BettyElms a écrit
C'est drole comme ceux qui ne jurent que par les blockbusters ont le commentaire facile face à ceux qui préfèrent habituellement les "plus petits films" en les catégorisant comme étant ceux qui ont des choix "douteux".
Bon ok, yé tard, ça m'tentait de t'écoeurer, Pepsi avec un i!
Moi aussi j'embarque dans le club des personnes qui ont des choix douteux.
Votre dernier film en date....
Modérateur : Elise-Gisèle
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laoghaire_19
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laoghaire_19
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Pepsi a écritC'étais tellement sarcastique mon post J'ai aussi hâte de voir TErreur à Wolf Creek.
Tu vas voir tu devrais aimer. Par contre j'ai beaucoup plus apprécié "The Hostel" que Terreur à Wolf Creek, bien qu'on y sente une certaine tension, il y manquait un petit je ne sais quoi.
Reviens-nous avec tes commentaires.
Tu vas voir tu devrais aimer. Par contre j'ai beaucoup plus apprécié "The Hostel" que Terreur à Wolf Creek, bien qu'on y sente une certaine tension, il y manquait un petit je ne sais quoi.
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L'homme qui tôt ou tard remporte la victoire est celui qui PENSE QU'IL EN EST CAPABLE.
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*Raphaëlle*
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*Raphaëlle* a écritMa mère m'a fait découvrir SOOOOOOOON FIIIIIIIIIIIIIILM (ses mots )
Un homme et une femme de Claude Lelouch...
Tout ce que j'ai à dire c'est:
J'approuve le
Mais pour élaborer un peu...
C'est long (jamais 1h40 ne m'a paru aussi looooong!), s'ils disent 10 phrases en tout, c'est beau...
Il y a 1 ou 2 belles scènes, mais bon....j'ai vu et je ne reverrai plus!
Mais la maman de Raph est heureuse d'avoir trouvé SOOOOOOON FIIIIILM, c'est l'essentiel!
Un homme et une femme de Claude Lelouch...
Tout ce que j'ai à dire c'est:
J'approuve le
Mais pour élaborer un peu...
C'est long (jamais 1h40 ne m'a paru aussi looooong!), s'ils disent 10 phrases en tout, c'est beau...
Il y a 1 ou 2 belles scènes, mais bon....j'ai vu et je ne reverrai plus!
Mais la maman de Raph est heureuse d'avoir trouvé SOOOOOOON FIIIIILM, c'est l'essentiel!
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praeteritum
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ce soir j'ai vu Tristan & Isolde
Mon commentaire : Déçue du début à la fin. J'ai trouvé que les personnages (enfin les acteurs) manquaient d'intensité. La réalisation est pas fameuse et les méchants ont meme pas l'air méchant ! Un ptit film peut-etre trop sweet. Il manquait les fées et j'aurais cru voir le ptit dessin animé de Disney ! Tk.. par contre, les paysages sont fabuleux ! Ma note : 4/10
http://www.imdb.com/title/tt0375154/
Mon commentaire : Déçue du début à la fin. J'ai trouvé que les personnages (enfin les acteurs) manquaient d'intensité. La réalisation est pas fameuse et les méchants ont meme pas l'air méchant ! Un ptit film peut-etre trop sweet. Il manquait les fées et j'aurais cru voir le ptit dessin animé de Disney ! Tk.. par contre, les paysages sont fabuleux ! Ma note : 4/10
http://www.imdb.com/title/tt0375154/
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Niko Bellic
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O.K. je suis assez en retard dans le visionnement de films, je n'en regardais jamais. Je me reprends chaque samedi, je regarde tout ce que je n'avais pas vu Mémoires affectives, Crazy, Survenant, Aurore, Papillon Bleu, Camping sauvage et ce soir j'ai visionné "Elles étaient cinq". J'ai adoré.
Et j'ai découvert Chistian Sbrocca parce que j'ai aimé à la fin du film "Réapprendre à vivre" et je suis allée voir son site. Je me promets de me procurer son 2ème CD Le balafré. J'ai écouté les extraits musicaux, ça me plaît.
Samedi prochain, je vais regardé Les aimants.
Il me semble vous voir rire, ça se peut-tu?
On dit «Mieux vaut tard que jamais» non?
Et j'ai découvert Chistian Sbrocca parce que j'ai aimé à la fin du film "Réapprendre à vivre" et je suis allée voir son site. Je me promets de me procurer son 2ème CD Le balafré. J'ai écouté les extraits musicaux, ça me plaît.
Samedi prochain, je vais regardé Les aimants.
Il me semble vous voir rire, ça se peut-tu?
On dit «Mieux vaut tard que jamais» non?
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*Raphaëlle*
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Marguerite Isabelle
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Piment_fort a écritVoici le film en question cité dans mon précédent message traitant sur les snuffs movies.
