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Modérateur : Elise-Gisèle
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topazebleu
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Alexandra555
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Black_Knight
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«Loft Story 5»: nouvelle controverse sur le vote
Le 11 novembre 2008 - 09:22 | Julie Rhéaume
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C'est la grogne dans les coulisses de «Loft Story 5». La rumeur veut que la famille du lofteur Manuel Silva injecte des milliers de dollars dans le système de votation électronique pour faire gagner le jeune homme.
La Presse a tenté de faire la lumière sur cette histoire. Tout d'abord, Manuel, un agent d'immeubles de 23 ans, compte sur une puissante machine pour l'aider à lui faire atteindre la victoire. Sa sœur Karine Silva, une relationniste de la région d'Ottawa, la dirige. «Ce n'est pas mal d'être bien entouré. Il n'y a rien d'illégal. Moi, j'ai des contacts, alors pourquoi je ne m'en servirais pas?», a dit Mme Silva au journal.
Contrairement à certains ragots colportés sur des blogues, aucun membre de l'entourage du lofteur n'aurait emprunté 60 000$ pour acheter des votes. La rumeur voulait que Manuel ait ensuite remboursé cet emprunt en vendant la luxueuse maison offerte au gagnant de «Loft Story», rapporte La Presse. «Chaque dollar mis dans les votes est un dollar donné par ses supporteurs», affirme Karine Silva.
La campagne pour sauver Manuel aurait rapporté entre 6 000 et 8 000 $. On vend également des objets promotionnels à l'effigie des commanditaires du lofteur et on a mis un site Web en ligne.
Selon Marie Plourde, il n'est pas possible d'acheter une élection à «Loft Story». «Le vote a été très serré dimanche. Manuel est passé à deux cheveux de sortir. Si l'émission avait duré une heure de plus, il aurait pu s'en aller», a dit Mme Plourde à La Presse. Cette dernière précise aussi que «Manu dispose d'un fan club similaire à celui de Thomas de Loft Story 4». Drôle de coïncidence, soulève le quotidien? Manuel et Thomas se connaissent depuis longtemps.
Aucun règlement n'empêche les proches des lofteurs de se mobiliser pour récolter de l'argent. «Mais la balance du vote du Québec finit toujours par jouer», conclut Marie Plourde
(source: La Presse) --Message edité par marilyne le 2008-11-11 11:22:00--
Le 11 novembre 2008 - 09:22 | Julie Rhéaume
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C'est la grogne dans les coulisses de «Loft Story 5». La rumeur veut que la famille du lofteur Manuel Silva injecte des milliers de dollars dans le système de votation électronique pour faire gagner le jeune homme.
La Presse a tenté de faire la lumière sur cette histoire. Tout d'abord, Manuel, un agent d'immeubles de 23 ans, compte sur une puissante machine pour l'aider à lui faire atteindre la victoire. Sa sœur Karine Silva, une relationniste de la région d'Ottawa, la dirige. «Ce n'est pas mal d'être bien entouré. Il n'y a rien d'illégal. Moi, j'ai des contacts, alors pourquoi je ne m'en servirais pas?», a dit Mme Silva au journal.
Contrairement à certains ragots colportés sur des blogues, aucun membre de l'entourage du lofteur n'aurait emprunté 60 000$ pour acheter des votes. La rumeur voulait que Manuel ait ensuite remboursé cet emprunt en vendant la luxueuse maison offerte au gagnant de «Loft Story», rapporte La Presse. «Chaque dollar mis dans les votes est un dollar donné par ses supporteurs», affirme Karine Silva.
La campagne pour sauver Manuel aurait rapporté entre 6 000 et 8 000 $. On vend également des objets promotionnels à l'effigie des commanditaires du lofteur et on a mis un site Web en ligne.
Selon Marie Plourde, il n'est pas possible d'acheter une élection à «Loft Story». «Le vote a été très serré dimanche. Manuel est passé à deux cheveux de sortir. Si l'émission avait duré une heure de plus, il aurait pu s'en aller», a dit Mme Plourde à La Presse. Cette dernière précise aussi que «Manu dispose d'un fan club similaire à celui de Thomas de Loft Story 4». Drôle de coïncidence, soulève le quotidien? Manuel et Thomas se connaissent depuis longtemps.
