À caractère offensif
Jeudi 15 septembre 2005 - (RDS) - Le camp d'entraînement ne fait que commencer mais il faut avouer qu'il y a longtemps qu'on a pas vu un défenseur du Canadien appuyer autant l'offensive que Mathieu Dandenault. Le vétéran qui a passé neuf saisons à Detroit ne rate jamais une chance de quitter son poste et foncer vers le filet adverse.
"Avec les nouveaux règlements, sans ligne rouge, je crois que j'ai la possibilité de monter à l'attaque. S'il arrive un dégagement illégal, je serai le premier à avoir la rondelle. C'est le camp d'entraînement, c'est le moment d'essayer de nouvelles choses. Quand on a le contrôle de la rondelle et que je peux m'avancer, cela fait un attaquant de plus", souligne le nouveau-venu.
Mais le Canadien n'étant pas les Red Wings, Dandenault n'aura pas le feu vert aussi souvent à Montréal qu'à Detroit.
"On n'empêche jamais nos joueurs d'appuyer l'attaque, mais au niveau ou Mathieu le fait, c'est peut-être un peu trop. Lui aussi arrive dans une organisation, il veut montrer ses habiletés, et on lui donne cette occasion. Mais à un certain moment, comme tout le monde dans l'équipe, on lui donnera des directives, on joue d'une certaine façon, et il fera partie de ces ajustements", indique Claude Julien.
Même s'il est un excellent patineur et qu'il possède certaines habiletés avec la rondelle, il ne faut pas non plus s'attendre à ce que Dandenault devienne un candidat au trophée Norris parce qu'il portera l'uniforme du Canadien. Une chose est cependant assurée, il aura plus de responsabilités à Montréal, ce qui est toujours agréable pour un joueur.
"Mon rôle change en arrivant ici. On ne sait pas encore clairement ce que ce sera mais avec le temps, vu que je suis ici pour prouver et montrer aux dirigeants et surtout à mes coéquipiers ce que je peux faire pour le club de hockey. Si c'est parfois de monter à l'attaque et appuyer les attaquants, c'est cela que je veux faire. En autant que mon jeu défensif reste bon et solide", ajoute Dandenault.
Il n'y a pas que sur la glace que l'on verra de nouveaux visages cette année avec le Canadien, puisque vendredi après-midi, le Tricolore nous présentera la toute première mascotte de son histoire. Il n'y a pas eu de fuite, pour le moment, mais certains pensent que l'équipe montréalaise a réussi à récupérer les services de Youppi! --Message edité par bobépine le 2005-09-15 18:11:44--
Canadien saison 2005-2006
"Je veux jouer à Montréal" - Tomas Plekanec
Jeudi 15 septembre 2005 - MONTRÉAL (PC) - Après trois saisons dans la Ligue américaine, Tomas Plekanec se dit prêt à passer à la prochaine étape. À Pierrefonds, Plekanec a la chance d'être jumelé à de bons joueurs (Richard Zednik et Michael Ryder). Il veut profiter de cette occasion pour démontrer qu'il a sa place à Montréal.
«Je crois que c'est une belle marque de confiance de la part de la direction», dit-il au sujet de ses compagnons de trio.
Joueur à caractère offensif, Plekanec est prêt à remplir un rôle défensif si cela doit lui permettre de porter les couleurs du Canadien.
«Je suis surtout un joueur offensif. Mais je suis prêt à jouer un autre rôle s'il le faut», dit le centre âgé de 22 ans.
Plekanec, qui fait cinq pieds 11 pouces et 198 livres, a été le quatrième choix du Canadien et le 71e joueur réclamé au repêchage de 2001. Mike Komisarek, Alexander Perezhogin et Duncan Milroy avaient été choisis avant lui.
La saison dernière, le patineur de Kladno, en République tchèque, a marqué 29 buts et récolté 64 points en 80 matchs. Son rendement lui a valu une invitation au match des étoiles de la Ligue américaine où il a été désigné le joueur par excellence de la rencontre.
«J'ai beaucoup appris dans la Ligue américaine, dit-il. Surtout l'importance des détails comme les mises en jeu.»
André Savard semble bien l'apprécier pour l'avoir vu jouer à plusieurs reprises durant le lock-out.
«Il a du talent en plus d'être un bon compétiteur, dit-il. C'est un joueur qui cogne à la porte.»
Plekanec ne s'attend pas à déloger un des trois premiers centres de l'équipe. Saku Koivu, Mike Ribeiro et Radek Bonk forment l'ossature de l'équipe. Mais le poste de quatrième centre pourrait être disponible si jamais Claude Julien décidait de muter Steve Bégin à l'aile. Plekanec pourrait également entreprendre la saison à titre de 13e attaquant puisqu'il peut jouer à l'aile gauche.
«Je veux jouer dans la Ligue nationale mais à Montréal, dit-il. Montréal est la meilleure ville de hockey au monde. Je me souviens d'avoir participé à des matchs préparatoires où il y avait plus de 15 000 personnes.»
Jeudi 15 septembre 2005 - MONTRÉAL (PC) - Après trois saisons dans la Ligue américaine, Tomas Plekanec se dit prêt à passer à la prochaine étape. À Pierrefonds, Plekanec a la chance d'être jumelé à de bons joueurs (Richard Zednik et Michael Ryder). Il veut profiter de cette occasion pour démontrer qu'il a sa place à Montréal.
