Jean Pascal Vs Carl Froch
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- Seigneur de la Causerie
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À 2 jours de disputer le premier combat de championnat du monde de sa carrière à Nottingham en Angleterre, Jean Pascal se sent comme Robin des Bois qui désire ravir à Carl Froch son dû, la ceinture de la WBC pour la ramener au Québec. Le boxeur québécois a accepté de nous décrirer ses états d’âmes en répondant à nos questions.
RDS : Tu es arrivé en Angleterre vendredi en vue de ton combat du 6 décembre, comment les choses se déroulent depuis ton arrivée?
J. Pascal : Ça se passe très bien depuis que je suis arrivé à Nottingham. Les Anglais sont très courtois tout comme les gens du groupe Hennessy qui gèrent la carrière de mon adversaire Carl Froch. J’ai la chance de miser sur une grosse équipe qui m’accompagne ici et tout est sous contrôle. Mon promoteur et mes spécialistes sont déjà présents en Angleterre alors que ma famille et mes amis arriveront jeudi.
RDS : Tu complètes ta préparation cette semaine. De quelle façon crois-tu que tu arriveras à vaincre Carl Froch?
J. Pascal : Malheureusement, je ne peux pas vous dévoiler ma stratégie. Par contre, je peux vous dire de ne pas manquer ce combat. En ce qui concerne ma prédiction, je m’attends à un combat très intéressant et spectaculaire. Mais je ne sais pas si ça se terminera par décision unanime ou mise hors de combat. Vous allez le savoir en regardant le combat. (rires)
RDS : Es-tu confiant de rentrer au pays avec la ceinture autour de ta taille?
J. Pascal : Oui, je suis très confiant de rentrer au pays avec la ceinture de champion du monde. Je me sens comme à mes années au niveau amateur alors qu’une grosse équipe m’entourait. Comme à cette époque, je dispute un combat à l’extérieur du pays et je séjourne dans un hôtel. J’ai souvent vécu un tel contexte quand je devais me battre en Angleterre et en Ukraine par exemple. D’ailleurs, j’obtenais toujours un bon rendement donc je ne suis pas dans l’inconnu présentement. C’est du déjà vu pour moi et je me sens en confiance. De plus, la région dans laquelle je me retrouve ressemble un peu à quelques endroits de Montréal ce qui me permet de ne pas être trop dépayser.
Je pourrais dire que je me sens un peu comme Robin des Bois tandis que Carl Froch représente le shérif de Nottingham. Donc je suis ici pour rapporter au Québec notre dû : la ceinture de la WBC.
RDS : Parlant de dépaysement, était-ce un aspect qui te faisait peur en acceptant d’aller te battre en Angleterre?
J. Pascal : Non, je n’avais pas trop peur d’aller me battre en Angleterre puisque nous avons beaucoup travaillé sur les aspects psychologiques et physiques dans ma préparation. Sans oublier que je connaissais déjà l’Angleterre puisque j’ai boxé dans ce pays à quelques reprises. J’avais déjà été à Liverpool, Manchester et Londres donc je n’avais pas peur de perdre mes repères en arrivant ici. Durant mon camp d’entraînement, nous avons aussi fait de la visualisation sur l’hôtel et l’aréna. D’ailleurs, lundi je suis allé visiter l’aréna où aura lieu le combat. C’est toujours bien de voir l’endroit où je vais boxer. Je ne voulais pas découvrir cet endroit seulement la journée du combat. Quand j’arriverai sur place samedi, je connaîtrai l’endroit et mon vestiaire.
Nous avons travaillé sur tous les aspects pour éviter que je sois déconcentré et que le décalage horaire m’affecte. Il ya un décalage de cinq heures avec l’Angleterre et je suis arrivé ici huit jours avant le combat et ça prend une journée par heure de décalage pour s’habituer.
RDS : D’ici le combat, quelles sont les dernières étapes pour toi?
J. Pascal : Avant le combat de samedi, je dois surtout m’assurer de demeurer concentré. Je fais de l’entraînement léger en piscine et du sauna, mais rien de trop exigeant. Ce n’est pas à une semaine du combat que l’on se met en forme… Je suis rendu à la semaine de récupération pour reprendre mes forces afin d’avoir le plus d’énergie dans le but de boxer à mon meilleur.
Au niveau du poids, tout est sous contrôle. Je n’ai eu aucun problème à me conformer au poids de la pesée de 30 jours avant le combat ainsi que celle à sept jours du combat. J’ai suivi les conseils de ma nutrionniste durant les trois derniers mois et elle m’accompagne aussi en Angleterre. Je suis encadré de tous les côtés avec elle, mon pyschologue sportif, mon entraîneur de conditionnement physique, mes entraîneurs et mon entraîneur.
Bref, je ne vois pas comment ce titre pourrait m’échapper. --Message edité par REY CHEEVAS le 2008-12-04 09:47:59--
RDS : Tu es arrivé en Angleterre vendredi en vue de ton combat du 6 décembre, comment les choses se déroulent depuis ton arrivée?
J. Pascal : Ça se passe très bien depuis que je suis arrivé à Nottingham. Les Anglais sont très courtois tout comme les gens du groupe Hennessy qui gèrent la carrière de mon adversaire Carl Froch. J’ai la chance de miser sur une grosse équipe qui m’accompagne ici et tout est sous contrôle. Mon promoteur et mes spécialistes sont déjà présents en Angleterre alors que ma famille et mes amis arriveront jeudi.
RDS : Tu complètes ta préparation cette semaine. De quelle façon crois-tu que tu arriveras à vaincre Carl Froch?
J. Pascal : Malheureusement, je ne peux pas vous dévoiler ma stratégie. Par contre, je peux vous dire de ne pas manquer ce combat. En ce qui concerne ma prédiction, je m’attends à un combat très intéressant et spectaculaire. Mais je ne sais pas si ça se terminera par décision unanime ou mise hors de combat. Vous allez le savoir en regardant le combat. (rires)
RDS : Es-tu confiant de rentrer au pays avec la ceinture autour de ta taille?
J. Pascal : Oui, je suis très confiant de rentrer au pays avec la ceinture de champion du monde. Je me sens comme à mes années au niveau amateur alors qu’une grosse équipe m’entourait. Comme à cette époque, je dispute un combat à l’extérieur du pays et je séjourne dans un hôtel. J’ai souvent vécu un tel contexte quand je devais me battre en Angleterre et en Ukraine par exemple. D’ailleurs, j’obtenais toujours un bon rendement donc je ne suis pas dans l’inconnu présentement. C’est du déjà vu pour moi et je me sens en confiance. De plus, la région dans laquelle je me retrouve ressemble un peu à quelques endroits de Montréal ce qui me permet de ne pas être trop dépayser.
Je pourrais dire que je me sens un peu comme Robin des Bois tandis que Carl Froch représente le shérif de Nottingham. Donc je suis ici pour rapporter au Québec notre dû : la ceinture de la WBC.
RDS : Parlant de dépaysement, était-ce un aspect qui te faisait peur en acceptant d’aller te battre en Angleterre?
