J'ai pas vu de sujet là-dessus, vous gênez pas pour me le dire si y'en a déjà un mais...
Y allez-vous? Des shows gratuits ou en salles? Lesquels? ;)
http://www.montrealjazzfest.com/fijm2004/accueil_fr.asp
Moi, en salle, je vais voir Colin James & George Thorogood le 6 et Lila Downs (chanteuse mexicaine qu'on a pu voir et entendre dans le film Frida) le 5...
J'ai encore une fois pris mes vacances pendant le festival, comme chaque fois que je reste à Mourial pour mes vacances...
Et vous? Des projets pour le festival?
Festival International de Jazz de Mourial 2004
Modérateur : Elise-Gisèle
Comme ça l'air d'intéresser tout le monde j'en profite pour en rajouter...
J'ai acheté le CD du festival hier... j'avais acheté celui de 2002 pis il m'avait pas fait tripper outre-mesure....
Mais celui de cette année est pas mal bon! Y'a du Jazz, de la musique du monde, un peu de tout quoi! Mais je l'écoutais hier pis j'étais impressionnée! Enfin, de ce que j'entendais, faisais du lavage en même temps...
Je le réécoute ce matin et l'enthousiasme est toujours là... pour les amateurs, je vous le conseille! Pas pour les bebelles qui viennent avec (des coupons et la carte des amis) mais bien pour la musique...
(tsé, quand on a l'impression de parler tusseul... pas grave, j'trippe fort moi )
J'ai acheté le CD du festival hier... j'avais acheté celui de 2002 pis il m'avait pas fait tripper outre-mesure....
Mais celui de cette année est pas mal bon! Y'a du Jazz, de la musique du monde, un peu de tout quoi! Mais je l'écoutais hier pis j'étais impressionnée! Enfin, de ce que j'entendais, faisais du lavage en même temps...
Je le réécoute ce matin et l'enthousiasme est toujours là... pour les amateurs, je vous le conseille! Pas pour les bebelles qui viennent avec (des coupons et la carte des amis) mais bien pour la musique...
(tsé, quand on a l'impression de parler tusseul... pas grave, j'trippe fort moi )
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Moi, j'y vais chaque année. Je suis une grande fan de jazz et j'adore les foules. Quand je travaillais à Montréal, j'y allais tous les jours mais maintenant, j'y vais 2 ou 3 fois, ça dépend.
Je n'ai pas les moyens pour les spectacles payants mais je profite en masse des shows gratuits et il y en a de très bons.
Je n'ai pas les moyens pour les spectacles payants mais je profite en masse des shows gratuits et il y en a de très bons.
[center][img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/theberge6a.jpg[/img]
[img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept.jpg[/img] https://www.lesnomadesenvr.com/forum.htm" onclick="window.open(this.href);return false; [img]http://img.photobucket.com/albums/v401/canastasamba/avatar/sept-1.jpg[/img][/center]
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Bon... viens de me faire awouère encore... Un autre show payant...
Lhasa De Sela... j'peux pas pas aller la voir!
Pis après, c'est tout... enfin, sauf les gratisses... on s'y croisera peut-être Nicki! ;) J'vais être en vacances faque j'risque d'y passer mes semaines!
Une maudite chance que j'ai eu les billets pour Lila Downs gratisses... ça aurait commencé à me coûter cher un peu...
J'ai hâte... la semaine prochaine!!!
Lhasa De Sela... j'peux pas pas aller la voir!
Pis après, c'est tout... enfin, sauf les gratisses... on s'y croisera peut-être Nicki! ;) J'vais être en vacances faque j'risque d'y passer mes semaines!
Une maudite chance que j'ai eu les billets pour Lila Downs gratisses... ça aurait commencé à me coûter cher un peu...
J'ai hâte... la semaine prochaine!!!
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À la demande générale, j'en rajoute!!!
Mon premier show payant aujourd'hui!!! Lhasa!!! Ouf, qu'elle est bonne!
Si ça avait pas été du grand frisé en avant de moi en début de show, j'aurais été de meilleure humeur pour apprécier vraiment...
poukoi c'est pas les p'tits chauves qui s'installent devant moi...?