«Je crois que c'est une belle marque de confiance de la part de la direction», dit-il au sujet de ses compagnons de trio.
Joueur à caractère offensif, Plekanec est prêt à remplir un rôle défensif si cela doit lui permettre de porter les couleurs du Canadien.
«Je suis surtout un joueur offensif. Mais je suis prêt à jouer un autre rôle s'il le faut», dit le centre âgé de 22 ans.
Plekanec, qui fait cinq pieds 11 pouces et 198 livres, a été le quatrième choix du Canadien et le 71e joueur réclamé au repêchage de 2001. Mike Komisarek, Alexander Perezhogin et Duncan Milroy avaient été choisis avant lui.
La saison dernière, le patineur de Kladno, en République tchèque, a marqué 29 buts et récolté 64 points en 80 matchs. Son rendement lui a valu une invitation au match des étoiles de la Ligue américaine où il a été désigné le joueur par excellence de la rencontre.
«J'ai beaucoup appris dans la Ligue américaine, dit-il. Surtout l'importance des détails comme les mises en jeu.»
André Savard semble bien l'apprécier pour l'avoir vu jouer à plusieurs reprises durant le lock-out.
«Il a du talent en plus d'être un bon compétiteur, dit-il. C'est un joueur qui cogne à la porte.»
Plekanec ne s'attend pas à déloger un des trois premiers centres de l'équipe. Saku Koivu, Mike Ribeiro et Radek Bonk forment l'ossature de l'équipe. Mais le poste de quatrième centre pourrait être disponible si jamais Claude Julien décidait de muter Steve Bégin à l'aile. Plekanec pourrait également entreprendre la saison à titre de 13e attaquant puisqu'il peut jouer à l'aile gauche.
«Je veux jouer dans la Ligue nationale mais à Montréal, dit-il. Montréal est la meilleure ville de hockey au monde. Je me souviens d'avoir participé à des matchs préparatoires où il y avait plus de 15 000 personnes.»
C'est bobépine ou bépine SVP
Ribeiro : «Je lui ai dit d’avancer à petits pas»
Marc de Foy -Journal de Montréal
16/09/2005 09h43
Qui a été le dernier joueur à s’être taillé un poste chez le Canadien à l’âge de 18 ans ?
Le confrère Yvan Martineau pensait bien piéger quelques journalistes avec sa question hier. Les bras lui sont tombés quand tous lui ont répondu qu’il s’agissait de Petr Svoboda en 1984. Mais ça donne une autre idée de la grande impression que créée Guillaume Latendresse.
Quant à l’ami Yvan, on lui a suggéré de soumettre les amateurs à son quiz. Encore là, il pourrait bien avoir trouvé chaussure à son pied, car les grands fervents de hockey connaissent l’histoire du Canadien sur le bout de leurs doigts.
Reste que son idée était bonne quand on connaît la politique rigide du Canadien envers ses jeunes joueurs.
D’un autre côté, le Tricolore n’a repêché, depuis Svoboda, aucun joueur de 18 ans qui possédait les atouts nécessaires à cet âge pour faire le saut dans la Ligue nationale.
Desjardins est arrivé à 19 ans
En 1988, Éric Desjardins a été promu avec le Canadien à l’âge de 19 ans. Le défenseur originaire de Rouyn-Noranda avait pris part à 36 matchs durant le calendrier ainsi qu’à 14 des 21 rencontres disputées dans les séries.
De plus, on lui avait permis de défendre les couleurs du Canadien lors du championnat du monde, durant la période des fêtes.
Mike Ribeiro est passé par là à l’âge de 19 ans, en 1999. Cependant, on l’avait retourné dans les rangs juniors à son retour du championnat du monde, après 19 matchs à Montréal.
Quels sentiments l’animaient au cours du camp d’entraînement ?
«Je me disais que l’expérience des vétérans était la seule chose qui me différenciait d’eux, a-t-il raconté hier. Je ne me sentais pas pire qu’un autre. Je devais avoir confiance en mes moyens.»
C’était une façon pour Ribeiro de se mettre en confiance.
«Je me disais que, si je travaillais plus fort que les vétérans, je ne verrais pas pourquoi ils seraient meilleurs que moi.»
Ribeiro a mis plus de temps à se faire une place à Montréal qu’il ne l’avait souhaité. Après une saison à Québec et deux autres à faire la navette entre la Ligue américaine et la Ligue nationale, il y est finalement arrivé.
Comme Ribeiro, Latendresse va remarquer un changement sur le plan de son utilisation dans les matchs préparatoires.
«Quand les vétérans commencent à se faire la main, le temps de glace des recrues réduit, a-t-il mentionné. Ça change un peu la donne. »
En Ribeiro, Latendresse retrouve un bon joueur de centre et de bon conseil, en plus.
«Je lui dis de vivre une journée à la fois et d’avancer à petits pas», a révélé Ribeiro, qui est impressionné, lui aussi, par la tenue de son jeune ailier droit.
