j ai lu tous les blogues de sebastien et il ne parle jamais des panelistes alors c pour ca que personne en parlent il donne sont opinion sur les lofteurs
et il le dit clairement que ce n est que sont opinion pas comme kim et louise qui juge
Que pensez-vous de cet article?
Modérateur : Elise-Gisèle
Pseudoo a écrit
lol De la diffamation ne se fait pas sous le couvert de l'anonymat... Car un pseudonyme n'a aucune crédibilité raisonnable. Si Louise a eu un certain courage, c'est celui de se voir confronter face à une éventuelle poursuite... Et une certaine lâcheté d'avoir oser discréditer un collègue de travail sous prétexte qu'elle n'est pas d'accord avec lui... De plus je ne dirais même pas qu'elle n'est pas d'accord avec Sébastien Tremblay, d'après ses propos il semblerait bien plus qu'elle ne les comprend tout simplement pas...
Sa conviction n'est pas vérifiable, donc elle ne peut prétendre que sous prétexte que Sebastien serait un mauvais analyste (car beaucoup collègues pensent comme elle... ouf !) que sa vie est déséquilibrée...
Et il est vrai aussi que le timing est plus que discutable... Elle sait qu'elle peut avoir une certaine influence sur le jeu et en dernière minute elle dit qu'un des prétendants au premier prix de LS est déséquilibrée...
J'ai pas dit que j'étais d'accord avec les agissements de Louise. Mais comme je sais que ce sont de vraies personnes derrière chaque pseudo ici, et même si je sais qu'il ne pourrait y avoir possibilité de poursuites, je trouve que de crier au scandale quand on a soi-même passé 2 ou 3 mois à salir des gens par toutes sortes de noms dégradants, c'est un peu ironique et oui, ça me fait un peu rire...
Que Sébastien poursuive Louise ou pas, ce n'est pas mon affaire et je pense que ce serait pour lui une solide perte de temps et d'énergie, mais ça le regarde...
Sauf que personne ne m'enlèvera l'idée que lorsque des gens crient au scandale, ils devraient bien s'assurer de ne pas eux-mêmes agir de la même façon... C'est juste ça mon point, loin de moi l'idée de défendre Louise, qui selon moi n'a pas agi avec droiture...
lol De la diffamation ne se fait pas sous le couvert de l'anonymat... Car un pseudonyme n'a aucune crédibilité raisonnable. Si Louise a eu un certain courage, c'est celui de se voir confronter face à une éventuelle poursuite... Et une certaine lâcheté d'avoir oser discréditer un collègue de travail sous prétexte qu'elle n'est pas d'accord avec lui... De plus je ne dirais même pas qu'elle n'est pas d'accord avec Sébastien Tremblay, d'après ses propos il semblerait bien plus qu'elle ne les comprend tout simplement pas...
Sa conviction n'est pas vérifiable, donc elle ne peut prétendre que sous prétexte que Sebastien serait un mauvais analyste (car beaucoup collègues pensent comme elle... ouf !) que sa vie est déséquilibrée...
Et il est vrai aussi que le timing est plus que discutable... Elle sait qu'elle peut avoir une certaine influence sur le jeu et en dernière minute elle dit qu'un des prétendants au premier prix de LS est déséquilibrée...
J'ai pas dit que j'étais d'accord avec les agissements de Louise. Mais comme je sais que ce sont de vraies personnes derrière chaque pseudo ici, et même si je sais qu'il ne pourrait y avoir possibilité de poursuites, je trouve que de crier au scandale quand on a soi-même passé 2 ou 3 mois à salir des gens par toutes sortes de noms dégradants, c'est un peu ironique et oui, ça me fait un peu rire...
Que Sébastien poursuive Louise ou pas, ce n'est pas mon affaire et je pense que ce serait pour lui une solide perte de temps et d'énergie, mais ça le regarde...
Sauf que personne ne m'enlèvera l'idée que lorsque des gens crient au scandale, ils devraient bien s'assurer de ne pas eux-mêmes agir de la même façon... C'est juste ça mon point, loin de moi l'idée de défendre Louise, qui selon moi n'a pas agi avec droiture...
