-Les Alouettes-
Rey Cheevas a écrit
Oh que No ... Moi Je rigolais de ton Mots de Jeu ( Jeux de mots )
Ah ok hihi
En tout cas, j'espère qu'on va avoir un bon match .. Serré avec une belle victoire pour les Alouettes
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Because they don't have a voice, you'll never stop hearing mine.
Great minds discuss ideas. Average minds discuss events. Small minds discuss people. - Eleanor Roosevelt
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La première année de Marc Trestman à la barre des Alouettes aura été une réussite totale, mais ce ne sont que les résultats en éliminatoires de l'équipe qui resteront gravés dans la mémoire des partisans. C'est maintenant l'heure de la vraie saison, alors que les Eskimos d'Edmonton sont à Montréal pour y disputer la finale de l'Est. Ne manquez rien de cette rencontre qui promet d'être excitante sur les ondes de RDS-HD à compter de 12h30 avec l'émission d'avant-match.
Il s'agira d'un 12e duel éliminatoire entre les deux éternels rivaux, mais d'un tout premier en demi-finale de la coupe Grey. Les Eskimos ont eu le meilleur à huit reprises jusqu'à maintenant, dont la dernière fois en 2005 au terme d'une partie qui s'était terminée en double prolongation.
La tendance pourrait cependant être renversée cette année, puisque les Alouettes présentent un tout nouveau visage depuis l'arrivée en poste de Trestman. Ce génie de l'offensive, qui a notamment mené les Raiders d'Oakland à une participation au Super Bowl en 2002, a transformé l'attaque de l'équipe.
Le vétéran quart-arrière Anthony Calvillo, qui était devenu le souffre douleur de nombreux partisans, vient de connaître la saison de sa carrière. Il a lancé 43 passes de touché - un sommet personnel - et récolté des gains de 5624 verges - son troisième plus haut total en carrière.
Le demi Avon Cobourne s'est également signalé au sein du système Trestman et nul doute qu'il aurait pu devenir le premier joueur dans l'histoire de la Ligue canadienne à atteindre le plateau des 1000 verges tant par la course que par la passe au cours d'une même saison. Une vilaine blessure à une cheville l'a cependant considérablement ralenti en fin de campagne.
Les Alouettes devront toutefois avoir à l'œil le quart des Eskimos Ricky Ray, qui a récolté 300 verges lors de six de ses sept derniers matchs. De plus, Ray n'a jamais subi la défaite en trois occasions en finale de division.
Qui plus est, la défensive des Alouettes en arrache contre le jeu aérien, elle qui a donné en moyenne 318,2 verges par partie cette saison, la deuxième pire de la LCF cette saison. Toutefois, elle pointe au deuxième rang au chapitre des sacs du quart réussis, des touchés accordés, de la moyenne de points donnés.
Il s'agira d'un 12e duel éliminatoire entre les deux éternels rivaux, mais d'un tout premier en demi-finale de la coupe Grey. Les Eskimos ont eu le meilleur à huit reprises jusqu'à maintenant, dont la dernière fois en 2005 au terme d'une partie qui s'était terminée en double prolongation.
La tendance pourrait cependant être renversée cette année, puisque les Alouettes présentent un tout nouveau visage depuis l'arrivée en poste de Trestman. Ce génie de l'offensive, qui a notamment mené les Raiders d'Oakland à une participation au Super Bowl en 2002, a transformé l'attaque de l'équipe.
Le vétéran quart-arrière Anthony Calvillo, qui était devenu le souffre douleur de nombreux partisans, vient de connaître la saison de sa carrière. Il a lancé 43 passes de touché - un sommet personnel - et récolté des gains de 5624 verges - son troisième plus haut total en carrière.
Le demi Avon Cobourne s'est également signalé au sein du système Trestman et nul doute qu'il aurait pu devenir le premier joueur dans l'histoire de la Ligue canadienne à atteindre le plateau des 1000 verges tant par la course que par la passe au cours d'une même saison. Une vilaine blessure à une cheville l'a cependant considérablement ralenti en fin de campagne.
Les Alouettes devront toutefois avoir à l'œil le quart des Eskimos Ricky Ray, qui a récolté 300 verges lors de six de ses sept derniers matchs. De plus, Ray n'a jamais subi la défaite en trois occasions en finale de division.
Qui plus est, la défensive des Alouettes en arrache contre le jeu aérien, elle qui a donné en moyenne 318,2 verges par partie cette saison, la deuxième pire de la LCF cette saison. Toutefois, elle pointe au deuxième rang au chapitre des sacs du quart réussis, des touchés accordés, de la moyenne de points donnés.
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Marc Trestman et les Alouettes ont gagné leur pari, mais ils l’ont surtout fait en écartant de leur chemin leurs éternels rivaux.
Les Alouettes ont inscrit 16 points sans réplique en l’espace de cinq minutes dans la seconde moitié du deuxième quart pour prendre la mesure des Eskimos d’Edmonton 36-26, samedi après-midi au Stade olympique en finale de l’Est.
La formation montréalaise participera donc au match de la coupe Grey pour la première fois depuis 2006, mais pour la troisième fois en quatre ans et la cinquième fois en sept ans. Elle est également devenue la première équipe qui accueille la partie de championnat à y participer depuis 2002.
Elle affrontera pour l’occasion les Stampeders de Calgary, qui ont battu les Lions de la Colombie-Britannique 22-18 en finale de l'Ouest, dimanche prochain.
Le spécialiste des retours de bottés Larry Taylor a été la grande vedette individuelle du match, lui qui en a ramené deux de dégagement de 64 et 92 verges pour des touchés au deuxième et quatrième quarts pour les Alouettes, qui présentent maintenant un dossier de 5-1 en rencontres éliminatoires au Stade olympique depuis la renaissance de l’équipe en 1996.
« C’est un sentiment incroyable », a déclaré Taylor, qui a récolté des gains de 203 verges sur six retours de botté de dégagement. « Je tiens à souligner le travail de mes coéquipiers, qui m’ont permis de connaître autant de succès. »
« Larry est un joueur complètement électrisant », a ajouté le maraudeur québécois Étienne Boulay. « Les partisans nous ont appuyés du début à la fin, ils ont été incroyables. »
Jamel Richardson a capté une passe de touché de huit verges d’Anthony Calvillo, Avon Cobourne a inscrit un majeur à la suite d’une course d’une verge et Damon Duval a ajouté des placements de 27 et 12 verges.
Les Eskimos ont également donné un touché de sûreté avec 8:10 à faire au deuxième quart et incidemment, c’est ce jeu à priori anodin qui a donné des ailes aux Alouettes.
La défensive des Alouettes met le feux aux poudres
C’est que la rencontre avait très mal commencé pour les hommes de Trestman, qui n’ont absolument rien fait lors de leurs deux premières séries à l’attaque. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Justin Cooper a bloqué puis recouvré pour un touché le deuxième botté de dégagement de Duval.
Les Alouettes ont répliqué avec un timide placement de Duval, mais Noel Prefontaine en a réussi deux de 45 et 22 verges. C’était à ce moment 13-5 Eskimos et on pouvait entendre une mouche voler à l’intérieur du stade.
Fortement critiquée au cours des dernières semaines, la défensive montréalaise s’était d’abord signalée en empêchant l’attaque ennemie de marquer un seul touché, mais elle a surtout mis le feu aux poudres en obligeant Prefontaine à concéder deux points.
Les Alouettes ont en effet traversé le terrain à leur possession suivante, Richardson couronnant une poussée de 75 verges en captant une petite passe lobée de Calvillo.