«Il me paraissait plus lent quand je l’avais vu jouer à la télévision, a-t-il ajouté. Je lui ai dit de s’en tenir à son style et de ne pas chercher à me passer la rondelle constamment. Je lui ai mentionné aussi de ne pas hésiter à faire des passes solides parce qu’ici, la plupart des gars sont capables de les capter.»
Jusqu’à maintenant, Latendresse met bien en pratique les conseils de Ribeiro.
http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/ ... 94351.html
Marc de Foy -Journal de Montréal
16/09/2005 09h43
Qui a été le dernier joueur à s’être taillé un poste chez le Canadien à l’âge de 18 ans ?
Le confrère Yvan Martineau pensait bien piéger quelques journalistes avec sa question hier. Les bras lui sont tombés quand tous lui ont répondu qu’il s’agissait de Petr Svoboda en 1984. Mais ça donne une autre idée de la grande impression que créée Guillaume Latendresse.
Quant à l’ami Yvan, on lui a suggéré de soumettre les amateurs à son quiz. Encore là, il pourrait bien avoir trouvé chaussure à son pied, car les grands fervents de hockey connaissent l’histoire du Canadien sur le bout de leurs doigts.
Reste que son idée était bonne quand on connaît la politique rigide du Canadien envers ses jeunes joueurs.
D’un autre côté, le Tricolore n’a repêché, depuis Svoboda, aucun joueur de 18 ans qui possédait les atouts nécessaires à cet âge pour faire le saut dans la Ligue nationale.
Desjardins est arrivé à 19 ans
En 1988, Éric Desjardins a été promu avec le Canadien à l’âge de 19 ans. Le défenseur originaire de Rouyn-Noranda avait pris part à 36 matchs durant le calendrier ainsi qu’à 14 des 21 rencontres disputées dans les séries.
De plus, on lui avait permis de défendre les couleurs du Canadien lors du championnat du monde, durant la période des fêtes.
Mike Ribeiro est passé par là à l’âge de 19 ans, en 1999. Cependant, on l’avait retourné dans les rangs juniors à son retour du championnat du monde, après 19 matchs à Montréal.
Quels sentiments l’animaient au cours du camp d’entraînement ?
«Je me disais que l’expérience des vétérans était la seule chose qui me différenciait d’eux, a-t-il raconté hier. Je ne me sentais pas pire qu’un autre. Je devais avoir confiance en mes moyens.»
C’était une façon pour Ribeiro de se mettre en confiance.
«Je me disais que, si je travaillais plus fort que les vétérans, je ne verrais pas pourquoi ils seraient meilleurs que moi.»
Ribeiro a mis plus de temps à se faire une place à Montréal qu’il ne l’avait souhaité. Après une saison à Québec et deux autres à faire la navette entre la Ligue américaine et la Ligue nationale, il y est finalement arrivé.
Comme Ribeiro, Latendresse va remarquer un changement sur le plan de son utilisation dans les matchs préparatoires.
«Quand les vétérans commencent à se faire la main, le temps de glace des recrues réduit, a-t-il mentionné. Ça change un peu la donne. »
En Ribeiro, Latendresse retrouve un bon joueur de centre et de bon conseil, en plus.
«Je lui dis de vivre une journée à la fois et d’avancer à petits pas», a révélé Ribeiro, qui est impressionné, lui aussi, par la tenue de son jeune ailier droit.
«Il me paraissait plus lent quand je l’avais vu jouer à la télévision, a-t-il ajouté. Je lui ai dit de s’en tenir à son style et de ne pas chercher à me passer la rondelle constamment. Je lui ai mentionné aussi de ne pas hésiter à faire des passes solides parce qu’ici, la plupart des gars sont capables de les capter.»
Jusqu’à maintenant, Latendresse met bien en pratique les conseils de Ribeiro.
http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/ ... 94351.html
On veut le voir à Montréal dès cette saison
La Guillaumanie frappe les partisans du Canadien
Marc de Foy -Journal de Montréal
16/09/2005 09h32
Appelons ça la Guillaumanie. Ce n’est pas très recherché, ni très beau à l’oreille, mais ça demeure une bonne façon d’illustrer l’impact que Guillaume Latendresse est en train d’exercer sur les partisans du Canadien qui ont le CH tatoué sur le cœur.
La jeune sensation du Tricolore n’a même pas disputé un match préparatoire que plusieurs amateurs le voient dans l’uniforme bleu-blanc-rouge dès cette saison.
Comme quoi les journalistes ne sont pas les seuls à s’enflammer parfois trop rapidement quand ils voient un espoir de 18 ans s’affirmer.
Pour reprendre une expression de chez nous, les gens voient Latendresse dans leur soupe.
Vous auriez dû entendre ce que certains d’entre eux avaient à raconter au représentant du Journal hier lors de la deuxième journée du camp d’entraînement du Canadien hier au Sportplexe 4 Glaces de Pierrefonds.
– Il va faire partie de l’équipe, n’est-ce pas ? nous a dit l’un d’eux. Je dirais même que c’est sûr !
– Monsieur, attendons au moins de le voir durant les matchs préparatoires. On pourra se faire une idée plus juste à ce moment-là.
Il y avait aussi cet homme qui nous a demandé une faveur.
