiateurs américains pas plus tard que la semaine dernière à Newark, au New Jersey. Mais les médiateurs n'ont pu faire avancer le dossier même s'ils avaient été consultés une première fois avant même le début du lock-out en septembre.
Saskin a fait valoir qu'il n'a jamais accordé d'importance à la médiation compte tenu que la LNH ne l'a jamais prise au sérieux.
Mercredi, la ligue a fait une nouvelle proposition. La convention collective comprendrait l'offre des joueurs faite le 9 décembre dernier dans laquelle on retrouve une taxe punitive. La nouvelle entente évoluerait vers l'offre patronale du 2 février, laquelle comprend un plafond salarial, si la formule des joueurs n'apporte pas les résultats escomptés.
Quatre éléments déclencheurs détermineraient le moment de passer en mode "plafond salarial":
-Si la ligue doit verser plus de 55 pour cent de ses revenus en salaires.
-Si trois équipes ont une masse salariale supérieure à 42 millions $ US.
-Si la masse salariale moyenne des trois équipes les plus dépensières est supérieure à plus de 33 pour cent de la masse salariale moyenne des trois équipes les plus frugales.
-Si la masse salariale moyenne de la ligue est supérieure à 36,5 millions $ US.
L'association des joueurs prétend qu'un et même deux de ces éléments déclencheurs agiraient dès maintenant, ce qui rend inacceptable l'offre de la ligue.
Saskin a rejeté du revers de la main l'affirmation de la ligue selon laquelle l'offre comporte "un plafond salarial à trois niveaux".
"Personne n'est dupe de ces éléments déclencheurs", a-t-il dit.
Goodenow avait invité la ligue à de nouveaux pourparlers jeudi dans l'espoir d'en arriver à une entente de dernière minute.
"Nous n'avons pas progressé aujourd'hui, a noté Daly. Nous avons parlé encore une fois de sujets dont nous avons déjà abondamment discuté, en fait pas plus tard que la semaine dernière. C'est pourquoi je ne comprends pas leur démarche. Je sais seulement que nous n'avons réalisé aucun progrès."
A ce jour, un total de 824 des 1230 matchs ont été annulés. Le match des étoiles devait avoir lieu dimanche à Atlanta.
C'est bobépine ou bépine SVP