Votre dernier film en date....
Modérateur : Elise-Gisèle
- lupin_le_vorace
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- Inscription : mar. oct. 12, 2004 12:00 am
Je suis en train de subir un méga-navet intitulé "My Magic Dog"... C'est pas parce qu'un film est destiné à des enfants qu'il se doit d'être stupide, abrutissant et mal foutu!!
[url=http://www.flickriver.com/photos/lecelibatairefrustre/][img]http://www.flickriver.com/badge/user/all/recent/noshuffle/medium-tiny/060000/fefefe/29654738@N07.jpg[/img][/url]
ayoye... je viens (enfin) d'écouter La Face cachée de la lune...
J'ai rarement vu de film aussi "calme". Pas dans le sens de plate, mais plutôt où il ne se passe rien vraiment, tout est dans le propos.
J'étais pas sûre, j'avoue. J'aurais pu le voir y'a un bout déjà, mais je n'avais jamais vraiment eu envie... je ne suis pas très au fait avec l'univers de Robert Lepage (j'ai seulement vu Nô, que j'avais bien aimé). Et mes seules références étaient une amie, inconditionnelle de Robert Lepage, ainsi qu'une autre amie inconditionnelle du film (qui me l'a d'ailleurs prêté)... des fans quoi, alors j'étais inquiète.
Ce n'est pas pour moi une révélation, mais je n'ai pas regretté l'expérience. Le personnage principal, Philippe, je ne me suis pas attachée à lui... j'ai trouvé André plus intéressant, plus vivant.
Mais le gros gros plus, c'est la bande sonore... je vais certainement me l'acheter (si elle est disponible, bien sûr). J'ai vraiment trippé sur la musique d'intro, qui revient quelques fois dans le film, en Russie et à la fin entre autres.
Bref, bon film, calme et lourd d'émotions.... Mais je ne serai pas une fervente.
J'ai rarement vu de film aussi "calme". Pas dans le sens de plate, mais plutôt où il ne se passe rien vraiment, tout est dans le propos.
J'étais pas sûre, j'avoue. J'aurais pu le voir y'a un bout déjà, mais je n'avais jamais vraiment eu envie... je ne suis pas très au fait avec l'univers de Robert Lepage (j'ai seulement vu Nô, que j'avais bien aimé). Et mes seules références étaient une amie, inconditionnelle de Robert Lepage, ainsi qu'une autre amie inconditionnelle du film (qui me l'a d'ailleurs prêté)... des fans quoi, alors j'étais inquiète.
Ce n'est pas pour moi une révélation, mais je n'ai pas regretté l'expérience. Le personnage principal, Philippe, je ne me suis pas attachée à lui... j'ai trouvé André plus intéressant, plus vivant.
Mais le gros gros plus, c'est la bande sonore... je vais certainement me l'acheter (si elle est disponible, bien sûr). J'ai vraiment trippé sur la musique d'intro, qui revient quelques fois dans le film, en Russie et à la fin entre autres.
Bref, bon film, calme et lourd d'émotions.... Mais je ne serai pas une fervente.
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- lupin_le_vorace
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Je viens de me tapé "Hotel Rwanda". J'ai beaucoup aimé bien que c'est un tantinet Hollywoodien par moment...
Un petit détail en passant, je viens tout juste d'apprendre que le personnage interprêté par Nick Nolte est basé en partie sur Lieutenant Général Roméo Dallaire. Ça explique son écuson à l'éfigie du drapeau canadien sur son épaule...
Un petit détail en passant, je viens tout juste d'apprendre que le personnage interprêté par Nick Nolte est basé en partie sur Lieutenant Général Roméo Dallaire. Ça explique son écuson à l'éfigie du drapeau canadien sur son épaule...
