-F1 Saison 2009-
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- Seigneur de la Causerie
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C'est Jenson Button qui était en piste hier à Monza pour conclure le programme de l'équipe Honda. Le Britannique a été le plus lent de tous hier et il n'est bien sûr pas le plus heureux des hommes.
"Cette semaine a été très utile pour la préparation des deux prochaines courses" affirme Jenson Button - "Nous avons travaillé sur les configurations aérodynamiques nécessaires pour Spa et Monza et nous avons aussi évalué les différents pneumatiques."
"Bien que nous ayons progressé, la voiture n'est pas aussi bien équilibrée que nous l'aimerions, surtout ici à Monza. Il nous faut maintenant analyser les données afin de progresser avec le week-end de course" ajoute Jenson.
Barrichello a lui aussi quelques réserves à faire sur sa monoplace. "Nous nous sommes concentrés sur les configurations aérodynamiques pour Spa et Monza cette semaine. Nous avons aussi tenté de bien équilibrer la voiture, mais il nous reste encore à travailler sur les performances. Nous avons aussi testé les deux types de pneumatiques qui nous seront proposés par Bridgestone pour ces courses. Nous avons aussi positivement travaillé sur les freins."
Monza 29/08/08
1 . L.
Hamilton - McLaren Mercedes MP4-23 - 1'22"967 - 97 tours
2 . K. Raikkonen - Ferrari F2008 - 1'23"371 (+ 0"404 ) - 79 tours
3 . G. Fisichella - Force India Ferrari VJM01 - 1'23"632 (+ 0"665 ) - 114 tours
4 . K. Nakajima - Williams Toyota FW30 - 1'23"634 (+ 0"667 ) - 99 tours
5 . D. Coulthard - Red Bull Renault RB4 - 1'23"737 (+ 0"770 ) - 120 tours
6 . F. Alonso - Renault R28 - 1'23"820 (+ 0"853 ) - 80 tours
7 . S. Bourdais - Toro Rosso Ferrari STR3 - 1'23"865 (+ 0"898 ) - 77 tours
8 . T. Glock - Toyota TF108 - 1'23"897 (+ 0"930 ) - 79 tours
9 . R. Kubica - BMW Sauber F1.08 - 1'24"089 (+ 1"122 ) - 56 tours
10 . J. Button - Honda RA108 - 1'24"321 (+ 1"354 ) - 96 tours
"Cette semaine a été très utile pour la préparation des deux prochaines courses" affirme Jenson Button - "Nous avons travaillé sur les configurations aérodynamiques nécessaires pour Spa et Monza et nous avons aussi évalué les différents pneumatiques."
"Bien que nous ayons progressé, la voiture n'est pas aussi bien équilibrée que nous l'aimerions, surtout ici à Monza. Il nous faut maintenant analyser les données afin de progresser avec le week-end de course" ajoute Jenson.
Barrichello a lui aussi quelques réserves à faire sur sa monoplace. "Nous nous sommes concentrés sur les configurations aérodynamiques pour Spa et Monza cette semaine. Nous avons aussi tenté de bien équilibrer la voiture, mais il nous reste encore à travailler sur les performances. Nous avons aussi testé les deux types de pneumatiques qui nous seront proposés par Bridgestone pour ces courses. Nous avons aussi positivement travaillé sur les freins."
Monza 29/08/08
1 . L.
Hamilton - McLaren Mercedes MP4-23 - 1'22"967 - 97 tours
2 . K. Raikkonen - Ferrari F2008 - 1'23"371 (+ 0"404 ) - 79 tours
3 . G. Fisichella - Force India Ferrari VJM01 - 1'23"632 (+ 0"665 ) - 114 tours
4 . K. Nakajima - Williams Toyota FW30 - 1'23"634 (+ 0"667 ) - 99 tours
5 . D. Coulthard - Red Bull Renault RB4 - 1'23"737 (+ 0"770 ) - 120 tours
6 . F. Alonso - Renault R28 - 1'23"820 (+ 0"853 ) - 80 tours
7 . S. Bourdais - Toro Rosso Ferrari STR3 - 1'23"865 (+ 0"898 ) - 77 tours
8 . T. Glock - Toyota TF108 - 1'23"897 (+ 0"930 ) - 79 tours
9 . R. Kubica - BMW Sauber F1.08 - 1'24"089 (+ 1"122 ) - 56 tours
10 . J. Button - Honda RA108 - 1'24"321 (+ 1"354 ) - 96 tours
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Contraint à l’abandon sur ses terres, dès le premier tour du Grand Prix d’Europe à Valencia - Fernando Alonso espère connaître un meilleur sort à Spa Francorchamps.
Après deux abandons – en 2001 et 2004 – l’Espagnol y a pris la 2ème place en 2005 et terminé sur la troisième marche du podium l’an dernier.
Vous avez dû abandonner sur un fait de course à Valencia pour votre second Grand Prix à domicile. Vous deviez être déçu certainement…
FA : « Je savais que mon week-end serait plus difficile dès les qualifications. Partir loin dans le peloton, sur un circuit urbain, ce n’est jamais une très bonne chose ! J’ai finalement été percuté dans le premier tour et j’ai perdu mon aileron arrière. Mes mécaniciens ont tout fait pour me permettre de poursuivre la course mais elle était déjà compromise. Je suis déçu de n’avoir pu rouler devant mes supporters pour lesquels j’aurais aimé faire une belle course mais c’est passé maintenant et je suis désormais pleinement concentré sur le Grand Prix de Belgique. »
Vous disputez ce week-end le Grand Prix de Belgique, à Spa Francorchamps. Est-un circuit que vous appréciez ?
FA : « Spa Francorchamps fait partie de ces circuits incontournables du calendrier de la F1. Comme sur les anciens circuits du calendrier, il y a toujours une ambiance très particulière, très chaleureuse. Pour les pilotes et les techniciens, Spa offre une série de défis incroyable et vous avez des sensations très fortes depuis le cockpit.
Je ne me suis jamais imposé la-bas et j’avoue que j’aimerais un jour pouvoir accrocher cette course à mon palmarès ! »
Quelles sont les spécificités de ce circuit de Spa-Francorchamps ?
FA : « C’est un circuit très long ce qui accentue généralement les écarts d’une voiture à l’autre. Il exige une voiture très complète et il nous faudra donc peaufiner avec attention la mise au point de la monoplace de sorte à nous monter compétitif aussi bien dans les secteurs rapides que dans les virages plus lents. La compression à l’Eau Rouge reste un secteur impressionnant de ce circuit. »
Pensez-vous pouvoir rebondir et faire une solide course à Spa alors que l’équipe souhaite décrocher la quatrième place au championnat du monde Constructeurs ?
FA : « Nous avons bien progressé et même si le Grand Prix d’Europe est finalement une course à oublier en ce qui nous concerne, il ne faut pas pour autant croire que nous baissons les bras. Je suis persuadé que l’équipe se donne à 100 % pour atteindre son objectif et de mon côté, je compte également faire mon maximum pour essayer de décrocher un solide résultat et marquer de gros points. Cela n’aura rien d’évident, cela n’a pas été facile depuis le début de saison mais nous avançons et nous sommes déterminés à continuer dans ce sens ! »
Après deux abandons – en 2001 et 2004 – l’Espagnol y a pris la 2ème place en 2005 et terminé sur la troisième marche du podium l’an dernier.
Vous avez dû abandonner sur un fait de course à Valencia pour votre second Grand Prix à domicile. Vous deviez être déçu certainement…
FA : « Je savais que mon week-end serait plus difficile dès les qualifications. Partir loin dans le peloton, sur un circuit urbain, ce n’est jamais une très bonne chose ! J’ai finalement été percuté dans le premier tour et j’ai perdu mon aileron arrière. Mes mécaniciens ont tout fait pour me permettre de poursuivre la course mais elle était déjà compromise. Je suis déçu de n’avoir pu rouler devant mes supporters pour lesquels j’aurais aimé faire une belle course mais c’est passé maintenant et je suis désormais pleinement concentré sur le Grand Prix de Belgique. »
Vous disputez ce week-end le Grand Prix de Belgique, à Spa Francorchamps. Est-un circuit que vous appréciez ?
FA : « Spa Francorchamps fait partie de ces circuits incontournables du calendrier de la F1. Comme sur les anciens circuits du calendrier, il y a toujours une ambiance très particulière, très chaleureuse. Pour les pilotes et les techniciens, Spa offre une série de défis incroyable et vous avez des sensations très fortes depuis le cockpit.
Je ne me suis jamais imposé la-bas et j’avoue que j’aimerais un jour pouvoir accrocher cette course à mon palmarès ! »
Quelles sont les spécificités de ce circuit de Spa-Francorchamps ?
FA : « C’est un circuit très long ce qui accentue généralement les écarts d’une voiture à l’autre. Il exige une voiture très complète et il nous faudra donc peaufiner avec attention la mise au point de la monoplace de sorte à nous monter compétitif aussi bien dans les secteurs rapides que dans les virages plus lents. La compression à l’Eau Rouge reste un secteur impressionnant de ce circuit. »
Pensez-vous pouvoir rebondir et faire une solide course à Spa alors que l’équipe souhaite décrocher la quatrième place au championnat du monde Constructeurs ?
FA : « Nous avons bien progressé et même si le Grand Prix d’Europe est finalement une course à oublier en ce qui nous concerne, il ne faut pas pour autant croire que nous baissons les bras. Je suis persuadé que l’équipe se donne à 100 % pour atteindre son objectif et de mon côté, je compte également faire mon maximum pour essayer de décrocher un solide résultat et marquer de gros points. Cela n’aura rien d’évident, cela n’a pas été facile depuis le début de saison mais nous avançons et nous sommes déterminés à continuer dans ce sens ! »
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Contraint à l’abandon sur ses terres, dès le premier tour du Grand Prix d’Europe à Valencia - Fernando Alonso espère connaître un meilleur sort à Spa Francorchamps.
Après deux abandons – en 2001 et 2004 – l’Espagnol y a pris la 2ème place en 2005 et terminé sur la troisième marche du podium l’an dernier.
Vous avez dû abandonner sur un fait de course à Valencia pour votre second Grand Prix à domicile. Vous deviez être déçu certainement…
FA : « Je savais que mon week-end serait plus difficile dès les qualifications. Partir loin dans le peloton, sur un circuit urbain, ce n’est jamais une très bonne chose ! J’ai finalement été percuté dans le premier tour et j’ai perdu mon aileron arrière. Mes mécaniciens ont tout fait pour me permettre de poursuivre la course mais elle était déjà compromise. Je suis déçu de n’avoir pu rouler devant mes supporters pour lesquels j’aurais aimé faire une belle course mais c’est passé maintenant et je suis désormais pleinement concentré sur le Grand Prix de Belgique. »
Vous disputez ce week-end le Grand Prix de Belgique, à Spa Francorchamps. Est-un circuit que vous appréciez ?
FA : « Spa Francorchamps fait partie de ces circuits incontournables du calendrier de la F1. Comme sur les anciens circuits du calendrier, il y a toujours une ambiance très particulière, très chaleureuse. Pour les pilotes et les techniciens, Spa offre une série de défis incroyable et vous avez des sensations très fortes depuis le cockpit.
Je ne me suis jamais imposé la-bas et j’avoue que j’aimerais un jour pouvoir accrocher cette course à mon palmarès ! »
Quelles sont les spécificités de ce circuit de Spa-Francorchamps ?
FA : « C’est un circuit très long ce qui accentue généralement les écarts d’une voiture à l’autre. Il exige une voiture très complète et il nous faudra donc peaufiner avec attention la mise au point de la monoplace de sorte à nous monter compétitif aussi bien dans les secteurs rapides que dans les virages plus lents. La compression à l’Eau Rouge reste un secteur impressionnant de ce circuit. »
Pensez-vous pouvoir rebondir et faire une solide course à Spa alors que l’équipe souhaite décrocher la quatrième place au championnat du monde Constructeurs ?