L’unité défensive a ensuite forcé les Eskimos à dégager à leur série à l’attaque suivante, mais Taylor a ramené le botté pour un touché après avoir évité de justesse un plaqué.
Les Alouettes ont repris là où ils avaient laissé en deuxième demie, Cobourne marquant un majeur après que l’offensive eut commencé sa série à l’attaque à sa ligne de 10.
Après le deuxième placement de Duval à la toute fin du troisième quart, Taylor s’est de nouveau signalé sur les unités spéciales en ramenant un deuxième botté de dégagement pour un touché, mais cette fois sur une distance de 92 verges.
Le reste de la rencontre a été l’affaire de la défensive des Alouettes, qui empêché la bande à Ricky Ray d’inscrire un seul point. Ce ne sont finalement que les unités spéciales qui ont péchés en donnant un touché à Tristan Jackson à la suite d’un retour de botté de dégagement de 78 verges.
« Notre mission était de neutraliser Ray et nous avons réussi », a conclu le plaqueur défensif Jermaine McElveen.
À noter que les Alouettes n’ont écopé d’aucune pénalité pendant la partie.
Les Alouettes ont inscrit 16 points sans réplique en l’espace de cinq minutes dans la seconde moitié du deuxième quart pour prendre la mesure des Eskimos d’Edmonton 36-26, samedi après-midi au Stade olympique en finale de l’Est.
La formation montréalaise participera donc au match de la coupe Grey pour la première fois depuis 2006, mais pour la troisième fois en quatre ans et la cinquième fois en sept ans. Elle est également devenue la première équipe qui accueille la partie de championnat à y participer depuis 2002.
Elle affrontera pour l’occasion les Stampeders de Calgary, qui ont battu les Lions de la Colombie-Britannique 22-18 en finale de l'Ouest, dimanche prochain.
Le spécialiste des retours de bottés Larry Taylor a été la grande vedette individuelle du match, lui qui en a ramené deux de dégagement de 64 et 92 verges pour des touchés au deuxième et quatrième quarts pour les Alouettes, qui présentent maintenant un dossier de 5-1 en rencontres éliminatoires au Stade olympique depuis la renaissance de l’équipe en 1996.
« C’est un sentiment incroyable », a déclaré Taylor, qui a récolté des gains de 203 verges sur six retours de botté de dégagement. « Je tiens à souligner le travail de mes coéquipiers, qui m’ont permis de connaître autant de succès. »
« Larry est un joueur complètement électrisant », a ajouté le maraudeur québécois Étienne Boulay. « Les partisans nous ont appuyés du début à la fin, ils ont été incroyables. »
Jamel Richardson a capté une passe de touché de huit verges d’Anthony Calvillo, Avon Cobourne a inscrit un majeur à la suite d’une course d’une verge et Damon Duval a ajouté des placements de 27 et 12 verges.
Les Eskimos ont également donné un touché de sûreté avec 8:10 à faire au deuxième quart et incidemment, c’est ce jeu à priori anodin qui a donné des ailes aux Alouettes.
La défensive des Alouettes met le feux aux poudres
C’est que la rencontre avait très mal commencé pour les hommes de Trestman, qui n’ont absolument rien fait lors de leurs deux premières séries à l’attaque. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Justin Cooper a bloqué puis recouvré pour un touché le deuxième botté de dégagement de Duval.
Les Alouettes ont répliqué avec un timide placement de Duval, mais Noel Prefontaine en a réussi deux de 45 et 22 verges. C’était à ce moment 13-5 Eskimos et on pouvait entendre une mouche voler à l’intérieur du stade.
Fortement critiquée au cours des dernières semaines, la défensive montréalaise s’était d’abord signalée en empêchant l’attaque ennemie de marquer un seul touché, mais elle a surtout mis le feu aux poudres en obligeant Prefontaine à concéder deux points.
Les Alouettes ont en effet traversé le terrain à leur possession suivante, Richardson couronnant une poussée de 75 verges en captant une petite passe lobée de Calvillo.
L’unité défensive a ensuite forcé les Eskimos à dégager à leur série à l’attaque suivante, mais Taylor a ramené le botté pour un touché après avoir évité de justesse un plaqué.
Les Alouettes ont repris là où ils avaient laissé en deuxième demie, Cobourne marquant un majeur après que l’offensive eut commencé sa série à l’attaque à sa ligne de 10.
Après le deuxième placement de Duval à la toute fin du troisième quart, Taylor s’est de nouveau signalé sur les unités spéciales en ramenant un deuxième botté de dégagement pour un touché, mais cette fois sur une distance de 92 verges.
Le reste de la rencontre a été l’affaire de la défensive des Alouettes, qui empêché la bande à Ricky Ray d’inscrire un seul point. Ce ne sont finalement que les unités spéciales qui ont péchés en donnant un touché à Tristan Jackson à la suite d’un retour de botté de dégagement de 78 verges.
« Notre mission était de neutraliser Ray et nous avons réussi », a conclu le plaqueur défensif Jermaine McElveen.
À noter que les Alouettes n’ont écopé d’aucune pénalité pendant la partie.
Rey Cheevas a écrit
Oh que Oui ----------------> Direction Grey Cup
Petite frousse a la fin Mais Bon les meilleurs l'ont remporté
Ouais, c'était énervant/excitant la fin ...
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Les Alouettes auront l'occasion de remporter la coupe Grey au Stade olympique pour la première fois en 29 ans, dimanche prochain. Un scénario rêvé pour plusieurs, à commencer par les joueurs originaires de la "Belle Province".
Pour la première fois depuis 1979, les Alouettes joueront le match de la coupe Grey devant leurs partisans. Cette année-là, les Alouettes avaient subi la défaite contre les Eskimos, mais deux ans plus tôt, ils avaient remporté le précieux trophée contre leurs rivaux albertains, toujours dans le stade de la rue Pierre-de-Coubertin.
"Je réalise que c’est extrêmement spécial. Je réalise qu’il y a quelque chose là-dedans de très, très rare, dit le maraudeur Matthieu Proulx. Je le réalise avec tous les appels et les courriels que je reçois. Tout le monde m’en parle! Ma vie est 100% football pour la prochaine semaine."
"L’opportunité est là pour moi de pouvoir accomplir quelque chose qui serait vraiment grand, se réjouit Danny Desrivaux. On y rêve, on y pense et c’est sûr que maintenant que l’opportunité se présente, on se sent très chanceux et on a hâte de savourer ce moment."
"On n’est pas satisfait de seulement participer au match, prévient toutefois Étienne Boulay. On veut le gagner. Je sais que ça fait quelques années que les Alouettes participent au match ultime et en ressortent perdants. Ça semble être la tendance et on veut vraiment la briser."
Les Alouettes en seront à une sixième participation au match de la coupe Grey depuis le début des années 2000, mais ils ne revendiquent qu'une seule victoire. Certains semblent en avoir assez de traîner une réputation de perdants.
"Cette année, on veut vraiment se débarrasser de cette étiquette-là, confirme Proulx. On sait qu’on l’a sur le dos. On a eu des coupes Grey difficiles au cours des dernières années, alors je pense que c’est à notre tour d’aller en chercher une."
"On sent la pression de gagner, mais honnêtement, moi ça me motive, jure Boulay. Je pense que c’est aussi le cas de la plupart des gars dans le vestiaire. On carbure à la pression."
"Je ne veux rien prendre pour acquis parce que j’ai souvent entendu des histoires, dans le sport professionnel, d’athlètes qui se rendent au match ultime tôt dans leur carrière et qui n’y retournent pas avant une dizaine d’années. Tu ne veux donc rien prendre pour acquis et quand tu t’y rends, tu veux en profiter pleinement."