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- lupin_le_vorace
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Je viens de visionné "Sometimes in April". Tout comme "Hotel Rwanda", ce film est basé sur le génocide du Rwanda et, à ma grande surprise, je le considère supérieur à ce dernier. Ceci dit j'ai bien aimé "Hotel Rwanda" mais je considère "Sometimes in April" moins hollywoodien sur les bords.
Selon moi il s'agit de deux excellents films qui se complêtent à merveille et méritent d'être vus, autant pour des raisons cinématographiques que des raisons humanitaires ... --Message edité par lupin_le_vorace le 2005-07-30 14:38:32--
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MÉMOIRES AFFECTIVES...
Mais quel beau film... J'ai adoré... même que j'ai apprécié Roy Dupuis (j'pas une fan, mais là, j'étais sous le charme... il y est excellent).
Traitement tout juste assez mêlant pour s'identifier au personnage principal, se poser les même questions que lui vu qu'on est au même point... et même si j'étais déçue qu'il reste quelques "zones grises" (des explications inexistantes ou insatisfaisantes), j'imagine que ça fait partie du jeu faque j'me fais une raison...
Je le recommande chaudement...
Mais quel beau film... J'ai adoré... même que j'ai apprécié Roy Dupuis (j'pas une fan, mais là, j'étais sous le charme... il y est excellent).
Traitement tout juste assez mêlant pour s'identifier au personnage principal, se poser les même questions que lui vu qu'on est au même point... et même si j'étais déçue qu'il reste quelques "zones grises" (des explications inexistantes ou insatisfaisantes), j'imagine que ça fait partie du jeu faque j'me fais une raison...
Je le recommande chaudement...
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colargol a écritMÉMOIRES AFFECTIVES...
Mais quel beau film... J'ai adoré... même que j'ai apprécié Roy Dupuis (j'pas une fan, mais là, j'étais sous le charme... il y est excellent).
Traitement tout juste assez mêlant pour s'identifier au personnage principal, se poser les même questions que lui vu qu'on est au même point... et même si j'étais déçue qu'il reste quelques "zones grises" (des explications inexistantes ou insatisfaisantes), j'imagine que ça fait partie du jeu faque j'me fais une raison...
Je le recommande chaudement...
J'ai beaucoup aimé ce film là moi aussi! Je savais pas à quoi m'attendre lorsque je l'ai vu et j'ai été agréablement surprise!
Je le recommande aussi!
Mais quel beau film... J'ai adoré... même que j'ai apprécié Roy Dupuis (j'pas une fan, mais là, j'étais sous le charme... il y est excellent).
Traitement tout juste assez mêlant pour s'identifier au personnage principal, se poser les même questions que lui vu qu'on est au même point... et même si j'étais déçue qu'il reste quelques "zones grises" (des explications inexistantes ou insatisfaisantes), j'imagine que ça fait partie du jeu faque j'me fais une raison...
Je le recommande chaudement...
J'ai beaucoup aimé ce film là moi aussi! Je savais pas à quoi m'attendre lorsque je l'ai vu et j'ai été agréablement surprise!
Je le recommande aussi!
"The talent for being happy is appreciating and liking what you have, instead of what you don't have." - Woody Allen
Le machiniste
Avec un Christian Bale tellement maigre que c'en est dérangeant.
Un film surprenant.
À voir. Par contre y-a pas de trame française sur le dvd et juste les sous titres anglais.
Avec un Christian Bale tellement maigre que c'en est dérangeant.
Un film surprenant.
À voir. Par contre y-a pas de trame française sur le dvd et juste les sous titres anglais.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
un film absolument magnifique, un découverte, un film biographique de 1957 en noir et blanc, sur une histoire vrai se déroulant en 1950
je suis subjuger, un joueurs de baseball fait une dépression en plein match, vous aller dire ya rien la, mais ce film a tellement bien veuilli que l'on embarque dans l'histoire, dans les moeurs de l'époque
Citation :Fear Strikes Out" est le premier film du réalisateur Robert Mulligan, mieux connu pour son chef-d'oeuvre To Kill a Mockingbird. Ce film est aussi un des premiers de Anthony Perkins, lui-même devenu célèbre quelques années plus tard par son personnage de Norman Bates dans Psycho de Alfred Hitchcock. "Fear Strikes Out" raconte donc l'histoire véridique de Jimmy Piersall, un joueur de baseball des Red Sox de Boston.