FA : « Nous avons bien progressé et même si le Grand Prix d’Europe est finalement une course à oublier en ce qui nous concerne, il ne faut pas pour autant croire que nous baissons les bras. Je suis persuadé que l’équipe se donne à 100 % pour atteindre son objectif et de mon côté, je compte également faire mon maximum pour essayer de décrocher un solide résultat et marquer de gros points. Cela n’aura rien d’évident, cela n’a pas été facile depuis le début de saison mais nous avançons et nous sommes déterminés à continuer dans ce sens ! »
Après deux abandons – en 2001 et 2004 – l’Espagnol y a pris la 2ème place en 2005 et terminé sur la troisième marche du podium l’an dernier.
Vous avez dû abandonner sur un fait de course à Valencia pour votre second Grand Prix à domicile. Vous deviez être déçu certainement…
FA : « Je savais que mon week-end serait plus difficile dès les qualifications. Partir loin dans le peloton, sur un circuit urbain, ce n’est jamais une très bonne chose ! J’ai finalement été percuté dans le premier tour et j’ai perdu mon aileron arrière. Mes mécaniciens ont tout fait pour me permettre de poursuivre la course mais elle était déjà compromise. Je suis déçu de n’avoir pu rouler devant mes supporters pour lesquels j’aurais aimé faire une belle course mais c’est passé maintenant et je suis désormais pleinement concentré sur le Grand Prix de Belgique. »
Vous disputez ce week-end le Grand Prix de Belgique, à Spa Francorchamps. Est-un circuit que vous appréciez ?
FA : « Spa Francorchamps fait partie de ces circuits incontournables du calendrier de la F1. Comme sur les anciens circuits du calendrier, il y a toujours une ambiance très particulière, très chaleureuse. Pour les pilotes et les techniciens, Spa offre une série de défis incroyable et vous avez des sensations très fortes depuis le cockpit.
Je ne me suis jamais imposé la-bas et j’avoue que j’aimerais un jour pouvoir accrocher cette course à mon palmarès ! »
Quelles sont les spécificités de ce circuit de Spa-Francorchamps ?
FA : « C’est un circuit très long ce qui accentue généralement les écarts d’une voiture à l’autre. Il exige une voiture très complète et il nous faudra donc peaufiner avec attention la mise au point de la monoplace de sorte à nous monter compétitif aussi bien dans les secteurs rapides que dans les virages plus lents. La compression à l’Eau Rouge reste un secteur impressionnant de ce circuit. »
Pensez-vous pouvoir rebondir et faire une solide course à Spa alors que l’équipe souhaite décrocher la quatrième place au championnat du monde Constructeurs ?
FA : « Nous avons bien progressé et même si le Grand Prix d’Europe est finalement une course à oublier en ce qui nous concerne, il ne faut pas pour autant croire que nous baissons les bras. Je suis persuadé que l’équipe se donne à 100 % pour atteindre son objectif et de mon côté, je compte également faire mon maximum pour essayer de décrocher un solide résultat et marquer de gros points. Cela n’aura rien d’évident, cela n’a pas été facile depuis le début de saison mais nous avançons et nous sommes déterminés à continuer dans ce sens ! »
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Le pilote espagnol de Formule 1 Fernando Alonso restera bien chez Renault en 2009 en dépit d'une saison 2008 décevante et de propositions de BMW, a affirmé vendredi le quotidien sportif AS.
Alonso "pense continuer l'année prochaine" avec le constructeur français, avec qui il a signé un contrat de deux ans, dans la mesure où la nouvelle monoplace R-29 de Renault devrait être "plus compétitive" la saison prochaine, a précisé le journal.
Selon AS, le double champion du monde espagnol de F1 (2005-2006) a repoussé une offre de BMW présentée cette semaine, car la proposition de l'écurie allemande lui ôtait toute option de pouvoir aller chez Ferrari en 2010 ou 2011.
Seulement 7e au classement des pilotes après 14 Grand Prix, très loin derrière les leaders Lewis Hamilton et Felipe Massa, Alonso, 27 ans, n'est jamais monté sur le podium cette année et doit décider d'ici la fin de la saison s'il reste un an de plus chez Renault.
Il a également écarté la possibilité d'aller chez Honda et souhaite toujours à terme piloter pour Ferrari, a souligné AS.
Ferrari vient d'annoncer le prolongement du contrat de son pilote finlandais Kimi Raikkonen jusqu'à la fin de la saison 2010. La scuderia doit donc en principe conserver ses deux mêmes pilotes, Raikkonen et Massa, pour les deux saisons à venir.
Alonso "pense continuer l'année prochaine" avec le constructeur français, avec qui il a signé un contrat de deux ans, dans la mesure où la nouvelle monoplace R-29 de Renault devrait être "plus compétitive" la saison prochaine, a précisé le journal.
Selon AS, le double champion du monde espagnol de F1 (2005-2006) a repoussé une offre de BMW présentée cette semaine, car la proposition de l'écurie allemande lui ôtait toute option de pouvoir aller chez Ferrari en 2010 ou 2011.
Seulement 7e au classement des pilotes après 14 Grand Prix, très loin derrière les leaders Lewis Hamilton et Felipe Massa, Alonso, 27 ans, n'est jamais monté sur le podium cette année et doit décider d'ici la fin de la saison s'il reste un an de plus chez Renault.
Il a également écarté la possibilité d'aller chez Honda et souhaite toujours à terme piloter pour Ferrari, a souligné AS.
Ferrari vient d'annoncer le prolongement du contrat de son pilote finlandais Kimi Raikkonen jusqu'à la fin de la saison 2010. La scuderia doit donc en principe conserver ses deux mêmes pilotes, Raikkonen et Massa, pour les deux saisons à venir.
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L'actualité sur le marché des transferts :
On attend la décision de Fernando Alonso...
Au niveau des transferts des pilotes, cette saison 2008 semble plus calme que la précédente, mais ce calme est peut-être précurseur d'une prochaine tempête. Voici un résumé de la situation actuelle.
Ferrari:
Cet été, on a très longtemps pensé que Kimi Raikkonen allait tout simplement mettre un terme à sa carrière en F1 à la fin de la saison 2008, ou au plus tard à la fin de l'année 2009. C'est ce qui a poussé de nombreux pilotes, dont Alonso et Kubica, à retarder les négociations avec leurs équipes respectives. Ces deux-là se voient en effet un jour ou l'autre chez Ferrari...
Malheureusement pour Robert Kubica et Fernando Alonso, Kimi Raikkonen et Ferrari ont décidé de prolonger leur collaboration jusqu'à la fin de l'année 2010. Felipe Massa étant lié à la Scuderia jusqu'à cette même date, inutile de se faire des illusions sur un hypothétique baquet libre chez Ferrari avant 2011.
McLaren Mercedes:
Lewis Hamilton est lié à l'équipe McLaren jusqu'à la fin de l'année 2012. De nos jours en F1, on ne signe plus des contrats à la durée aussi longue, mais Lewis fait partie de la famille et ça change tout. Pour seconder Hamilton en 2009, McLaren fera encore confiance à Heikki Kovalainen, un équipier particulièrement discret.
BMW Sauber:
On ne peut pas dire que Robert Kubica et Nick Heidfeld aient démérité cette année, mais ni l'un ni l'autre n'a l'assurance de rouler pour cette équipe en 2009.
Robert Kubica, parce qu'il hésite à apposer sa signature sur le contrat pluriannuel que lui propose BMW, et Nick Heidfeld parce que Mario Theissen essaye de faire venir Alonso chez lui et on peut penser que c’est l’Allemand qui pourrait faire les frais de ce transfert.
Fernando Alonso étant sur le point de prolonger sa collaboration avec Renault, l'équipe BMW pourrait donc se présenter au départ de la saison 2009 avec les mêmes pilotes que cette année... même si une surprise de dernière minute n'est pas à écarter.
Renault:
Fernando Alonso devrait poursuivre sa collaboration avec Renault en 2009, bien que rien ne soit encore officiel pour l'instant. Le double champion du monde espagnol a toujours l'espoir de rejoindre la Scuderia Ferrari, un jour ou l'autre, mais celle-ci a confirmé Massa et Raikkonen jusqu'à la fin de l'année 2010. Alonso devra donc se montrer très patient...
Quant à Nelson Piquet, il n'est pas impossible que Renault lui fasse encore confiance l'année prochaine, malgré une première saison en F1 en dents de scie. Là aussi, il nous faudra attendre une confirmation.
Toyota:
Sauf très grosse surprise, Jarno Trulli et Timo Glock seront encore équipiers l'année prochaine chez Toyota. Ces deux pilotes sont très rapides et semblent bien travailler en équipe.
Toro Rosso Ferrari:
Gerhard Berger, copropriétaire de l'équipe, se dit plutôt satisfait des dernières prestations de Sébastien Bourdais, mais il aimerait que le Français marque plus de points au championnat. Pour ce faire, il faudrait que le Français soit un peu moins malchanceux, ce que Sébastien ne peut évidemment pas contrôler, comme on a pu encore le vérifier récemment à Monza.
Si Sébastien Bourdais parvient à décrocher son ticket pour la saison 2009, il faudra que Toro Rosso lui trouve un nouvel équipier puisque Sebastian Vettel roulera pour l'équipe soeur Red Bull en 2009. Cette semaine à Jerez, Toro Rosso a testé Takuma Sato et Sébastien Buemi. Si le premier a une réputation qui n'est plus à faire, le second semble un peu tendre pour faire le grand saut en F1 dès l'année prochaine.
Red Bull Renault:
David Coulthard a décidé de prendre une retraite sportive bien méritée et c'est le jeune Sebastian Vettel qui prendra sa place chez Red Bull. Le pilote allemand ne sera pas vraiment en terrain inconnu puisque Red Bull et son équipe actuelle Toro Rosso partagent le même châssis. Reste à Vettel de découvrir le moteur Renault, ce qu'il a déjà commencé à faire cette semaine à Jerez.
L'Australien Mark Webber sera l'équipier de Vettel. Il est toujours préférable pour une équipe de garder l'un de ces deux pilotes d'une année sur l'autre. Celui-ci peut en effet servir de "référence" afin de mesurer plus précisément ce qu'apporte le nouveau venu
Williams Toyota:
Le jeune Nico Rosberg poursuivra sa collaboration avec Williams une année de plus. Nico a bien été approché par d'autres équipes, mais il a finalement décidé de rester une année de plus au sein de l'équipe qui a été la première à lui donner sa chance en F1. Espérons seulement que cette fidélité ne sera pas néfaste à sa carrière.
Quant au second baquet, il est difficile de dire aujourd'hui si Frank Williams le confiera encore à Kazuki Nakajima. Le jeune pilote japonais ne semble pas manquer de talent, mais il est très faible en qualification, ce qui le met en position de faiblesse le lendemain en course. Nakajima a heureusement pour lui le soutien de Toyota, le principal partenaire technique de Williams.
Honda:
Difficile de dire ce qui est prévu chez Honda l'année prochaine. Jenson Button et Rubens Barrichello ont de bonnes chances de poursuivre leur collaboration avec l'équipe japonaise une année de plus, mais ils ne peuvent pas ignorer que leur patron Ross Brawn a essayé de faire venir Fernando Alonso chez lui.
Alonso ne viendra pas chez Honda, mais Button et Barrichello ne sont pas pour autant rassurés sur leur avenir, d'autant plus qu'ils n'ont toujours pas signé le moindre contrat pour la saison 2009.
Force India Ferrari:
Giancarlo Fisichella et Adrian Sutil vont-ils rester chez Force India une année de plus? C'est bien possible, mais rien n'a encore été confirmé pour l'instant. On sait que Vijay Mallya, propriétaire indien de Force India, rêve de mettre un de ses compatriotes au volant de l'une de ses voitures. Karun Chandhok pourrait être celui-là, lui qui a remporté son premier succès en GP2 cette année à Hockenheim. Si Chandhok reçoit cette promotion, un des deux pilotes actuels, Sutil ou Fisichella, pourrait en faire les frais.