J. Pascal : Non, je n’avais pas trop peur d’aller me battre en Angleterre puisque nous avons beaucoup travaillé sur les aspects psychologiques et physiques dans ma préparation. Sans oublier que je connaissais déjà l’Angleterre puisque j’ai boxé dans ce pays à quelques reprises. J’avais déjà été à Liverpool, Manchester et Londres donc je n’avais pas peur de perdre mes repères en arrivant ici. Durant mon camp d’entraînement, nous avons aussi fait de la visualisation sur l’hôtel et l’aréna. D’ailleurs, lundi je suis allé visiter l’aréna où aura lieu le combat. C’est toujours bien de voir l’endroit où je vais boxer. Je ne voulais pas découvrir cet endroit seulement la journée du combat. Quand j’arriverai sur place samedi, je connaîtrai l’endroit et mon vestiaire.
Nous avons travaillé sur tous les aspects pour éviter que je sois déconcentré et que le décalage horaire m’affecte. Il ya un décalage de cinq heures avec l’Angleterre et je suis arrivé ici huit jours avant le combat et ça prend une journée par heure de décalage pour s’habituer.
RDS : D’ici le combat, quelles sont les dernières étapes pour toi?
J. Pascal : Avant le combat de samedi, je dois surtout m’assurer de demeurer concentré. Je fais de l’entraînement léger en piscine et du sauna, mais rien de trop exigeant. Ce n’est pas à une semaine du combat que l’on se met en forme… Je suis rendu à la semaine de récupération pour reprendre mes forces afin d’avoir le plus d’énergie dans le but de boxer à mon meilleur.
Au niveau du poids, tout est sous contrôle. Je n’ai eu aucun problème à me conformer au poids de la pesée de 30 jours avant le combat ainsi que celle à sept jours du combat. J’ai suivi les conseils de ma nutrionniste durant les trois derniers mois et elle m’accompagne aussi en Angleterre. Je suis encadré de tous les côtés avec elle, mon pyschologue sportif, mon entraîneur de conditionnement physique, mes entraîneurs et mon entraîneur.
Bref, je ne vois pas comment ce titre pourrait m’échapper. --Message edité par REY CHEEVAS le 2008-12-04 09:47:59--
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Les préparatifs en vue du combat de championnat du monde WBC des super moyens entre Jean Pascal et Carl Froch se poursuivent en Angleterre.
Aujourd'hui, on avait droit à la traditionnelle séance de photos des deux pugilistes.
Fait cocasse, Pascal n'a pu s'empêcher de sourire devant son adversaire.
"Je n'ai jamais été capable de m'empêcher de rire lors d'un face-à-face, même lors de mon combat le plus important, un combat de championnat du monde. C'est bon signe, ça veut dire que je suis détendu, que je ne suis pas nerveux."
Le Québécois a même vu des choses chez son adversaire.
"J'ai vu la peur et l'incertitude dans les yeux de Carl Froch."
Aujourd'hui, on avait droit à la traditionnelle séance de photos des deux pugilistes.
Fait cocasse, Pascal n'a pu s'empêcher de sourire devant son adversaire.
"Je n'ai jamais été capable de m'empêcher de rire lors d'un face-à-face, même lors de mon combat le plus important, un combat de championnat du monde. C'est bon signe, ça veut dire que je suis détendu, que je ne suis pas nerveux."
Le Québécois a même vu des choses chez son adversaire.
"J'ai vu la peur et l'incertitude dans les yeux de Carl Froch."
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Lequel des Jean Pascal verrons-nous à Nottingham, au Royaume-Uni, dans un combat pour le titre vacant WBC des super-moyens face au Britannique Carl Froch?
Celui qui a tout balayé sur son passage amateur pour le Canada dans le monde entier ou bien celui qui n’a épaté personne contre ses deux derniers rivaux, Omar Pittman et Brian Norman?
Il est temps qu’un des boxeurs de GYM se lève debout et fasse honneur à ce groupe qui a tellement fait pour la boxe au cours des dernières années.
Joachim Alcine a été éclipsé par Daniel Santos et on ne l’a jamais revu par la suite. Sébastien Demers a perdu une décision contre un boxeur pratiquement inconnu du nom de Dionisio Miranda et pour lui, tout est à recommencer. Enfin, le pugiliste le plus malchanceux du Groupe GYM, Herman Ngoudjo, a été victime de deux décisions douteuses contre Jose Luis Castillo et Paul Malignaggi.
Il est temps qu’un représentant de GYM se lève et fasse honneur à son groupe. Et cette fois, c’est sur les épaules de Jean Pascal que pèse la lourde tâche de ramener au moins un championnat mondial signé GYM.
Comme il faisait bon hier de voir Pascal rafler la médaille d’or aux Jeux du Commonwealth et d’arracher le bronze au Jeux Pan Am. Mais malheureusement, c’était hier. Aujourd’hui, c’est de Carl Froch qu’il faut s’occuper.
Finies les paroles en l’air, les déclarations à l’emporte-pièce. Pour Pascal, c’est le temps de passer à l’action. Depuis quelques années, il a été bien plus fort avec sa margoulette qu’avec ses poings.
Pourtant, le talent est là. Or, comment se fait-il qu’autant de gens doutent de la victoire de Pascal?
En très bonne santé
Pascal prétend qu’enfin, il est en superbe forme pour ce combat. Sa tendinite qui l’avait quelque peu ralenti contre Pittman est complètement guérie. Donc, son épaule droite n’est plus amochée. Son rotateur est solide comme le reste de sa superbe charpente.
Pascal est une émule de Roy Jones. D’ailleurs, il a toujours prétendu que Jones était son idole de jeunesse. Et on se souviendra qu’il n’y a pas si longtemps, Pascal avait des gestes qui ressemblaient à son idole sur le ring. Malheureusement, c’était hier.
Mais le talent est là!
Qu’est-ce que Froch a que Pascal n’a pas…? Peut-être une meilleure opposition au cours de ses derniers combats. Peut-être une force de frappe supérieure à celle de notre Québécois.
Mais il n’est certes pas supérieur défensivement à Jean Pascal.
À ses derniers combats, Froch a passé le K.-O. à Albert Rybacki, un type qui n’avait jamais perdu en 15 combats. Auparavant, Froch avait obligé le vétéran Robin Reid à se retirer d’un combat au cinquième engagement. Et juste avant cet affrontement, Froch avait passé le K.-O. à Sergey Tatevosyan, ce même type qui avait obligé Lucian Bute à batailler pendant douze rounds avant d’arracher le victoire.
La force de frappe de Froch est reconnue. D’ailleurs, il a gagné ses sept derniers combats par mises hors de combat. Ça veut tout dire.
S’il gagne, Jean Pascal sera non seulement la coqueluche du Québec, mais il deviendra riche à craquer. Il est jeune. Il a une belle apparence. Il a un beau style. Il a une assez bonne force de frappe. Bref, il a toutes les allures d’un champion : arrogant, sur de lui-même, bon étudiant de la science de boxe.