Nikki. a écrit
Tu sais, ici j'ai lu bien pire en diffamation venant de la part de forumeurs qui le font sous le couvert de l'anonymat... J'ai lu désiquilibré, violent, plante verte, stupide, con... name it, j'ai tout lu. Alors même si je trouve que Louise a fait quelque chose que perso, je ne ferais pas et que je trouve effectivement très discutable quant à l'intention, je pense que plusieurs forumeurs outrés par ses écrits pourraient se regarder dans le miroir...
Tu n'as pas tord Nikki lorsque tu parle de se regarder dans le miroir...
Justement j'ai envie de vous partager un texte que j'ai lu ce matin, qui nous en dit long sur ce fameux miroir qui nous tient prisonnier du regard des autres...
Prisonnier du miroir
Lorsqu’on est enfant, on ne peut pas se voir soi-même, si ce n’est dans un miroir ou dans le regard de ceux qui nous entourent. On ne sait pas définir qui on est mais nos parents se chargent de le faire. Nos parents, nos frères et sœurs, notre famille, nos professeurs, la TV, la religion, la société projettent une image sur nous ; et tous disent qui ils croient que nous sommes.
Ma mère dit que je suis comme ceci, mon père comme cela, ma sœur encore autrement, mon professeur ainsi … ; chacun projette une image parfois complètement différente sur nous, mais aucune d’elles n’est exacte puisque partielle, sélective, décontextualisée, subjective…
Ceci dit, faute de pouvoir se voir soi même, on croit ce que disent les autres et notamment les personnes les plus proches et en qui on a le plus confiance. Et l’on accorde à ces paroles une valeur telle que leurs images se programment dans notre mémoire et l’on finit par croire qu’on est cela.
On s’efforce ensuite de rester fidèle à cette image ou à l’inverse on cherche à incarner l’opposé pour s’en débarrasser, pour faire changer ce portrait qui ne nous plait pas. Quoiqu’il en soit, dans l’adhésion ou le rejet, c’est toujours en référence à cette (ces) image(s), que nous agissons, nous efforçant de stabiliser et maîtriser ses traits.
Et l’on va même jusqu’à chercher chez l’autre les signes qui confirment cette ressemblance, qui soutiennent nos croyances. On cherche l’approbation des autres un peu comme si on leur demandait « et maintenant cette image là ça va ? »
Ainsi se construit un idéal de perfection fait de croyances sur ce qu’il faut faire ou pas, être ou non, penser ou pas, ressentir ou non, avoir ou pas…, ce qui est bien ou mal…
De plus, ces images s’inscrivent d’autant plus profondément qu’elles conditionnent l’amour que l’on nous donne ; c’est si et seulement si, l’on est suffisamment conforme à l’image à laquelle l’autre voudrait que l’on ressemble qu’il nous accepte et dit nous aimer.
Et c’est ainsi que se forgent des relations faussées. Faussées parce que toujours gouvernées par le besoin de « redorer son blason ». Et l’on s’oblige à porter un masque, à cacher derrière ce masque tout ce que l’autre n’aime pas voir ou désapprouve. Pour ce faire on a dû très tôt et l’on continue sans cesse à évaluer, juger si telle ou telle attitude correspond ou non à ce que l’on a enregistré comme étant cet idéal, de même que l’on a appris à dissimuler, à (se) mentir. Et au non de cette volonté de conformité, on peut même en arriver à rejeter l'autre (ou soi même).
Juger : c’est ce qui nous permet de vérifier si l’attitude est bien conforme. Et quasi chacune de nos attitudes ainsi que celles des autres passe au crible de ce juge intérieur (plus ou moins impitoyable).
Certains diront : « je ne juge pas, moi ». Cependant chaque fois que je me dévalorise ou me fais un reproche, je me juge ; chaque fois que je me compare à d’autres, je juge ; chaque fois que je critique les autres ou leur fais des reproches, je juge ; chaque fois que j’insiste sur ce que je fais en me valorisant, je juge ; chaque fois que je dis c’est bien ou c’est mal, je juge... De ce fait, on finit par vivre dans une sorte de tension. Tension pour ne pas laisser échapper l’attitude qui nous trahira (quitte à trahir l’autre), le geste, la parole, la pensée qui n’est pas en accord avec l’image correcte. On finira par craindre le regard de l’autre, miroir qui pourrait refléter l’image tant redoutée de la non-conformité ; redoutée puisqu’elle signe notre « arrêt d’amour ».