On attend la décision de Fernando Alonso...
Au niveau des transferts des pilotes, cette saison 2008 semble plus calme que la précédente, mais ce calme est peut-être précurseur d'une prochaine tempête. Voici un résumé de la situation actuelle.
Ferrari:
Cet été, on a très longtemps pensé que Kimi Raikkonen allait tout simplement mettre un terme à sa carrière en F1 à la fin de la saison 2008, ou au plus tard à la fin de l'année 2009. C'est ce qui a poussé de nombreux pilotes, dont Alonso et Kubica, à retarder les négociations avec leurs équipes respectives. Ces deux-là se voient en effet un jour ou l'autre chez Ferrari...
Malheureusement pour Robert Kubica et Fernando Alonso, Kimi Raikkonen et Ferrari ont décidé de prolonger leur collaboration jusqu'à la fin de l'année 2010. Felipe Massa étant lié à la Scuderia jusqu'à cette même date, inutile de se faire des illusions sur un hypothétique baquet libre chez Ferrari avant 2011.
McLaren Mercedes:
Lewis Hamilton est lié à l'équipe McLaren jusqu'à la fin de l'année 2012. De nos jours en F1, on ne signe plus des contrats à la durée aussi longue, mais Lewis fait partie de la famille et ça change tout. Pour seconder Hamilton en 2009, McLaren fera encore confiance à Heikki Kovalainen, un équipier particulièrement discret.
BMW Sauber:
On ne peut pas dire que Robert Kubica et Nick Heidfeld aient démérité cette année, mais ni l'un ni l'autre n'a l'assurance de rouler pour cette équipe en 2009.
Robert Kubica, parce qu'il hésite à apposer sa signature sur le contrat pluriannuel que lui propose BMW, et Nick Heidfeld parce que Mario Theissen essaye de faire venir Alonso chez lui et on peut penser que c’est l’Allemand qui pourrait faire les frais de ce transfert.
Fernando Alonso étant sur le point de prolonger sa collaboration avec Renault, l'équipe BMW pourrait donc se présenter au départ de la saison 2009 avec les mêmes pilotes que cette année... même si une surprise de dernière minute n'est pas à écarter.
Renault:
Fernando Alonso devrait poursuivre sa collaboration avec Renault en 2009, bien que rien ne soit encore officiel pour l'instant. Le double champion du monde espagnol a toujours l'espoir de rejoindre la Scuderia Ferrari, un jour ou l'autre, mais celle-ci a confirmé Massa et Raikkonen jusqu'à la fin de l'année 2010. Alonso devra donc se montrer très patient...
Quant à Nelson Piquet, il n'est pas impossible que Renault lui fasse encore confiance l'année prochaine, malgré une première saison en F1 en dents de scie. Là aussi, il nous faudra attendre une confirmation.
Toyota:
Sauf très grosse surprise, Jarno Trulli et Timo Glock seront encore équipiers l'année prochaine chez Toyota. Ces deux pilotes sont très rapides et semblent bien travailler en équipe.
Toro Rosso Ferrari:
Gerhard Berger, copropriétaire de l'équipe, se dit plutôt satisfait des dernières prestations de Sébastien Bourdais, mais il aimerait que le Français marque plus de points au championnat. Pour ce faire, il faudrait que le Français soit un peu moins malchanceux, ce que Sébastien ne peut évidemment pas contrôler, comme on a pu encore le vérifier récemment à Monza.
Si Sébastien Bourdais parvient à décrocher son ticket pour la saison 2009, il faudra que Toro Rosso lui trouve un nouvel équipier puisque Sebastian Vettel roulera pour l'équipe soeur Red Bull en 2009. Cette semaine à Jerez, Toro Rosso a testé Takuma Sato et Sébastien Buemi. Si le premier a une réputation qui n'est plus à faire, le second semble un peu tendre pour faire le grand saut en F1 dès l'année prochaine.
Red Bull Renault:
David Coulthard a décidé de prendre une retraite sportive bien méritée et c'est le jeune Sebastian Vettel qui prendra sa place chez Red Bull. Le pilote allemand ne sera pas vraiment en terrain inconnu puisque Red Bull et son équipe actuelle Toro Rosso partagent le même châssis. Reste à Vettel de découvrir le moteur Renault, ce qu'il a déjà commencé à faire cette semaine à Jerez.
L'Australien Mark Webber sera l'équipier de Vettel. Il est toujours préférable pour une équipe de garder l'un de ces deux pilotes d'une année sur l'autre. Celui-ci peut en effet servir de "référence" afin de mesurer plus précisément ce qu'apporte le nouveau venu
Williams Toyota:
Le jeune Nico Rosberg poursuivra sa collaboration avec Williams une année de plus. Nico a bien été approché par d'autres équipes, mais il a finalement décidé de rester une année de plus au sein de l'équipe qui a été la première à lui donner sa chance en F1. Espérons seulement que cette fidélité ne sera pas néfaste à sa carrière.
Quant au second baquet, il est difficile de dire aujourd'hui si Frank Williams le confiera encore à Kazuki Nakajima. Le jeune pilote japonais ne semble pas manquer de talent, mais il est très faible en qualification, ce qui le met en position de faiblesse le lendemain en course. Nakajima a heureusement pour lui le soutien de Toyota, le principal partenaire technique de Williams.
Honda:
Difficile de dire ce qui est prévu chez Honda l'année prochaine. Jenson Button et Rubens Barrichello ont de bonnes chances de poursuivre leur collaboration avec l'équipe japonaise une année de plus, mais ils ne peuvent pas ignorer que leur patron Ross Brawn a essayé de faire venir Fernando Alonso chez lui.
Alonso ne viendra pas chez Honda, mais Button et Barrichello ne sont pas pour autant rassurés sur leur avenir, d'autant plus qu'ils n'ont toujours pas signé le moindre contrat pour la saison 2009.
Force India Ferrari:
Giancarlo Fisichella et Adrian Sutil vont-ils rester chez Force India une année de plus? C'est bien possible, mais rien n'a encore été confirmé pour l'instant. On sait que Vijay Mallya, propriétaire indien de Force India, rêve de mettre un de ses compatriotes au volant de l'une de ses voitures. Karun Chandhok pourrait être celui-là, lui qui a remporté son premier succès en GP2 cette année à Hockenheim. Si Chandhok reçoit cette promotion, un des deux pilotes actuels, Sutil ou Fisichella, pourrait en faire les frais.
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Le pilote espagnol de l'écurie Renault Fernando Alonso préférerait que Felipe Massa (Ferrari) gagne le championnat du monde de F1 cette saison plutôt que l'Anglais Lewis Hamilton (McLaren), selon des déclarations publiées dimanche par les médias espagnols.
"Je préférerais que Massa gagne, parce que sinon c'est Hamilton qui gagnera", a déclaré le double champion du monde (2005-2006), qui avait eu des relations difficiles avec Hamilton en 2007 alors qu'ils pilotaient tous deux pour McLaren.
A quatre Grands Prix de la fin de la saison, Hamilton possède un point d'avance sur Massa au classement des pilotes, alors qu'Alonso est loin derrière, à la 7ème place.
L'Espagnol, qui a fait ces déclarations devant des aspirants pilotes à Madrid, a toutefois estimé que l'Anglais demeurait "le favori pour le titre, parce qu'il a été le plus constant jusqu'à présent.
"
Les prochains Grands Prix auront lieu à Singapour (de nuit), au Japon, en Chine et au Brésil.
Le titre 2007 avait été remporté de justesse par le pilote finlandais de Ferrari Kimi Raikkonen devant Hamilton et Alonso.
Hamilton pourrait reprendre sur tapis vert la tête de l'actuel classement si la Fédération internationale de l'automobile (FIA), qui se réunit lundi à Paris, annule la pénalité qui l'avait rétrogradé au 3ème rang du récent Grand Prix de Belgique.
"Je préférerais que Massa gagne, parce que sinon c'est Hamilton qui gagnera", a déclaré le double champion du monde (2005-2006), qui avait eu des relations difficiles avec Hamilton en 2007 alors qu'ils pilotaient tous deux pour McLaren.
A quatre Grands Prix de la fin de la saison, Hamilton possède un point d'avance sur Massa au classement des pilotes, alors qu'Alonso est loin derrière, à la 7ème place.
L'Espagnol, qui a fait ces déclarations devant des aspirants pilotes à Madrid, a toutefois estimé que l'Anglais demeurait "le favori pour le titre, parce qu'il a été le plus constant jusqu'à présent.
"
Les prochains Grands Prix auront lieu à Singapour (de nuit), au Japon, en Chine et au Brésil.
Le titre 2007 avait été remporté de justesse par le pilote finlandais de Ferrari Kimi Raikkonen devant Hamilton et Alonso.
Hamilton pourrait reprendre sur tapis vert la tête de l'actuel classement si la Fédération internationale de l'automobile (FIA), qui se réunit lundi à Paris, annule la pénalité qui l'avait rétrogradé au 3ème rang du récent Grand Prix de Belgique.
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La pole position et la victoire de Sebastian Vettel à Monza l’ont soudain propulsé en haut de l’affiche, et rapidement attisé les convoitises.
Bernie Ecclestone verrait bien le jeune allemand intégrer une équipe de pointe rapidement. « Nous l’aiderons à y arriver » affirmait le britannique dans les colonnes du Autobild Motorsport. « J’ai toujours dit qu’il était bon, maintenant, je dis qu’il est super ! »
Pour l’ancien pilote allemand, Hans-Joachim Stuck, le management de l’équipe BMW Sauber est passé à côté d’une belle occasion : « C’était le bon moment pour avoir le bon pilote. Le fait qu'il éclose maintenant pour une autre équipe, n'a pas de sens. Les gens de BMW ont certainement leurs raisons, mais j'aurais probablement fait les choses différemment.
»
Mais le patron-fondateur de Red Bull, Dietrich Mateschitz, a prévenu – dans le journal Bild – que Vettel n’était pas disponible : « Sébastien est sous contrat avec nous. Il n'est pas à vendre. Avec lui, nous voulons défier les meilleures équipes et passer devant ! »
Bernie Ecclestone verrait bien le jeune allemand intégrer une équipe de pointe rapidement. « Nous l’aiderons à y arriver » affirmait le britannique dans les colonnes du Autobild Motorsport. « J’ai toujours dit qu’il était bon, maintenant, je dis qu’il est super ! »
Pour l’ancien pilote allemand, Hans-Joachim Stuck, le management de l’équipe BMW Sauber est passé à côté d’une belle occasion : « C’était le bon moment pour avoir le bon pilote. Le fait qu'il éclose maintenant pour une autre équipe, n'a pas de sens. Les gens de BMW ont certainement leurs raisons, mais j'aurais probablement fait les choses différemment.
»
Mais le patron-fondateur de Red Bull, Dietrich Mateschitz, a prévenu – dans le journal Bild – que Vettel n’était pas disponible : « Sébastien est sous contrat avec nous. Il n'est pas à vendre. Avec lui, nous voulons défier les meilleures équipes et passer devant ! »
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La Cour d'appel de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) a confirmé mardi la sanction de 25 secondes infligée à Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) après le GP de Belgique de F1 le 7 septembre à Spa, qui l'avait fait reculer de la 1ère à la 3ème place.
Après avoir longuement entendu les arguments de McLaren-Mercedes lundi, la Cour d'appel a tout simplement décidé que l'appel de l'écurie britannique n'était pas recevable.
Les cinq juges de la FIA se sont basés sur l'article 152 du Code sportif international qui stipule que les pénalités de passage par la voie des stands ("drive through") ne sont pas susceptibles d'appel.