– Vous, les journalistes, avez du poids auprès de la direction du Canadien, a-t-il dit. Intercédez pour nous afin que ses dirigeants prennent la décision de garder le jeune Latendresse. Il n’a plus rien à apprendre dans les rangs juniors. Il faut qu’il reste à Montréal, même s’il jouait moins souvent.
Il va mieux se développer en demeurant dans la Ligue nationale.
– Cher monsieur, vous nous prêtez trop de pouvoir à cet égard, mais on peut livrer votre message.
Bon même dans la défaite
Ces propos nous ont été livrés alors que la formation de Latendresse était en train de subir la défaite dans un match intra-équipe, mais comme les journalistes et sûrement les hommes de hockey du Canadien présents, les amateurs voyaient bien que le solide gaillard de Sainte-Catherine faisait encore de belles choses avec son joueur de centre Mike Ribeiro.
Quant à l’autre membre du trio, Andrei Kostitsyn, il montrait qu’il semblait plutôt mur pour une deuxième saison à Hamilton. Mais ce qui est bon pour Latendresse vaut aussi pour Kostitsyn.
Attendons les matchs préparatoires.
Latendresse a obtenu plusieurs bonnes occasions de marquer en plus d’en créer lui-même. À un certain moment, il s’est servi de son imposant gabarit et de sa vitesse pour se faufiler entre Mark Streit et Kevin Lavallée.
D’accord, il n’avait pas déjoué Andrei Markov et Francis Bouillon, mais il a réussi à se rendre au filet et la foule a apprécié.
Arrivez tôt !
Ça se poursuit aujourd’hui.
Si vous pensez aller faire un tour au camp, on vous conseille d’arriver bien avant 10 heures, car les gradins se remplissent rapidement. Des gens ont dû rebrousser chemin, incapables de trouver une place.
On avait raison de penser que le lock-out causerait peu de ravages au sein des amateurs de hockey du Québec.
http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/ ... 93231.html
La Guillaumanie frappe les partisans du Canadien
Marc de Foy -Journal de Montréal
16/09/2005 09h32
Appelons ça la Guillaumanie. Ce n’est pas très recherché, ni très beau à l’oreille, mais ça demeure une bonne façon d’illustrer l’impact que Guillaume Latendresse est en train d’exercer sur les partisans du Canadien qui ont le CH tatoué sur le cœur.
La jeune sensation du Tricolore n’a même pas disputé un match préparatoire que plusieurs amateurs le voient dans l’uniforme bleu-blanc-rouge dès cette saison.
Comme quoi les journalistes ne sont pas les seuls à s’enflammer parfois trop rapidement quand ils voient un espoir de 18 ans s’affirmer.
Pour reprendre une expression de chez nous, les gens voient Latendresse dans leur soupe.
Vous auriez dû entendre ce que certains d’entre eux avaient à raconter au représentant du Journal hier lors de la deuxième journée du camp d’entraînement du Canadien hier au Sportplexe 4 Glaces de Pierrefonds.
– Il va faire partie de l’équipe, n’est-ce pas ? nous a dit l’un d’eux. Je dirais même que c’est sûr !
– Monsieur, attendons au moins de le voir durant les matchs préparatoires. On pourra se faire une idée plus juste à ce moment-là.
Il y avait aussi cet homme qui nous a demandé une faveur.
– Vous, les journalistes, avez du poids auprès de la direction du Canadien, a-t-il dit. Intercédez pour nous afin que ses dirigeants prennent la décision de garder le jeune Latendresse. Il n’a plus rien à apprendre dans les rangs juniors. Il faut qu’il reste à Montréal, même s’il jouait moins souvent.
Il va mieux se développer en demeurant dans la Ligue nationale.
– Cher monsieur, vous nous prêtez trop de pouvoir à cet égard, mais on peut livrer votre message.
Bon même dans la défaite
Ces propos nous ont été livrés alors que la formation de Latendresse était en train de subir la défaite dans un match intra-équipe, mais comme les journalistes et sûrement les hommes de hockey du Canadien présents, les amateurs voyaient bien que le solide gaillard de Sainte-Catherine faisait encore de belles choses avec son joueur de centre Mike Ribeiro.
Quant à l’autre membre du trio, Andrei Kostitsyn, il montrait qu’il semblait plutôt mur pour une deuxième saison à Hamilton. Mais ce qui est bon pour Latendresse vaut aussi pour Kostitsyn.
Attendons les matchs préparatoires.
Latendresse a obtenu plusieurs bonnes occasions de marquer en plus d’en créer lui-même. À un certain moment, il s’est servi de son imposant gabarit et de sa vitesse pour se faufiler entre Mark Streit et Kevin Lavallée.
D’accord, il n’avait pas déjoué Andrei Markov et Francis Bouillon, mais il a réussi à se rendre au filet et la foule a apprécié.
Arrivez tôt !
Ça se poursuit aujourd’hui.
Si vous pensez aller faire un tour au camp, on vous conseille d’arriver bien avant 10 heures, car les gradins se remplissent rapidement. Des gens ont dû rebrousser chemin, incapables de trouver une place.
On avait raison de penser que le lock-out causerait peu de ravages au sein des amateurs de hockey du Québec.
http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/ ... 93231.html
Gentil a écritUn petit avant gout de Youppi dans l'uniforme du CH .........j'espères qu il aura meilleur look que ca
Du renfort sur le banc!