Tout ce qui me fait peur, c’est l’état de son épaule droite et comment son menton acceptera-t-il les coups les plus percutants de son rival?
Si son épaule tient le coup, si son menton absorbe sans broncher les coups explosifs de Froch, s’il suit son plan de match, s’il ne s’énerve pas… il sortira victorieux. Autrement, il suivra le même chemin qu’Alcine, Ngoudjo et Demers et devra recommencer au milieu de l’échelle.
Mais, que je trouve donc qu’il y a beaucoup de (si) à la veille de ce combat…
Celui qui a tout balayé sur son passage amateur pour le Canada dans le monde entier ou bien celui qui n’a épaté personne contre ses deux derniers rivaux, Omar Pittman et Brian Norman?
Il est temps qu’un des boxeurs de GYM se lève debout et fasse honneur à ce groupe qui a tellement fait pour la boxe au cours des dernières années.
Joachim Alcine a été éclipsé par Daniel Santos et on ne l’a jamais revu par la suite. Sébastien Demers a perdu une décision contre un boxeur pratiquement inconnu du nom de Dionisio Miranda et pour lui, tout est à recommencer. Enfin, le pugiliste le plus malchanceux du Groupe GYM, Herman Ngoudjo, a été victime de deux décisions douteuses contre Jose Luis Castillo et Paul Malignaggi.
Il est temps qu’un représentant de GYM se lève et fasse honneur à son groupe. Et cette fois, c’est sur les épaules de Jean Pascal que pèse la lourde tâche de ramener au moins un championnat mondial signé GYM.
Comme il faisait bon hier de voir Pascal rafler la médaille d’or aux Jeux du Commonwealth et d’arracher le bronze au Jeux Pan Am. Mais malheureusement, c’était hier. Aujourd’hui, c’est de Carl Froch qu’il faut s’occuper.
Finies les paroles en l’air, les déclarations à l’emporte-pièce. Pour Pascal, c’est le temps de passer à l’action. Depuis quelques années, il a été bien plus fort avec sa margoulette qu’avec ses poings.
Pourtant, le talent est là. Or, comment se fait-il qu’autant de gens doutent de la victoire de Pascal?
En très bonne santé
Pascal prétend qu’enfin, il est en superbe forme pour ce combat. Sa tendinite qui l’avait quelque peu ralenti contre Pittman est complètement guérie. Donc, son épaule droite n’est plus amochée. Son rotateur est solide comme le reste de sa superbe charpente.
Pascal est une émule de Roy Jones. D’ailleurs, il a toujours prétendu que Jones était son idole de jeunesse. Et on se souviendra qu’il n’y a pas si longtemps, Pascal avait des gestes qui ressemblaient à son idole sur le ring. Malheureusement, c’était hier.
Mais le talent est là!
Qu’est-ce que Froch a que Pascal n’a pas…? Peut-être une meilleure opposition au cours de ses derniers combats. Peut-être une force de frappe supérieure à celle de notre Québécois.
Mais il n’est certes pas supérieur défensivement à Jean Pascal.
À ses derniers combats, Froch a passé le K.-O. à Albert Rybacki, un type qui n’avait jamais perdu en 15 combats. Auparavant, Froch avait obligé le vétéran Robin Reid à se retirer d’un combat au cinquième engagement. Et juste avant cet affrontement, Froch avait passé le K.-O. à Sergey Tatevosyan, ce même type qui avait obligé Lucian Bute à batailler pendant douze rounds avant d’arracher le victoire.
La force de frappe de Froch est reconnue. D’ailleurs, il a gagné ses sept derniers combats par mises hors de combat. Ça veut tout dire.
S’il gagne, Jean Pascal sera non seulement la coqueluche du Québec, mais il deviendra riche à craquer. Il est jeune. Il a une belle apparence. Il a un beau style. Il a une assez bonne force de frappe. Bref, il a toutes les allures d’un champion : arrogant, sur de lui-même, bon étudiant de la science de boxe.
Tout ce qui me fait peur, c’est l’état de son épaule droite et comment son menton acceptera-t-il les coups les plus percutants de son rival?
Si son épaule tient le coup, si son menton absorbe sans broncher les coups explosifs de Froch, s’il suit son plan de match, s’il ne s’énerve pas… il sortira victorieux. Autrement, il suivra le même chemin qu’Alcine, Ngoudjo et Demers et devra recommencer au milieu de l’échelle.
Mais, que je trouve donc qu’il y a beaucoup de (si) à la veille de ce combat…
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Jean Pascal a respecté le poids limite à la veille de son combat de championnat du monde des super moyens de la WBC (168 lbs.), présenté à Nottingham en Angleterre.
Le Lavallois a fait osciller la balance à 167 livres et 1 once. Son adversaire Carl Froch accuse pour sa part un poids de 166 livres et 9 onces.
"Comme je l'ai déjà dit cette semaine, je croyais avoir vu la peur dans les yeux de Carl Froch. Là, j’ai la certitude puisqu’aujourd’hui nous étions vraiment très près et il avait de la difficulté à me regarder droit dans les yeux", a lancé Pascal. "De plus, il parlait beaucoup ce qui arrive normalement lorsque nous sommes nerveux."
"De mon côté, j’ai préféré ne pas parler beaucoup. Je lui ai simplement demandé de me regarder dans les yeux donc je suis vraiment très confiant!"
Des centaines de partisans de Carl Froch ont assistée à la pesée qui a eu lieu dans un centre commercial de Nottingham.
Le Lavallois a fait osciller la balance à 167 livres et 1 once. Son adversaire Carl Froch accuse pour sa part un poids de 166 livres et 9 onces.
"Comme je l'ai déjà dit cette semaine, je croyais avoir vu la peur dans les yeux de Carl Froch. Là, j’ai la certitude puisqu’aujourd’hui nous étions vraiment très près et il avait de la difficulté à me regarder droit dans les yeux", a lancé Pascal. "De plus, il parlait beaucoup ce qui arrive normalement lorsque nous sommes nerveux."
"De mon côté, j’ai préféré ne pas parler beaucoup. Je lui ai simplement demandé de me regarder dans les yeux donc je suis vraiment très confiant!"
Des centaines de partisans de Carl Froch ont assistée à la pesée qui a eu lieu dans un centre commercial de Nottingham.
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Carl Froch désire prouver qu'il est le meilleur boxeur de sa division en battant Jean Pascal pour le titre vacant des poids super-moyens de la WBC et ainsi sortir de l'ombre du Gallois Joe Calzaghe.
Incapable de tenter l'ancien champion Calzaghe pour un combat, Froch tentera de conserver sa fiche intacte face au Québécois, samedi, dans sa ville natale de Nottingham, en Angleterre.
"Je ne vais pas tourner autour du pot et je vais l'attaquer dès le départ, a dit Froch. Il est complètement en-dehors de ses pompes. Il n'a jamais affronté un adversaire de mon calibre, personne qui ne frappe aussi fort que moi. Je vais lui montrer pourquoi je serai un jour champion du monde unifié."
