Koivu voulait-il de Brière?
enis Gauthier, Simon Gagné, Martin Biron... C'est bien connu, les amis ont pesé lourd dans la balance pour motiver le choix de Daniel Brière, qui a choisi Philadelphie plutôt que Montréal. Mais il y a plus.
Le petit attaquant est clair. « Je joue au hockey pour gagner la Coupe Stanley. Si je suis capable d'aider mon équipe et que les gens sont reconnaissants de mon travail, tant mieux », a rappelé Brière, en entrevue à Radio-Canada Sports.
Reconnaître son travail. Certes, le public montréalais aurait été ravi par les performances de Brière, qui s'est révélé comme un des meilleurs attaquants de la LNH au cours des deux dernières saisons. Mais il semble mal à l'aise avec la portée qu'auraient pu prendre ses exploits, dans un contexte où Montréal semble attendre un joueur québécois d'impact.
« Si tu t'en vas là (à Montréal) pour être un héros national, si tu y vas pour être la vedette, tu y vas pour les mauvaises raisons », a confié Brière.
Difficile de ne pas donner raison à Brière, dans une ville où la lune de miel entre un athlète et les partisans peut parfois être de courte durée. Un joueur comme Alex Kovalev, envers qui les partisans du Canadien entretenaient de grandes attentes, s'est vite retrouvé en proie aux critiques.
La réalité de la vie de joueur de hockey étant ce qu'elle est, Brière juge plutôt qu'il est important d'être bien entouré, afin de garder le moral. « Pendant la saison, je passe plus de temps avec les joueurs qu'avec ma propre famille, donc c'est important d'être dans un bon groupe. »
Il ne reste plus qu'à voir si le climat convivial dans lequel il évoluera à Philadelphie se traduira en résultats concrets sur la glace. Après une saison de 95 points, la marche est haute...
Le petit attaquant est clair. « Je joue au hockey pour gagner la Coupe Stanley. Si je suis capable d'aider mon équipe et que les gens sont reconnaissants de mon travail, tant mieux », a rappelé Brière, en entrevue à Radio-Canada Sports.
Reconnaître son travail. Certes, le public montréalais aurait été ravi par les performances de Brière, qui s'est révélé comme un des meilleurs attaquants de la LNH au cours des deux dernières saisons. Mais il semble mal à l'aise avec la portée qu'auraient pu prendre ses exploits, dans un contexte où Montréal semble attendre un joueur québécois d'impact.
« Si tu t'en vas là (à Montréal) pour être un héros national, si tu y vas pour être la vedette, tu y vas pour les mauvaises raisons », a confié Brière.
Difficile de ne pas donner raison à Brière, dans une ville où la lune de miel entre un athlète et les partisans peut parfois être de courte durée. Un joueur comme Alex Kovalev, envers qui les partisans du Canadien entretenaient de grandes attentes, s'est vite retrouvé en proie aux critiques.
La réalité de la vie de joueur de hockey étant ce qu'elle est, Brière juge plutôt qu'il est important d'être bien entouré, afin de garder le moral. « Pendant la saison, je passe plus de temps avec les joueurs qu'avec ma propre famille, donc c'est important d'être dans un bon groupe. »
Il ne reste plus qu'à voir si le climat convivial dans lequel il évoluera à Philadelphie se traduira en résultats concrets sur la glace. Après une saison de 95 points, la marche est haute...
Vive l,hiver !!!
LaChose a écritenis Gauthier, Simon Gagné, Martin Biron... C'est bien connu, les amis ont pesé lourd dans la balance pour motiver le choix de Daniel Brière, qui a choisi Philadelphie plutôt que Montréal. Mais il y a plus.
Le petit attaquant est clair. « Je joue au hockey pour gagner la Coupe Stanley. Si je suis capable d'aider mon équipe et que les gens sont reconnaissants de mon travail, tant mieux », a rappelé Brière, en entrevue à Radio-Canada Sports.
Reconnaître son travail. Certes, le public montréalais aurait été ravi par les performances de Brière, qui s'est révélé comme un des meilleurs attaquants de la LNH au cours des deux dernières saisons. Mais il semble mal à l'aise avec la portée qu'auraient pu prendre ses exploits, dans un contexte où Montréal semble attendre un joueur québécois d'impact.