16 septembre 2005 - Le Canadien de Montréal aura une mascotte officielle. Laissé pour compte après le départ des Expos à Washington, Youppi devient un membre du Tricolore à partir de maintenant. Il s'agit d'un premier cas de transfert d'équipes dans l'histoire du sport professionnel.
La géant orangé portera le chandail rouge du Canadien et pourra partiner. La direction tentera d'attirer les familles au Centre Bell avec cette mascotte.
Réunion des mascottes de la LNH
Rappelons qu'une vingtaine d'équipes sur trente dans la LNH possèdent une mascotte.
Du renfort sur le banc!
16 septembre 2005 - Le Canadien de Montréal aura une mascotte officielle. Laissé pour compte après le départ des Expos à Washington, Youppi devient un membre du Tricolore à partir de maintenant. Il s'agit d'un premier cas de transfert d'équipes dans l'histoire du sport professionnel.
La géant orangé portera le chandail rouge du Canadien et pourra partiner. La direction tentera d'attirer les familles au Centre Bell avec cette mascotte.
Réunion des mascottes de la LNH
Rappelons qu'une vingtaine d'équipes sur trente dans la LNH possèdent une mascotte.
Raven a écritC'est une belle acquisition
Moi aussi je trouve que c'est une très belle acquisition
Ça m'enrage de lire les commentaires négatif des maudits chialeux sur RDS entre autre.
Ces chialeux de nature ne savent pas encore qu'une mascotte est là pour les enfants
Dans la LHJMQ la moitié des équipes on une mascotte et personne ne se plaint que c est une nuisance dans l'aréna bien au contraire.
Gang de chialeux --Message edité par GenTiL le 2005-09-16 16:20:36--
Moi aussi je trouve que c'est une très belle acquisition
Ça m'enrage de lire les commentaires négatif des maudits chialeux sur RDS entre autre.
Ces chialeux de nature ne savent pas encore qu'une mascotte est là pour les enfants
Dans la LHJMQ la moitié des équipes on une mascotte et personne ne se plaint que c est une nuisance dans l'aréna bien au contraire.
Gang de chialeux --Message edité par GenTiL le 2005-09-16 16:20:36--
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Boule à mites
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
bizarre moi je l,aurais mieux vu avec les allouettes de montreal la il aurait pu aller souvent sur le terrain danser avec les shearledeuse et rouler en 4 roues sur le terrain
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
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Boule à mites
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Michaud a appris à mieux se connaître
Vendredi 16 septembre 2005 - (PC) - Olivier Michaud a pris part à son premier match simulé vendredi. Le gardien de Beloeil a concédé trois buts après avoir remplacé Yann Danis devant le filet des Rouges.
"J'aimerais revoir le deuxième but, a-t-il dit. Je me tenais trop profondément dans le filet."
Le défenseur Mark Streit l'a battu d'un tir d'une quinzaine de pieds alors qu'il fonçait au filet. Steve Bégin et Peter Vandermeer l'ont également déjoué.
Michaud, on s'en souvient, a réalisé une entrée spectaculaire dans la Ligue nationale il y a quatre ans à l'âge de 18 ans. Rappelé d'urgence des Cataractes de Shawinigan, Michaud a disputé une période à Edmonton au cours de laquelle il a blanchi les Oilers sur 18 lancers. Malheureusement, la suite de sa carrière n'a pas été aussi brillante.
"J'ai mal commencé la saison suivante à Shawinigan. Puis quand j'ai eu 20 ans, j'ai joué quelques matchs à Hamilton avant de me retrouver dans la ECHL. Il y avait trop de gardiens à Hamilton. Heureusement, j'ai quand même pu profiter des conseils de Roland Melanson."
Le même scénario s'est répété la saison dernière alors qu'il a joué à Long Beach (ECHL).
"J'aurais préféré rester à Hamilton, dit-il. Mais la saison à Long Beach n'a pas été une perte de temps. J'ai surtout appris à me connaître. Ca m'a permis de mieux gérer mes émotions. J'ai appris à ne pas gaspiller mes énergies en demeurant plus calme, plus posé. Je risque moins de me brûler comme ça."
Michaud se voit à Hamilton en 2005-2006. Mais encore une fois, la compétition sera vive pour le seul poste disponible. Le Canadien a en effet une entente avec les Oilers qui enverront un gardien chez les Bulldogs. Michaud, 22 ans, devra donc s'imposer devant Jaroslav Halak qui a terminé son stage junior. Danis pourrait également retourner à Hamilton si jamais le Canadien décide d'embaucher un gardien d'expérience pour seconder José Théodore.
Vendredi 16 septembre 2005 - (PC) - Olivier Michaud a pris part à son premier match simulé vendredi. Le gardien de Beloeil a concédé trois buts après avoir remplacé Yann Danis devant le filet des Rouges.
"J'aimerais revoir le deuxième but, a-t-il dit. Je me tenais trop profondément dans le filet."
Le défenseur Mark Streit l'a battu d'un tir d'une quinzaine de pieds alors qu'il fonçait au filet. Steve Bégin et Peter Vandermeer l'ont également déjoué.