Les Alouettes prendront part à une réunion d'équipe mardi et s'entraîneront pour la première fois le lendemain. L’entraîneur Marc Trestman a pris tous les moyens nécessaires afin que son équipe se prépare adéquatement et, surtout, évite toutes formes de distractions. À compter de jeudi, joueurs et entraîneurs s'installeront dans un hôtel de la métropole.
Pour la première fois depuis 1979, les Alouettes joueront le match de la coupe Grey devant leurs partisans. Cette année-là, les Alouettes avaient subi la défaite contre les Eskimos, mais deux ans plus tôt, ils avaient remporté le précieux trophée contre leurs rivaux albertains, toujours dans le stade de la rue Pierre-de-Coubertin.
"Je réalise que c’est extrêmement spécial. Je réalise qu’il y a quelque chose là-dedans de très, très rare, dit le maraudeur Matthieu Proulx. Je le réalise avec tous les appels et les courriels que je reçois. Tout le monde m’en parle! Ma vie est 100% football pour la prochaine semaine."
"L’opportunité est là pour moi de pouvoir accomplir quelque chose qui serait vraiment grand, se réjouit Danny Desrivaux. On y rêve, on y pense et c’est sûr que maintenant que l’opportunité se présente, on se sent très chanceux et on a hâte de savourer ce moment."
"On n’est pas satisfait de seulement participer au match, prévient toutefois Étienne Boulay. On veut le gagner. Je sais que ça fait quelques années que les Alouettes participent au match ultime et en ressortent perdants. Ça semble être la tendance et on veut vraiment la briser."
Les Alouettes en seront à une sixième participation au match de la coupe Grey depuis le début des années 2000, mais ils ne revendiquent qu'une seule victoire. Certains semblent en avoir assez de traîner une réputation de perdants.
"Cette année, on veut vraiment se débarrasser de cette étiquette-là, confirme Proulx. On sait qu’on l’a sur le dos. On a eu des coupes Grey difficiles au cours des dernières années, alors je pense que c’est à notre tour d’aller en chercher une."
"On sent la pression de gagner, mais honnêtement, moi ça me motive, jure Boulay. Je pense que c’est aussi le cas de la plupart des gars dans le vestiaire. On carbure à la pression."
"Je ne veux rien prendre pour acquis parce que j’ai souvent entendu des histoires, dans le sport professionnel, d’athlètes qui se rendent au match ultime tôt dans leur carrière et qui n’y retournent pas avant une dizaine d’années. Tu ne veux donc rien prendre pour acquis et quand tu t’y rends, tu veux en profiter pleinement."
Les Alouettes prendront part à une réunion d'équipe mardi et s'entraîneront pour la première fois le lendemain. L’entraîneur Marc Trestman a pris tous les moyens nécessaires afin que son équipe se prépare adéquatement et, surtout, évite toutes formes de distractions. À compter de jeudi, joueurs et entraîneurs s'installeront dans un hôtel de la métropole.
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La participation à un match de championnat n'a absolument rien de banal, mais l'entraîneur-chef des Alouettes Marc Trestman n'entend pas pour autant changer d'un iota la préparation de son équipe en vue du rendez-vous de dimanche.
Trestman étudiera attentivement les bandes vidéos des dernières parties, mais demandera surtout l'avis de ses vétérans, comme il l'a fait depuis la toute première journée du camp d'entraînement.
"Nous avons bâti une belle relation de confiance pendant toute la saison", a indiqué celui qui n'avait jamais dirigé une équipe de sa vie avant d'être embauché par les Alouettes au mois de décembre dernier.
Trestman n'est toutefois pas un néophyte des rencontres au sommet, puisqu'il a mené les Hurricanes de l'Université de Miami au championnat de la NCAA à titre d'entraîneur des quarts en 1983 ainsi que les Raiders d'Oakland à une participation au Super Bowl en tant que coordonnateur offensif en 2002.
C'est pourquoi il sait qu'il devra absolument protéger ses ouailles dans les jours précédents la date fatidique. Les joueurs des Alouettes seront d'ailleurs confinés à l'hôtel dès jeudi.
"Il y a tellement de distractions à l'approche de ce type de match", a expliqué Trestman. "Les amis et la parenté veulent tous obtenir des billets, mais ils ne veulent pas gagner autant que vous et ça c'est réellement dérangeant."
Cette façon de faire n'irrite pas le moindrement le vétéran Anthony Calvillo, même qu'il approuve l'idée de passer quelques jours loin des siens.
"Les attentes seront extrêmement élevées, car nous jouerons la partie devant nos partisans", a reconnu Calvillo, qui a lancé 43 passes de touché cette saison, un sommet dans la Ligue canadienne de football. "Ce ne sera définitivement pas une semaine comme les autres."
Et ce ne sera pas non plus une rencontre comme les autres aurait pu facilement ajouter Calvillo, puisqu'ils seront plus de 68 000 personnes à s'entasser dans les gradins du Stade olympique le 23 novembre.
"Le bruit a toujours été un élément lors de chaque match de la coupe Grey", a dit celui qui en sera peut-être à une dernière chance de mettre la main sur le précieux trophée. "Les gens ont été extraordinaires la semaine dernière, mais ce sera difficile de dire combien seront réellement derrière nous cette fois-ci."
"Ce sera une occasion unique que de jouer cette rencontre ultime devant nos partisans", a de son côté exprimé Trestman. "Je n'ai qu'un mot pour décrire ce qui s'est produit la semaine dernière : incroyable!"
Non, cette partie n'aura rien de banal pour Trestman, Calvillo et surtout les Alouettes, qui semblaient pourtant très loin de la lumière au bout du tunnel à pareille date l'an dernier après leur élimination en demi-finale de l'Est à Winnipeg.
Trestman étudiera attentivement les bandes vidéos des dernières parties, mais demandera surtout l'avis de ses vétérans, comme il l'a fait depuis la toute première journée du camp d'entraînement.
"Nous avons bâti une belle relation de confiance pendant toute la saison", a indiqué celui qui n'avait jamais dirigé une équipe de sa vie avant d'être embauché par les Alouettes au mois de décembre dernier.
Trestman n'est toutefois pas un néophyte des rencontres au sommet, puisqu'il a mené les Hurricanes de l'Université de Miami au championnat de la NCAA à titre d'entraîneur des quarts en 1983 ainsi que les Raiders d'Oakland à une participation au Super Bowl en tant que coordonnateur offensif en 2002.
C'est pourquoi il sait qu'il devra absolument protéger ses ouailles dans les jours précédents la date fatidique. Les joueurs des Alouettes seront d'ailleurs confinés à l'hôtel dès jeudi.
"Il y a tellement de distractions à l'approche de ce type de match", a expliqué Trestman. "Les amis et la parenté veulent tous obtenir des billets, mais ils ne veulent pas gagner autant que vous et ça c'est réellement dérangeant."
Cette façon de faire n'irrite pas le moindrement le vétéran Anthony Calvillo, même qu'il approuve l'idée de passer quelques jours loin des siens.
"Les attentes seront extrêmement élevées, car nous jouerons la partie devant nos partisans", a reconnu Calvillo, qui a lancé 43 passes de touché cette saison, un sommet dans la Ligue canadienne de football. "Ce ne sera définitivement pas une semaine comme les autres."
Et ce ne sera pas non plus une rencontre comme les autres aurait pu facilement ajouter Calvillo, puisqu'ils seront plus de 68 000 personnes à s'entasser dans les gradins du Stade olympique le 23 novembre.