Mais ces images ne sont que des croyances erronées, des concepts : elles ne sont pas nous. Et à chaque fois que l’on s’efforce de correspondre à ces croyances on crée en soi un mal-être, un tiraillement entre l’être et le paraitre.
Est-il plus facile de vivre libre que prisonnier du miroir ?
Source: http://psycho-reiki.over-blog.com/article-23611002.html
Tu sais, ici j'ai lu bien pire en diffamation venant de la part de forumeurs qui le font sous le couvert de l'anonymat... J'ai lu désiquilibré, violent, plante verte, stupide, con... name it, j'ai tout lu. Alors même si je trouve que Louise a fait quelque chose que perso, je ne ferais pas et que je trouve effectivement très discutable quant à l'intention, je pense que plusieurs forumeurs outrés par ses écrits pourraient se regarder dans le miroir...
Tu n'as pas tord Nikki lorsque tu parle de se regarder dans le miroir...
Justement j'ai envie de vous partager un texte que j'ai lu ce matin, qui nous en dit long sur ce fameux miroir qui nous tient prisonnier du regard des autres...
Prisonnier du miroir
Lorsqu’on est enfant, on ne peut pas se voir soi-même, si ce n’est dans un miroir ou dans le regard de ceux qui nous entourent. On ne sait pas définir qui on est mais nos parents se chargent de le faire. Nos parents, nos frères et sœurs, notre famille, nos professeurs, la TV, la religion, la société projettent une image sur nous ; et tous disent qui ils croient que nous sommes.
Ma mère dit que je suis comme ceci, mon père comme cela, ma sœur encore autrement, mon professeur ainsi … ; chacun projette une image parfois complètement différente sur nous, mais aucune d’elles n’est exacte puisque partielle, sélective, décontextualisée, subjective…
Ceci dit, faute de pouvoir se voir soi même, on croit ce que disent les autres et notamment les personnes les plus proches et en qui on a le plus confiance. Et l’on accorde à ces paroles une valeur telle que leurs images se programment dans notre mémoire et l’on finit par croire qu’on est cela.
On s’efforce ensuite de rester fidèle à cette image ou à l’inverse on cherche à incarner l’opposé pour s’en débarrasser, pour faire changer ce portrait qui ne nous plait pas. Quoiqu’il en soit, dans l’adhésion ou le rejet, c’est toujours en référence à cette (ces) image(s), que nous agissons, nous efforçant de stabiliser et maîtriser ses traits.
Et l’on va même jusqu’à chercher chez l’autre les signes qui confirment cette ressemblance, qui soutiennent nos croyances. On cherche l’approbation des autres un peu comme si on leur demandait « et maintenant cette image là ça va ? »
Ainsi se construit un idéal de perfection fait de croyances sur ce qu’il faut faire ou pas, être ou non, penser ou pas, ressentir ou non, avoir ou pas…, ce qui est bien ou mal…
De plus, ces images s’inscrivent d’autant plus profondément qu’elles conditionnent l’amour que l’on nous donne ; c’est si et seulement si, l’on est suffisamment conforme à l’image à laquelle l’autre voudrait que l’on ressemble qu’il nous accepte et dit nous aimer.
Et c’est ainsi que se forgent des relations faussées. Faussées parce que toujours gouvernées par le besoin de « redorer son blason ». Et l’on s’oblige à porter un masque, à cacher derrière ce masque tout ce que l’autre n’aime pas voir ou désapprouve. Pour ce faire on a dû très tôt et l’on continue sans cesse à évaluer, juger si telle ou telle attitude correspond ou non à ce que l’on a enregistré comme étant cet idéal, de même que l’on a appris à dissimuler, à (se) mentir. Et au non de cette volonté de conformité, on peut même en arriver à rejeter l'autre (ou soi même).
Juger : c’est ce qui nous permet de vérifier si l’attitude est bien conforme. Et quasi chacune de nos attitudes ainsi que celles des autres passe au crible de ce juge intérieur (plus ou moins impitoyable).