Issu d'un milieu pauvre, Jim est convaincu par l'attitude de son père que sa seule chance de se sortir du marasme financier de l'époque est de devenir un grand joueur de baseball. Il est donc contraint à s'exercer à ce sport, et ce, sous la tutelle tyrannique de son père. Malgré ses succès, ce dernier n'est jamais satisfait et le force à s'exercer, sans jamais rien faire d'autre. Le jour où il se casse le pied en patin, son père en est tant affecté qu'il en fait une crise cardiaque. Après qu'il eut atteint les ligues majeures en un temps record, on demande à Jim de jouer arrêt-court, et non pas champ-arrière, la position qu'il a occupée toute sa vie. Recherchant toujours l'approbation de son père, et devenu complètement zélé afin de prouver à tous qu'il mérite de jouer à sa position de prédilection, il va même jusqu'à s'en prendre à ses coéquipiers. Puis finalement, c'est l'effondrement; il n'en peut plus et craque et il doit être interné pour soigner sa santé mentale. Un long cheminement lui fera comprendre que c'est son père qui est directement responsable de son état. Il finira par surmonter toutes ses difficultés, et retournera au baseball, pour mener la carrière qu'on connaît.
Ce film raconte fidèlement les pénibles années de la vie de Jim Piersall, puisque le scénario est tiré directement de son livre autobiographique. Ce qu'il y a d'assez étonnant, c'est que le film est paru sur les écrans en 1957. L'année de recrutement de Piersall étant 1950, et sa retraite en 1967, le film est donc sorti au sommet de sa carrière et était ainsi tout à fait d'actualité. À cause de la grande couverture médiatique de sa maladie, le film a eu pour rôle de rétablir les faits et d'expliquer au grand public les circonstances de sa maladie. La petite histoire raconte qu'à son retour au jeu, le 10 juin 1953, il eut six coups sûrs en six apparitions au bâton, dans le but de prouver aux amateurs qu'il était bel et bien guéri.
Cette réédition de "Fear Strikes Out" nous offre une qualité d'image impressionnante, surtout compte tenu de l'âge du matériel source. Bien entendu, on observe des poussière et égratignures, mais pas de défauts de compression. Bien entendu, le fait que l'image soit en noir et blanc facilite grandement le choix de la palette de "couleurs", permettant ainsi une compression uniforme et préréglée. Les tons sont bien rendus, les noirs profonds et bien gradés, et on n'y voit aucun blocage. Les arrière-plans sont aussi uniformes, avec un minimum de fourmillement. Pour ce qui est du son, les deux pistes sonores sont de qualités égales, et typiques des films de cette époque. Les dialogues sont clairs, bien présents, et la musique est tout à fait à la hauteur des normes du moment.
tres tres bon, le baseball est juste pour la forme, il y a un histoire d,amour d'époque et tres crédible,.....
recomandation voyeur
je suis subjuger, un joueurs de baseball fait une dépression en plein match, vous aller dire ya rien la, mais ce film a tellement bien veuilli que l'on embarque dans l'histoire, dans les moeurs de l'époque
Citation :Fear Strikes Out" est le premier film du réalisateur Robert Mulligan, mieux connu pour son chef-d'oeuvre To Kill a Mockingbird. Ce film est aussi un des premiers de Anthony Perkins, lui-même devenu célèbre quelques années plus tard par son personnage de Norman Bates dans Psycho de Alfred Hitchcock. "Fear Strikes Out" raconte donc l'histoire véridique de Jimmy Piersall, un joueur de baseball des Red Sox de Boston.