"Le bruit a toujours été un élément lors de chaque match de la coupe Grey", a dit celui qui en sera peut-être à une dernière chance de mettre la main sur le précieux trophée. "Les gens ont été extraordinaires la semaine dernière, mais ce sera difficile de dire combien seront réellement derrière nous cette fois-ci."
"Ce sera une occasion unique que de jouer cette rencontre ultime devant nos partisans", a de son côté exprimé Trestman. "Je n'ai qu'un mot pour décrire ce qui s'est produit la semaine dernière : incroyable!"
Non, cette partie n'aura rien de banal pour Trestman, Calvillo et surtout les Alouettes, qui semblaient pourtant très loin de la lumière au bout du tunnel à pareille date l'an dernier après leur élimination en demi-finale de l'Est à Winnipeg.
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Victime d’une blessure dont la nature demeure inconnue, Kerry Watkins a quitté le terrain avant ses coéquipiers lors de l’entraînement de mercredi. Il a toutefois assuré qu’il sera à son poste contre les Stampeders.
« Il ne s’agissait que d’une petite collision entre Mark Estelle et moi », a expliqué Watkins. « Ce n’est rien de sérieux. »
Au terme de la victoire de samedi dernier, Ben Cahoon a été critique envers son équipe. Il a prétendu que les Alouettes avaient été chanceux de l’emporter en dépit de nombreuses erreurs. Une opinion partagée par ses coéquipiers.
« Nous avons commis beaucoup d’erreurs à toutes les positions », a reconnu Watkins. « Nous devrons être parfaits pour gagner. »
Cahoon n’a nommé personne, mais on peut présumer que Watkins était l’un des joueurs visés par ses propos.
Selon Watkins, un moment d’inattention est à l’origine de son cafouillage.
« J’ai tenté de marquer un touché avant d’avoir le plein contrôle du ballon » a-t-il indiqué. « J’ai simplement tenté d’en faire trop à la fois. »
Depuis qu’il s’est joint aux Alouettes en 2004, Watkins a quelques fois mal paru lorsqu’une passe qui semblait facile était envoyée dans sa direction.
Ce genre de bévue pourrait coûter cher dans un match aussi important que celui de la coupe Grey. Watkins assure cependant qu’il oublie toujours ses erreurs du passé.
« Tu ne peux revenir en arrière et changer les choses », a avoué Watkins. « Il faut simplement passer à autre chose. »
Watkins, qui a vécu les défaites de 2005 et 2006 à la coupe Grey, semble très confiant. Il ne demanderait pas mieux que de jouer les héros dimanche.
« Je veux faire la différence », a exprimé Watkins. « C’est l’objectif que je me suis fixé! »
Jason Tucker, des Eskimos, est le dernier receveur de passes à avoir été nommé joueur par excellence de la coupe Grey. C’était en 2003.
Par ailleurs, les Alouettes ont fait savoir que le plateau des 60 000 billets vendus avait été atteint pour le match de dimanche.
« Il ne s’agissait que d’une petite collision entre Mark Estelle et moi », a expliqué Watkins. « Ce n’est rien de sérieux. »
Au terme de la victoire de samedi dernier, Ben Cahoon a été critique envers son équipe. Il a prétendu que les Alouettes avaient été chanceux de l’emporter en dépit de nombreuses erreurs. Une opinion partagée par ses coéquipiers.
« Nous avons commis beaucoup d’erreurs à toutes les positions », a reconnu Watkins. « Nous devrons être parfaits pour gagner. »
Cahoon n’a nommé personne, mais on peut présumer que Watkins était l’un des joueurs visés par ses propos.
Selon Watkins, un moment d’inattention est à l’origine de son cafouillage.
« J’ai tenté de marquer un touché avant d’avoir le plein contrôle du ballon » a-t-il indiqué. « J’ai simplement tenté d’en faire trop à la fois. »
Depuis qu’il s’est joint aux Alouettes en 2004, Watkins a quelques fois mal paru lorsqu’une passe qui semblait facile était envoyée dans sa direction.
Ce genre de bévue pourrait coûter cher dans un match aussi important que celui de la coupe Grey. Watkins assure cependant qu’il oublie toujours ses erreurs du passé.
« Tu ne peux revenir en arrière et changer les choses », a avoué Watkins. « Il faut simplement passer à autre chose. »
Watkins, qui a vécu les défaites de 2005 et 2006 à la coupe Grey, semble très confiant. Il ne demanderait pas mieux que de jouer les héros dimanche.
« Je veux faire la différence », a exprimé Watkins. « C’est l’objectif que je me suis fixé! »
Jason Tucker, des Eskimos, est le dernier receveur de passes à avoir été nommé joueur par excellence de la coupe Grey. C’était en 2003.
Par ailleurs, les Alouettes ont fait savoir que le plateau des 60 000 billets vendus avait été atteint pour le match de dimanche.
J'ai hâte à dimanche !!!
J'ai hâte à dimanche !!!
J'ai hâte à dimanche !!!
J'ai hâte à dimanche !!!
J'ai hâte à dimanche !!!
J'ai hâte à dimanche !!!
J'ai hâte à dimanche !!!
J'ai hâte à dimanche !!!
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Anthony Calvillo a été proclamé joueur par excellence et Scott Flory, le joueur de ligne à l'attaque par excellence, jeudi, au gala annuel de la Ligue canadienne de football, alors que les Alouettes de Montréal ont vu deux de leurs trois joueurs en lice ramener un trophée.
Ben Cahoon n'a pas remporté le titre de joueur canadien par excellence, l'honneur allant plutôt à un autre receveur, Kamau Peterson, des Eskimos d'Edmonton.
La dernière saison a été marquée par le retour triomphal du quart de 36 ans des Alouettes, qui avait vu la campagne 2007 se terminer en queue de poisson pour lui. Il avait dû quitter l'équipe avant le début des séries parce que son épouse Alexia Kontolemos avait reçu un diagnostic de cancer. Maladie qu'elle a combattue avec succès depuis.
Calvillo a remercié tous les membres de l'organisation des Alouettes au cours de son discours de remerciements, mais il a ensuite eu des mots doux pour sa conjointe, la mère de ses deux filles.
"Alexia m'a appris ce qu'est la force et le courage à cause du combat qu'elle a dû livrer, a déclaré Calvillo. Je remercie Dieu de nous avoir permis de continuer à partager de tels moments ici sur terre. C'est pourquoi cet honneur me touche tellement au coeur. Quand nous avions parlé de la possibilité que je revienne au jeu, nous avions pensé à la possibilité d'aider l'équipe à aller jusqu'au bout. Nous en avons maintenant l'occasion de faire ça. Et de recevoir un tel trophée cette semaine, c'est un moment que je savoure au plus haut point."
"Je le considère comme un trophée remis à toute la ligne à l'attaque", a quant à lui dit Flory, qui était récompensé ainsi par la LCF pour la première fois, lui qui était finaliste pour la quatrième fois. N'importe quel d'entre nous aurait pu être choisi. C'est un grand honneur mais l'important, c'est le match de dimanche."
Les Alouettes ont été la seule équipe à ramener plus d'un des six trophées majeurs de la soirée, qui s'est déroulée au Casino de Montréal, à trois jours du match de la coupe Grey.
L'ailier défensif Cameron Wake, des Lions de la Colombie-Britannique, a été choisi joueur défensif par excellence, le receveur Weston Dressler, des Roughriders de la Saskatchewan, a été proclamé la recrue par excellence, tandis que Dominique Dorsey, des Argonauts de Toronto, a été sélectionné joueur par excellence sur les unités spéciales.