Le cas est en l'occurence assez complexe puisque en cas d'infraction commise dans les cinq derniers tours de course, les pilotes ne sont plus pénalisés d'un drive through, une pénalité qu'ils n'auraient plus le temps d'effectuer si proche de l'arrivée, mais ils écopent en remplacement de 25 secondes ajoutées à leur temps de course.
McLaren-Mercedes maintenait qu'en l'occurence il s'agissait d'une pénalité de temps, susceptible d'appel, alors que pour les juristes de la FIA et de Ferrari, la pénalité était un "drive through" transformé en 25 secondes, car infligé à moins de cinq tours de l'arrivée.
La Cour d'appel de la FIA aura entendu ce dernier argument. "Comme le drive through a été infligé à la fin de la course, 25 secondes ont été ajoutées au temps de course du pilote conformément à l'article 16.3 du règlement sportif 2008 de la Formule 1", a estimé la Cour d'appel. "L'article 152 du Code sportif international stipule que les pénalités de drive through ne sont pas susceptibles d'appel.
"
Hamilton avait court-circuité une chicane à trois tours de la fin du Grand Prix de Belgique alors qu'il était à la lutte avec Kimi Raikkonen. Il avait laissé repasser le Finlandais, comme l'y oblige le règlement, mais avait réussi à le dépasser de nouveau dès le virage suivant. Il avait ensuite remporté la course.
Les commissaires sportifs estimaient qu'il avait conservé un avantage de son infraction et ils lui avaient donc infligé 25 secondes de pénalité.
Lundi, les juges ont examiné les faits à la loupe, entendant notamment les explications d'un Lewis Hamilton sûr de lui. Mais au final ils s'en sont tenus à la seule question juridique et ne se sont pas prononcés sur les faits eux-mêmes. Ils n'ont pas résolu cette question qui partage le paddock : Hamilton a-t-il conservé un avantage en coupant la fameuse chicane de l'arrêt de bus ?
En tout cas les positions du Grand Prix de Belgique sont confirmées : la victoire revient à Felipe Massa (Ferrari) devant Nick Heidfeld (BMW Sauber) et Hamilton. Avant le Grand Prix de Singapour ce week-end, les positions au Championnat du monde sont donc toujours aussi serrées en tête, avec Hamilton (78 points) une toute petite longueur devant Massa (77.)
Après avoir longuement entendu les arguments de McLaren-Mercedes lundi, la Cour d'appel a tout simplement décidé que l'appel de l'écurie britannique n'était pas recevable.
Les cinq juges de la FIA se sont basés sur l'article 152 du Code sportif international qui stipule que les pénalités de passage par la voie des stands ("drive through") ne sont pas susceptibles d'appel.
Le cas est en l'occurence assez complexe puisque en cas d'infraction commise dans les cinq derniers tours de course, les pilotes ne sont plus pénalisés d'un drive through, une pénalité qu'ils n'auraient plus le temps d'effectuer si proche de l'arrivée, mais ils écopent en remplacement de 25 secondes ajoutées à leur temps de course.
McLaren-Mercedes maintenait qu'en l'occurence il s'agissait d'une pénalité de temps, susceptible d'appel, alors que pour les juristes de la FIA et de Ferrari, la pénalité était un "drive through" transformé en 25 secondes, car infligé à moins de cinq tours de l'arrivée.
La Cour d'appel de la FIA aura entendu ce dernier argument. "Comme le drive through a été infligé à la fin de la course, 25 secondes ont été ajoutées au temps de course du pilote conformément à l'article 16.3 du règlement sportif 2008 de la Formule 1", a estimé la Cour d'appel. "L'article 152 du Code sportif international stipule que les pénalités de drive through ne sont pas susceptibles d'appel.
"
Hamilton avait court-circuité une chicane à trois tours de la fin du Grand Prix de Belgique alors qu'il était à la lutte avec Kimi Raikkonen. Il avait laissé repasser le Finlandais, comme l'y oblige le règlement, mais avait réussi à le dépasser de nouveau dès le virage suivant. Il avait ensuite remporté la course.
Les commissaires sportifs estimaient qu'il avait conservé un avantage de son infraction et ils lui avaient donc infligé 25 secondes de pénalité.
Lundi, les juges ont examiné les faits à la loupe, entendant notamment les explications d'un Lewis Hamilton sûr de lui. Mais au final ils s'en sont tenus à la seule question juridique et ne se sont pas prononcés sur les faits eux-mêmes. Ils n'ont pas résolu cette question qui partage le paddock : Hamilton a-t-il conservé un avantage en coupant la fameuse chicane de l'arrêt de bus ?
En tout cas les positions du Grand Prix de Belgique sont confirmées : la victoire revient à Felipe Massa (Ferrari) devant Nick Heidfeld (BMW Sauber) et Hamilton. Avant le Grand Prix de Singapour ce week-end, les positions au Championnat du monde sont donc toujours aussi serrées en tête, avec Hamilton (78 points) une toute petite longueur devant Massa (77.)
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La Formule 1 va devoir modifier ses habitudes ce week-end avec le tout premier Grand Prix disputé de nuit, dimanche à Singapour, qui va obliger tous les pilotes, ingénieurs et mécaniciens à adapter leur rythme de vie et de travail à un planning tout à fait inédit.
D'ordinaire, les séances libres se déroulent en fin de matinée les vendredi et samedi. Les qualifications prennent place le samedi après-midi juste après le déjeuner et la course se court le dimanche, également en début d'après-midi.
A Singapour, oubliez tout! La première séance libre vendredi débutera à 19h00, la seconde à 21h30. Les qualifications ne se dérouleront samedi qu'à partir de 22h00, l'heure la plus extrême du week-end. La course partira à 20h00.
Ce planning en heures locales va permettre aux téléspectateurs européens de suivre le Grand Prix à l'heure habituelle: il sera par exemple 14h00 en France ou en Allemagne (12h00 GMT) dimanche à l'extinction des feux sur la grille de départ.
Mais tous les acteurs de la Formule 1 vont devoir s'adapter à cette première.
"Techniquement le fait que la course se déroule la nuit ne change pas grand chose, les réglages sont identiques, indique Mike Gascoyne, le directeur technique de Force India. La plus grosse différence se situe dans le planning. On va finir de travailler beaucoup plus tard que d'habitude.
"
"En général, on travaille par exemple durant huit heures après les séances d'essais du vendredi, ce qui va nous faire terminer à sept heures du matin samedi! En fait, on va essayer de rester calés sur l'heure européenne, ajoute-t-il. Ce sera important d'éviter le décalage horaire et la fatigue, c'est là que se produisent les erreurs."
Après mûre réflexion, toutes les équipes ont pris une décision identique et décidé de rester à l'heure européenne, ce qui n'est pas sans poser quelques problèmes.
"Il ne va pas falloir s'adapter à l'heure locale, c'est l'inverse de ce que l'on fait d'habitude, explique le leader du championnat du monde, Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes). Pour les pilotes, les heures de repas, de repos et de lever vont être les heures européennes. Donc lorsqu'on va se lever ce sera le début d'après-midi ici, et on ne se couchera probablement pas avant trois heures du matin."
Toutes les équipes se sont entourées de précautions pour ne pas troubler cette inhabituelle "non-adaptation". Et aucun détail n'a été négligé.
"On fait tout pour que ce planning inhabituel n'ait pas de répercussions sur nos performances, précise Heikki Kovalainen, le second pilote McLaren-Mercedes. Par exemple, les chambres d'hôtel seront complètement dans le noir pour qu'on puisse dormir tard dans la journée. Et on s'est assuré que le téléphone ne sonnera pas, que le personnel d'entretien n'entrera pas dans les chambres à une heure où ils ne sont pas habitués à trouver les gens encore au lit..."
"Ce sera difficile parce que le corps est naturellement enclin à s'adapter en raison de facteurs extérieurs, comme la lumière, la température ou l'humidité", redoute le Finlandais.
D'ordinaire, les séances libres se déroulent en fin de matinée les vendredi et samedi. Les qualifications prennent place le samedi après-midi juste après le déjeuner et la course se court le dimanche, également en début d'après-midi.
A Singapour, oubliez tout! La première séance libre vendredi débutera à 19h00, la seconde à 21h30. Les qualifications ne se dérouleront samedi qu'à partir de 22h00, l'heure la plus extrême du week-end. La course partira à 20h00.
Ce planning en heures locales va permettre aux téléspectateurs européens de suivre le Grand Prix à l'heure habituelle: il sera par exemple 14h00 en France ou en Allemagne (12h00 GMT) dimanche à l'extinction des feux sur la grille de départ.
Mais tous les acteurs de la Formule 1 vont devoir s'adapter à cette première.
"Techniquement le fait que la course se déroule la nuit ne change pas grand chose, les réglages sont identiques, indique Mike Gascoyne, le directeur technique de Force India. La plus grosse différence se situe dans le planning. On va finir de travailler beaucoup plus tard que d'habitude.
"
"En général, on travaille par exemple durant huit heures après les séances d'essais du vendredi, ce qui va nous faire terminer à sept heures du matin samedi! En fait, on va essayer de rester calés sur l'heure européenne, ajoute-t-il. Ce sera important d'éviter le décalage horaire et la fatigue, c'est là que se produisent les erreurs."
Après mûre réflexion, toutes les équipes ont pris une décision identique et décidé de rester à l'heure européenne, ce qui n'est pas sans poser quelques problèmes.
"Il ne va pas falloir s'adapter à l'heure locale, c'est l'inverse de ce que l'on fait d'habitude, explique le leader du championnat du monde, Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes). Pour les pilotes, les heures de repas, de repos et de lever vont être les heures européennes. Donc lorsqu'on va se lever ce sera le début d'après-midi ici, et on ne se couchera probablement pas avant trois heures du matin."
Toutes les équipes se sont entourées de précautions pour ne pas troubler cette inhabituelle "non-adaptation". Et aucun détail n'a été négligé.
"On fait tout pour que ce planning inhabituel n'ait pas de répercussions sur nos performances, précise Heikki Kovalainen, le second pilote McLaren-Mercedes. Par exemple, les chambres d'hôtel seront complètement dans le noir pour qu'on puisse dormir tard dans la journée. Et on s'est assuré que le téléphone ne sonnera pas, que le personnel d'entretien n'entrera pas dans les chambres à une heure où ils ne sont pas habitués à trouver les gens encore au lit..."
"Ce sera difficile parce que le corps est naturellement enclin à s'adapter en raison de facteurs extérieurs, comme la lumière, la température ou l'humidité", redoute le Finlandais.
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Une heure après la fin de la première séance – au lieu des deux heures habituelles – les pilotes et leurs équipes ont repris leurs préparatifs pour le Grand Prix de Singapour, la première course de nuit de l’histoire du championnat du monde de F1.
En raison du trop grand nombre de spectateurs encore présents dans l’allée des stands, le départ de la deuxième séance était donné peu après 21h30 – alors que la température ambiante et celle de la piste atteignaient 29°
Rapidement, la moitié du plateau repartaient illico pour un premier assaut face au chrono. Nico Rosberg tirait droit avant l’entrée du tunnel, et parvenait à remettre sa Williams dans le bon sens pour aller déloger Fernando Alonso de la première place.
Kovalainen échouait une première fois à 64 millièmes de Rosberg – puis se rapprochait à 13 millièmes !
A la fin du premier quart d’heure, Felipe Massa entrait dans la danse. Le Brésilien avait à peine le temps de placer sa Ferrari dans le sillage de la Williams que Nico Rosberg repartait à l'attaque pour abaisser le temps de référence en 1’46.835 – jusqu’à ce que Lewis Hamilton lui succède - 1’46.080
Un nouvel effort de Nico Rosberg – à l’approche des 30 minutes d’essais - lui permettait de réduire l’écart à moins d’un dixième sur la McLaren Mercedes de son rival britannique.
