Trois-Rivières Une fillette portée disparue
julie34 a écritje vous invitent a un rassemblement pour la petite cédrika
a trois rivieres ..
les gens pourrons allumer un lampions,et laisser un message d'espoir a la famille ,
ya des gens qui serons sur place pour vous distribuez des lampions et des feuilles pour ecrir votre message ,
vos message d'espoir serons remis a la famille de cédrika
on vous attend a grand monde ...
vendredi le 17 aout
de 18hrs a 21hrs30
sur la rue des cheneaux et chapias
Je ne pourrai pas etre la mais mes pensees seront avec vous
et avec la famille de Cedrika...
a trois rivieres ..
les gens pourrons allumer un lampions,et laisser un message d'espoir a la famille ,
ya des gens qui serons sur place pour vous distribuez des lampions et des feuilles pour ecrir votre message ,
vos message d'espoir serons remis a la famille de cédrika
on vous attend a grand monde ...
vendredi le 17 aout
de 18hrs a 21hrs30
sur la rue des cheneaux et chapias
Je ne pourrai pas etre la mais mes pensees seront avec vous
et avec la famille de Cedrika...
[url=http://www.casimages.com][img]http://nsa04.casimages.com/img/2009/01/24/090124110220523592.jpg[/img][/url]
Bonjour à tous ! il y a un texte dans la tribune des lecteurs du Cyberpresse " Le Nouvelliste" de Trois-Rivières de Mme Rose Aimée Bédard de Cédrika qui est vraiment beau et très touchant je voudrais le mettre ici mais je sais pas comment faire.
Bonne journée à tous ...
Bonne journée à tous ...
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens
Voila Mariebelle j'ai simplement fait un copier/coller
Tu as raison cé un tres bon article
Citation :Cédrika Provencher
Rose-Aimée Bédard
Le Nouvelliste
Nicolet
Ce jour-là, tu portais une robe vert lime et des sandales de plage. Tu étais à bicyclette. Tu t'amusais. Tu avais une flamme dans les yeux. L'enfance t'habitait. Juillet terminait son parcours. Quelque chose d'autre, aussi, se terminait...
À l'heure d'aujourd'hui, comme on ne t'a pas encore retrouvée... tu n'as certes pas de flamme dans les yeux. Tes neuf années d'existence ont sûrement vieilli à la vitesse d'un geste que personne encore ne peut vraiment expliquer.
Ta bicyclette t'attend toujours. Bien rangée. Là où tu saurais la trouver. Tes vêtements auraient certes voulu que tu les uses. Et tes parents t'attendent. Attendent toujours. C'est-impossible-que-Cédrika-ne-revienne-pas.
Et c'est tout un pays qui te cherche. Tout un pays qui ne comprend pas. Sinon à peine plus que toi. Tout un pays, ces temps-ci, a neuf ans. Bien que tâchant d'avoir l'air grand.
Pourtant, c'est arrivé tant de fois. Trop de fois. Mais ça ne "passera" jamais. Encore une fois, ça ne passe pas. Il ne faut pas que ça passe!
Écoute. Écoute Cédrika. On va tenter de faire parler les boisés. Tous les boisés de ce pays. On va tenter de faire parler les marécages, les routes parsemées d'ornières, les petits mammifères. On va tenter de faire parler les zones ombragées, les crépuscules, les craquements minuscules.
On est tous là. Toutes là. À vouloir que le soleil revienne. À faire tout ce qui est de notre pouvoir pour qu'il revienne. Ton soleil. Celui que tu avais au fond des yeux.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. Tout faire afin que, où que tu sois, tu apprennes qu'il est devenu meilleur. C'est-à-dire que tous les enfants de ta terre puissent se promener à bicyclette. Et s'inquiéter d'un petit chien perdu: sans que rien ne leur arrive.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. C'est tout ce qu'on peut faire... Et on va tout faire. On va tout faire. On va tout faire. --Message edité par mel1704 le 2007-08-16 09:47:57--
Tu as raison cé un tres bon article
Citation :Cédrika Provencher
Rose-Aimée Bédard
Le Nouvelliste
Nicolet
Ce jour-là, tu portais une robe vert lime et des sandales de plage. Tu étais à bicyclette. Tu t'amusais. Tu avais une flamme dans les yeux. L'enfance t'habitait. Juillet terminait son parcours. Quelque chose d'autre, aussi, se terminait...