Les titres de joueur par excellence sont décernés par les électeurs des Chroniqueurs de football du Canada et les entraîneurs-chefs de la LCF.
Le regretté Ron Lancaster, qui est décédé le 18 septembre dernier, a également été honoré au cours de la soirée. Des membres de sa famille ont reçu en son nom le trophée du commissaire, remis annuellement à une personne qui a contribué de manière exceptionnelle à la LCF.
Le centre des Roughriders Jeremy O'Day a reçu le trophée Tom-Pate, un honneur remis à un joueur ayant montré des qualités uniques, selon un scrutin réalisé auprès des joueurs de la LCF.
Le trophée le plus important de tous, la Coupe Grey, reste à décerner puisque le match de championnat de la LCF sera disputé devant plus de 60 000 personnes au Stade olympique de Montréal, dimanche.
Une année de rêve pour Calvillo
Calvillo méritait bien le titre de joueur par excellence pour la deuxième fois de sa carrière, après avoir terminé premier dans la LCF dans la majorité des catégories par la passe, dont ceux du taux d'efficacité (107,2) et des passes de touché (43). Il a d'ailleurs reçu 27 des 46 bulletins de vote de première place, ce qui fait qu'il a été préféré à Henry Burris, qui sera son vis-à-vis chez les Stampeders de Calgary lors du match ultime de dimanche.
"Ce trophée ne se compare en rien à la première fois que je l'avais remporté, a indiqué Calvillo. Le fait d'avoir pu revenir au jeu, et qu'Alexia ait pu assister au premier match malgré les traitements, et aux autres ensuite, ont fait en sorte que je savoure les choses plus que jamais."
Flory, lui, a reçu 24 des 46 votes de première place pour remporter le titre de joueur de ligne offensive par excellence. Ce vétéran de 32 ans a aidé la ligne à l'attaque des Alouettes à terminer au premier rang du circuit au chapitre des sacs du quart accordés.
"J'ai eu la chance d'apprendre des plus grands joueurs de ligne dans la ligue, a noté Flory. Depuis mes débuts, j'ai joué avec Pierre Vercheval, Uzooma Okeke, Dave Mudge et Bryan Chiu, tous des joueurs qui ont remporté ce même titre à un moment ou l'autre.
"L'arrivée de Marc Trestman a revigoré l'équipe au complet, mais je dois aussi mentionner Vince Martino (l'entraîneur de la ligne à l'attaque), qui ne reçoit pas assez de crédit. Il connaît le football tellement à fond."
Les autres lauréats
Peterson a été choisi joueur canadien, devant Cahoon, alors qu'il a eu droit à 25 des 46 votes enregistrés. Il a terminé deuxième dans la ligue pour les attrapés (101) et troisième pour les verges sur réceptions (1317).
Wake s'est vu accorder 44 des 46 votes du côté défensif. Il a réussi 65 plaqués et terminé au premier rang du circuit pour les sacs (23) et les échappés provoqués (5). C'est la deuxième fois de sa carrière qu'il est honoré ainsi.
Dressler a reçu 37 des 46 votes chez les recrues. Il s'est illustré par sa polyvalence, terminant au troisième rang de la LCF pour les verges combinées (2224). Il a capté 56 passes pour des gains de 1128 verges et six touchés, en plus de retourner 39 bottés de dégagement pour une récolte cumulative de 411 verges et 29 bottés d'envoi, pour 603 verges.
Dorsey a reçu 33 votes dans la catégorie des unités spéciales. Il a terminé premier dans la ligue avec 2892 combinées sur des retours de bottés malgré une blessure à une jambe qui lui a fait rater le dernier mois de la saison. Il a maintenu une moyenne de 25,1 verges par retour, la plus élevée dans la LCF.
Ben Cahoon n'a pas remporté le titre de joueur canadien par excellence, l'honneur allant plutôt à un autre receveur, Kamau Peterson, des Eskimos d'Edmonton.
La dernière saison a été marquée par le retour triomphal du quart de 36 ans des Alouettes, qui avait vu la campagne 2007 se terminer en queue de poisson pour lui. Il avait dû quitter l'équipe avant le début des séries parce que son épouse Alexia Kontolemos avait reçu un diagnostic de cancer. Maladie qu'elle a combattue avec succès depuis.
Calvillo a remercié tous les membres de l'organisation des Alouettes au cours de son discours de remerciements, mais il a ensuite eu des mots doux pour sa conjointe, la mère de ses deux filles.
"Alexia m'a appris ce qu'est la force et le courage à cause du combat qu'elle a dû livrer, a déclaré Calvillo. Je remercie Dieu de nous avoir permis de continuer à partager de tels moments ici sur terre. C'est pourquoi cet honneur me touche tellement au coeur. Quand nous avions parlé de la possibilité que je revienne au jeu, nous avions pensé à la possibilité d'aider l'équipe à aller jusqu'au bout. Nous en avons maintenant l'occasion de faire ça. Et de recevoir un tel trophée cette semaine, c'est un moment que je savoure au plus haut point."
"Je le considère comme un trophée remis à toute la ligne à l'attaque", a quant à lui dit Flory, qui était récompensé ainsi par la LCF pour la première fois, lui qui était finaliste pour la quatrième fois. N'importe quel d'entre nous aurait pu être choisi. C'est un grand honneur mais l'important, c'est le match de dimanche."
Les Alouettes ont été la seule équipe à ramener plus d'un des six trophées majeurs de la soirée, qui s'est déroulée au Casino de Montréal, à trois jours du match de la coupe Grey.
L'ailier défensif Cameron Wake, des Lions de la Colombie-Britannique, a été choisi joueur défensif par excellence, le receveur Weston Dressler, des Roughriders de la Saskatchewan, a été proclamé la recrue par excellence, tandis que Dominique Dorsey, des Argonauts de Toronto, a été sélectionné joueur par excellence sur les unités spéciales.
Les titres de joueur par excellence sont décernés par les électeurs des Chroniqueurs de football du Canada et les entraîneurs-chefs de la LCF.
Le regretté Ron Lancaster, qui est décédé le 18 septembre dernier, a également été honoré au cours de la soirée. Des membres de sa famille ont reçu en son nom le trophée du commissaire, remis annuellement à une personne qui a contribué de manière exceptionnelle à la LCF.
Le centre des Roughriders Jeremy O'Day a reçu le trophée Tom-Pate, un honneur remis à un joueur ayant montré des qualités uniques, selon un scrutin réalisé auprès des joueurs de la LCF.
Le trophée le plus important de tous, la Coupe Grey, reste à décerner puisque le match de championnat de la LCF sera disputé devant plus de 60 000 personnes au Stade olympique de Montréal, dimanche.
Une année de rêve pour Calvillo
Calvillo méritait bien le titre de joueur par excellence pour la deuxième fois de sa carrière, après avoir terminé premier dans la LCF dans la majorité des catégories par la passe, dont ceux du taux d'efficacité (107,2) et des passes de touché (43). Il a d'ailleurs reçu 27 des 46 bulletins de vote de première place, ce qui fait qu'il a été préféré à Henry Burris, qui sera son vis-à-vis chez les Stampeders de Calgary lors du match ultime de dimanche.
"Ce trophée ne se compare en rien à la première fois que je l'avais remporté, a indiqué Calvillo. Le fait d'avoir pu revenir au jeu, et qu'Alexia ait pu assister au premier match malgré les traitements, et aux autres ensuite, ont fait en sorte que je savoure les choses plus que jamais."