Pascal, qui tente de devenir le troisième Québécois à remporter cette ceinture après Davey Hilton (2000) et Eric Lucas (de 2001 à 2003), n'est pas cet avis.
"Je respecte énormément Carl Froch, mais je ne crois pas qu'il possède mes habiletés ou ma puissance. Même si les gens croient qu'il frappe plus fort que moi, je leur prouverai le contraire le 6 décembre. Je ne suis pas préoccupé par sa puissance. Je suis préoccupé par ce que je dois faire pour l'emporter.
"C'est un bon boxeur, qui frappe durement, mais j'ai livré 21 combats et j'ai affronté de durs cogneurs autant chez les amateurs que chez les pros. Je me suis entraîné d'arrache-pied, alors je suis prêt, que ce soit physiquement ou mentalement."
Pascal ne comprend d'ailleurs pas pourquoi Froch a dû attendre aussi longtemps avant de disputer un combat de championnat du monde.
"Je pense que le problème vient de lui. Habituellement, un bon boxeur obtient cette chance entre 21 et 25 ans. Pourquoi a-t-il dû patienter jusqu'à ce qu'il ait 31 ans?", s'est demandé Pascal, qui vient juste d'avoir 26 ans le 28 octobre dernier
Toujours le temps pour Calzaghe
Froch aurait affronté Calzaghe si le Gallois n'avait pas abandonné ses titres des super-moyens pour faire le saut chez les lourds-légers et se battre contre Bernard Hopkins et Roy Jones fils.
"J'aurais adoré l'affronter, mais il était déjà au sommet quand j'ai fait mon arrivée sur la scène professionnelle, alors je ne m'y attendais pas vraiment, a ajouté Froch. Mais tant qu'il n'a pas pris sa retraite, il y a une chance que ça se produise.
"Il y a d'autres gros noms au sein de la division présentement, comme Mikkel Kessler et Jermain Taylor. Je crois qu'en boxe, on ne doit jamais dire jamais, alors c'est à moi de faire du bon travail contre Pascal."
Les deux boxeurs sont invaincus - Froch en 23 combats, Pascal en 21. Froch a signé 19 victoires par mise hors de combat contre 14 pour l'athlète de Laval.
"Il tentera d'y aller en contre-attaques et de se déplacer autour du ring, a dit Froch. Aucun de nous deux n'a encore subi la défaite, alors ce devrait être un très bon combat, très spectaculaire."
Tout comme Froch, le boxeur de 26 ans voit ce combat comme une façon d'attirer les projecteurs sur lui.
"Il s'agit de la meilleure division de poids, la plus difficile, et c'est là que se trouve l'argent, alors je suis bien content de m'y trouver présentement, a dit Pascal, qui s'est entraîné en Arizona pour ce duel. Je sais que je peux bien faire dans cette division. Cela fait en sorte que je sois plus affamé, plus méchant. Je sais aussi que la forme y est."
L'épaule pas un facteur
Ennuyé par une blessure à l'épaule depuis plusieurs mois, Pascal est nullement inquiet. Il est certain que son épaule ne sera pas en cause dans ce combat.
"L'épaule est à 100 pour cent, a-t-il spécifié. J'ai reçu des traitements pendant près d'un an, j'ai fait de la physiothérapie et on a pratiqué une technique d'activation musculaire. Ça m'a beaucoup aidé. Tout est revenu dans l'ordre."
Incapable de tenter l'ancien champion Calzaghe pour un combat, Froch tentera de conserver sa fiche intacte face au Québécois, samedi, dans sa ville natale de Nottingham, en Angleterre.
"Je ne vais pas tourner autour du pot et je vais l'attaquer dès le départ, a dit Froch. Il est complètement en-dehors de ses pompes. Il n'a jamais affronté un adversaire de mon calibre, personne qui ne frappe aussi fort que moi. Je vais lui montrer pourquoi je serai un jour champion du monde unifié."
Pascal, qui tente de devenir le troisième Québécois à remporter cette ceinture après Davey Hilton (2000) et Eric Lucas (de 2001 à 2003), n'est pas cet avis.
"Je respecte énormément Carl Froch, mais je ne crois pas qu'il possède mes habiletés ou ma puissance. Même si les gens croient qu'il frappe plus fort que moi, je leur prouverai le contraire le 6 décembre. Je ne suis pas préoccupé par sa puissance. Je suis préoccupé par ce que je dois faire pour l'emporter.
"C'est un bon boxeur, qui frappe durement, mais j'ai livré 21 combats et j'ai affronté de durs cogneurs autant chez les amateurs que chez les pros. Je me suis entraîné d'arrache-pied, alors je suis prêt, que ce soit physiquement ou mentalement."
Pascal ne comprend d'ailleurs pas pourquoi Froch a dû attendre aussi longtemps avant de disputer un combat de championnat du monde.
"Je pense que le problème vient de lui. Habituellement, un bon boxeur obtient cette chance entre 21 et 25 ans. Pourquoi a-t-il dû patienter jusqu'à ce qu'il ait 31 ans?", s'est demandé Pascal, qui vient juste d'avoir 26 ans le 28 octobre dernier
Toujours le temps pour Calzaghe
Froch aurait affronté Calzaghe si le Gallois n'avait pas abandonné ses titres des super-moyens pour faire le saut chez les lourds-légers et se battre contre Bernard Hopkins et Roy Jones fils.
"J'aurais adoré l'affronter, mais il était déjà au sommet quand j'ai fait mon arrivée sur la scène professionnelle, alors je ne m'y attendais pas vraiment, a ajouté Froch. Mais tant qu'il n'a pas pris sa retraite, il y a une chance que ça se produise.
"Il y a d'autres gros noms au sein de la division présentement, comme Mikkel Kessler et Jermain Taylor. Je crois qu'en boxe, on ne doit jamais dire jamais, alors c'est à moi de faire du bon travail contre Pascal."
Les deux boxeurs sont invaincus - Froch en 23 combats, Pascal en 21. Froch a signé 19 victoires par mise hors de combat contre 14 pour l'athlète de Laval.
"Il tentera d'y aller en contre-attaques et de se déplacer autour du ring, a dit Froch. Aucun de nous deux n'a encore subi la défaite, alors ce devrait être un très bon combat, très spectaculaire."
Tout comme Froch, le boxeur de 26 ans voit ce combat comme une façon d'attirer les projecteurs sur lui.
"Il s'agit de la meilleure division de poids, la plus difficile, et c'est là que se trouve l'argent, alors je suis bien content de m'y trouver présentement, a dit Pascal, qui s'est entraîné en Arizona pour ce duel. Je sais que je peux bien faire dans cette division. Cela fait en sorte que je sois plus affamé, plus méchant. Je sais aussi que la forme y est."
L'épaule pas un facteur
Ennuyé par une blessure à l'épaule depuis plusieurs mois, Pascal est nullement inquiet. Il est certain que son épaule ne sera pas en cause dans ce combat.