Privé de la fin de la première séance, puis retardé au début de la deuxième, par un ennui mécanique à bord de sa Toro Rosso, Sébastien Bourdais reprenait sa progression dans le peloton. Dans le stand Red Bull, les mécaniciens continuaient la remise en état de la monoplace endommagée par Webber au début de la journée.
Lewis Hamilton améliorait encore le temps de référence – le seul sous les 1’46 au tour ! A l’attaque, Massa était contraint de tirer droit dans un échappatoire où le Brésilien aura quelques difficultés à ressortir.
Il faudra patienter jusqu’au début du dernier quart d’heure pour voir la hiérarchie évoluer en faveur de Felipe Massa – 1’47.793 – 12 millièmes de mieux que Lewis Hamilton. Heikki Kovalainen répliquait peu après, mais échouait à 4 millièmes de la voiture rouge !
A l’entame du dernier sprint, Lewis Hamilton repassait aux commandes – 1’45.752 – mais allait en être dépossédé par la Renault de Fernando Alonso – 1’45.654 – lors de son dernier passage sous le drapeau à damiers.
Massa – 3ème – conserve l’avantage sur Kovalainen, tandis que Nico Rosberg – 5ème – devance la BMW Sauber de Kubica et la Ferrari de Räikkönen. Button, Nakajima et Glock complètent le Top 10
Parti en toupie dans son dernier tour rapide, Timo heurtait légèrement un mur contre lequel il endommageait le museau avant de sa Toyota.
Trois pilotes se partagent le plus grand nombre de tours bouclés lors de la deuxième séance nocturne : les deux pilotes des BMW Sauber Kubica, Heidfeld et la Force India de Sutil, 36 tours chacun.
En raison du trop grand nombre de spectateurs encore présents dans l’allée des stands, le départ de la deuxième séance était donné peu après 21h30 – alors que la température ambiante et celle de la piste atteignaient 29°
Rapidement, la moitié du plateau repartaient illico pour un premier assaut face au chrono. Nico Rosberg tirait droit avant l’entrée du tunnel, et parvenait à remettre sa Williams dans le bon sens pour aller déloger Fernando Alonso de la première place.
Kovalainen échouait une première fois à 64 millièmes de Rosberg – puis se rapprochait à 13 millièmes !
A la fin du premier quart d’heure, Felipe Massa entrait dans la danse. Le Brésilien avait à peine le temps de placer sa Ferrari dans le sillage de la Williams que Nico Rosberg repartait à l'attaque pour abaisser le temps de référence en 1’46.835 – jusqu’à ce que Lewis Hamilton lui succède - 1’46.080
Un nouvel effort de Nico Rosberg – à l’approche des 30 minutes d’essais - lui permettait de réduire l’écart à moins d’un dixième sur la McLaren Mercedes de son rival britannique.
Privé de la fin de la première séance, puis retardé au début de la deuxième, par un ennui mécanique à bord de sa Toro Rosso, Sébastien Bourdais reprenait sa progression dans le peloton. Dans le stand Red Bull, les mécaniciens continuaient la remise en état de la monoplace endommagée par Webber au début de la journée.
Lewis Hamilton améliorait encore le temps de référence – le seul sous les 1’46 au tour ! A l’attaque, Massa était contraint de tirer droit dans un échappatoire où le Brésilien aura quelques difficultés à ressortir.
Il faudra patienter jusqu’au début du dernier quart d’heure pour voir la hiérarchie évoluer en faveur de Felipe Massa – 1’47.793 – 12 millièmes de mieux que Lewis Hamilton. Heikki Kovalainen répliquait peu après, mais échouait à 4 millièmes de la voiture rouge !
A l’entame du dernier sprint, Lewis Hamilton repassait aux commandes – 1’45.752 – mais allait en être dépossédé par la Renault de Fernando Alonso – 1’45.654 – lors de son dernier passage sous le drapeau à damiers.
Massa – 3ème – conserve l’avantage sur Kovalainen, tandis que Nico Rosberg – 5ème – devance la BMW Sauber de Kubica et la Ferrari de Räikkönen. Button, Nakajima et Glock complètent le Top 10
Parti en toupie dans son dernier tour rapide, Timo heurtait légèrement un mur contre lequel il endommageait le museau avant de sa Toyota.
Trois pilotes se partagent le plus grand nombre de tours bouclés lors de la deuxième séance nocturne : les deux pilotes des BMW Sauber Kubica, Heidfeld et la Force India de Sutil, 36 tours chacun.
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Les ingénieurs de lewis Hamillton ont travaillé Fort pour lui offir de la lumiere pour le Grand prix du W-E http://fr.youtube.com/watch?v=kZJeex4YnQ0
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La lumière du jour avait fait place à celle des milliers de projecteurs érigés aux abords du circuit de Singapour lorsque les pilotes sont venus se ranger sur la grille de départ. Le thermomètre affichait 28° dans l’air et 32° au sol. Le vent avoisinait les 2 mètres/seconde.
Côte à côte sur la première ligne, Felipe Massa et Lewis Hamilton savaient jouer "gros" à l’extinction des feux rouges. Le pilote de la Ferrari virait logiquement en tête suivi de la McLaren Mercedes.
Derrière eux, Räikkönen conservait l’avantage sur Kubica, Vettel, Glock, Kovalainen, Heidfeld, Trulli et Rosberg.
Massa comptait déjà plus d’une seconde d’avance sur Hamilton à la fin du premier tour – mais Lewis ne laissait pas Felipe s’échapper !
Dans le peloton, Trulli défendait bec et ongle sa 9ème place sous la pression de Rosberg. Nico réussissait à dépasser l’Italien dans le 6ème tour. Un peu plus loin, Alonso cherchait l’ouverture dans le sillage de Nakajima pour le gain de la 11ème place. Le Japonais, puis l’Espagnol viendront également à bout de la Toyota…
Après 10 tours, Massa devançait Hamilton + 3.3, Räikkönen + 7.3, Kubica + 14.9, Vettel + 21.9, Glock + 23.6, Kovalainen + 25.8, Heidfeld + 27.3, Rosberg + 38.0 et Nakajima + 47.8
Alonso – dès la fin du 12ème tour – était le premier à faire un arrêt au stand.
Parti tout-droit au freinage au 14ème tour, Bourdais parvenait à remettre sa Toro Rosso dans le sens de la marche.
A l’entame du 15ème tour, une intervention du "safety-car" était nécessaire pour dégager la Renault de Nelsinho Piquet, parti à la faute dans le virage n°17. Le Brésilien s’en tirait fort heureusement sans mal.
Pendant l’intervention de la voiture de sécurité, Rubens Barrichello immobilisait sa Honda en piste alors qu’il venait de ressortir des stands.
L’arrêt au stand de Felipe Massa tournait à la catastrophe lorsque le Brésilien se voyait intimé l’ordre de repartir alors que le tuyau de la machine de ravitaillement était encore solidement attaché à sa Ferrari. Il faudra une longue intervention des mécaniciens pour arracher le tuyau. Un incident qui retardait également Räikkönen…
Massa allait être plus tard pénalisé d’un passage obligatoire par les stands pour avoir causé ce désordre.
Passé au stand au moment de l’intervention du "safety-car", Nico Rosberg se retrouvait en tête, suivi de Trulli et Fisichella – les seuls à ne pas s’être arrêtés lorsque la course était relancée.
Malheureusement pour le pilote Williams, il sera puni d’un "stop & go" de 10 secondes. Une sanction qui frappait également Robert Kubica.
A la fin du 30ème des 61 tours à parcourir, Jarno et sa Toyota – toujours pas passés au stand – occupaient les commandes de la course, devant Alonso + 10.6, Rosberg + 14.1, Coulthard + 17.7, Hamilton + 18.5, Glock + 20.8, Vettel + 22.4, Heidfeld + 23.1, Nakajima + 24.3 et Button + 27.8
Jarno Trulli effectuait son unique passage à la pompe au début du 33ème tour, laissant les commandes à Fernando Alonso, leader avec près de 5 secondes sur Rosberg. Au 40ème tour, la Renault comptait un peu plus de 8 secondes sur la Williams – au moment où Nico effectuait son deuxième ravitaillement. Le leader espagnol stoppait un tour plus tard.
Dans le peloton, Hamilton – blotti dans le sillage de la Red Bull de Coulthard depuis un long moment – venait finalement à bout de la résistance de l’Ecossais juste avant leur deuxième arrêt.
A 15 tours de l’arrivée, Fernando Alonso devançait Rosberg + 16.3, Räikkönen + 17.8, Hamilton + 25.8, Glock + 32.9, Trulli + 39.3, Vettel + 40.5, Heidfeld + 41.3, Coulthard + 46.1 et Nakajima + 52.7
Victime d’un problème technique, Trulli regagnait le stand Toyota au ralenti à 10 tours du drapeau à damiers. Dans la foulée, un tête-à-queue de Massa - surpris par la monoplace de Jarno à faible allure – obligeait la Force India de Sutil à tirer droit dans le décor ! Un incident qui provoquait une nouvelle intervention du "safety-car"…
La course était relancée à 8 tours de l’arrivée - Fernando Alonso sous la menace de Rosberg, Hamilton, Glock, Räikkönen, Vettel, Heidfeld, Coulthard, Nakajima et Button.
Le pilote de la Renault maîtrisait parfaitement le redémarrage – et filait sans se retourner vers son premier succès en Grand Prix depuis Monza… en 2007 – sa 20ème victoire en F1. L’équipe Renault renoue ainsi avec la victoire, la première depuis le Grand Prix du Japon 2006, avec Alonso !
Nico Rosberg accède à la deuxième marche du podium – le deuxième de sa carrière. Le pilote de l’équipe Williams signe là son meilleur résultat en Grand Prix.
3ème – Lewis Hamilton réalise la bonne opération au classement du championnat et profite des déboires de Felipe Massa – seulement 13ème - pour reprendre 7 points d’avance avant les trois dernières courses de la saison
Pour la 4ème fois consécutive, Kimi Räikkönen ne marquera pas de point : la faute à une sortie de piste à 4 tours du drapeau à damiers dans le virage n°10 ! Le Finlandais se consolera une nouvelle fois avec le tour le plus rapide en course, le 10ème…
Vainqueur surprise à Monza, Sebastian Vettel a brillamment défendu sa place dans le peloton et décroche la 5ème place, dans le sillage de la Toyota de son compatriote Timo Glock. Nick Heidfeld, David Coulthard et Kazuki Nakajima se partagent les dernières places dans le Top 8
Prochain rendez-vous, au Japon - sur le Fuji International Speedway - les 10, 11 et 12 octobre.
Côte à côte sur la première ligne, Felipe Massa et Lewis Hamilton savaient jouer "gros" à l’extinction des feux rouges. Le pilote de la Ferrari virait logiquement en tête suivi de la McLaren Mercedes.
Derrière eux, Räikkönen conservait l’avantage sur Kubica, Vettel, Glock, Kovalainen, Heidfeld, Trulli et Rosberg.
Massa comptait déjà plus d’une seconde d’avance sur Hamilton à la fin du premier tour – mais Lewis ne laissait pas Felipe s’échapper !
Dans le peloton, Trulli défendait bec et ongle sa 9ème place sous la pression de Rosberg. Nico réussissait à dépasser l’Italien dans le 6ème tour. Un peu plus loin, Alonso cherchait l’ouverture dans le sillage de Nakajima pour le gain de la 11ème place. Le Japonais, puis l’Espagnol viendront également à bout de la Toyota…
Après 10 tours, Massa devançait Hamilton + 3.3, Räikkönen + 7.3, Kubica + 14.9, Vettel + 21.9, Glock + 23.6, Kovalainen + 25.8, Heidfeld + 27.3, Rosberg + 38.0 et Nakajima + 47.8
Alonso – dès la fin du 12ème tour – était le premier à faire un arrêt au stand.