Flory, lui, a reçu 24 des 46 votes de première place pour remporter le titre de joueur de ligne offensive par excellence. Ce vétéran de 32 ans a aidé la ligne à l'attaque des Alouettes à terminer au premier rang du circuit au chapitre des sacs du quart accordés.
"J'ai eu la chance d'apprendre des plus grands joueurs de ligne dans la ligue, a noté Flory. Depuis mes débuts, j'ai joué avec Pierre Vercheval, Uzooma Okeke, Dave Mudge et Bryan Chiu, tous des joueurs qui ont remporté ce même titre à un moment ou l'autre.
"L'arrivée de Marc Trestman a revigoré l'équipe au complet, mais je dois aussi mentionner Vince Martino (l'entraîneur de la ligne à l'attaque), qui ne reçoit pas assez de crédit. Il connaît le football tellement à fond."
Les autres lauréats
Peterson a été choisi joueur canadien, devant Cahoon, alors qu'il a eu droit à 25 des 46 votes enregistrés. Il a terminé deuxième dans la ligue pour les attrapés (101) et troisième pour les verges sur réceptions (1317).
Wake s'est vu accorder 44 des 46 votes du côté défensif. Il a réussi 65 plaqués et terminé au premier rang du circuit pour les sacs (23) et les échappés provoqués (5). C'est la deuxième fois de sa carrière qu'il est honoré ainsi.
Dressler a reçu 37 des 46 votes chez les recrues. Il s'est illustré par sa polyvalence, terminant au troisième rang de la LCF pour les verges combinées (2224). Il a capté 56 passes pour des gains de 1128 verges et six touchés, en plus de retourner 39 bottés de dégagement pour une récolte cumulative de 411 verges et 29 bottés d'envoi, pour 603 verges.
Dorsey a reçu 33 votes dans la catégorie des unités spéciales. Il a terminé premier dans la ligue avec 2892 combinées sur des retours de bottés malgré une blessure à une jambe qui lui a fait rater le dernier mois de la saison. Il a maintenu une moyenne de 25,1 verges par retour, la plus élevée dans la LCF.
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Le défi auquel sera confronté la défensive des Alouettes de Montréal, dimanche, à l'occasion du match de la Coupe Grey, sera plus complexe qu'à l'occasion de la finale d'association.
Samedi dernier, contre les Eskimos d'Edmonton, ils ont affronté une équipe qui ne misait essentiellement que sur le jeu aérien, faute d'une attaque au sol potable. Cette fois, ils se mesureront à un adversaire qui compte une attaque beaucoup plus variée puisque les Stampeders de Calgary misent notamment sur le meilleur porteur de ballon du circuit - Joffrey Reynolds a amassé 1310 verges au sol cette saison - et le meilleur receveur - Ken-Yon Rambo, auteur de 1473 verges par la passe.
Sans oublier que le receveur Jeremaine Copeland, les amateurs de Montréal le savent bien, peut porter le coup fatal en un clin d'oeil.
Et il y a évidemment le quart Henry Burris, finaliste au titre de joueur par excellence de la LCF cette année, qui a amassé 595 verges au sol, un sommet dans la ligue cette saison.
La menace viendra donc de tous les côtés.
"Il y a aura une facette de plus, c'est certain, a reconnu Étienne Boulay. Quoique les Eskimos trouvaient le moyen de remettre le ballon à leurs demis par de petites passes, qui étaient dans le fond des jeux au sol déguisés."
"Il faudra se concentrer sur Reynolds parce qu'il représente une plus grande menace au sol, aucun doute, a convenu le maraudeur Matthieu Proulx. S'ils établissent leur jeu au sol, ça leur ouvrira bien des choses au point de vue du jeu aérien.
"L'idée, c'est de se préparer pour les deux, a ajouté Proulx. Dans la LCF, tu essaies toujours de stopper la course, dans le but de donner l'impression à l'autre équipe qu'ils n'arriveront à rien en courant. Ca les force à devenir unidimensionnels."
Les qualités de coureur de Burris viendront d'autant plus compliquer les choses.
"Si ses receveurs ne sont pas libres, il est capable de se démarquer en courant lui-même avec le ballon, a ajouté Boulay. Ça va être là une autre facette contre laquelle on devra se défendre. Aucun doute, il va falloir jouer un autre bon match."
"Si on n'est incapable de limiter les jeux au sol, ça deviendra dangereux puisqu'il y a alors toujours la possibilité des deux - la passe et la course, a souligné Proulx. Tu cours alors le danger, en défensive, de t'orienter du mauvais côté."
"Nous aurons fort à faire, a reconnu l'ailier défensif Anwar Stewart, mais sommes prêts à relever le défi."
Les joueurs montréalais seront prêts parce qu'ils ont fait leurs devoirs. Jusque dans les menus détails.
"Quand tu étudies l'adversaire, tu sais ce qu'ils vont faire dans une situation particulière, en lisant leur formation, en détectant la façon dont leur ligne à l'attaque est placée, a expliqué Stewart. Au point que tu n'as pas besoin d'y penser, tu réagis instinctivement."
"On ne changera pas nécessairement de système de jeu, a indiqué Proulx. Contre Edmonton, malgré le fait qu'ils ne couraient pas beaucoup, on était prêts à affronter la course. Notre système est fait comme ça."
Selon Stewart, les Stampeders ont montré qu'ils respectaient la défensive montréalaise, plus tôt cette saison, par la façon dont ils ont cherché à protéger leur quart.
"Il y avait six, sept, parfois huit gars devant parce qu'on parvenait à percer leur muraille, a noté Stewart. Nous avons le sentiment - et ce n'est pas de l'arrogance que de dire ça - que notre front défensif de quatre joueurs est meilleur que leur front offensif de cinq joueurs."
Aux yeux de Stewart, le nerf de la guerre se passera à la ligne de mêlée. C'a été le cas la semaine dernière contre les Eskimos, et ç'a l'est toujours dans les matchs au sommet, a-t-il souligné.
"On n'a qu'à regarder le dernier Super Bowl entre les Giants et les Patriots. Ca s'est résumé à ce qui s'est passé devant. Les gars des Giants ont gêné le travail de Tom Brady et nous, nous voulons nous rendre jusqu'à Burris."
Et puisqu'il s'agira du match ultime de la saison, les joueurs vont sortir tous les trucs pour venir à bout de leurs vis-à-vis, a reconnu Stewart.
"Ca va se pousser, se chamailler et parler fort, mais il s'agit de puiser dans ses réserves. Parce qu'à la fin des 60 minutes de jeu, tu veux être celui qui va soulever la coupe. Mais personne ne veut y aller de coups bas. Nous voulons juste donner tout que nous avons, en espérant que ce soit suffisant pour la victoire."
Samedi dernier, contre les Eskimos d'Edmonton, ils ont affronté une équipe qui ne misait essentiellement que sur le jeu aérien, faute d'une attaque au sol potable. Cette fois, ils se mesureront à un adversaire qui compte une attaque beaucoup plus variée puisque les Stampeders de Calgary misent notamment sur le meilleur porteur de ballon du circuit - Joffrey Reynolds a amassé 1310 verges au sol cette saison - et le meilleur receveur - Ken-Yon Rambo, auteur de 1473 verges par la passe.
Sans oublier que le receveur Jeremaine Copeland, les amateurs de Montréal le savent bien, peut porter le coup fatal en un clin d'oeil.
Et il y a évidemment le quart Henry Burris, finaliste au titre de joueur par excellence de la LCF cette année, qui a amassé 595 verges au sol, un sommet dans la ligue cette saison.
La menace viendra donc de tous les côtés.