"L'épaule est à 100 pour cent, a-t-il spécifié. J'ai reçu des traitements pendant près d'un an, j'ai fait de la physiothérapie et on a pratiqué une technique d'activation musculaire. Ça m'a beaucoup aidé. Tout est revenu dans l'ordre."
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Jean Pascal clame depuis le début de la semaine qu’il est un meilleur boxeur que Carl Froch. Il aura la chance de le prouver cet après-midi alors que les deux pugilistes monteront dans le même ring à Nottingham, en Angleterre, dans un combat qui vise à élire le nouveau champion des super-moyens du WBC.
Les deux boxeurs, toujours invaincus, convoitent la ceinture laissée vacante par Joe Calzaghe après sa victoire contre Mikkel Kessler en novembre 2007. Pascal tentera de devenir le troisième Québécois à remporter cette ceinture après Davey Hilton (2000) et Éric Lucas (de 2001 à 2003).
"Il s'agit de la meilleure division de poids, la plus difficile, et c'est là que se trouve l'argent, alors je suis bien content de m'y trouver présentement, a dit Pascal, qui s'est entraîné en Arizona pour ce duel. Je sais que je peux bien faire dans cette division. Cela fait en sorte que je sois plus affamé, plus méchant. Je sais aussi que la forme y est."
Froch, 31 ans, a remporté 19 de ses 23 victoires par mise hors de combat. Ses sept derniers combats n’ont pas atteint la limite.
Quant à Pascal (21-0, 14 K.-O.), qui vient d’avoir 26 ans, il se remet de deux victoires peu convaincantes face à Brian Norman et Omar Pittman. Il ne s’est pas battu depuis le 11 janvier 2008.
Le combat aura lieu dans la ville natale de Froch.
Ennuyé par une blessure à l'épaule depuis plusieurs mois, Pascal est nullement inquiet. Il est certain que son épaule ne sera pas en cause dans ce combat.
"L'épaule est à 100 pour cent, a-t-il spécifié. J'ai reçu des traitements pendant près d'un an, j'ai fait de la physiothérapie et on a pratiqué une technique d'activation musculaire. Ça m'a beaucoup aidé. Tout est revenu dans l'ordre."
Les deux boxeurs, toujours invaincus, convoitent la ceinture laissée vacante par Joe Calzaghe après sa victoire contre Mikkel Kessler en novembre 2007. Pascal tentera de devenir le troisième Québécois à remporter cette ceinture après Davey Hilton (2000) et Éric Lucas (de 2001 à 2003).
"Il s'agit de la meilleure division de poids, la plus difficile, et c'est là que se trouve l'argent, alors je suis bien content de m'y trouver présentement, a dit Pascal, qui s'est entraîné en Arizona pour ce duel. Je sais que je peux bien faire dans cette division. Cela fait en sorte que je sois plus affamé, plus méchant. Je sais aussi que la forme y est."
Froch, 31 ans, a remporté 19 de ses 23 victoires par mise hors de combat. Ses sept derniers combats n’ont pas atteint la limite.
Quant à Pascal (21-0, 14 K.-O.), qui vient d’avoir 26 ans, il se remet de deux victoires peu convaincantes face à Brian Norman et Omar Pittman. Il ne s’est pas battu depuis le 11 janvier 2008.
Le combat aura lieu dans la ville natale de Froch.
Ennuyé par une blessure à l'épaule depuis plusieurs mois, Pascal est nullement inquiet. Il est certain que son épaule ne sera pas en cause dans ce combat.
"L'épaule est à 100 pour cent, a-t-il spécifié. J'ai reçu des traitements pendant près d'un an, j'ai fait de la physiothérapie et on a pratiqué une technique d'activation musculaire. Ça m'a beaucoup aidé. Tout est revenu dans l'ordre."
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- Inscription : mer. nov. 26, 2003 1:00 am
Cà c'est en différé .
Le combat ayant eu lieu
NOTTINGHAM, Angleterre - L'Anglais Carl Froch a battu le Québécois Jean Pascal par décision unanime des juges, samedi, dans le combat de championnat du monde des super-moyens de la WBC présenté devant 7000 bruyants partisans au Trent FM Arena de Nottingham, en Angleterre.
Froch a été en mesure de résister aux assauts de la main droite de Pascal, qui a eu tendance à envoyer de larges coups tout au long du combat, qui a démontré tout le courage des deux opposants, sans toutefois présenter de la boxe d'une grande qualité.
"Je suis fier de moi, je crois que j'ai bien fait et je serai meilleur la prochaine fois", a déclaré Pascal au terme du combat.
Les trois juges -- Predrag Aleksic, du Monténégro, Herminio Cuevas, du Mexique, ainsi que l'Américain Tom Kaczmarek -- ont remis des cartes de 118-110, 117-111 et 116-112, toutes en faveur de Froch, qui porte ainsi sa fiche à 24-0, 19 KO, et remporte le titre laissé vacant par Joe Calzaghe, qui a fait le saut dans une division de poids supérieure.
source rds.ca
Le combat ayant eu lieu
NOTTINGHAM, Angleterre - L'Anglais Carl Froch a battu le Québécois Jean Pascal par décision unanime des juges, samedi, dans le combat de championnat du monde des super-moyens de la WBC présenté devant 7000 bruyants partisans au Trent FM Arena de Nottingham, en Angleterre.
Froch a été en mesure de résister aux assauts de la main droite de Pascal, qui a eu tendance à envoyer de larges coups tout au long du combat, qui a démontré tout le courage des deux opposants, sans toutefois présenter de la boxe d'une grande qualité.
"Je suis fier de moi, je crois que j'ai bien fait et je serai meilleur la prochaine fois", a déclaré Pascal au terme du combat.
Les trois juges -- Predrag Aleksic, du Monténégro, Herminio Cuevas, du Mexique, ainsi que l'Américain Tom Kaczmarek -- ont remis des cartes de 118-110, 117-111 et 116-112, toutes en faveur de Froch, qui porte ainsi sa fiche à 24-0, 19 KO, et remporte le titre laissé vacant par Joe Calzaghe, qui a fait le saut dans une division de poids supérieure.
source rds.ca
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
"Je pensais que le combat était un peu plus serré, mais le meilleur boxeur a gagné ce soir", a avoué le Québécois.
Pour Pascal (21-1, 14 KO), dont l'oeil droit semblait amoché en fin de combat, il s'agit d'un premier revers en 22 combats professionnels. Le boxeur de 26 ans de Laval tentait de devenir le troisième Québécois à remporter cette ceinture après Davey Hilton, vainqueur de Dingaan Thobela le 15 décembre 2000, et Eric Lucas, qui a ravi le titre à Glenn Catley en juillet 2001, avant de le perdre face à l'Allemand Markus Beyer en avril 2003.
Départ canon
Le Britannique a entamé le combat en lion, attaquant Pascal en combinaisons dès les premiers instants du premier assaut, forçant le Québécois à retraiter dans un coin. Pascal est toutefois revenu en force, atteignant la cible avec deux bonnes droite dans les derniers instant du round.