Enfin... une chance que la madame placière a été fine et m'a trouvé un spot avec personne devant moi! J'étais derrière, sur une tite chaise pas confortable, mais au moins, je voyais de quoi!
Autre bémol... des places assises, c'est pas le best... je trouve ça frette pas mal comme ambiance. Au moins, debout (comme au Métropolis), le monde bouge et participe plus...
Mais de toute façon, Lhasa était bonne, sa voix me fait flipper, les chansons, je les adore, plus du second album que du premier, mais c'était très bon pareil... surtout qu'à son premier rappel, elle a chanté Los Peces, ma favorite du premier album... et elle se plaît à raconter de p'tites histoires, avec une p'tite touche d'humour!
Bref, j'suis bien contente de ma soirée... sauf le grand frisé...
Prochain show, Lila Downs qu'on a pu voir et entendre dans le film Frida... j'ai très hâte!
Mon premier show payant aujourd'hui!!! Lhasa!!! Ouf, qu'elle est bonne!
Si ça avait pas été du grand frisé en avant de moi en début de show, j'aurais été de meilleure humeur pour apprécier vraiment...
poukoi c'est pas les p'tits chauves qui s'installent devant moi...?
Enfin... une chance que la madame placière a été fine et m'a trouvé un spot avec personne devant moi! J'étais derrière, sur une tite chaise pas confortable, mais au moins, je voyais de quoi!
Autre bémol... des places assises, c'est pas le best... je trouve ça frette pas mal comme ambiance. Au moins, debout (comme au Métropolis), le monde bouge et participe plus...
Mais de toute façon, Lhasa était bonne, sa voix me fait flipper, les chansons, je les adore, plus du second album que du premier, mais c'était très bon pareil... surtout qu'à son premier rappel, elle a chanté Los Peces, ma favorite du premier album... et elle se plaît à raconter de p'tites histoires, avec une p'tite touche d'humour!
Bref, j'suis bien contente de ma soirée... sauf le grand frisé...
Prochain show, Lila Downs qu'on a pu voir et entendre dans le film Frida... j'ai très hâte!
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Gala du Festival international de jazz - Diana Krall: l'artiste a tué la vamp
Loin de se satisfaire de son nouvel état civil de madame Elvis (Costello), la jazzwoman canadienne la plus en vue sur la planète en profite pour jeter ses robes de vamp et redevenir la chanteuse-pianiste appliquée des débuts. Si le retour à l'orthodoxie jazz est louable, la question se posait hier au Centre Bell: le large public de Diana Krall est-il consentant?
Vêtue sobrement d’une veste et d’un jeans, Diana Krall, l’artiste, avait envoyé la vamp se rhabiller.
C'était frappant. Le jeans, la petite veste. Sobre, qu'elle était, la Krall. Plus que sobre. Pas très habillée pour l'occasion, oserait-on dire. Ne s'agissait-il pas d'une soirée de gala, de la célébration chic'n'swell des 25 ans du Festival international de jazz de Montréal ? Ne s'agissait-il pas d'un spectacle-événement diffusé en (presque) direct à la grandeur du pays, spectacle qui se voulait un gros merci de la Canadienne pour services rendus, ledit festival ayant largement contribué à la positionner sur la mappemonde du jazz ? Eh ben, la blonde princesse avait la gratitude sans glamour, constatait-on hier au Centre Bell : les robes craquées sur le côté et les décolletés vertigineux des prédécents passages au FIJM avaient été mis au rancart, et remplacés par le premier Levi's venu. L'habit d'une musicienne se souciant dorénavant fort peu de ce qu'elle donne à voir, désormais dédiée corps et âme à ses nouvelles chansons.