Issu d'un milieu pauvre, Jim est convaincu par l'attitude de son père que sa seule chance de se sortir du marasme financier de l'époque est de devenir un grand joueur de baseball. Il est donc contraint à s'exercer à ce sport, et ce, sous la tutelle tyrannique de son père. Malgré ses succès, ce dernier n'est jamais satisfait et le force à s'exercer, sans jamais rien faire d'autre. Le jour où il se casse le pied en patin, son père en est tant affecté qu'il en fait une crise cardiaque. Après qu'il eut atteint les ligues majeures en un temps record, on demande à Jim de jouer arrêt-court, et non pas champ-arrière, la position qu'il a occupée toute sa vie. Recherchant toujours l'approbation de son père, et devenu complètement zélé afin de prouver à tous qu'il mérite de jouer à sa position de prédilection, il va même jusqu'à s'en prendre à ses coéquipiers. Puis finalement, c'est l'effondrement; il n'en peut plus et craque et il doit être interné pour soigner sa santé mentale. Un long cheminement lui fera comprendre que c'est son père qui est directement responsable de son état. Il finira par surmonter toutes ses difficultés, et retournera au baseball, pour mener la carrière qu'on connaît.
Ce film raconte fidèlement les pénibles années de la vie de Jim Piersall, puisque le scénario est tiré directement de son livre autobiographique. Ce qu'il y a d'assez étonnant, c'est que le film est paru sur les écrans en 1957. L'année de recrutement de Piersall étant 1950, et sa retraite en 1967, le film est donc sorti au sommet de sa carrière et était ainsi tout à fait d'actualité. À cause de la grande couverture médiatique de sa maladie, le film a eu pour rôle de rétablir les faits et d'expliquer au grand public les circonstances de sa maladie. La petite histoire raconte qu'à son retour au jeu, le 10 juin 1953, il eut six coups sûrs en six apparitions au bâton, dans le but de prouver aux amateurs qu'il était bel et bien guéri.
Cette réédition de "Fear Strikes Out" nous offre une qualité d'image impressionnante, surtout compte tenu de l'âge du matériel source. Bien entendu, on observe des poussière et égratignures, mais pas de défauts de compression. Bien entendu, le fait que l'image soit en noir et blanc facilite grandement le choix de la palette de "couleurs", permettant ainsi une compression uniforme et préréglée. Les tons sont bien rendus, les noirs profonds et bien gradés, et on n'y voit aucun blocage. Les arrière-plans sont aussi uniformes, avec un minimum de fourmillement. Pour ce qui est du son, les deux pistes sonores sont de qualités égales, et typiques des films de cette époque. Les dialogues sont clairs, bien présents, et la musique est tout à fait à la hauteur des normes du moment.
tres tres bon, le baseball est juste pour la forme, il y a un histoire d,amour d'époque et tres crédible,.....
recomandation voyeur
J'ai loué Constantine hier soir...oh que j'ai été décue.
J'avais tellement hâte de le voir..je pensais que ca allait être super, mais bof...même pas bof.
Je l'ai trouvé cucul et prévisible...très décue, mauvais jeu de Keanu Reeves, ca gratte la surface, ca décolle pas. Bon, y'en a comme ca!
J'avais tellement hâte de le voir..je pensais que ca allait être super, mais bof...même pas bof.
Je l'ai trouvé cucul et prévisible...très décue, mauvais jeu de Keanu Reeves, ca gratte la surface, ca décolle pas. Bon, y'en a comme ca!
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J'ai vu Coach Carter. Je m'attendais juste a une histoire de merde d'un coach qui entraine une bande de drogues. J'ai ete assez impressionee il faut dire...l'histoire a du sens et est tres touchante. Le film transmet de beaux messages et de belles valeurs.
10/10
10/10
A GRAZIE DIO PERCHE SONO ITALIANA!!!!!
Voyeur23 a écritun film absolument magnifique, un découverte, un film biographique de 1957 en noir et blanc, sur une histoire vrai se déroulant en 1950
je suis subjuger, un joueurs de baseball fait une dépression en plein match, vous aller dire ya rien la, mais ce film a tellement bien veuilli que l'on embarque dans l'histoire, dans les moeurs de l'époque
Citation :Fear Strikes Out" est le premier film du réalisateur Robert Mulligan, mieux connu pour son chef-d'oeuvre To Kill a Mockingbird. Ce film est aussi un des premiers de Anthony Perkins, lui-même devenu célèbre quelques années plus tard par son personnage de Norman Bates dans Psycho de Alfred Hitchcock. "Fear Strikes Out" raconte donc l'histoire véridique de Jimmy Piersall, un joueur de baseball des Red Sox de Boston.
Issu d'un milieu pauvre, Jim est convaincu par l'attitude de son père que sa seule chance de se sortir du marasme financier de l'époque est de devenir un grand joueur de baseball. Il est donc contraint à s'exercer à ce sport, et ce, sous la tutelle tyrannique de son père. Malgré ses succès, ce dernier n'est jamais satisfait et le force à s'exercer, sans jamais rien faire d'autre. Le jour où il se casse le pied en patin, son père en est tant affecté qu'il en fait une crise cardiaque. Après qu'il eut atteint les ligues majeures en un temps record, on demande à Jim de jouer arrêt-court, et non pas champ-arrière, la position qu'il a occupée toute sa vie. Recherchant toujours l'approbation de son père, et devenu complètement zélé afin de prouver à tous qu'il mérite de jouer à sa position de prédilection, il va même jusqu'à s'en prendre à ses coéquipiers. Puis finalement, c'est l'effondrement; il n'en peut plus et craque et il doit être interné pour soigner sa santé mentale. Un long cheminement lui fera comprendre que c'est son père qui est directement responsable de son état. Il finira par surmonter toutes ses difficultés, et retournera au baseball, pour mener la carrière qu'on connaît.
Ce film raconte fidèlement les pénibles années de la vie de Jim Piersall, puisque le scénario est tiré directement de son livre autobiographique. Ce qu'il y a d'assez étonnant, c'est que le film est paru sur les écrans en 1957. L'année de recrutement de Piersall étant 1950, et sa retraite en 1967, le film est donc sorti au sommet de sa carrière et était ainsi tout à fait d'actualité. À cause de la grande couverture médiatique de sa maladie, le film a eu pour rôle de rétablir les faits et d'expliquer au grand public les circonstances de sa maladie. La petite histoire raconte qu'à son retour au jeu, le 10 juin 1953, il eut six coups sûrs en six apparitions au bâton, dans le but de prouver aux amateurs qu'il était bel et bien guéri.
Cette réédition de "Fear Strikes Out" nous offre une qualité d'image impressionnante, surtout compte tenu de l'âge du matériel source. Bien entendu, on observe des poussière et égratignures, mais pas de défauts de compression. Bien entendu, le fait que l'image soit en noir et blanc facilite grandement le choix de la palette de "couleurs", permettant ainsi une compression uniforme et préréglée. Les tons sont bien rendus, les noirs profonds et bien gradés, et on n'y voit aucun blocage. Les arrière-plans sont aussi uniformes, avec un minimum de fourmillement. Pour ce qui est du son, les deux pistes sonores sont de qualités égales, et typiques des films de cette époque. Les dialogues sont clairs, bien présents, et la musique est tout à fait à la hauteur des normes du moment.
tres tres bon, le baseball est juste pour la forme, il y a un histoire d,amour d'époque et tres crédible,.....
recomandation voyeur
Tu piques ma curiausité! J'me demande si j'peux trouver ça par ici. Merci de la suggestion!
je suis subjuger, un joueurs de baseball fait une dépression en plein match, vous aller dire ya rien la, mais ce film a tellement bien veuilli que l'on embarque dans l'histoire, dans les moeurs de l'époque
Citation :Fear Strikes Out" est le premier film du réalisateur Robert Mulligan, mieux connu pour son chef-d'oeuvre To Kill a Mockingbird. Ce film est aussi un des premiers de Anthony Perkins, lui-même devenu célèbre quelques années plus tard par son personnage de Norman Bates dans Psycho de Alfred Hitchcock. "Fear Strikes Out" raconte donc l'histoire véridique de Jimmy Piersall, un joueur de baseball des Red Sox de Boston.