Dans le deuxième round, Pascal a pu atteindre Froch, plus statique, de deux bons crochets de gauche, alors que les deux combattants ont lancé plusieurs coups en puissance. Froch a marqué des points à l'aide de son direct et de son crochet de gauche, tandis que Pascal a pu de nouveau passer sa main droite.
L'action s'est poursuivie sans interruption jusqu'au quatrième round, au cours duquel Pascal a survécu à trois puissantes droites de Froch avant de répliquer, aussi avec une droite, qui a fait tressauter l'Anglais.
À la fin du cinquième, plus calme, les deux boxeurs ont échangé plusieurs coups après que la cloche eut sonné. A compter du sixième round, Froch a choisi de compter sur son direct pour se forger une insurmontable avance sur les cartes de pointage des juges.
Les directs de Froch ont d'ailleurs causé des dommages à l'oeil droit de Pascal au huitième, mais ce dernier a répliqué avec trois solides droites qui ont coupé l'Anglais sous l'oeil gauche.
Le Québécois a semblé ébranlé par une combinaison de Froch à 20 secondes de la fin du neuvième. Les deux combattants, à bout de souffle, ont continué a envoyé une pluie de coups bien après que la cloche finale eut retenti.
Le boxeur québécois a fait son entrée sous les huées de la foule européenne. Originaire de Nottingham, Froch s'est amené dans le ring sous les chants des bruyants partisans.
Au terme du combat, le maître de cérémonie a demandé aux spectateurs d'offrir des applaudissements à Pascal pour sa performance.
RÉSUMÉ ROUND PAR ROUND DU COMBAT
Douzième round
Jean Pascal a tenté quelques séries en puissance afin de passer le K.-O. à Froch, mais ce dernier n'est pas tombé dans le piège.
Carte RDS.ca: 116-112 Froch
Onzième round
Devant remporter les deux derniers rounds pour sortir vainqueur, Jean Pascal a ouvert un peu la machine au 11e assaut, mais Carl Froch a répliqué sans difficulté.
Les entraîneurs de Froch lui ont demandé de ne pas trop prendre de risques au dernier assaut.
Carte RDS.ca: 106-103 Froch
Dixième round
Au 10e assaut, Jean Pascal a essayé d'ébranler Froch. Mais son adversaire a toutefois contrôlé ce round et il mène avec seulement deux rounds à disputer.
Dans son coin, Pascal a entendu ses entraîneurs lui demander de mettre encore plus de coeur à l'ouvrage. Selon ses entraîneurs, Pascal doit remporter les deux derniers rounds pour avoir une chance de l'emporter.
Carte RDS.ca: 96-94 Froch
Neuvième round
Jean Pascal a démontré plus d'ardeur au neuvième round dominant légèrement son adversaire Carl Froch. Pascal a cependant encaissé quelques solides coups en fin d'assaut.
Pascal a subi tout un discours de motivation de ses entraîneurs au terme de ce round. Son coin lui a demandé d'être plus intense.
Carte RDS.ca: 86-85 Froch
Huitième round
Jean Pascal a connu une étincelle lors de la deuxième partie du huitième assaut, mais ce ne fut pas suffisant pour remporter ce round bien entrepris par Carl Froch.
Carte RDS.ca: 77-75 Froch
Septième round
L'Anglais Carl Froch a continué de porter plusieurs attaques à l'endroit de Jean Pascal au septième assaut. Le Québécois semblait manquer d'énergie pour suivre le rythme.
Les entraîneurs du coin de Pascal lui ont demandé d'attaquer son adversaire plus souvent avec des combinaisons.
Carte RDS.ca: 67-66 Froch
Sixième round
Carl Froch a légèrement eu le dessus sur Jean Pascal au sixième assaut alors que les deux boxeurs ont ralenti la cadence.
Au terme du round, le coin de Pascal lui a demandé de tirer avantage de l'intérieur. Selon ses entraîneurs, Pascal peut s'imposer à cet endroit.
Carte RDS.ca: 57-57
Cinquième round
Après un lent début au cinquième round, les deux boxeurs se sont échangés quelques coups en puissance. Pascal a obtenu l'avantage grâce à une fin d'assaut en puissance. Le Québécois a toutefois donné quelques coups après le son de la cloche. Froch a été coupé à la lèvre par les attaques de Pascal.
Dans le coin de Pascal, on lui a demandé d'avoir l'air davantage d'un champion en démontrant beaucoup de confiance.
Carte RDS.ca: 48-47 Pascal
Quatrième round
Jean Pascal a porté ses meilleurs coups au quatrième round de quoi lui donner confiance pour le reste de son combat face à Carl Froch.
Carte RDS.ca: 38-38
Troisième round
Carl Froch a donné le ton à un excellent troisième assaut en ouvrant la machine dès les premières secondes. Jean Pascal a toutefois été en mesure d'encaisser et de répliquer à quelques occasions.
Carte RDS.ca: 29-28 Froch
Deuxième round
Au deuxième round, Pascal a été en mesure de mieux s’établir au centre du ring. Le Québécois a encaissé quelques solides coups de son adversaire, mais il n’a pas semblé ébranler. Pascal a terminé l’assaut en force avec une belle combinaison.
Carte RDS.ca: 19-19
Premier round
Dès le son de la cloche, Jean Pascal a dû faire face à une attaque agressive de Carl Froch. Mais le Québécois n’a pas été ébranlé par les coups du favori de la foule ce qui a ralenti la cadence de ce premier assaut. Pascal est passé à l’attaque pour la première fois en deuxième moitié d’engagement.
Carte RDS.ca: 10-9 Froch --Message edité par REY CHEEVAS le 2008-12-07 09:58:18--
Pour Pascal (21-1, 14 KO), dont l'oeil droit semblait amoché en fin de combat, il s'agit d'un premier revers en 22 combats professionnels. Le boxeur de 26 ans de Laval tentait de devenir le troisième Québécois à remporter cette ceinture après Davey Hilton, vainqueur de Dingaan Thobela le 15 décembre 2000, et Eric Lucas, qui a ravi le titre à Glenn Catley en juillet 2001, avant de le perdre face à l'Allemand Markus Beyer en avril 2003.
Départ canon
Le Britannique a entamé le combat en lion, attaquant Pascal en combinaisons dès les premiers instants du premier assaut, forçant le Québécois à retraiter dans un coin. Pascal est toutefois revenu en force, atteignant la cible avec deux bonnes droite dans les derniers instant du round.
Dans le deuxième round, Pascal a pu atteindre Froch, plus statique, de deux bons crochets de gauche, alors que les deux combattants ont lancé plusieurs coups en puissance. Froch a marqué des points à l'aide de son direct et de son crochet de gauche, tandis que Pascal a pu de nouveau passer sa main droite.
L'action s'est poursuivie sans interruption jusqu'au quatrième round, au cours duquel Pascal a survécu à trois puissantes droites de Froch avant de répliquer, aussi avec une droite, qui a fait tressauter l'Anglais.