Michaud, on s'en souvient, a réalisé une entrée spectaculaire dans la Ligue nationale il y a quatre ans à l'âge de 18 ans. Rappelé d'urgence des Cataractes de Shawinigan, Michaud a disputé une période à Edmonton au cours de laquelle il a blanchi les Oilers sur 18 lancers. Malheureusement, la suite de sa carrière n'a pas été aussi brillante.
"J'ai mal commencé la saison suivante à Shawinigan. Puis quand j'ai eu 20 ans, j'ai joué quelques matchs à Hamilton avant de me retrouver dans la ECHL. Il y avait trop de gardiens à Hamilton. Heureusement, j'ai quand même pu profiter des conseils de Roland Melanson."
Le même scénario s'est répété la saison dernière alors qu'il a joué à Long Beach (ECHL).
"J'aurais préféré rester à Hamilton, dit-il. Mais la saison à Long Beach n'a pas été une perte de temps. J'ai surtout appris à me connaître. Ca m'a permis de mieux gérer mes émotions. J'ai appris à ne pas gaspiller mes énergies en demeurant plus calme, plus posé. Je risque moins de me brûler comme ça."
Michaud se voit à Hamilton en 2005-2006. Mais encore une fois, la compétition sera vive pour le seul poste disponible. Le Canadien a en effet une entente avec les Oilers qui enverront un gardien chez les Bulldogs. Michaud, 22 ans, devra donc s'imposer devant Jaroslav Halak qui a terminé son stage junior. Danis pourrait également retourner à Hamilton si jamais le Canadien décide d'embaucher un gardien d'expérience pour seconder José Théodore.
C'est bobépine ou bépine SVP
Le poste de Sundstrom est-il en danger?
Vendredi 16 septembre 2005 - (PC) - Bien des observateurs sont d'avis que le poste de Niklas Sundstrom est en danger compte tenu des nombreux jeunes qui cognent à la porte de l'équipe. Il n'en est rien s'il faut se fier aux propros que l'entraîneur Claude Julien a tenus après le match simulé de vendredi. Manifestement, Julien apprécie le Suédois qui devrait être de la formation lorsque le Canadien amorcera sa saison le 5 octobre à Boston.
"C'est un joueur intelligent qui possède de l'expérience, fait valoir Julien. Il fait plein de petites choses que l'amateur ne remarque pas toujours.
"C'est vrai qu'il n'est pas le plus rapide des patineurs, ajoute l'entraîneur. Mais il apporte un élément dont on a besoin. Il est solide défensivement, ce qui ne l'empêche pas de contribuer à l'attaque."
Selon Julien, bien des équipes mettraient la main sur Sundstrom s'il était disponible.
"Je sais qu'il intéresse des clubs", assure-t-il.
En retour de Jeff Hackett
Sundstrom est âgé de 30 ans. Il a été le premier choix des Rangers de New York et le huitième joueur réclamé au repêchage de 1993. On lui prédisait alors une belle carrière après de beaux succès obtenus en Suède dans un trio que complétaient Peter Forsberg et Markus Naslund dans les rangs juniors. Durant sa carrière, il a enregistré une seule saison de plus de 20 buts. C'était en 1996-1997 alors qu'il a marqué 24 buts. Il est ensuite passé aux Sharks de San Jose puis au Canadien le 23 janvier 2003 en retour de Jeff Hackett.
A Montréal, Sundstrom a marqué 13 buts et récolté 34 points en 99 matchs. Après l'élimination du Canadien par le Lightning de Tampa Bay au printemps 2004, la direction l'a récompensé en lui offrant un contrat de deux ans. Cette saison, son salaire sera de 988 000 $ US.
Au camp d'entraînement, Sundstrom évolue toujours en compagnie de Radek Bonk. Marcel Hossa complète généralement le trio. C'est dire qu'on le retrouvera dans le troisième trio et qu'il sera souvent opposé à la meilleure unité de l'adversaire
Vendredi 16 septembre 2005 - (PC) - Bien des observateurs sont d'avis que le poste de Niklas Sundstrom est en danger compte tenu des nombreux jeunes qui cognent à la porte de l'équipe. Il n'en est rien s'il faut se fier aux propros que l'entraîneur Claude Julien a tenus après le match simulé de vendredi. Manifestement, Julien apprécie le Suédois qui devrait être de la formation lorsque le Canadien amorcera sa saison le 5 octobre à Boston.
"C'est un joueur intelligent qui possède de l'expérience, fait valoir Julien. Il fait plein de petites choses que l'amateur ne remarque pas toujours.
"C'est vrai qu'il n'est pas le plus rapide des patineurs, ajoute l'entraîneur. Mais il apporte un élément dont on a besoin. Il est solide défensivement, ce qui ne l'empêche pas de contribuer à l'attaque."
Selon Julien, bien des équipes mettraient la main sur Sundstrom s'il était disponible.
"Je sais qu'il intéresse des clubs", assure-t-il.
En retour de Jeff Hackett
Sundstrom est âgé de 30 ans. Il a été le premier choix des Rangers de New York et le huitième joueur réclamé au repêchage de 1993. On lui prédisait alors une belle carrière après de beaux succès obtenus en Suède dans un trio que complétaient Peter Forsberg et Markus Naslund dans les rangs juniors. Durant sa carrière, il a enregistré une seule saison de plus de 20 buts. C'était en 1996-1997 alors qu'il a marqué 24 buts. Il est ensuite passé aux Sharks de San Jose puis au Canadien le 23 janvier 2003 en retour de Jeff Hackett.