"Il y a aura une facette de plus, c'est certain, a reconnu Étienne Boulay. Quoique les Eskimos trouvaient le moyen de remettre le ballon à leurs demis par de petites passes, qui étaient dans le fond des jeux au sol déguisés."
"Il faudra se concentrer sur Reynolds parce qu'il représente une plus grande menace au sol, aucun doute, a convenu le maraudeur Matthieu Proulx. S'ils établissent leur jeu au sol, ça leur ouvrira bien des choses au point de vue du jeu aérien.
"L'idée, c'est de se préparer pour les deux, a ajouté Proulx. Dans la LCF, tu essaies toujours de stopper la course, dans le but de donner l'impression à l'autre équipe qu'ils n'arriveront à rien en courant. Ca les force à devenir unidimensionnels."
Les qualités de coureur de Burris viendront d'autant plus compliquer les choses.
"Si ses receveurs ne sont pas libres, il est capable de se démarquer en courant lui-même avec le ballon, a ajouté Boulay. Ça va être là une autre facette contre laquelle on devra se défendre. Aucun doute, il va falloir jouer un autre bon match."
"Si on n'est incapable de limiter les jeux au sol, ça deviendra dangereux puisqu'il y a alors toujours la possibilité des deux - la passe et la course, a souligné Proulx. Tu cours alors le danger, en défensive, de t'orienter du mauvais côté."
"Nous aurons fort à faire, a reconnu l'ailier défensif Anwar Stewart, mais sommes prêts à relever le défi."
Les joueurs montréalais seront prêts parce qu'ils ont fait leurs devoirs. Jusque dans les menus détails.
"Quand tu étudies l'adversaire, tu sais ce qu'ils vont faire dans une situation particulière, en lisant leur formation, en détectant la façon dont leur ligne à l'attaque est placée, a expliqué Stewart. Au point que tu n'as pas besoin d'y penser, tu réagis instinctivement."
"On ne changera pas nécessairement de système de jeu, a indiqué Proulx. Contre Edmonton, malgré le fait qu'ils ne couraient pas beaucoup, on était prêts à affronter la course. Notre système est fait comme ça."
Selon Stewart, les Stampeders ont montré qu'ils respectaient la défensive montréalaise, plus tôt cette saison, par la façon dont ils ont cherché à protéger leur quart.
"Il y avait six, sept, parfois huit gars devant parce qu'on parvenait à percer leur muraille, a noté Stewart. Nous avons le sentiment - et ce n'est pas de l'arrogance que de dire ça - que notre front défensif de quatre joueurs est meilleur que leur front offensif de cinq joueurs."
Aux yeux de Stewart, le nerf de la guerre se passera à la ligne de mêlée. C'a été le cas la semaine dernière contre les Eskimos, et ç'a l'est toujours dans les matchs au sommet, a-t-il souligné.
"On n'a qu'à regarder le dernier Super Bowl entre les Giants et les Patriots. Ca s'est résumé à ce qui s'est passé devant. Les gars des Giants ont gêné le travail de Tom Brady et nous, nous voulons nous rendre jusqu'à Burris."
Et puisqu'il s'agira du match ultime de la saison, les joueurs vont sortir tous les trucs pour venir à bout de leurs vis-à-vis, a reconnu Stewart.
"Ca va se pousser, se chamailler et parler fort, mais il s'agit de puiser dans ses réserves. Parce qu'à la fin des 60 minutes de jeu, tu veux être celui qui va soulever la coupe. Mais personne ne veut y aller de coups bas. Nous voulons juste donner tout que nous avons, en espérant que ce soit suffisant pour la victoire."
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Deux joueurs qui ont été des choix au repêchage des Alouettes en avril dernier pourraient gagner la coupe Grey dès leur première saison, soit le secondeur Shea Emry et le demi défensif Paul Woldu.
Patrick Dorvélus est le dernier choix au repêchage des Alouettes qui a gagné le trophée dès sa première saison. C'était en 2002.
"Quelle façon d’entreprendre une carrière!, s’est exclamé Woldu. J’ai la chance de gagner la coupe à la maison. Plusieurs joueurs ne peuvent en dire autant. Mon coéquipier Shawn Gallant en sera à sa première participation en dix saisons. Mais rien n’est encore gagné."
Des 42 joueurs des Alouettes qui étaient en uniforme en finale de l'Est la semaine dernière, seulement huit ont déjà connu les joies d'une conquête de la coupe Grey.
Le secondeur Reggie Hunt est l'un de ceux-là, lui qui a aidé les Roughriders à remporter le trophée il y a moins d'un an.
Embauché à titre de joueur autonome, Hunt se sent privilégié d'avoir la chance de gagner la coupe Grey avec une deuxième équipe.
"Dès que j’ai signé mon contrat avec l’équipe, je savais que nous avions le talent pour jouer le match de la coupe Grey, jure Hunt. Demandez à Marc Trestman et aux autres joueurs. C’est ce que je répète depuis le début de la saison et c’est arrivé!"
Patrick Dorvélus est le dernier choix au repêchage des Alouettes qui a gagné le trophée dès sa première saison. C'était en 2002.
"Quelle façon d’entreprendre une carrière!, s’est exclamé Woldu. J’ai la chance de gagner la coupe à la maison. Plusieurs joueurs ne peuvent en dire autant. Mon coéquipier Shawn Gallant en sera à sa première participation en dix saisons. Mais rien n’est encore gagné."
Des 42 joueurs des Alouettes qui étaient en uniforme en finale de l'Est la semaine dernière, seulement huit ont déjà connu les joies d'une conquête de la coupe Grey.
Le secondeur Reggie Hunt est l'un de ceux-là, lui qui a aidé les Roughriders à remporter le trophée il y a moins d'un an.
Embauché à titre de joueur autonome, Hunt se sent privilégié d'avoir la chance de gagner la coupe Grey avec une deuxième équipe.
"Dès que j’ai signé mon contrat avec l’équipe, je savais que nous avions le talent pour jouer le match de la coupe Grey, jure Hunt. Demandez à Marc Trestman et aux autres joueurs. C’est ce que je répète depuis le début de la saison et c’est arrivé!"
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Le plaqueur Keron Williams vivra des émotions bien spéciales lors du match de la coupe Grey. Il tentera en effet de gagner le trophée pour la première fois de sa carrière en affrontant son ancienne équipe.
Williams est l'un de ceux qui ont bien travaillé lors des entraînements des derniers jours. À sa troisième saison dans la LCF, sa première à Montréal, Williams se sent choyé de pouvoir jouer le match de la coupe Grey.
Au cours de l'hiver, Williams a été libéré par les Stampeders, l'équipe qu'il affrontera dimanche. Le nouveau coordonnateur défensif, Chris Jones, jugeait qu'il ne cadrait plus dans les plans de l'équipe. Williams a durement accueilli la nouvelle au départ, mais il dit la comprendre maintenant.
"Je respecte cette décision, dit Williams. Chaque entraîneur a sa propre philosophie, sa façon de voir les choses."
Ce changement d'équipe a été profitable à Williams. Il a réussi dix sacs et mérité le titre de joueur défensif par excellence des Alouettes.
Williams reconnait avoir été quelque peu déçu lorsqu'il a appris qu'il n'avait pas sa place au sein de l'équipe d'étoiles du circuit.
"Après tout, j’ai travaillé très fort pour devenir l’un des meilleurs de la Ligue à ma position."
Il y a quelques jours, Williams a toutefois appris une bonne nouvelle puisque son talent a été reconnu par ses pairs. L’Association des joueurs de la Ligue canadienne l’a en effet choisi au sein de son équipe d’étoiles.