À la fin du cinquième, plus calme, les deux boxeurs ont échangé plusieurs coups après que la cloche eut sonné. A compter du sixième round, Froch a choisi de compter sur son direct pour se forger une insurmontable avance sur les cartes de pointage des juges.
Les directs de Froch ont d'ailleurs causé des dommages à l'oeil droit de Pascal au huitième, mais ce dernier a répliqué avec trois solides droites qui ont coupé l'Anglais sous l'oeil gauche.
Le Québécois a semblé ébranlé par une combinaison de Froch à 20 secondes de la fin du neuvième. Les deux combattants, à bout de souffle, ont continué a envoyé une pluie de coups bien après que la cloche finale eut retenti.
Le boxeur québécois a fait son entrée sous les huées de la foule européenne. Originaire de Nottingham, Froch s'est amené dans le ring sous les chants des bruyants partisans.
Au terme du combat, le maître de cérémonie a demandé aux spectateurs d'offrir des applaudissements à Pascal pour sa performance.
RÉSUMÉ ROUND PAR ROUND DU COMBAT
Douzième round
Jean Pascal a tenté quelques séries en puissance afin de passer le K.-O. à Froch, mais ce dernier n'est pas tombé dans le piège.
Carte RDS.ca: 116-112 Froch
Onzième round
Devant remporter les deux derniers rounds pour sortir vainqueur, Jean Pascal a ouvert un peu la machine au 11e assaut, mais Carl Froch a répliqué sans difficulté.
Les entraîneurs de Froch lui ont demandé de ne pas trop prendre de risques au dernier assaut.
Carte RDS.ca: 106-103 Froch
Dixième round
Au 10e assaut, Jean Pascal a essayé d'ébranler Froch. Mais son adversaire a toutefois contrôlé ce round et il mène avec seulement deux rounds à disputer.
Dans son coin, Pascal a entendu ses entraîneurs lui demander de mettre encore plus de coeur à l'ouvrage. Selon ses entraîneurs, Pascal doit remporter les deux derniers rounds pour avoir une chance de l'emporter.
Carte RDS.ca: 96-94 Froch
Neuvième round
Jean Pascal a démontré plus d'ardeur au neuvième round dominant légèrement son adversaire Carl Froch. Pascal a cependant encaissé quelques solides coups en fin d'assaut.
Pascal a subi tout un discours de motivation de ses entraîneurs au terme de ce round. Son coin lui a demandé d'être plus intense.
Carte RDS.ca: 86-85 Froch
Huitième round
Jean Pascal a connu une étincelle lors de la deuxième partie du huitième assaut, mais ce ne fut pas suffisant pour remporter ce round bien entrepris par Carl Froch.
Carte RDS.ca: 77-75 Froch
Septième round
L'Anglais Carl Froch a continué de porter plusieurs attaques à l'endroit de Jean Pascal au septième assaut. Le Québécois semblait manquer d'énergie pour suivre le rythme.
Les entraîneurs du coin de Pascal lui ont demandé d'attaquer son adversaire plus souvent avec des combinaisons.
Carte RDS.ca: 67-66 Froch
Sixième round
Carl Froch a légèrement eu le dessus sur Jean Pascal au sixième assaut alors que les deux boxeurs ont ralenti la cadence.
Au terme du round, le coin de Pascal lui a demandé de tirer avantage de l'intérieur. Selon ses entraîneurs, Pascal peut s'imposer à cet endroit.
Carte RDS.ca: 57-57
Cinquième round
Après un lent début au cinquième round, les deux boxeurs se sont échangés quelques coups en puissance. Pascal a obtenu l'avantage grâce à une fin d'assaut en puissance. Le Québécois a toutefois donné quelques coups après le son de la cloche. Froch a été coupé à la lèvre par les attaques de Pascal.
Dans le coin de Pascal, on lui a demandé d'avoir l'air davantage d'un champion en démontrant beaucoup de confiance.
Carte RDS.ca: 48-47 Pascal
Quatrième round
Jean Pascal a porté ses meilleurs coups au quatrième round de quoi lui donner confiance pour le reste de son combat face à Carl Froch.
Carte RDS.ca: 38-38
Troisième round
Carl Froch a donné le ton à un excellent troisième assaut en ouvrant la machine dès les premières secondes. Jean Pascal a toutefois été en mesure d'encaisser et de répliquer à quelques occasions.
Carte RDS.ca: 29-28 Froch
Deuxième round
Au deuxième round, Pascal a été en mesure de mieux s’établir au centre du ring. Le Québécois a encaissé quelques solides coups de son adversaire, mais il n’a pas semblé ébranler. Pascal a terminé l’assaut en force avec une belle combinaison.
Carte RDS.ca: 19-19
Premier round
Dès le son de la cloche, Jean Pascal a dû faire face à une attaque agressive de Carl Froch. Mais le Québécois n’a pas été ébranlé par les coups du favori de la foule ce qui a ralenti la cadence de ce premier assaut. Pascal est passé à l’attaque pour la première fois en deuxième moitié d’engagement.
Carte RDS.ca: 10-9 Froch --Message edité par REY CHEEVAS le 2008-12-07 09:58:18--
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Yvon Michel a un conseil pour les amateurs de boxe québécois : si vous avez aimé ce que vous avez vu de Jean Pascal contre Carl Froch, demeurez à l’écoute.
Moins de 24 heures après avoir vu son protégé vendre chèrement sa peau dans un combat "extrêmement intense et spectaculaire" contre un boxeur qu’on lui donnait peu de chances de vaincre, la déception a laissé sa place à l’enthousiasme et à la fierté dans le cœur du président du groupe GYM.
"On connaissait tous les habiletés athlétiques de Jean, mais on n’en connaissait pas toute la profondeur, a confié Michel à RDS.ca. Samedi, il nous a montré du caractère, du cœur et une superbe mâchoire."
"Jean est capable de mieux que ça, mais dans les circonstances, c’est le plus qu’il pouvait donner et on est extrêmement fier de lui."
Selon Michel, l’expérience que Pascal a acquise samedi soir en Angleterre lui rapportera énormément lorsque l’occasion de briller sur la scène mondiale se présentera de nouveau.
"Quand c’est la première fois que tu te retrouves dans cette situation, à 26 ans, il y a des petites choses que tu ne fais pas comme d’habitude en réalisant l’ampleur du combat. Tu n’es pas aussi vif, peut-être pas aussi attentif aux instructions dans ton coin. Ça me fait penser au combat d’Hermann Ngoudjo contre Jose Luis Castillo à Las Vegas."
"Jean est un gars intelligent, poursuit Michel. Il sait qu’il n’a rien laissé dans le ring et que ce combat l’a rendu meilleur. Ça regarde bien pour l’avenir."
Moins de 24 heures après avoir vu son protégé vendre chèrement sa peau dans un combat "extrêmement intense et spectaculaire" contre un boxeur qu’on lui donnait peu de chances de vaincre, la déception a laissé sa place à l’enthousiasme et à la fierté dans le cœur du président du groupe GYM.