Aucun règlement n'empêche les proches des lofteurs de se mobiliser pour récolter de l'argent. «Mais la balance du vote du Québec finit toujours par jouer», conclut Marie Plourde
(source: La Presse) --Message edité par marilyne le 2008-11-11 11:22:00--
Bah cette article me fait ni chaud, ni froid.... c est pas la premiere fois que ca arrive.... pis on y peut rien! meme si ca avait été vrai l histoire d emprunt! WHY NOT? ctune stratégie autant valable!!!! et dans LOFT STORY yas pas de limites dans les stratégies (emis pendant, avant, dedans ou dehors du loft) ou dans les propos qu on peut dire sur les lofteurs..... comme dirait L AUTRE ;-)
LSR ;-)
Marilyne a écrit«Loft Story 5»: nouvelle controverse sur le vote
Le 11 novembre 2008 - 09:22 | Julie Rhéaume
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C'est la grogne dans les coulisses de «Loft Story 5». La rumeur veut que la famille du lofteur Manuel Silva injecte des milliers de dollars dans le système de votation électronique pour faire gagner le jeune homme.
La Presse a tenté de faire la lumière sur cette histoire. Tout d'abord, Manuel, un agent d'immeubles de 23 ans, compte sur une puissante machine pour l'aider à lui faire atteindre la victoire. Sa sœur Karine Silva, une relationniste de la région d'Ottawa, la dirige. «Ce n'est pas mal d'être bien entouré. Il n'y a rien d'illégal. Moi, j'ai des contacts, alors pourquoi je ne m'en servirais pas?», a dit Mme Silva au journal.
Contrairement à certains ragots colportés sur des blogues, aucun membre de l'entourage du lofteur n'aurait emprunté 60 000$ pour acheter des votes. La rumeur voulait que Manuel ait ensuite remboursé cet emprunt en vendant la luxueuse maison offerte au gagnant de «Loft Story», rapporte La Presse. «Chaque dollar mis dans les votes est un dollar donné par ses supporteurs», affirme Karine Silva.
La campagne pour sauver Manuel aurait rapporté entre 6 000 et 8 000 $. On vend également des objets promotionnels à l'effigie des commanditaires du lofteur et on a mis un site Web en ligne.
Selon Marie Plourde, il n'est pas possible d'acheter une élection à «Loft Story». «Le vote a été très serré dimanche. Manuel est passé à deux cheveux de sortir. Si l'émission avait duré une heure de plus, il aurait pu s'en aller», a dit Mme Plourde à La Presse. Cette dernière précise aussi que «Manu dispose d'un fan club similaire à celui de Thomas de Loft Story 4». Drôle de coïncidence, soulève le quotidien? Manuel et Thomas se connaissent depuis longtemps.
Aucun règlement n'empêche les proches des lofteurs de se mobiliser pour récolter de l'argent. «Mais la balance du vote du Québec finit toujours par jouer», conclut Marie Plourde
(source: La Presse)
C'est exactement ce que je voulais poster. Merci.
Le 11 novembre 2008 - 09:22 | Julie Rhéaume
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C'est la grogne dans les coulisses de «Loft Story 5». La rumeur veut que la famille du lofteur Manuel Silva injecte des milliers de dollars dans le système de votation électronique pour faire gagner le jeune homme.
La Presse a tenté de faire la lumière sur cette histoire. Tout d'abord, Manuel, un agent d'immeubles de 23 ans, compte sur une puissante machine pour l'aider à lui faire atteindre la victoire. Sa sœur Karine Silva, une relationniste de la région d'Ottawa, la dirige. «Ce n'est pas mal d'être bien entouré. Il n'y a rien d'illégal. Moi, j'ai des contacts, alors pourquoi je ne m'en servirais pas?», a dit Mme Silva au journal.
Contrairement à certains ragots colportés sur des blogues, aucun membre de l'entourage du lofteur n'aurait emprunté 60 000$ pour acheter des votes. La rumeur voulait que Manuel ait ensuite remboursé cet emprunt en vendant la luxueuse maison offerte au gagnant de «Loft Story», rapporte La Presse. «Chaque dollar mis dans les votes est un dollar donné par ses supporteurs», affirme Karine Silva.