A Montréal, Sundstrom a marqué 13 buts et récolté 34 points en 99 matchs. Après l'élimination du Canadien par le Lightning de Tampa Bay au printemps 2004, la direction l'a récompensé en lui offrant un contrat de deux ans. Cette saison, son salaire sera de 988 000 $ US.
Au camp d'entraînement, Sundstrom évolue toujours en compagnie de Radek Bonk. Marcel Hossa complète généralement le trio. C'est dire qu'on le retrouvera dans le troisième trio et qu'il sera souvent opposé à la meilleure unité de l'adversaire
C'est bobépine ou bépine SVP
"Higgins est solide dans les trois zones" - Claude Julien
Vendredi 16 septembre 2005 - (PC) - Il aura fallu trois jours de camp d'entraînement avant que l'attaque ait enfin le dessus sur la défense. Le trio de Chris Higgins, Saku Koivu et Alexander Perezhogin a été dominant dans la victoire de 7-3 des Blancs contre les Rouges, vendredi, au Sporplexe 4 Glaces de Pierrefonds. A chacune de leurs présences, ces trois joueurs ont su créer des occasions de marquer en exerçant un échec-avant soutenu.
Koivu et Higgins ont réussi un but chacun. Perezhogin a obtenu une passe après avoir repéré le défenseur Mark Streit qui fonçait au filet.
Solide dans les trois zones
Higgins entreprend sa troisième saison chez les professionnels après deux années à Hamilton, dans la Ligue américaine. La saison dernière, il a marqué 28 buts et récolté 51 points en 76 matchs. Premier choix du Tricolore en 2002, il possède un bon sens du jeu ainsi qu'un excellent coup de patins. Capable d'évoluer dans les deux sens de la patinoire, il est ce genre de joueur qu'un entraîneur aime avoir sous la main dans un troisième ou quatrième trio.
"Il est solide dans les trois zones, fait valoir Claude Julien. Je l'ai vu
À l'oeuvre durant le lock-out et il était souvent le meilleur joueur sur la patinoire. Il excelle dans toutes les facettes du jeu, en infériorité numérique, durant les jeux de puissance, à cinq contre cinq. Il est bon dans les coins de patinoire et ne craint pas de foncer au filet. C'est aussi un joueur intelligent qui sait prendre les bonnes décisions. Il a mérité la chance de gagner un poste à Montréal. Je dirais qu'il a de bonnes chances de rester."
Un taux de graisse de 7,5 p.c.
Higgins, qui fait six pieds et 192 libres, s'est présenté au camp dans une forme exemplaire. De tous les joueurs, il est celui qui a présenté le plus faible taux de graisse (7,5 pour cent). Cet été, il s'est entraîné chez lui dans l'état de New York en compagnie de son coéquipier Mike Komisarek et deux membres des Islanders de New York, Jason Blake et Rick DiPietro.
Higgins se dit chanceux de compléter un trio avec Koivu et Perezhogin.
"Ils ont beaucoup de talent. Je n'ai qu'à me démarquer pour recevoir la rondelle."
Ce n'est pas la première fois qu'il a l'occasion de faire partie du même trio que Perezhogin. Les deux joueurs ont joué ensemble à Hamilton en 2003-2004.
"Nous avons joué une vingtaine de matchs. Il y avait une belle complicité entre nous."
Higgins se définit comme un joueur sur lequel un entraîneur peut compter.
"J'aime jouer dans la dernière minute d'une rencontre. J'apporte aussi de l'énergie à l'équipe en travaillant fort, surtout dans les coins.
"Je veux être reconnu comme un joueur complet. C'est pourquoi j'aime jouer avec des joueurs intelligents", insiste l'ailier gauche âgé de 22 ans.
Le défenseur Kevin Lavallée, Richard Zednik, Steve Bégin et Pete Vandermeer ont réussi les autres buts des Blancs.
Sheldon Souray, Marcel Hossa et Mike Ribeiro ont inscrit ceux des Rouges
Vendredi 16 septembre 2005 - (PC) - Il aura fallu trois jours de camp d'entraînement avant que l'attaque ait enfin le dessus sur la défense. Le trio de Chris Higgins, Saku Koivu et Alexander Perezhogin a été dominant dans la victoire de 7-3 des Blancs contre les Rouges, vendredi, au Sporplexe 4 Glaces de Pierrefonds. A chacune de leurs présences, ces trois joueurs ont su créer des occasions de marquer en exerçant un échec-avant soutenu.
Koivu et Higgins ont réussi un but chacun. Perezhogin a obtenu une passe après avoir repéré le défenseur Mark Streit qui fonçait au filet.
Solide dans les trois zones
Higgins entreprend sa troisième saison chez les professionnels après deux années à Hamilton, dans la Ligue américaine. La saison dernière, il a marqué 28 buts et récolté 51 points en 76 matchs. Premier choix du Tricolore en 2002, il possède un bon sens du jeu ainsi qu'un excellent coup de patins. Capable d'évoluer dans les deux sens de la patinoire, il est ce genre de joueur qu'un entraîneur aime avoir sous la main dans un troisième ou quatrième trio.