"On connaissait tous les habiletés athlétiques de Jean, mais on n’en connaissait pas toute la profondeur, a confié Michel à RDS.ca. Samedi, il nous a montré du caractère, du cœur et une superbe mâchoire."
"Jean est capable de mieux que ça, mais dans les circonstances, c’est le plus qu’il pouvait donner et on est extrêmement fier de lui."
Selon Michel, l’expérience que Pascal a acquise samedi soir en Angleterre lui rapportera énormément lorsque l’occasion de briller sur la scène mondiale se présentera de nouveau.
"Quand c’est la première fois que tu te retrouves dans cette situation, à 26 ans, il y a des petites choses que tu ne fais pas comme d’habitude en réalisant l’ampleur du combat. Tu n’es pas aussi vif, peut-être pas aussi attentif aux instructions dans ton coin. Ça me fait penser au combat d’Hermann Ngoudjo contre Jose Luis Castillo à Las Vegas."
"Jean est un gars intelligent, poursuit Michel. Il sait qu’il n’a rien laissé dans le ring et que ce combat l’a rendu meilleur. Ça regarde bien pour l’avenir."
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Le boxeur gaucher montréalais Lucian Bute (22-0-0) n'est nullement étonné que Carl Froch (24-0-0) ait mentionné son nom à l'issue du gala de boxe de samedi soir à Nottingham.
Froch a déclaré que sa priorité était de faire face à Bute dans un combat d'unification des titres mondiaux des super-moyens (168 livres) du WBC et de l'IBF.
Bute, qui est actuellement classé comme le meilleur boxeur de 168 livres du monde par le site inter net Fightnews (qui a des correspondants dans tous les pays du monde, incluant Dave Spencer à Montréal), a maintenant réalisé deux défenses victorieuses de sa ceinture de l'IBF, dont la dernière était obligatoire (face à Librado Andrade).
«Je suis vraiment intéressé par un combat d'unification des titres du WBC et de l'IBF, a admis le Montréalais samedi soir. C'est un objectif à atteindre pour moi.
«Ce serait un défi extraordinaire pour moi comme pour Froch. Mais ce sont les dirigeants du groupe InterBox qui prendront la décision.»
Il a tout vu
Bute, qui était à Las Vegas pour assister au combat de La Hoya- Pacquiao, a vu l'affrontement Pascal- Froch à la télé.
«Ce fut un superbe combat, a affirmé Bute. Pascal a fourni un effort sublime dans chacun des rounds, mais c'est le jab de Froch qui a finalement fait toute la différence.
«Le Britannique a beaucoup utilisé son jab dans la deuxième moitié de l'affrontement, ce qui lui a permis de dominer la majorité des rounds.»
Rappelons que Froch a été proclamé vainqueur par décision unanime des juges (118-110, 117-111 et 116-112).
Combat d'unification
Mik Hennessy, le promoteur de Froch, affirme qu'il contactera les dirigeants du groupe InterBox, probablement la semaine prochaine, pour proposer le combat d'unification.
«Bute est un boxeur intelligent et habile, mais je ne vois pas comment il pourrait tenir le coup face à un cogneur aussi explosif que Carl qui, en plus, est certainement aussi tenace que Librado Andrade», a affirmé Hennessy.
«Carl vient de prouver, une fois de plus, qu'il a une mâchoire d'acier, comme vous avez pu le constater au cours de ce formidable affrontement, a-t-il ajouté.
«Carl tient mordicus à livrer des combats d'envergure. Alors, un combat d'unification avec Bute le comblerait.» --Message edité par REY CHEEVAS le 2008-12-10 10:07:59--
Froch a déclaré que sa priorité était de faire face à Bute dans un combat d'unification des titres mondiaux des super-moyens (168 livres) du WBC et de l'IBF.
Bute, qui est actuellement classé comme le meilleur boxeur de 168 livres du monde par le site inter net Fightnews (qui a des correspondants dans tous les pays du monde, incluant Dave Spencer à Montréal), a maintenant réalisé deux défenses victorieuses de sa ceinture de l'IBF, dont la dernière était obligatoire (face à Librado Andrade).
«Je suis vraiment intéressé par un combat d'unification des titres du WBC et de l'IBF, a admis le Montréalais samedi soir. C'est un objectif à atteindre pour moi.
«Ce serait un défi extraordinaire pour moi comme pour Froch. Mais ce sont les dirigeants du groupe InterBox qui prendront la décision.»
Il a tout vu
Bute, qui était à Las Vegas pour assister au combat de La Hoya- Pacquiao, a vu l'affrontement Pascal- Froch à la télé.
«Ce fut un superbe combat, a affirmé Bute. Pascal a fourni un effort sublime dans chacun des rounds, mais c'est le jab de Froch qui a finalement fait toute la différence.
«Le Britannique a beaucoup utilisé son jab dans la deuxième moitié de l'affrontement, ce qui lui a permis de dominer la majorité des rounds.»
Rappelons que Froch a été proclamé vainqueur par décision unanime des juges (118-110, 117-111 et 116-112).
Combat d'unification
Mik Hennessy, le promoteur de Froch, affirme qu'il contactera les dirigeants du groupe InterBox, probablement la semaine prochaine, pour proposer le combat d'unification.
«Bute est un boxeur intelligent et habile, mais je ne vois pas comment il pourrait tenir le coup face à un cogneur aussi explosif que Carl qui, en plus, est certainement aussi tenace que Librado Andrade», a affirmé Hennessy.
«Carl vient de prouver, une fois de plus, qu'il a une mâchoire d'acier, comme vous avez pu le constater au cours de ce formidable affrontement, a-t-il ajouté.
«Carl tient mordicus à livrer des combats d'envergure. Alors, un combat d'unification avec Bute le comblerait.» --Message edité par REY CHEEVAS le 2008-12-10 10:07:59--
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Le Québécois Jean Pascal (21 victoires, 1 défaite, 14 K.-O.) a été reclassé 5e aspirant au titre de la WBC des super-moyens.
Le 6 décembre, Pascal a subi son premier revers en carrière lors de son combat de championnat du monde contre le britannique Carl Froch.
Avant cette défaite, Pascal était classé au 3e échelon. Il a été devancé par les Américains Andre Dirrell et Andre Ward. Jermain Taylor est l'aspirant numéro un.
Yvon Michel est satisfait du nouveau classement de son protégé malgré la défaite. Le président du Groupe GYM affirme que Jean Pascal devrait remonter sur le ring en avril ou en mai.
Pascal participera vendredi à l'émission L'AntiChambre à RDS à 21:30.
Le 6 décembre, Pascal a subi son premier revers en carrière lors de son combat de championnat du monde contre le britannique Carl Froch.
Avant cette défaite, Pascal était classé au 3e échelon. Il a été devancé par les Américains Andre Dirrell et Andre Ward. Jermain Taylor est l'aspirant numéro un.
Yvon Michel est satisfait du nouveau classement de son protégé malgré la défaite. Le président du Groupe GYM affirme que Jean Pascal devrait remonter sur le ring en avril ou en mai.
Pascal participera vendredi à l'émission L'AntiChambre à RDS à 21:30.