À l'heure d'aujourd'hui, comme on ne t'a pas encore retrouvée... tu n'as certes pas de flamme dans les yeux. Tes neuf années d'existence ont sûrement vieilli à la vitesse d'un geste que personne encore ne peut vraiment expliquer.
Ta bicyclette t'attend toujours. Bien rangée. Là où tu saurais la trouver. Tes vêtements auraient certes voulu que tu les uses. Et tes parents t'attendent. Attendent toujours. C'est-impossible-que-Cédrika-ne-revienne-pas.
Et c'est tout un pays qui te cherche. Tout un pays qui ne comprend pas. Sinon à peine plus que toi. Tout un pays, ces temps-ci, a neuf ans. Bien que tâchant d'avoir l'air grand.
Pourtant, c'est arrivé tant de fois. Trop de fois. Mais ça ne "passera" jamais. Encore une fois, ça ne passe pas. Il ne faut pas que ça passe!
Écoute. Écoute Cédrika. On va tenter de faire parler les boisés. Tous les boisés de ce pays. On va tenter de faire parler les marécages, les routes parsemées d'ornières, les petits mammifères. On va tenter de faire parler les zones ombragées, les crépuscules, les craquements minuscules.
On est tous là. Toutes là. À vouloir que le soleil revienne. À faire tout ce qui est de notre pouvoir pour qu'il revienne. Ton soleil. Celui que tu avais au fond des yeux.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. Tout faire afin que, où que tu sois, tu apprennes qu'il est devenu meilleur. C'est-à-dire que tous les enfants de ta terre puissent se promener à bicyclette. Et s'inquiéter d'un petit chien perdu: sans que rien ne leur arrive.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. C'est tout ce qu'on peut faire... Et on va tout faire. On va tout faire. On va tout faire. --Message edité par mel1704 le 2007-08-16 09:47:57--
Le mercredi 15 août 2007
Cédrika
Rose-Aimée Bédard
Nicolet
Ce jour-là, tu portais une robe vert lime et des sandales de plage. Tu étais à bicyclette. Tu t'amusais. Tu avais une flamme dans les yeux. L'enfance t'habitait. Juillet terminait son parcours. Quelque chose d'autre, aussi, se terminait...
À l'heure d'aujourd'hui, comme on ne t'a pas encore retrouvée... tu n'as certes pas de flamme dans les yeux. Tes neuf années d'existence ont sûrement vieilli à la vitesse d'un geste que personne encore ne peut vraiment expliquer.
Ta bicyclette t'attend toujours. Bien rangée. Là où tu saurais la trouver. Tes vêtements auraient certes voulu que tu les uses. Et tes parents t'attendent. Attendent toujours. C'est-impossible-que-Cédrika-ne-revienne-pas.
Et c'est tout un pays qui te cherche. Tout un pays qui ne comprend pas. Sinon à peine plus que toi. Tout un pays, ces temps-ci, a neuf ans. Bien que tâchant d'avoir l'air grand.
Pourtant, c'est arrivé tant de fois. Trop de fois. Mais ça ne "passera" jamais. Encore une fois, ça ne passe pas. Il ne faut pas que ça passe!
Écoute. Écoute Cédrika. On va tenter de faire parler les boisés. Tous les boisés de ce pays. On va tenter de faire parler les marécages, les routes parsemées d'ornières, les petits mammifères. On va tenter de faire parler les zones ombragées, les crépuscules, les craquements minuscules.
On est tous là. Toutes là. À vouloir que le soleil revienne. À faire tout ce qui est de notre pouvoir pour qu'il revienne. Ton soleil. Celui que tu avais au fond des yeux.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. Tout faire afin que, où que tu sois, tu apprennes qu'il est devenu meilleur. C'est-à-dire que tous les enfants de ta terre puissent se promener à bicyclette. Et s'inquiéter d'un petit chien perdu: sans que rien ne leur arrive.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. C'est tout ce qu'on peut faire... Et on va tout faire. On va tout faire. On va tout faire.
Merci Mel1704, c'est premier texte que j'envoie mais surement pas le dernier
Cédrika
Rose-Aimée Bédard
Nicolet
Ce jour-là, tu portais une robe vert lime et des sandales de plage. Tu étais à bicyclette. Tu t'amusais. Tu avais une flamme dans les yeux. L'enfance t'habitait. Juillet terminait son parcours. Quelque chose d'autre, aussi, se terminait...
À l'heure d'aujourd'hui, comme on ne t'a pas encore retrouvée... tu n'as certes pas de flamme dans les yeux. Tes neuf années d'existence ont sûrement vieilli à la vitesse d'un geste que personne encore ne peut vraiment expliquer.