Dorénavant ? Désormais ? Fallait-il y donc voir dans ce dénuement volontaire la conséquence de voeux récemment prononcés ? On pourrait le penser, l'union maritale avec Elvis Costello ayant parallèlement donné lieu à une collaboration musicale plus que fertile, dont le spectacle d'hier était le résultat patent. Presque toutes les chansons du dernier album The Girl In The Other Room, et presque toutes celles que Diana Krall et Elvis Costello y co-signent étaient hier au programme. On était loin de la Diana Krall aguichante de la pub de GM, serinant The Look Of Love à son amant sur quatre roues. De fait, on retrouvait la Diana Krall jazzwoman pure et dure des premières visites au FIJM, celle qui multipliait les solos de piano et chantait comme Julie London. Sur cette scène immense, devant ces 11 000 spectateurs majoritairement venus voir la grande séductrice du jazz made in Canada, on avait l'impression de voir un orchestre de club, formation basse-guitare-batterie-piano collée serré au milieu, comme extirpée de son habitat naturel.
Le plus souvent, la chanteuse était penchée sur son piano, sa longue chevelure lui recouvrant le visage, la coupant du monde et d'abord du public : littéralement, elle était contenue dans une bulle où il n'y avait que le jazz et elle. À peine murmurait-elle quelques mots entre les plongées en apnée, le temps de reprendre son souffle. Il fallait la voir sur l'écran géant quand son Elvis de mari est venu pousser Almost Blue : sa concentration était absolue, et sa place de musicienne accompagnatrice semblait entièrement suffisante à son bonheur. À l'exclusion de tout le reste.
Le public, tout disposé à ovationner la belle au moindre prétexte, en était quand même un peu déficitaire. Les standards jazz attendus ne sont pas venus, du moins pas en nombre : pour un All Or Nothing, pour un Devil May Care, il fallait à ces amateurs d'un soir se taper de longues minutes de vrai de vrai jazz, solos de contrebasse pas faciles, arpéges audacieux au piano, et du matériel neuf en quantité. Enthousiastes sans excès, ils auraient été extatiques pour peu qu'un Route 66, un S'Wonderful ou un Cry Me A River aient espacé les nouveautés.
Loin de se satisfaire de son nouvel état civil de madame Elvis (Costello), la jazzwoman canadienne la plus en vue sur la planète en profite pour jeter ses robes de vamp et redevenir la chanteuse-pianiste appliquée des débuts. Si le retour à l'orthodoxie jazz est louable, la question se posait hier au Centre Bell: le large public de Diana Krall est-il consentant?
Vêtue sobrement d’une veste et d’un jeans, Diana Krall, l’artiste, avait envoyé la vamp se rhabiller.
C'était frappant. Le jeans, la petite veste. Sobre, qu'elle était, la Krall. Plus que sobre. Pas très habillée pour l'occasion, oserait-on dire. Ne s'agissait-il pas d'une soirée de gala, de la célébration chic'n'swell des 25 ans du Festival international de jazz de Montréal ? Ne s'agissait-il pas d'un spectacle-événement diffusé en (presque) direct à la grandeur du pays, spectacle qui se voulait un gros merci de la Canadienne pour services rendus, ledit festival ayant largement contribué à la positionner sur la mappemonde du jazz ? Eh ben, la blonde princesse avait la gratitude sans glamour, constatait-on hier au Centre Bell : les robes craquées sur le côté et les décolletés vertigineux des prédécents passages au FIJM avaient été mis au rancart, et remplacés par le premier Levi's venu. L'habit d'une musicienne se souciant dorénavant fort peu de ce qu'elle donne à voir, désormais dédiée corps et âme à ses nouvelles chansons.
Dorénavant ? Désormais ? Fallait-il y donc voir dans ce dénuement volontaire la conséquence de voeux récemment prononcés ? On pourrait le penser, l'union maritale avec Elvis Costello ayant parallèlement donné lieu à une collaboration musicale plus que fertile, dont le spectacle d'hier était le résultat patent. Presque toutes les chansons du dernier album The Girl In The Other Room, et presque toutes celles que Diana Krall et Elvis Costello y co-signent étaient hier au programme. On était loin de la Diana Krall aguichante de la pub de GM, serinant The Look Of Love à son amant sur quatre roues. De fait, on retrouvait la Diana Krall jazzwoman pure et dure des premières visites au FIJM, celle qui multipliait les solos de piano et chantait comme Julie London. Sur cette scène immense, devant ces 11 000 spectateurs majoritairement venus voir la grande séductrice du jazz made in Canada, on avait l'impression de voir un orchestre de club, formation basse-guitare-batterie-piano collée serré au milieu, comme extirpée de son habitat naturel.