Certains diront : « je ne juge pas, moi ». Cependant chaque fois que je me dévalorise ou me fais un reproche, je me juge ; chaque fois que je me compare à d’autres, je juge ; chaque fois que je critique les autres ou leur fais des reproches, je juge ; chaque fois que j’insiste sur ce que je fais en me valorisant, je juge ; chaque fois que je dis c’est bien ou c’est mal, je juge... De ce fait, on finit par vivre dans une sorte de tension. Tension pour ne pas laisser échapper l’attitude qui nous trahira (quitte à trahir l’autre), le geste, la parole, la pensée qui n’est pas en accord avec l’image correcte. On finira par craindre le regard de l’autre, miroir qui pourrait refléter l’image tant redoutée de la non-conformité ; redoutée puisqu’elle signe notre « arrêt d’amour ».
Mais ces images ne sont que des croyances erronées, des concepts : elles ne sont pas nous. Et à chaque fois que l’on s’efforce de correspondre à ces croyances on crée en soi un mal-être, un tiraillement entre l’être et le paraitre.
Est-il plus facile de vivre libre que prisonnier du miroir ?
Source: http://psycho-reiki.over-blog.com/article-23611002.html
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Frasie a écrit
Pseudoo, désolée mais je ne crois pas que tu connaisses la loi en disant cela, Louise Deschatelet n'a aucun risque de poursuite dans ce cas-ci. Mon post n'était que pour t'informer ;)
Tout dépend des clauses du contrat des pannelistes..
Pseudoo, désolée mais je ne crois pas que tu connaisses la loi en disant cela, Louise Deschatelet n'a aucun risque de poursuite dans ce cas-ci. Mon post n'était que pour t'informer ;)
Tout dépend des clauses du contrat des pannelistes..
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Nikki. a écrit
J'ai pas dit que j'étais d'accord avec les agissements de Louise. Mais comme je sais que ce sont de vraies personnes derrière chaque pseudo ici, et même si je sais qu'il ne pourrait y avoir possibilité de poursuites, je trouve que de crier au scandale quand on a soi-même passé 2 ou 3 mois à salir des gens par toutes sortes de noms dégradants, c'est un peu ironique et oui, ça me fait un peu rire...
Que Sébastien poursuive Louise ou pas, ce n'est pas mon affaire et je pense que ce serait pour lui une solide perte de temps et d'énergie, mais ça le regarde...
Sauf que personne ne m'enlèvera l'idée que lorsque des gens crient au scandale, ils devraient bien s'assurer de ne pas eux-mêmes agir de la même façon... C'est juste ça mon point, loin de moi l'idée de défendre Louise, qui selon moi n'a pas agi avec droiture...
Moi aussi je me fous si Seb poursuive ou pas. La question est si Louise a diffamé ou pas... et le point de départ était de savoir si elle avait eu du courage de diffamer...
La réponse est nécessairement: Non, ça ne prend aucun courage pour diffamer car c'est un geste de lacheté...
Que de décrier les pseudo anonymes qui ont maudit les lofteurs pendant la saison c'est une chose... Bien sûr que bien des pseudonymes qui vont trop loin dans leur élan... et que ça reste aussi un acte de lâcheté... ou pour le moins un geste d'impuissance qui la plupart du temps est une tentative de sauver son préféré ou de faire passer une idée assez maladroitement.
Ici certains s'amusent, lancent des injures, et à une certaine limite on peut tous prendre ça pour un jeu... qui n'a rien à voir avec le courage... Mais qui n'a pas l'impact négatif volontaire d'une personne public qui dénigre une autre personne public.
J'ai pas dit que j'étais d'accord avec les agissements de Louise. Mais comme je sais que ce sont de vraies personnes derrière chaque pseudo ici, et même si je sais qu'il ne pourrait y avoir possibilité de poursuites, je trouve que de crier au scandale quand on a soi-même passé 2 ou 3 mois à salir des gens par toutes sortes de noms dégradants, c'est un peu ironique et oui, ça me fait un peu rire...
Que Sébastien poursuive Louise ou pas, ce n'est pas mon affaire et je pense que ce serait pour lui une solide perte de temps et d'énergie, mais ça le regarde...
Sauf que personne ne m'enlèvera l'idée que lorsque des gens crient au scandale, ils devraient bien s'assurer de ne pas eux-mêmes agir de la même façon... C'est juste ça mon point, loin de moi l'idée de défendre Louise, qui selon moi n'a pas agi avec droiture...