"Il est solide dans les trois zones, fait valoir Claude Julien. Je l'ai vu
À l'oeuvre durant le lock-out et il était souvent le meilleur joueur sur la patinoire. Il excelle dans toutes les facettes du jeu, en infériorité numérique, durant les jeux de puissance, à cinq contre cinq. Il est bon dans les coins de patinoire et ne craint pas de foncer au filet. C'est aussi un joueur intelligent qui sait prendre les bonnes décisions. Il a mérité la chance de gagner un poste à Montréal. Je dirais qu'il a de bonnes chances de rester."
Un taux de graisse de 7,5 p.c.
Higgins, qui fait six pieds et 192 libres, s'est présenté au camp dans une forme exemplaire. De tous les joueurs, il est celui qui a présenté le plus faible taux de graisse (7,5 pour cent). Cet été, il s'est entraîné chez lui dans l'état de New York en compagnie de son coéquipier Mike Komisarek et deux membres des Islanders de New York, Jason Blake et Rick DiPietro.
Higgins se dit chanceux de compléter un trio avec Koivu et Perezhogin.
"Ils ont beaucoup de talent. Je n'ai qu'à me démarquer pour recevoir la rondelle."
Ce n'est pas la première fois qu'il a l'occasion de faire partie du même trio que Perezhogin. Les deux joueurs ont joué ensemble à Hamilton en 2003-2004.
"Nous avons joué une vingtaine de matchs. Il y avait une belle complicité entre nous."
Higgins se définit comme un joueur sur lequel un entraîneur peut compter.
"J'aime jouer dans la dernière minute d'une rencontre. J'apporte aussi de l'énergie à l'équipe en travaillant fort, surtout dans les coins.
"Je veux être reconnu comme un joueur complet. C'est pourquoi j'aime jouer avec des joueurs intelligents", insiste l'ailier gauche âgé de 22 ans.
Le défenseur Kevin Lavallée, Richard Zednik, Steve Bégin et Pete Vandermeer ont réussi les autres buts des Blancs.
Sheldon Souray, Marcel Hossa et Mike Ribeiro ont inscrit ceux des Rouges
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Les billets s'envolent
Samedi 17 septembre 2005 - MONTREAL (PC) -- Plus de 500 amateurs de hockey faisaient la file, ce matin, pour se procurer des billets pour les matchs du Canadien à domicile.
Les billets des 41 matchs de la saison régulière ont officiellement été mis en vente pour le grand public, à 10 heures, à la billetterie du Centre Bell.
Certains faisaient la file depuis 6 heures ce matin malgré le temps maussade. D'autres avaient apporté leur chaise.
Sur place, on pouvait apercevoir en majorité des jeunes et des étudiants qui souhaitaient aussi profiter de certains rabais.
Plusieurs portaient fièrement leur chandail du Canadien.
Le réseau NTR a interrogé plusieurs d'entre eux. La majorité souhaitaient obtenir des billets pour les parties opposant le Tricolore aux Penguins de Pittsburgh et la jeune coqueluche Sidney Crosby.
Plusieurs espéraient aussi voir le match d'ouverture contre Ottawa.
Samedi 17 septembre 2005 - MONTREAL (PC) -- Plus de 500 amateurs de hockey faisaient la file, ce matin, pour se procurer des billets pour les matchs du Canadien à domicile.
Les billets des 41 matchs de la saison régulière ont officiellement été mis en vente pour le grand public, à 10 heures, à la billetterie du Centre Bell.
Certains faisaient la file depuis 6 heures ce matin malgré le temps maussade. D'autres avaient apporté leur chaise.
Sur place, on pouvait apercevoir en majorité des jeunes et des étudiants qui souhaitaient aussi profiter de certains rabais.
Plusieurs portaient fièrement leur chandail du Canadien.
Le réseau NTR a interrogé plusieurs d'entre eux. La majorité souhaitaient obtenir des billets pour les parties opposant le Tricolore aux Penguins de Pittsburgh et la jeune coqueluche Sidney Crosby.
Plusieurs espéraient aussi voir le match d'ouverture contre Ottawa.
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Ryder absent dimanche
Samedi 17 septembre 2005 - (RDS.ca) - L'attaquant du Canadien Michael Ryder souffre d'une entorse à la cheville droite et il sera absent lors du premier match préparatoire de l'équipe dimanche au Centre Bell face aux Thrashers d'Atlanta.
Il s'est blessé lors de l'entraînement vendredi.
Il sera remplacé dans la formation par l'homme fort Raitis Ivanans.
Les gardiens Carey Price, premier choix du Tricolore au dernier repêchage, et Yann Dannis seront en uniforme face aux Thrashers.
Samedi 17 septembre 2005 - (RDS.ca) - L'attaquant du Canadien Michael Ryder souffre d'une entorse à la cheville droite et il sera absent lors du premier match préparatoire de l'équipe dimanche au Centre Bell face aux Thrashers d'Atlanta.
Il s'est blessé lors de l'entraînement vendredi.
Il sera remplacé dans la formation par l'homme fort Raitis Ivanans.
Les gardiens Carey Price, premier choix du Tricolore au dernier repêchage, et Yann Dannis seront en uniforme face aux Thrashers.
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