Parti tout-droit au freinage au 14ème tour, Bourdais parvenait à remettre sa Toro Rosso dans le sens de la marche.
A l’entame du 15ème tour, une intervention du "safety-car" était nécessaire pour dégager la Renault de Nelsinho Piquet, parti à la faute dans le virage n°17. Le Brésilien s’en tirait fort heureusement sans mal.
Pendant l’intervention de la voiture de sécurité, Rubens Barrichello immobilisait sa Honda en piste alors qu’il venait de ressortir des stands.
L’arrêt au stand de Felipe Massa tournait à la catastrophe lorsque le Brésilien se voyait intimé l’ordre de repartir alors que le tuyau de la machine de ravitaillement était encore solidement attaché à sa Ferrari. Il faudra une longue intervention des mécaniciens pour arracher le tuyau. Un incident qui retardait également Räikkönen…
Massa allait être plus tard pénalisé d’un passage obligatoire par les stands pour avoir causé ce désordre.
Passé au stand au moment de l’intervention du "safety-car", Nico Rosberg se retrouvait en tête, suivi de Trulli et Fisichella – les seuls à ne pas s’être arrêtés lorsque la course était relancée.
Malheureusement pour le pilote Williams, il sera puni d’un "stop & go" de 10 secondes. Une sanction qui frappait également Robert Kubica.
A la fin du 30ème des 61 tours à parcourir, Jarno et sa Toyota – toujours pas passés au stand – occupaient les commandes de la course, devant Alonso + 10.6, Rosberg + 14.1, Coulthard + 17.7, Hamilton + 18.5, Glock + 20.8, Vettel + 22.4, Heidfeld + 23.1, Nakajima + 24.3 et Button + 27.8
Jarno Trulli effectuait son unique passage à la pompe au début du 33ème tour, laissant les commandes à Fernando Alonso, leader avec près de 5 secondes sur Rosberg. Au 40ème tour, la Renault comptait un peu plus de 8 secondes sur la Williams – au moment où Nico effectuait son deuxième ravitaillement. Le leader espagnol stoppait un tour plus tard.
Dans le peloton, Hamilton – blotti dans le sillage de la Red Bull de Coulthard depuis un long moment – venait finalement à bout de la résistance de l’Ecossais juste avant leur deuxième arrêt.
A 15 tours de l’arrivée, Fernando Alonso devançait Rosberg + 16.3, Räikkönen + 17.8, Hamilton + 25.8, Glock + 32.9, Trulli + 39.3, Vettel + 40.5, Heidfeld + 41.3, Coulthard + 46.1 et Nakajima + 52.7
Victime d’un problème technique, Trulli regagnait le stand Toyota au ralenti à 10 tours du drapeau à damiers. Dans la foulée, un tête-à-queue de Massa - surpris par la monoplace de Jarno à faible allure – obligeait la Force India de Sutil à tirer droit dans le décor ! Un incident qui provoquait une nouvelle intervention du "safety-car"…
La course était relancée à 8 tours de l’arrivée - Fernando Alonso sous la menace de Rosberg, Hamilton, Glock, Räikkönen, Vettel, Heidfeld, Coulthard, Nakajima et Button.
Le pilote de la Renault maîtrisait parfaitement le redémarrage – et filait sans se retourner vers son premier succès en Grand Prix depuis Monza… en 2007 – sa 20ème victoire en F1. L’équipe Renault renoue ainsi avec la victoire, la première depuis le Grand Prix du Japon 2006, avec Alonso !
Nico Rosberg accède à la deuxième marche du podium – le deuxième de sa carrière. Le pilote de l’équipe Williams signe là son meilleur résultat en Grand Prix.
3ème – Lewis Hamilton réalise la bonne opération au classement du championnat et profite des déboires de Felipe Massa – seulement 13ème - pour reprendre 7 points d’avance avant les trois dernières courses de la saison
Pour la 4ème fois consécutive, Kimi Räikkönen ne marquera pas de point : la faute à une sortie de piste à 4 tours du drapeau à damiers dans le virage n°10 ! Le Finlandais se consolera une nouvelle fois avec le tour le plus rapide en course, le 10ème…
Vainqueur surprise à Monza, Sebastian Vettel a brillamment défendu sa place dans le peloton et décroche la 5ème place, dans le sillage de la Toyota de son compatriote Timo Glock. Nick Heidfeld, David Coulthard et Kazuki Nakajima se partagent les dernières places dans le Top 8
Prochain rendez-vous, au Japon - sur le Fuji International Speedway - les 10, 11 et 12 octobre.
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Valentino Rossi est devenu champion du monde motocycliste pour la 8e fois, dimanche passé au Japon. Grâce à ce nouveau triomphe, le champion italien estime qu'il mérite une petite récompense.
"J'aimerais piloter une Ferrari une fois encore. Pas une voiture de route, mais une F1. C'est seulement un désir, sans penser du tout à un avenir en F1," déclare Rossi dans les colonnes de la La Gazzetta dello Sport.
Valentino Rossi a déjà 29 ans et il a encore un contrat avec Yamaha jusqu'à la fin de l'année 2011. "Commencer une carrière en F1 à 31 ans, c'est peut-être un peu tard," ajoute Valentino.
Chez Ferrari, on se dit prêt à offrir ce petit cadeau à Valentino Rossi. "C'est un type génial. Avec lui, tout est possible," affirme Stefano Domenicali, le directeur de la Scuderia Ferrari.
"J'aimerais piloter une Ferrari une fois encore. Pas une voiture de route, mais une F1. C'est seulement un désir, sans penser du tout à un avenir en F1," déclare Rossi dans les colonnes de la La Gazzetta dello Sport.
Valentino Rossi a déjà 29 ans et il a encore un contrat avec Yamaha jusqu'à la fin de l'année 2011. "Commencer une carrière en F1 à 31 ans, c'est peut-être un peu tard," ajoute Valentino.
Chez Ferrari, on se dit prêt à offrir ce petit cadeau à Valentino Rossi. "C'est un type génial. Avec lui, tout est possible," affirme Stefano Domenicali, le directeur de la Scuderia Ferrari.
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Le Brésilien Bruno Senna l’a confirmé, les négociations en vue de ses débuts en F1 l’an prochain en sont à un stade prometteur !
Neveu d’Ayrton – tragiquement disparu en course à Imola en 1994 – Bruno a fait ses débuts en compétition sur le tard, en 2004, par le biais de la Formule BMW en Angleterre.
Passé à la Formule 3 l’année suivante, le jeune Senna terminait 3ème en 2006 avec 5 victoires à la clé.
Promu dans les GP2 Series en 2007, il y a terminé vice-champion cette saison avec deux succès, lors de la course "longue" à Monaco et de l’épreuve "sprint" à Silverstone. Au total, Senna est monté six fois sur le podium lors des 20 courses disputées et signé trois pole position.
« De toute évidence, c’était une grande saison en GP2 – avec quelques hauts et quelques bas - mais suffisant pour terminer deuxième. Je pense que ça m'a donné de bonnes possibilités pour aller en F1 l'année prochaine » estime le Brésilien cité par l’agence Reuters.
« Nous avons disputé avec quelques équipes et un petit nombre d’entre elles ont montré beaucoup d'intérêt » déclare Bruno. « Il y a des possibilités en tant que titulaires, et d’autres comme pilote d’essais. Mais il y a beaucoup de concurrence ! »
Toro Rosso – dont le copropriétaire, Gerhard Berger, est un ami proche de la famille Senna – est souvent citée comme la destination idéale pour le jeune brésilien : « C’est l'une des possibilités, mais ce n'est pas la seule ! »
Neveu d’Ayrton – tragiquement disparu en course à Imola en 1994 – Bruno a fait ses débuts en compétition sur le tard, en 2004, par le biais de la Formule BMW en Angleterre.
Passé à la Formule 3 l’année suivante, le jeune Senna terminait 3ème en 2006 avec 5 victoires à la clé.
Promu dans les GP2 Series en 2007, il y a terminé vice-champion cette saison avec deux succès, lors de la course "longue" à Monaco et de l’épreuve "sprint" à Silverstone. Au total, Senna est monté six fois sur le podium lors des 20 courses disputées et signé trois pole position.
« De toute évidence, c’était une grande saison en GP2 – avec quelques hauts et quelques bas - mais suffisant pour terminer deuxième. Je pense que ça m'a donné de bonnes possibilités pour aller en F1 l'année prochaine » estime le Brésilien cité par l’agence Reuters.
« Nous avons disputé avec quelques équipes et un petit nombre d’entre elles ont montré beaucoup d'intérêt » déclare Bruno. « Il y a des possibilités en tant que titulaires, et d’autres comme pilote d’essais. Mais il y a beaucoup de concurrence ! »
Toro Rosso – dont le copropriétaire, Gerhard Berger, est un ami proche de la famille Senna – est souvent citée comme la destination idéale pour le jeune brésilien : « C’est l'une des possibilités, mais ce n'est pas la seule ! »
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L'année dernière, à deux courses de la fin de la saison, Lewis Hamilton avait 17 points de plus que Kimi Raikkonen. Il était évident que pour le jeune britannique, la conquête du titre mondial, le premier de sa carrière, n'allait être qu'une formalité...
C'est finalement Kimi Raikkonen qui remporta le titre mondial des pilotes, profitant des erreurs de Lewis Hamilton et de son équipe. La surprise a été totale, même pour Kimi Raikkonen et Ferrari.
Martin Whitmarsh, le directeur de l'équipe McLaren, ne veut pas que cela se reproduise cette année. "Je pense que la principale faiblesse de McLaren et de Lewis l'année dernière est que nous voulions gagner en prenant tous les risques. C'était compréhensible pour un pilote comme Lewis, car on peut s'attendre à ça d'un jeune pilote. Quant à nous, en tant qu'équipe, nous aurions dû être bien plus disciplinés," déclare-t-il dans les colonnes du Guardian.
"Nous voulions gagner en 2007, mais nous avons pris trop de risques alors que nous n'avions pas besoin de le faire. Ce n'est pas comme ça qu'on gagne un championnat," ajoute Martin Whitmarsh.
Cette nouvelle politique de l'équipe McLaren, teintée d'une grande prudence, était déjà d'application dimanche passé à Singapour. McLaren a en effet demandé à Lewis Hamilton de ne pas tenter le diable en allant attaquer Rosberg. On pourrait donc voir un Lewis Hamilton très prudent en cette fin de saison...
C'est finalement Kimi Raikkonen qui remporta le titre mondial des pilotes, profitant des erreurs de Lewis Hamilton et de son équipe. La surprise a été totale, même pour Kimi Raikkonen et Ferrari.
Martin Whitmarsh, le directeur de l'équipe McLaren, ne veut pas que cela se reproduise cette année. "Je pense que la principale faiblesse de McLaren et de Lewis l'année dernière est que nous voulions gagner en prenant tous les risques. C'était compréhensible pour un pilote comme Lewis, car on peut s'attendre à ça d'un jeune pilote. Quant à nous, en tant qu'équipe, nous aurions dû être bien plus disciplinés," déclare-t-il dans les colonnes du Guardian.
"Nous voulions gagner en 2007, mais nous avons pris trop de risques alors que nous n'avions pas besoin de le faire. Ce n'est pas comme ça qu'on gagne un championnat," ajoute Martin Whitmarsh.
Cette nouvelle politique de l'équipe McLaren, teintée d'une grande prudence, était déjà d'application dimanche passé à Singapour. McLaren a en effet demandé à Lewis Hamilton de ne pas tenter le diable en allant attaquer Rosberg. On pourrait donc voir un Lewis Hamilton très prudent en cette fin de saison...
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Cet après-midi à Paris, Flavio Briatore rencontrera Carlos Ghosn, le président du groupe Renault.
Les deux hommes parleront de l'avenir de l'équipe de F1 (budget, pilotes), mais aussi des changements à apporter au management de l'équipe.