Williams est l'un de ceux qui ont bien travaillé lors des entraînements des derniers jours. À sa troisième saison dans la LCF, sa première à Montréal, Williams se sent choyé de pouvoir jouer le match de la coupe Grey.
Au cours de l'hiver, Williams a été libéré par les Stampeders, l'équipe qu'il affrontera dimanche. Le nouveau coordonnateur défensif, Chris Jones, jugeait qu'il ne cadrait plus dans les plans de l'équipe. Williams a durement accueilli la nouvelle au départ, mais il dit la comprendre maintenant.
"Je respecte cette décision, dit Williams. Chaque entraîneur a sa propre philosophie, sa façon de voir les choses."
Ce changement d'équipe a été profitable à Williams. Il a réussi dix sacs et mérité le titre de joueur défensif par excellence des Alouettes.
Williams reconnait avoir été quelque peu déçu lorsqu'il a appris qu'il n'avait pas sa place au sein de l'équipe d'étoiles du circuit.
"Après tout, j’ai travaillé très fort pour devenir l’un des meilleurs de la Ligue à ma position."
Il y a quelques jours, Williams a toutefois appris une bonne nouvelle puisque son talent a été reconnu par ses pairs. L’Association des joueurs de la Ligue canadienne l’a en effet choisi au sein de son équipe d’étoiles.
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Les joueurs des Alouettes ne se sont pas entraînés, samedi midi. Ils n'ont fait que rencontrer les médias au Stade olympique, à la veille du match de la coupe Grey de dimanche contre les Stampeders de Calgary.
Leur préparation d'équipe était donc pas mal complétée. Le temps était venu de se disperser, le temps de quelques heures, et de peaufiner leur préparation individuelle.
"Notre dernier entraînement s'est terminé vendredi midi, alors jusqu'à 18h dimanche, ça fait beaucoup de temps pour penser au match, a souligné l'entraîneur des Alouettes Marc Trestman, samedi. Les joueurs profiteront de ce temps de réflexion pour penser à la façon dont ils voudront aborder le match."
Selon les vétérans de l'équipe, dans les dernières heures avant un match comme celui de la Coupe Grey, il suffit simplement d'effectuer une dernière révision de ses tâches et affectations afin de s'assurer que tout est en ordre dans sa tête.
"Il faut visualiser les jeux que tu vas faire, s'assurer que tu connais bien tes affectations, que c'est du solide dans ta tête", a expliqué le demi inséré Ben Cahoon.
"Il s'agit de réviser les affectations qu'on nous a données une dernière fois et s'assurer de prendre suffisamment de repos, a indiqué l'ailier défensif Anwar Stewart. Dans les dernières heures avant un match, il est facile de perdre sa concentration, notamment à cause de ses responsabilités familiales. Mais on ne sait pas si on aura une autre chance de disputer un match de la Coupe Grey, alors il faut savourer le moment présent.
"La maxime de Marc (Trestman), c'est d'être frais et dispos, a ajouté Stewart. Et nous allons l'être."
"Parce que ça se passe à Montréal cette année, je n'ai pas l'impression que c'est le match de la Coupe Grey qui s'en vient, on dirait que c'est un match comme un autre, a affirmé le joueur de ligne offensive Bryan Chiu. Mais plus le match va approcher, plus je vais le réaliser.
"Puis, quand le match commence, tu dois ralentir le rythme du jeu dans ta tête, a ajouté Chiu. Une fois que le premier jeu aura été complété, ça redeviendra un match comme les autres. Rien n'aura changé, on aura encore trois essais pour essayer de franchir 10 verges."
-
Marc Trestman ne prévoyait pas faire de grand discours, dimanche, dans les minutes précédant le match de la Coupe Grey.
"Je ne crois pas que les joueurs en aient besoin à ce stade-ci, a affirmé l'entraîneur des Alouettes. Ils rêvent de ce match depuis longtemps et ce simple fait suffira à les motiver."
Trestman n'a par ailleurs pas voulu dire ce que représenterait pour lui une victoire à la Coupe Grey, à sa première saison dans la LCF.
"Je n'ai même pas pensé à cela. Je me suis juste efforcé d'être une ressource pour les joueurs, dans le but de les aider à disputer le meilleur match possible. Je suis tout simplement content d'avoir l'occasion de participer à un match de cette envergure."
-
Le receveur des Alouettes Kerry Watkins continuait de dire, samedi, qu'il serait en mesure de disputer le match de la Coupe Grey, malgré une blessure au côté gauche subie à l'entraînement plus tôt cette semaine.
Le centre-arrière Dahrran Diedrick ne sera toutefois pas de la partie.
Leur préparation d'équipe était donc pas mal complétée. Le temps était venu de se disperser, le temps de quelques heures, et de peaufiner leur préparation individuelle.
"Notre dernier entraînement s'est terminé vendredi midi, alors jusqu'à 18h dimanche, ça fait beaucoup de temps pour penser au match, a souligné l'entraîneur des Alouettes Marc Trestman, samedi. Les joueurs profiteront de ce temps de réflexion pour penser à la façon dont ils voudront aborder le match."
Selon les vétérans de l'équipe, dans les dernières heures avant un match comme celui de la Coupe Grey, il suffit simplement d'effectuer une dernière révision de ses tâches et affectations afin de s'assurer que tout est en ordre dans sa tête.
"Il faut visualiser les jeux que tu vas faire, s'assurer que tu connais bien tes affectations, que c'est du solide dans ta tête", a expliqué le demi inséré Ben Cahoon.
"Il s'agit de réviser les affectations qu'on nous a données une dernière fois et s'assurer de prendre suffisamment de repos, a indiqué l'ailier défensif Anwar Stewart. Dans les dernières heures avant un match, il est facile de perdre sa concentration, notamment à cause de ses responsabilités familiales. Mais on ne sait pas si on aura une autre chance de disputer un match de la Coupe Grey, alors il faut savourer le moment présent.
"La maxime de Marc (Trestman), c'est d'être frais et dispos, a ajouté Stewart. Et nous allons l'être."
"Parce que ça se passe à Montréal cette année, je n'ai pas l'impression que c'est le match de la Coupe Grey qui s'en vient, on dirait que c'est un match comme un autre, a affirmé le joueur de ligne offensive Bryan Chiu. Mais plus le match va approcher, plus je vais le réaliser.
"Puis, quand le match commence, tu dois ralentir le rythme du jeu dans ta tête, a ajouté Chiu. Une fois que le premier jeu aura été complété, ça redeviendra un match comme les autres. Rien n'aura changé, on aura encore trois essais pour essayer de franchir 10 verges."
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Marc Trestman ne prévoyait pas faire de grand discours, dimanche, dans les minutes précédant le match de la Coupe Grey.
"Je ne crois pas que les joueurs en aient besoin à ce stade-ci, a affirmé l'entraîneur des Alouettes. Ils rêvent de ce match depuis longtemps et ce simple fait suffira à les motiver."
Trestman n'a par ailleurs pas voulu dire ce que représenterait pour lui une victoire à la Coupe Grey, à sa première saison dans la LCF.
"Je n'ai même pas pensé à cela. Je me suis juste efforcé d'être une ressource pour les joueurs, dans le but de les aider à disputer le meilleur match possible. Je suis tout simplement content d'avoir l'occasion de participer à un match de cette envergure."
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Le receveur des Alouettes Kerry Watkins continuait de dire, samedi, qu'il serait en mesure de disputer le match de la Coupe Grey, malgré une blessure au côté gauche subie à l'entraînement plus tôt cette semaine.
Le centre-arrière Dahrran Diedrick ne sera toutefois pas de la partie.