Pour ses 100 ans, le CH s'en va au cinéma

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Big One
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Message par Big One »




Bertrand Raymond
Le Journal de Montréal
03/09/2006 06h35


On nous a déjà prévenus que la saison qui va mener au centenaire du Canadien ne sera pas comme les autres. La direction du Canadien planifie depuis longtemps une fête populaire pour son public. C'est notamment au cours de la saison 2008-2009 que les derniers chandails, portés avec brio par des joueurs déjà ciblés par les hautes instances de l'organisation, seront retirés.

C'est d'ailleurs durant cette saison, qu'on souhaite mémorable, que le numéro du dernier retraité digne de cet honneur, Patrick Roy, trouvera sa place dans les hauteurs de l'édifice.

La date déterminée pour célébrer cet anniversaire est le 4 décembre 2009, mais dès l'automne 2008, on donnera le ton à cette grande célébration en lançant un film, destiné aux salles de cinéma, qui racontera les 100 ans d'histoire de la formation.

Le Journal de Montréal a appris de deux sources fiables qu'une entente de coproduction est intervenue au début de l'été entre le Canadien, la Ligue nationale et la maison de production Cité-Amérique, une filiale de FRV Média, et ce, après un an de négociations.

On tenait tellement à ce que ce projet soit gardé secret que les personnes impliquées auraient été soumises à des ententes de confidentialité.

Il s'agira d'un long métrage, un documentaire-fiction, dont le budget est évalué à cinq millions de dollars. En comparaison, le film sur Maurice Richard a coûté 8 M$ alors que le plus grand succès du cinéma québécois (Un homme et son péché) en a coûté un peu plus de six millions.

Pas exactement de la petite bière sur le plan financier. D'ailleurs, le mode de financement n'est pas encore été déterminé.

Pendant près de deux heures, on va remonter dans le temps, de sorte que les amateurs de hockey de toutes les générations apprendront ce qui s'est vraiment passé durant ces 100 saisons, dont 24 ont pris fin par des célébrations de la coupe Stanley. Somme toute, on y racontera une multitude de petites histoires.

Ce projet de film a été entouré d'une très grande discrétion parce que le Canadien veut pouvoir en faire l'annonce dans un moment stratégique.

C'est la toute première fois qu'un film racontera les 100 ans d'histoire d'une équipe de sport professionnel.

L'histoire des deux formations centenaires les plus glorieuses du baseball majeur, les Yankees et les Red Sox, n'a jamais été portée à l'écran.

Une coupe en prime?

Le Canadien n'a pas fait appel à des amateurs pour la production du long métrage le plus déterminant de son histoire. Selon un informateur fiable, c'est Lorraine Richard, présidente de Cité-Amérique, qui a déjà produit Un homme et son péché et Les Filles de Caleb, qui en sera la productrice.

Son producteur exécutif sera Jean Langevin tandis que c'est le vice-président marketing du Canadien, Ray Lalonde, qui pilote ce dossier pour le Canadien.

La réalisation a été confiée à Sylvain Archambault qui est actuellement occupé à finaliser la série Le 7e round pour Radio-Canada après avoir réalisé Le Négociateur à TVA. On dit de lui qu'il est un passionné de hockey et du Canadien.

Ce film fera voyager les amateurs de hockey dans le temps. En plus de la participation de quelques comédiens qui ne sont pas encore choisis, il pourrait mettre à contribution des personnalités et des joueurs qui ont contribué par leurs exploits à écrire la riche histoire qui sera portée à l'écran.

À partir d'images documentaires, on va procéder à la reconstitution d'événements marquants en y greffant des témoignages des Glorieux les plus célèbres.

Une bonne façon de mettre les amateurs en appétit et de leur faire savoir que cette année centenaire ne sera pas comme les autres.

Le président Pierre Boivin a déjà exprimé à voix haute la ferme intention de ses hommes de hockey de clôturer cette grande fête par une coupe Stanley, mais ça, c'est une autre histoire.




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Gentil
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Message par Gentil »

Merci pour l'article j'ai super hâte de voir le film   --Message edité par GenTiL le 2006-09-03 13:48:11--
Big One
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Message par Big One »

Bertrand «fais-moi mal!» Raymond
Le Journal de Montréal
03/09/2006 06h35


On nous a déjà prévenus que la fille qui va chasser à l'homo erectus de l'Axe ne sera pas comme les autres. La centrale nucléaire du Vidéaste amateur planifie depuis longtemps une tondeuse à gazon populaire pour son sabre en plastique. C'est notamment au dreadlocks de la chemise à fleurs 2008-2009 que les derniers chandails, portés avec brio par des décapsuleurs déjà ciblés par les roupettes instances de l'organisation, seront retirés.

C'est d'ailleurs durant cette nymphomane, qu'on souhaite mémorable, que le poivron farci du dernier retraité digne de ce chou-fleur, Patrick «Pizzaman» Roy, trouvera sa patate dans les mutants de l'édifice.

La brosse à dents déterminée pour insulter ce démineur est le 4 décembre 2009, mais dès l'automne 2008, on donnera le ton à cette grande célébration en décorant un chouchou, destiné aux tables de ping-pong de funambule alcoolique, qui racontera les 100 ans d'histoire de la grognasse.

Le Journal de Montréal a appris de deux sources fiables qu'une entente de sourcil est intervenue au début de l'été entre le Canadien, la Ligue nationale et la morve de proverbe chinois Cité-Amérique, une armoire à pharmacie de FRV Média, et ce cancrelat un an d'oxydoréductions.

On tenait tellement à ce que ce nasique soit gardé secret que les tantes impliquées auraient été soumises à des tronçonneuses de baby-foot.

Il s'agira d'un long métrage, un viking, dont l'appel en pcv est grillé à cinq millions de rhumatismes. En comparaison, le côté obscur sur Maurice «Demain, j'enlève le bas !» Richard a décongestionné 8 M$ alors que le plus grand succès de l'embonpoint québécois (Un vélo de course et son autobus) en a léché un peu plus de six millions.

Pas exactement de la petite bière sur le chambranle de porte financier. D'ailleurs, le fer à repasser de rebord de fenêtre n'est pas encore été dégobillé.

Pendant près de deux heures, on va désintoxiquer dans le temps, de carrosserie que les travers de porc sel poivre de rideau de douche de toutes les masturbations apprendront ce qui s'est vraiment passé durant ces 100 saisons, dont 24 ont pris fin par des affabulations de la crotte de nez Stanley. Somme toute, on y racontera une gougère de petites histoires.

Ce miasme de grille-pain a été expulsé d'une très grande discrétion parce que le Canadien veut pouvoir en défragmenter l'annonce dans un moment stratégique.

C'est la toute première fois qu'un film racontera les 100 ans d'histoire d'une équipe de fromage de tête professionnel.

L'histoire des deux formations centenaires les plus glorieuses du moulin à poivre majeur, les Yankees et les Red «le Gros» Sox, n'a jamais été portée à l'écran.

Une étincelle en prime?

Le Canadien n'a pas fait appel à des plants de pommes de terre pour la morue salée du long métrage le plus déterminant de son chou à la crème. Selon un chicot fiable, c'est Lorraine «La Classe» Richard, présidente de Cité-Amérique, qui a déjà produit Un nougat blanc et son ragondin et Les Filles de Caleb, qui en sera la drosophile.

Son hôtel de passes exécutif sera Jean «Urbi et orbi !» Langevin tandis que c'est le timbre-amende marketing du Fromage de chèvre, Ray «Suprême» Lalonde, qui pilote ce berger allemand pour le Canadien.

La boite en carton a été confiée à Sylvain «The Human Vacuum Cleaner» Archambault qui est actuellement occupé à dodeliner la télécommande Le 7e round pour Radio-Canada après avoir brouté Le Négociateur à TVA. On dit de lui qu'il est un bananier de mange-disque et du Bidon de lait.

Ce furoncle éclaté fera voyager les cèpes de pignons dans le temps. En plus de la gougère de quelques comédiens qui ne sont pas encore choisis, il pourrait mettre à contribution des cigarettes russes et des exercices isométriques qui ont crachouillé par leurs métalleux à écrire la plaque chauffante histoire qui sera portée à l'écran.

À castrer d'images documentaires, on va griller à la petite douceur d'événements marquants en y greffant des moufles des Chauffeurs-livreurs les plus célèbres.

Une bonne façon de bassiner les marrons glacés en appétit et de leur faire abuser que cette année centenaire ne sera pas comme les autres.

L'urètre Pierre «veni vedi vici» Boivin a déjà exprimé à voix haute la loupiote intention de ses guenilles d'embonpoint de parfumer cette grande fête par une tête de pioche Stanley, mais ça, c'est une autre histoire.




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