« Si tu t'en vas là (à Montréal) pour être un héros national, si tu y vas pour être la vedette, tu y vas pour les mauvaises raisons », a confié Brière.
Difficile de ne pas donner raison à Brière, dans une ville où la lune de miel entre un athlète et les partisans peut parfois être de courte durée. Un joueur comme Alex Kovalev, envers qui les partisans du Canadien entretenaient de grandes attentes, s'est vite retrouvé en proie aux critiques.
La réalité de la vie de joueur de hockey étant ce qu'elle est, Brière juge plutôt qu'il est important d'être bien entouré, afin de garder le moral. « Pendant la saison, je passe plus de temps avec les joueurs qu'avec ma propre famille, donc c'est important d'être dans un bon groupe. »
Il ne reste plus qu'à voir si le climat convivial dans lequel il évoluera à Philadelphie se traduira en résultats concrets sur la glace. Après une saison de 95 points, la marche est haute...
La pression lui a fait peur
Si il avait joué a Montréal il aurait passé autant de temps avec sa famille qu'avec les joueurs
Le petit attaquant est clair. « Je joue au hockey pour gagner la Coupe Stanley. Si je suis capable d'aider mon équipe et que les gens sont reconnaissants de mon travail, tant mieux », a rappelé Brière, en entrevue à Radio-Canada Sports.
Reconnaître son travail. Certes, le public montréalais aurait été ravi par les performances de Brière, qui s'est révélé comme un des meilleurs attaquants de la LNH au cours des deux dernières saisons. Mais il semble mal à l'aise avec la portée qu'auraient pu prendre ses exploits, dans un contexte où Montréal semble attendre un joueur québécois d'impact.
« Si tu t'en vas là (à Montréal) pour être un héros national, si tu y vas pour être la vedette, tu y vas pour les mauvaises raisons », a confié Brière.
Difficile de ne pas donner raison à Brière, dans une ville où la lune de miel entre un athlète et les partisans peut parfois être de courte durée. Un joueur comme Alex Kovalev, envers qui les partisans du Canadien entretenaient de grandes attentes, s'est vite retrouvé en proie aux critiques.
La réalité de la vie de joueur de hockey étant ce qu'elle est, Brière juge plutôt qu'il est important d'être bien entouré, afin de garder le moral. « Pendant la saison, je passe plus de temps avec les joueurs qu'avec ma propre famille, donc c'est important d'être dans un bon groupe. »
Il ne reste plus qu'à voir si le climat convivial dans lequel il évoluera à Philadelphie se traduira en résultats concrets sur la glace. Après une saison de 95 points, la marche est haute...
La pression lui a fait peur
Si il avait joué a Montréal il aurait passé autant de temps avec sa famille qu'avec les joueurs
C'est bobépine ou bépine SVP
Le vendredi 07 septembre 2007
Mathias Brunet
La Presse
Daniel Brière a opté pour Philadelphie plutôt que Montréal parce que Bob Gainey n'a pas voulu lui garantir une place au centre du premier trio.
Cette version, encore inconnue du public, a été confirmée, hier, à La Presse par deux sources bien au fait du dossier.
Deux semaines avant l'ouverture du marché des joueurs autonomes, Brière, l'un des agents libres les plus convoités en vertu de ses 95 points la saison précédente, commence à songer plus sérieusement à se joindre au Canadien.
D'autant plus que les Sabres semblent un peu mous dans leur approche.
Brière pose des questions à son entourage, et à des collègues de la LNH.
À quelques heures du début de la chasse aux joueurs autonomes, l'attaquant a trois équipes en tête, mais il sait qu'il entend surtout privilégier deux clubs, le Canadien et les Flyers. L'argent n'est pas un facteur pour lui, parce qu'il sait que l'offre de contrat sera de toute façon intéressante.
Le marché s'ouvre. Première conversation avec Bob Gainey. Le DG du Tricolore manifeste un intérêt vif. Parle, parle, jase, jase.
«Si vous l'embauchez, demande l'agent de Brière, Pat Brisson, il se passe quoi après? Avez-vous des plans pour continuer à améliorer l'équipe?»
Gainey est honnête avec Brisson. Il lui répond qu'il n'entend pas embaucher d'autre tête d'affiche si Brière se joint à l'équipe, que ses emplettes seraient terminées.