La campagne pour sauver Manuel aurait rapporté entre 6 000 et 8 000 $. On vend également des objets promotionnels à l'effigie des commanditaires du lofteur et on a mis un site Web en ligne.
Selon Marie Plourde, il n'est pas possible d'acheter une élection à «Loft Story». «Le vote a été très serré dimanche. Manuel est passé à deux cheveux de sortir. Si l'émission avait duré une heure de plus, il aurait pu s'en aller», a dit Mme Plourde à La Presse. Cette dernière précise aussi que «Manu dispose d'un fan club similaire à celui de Thomas de Loft Story 4». Drôle de coïncidence, soulève le quotidien? Manuel et Thomas se connaissent depuis longtemps.
Aucun règlement n'empêche les proches des lofteurs de se mobiliser pour récolter de l'argent. «Mais la balance du vote du Québec finit toujours par jouer», conclut Marie Plourde
(source: La Presse)
C'est exactement ce que je voulais poster. Merci.
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C'est La Presse qui continue sa job sale sur Loft Story. C'est sûr que l'émission n'a pas le charme de Bazzo.tv et que le loft n'est pas sur le Plateau, là où toute la vie intellectuelle du Québec est concentrée.
Si le Loft pouvait se trouver une commandite de La Maison du Roti (sur Mont-Royal), inviter le propriétaire de l'Échange (sur Mont-Royal aussi) pour commenter le gala, et engager Rima ElMachin (de La Presse) comme animatrice du gala, l'émission serait ÉNORMÉMENT meilleure.
Ensuite, les lofteurs pourraient discuter de la différence entre l'oeuvre d'Éric Rohmer et celle de Bertolucci, particulièrement dans sa phase "Dernier Tango à Paris" telle qu'analysée par les Cahiers du Cinéma puis ils pouraient faire une activité comme compter les utilisations du subjonctif présent dans le dernier livre de Denis Bombardier. Finalement, pour l'activité "Porteee", ils pourraient jouer à La Fureur avec les chansons thèmes des films de Marcel Pagnol tout en se costumant avec des complets Dénommé Vincent.
La Presse se ridiculise avec sa charge tous azimuts contre Le Loft - c'est du divertiseement populaire, c'est normal que ça ne passe pas le "taste-test" de la gang du Plateau. Ils devraient voir le bon côté de la chose: pendant que les masses rustres et prolétariennes écoutent le Loft, elles ne vont pas déranger Hugo Dumas en mangeant du popcorn à l'Ex-Centris... --Message edité par consult1 le 2008-11-11 20:39:13--
Si le Loft pouvait se trouver une commandite de La Maison du Roti (sur Mont-Royal), inviter le propriétaire de l'Échange (sur Mont-Royal aussi) pour commenter le gala, et engager Rima ElMachin (de La Presse) comme animatrice du gala, l'émission serait ÉNORMÉMENT meilleure.
Ensuite, les lofteurs pourraient discuter de la différence entre l'oeuvre d'Éric Rohmer et celle de Bertolucci, particulièrement dans sa phase "Dernier Tango à Paris" telle qu'analysée par les Cahiers du Cinéma puis ils pouraient faire une activité comme compter les utilisations du subjonctif présent dans le dernier livre de Denis Bombardier. Finalement, pour l'activité "Porteee", ils pourraient jouer à La Fureur avec les chansons thèmes des films de Marcel Pagnol tout en se costumant avec des complets Dénommé Vincent.
La Presse se ridiculise avec sa charge tous azimuts contre Le Loft - c'est du divertiseement populaire, c'est normal que ça ne passe pas le "taste-test" de la gang du Plateau. Ils devraient voir le bon côté de la chose: pendant que les masses rustres et prolétariennes écoutent le Loft, elles ne vont pas déranger Hugo Dumas en mangeant du popcorn à l'Ex-Centris... --Message edité par consult1 le 2008-11-11 20:39:13--
*Team ZouinZouin 2008-09* *Team Stromgol* [img]http://c3.ac-images.myspacecdn.com/images01/11/s_b73695b0e0460a8302b87c365ca31486.jpg[/img]