Issu d'un milieu pauvre, Jim est convaincu par l'attitude de son père que sa seule chance de se sortir du marasme financier de l'époque est de devenir un grand joueur de baseball. Il est donc contraint à s'exercer à ce sport, et ce, sous la tutelle tyrannique de son père. Malgré ses succès, ce dernier n'est jamais satisfait et le force à s'exercer, sans jamais rien faire d'autre. Le jour où il se casse le pied en patin, son père en est tant affecté qu'il en fait une crise cardiaque. Après qu'il eut atteint les ligues majeures en un temps record, on demande à Jim de jouer arrêt-court, et non pas champ-arrière, la position qu'il a occupée toute sa vie. Recherchant toujours l'approbation de son père, et devenu complètement zélé afin de prouver à tous qu'il mérite de jouer à sa position de prédilection, il va même jusqu'à s'en prendre à ses coéquipiers. Puis finalement, c'est l'effondrement; il n'en peut plus et craque et il doit être interné pour soigner sa santé mentale. Un long cheminement lui fera comprendre que c'est son père qui est directement responsable de son état. Il finira par surmonter toutes ses difficultés, et retournera au baseball, pour mener la carrière qu'on connaît.
Ce film raconte fidèlement les pénibles années de la vie de Jim Piersall, puisque le scénario est tiré directement de son livre autobiographique. Ce qu'il y a d'assez étonnant, c'est que le film est paru sur les écrans en 1957. L'année de recrutement de Piersall étant 1950, et sa retraite en 1967, le film est donc sorti au sommet de sa carrière et était ainsi tout à fait d'actualité. À cause de la grande couverture médiatique de sa maladie, le film a eu pour rôle de rétablir les faits et d'expliquer au grand public les circonstances de sa maladie. La petite histoire raconte qu'à son retour au jeu, le 10 juin 1953, il eut six coups sûrs en six apparitions au bâton, dans le but de prouver aux amateurs qu'il était bel et bien guéri.
Cette réédition de "Fear Strikes Out" nous offre une qualité d'image impressionnante, surtout compte tenu de l'âge du matériel source. Bien entendu, on observe des poussière et égratignures, mais pas de défauts de compression. Bien entendu, le fait que l'image soit en noir et blanc facilite grandement le choix de la palette de "couleurs", permettant ainsi une compression uniforme et préréglée. Les tons sont bien rendus, les noirs profonds et bien gradés, et on n'y voit aucun blocage. Les arrière-plans sont aussi uniformes, avec un minimum de fourmillement. Pour ce qui est du son, les deux pistes sonores sont de qualités égales, et typiques des films de cette époque. Les dialogues sont clairs, bien présents, et la musique est tout à fait à la hauteur des normes du moment.
tres tres bon, le baseball est juste pour la forme, il y a un histoire d,amour d'époque et tres crédible,.....
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Tu piques ma curiausité! J'me demande si j'peux trouver ça par ici. Merci de la suggestion!
Ah, et mon dernier film en date: Alexander. Complètement oubliable. Disons que le simple fait qu'ils aient coupé le film en deux pour le mettre sur 2 disques différents fait qu'on devrait mettre notre argent ailleurs. Et en plus, le film est mauvais! On se croirait dans un mauvais porno grec, sous l'effet de l'héroïne! C'est vraiment comme ça que j'me sentais! Décevant.