Le plus souvent, la chanteuse était penchée sur son piano, sa longue chevelure lui recouvrant le visage, la coupant du monde et d'abord du public : littéralement, elle était contenue dans une bulle où il n'y avait que le jazz et elle. À peine murmurait-elle quelques mots entre les plongées en apnée, le temps de reprendre son souffle. Il fallait la voir sur l'écran géant quand son Elvis de mari est venu pousser Almost Blue : sa concentration était absolue, et sa place de musicienne accompagnatrice semblait entièrement suffisante à son bonheur. À l'exclusion de tout le reste.
Le public, tout disposé à ovationner la belle au moindre prétexte, en était quand même un peu déficitaire. Les standards jazz attendus ne sont pas venus, du moins pas en nombre : pour un All Or Nothing, pour un Devil May Care, il fallait à ces amateurs d'un soir se taper de longues minutes de vrai de vrai jazz, solos de contrebasse pas faciles, arpéges audacieux au piano, et du matériel neuf en quantité. Enthousiastes sans excès, ils auraient été extatiques pour peu qu'un Route 66, un S'Wonderful ou un Cry Me A River aient espacé les nouveautés.
Festival inernational de jazz de Montréal
Sur la place publique
Tous les jours, d'ici au 11 juillet, des milliers de musiciens, en provenance d'une vingtaine de pays, continueront de se relayer sur les dix scènes extérieures du site. Avec, en marge des spectacles, fanfares dixieland, batterias et autres amuseurs de rue.
À venir: Vic Vogel et le Big Band...
Deux événements majeurs, ouverts à tous, restent à venir. Le 10 juillet, le public est invité à un pique-nique musical à Place des Nations de l'île Sainte-Hélène, au son du célèbre Big Band de Vic Vogel. Le rassemblement est prévu à 18 heures, et une fanfare dixieland sera sur place pour créer de l'ambiance avant le début du concert. Événement historique puisque Vogel avait présenté au même endroit le spectacle de clôture de la première édition du Festival, en 1979.
... et le Cirque du Soleil
Enfin, le 11 juillet, une soirée haute en couleur, organisée conjointement par le Festival de jazz et le Cirque du Soleil - qui célèbre son 20e anniversaire - viendra clore la série de festivités extérieures. Acrobates et musiciens se retrouveront sur l'esplanade de la Place des Arts dans un spectacle mis en scène par Michel Lemieux et Victor Pilon, et retransmis en direct sur les réseaux anglais et français de la télévision de Radio-Canada.
Sur la place publique
Tous les jours, d'ici au 11 juillet, des milliers de musiciens, en provenance d'une vingtaine de pays, continueront de se relayer sur les dix scènes extérieures du site. Avec, en marge des spectacles, fanfares dixieland, batterias et autres amuseurs de rue.
À venir: Vic Vogel et le Big Band...
Deux événements majeurs, ouverts à tous, restent à venir. Le 10 juillet, le public est invité à un pique-nique musical à Place des Nations de l'île Sainte-Hélène, au son du célèbre Big Band de Vic Vogel. Le rassemblement est prévu à 18 heures, et une fanfare dixieland sera sur place pour créer de l'ambiance avant le début du concert. Événement historique puisque Vogel avait présenté au même endroit le spectacle de clôture de la première édition du Festival, en 1979.
... et le Cirque du Soleil
Enfin, le 11 juillet, une soirée haute en couleur, organisée conjointement par le Festival de jazz et le Cirque du Soleil - qui célèbre son 20e anniversaire - viendra clore la série de festivités extérieures. Acrobates et musiciens se retrouveront sur l'esplanade de la Place des Arts dans un spectacle mis en scène par Michel Lemieux et Victor Pilon, et retransmis en direct sur les réseaux anglais et français de la télévision de Radio-Canada.