Si vous avez subi un épisode de Loft Story et avez été si ennuyé par ses petites querelles d'ados que vous avez souhaité voir un des participants prendre un hachoir à viande pour y régler ses comptes, alors My Little Eye est fait pour vous. Son intrigue est simple. Un groupe d’adolescents, avides de fric et de célébrité, signe un contrat avec la Compagnie. Ils doivent maintenant passer six mois ensemble, dans un vieux manoir, pour un nouveau type de reality show sur Internet. S’ils tiennent jusqu’à la fin, un million de dollars sera gagné. Si l’un d’eux abandonne, à n’importe quel moment, l’équipe en entier perd l’argent. Le doute s’installe vite, alors que chacun réalise maintenant qu’il n’a jamais vu véritablement de publicités sur Internet pour leur show. Tout aussi rapidement, ils commencent à payer cher leur manque de curiosité initiale. Car des choses peu rassurantes se passent autour d’eux (voire, parfois, avec eux comme victimes). Il semble en effet bientôt clair que quelqu’un d’autre est dans la maison. Quelqu’un sachant fort bien ce que le spectateur, avide de sensations toujours plus fortes, veut véritablement voir de nos jours.
Ce film est une création étrangement hybride entre une version cyber-snuff avec réflexion médiatique de vieux thrillers stylisés à la Old Dark House, l’esthétique faux vrai à la Blair Witch et le film de tueur en série des années 1980, le tout dynamisé par une situation où tout est vu par le biais de vulgaires caméscopes et l’oeil de multiples caméras de surveillance. My Little Eye est un film qui s’accapare, à sa manière, un concept intéressant en l’amenant vers des extrémités plus audacieuses encore. Ce film anglais (tourné à Vancouver avec un très petit budget et des acteurs tous inconnus) a été un succès commercial inattendu dans son pays d’origine. Il a même été jusqu’à faire la couverture du très respecté Sight & Sound Magazine, qui l’a décrit comme l’un des films les plus terrifiants de l’année. Au milieu de la vague actuelle de films d’horreur nouvelle forme (dont la règle est d’aller toujours plus vite pour que personne ne s’ennuie), il est rassurant de trouver un film comme celui-ci, sachant faire confiance au potentiel d’attention des spectateurs et qui donc prend son temps pour créer une atmosphère et un état d’angoisse efficace. Car My Little Eye est clairement un film qui dérange dans sa tranquillité. Nul doute qu’il sait faire monter progressivement sa situation de panique pour que la peur y soit terriblement contagieuse. Et lorsque l’horreur éclate, elle le fait dans une violente intensité. Il est important de noter aussi que ce film n’est jamais condescendant par rapport à son sujet d’étude. Là où le rire et la moquerie auraient pu être faciles, ils ne le sont donc pas. Le voyeurisme qu’il met en scène est traité avec un sérieux malsain ce qui rend plus dérangeant encore le prix final à payer pour les participants. On met ça tout de suite dans son modem et on se le fume...
Je l'ai vu, c'est bon!
Si vous avez subi un épisode de Loft Story et avez été si ennuyé par ses petites querelles d'ados que vous avez souhaité voir un des participants prendre un hachoir à viande pour y régler ses comptes, alors My Little Eye est fait pour vous. Son intrigue est simple. Un groupe d’adolescents, avides de fric et de célébrité, signe un contrat avec la Compagnie. Ils doivent maintenant passer six mois ensemble, dans un vieux manoir, pour un nouveau type de reality show sur Internet. S’ils tiennent jusqu’à la fin, un million de dollars sera gagné. Si l’un d’eux abandonne, à n’importe quel moment, l’équipe en entier perd l’argent. Le doute s’installe vite, alors que chacun réalise maintenant qu’il n’a jamais vu véritablement de publicités sur Internet pour leur show. Tout aussi rapidement, ils commencent à payer cher leur manque de curiosité initiale. Car des choses peu rassurantes se passent autour d’eux (voire, parfois, avec eux comme victimes). Il semble en effet bientôt clair que quelqu’un d’autre est dans la maison. Quelqu’un sachant fort bien ce que le spectateur, avide de sensations toujours plus fortes, veut véritablement voir de nos jours.
Ce film est une création étrangement hybride entre une version cyber-snuff avec réflexion médiatique de vieux thrillers stylisés à la Old Dark House, l’esthétique faux vrai à la Blair Witch et le film de tueur en série des années 1980, le tout dynamisé par une situation où tout est vu par le biais de vulgaires caméscopes et l’oeil de multiples caméras de surveillance. My Little Eye est un film qui s’accapare, à sa manière, un concept intéressant en l’amenant vers des extrémités plus audacieuses encore. Ce film anglais (tourné à Vancouver avec un très petit budget et des acteurs tous inconnus) a été un succès commercial inattendu dans son pays d’origine. Il a même été jusqu’à faire la couverture du très respecté Sight & Sound Magazine, qui l’a décrit comme l’un des films les plus terrifiants de l’année. Au milieu de la vague actuelle de films d’horreur nouvelle forme (dont la règle est d’aller toujours plus vite pour que personne ne s’ennuie), il est rassurant de trouver un film comme celui-ci, sachant faire confiance au potentiel d’attention des spectateurs et qui donc prend son temps pour créer une atmosphère et un état d’angoisse efficace. Car My Little Eye est clairement un film qui dérange dans sa tranquillité. Nul doute qu’il sait faire monter progressivement sa situation de panique pour que la peur y soit terriblement contagieuse. Et lorsque l’horreur éclate, elle le fait dans une violente intensité. Il est important de noter aussi que ce film n’est jamais condescendant par rapport à son sujet d’étude. Là où le rire et la moquerie auraient pu être faciles, ils ne le sont donc pas. Le voyeurisme qu’il met en scène est traité avec un sérieux malsain ce qui rend plus dérangeant encore le prix final à payer pour les participants. On met ça tout de suite dans son modem et on se le fume...
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rosebonbon
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