Moi aussi je me fous si Seb poursuive ou pas. La question est si Louise a diffamé ou pas... et le point de départ était de savoir si elle avait eu du courage de diffamer...
La réponse est nécessairement: Non, ça ne prend aucun courage pour diffamer car c'est un geste de lacheté...
Que de décrier les pseudo anonymes qui ont maudit les lofteurs pendant la saison c'est une chose... Bien sûr que bien des pseudonymes qui vont trop loin dans leur élan... et que ça reste aussi un acte de lâcheté... ou pour le moins un geste d'impuissance qui la plupart du temps est une tentative de sauver son préféré ou de faire passer une idée assez maladroitement.
Ici certains s'amusent, lancent des injures, et à une certaine limite on peut tous prendre ça pour un jeu... qui n'a rien à voir avec le courage... Mais qui n'a pas l'impact négatif volontaire d'une personne public qui dénigre une autre personne public.
[color=#0000FF][b]N o n, t u n e l e s a u r a s p a s m o n s e c r e t [/b][/color]
Demi a écrit Tu n'as pas tord Nikki lorsque tu parle de se regarder dans le miroir...
Justement j'ai envie de vous partager un texte que j'ai lu ce matin, qui nous en dit long sur ce fameux miroir qui nous tient prisonnier du regard des autres...
Cet article est vraiment très intéressant Demi. Je me reconnais dans certaines choses. Merci de nous l'avoir partagé et de nous avoir fourni ce lien, c'est bien apprécié.
Marisopa a écritJ'ai finalement pu lire l'article. Je ne trouve pas Louise méchante... Je la trouve juste ben nounoune...
Elle est prise dans un schème de pensée et ne eux s'imaginer qu'on peut penser differemment d'elle.
Effectivement Mariposa, je trouve exactement la même chose. En général, à l'entendre sur le pannel, c'est ce que j'ai trouvé aussi. Pas de la méchanceté, mais disons des conclusions et analyses des évéments souvent assez simplistes, pour rester polie. Dans le sens que dès que quelqu'un agit ou parle différemment de ses valeurs à elle, elle semble portée à en faire un plus ou moins gros quasi scandale. J'avais parfois l'impression à l'entendre sur le pannel qu'elle parlait comme ça pour faire le show pendant le gala, car elle est comédienne quand même, mais à lire ça, ça semble vraiment sa mentalité de parler comme si elle était la sagesse incarnée et ceux qui pensent ou agissent autrement qu'elle sont dans le champ. Bon ben, cou donc, ça prend quand même toutes sortes de monde faut croire... --Message edité par francine le 2008-12-11 18:29:52--
Justement j'ai envie de vous partager un texte que j'ai lu ce matin, qui nous en dit long sur ce fameux miroir qui nous tient prisonnier du regard des autres...
Cet article est vraiment très intéressant Demi. Je me reconnais dans certaines choses. Merci de nous l'avoir partagé et de nous avoir fourni ce lien, c'est bien apprécié.
Marisopa a écritJ'ai finalement pu lire l'article. Je ne trouve pas Louise méchante... Je la trouve juste ben nounoune...
Elle est prise dans un schème de pensée et ne eux s'imaginer qu'on peut penser differemment d'elle.
Effectivement Mariposa, je trouve exactement la même chose. En général, à l'entendre sur le pannel, c'est ce que j'ai trouvé aussi. Pas de la méchanceté, mais disons des conclusions et analyses des évéments souvent assez simplistes, pour rester polie. Dans le sens que dès que quelqu'un agit ou parle différemment de ses valeurs à elle, elle semble portée à en faire un plus ou moins gros quasi scandale. J'avais parfois l'impression à l'entendre sur le pannel qu'elle parlait comme ça pour faire le show pendant le gala, car elle est comédienne quand même, mais à lire ça, ça semble vraiment sa mentalité de parler comme si elle était la sagesse incarnée et ceux qui pensent ou agissent autrement qu'elle sont dans le champ. Bon ben, cou donc, ça prend quand même toutes sortes de monde faut croire... --Message edité par francine le 2008-12-11 18:29:52--