Ta bicyclette t'attend toujours. Bien rangée. Là où tu saurais la trouver. Tes vêtements auraient certes voulu que tu les uses. Et tes parents t'attendent. Attendent toujours. C'est-impossible-que-Cédrika-ne-revienne-pas.
Et c'est tout un pays qui te cherche. Tout un pays qui ne comprend pas. Sinon à peine plus que toi. Tout un pays, ces temps-ci, a neuf ans. Bien que tâchant d'avoir l'air grand.
Pourtant, c'est arrivé tant de fois. Trop de fois. Mais ça ne "passera" jamais. Encore une fois, ça ne passe pas. Il ne faut pas que ça passe!
Écoute. Écoute Cédrika. On va tenter de faire parler les boisés. Tous les boisés de ce pays. On va tenter de faire parler les marécages, les routes parsemées d'ornières, les petits mammifères. On va tenter de faire parler les zones ombragées, les crépuscules, les craquements minuscules.
On est tous là. Toutes là. À vouloir que le soleil revienne. À faire tout ce qui est de notre pouvoir pour qu'il revienne. Ton soleil. Celui que tu avais au fond des yeux.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. Tout faire afin que, où que tu sois, tu apprennes qu'il est devenu meilleur. C'est-à-dire que tous les enfants de ta terre puissent se promener à bicyclette. Et s'inquiéter d'un petit chien perdu: sans que rien ne leur arrive.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. C'est tout ce qu'on peut faire... Et on va tout faire. On va tout faire. On va tout faire.
Merci Mel1704, c'est premier texte que j'envoie mais surement pas le dernier
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens
Maribelle a écritLe mercredi 15 août 2007
Cédrika
Rose-Aimée Bédard
Nicolet
Ce jour-là, tu portais une robe vert lime et des sandales de plage. Tu étais à bicyclette. Tu t'amusais. Tu avais une flamme dans les yeux. L'enfance t'habitait. Juillet terminait son parcours. Quelque chose d'autre, aussi, se terminait...
À l'heure d'aujourd'hui, comme on ne t'a pas encore retrouvée... tu n'as certes pas de flamme dans les yeux. Tes neuf années d'existence ont sûrement vieilli à la vitesse d'un geste que personne encore ne peut vraiment expliquer.
Ta bicyclette t'attend toujours. Bien rangée. Là où tu saurais la trouver. Tes vêtements auraient certes voulu que tu les uses. Et tes parents t'attendent. Attendent toujours. C'est-impossible-que-Cédrika-ne-revienne-pas.
Et c'est tout un pays qui te cherche. Tout un pays qui ne comprend pas. Sinon à peine plus que toi. Tout un pays, ces temps-ci, a neuf ans. Bien que tâchant d'avoir l'air grand.
Pourtant, c'est arrivé tant de fois. Trop de fois. Mais ça ne "passera" jamais. Encore une fois, ça ne passe pas. Il ne faut pas que ça passe!
Écoute. Écoute Cédrika. On va tenter de faire parler les boisés. Tous les boisés de ce pays. On va tenter de faire parler les marécages, les routes parsemées d'ornières, les petits mammifères. On va tenter de faire parler les zones ombragées, les crépuscules, les craquements minuscules.
On est tous là. Toutes là. À vouloir que le soleil revienne. À faire tout ce qui est de notre pouvoir pour qu'il revienne. Ton soleil. Celui que tu avais au fond des yeux.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. Tout faire afin que, où que tu sois, tu apprennes qu'il est devenu meilleur. C'est-à-dire que tous les enfants de ta terre puissent se promener à bicyclette. Et s'inquiéter d'un petit chien perdu: sans que rien ne leur arrive.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. C'est tout ce qu'on peut faire... Et on va tout faire. On va tout faire. On va tout faire.
Citation :Merci Mel1704, c'est premier texte que j'envoie mais surement pas le dernier
sa m'fait plaisir
Cédrika
Rose-Aimée Bédard
Nicolet
Ce jour-là, tu portais une robe vert lime et des sandales de plage. Tu étais à bicyclette. Tu t'amusais. Tu avais une flamme dans les yeux. L'enfance t'habitait. Juillet terminait son parcours. Quelque chose d'autre, aussi, se terminait...
À l'heure d'aujourd'hui, comme on ne t'a pas encore retrouvée... tu n'as certes pas de flamme dans les yeux. Tes neuf années d'existence ont sûrement vieilli à la vitesse d'un geste que personne encore ne peut vraiment expliquer.