Premier hic pour le clan Brière, mais pas assez pour écarter Montréal. Appel à Philadelphie. Brisson pose la même question au DG des Flyers, Paul Holmgren.
«Nous travaillons là-dessus. Nous sommes sur le point d'acquérir Joffrey Lupul et Jason Smith, des Oilers. Le tout devrait se concrétiser sous peu.»
À ce stade-ci, les offres se ressemblent, mais le CH offre un peu plus d'argent.
Brisson rappelle Gainey. Les questions deviennent plus précises.
«Si vous faites signer Daniel, avec qui entendez-vous le faire jouer?»
Le clan Brière estime que lorsqu'un club est prêt à investir plus de 53 millions pour un joueur, c'est une question bien légitime.
«Avec qui Daniel veut-il jouer?», demande Gainey.
On répond à Gainey que Brière ne détesterait pas Chris Higgins à gauche, un ailier rapide qui a du chien, et Michael Ryder à droite, un marqueur-né qui vient de connaître deux saisons consécutives de plus de 30 buts. Brière estime qu'il pourrait s'agir d'une excellente combinaison, d'autant plus qu'il est un bon passeur.
Gainey rétorque que ça ne sera pas possible, que l'équipe ne veut pas démembrer son premier trio piloté par le capitaine Saku Koivu.
Quand Brisson raccroche, Brière, qui commençait sérieusement à rêver au CH, qui a grandi en admirant les prouesses des vedettes du Tricolore, dont Gainey et Carbonneau, perd ses illusions.
C'est à ce moment précis que le revirement de dernière minute auquel faisait allusion le propriétaire George Gillett, récemment, se produit.
Brisson loge alors un autre appel à Philadelphie et, une fois de plus, pose la même question à Paul Holmgren.
Le DG des Flyers répond du tac au tac.
«Daniel pourra jouer avec qui il veut. J'avais pensé à Simon Gagné à gauche et à Mike Knuble à droite, mais la décision lui appartient.»
Dès lors, il n'y avait plus qu'un club dans la course, et ce n'était plus le Canadien...
Mathias Brunet
La Presse
Daniel Brière a opté pour Philadelphie plutôt que Montréal parce que Bob Gainey n'a pas voulu lui garantir une place au centre du premier trio.
Cette version, encore inconnue du public, a été confirmée, hier, à La Presse par deux sources bien au fait du dossier.
Deux semaines avant l'ouverture du marché des joueurs autonomes, Brière, l'un des agents libres les plus convoités en vertu de ses 95 points la saison précédente, commence à songer plus sérieusement à se joindre au Canadien.
D'autant plus que les Sabres semblent un peu mous dans leur approche.
Brière pose des questions à son entourage, et à des collègues de la LNH.
À quelques heures du début de la chasse aux joueurs autonomes, l'attaquant a trois équipes en tête, mais il sait qu'il entend surtout privilégier deux clubs, le Canadien et les Flyers. L'argent n'est pas un facteur pour lui, parce qu'il sait que l'offre de contrat sera de toute façon intéressante.
Le marché s'ouvre. Première conversation avec Bob Gainey. Le DG du Tricolore manifeste un intérêt vif. Parle, parle, jase, jase.
«Si vous l'embauchez, demande l'agent de Brière, Pat Brisson, il se passe quoi après? Avez-vous des plans pour continuer à améliorer l'équipe?»
Gainey est honnête avec Brisson. Il lui répond qu'il n'entend pas embaucher d'autre tête d'affiche si Brière se joint à l'équipe, que ses emplettes seraient terminées.
Premier hic pour le clan Brière, mais pas assez pour écarter Montréal. Appel à Philadelphie. Brisson pose la même question au DG des Flyers, Paul Holmgren.
«Nous travaillons là-dessus. Nous sommes sur le point d'acquérir Joffrey Lupul et Jason Smith, des Oilers. Le tout devrait se concrétiser sous peu.»
À ce stade-ci, les offres se ressemblent, mais le CH offre un peu plus d'argent.
Brisson rappelle Gainey. Les questions deviennent plus précises.
«Si vous faites signer Daniel, avec qui entendez-vous le faire jouer?»
Le clan Brière estime que lorsqu'un club est prêt à investir plus de 53 millions pour un joueur, c'est une question bien légitime.
«Avec qui Daniel veut-il jouer?», demande Gainey.
On répond à Gainey que Brière ne détesterait pas Chris Higgins à gauche, un ailier rapide qui a du chien, et Michael Ryder à droite, un marqueur-né qui vient de connaître deux saisons consécutives de plus de 30 buts. Brière estime qu'il pourrait s'agir d'une excellente combinaison, d'autant plus qu'il est un bon passeur.
Gainey rétorque que ça ne sera pas possible, que l'équipe ne veut pas démembrer son premier trio piloté par le capitaine Saku Koivu.
Quand Brisson raccroche, Brière, qui commençait sérieusement à rêver au CH, qui a grandi en admirant les prouesses des vedettes du Tricolore, dont Gainey et Carbonneau, perd ses illusions.
C'est à ce moment précis que le revirement de dernière minute auquel faisait allusion le propriétaire George Gillett, récemment, se produit.
Brisson loge alors un autre appel à Philadelphie et, une fois de plus, pose la même question à Paul Holmgren.
Le DG des Flyers répond du tac au tac.
«Daniel pourra jouer avec qui il veut. J'avais pensé à Simon Gagné à gauche et à Mike Knuble à droite, mais la décision lui appartient.»
Dès lors, il n'y avait plus qu'un club dans la course, et ce n'était plus le Canadien...
Vive l,hiver !!!
La pression n'a rien à voir dans ça je crois... Il est allé avec la meilleur équipe et voilà tout. Brière est un joueur offensif et là il avait le choix entre jouer avec Gagné dans un système de jeu offenif ou de jouer avec Ryder le mangeux de puck dans un système défensif de plombiers garocheurs de rondelle dans les coins... Le choix était simple, je me demande même pourquoi il a autant considéré le canadien...
De toute façon les Canadiens (comme les autres équipes de la ligue) n'ont rien voulu savoir de lui il y a quelques années lorsqu'il était tombé au ballotage et maintenant qu'il est rendu une vedette on le voudrait? Ben oui, c'est ça! Il a très bien fait d'aller jouer à Philadelphie! Le Canadiens n'a que ce qu'il mérite!
Je t'aime Pinklily <3
Yautja88 a écritDe toute façon les Canadiens (comme les autres équipes de la ligue) n'ont rien voulu savoir de lui il y a quelques années lorsqu'il était tombé au ballotage et maintenant qu'il est rendu une vedette on le voudrait? Ben oui, c'est ça! Il a très bien fait d'aller jouer à Philadelphie! Le Canadiens n'a que ce qu'il mérite!
Il doit tu être fier le ti Briére!! Et avec raison!! Après avoir été ignoré de la sorte.
Il doit tu être fier le ti Briére!! Et avec raison!! Après avoir été ignoré de la sorte.
Vive l,hiver !!!
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- Manitou de la Parlotte
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- Inscription : lun. mars 26, 2007 12:00 am
Il n est meme pas a Montreal et certain média sont entreint de le crucifier imaginez vous 5 a 6 games sans compter un but , ils voudrait l échanger toute suite car la on dirait qu il est rop payé........Alors bravo a Briere pour son choix logique..........
Seulement que 1 raison parmis tant d autre pour ne pas venir a Montreal............
Seulement que 1 raison parmis tant d autre pour ne pas venir a Montreal............
Son Excellence a écritIl n est meme pas a Montreal et certain média sont entreint de le crucifier imaginez vous 5 a 6 games sans compter un but , ils voudrait l échanger toute suite car la on dirait qu il est rop payé........Alors bravo a Briere pour son choix logique..........
Seulement que 1 raison parmis tant d autre pour ne pas venir a Montreal............
Il est mieux de connaitre un bon début de saison a Philly itou....car les journalistes de la-bas ne sont peut-être pas comme ceux de Mourial...mais il donnent pas leur place non plus
Seulement que 1 raison parmis tant d autre pour ne pas venir a Montreal............
Il est mieux de connaitre un bon début de saison a Philly itou....car les journalistes de la-bas ne sont peut-être pas comme ceux de Mourial...mais il donnent pas leur place non plus
C'est bobépine ou bépine SVP
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