Tout en gardant le contrôle sur l'équipe, Flavio Briatore a en effet exprimé le souhait de prendre un peu de recul.
"Mon rôle ne consistera plus à avoir tout à l'oeil. Il y aura un directeur que j'ai déjà choisi et il sera en charge de la gestion au quotidien. Grâce à ça, je pourrai me concentrer sur les choses les plus importantes," déclare-t-il dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport
Concernant l'avenir de Fernando Alonso chez Renault, rien de neuf d'après Briatore : "Sa victoire à Singapour n'a rien changé. Fernando n'a offert ses services à personne et je pense qu'il serait ravi de rester avec nous. Nous devons en discuter à la fin de la saison. Que puis-je lui offrir ? Une voiture compétitive et les bonnes cartes pour qu'il ait un bon jeu en main.
"
L'année prochaine, Renault devrait avoir l'argent nécessaire pour satisfaire les ambitions de Briatore et de Fernando Alonso, mais l'argent seul ne suffit pas : "S'il n'y avait que l'argent qui comptait, Toyota devrait remporter toutes les courses," ajoute Briatore qui a reçu l'assurance que Renault ne diminuera pas son budget alloué à la F1. C'est déjà une grande victoire de nos jours...
Quant à l'équipier d'Alonso en 2009, Flavio Briatore n'a pas voulu confirmer Nelson Piquet. D'après le manager italien, Nelson signe de belles performances... avant les qualifications ! Briatore dit qu'il doit encore réfléchir à ce problème.
Les deux hommes parleront de l'avenir de l'équipe de F1 (budget, pilotes), mais aussi des changements à apporter au management de l'équipe.
Tout en gardant le contrôle sur l'équipe, Flavio Briatore a en effet exprimé le souhait de prendre un peu de recul.
"Mon rôle ne consistera plus à avoir tout à l'oeil. Il y aura un directeur que j'ai déjà choisi et il sera en charge de la gestion au quotidien. Grâce à ça, je pourrai me concentrer sur les choses les plus importantes," déclare-t-il dans les colonnes de la Gazzetta dello Sport
Concernant l'avenir de Fernando Alonso chez Renault, rien de neuf d'après Briatore : "Sa victoire à Singapour n'a rien changé. Fernando n'a offert ses services à personne et je pense qu'il serait ravi de rester avec nous. Nous devons en discuter à la fin de la saison. Que puis-je lui offrir ? Une voiture compétitive et les bonnes cartes pour qu'il ait un bon jeu en main.
"
L'année prochaine, Renault devrait avoir l'argent nécessaire pour satisfaire les ambitions de Briatore et de Fernando Alonso, mais l'argent seul ne suffit pas : "S'il n'y avait que l'argent qui comptait, Toyota devrait remporter toutes les courses," ajoute Briatore qui a reçu l'assurance que Renault ne diminuera pas son budget alloué à la F1. C'est déjà une grande victoire de nos jours...
Quant à l'équipier d'Alonso en 2009, Flavio Briatore n'a pas voulu confirmer Nelson Piquet. D'après le manager italien, Nelson signe de belles performances... avant les qualifications ! Briatore dit qu'il doit encore réfléchir à ce problème.
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Au niveau des transferts des pilotes, cette saison 2008 semble plus calme que la précédente, mais ce calme est peut-être précurseur d'une prochaine tempête.
Tout dépend de ce que Fernando Alonso décidera d'ici la fin de la saison. Voici un résumé de la situation actuelle.
Ferrari:
Cet été, on a très longtemps pensé que Kimi Raikkonen allait tout simplement mettre un terme à sa carrière en F1 à la fin de la saison 2008, ou au plus tard à la fin de l'année 2009.
C'est ce qui a poussé de nombreux pilotes, dont Alonso et Kubica, à retarder les négociations avec leurs équipes respectives. Ces deux-là se voient en effet un jour ou l'autre chez Ferrari...
Malheureusement pour Robert Kubica et Fernando Alonso, Kimi Raikkonen et Ferrari ont décidé de prolonger leur collaboration jusqu'à la fin de l'année 2010. Felipe Massa étant lié à la Scuderia jusqu'à cette même date, inutile de se faire des illusions sur un hypothétique baquet libre chez Ferrari avant 2011.
McLaren Mercedes:
Lewis Hamilton est lié à l'équipe McLaren jusqu'à la fin de l'année 2012. De nos jours en F1, on ne signe plus des contrats à la durée aussi longue, mais Lewis fait partie de la famille et ça change tout.
Pour seconder Hamilton en 2009, McLaren fera encore confiance à Heikki Kovalainen, un équipier particulièrement discret, mais qui pourrait monter en puissance l'année prochaine. L'équipe McLaren lui a en effet promis un programme de "remise à niveau" dès cet hiver.
BMW Sauber:
On ne peut pas dire que Robert Kubica et Nick Heidfeld aient démérité cette année, mais ni l'un ni l'autre n'a l'assurance de rouler pour cette équipe en 2009. Robert Kubica, parce qu'il hésite à apposer sa signature sur le contrat pluriannuel que lui propose BMW, et Nick Heidfeld parce que Mario Theissen essaye de faire venir Alonso chez lui et on peut penser que c’est l’Allemand qui pourrait faire les frais de ce transfert... s'il se concrétise.
Si Fernando Alonso prolonge sa collaboration avec Renault, l'équipe BMW pourrait donc se présenter au départ de la saison 2009 avec les mêmes pilotes que cette année... même si une surprise de dernière minute n'est pas à écarter.
Renault:
Aux dernières nouvelles, Fernando Alonso devrait poursuivre sa collaboration avec Renault en 2009, bien que rien ne soit encore officiel. Le double champion du monde espagnol a toujours l'espoir de rejoindre la Scuderia Ferrari, un jour ou l'autre, mais celle-ci a confirmé Massa et Raikkonen jusqu'à la fin de l'année 2010. Alonso devra donc se montrer très patient.
Quant à Nelson Piquet, il n'est pas impossible que Renault lui fasse encore confiance l'année prochaine, malgré une première saison en F1 en dents de scie. Là aussi, il nous faudra attendre une confirmation qui ne devrait arriver, pour lui et pour Alonso, qu'après la fin de la saison.
Toyota:
Sauf très grosse surprise, Jarno Trulli et Timo Glock seront encore équipiers l'année prochaine chez Toyota. Ces deux pilotes sont très rapides et semblent bien travailler ensemble.
Toro Rosso Ferrari:
Gerhard Berger, copropriétaire de l'équipe, se dit plutôt satisfait des dernières prestations de Sébastien Bourdais (Spa et Monza), mais il aimerait que le Français marque plus de points au championnat. Le Français aurait pu frapper un grand coup à Singapour, mais il est malheureusement passé à travers son week-end...
Si Sébastien Bourdais parvient à décrocher son ticket pour la saison 2009, il faudra que Toro Rosso lui trouve un nouvel équipier puisque Sebastian Vettel roulera pour l'équipe soeur Red Bull en 2009. Il y a quelques semaines à Jerez, Toro Rosso a testé Takuma Sato et Sébastien Buemi. Si le premier a une réputation qui n'est plus à faire, le second semble un peu tendre pour faire le grand saut en F1 dès l'année prochaine. Bruno Senna, le neveu du regretté Ayrton, est lui aussi sur les rangs pour ce baquet.
Red Bull Renault:
David Coulthard a décidé de prendre une retraite sportive bien méritée et c'est le jeune Sebastian Vettel qui prendra sa place chez Red Bull. Le pilote allemand ne sera pas vraiment en terrain inconnu puisque Red Bull et son équipe actuelle Toro Rosso partagent le même châssis. Reste à Vettel de découvrir le moteur Renault, ce qu'il a déjà commencé à le faire en essais privés cette année.
L'Australien Mark Webber sera l'équipier de Vettel. Il est toujours préférable pour une équipe de garder l'un de ces deux pilotes d'une année sur l'autre. Celui-ci peut en effet servir de "référence" afin de mesurer plus précisément ce qu'apporte le nouveau venu
Williams Toyota:
L'équipe Williams affiche désormais complet! Le jeune Nico Rosberg poursuivra sa collaboration avec Williams une année de plus. Nico a bien été approché par d'autres équipes, mais il a finalement décidé de rester une année de plus au sein de l'équipe qui a été la première à lui donner sa chance en F1. Espérons seulement que cette fidélité ne sera pas néfaste à la suite de sa carrière.
Quant au second baquet, Frank Williams le confiera encore à Kazuki Nakajima. Le jeune pilote japonais ne semble pas manquer de talent, mais il est très faible en qualification, ce qui le met en position de faiblesse le lendemain en course.
Nakajima a heureusement pour lui le soutien de Toyota, le principal partenaire technique de Williams. Frank Williams a donc décidé de garder Kazuki une année de plus.
Honda:
Difficile de dire ce qui est prévu chez Honda l'année prochaine. Jenson Button et Rubens Barrichello ont de bonnes chances de poursuivre leur collaboration avec l'équipe japonaise une année de plus, mais ils ne peuvent pas ignorer que leur patron Ross Brawn a essayé de faire venir Fernando Alonso chez lui.
Alonso ne viendra pas chez Honda, mais Button et Barrichello ne sont pas pour autant rassurés sur leur avenir, d'autant plus qu'ils n'ont toujours pas signé le moindre contrat pour la saison 2009.
Force India Ferrari:
Giancarlo Fisichella et Adrian Sutil vont-ils rester chez Force India une année de plus? C'est bien possible, mais rien n'a encore été confirmé pour l'instant. On sait que Vijay Mallya, propriétaire indien de Force India, rêve de mettre un de ses compatriotes au volant de l'une de ses voitures. Karun Chandhok pourrait être celui-là, lui qui a remporté son premier succès en GP2 cette année à Hockenheim. Si Chandhok reçoit cette promotion, un des deux pilotes actuels, Sutil ou Fisichella, pourrait en faire les frais.
Tout dépend de ce que Fernando Alonso décidera d'ici la fin de la saison. Voici un résumé de la situation actuelle.
Ferrari:
Cet été, on a très longtemps pensé que Kimi Raikkonen allait tout simplement mettre un terme à sa carrière en F1 à la fin de la saison 2008, ou au plus tard à la fin de l'année 2009.
C'est ce qui a poussé de nombreux pilotes, dont Alonso et Kubica, à retarder les négociations avec leurs équipes respectives. Ces deux-là se voient en effet un jour ou l'autre chez Ferrari...
Malheureusement pour Robert Kubica et Fernando Alonso, Kimi Raikkonen et Ferrari ont décidé de prolonger leur collaboration jusqu'à la fin de l'année 2010. Felipe Massa étant lié à la Scuderia jusqu'à cette même date, inutile de se faire des illusions sur un hypothétique baquet libre chez Ferrari avant 2011.
McLaren Mercedes:
Lewis Hamilton est lié à l'équipe McLaren jusqu'à la fin de l'année 2012. De nos jours en F1, on ne signe plus des contrats à la durée aussi longue, mais Lewis fait partie de la famille et ça change tout.
Pour seconder Hamilton en 2009, McLaren fera encore confiance à Heikki Kovalainen, un équipier particulièrement discret, mais qui pourrait monter en puissance l'année prochaine. L'équipe McLaren lui a en effet promis un programme de "remise à niveau" dès cet hiver.
BMW Sauber:
On ne peut pas dire que Robert Kubica et Nick Heidfeld aient démérité cette année, mais ni l'un ni l'autre n'a l'assurance de rouler pour cette équipe en 2009. Robert Kubica, parce qu'il hésite à apposer sa signature sur le contrat pluriannuel que lui propose BMW, et Nick Heidfeld parce que Mario Theissen essaye de faire venir Alonso chez lui et on peut penser que c’est l’Allemand qui pourrait faire les frais de ce transfert... s'il se concrétise.
Si Fernando Alonso prolonge sa collaboration avec Renault, l'équipe BMW pourrait donc se présenter au départ de la saison 2009 avec les mêmes pilotes que cette année... même si une surprise de dernière minute n'est pas à écarter.
Renault:
Aux dernières nouvelles, Fernando Alonso devrait poursuivre sa collaboration avec Renault en 2009, bien que rien ne soit encore officiel. Le double champion du monde espagnol a toujours l'espoir de rejoindre la Scuderia Ferrari, un jour ou l'autre, mais celle-ci a confirmé Massa et Raikkonen jusqu'à la fin de l'année 2010. Alonso devra donc se montrer très patient.
Quant à Nelson Piquet, il n'est pas impossible que Renault lui fasse encore confiance l'année prochaine, malgré une première saison en F1 en dents de scie. Là aussi, il nous faudra attendre une confirmation qui ne devrait arriver, pour lui et pour Alonso, qu'après la fin de la saison.
Toyota:
Sauf très grosse surprise, Jarno Trulli et Timo Glock seront encore équipiers l'année prochaine chez Toyota. Ces deux pilotes sont très rapides et semblent bien travailler ensemble.
Toro Rosso Ferrari:
Gerhard Berger, copropriétaire de l'équipe, se dit plutôt satisfait des dernières prestations de Sébastien Bourdais (Spa et Monza), mais il aimerait que le Français marque plus de points au championnat. Le Français aurait pu frapper un grand coup à Singapour, mais il est malheureusement passé à travers son week-end...
Si Sébastien Bourdais parvient à décrocher son ticket pour la saison 2009, il faudra que Toro Rosso lui trouve un nouvel équipier puisque Sebastian Vettel roulera pour l'équipe soeur Red Bull en 2009. Il y a quelques semaines à Jerez, Toro Rosso a testé Takuma Sato et Sébastien Buemi. Si le premier a une réputation qui n'est plus à faire, le second semble un peu tendre pour faire le grand saut en F1 dès l'année prochaine. Bruno Senna, le neveu du regretté Ayrton, est lui aussi sur les rangs pour ce baquet.
Red Bull Renault:
David Coulthard a décidé de prendre une retraite sportive bien méritée et c'est le jeune Sebastian Vettel qui prendra sa place chez Red Bull. Le pilote allemand ne sera pas vraiment en terrain inconnu puisque Red Bull et son équipe actuelle Toro Rosso partagent le même châssis. Reste à Vettel de découvrir le moteur Renault, ce qu'il a déjà commencé à le faire en essais privés cette année.
L'Australien Mark Webber sera l'équipier de Vettel. Il est toujours préférable pour une équipe de garder l'un de ces deux pilotes d'une année sur l'autre. Celui-ci peut en effet servir de "référence" afin de mesurer plus précisément ce qu'apporte le nouveau venu
Williams Toyota:
L'équipe Williams affiche désormais complet! Le jeune Nico Rosberg poursuivra sa collaboration avec Williams une année de plus. Nico a bien été approché par d'autres équipes, mais il a finalement décidé de rester une année de plus au sein de l'équipe qui a été la première à lui donner sa chance en F1. Espérons seulement que cette fidélité ne sera pas néfaste à la suite de sa carrière.
Quant au second baquet, Frank Williams le confiera encore à Kazuki Nakajima. Le jeune pilote japonais ne semble pas manquer de talent, mais il est très faible en qualification, ce qui le met en position de faiblesse le lendemain en course.
Nakajima a heureusement pour lui le soutien de Toyota, le principal partenaire technique de Williams. Frank Williams a donc décidé de garder Kazuki une année de plus.
Honda:
Difficile de dire ce qui est prévu chez Honda l'année prochaine. Jenson Button et Rubens Barrichello ont de bonnes chances de poursuivre leur collaboration avec l'équipe japonaise une année de plus, mais ils ne peuvent pas ignorer que leur patron Ross Brawn a essayé de faire venir Fernando Alonso chez lui.
Alonso ne viendra pas chez Honda, mais Button et Barrichello ne sont pas pour autant rassurés sur leur avenir, d'autant plus qu'ils n'ont toujours pas signé le moindre contrat pour la saison 2009.
Force India Ferrari:
Giancarlo Fisichella et Adrian Sutil vont-ils rester chez Force India une année de plus? C'est bien possible, mais rien n'a encore été confirmé pour l'instant. On sait que Vijay Mallya, propriétaire indien de Force India, rêve de mettre un de ses compatriotes au volant de l'une de ses voitures. Karun Chandhok pourrait être celui-là, lui qui a remporté son premier succès en GP2 cette année à Hockenheim. Si Chandhok reçoit cette promotion, un des deux pilotes actuels, Sutil ou Fisichella, pourrait en faire les frais.
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Le prochain Grand Prix du Japon est bien sûr la course "à domicile" du manufacturier de pneus Bridgestone. C'est en effet en 1931 que cette société a été créée au Japon par un certain Ishibashi dont le nom se traduit en anglais par "stone bridge". Tout s'explique.
Aujourd'hui, Bridgestone est le plus grand fabricant au monde de produits en caoutchouc. Cette société a aujourd'hui 16,9% du marché mondial du pneumatique automobile et fabrique notamment 60.000 pneus par an pour la seule F1.
"Nos pneus pour la F1 sont fabriqués dans une usine où l'on fait aussi des pneus pour les camions et les autobus. Ils sont bien sûr fabriqués dans un département sous très haute sécurité à cause des technologies de pointe utilisées en F1," explique Hirohide Hamashima, le directeur du développement chez Bridgestone Motorsport.
Bridgestone contrôle minutieusement la fabrication de ses pneus, mais afin qu'il n'y ait aucun favoritisme envers une équipe, la FIA marque les pneus d'un code-barre et distribue elle-même les pneus.
"C'est un système très juste et qui pourrait empêcher les hypothétiques accusations de favoritisme envers une équipe particulière. Nos mesures et celles de la FIA rendent tout favoritisme impossible, même s'il nous venait l'envie de le faire," ajoute Hamashima.
Bridgestone fournira des pneus secs de spécification "tendre" et "medium" aux dix écuries participant au Grand Prix du Japon. La moins dure des deux spécifications de gommes, en l'occurrence la "tendre", sera identifiable par la deuxième rainure en partant de l'intérieur qui sera peinte en blanc.
Aujourd'hui, Bridgestone est le plus grand fabricant au monde de produits en caoutchouc. Cette société a aujourd'hui 16,9% du marché mondial du pneumatique automobile et fabrique notamment 60.000 pneus par an pour la seule F1.
"Nos pneus pour la F1 sont fabriqués dans une usine où l'on fait aussi des pneus pour les camions et les autobus. Ils sont bien sûr fabriqués dans un département sous très haute sécurité à cause des technologies de pointe utilisées en F1," explique Hirohide Hamashima, le directeur du développement chez Bridgestone Motorsport.
Bridgestone contrôle minutieusement la fabrication de ses pneus, mais afin qu'il n'y ait aucun favoritisme envers une équipe, la FIA marque les pneus d'un code-barre et distribue elle-même les pneus.
"C'est un système très juste et qui pourrait empêcher les hypothétiques accusations de favoritisme envers une équipe particulière. Nos mesures et celles de la FIA rendent tout favoritisme impossible, même s'il nous venait l'envie de le faire," ajoute Hamashima.
Bridgestone fournira des pneus secs de spécification "tendre" et "medium" aux dix écuries participant au Grand Prix du Japon. La moins dure des deux spécifications de gommes, en l'occurrence la "tendre", sera identifiable par la deuxième rainure en partant de l'intérieur qui sera peinte en blanc.
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Le groupe Lagardère et la société Euro Disney ont élaboré un projet de circuit de Formule 1 temporaire, dont le plan a été publié la semaine dernière, sur le site du Syndicat d'agglomération nouvelle (SAN) du Val-d'Europe, a-t-on appris lundi de sources concordantes.
Sollicité, le groupe Lagardère n'avait pas confirmé lundi en fin d'après-midi à l'AFP être porteur du projet.
La Fédération française du sport automobile (FFSA) rendra publique le 15 octobre la liste des projets retenus pour l'organisation du Grand Prix de France de Formule 1 en 2010. Cette liste sera ensuite soumise à Bernie Ecclestone, le grand argentier de la Formule 1, qui choisira la proposition qui lui convient le mieux.
Le projet installerait, le temps d'un Grand Prix, le circuit "sous les fenêtres" des parcs de loisirs de Disneyland Resort Paris, selon une porte-parole de Disney. Il utiliserait des portions de voirie publique existante, mais qui seraient doublées, et d'autres qui seraient créées.
Le tracé serait compatible avec la construction d'hôtels, prévue à l'intérieur de la zone qu'il délimite.
La société Disney a précisé qu'elle n'était pas porteuse du projet, qu'elle n'était pas "investie dans le financement, les opérations", mais qu'elle avait donné son accord pour "mettre à disposition un terrain", en posant des conditions en ce qui concerne la pollution atmosphérique et les nuisances sonores.
Les élus du SAN, qui avaient voté en juillet une délibération "s'opposant à l'installation d'un circuit automobile permanent", puis écrit le 17 septembre un courrier en ce sens au Premier Ministre François Fillon, se sont félicités que "le danger d'un circuit permanent semble s'éloigner", tout en affirmant rester vigilants, en l'absence d'une information complète.
Outre le projet présenté par Euro Disney, trois autres candidats se sont déclarés: le département des Yvelines (via les communes de Flins-sur-Seine et les Mureaux), "Magny-Cours 2", qui consiste en une rénovation de l'actuel circuit de Magny-Cours, et le "Val de France" dans le Val d'Oise, près de Sarcelles.
Le Grand Prix de France 2009 est programmé à Magny-Cours, le 28 juin, selon un premier calendrier du Championnat du monde publié cet été qui doit être officialisé dans le courant de l'automne.
Sollicité, le groupe Lagardère n'avait pas confirmé lundi en fin d'après-midi à l'AFP être porteur du projet.
La Fédération française du sport automobile (FFSA) rendra publique le 15 octobre la liste des projets retenus pour l'organisation du Grand Prix de France de Formule 1 en 2010. Cette liste sera ensuite soumise à Bernie Ecclestone, le grand argentier de la Formule 1, qui choisira la proposition qui lui convient le mieux.
Le projet installerait, le temps d'un Grand Prix, le circuit "sous les fenêtres" des parcs de loisirs de Disneyland Resort Paris, selon une porte-parole de Disney. Il utiliserait des portions de voirie publique existante, mais qui seraient doublées, et d'autres qui seraient créées.
Le tracé serait compatible avec la construction d'hôtels, prévue à l'intérieur de la zone qu'il délimite.
La société Disney a précisé qu'elle n'était pas porteuse du projet, qu'elle n'était pas "investie dans le financement, les opérations", mais qu'elle avait donné son accord pour "mettre à disposition un terrain", en posant des conditions en ce qui concerne la pollution atmosphérique et les nuisances sonores.
Les élus du SAN, qui avaient voté en juillet une délibération "s'opposant à l'installation d'un circuit automobile permanent", puis écrit le 17 septembre un courrier en ce sens au Premier Ministre François Fillon, se sont félicités que "le danger d'un circuit permanent semble s'éloigner", tout en affirmant rester vigilants, en l'absence d'une information complète.
Outre le projet présenté par Euro Disney, trois autres candidats se sont déclarés: le département des Yvelines (via les communes de Flins-sur-Seine et les Mureaux), "Magny-Cours 2", qui consiste en une rénovation de l'actuel circuit de Magny-Cours, et le "Val de France" dans le Val d'Oise, près de Sarcelles.
Le Grand Prix de France 2009 est programmé à Magny-Cours, le 28 juin, selon un premier calendrier du Championnat du monde publié cet été qui doit être officialisé dans le courant de l'automne.