Ta bicyclette t'attend toujours. Bien rangée. Là où tu saurais la trouver. Tes vêtements auraient certes voulu que tu les uses. Et tes parents t'attendent. Attendent toujours. C'est-impossible-que-Cédrika-ne-revienne-pas.
Et c'est tout un pays qui te cherche. Tout un pays qui ne comprend pas. Sinon à peine plus que toi. Tout un pays, ces temps-ci, a neuf ans. Bien que tâchant d'avoir l'air grand.
Pourtant, c'est arrivé tant de fois. Trop de fois. Mais ça ne "passera" jamais. Encore une fois, ça ne passe pas. Il ne faut pas que ça passe!
Écoute. Écoute Cédrika. On va tenter de faire parler les boisés. Tous les boisés de ce pays. On va tenter de faire parler les marécages, les routes parsemées d'ornières, les petits mammifères. On va tenter de faire parler les zones ombragées, les crépuscules, les craquements minuscules.
On est tous là. Toutes là. À vouloir que le soleil revienne. À faire tout ce qui est de notre pouvoir pour qu'il revienne. Ton soleil. Celui que tu avais au fond des yeux.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. Tout faire afin que, où que tu sois, tu apprennes qu'il est devenu meilleur. C'est-à-dire que tous les enfants de ta terre puissent se promener à bicyclette. Et s'inquiéter d'un petit chien perdu: sans que rien ne leur arrive.
Écoute. Écoute Cédrika. On va tout faire. Tout faire pour améliorer ce monde. C'est tout ce qu'on peut faire... Et on va tout faire. On va tout faire. On va tout faire.
Citation :Merci Mel1704, c'est premier texte que j'envoie mais surement pas le dernier
sa m'fait plaisir
En Vidéo Claude Poirier sur LCN Claude Poirier dit que l'utilisation des médiums est une perte de temps, les enquêteurs ont surveillés pendant 3 heures une adresse qui a été donné à C.Poirier et faite une fouille de l'auto lorsque le Monsieur est sorti et même la maison, je me demande si c'est le père de Poussin , mais il me semble qu'elle a dit que c'était pas à Trois-Rivières, et ils ont rien trouvé...
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens
Xardas a écrit
c'est pas couler dans le béton il me semble qu'il pourrait le changer mètre d'autre chose il le fond sans cesse pourquoi pas maintenant :/
Faut arrêter de tout dramatiser aussi. Oui, la petite Cedrica est portée disparue depuis un bon moment déja mais tqs s'empechera pas de passer les émissions qu'ils veulent..
c'est pas couler dans le béton il me semble qu'il pourrait le changer mètre d'autre chose il le fond sans cesse pourquoi pas maintenant :/
Faut arrêter de tout dramatiser aussi. Oui, la petite Cedrica est portée disparue depuis un bon moment déja mais tqs s'empechera pas de passer les émissions qu'ils veulent..
c peut etre des rumerus maribelle ...ya tellement de rumeur qui court a trois rivieres c lenfer ....
et apparament quil aurais une autre medium qui aurais dit
a la mere la meme chose quel serais attacher apres une chaise dans une roulotte c tu vrai c tu pas vrai ...
pi la semaine passer yavais une autre rumeur qui circulais comme de quoi qu'il lavais trouver dans une cour a scrappe pres de trois rivieres et cetais pas vrai .. alors on na pas fini de navoir des rumeurs ..jtrouve ca ben platte de voir quil a des gens qui parte des fausse rumeurs comme ca ... --Message edité par julie34 le 2007-08-16 12:16:57--
et apparament quil aurais une autre medium qui aurais dit
a la mere la meme chose quel serais attacher apres une chaise dans une roulotte c tu vrai c tu pas vrai ...
pi la semaine passer yavais une autre rumeur qui circulais comme de quoi qu'il lavais trouver dans une cour a scrappe pres de trois rivieres et cetais pas vrai .. alors on na pas fini de navoir des rumeurs ..jtrouve ca ben platte de voir quil a des gens qui parte des fausse rumeurs comme ca ... --Message edité par julie34 le 2007-08-16 12:16:57--
Ils ont dit à l'émission de François P qu'aucun voyant ou voyante avait déjà résolu un cas de disparition, pourtant plusieurs ont dit qu'un voyant aurait été suspecté pour avoir dit où était le corps du petit Maurice Viens ,es-ce-vraie cette histoire?
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens