Tout sur la Star Academy ICI
Modérateur : Elise-Gisèle
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Liens vers un autre article sur Cléopâtre (merci à Wiki sur ChartsInfrance)
http://www.photomania.com/photoview3.as ... pg&album=1" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.photomania.com/photoview3.as ... pg&album=1" onclick="window.open(this.href);return false;
Sofia en Cléopâtre (photos purepeople.com):
http://www.photomania.com/photoview3.as ... pg&album=1" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.photomania.com/photoview3.as ... pg&album=1" onclick="window.open(this.href);return false;
Sofia en Cléopâtre (photos purepeople.com):
Dernière modification par Slenderframe le mar. mars 10, 2009 10:33 am, modifié 1 fois.
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Interview de Sofia:
> Est-ce que jouer Cléopâtre est une revanche par rapport au succès mitigé de ton premier album solo (Mon Cabaret, sorti en 2005)?
Sofia Essaïdi : Oui, je pense qu'au fond de moi, il y a un côté "J'ai pris ma revanche", mais ça ne m'obsède pas plus que ça. Je ne le dis pas toute la journée, au contraire ! J'avais juste envie d'exprimer "mon art" et qu'on me découvre comme je suis, et pas de la façon dont j'apparaissais à la télé. Sur scène, on va vraiment me découvrir comme je suis : "artiste dans l'âme" et show-girl. C'est une revanche dans ce sens-là, dans le sens où l'on va me découvrir vraiment...
> Tu n'as pas peur, aux yeux du public, de passer à nouveau pour la starlette ambitieuse ?
Sofia Essaïdi : J'aimerais bien que les gens se disent : "Ah ben voilà, comme Cléopâtre, Sofia est une battante, ambitieuse". Il y a un côté positif énorme là-dedans, et un côté négatif peut-être. Mais moi, j'aimerais qu'on ne retienne que l'aspect positif de la chose.
> C'est quoi pour toi, une femme battante ?
C'est une femme qui ne laisse pas tomber ses projets en plein milieu, c'est tout. C'est une femme qui a envie de réussir. Je ne vois pas ce qu'il y a de négatif à vouloir réussir dans la vie ! Moi, c'est ça, j'ai envie de tout faire : d'être amoureuse, d'avoir un métier qui marche, j'ai envie d'être heureuse.
Si les gens me voient comme ça, ça me fait plaisir. Alors après, il y avait un côté négatif à la Star Ac, parce que c'était la Star Ac, qu'il y avait plein de choses autour... Mais là, j'aimerais qu'on le sorte de ce contexte-là et qu'on se dise "C'est une femme qui ne se laisse pas aller et qui gère" !
> Sofia, dans les clips de Cléopâtre (Femme d'aujourd'hui, Une autre vie, L'accord), tu es super sexy...
Sofia Essaïdi : J'assume ce que je fais. C'est uniquement scénique, c'est "le travail", quand je suis sur scène en guêpière, je ne suis pas dans la rue en guêpière ! Donc, j'aimerais que les gens comprennent que c'est un rôle, et que je ne suis pas comme ça dans la vie.
Non, je ne me balade pas comme ça dans la vie, avec des décolletés jusque-là, au contraire ! Dans la vie, je suis en jean et en pull, ce qui fait que je peux me lâcher complètement sur scène. J'adore quand Kamel me donne des robes dingues, même si elles sont un peu dénudées, parce que comme je ne le fais pas dans la vie, j'adore le faire sur scène !
> Comment le vit ta famille ?
Sofia Essaïdi : J'ai une famille qui est excessivement libérée et ouverte. Je suis ravie d'avoir grandi dans une famille bi-culturelle, ce qui fait que, que ce soit pour la religion, ou la vie, je suis très ouverte ! J'ai vraiment les "plus" de la double culture, et même plus ! Parce que si on va plus loin, j'ai une grand-mère allemande, j'ai des origines italiennes... Donc, je suis vraiment ouverte sur le monde !
> Serais-tu tentée par le cinéma ?
Sofia Essaïdi : Je rêve d'en faire ! Mais je ne peux pas, car pour un tournage, il faut partir (Ndlr : Sofia a signé un contrat pour Cléopâtre qui l'engage pour plusieurs années)... Oui, j'ai envie de faire du "grand écran", parce que là, j'ai tourné pour un téléfilm pour France 2, réalisé par Yamina Benguigui, qui est une femme délicieuse. J'ai eu le premier rôle, donc... Ca s'appelle Aïcha (diffusion prochainement). Merveilleuse expérience ! Premier tournage, premier premier rôle et je continuerai...
> As-tu le temps de tomber amoureuse ?
Sofia Essaïdi : Oui ! (rires). On est déjà bien partis !
> L'après Star Ac' n'a pas été facile à gérer...
Sofia Essaïdi : Je pense que ça n'est simple pour personne, y compris pour un gagnant ! C'est traumatisant, surtout quand on est jeune, et en général, on le fait quand on est jeune ! Moi, j'avais 19 ans, j'avais passé 18 ans au Maroc et j'arrive à Paris... Je pense que oui, c'est traumatisant ! Ta vie change, tu as de nouvelles choses à assumer, un nouvel avenir à construire.
Moi, j'étais à l'université Dauphine, je devais faire un DESS, et puis, plus rien à voir... Je me retrouve avec une nouvelle vie ! Puis, j'ai eu l'album. Ca n'a pas été un énorme succès... Donc, l'un dans l'autre, tout ça n'est pas facile ! Mais ce qui a vraiment été difficile, c'est le casting de Cléopâtre !
> Des nouvelles des anciens "star académiciens" ?
Kamel Ouali : En relations régulières, journalières, personne. Mais sinon, il y en a quelques-uns que je vois de temps en temps, ou un petit coup de fil, ça fait vraiment plaisir... Oui, il y a certains coups de coeur, il y en a plein !
Sofia Essaïdi : Moi, c'est plus avec les profs que j'ai gardé contact. J'ai par exemple été "entraînée" par Tiburce. J'ai aussi travaillé avec Oscar Sisto, c'est lui qui m'a fait bosser toutes les auditions de théâtre de Cléopâtre. Donc, il était avec moi dans l'aventure et c'était vraiment sympa ! Et puis, je donne des nouvelles à Raphie de temps en temps. C'est finalement avec eux que j'ai créé le plus de liens.
Sinon, j'ai aussi eu des nouvelles de Patxi, Michal... Avec Elodie Frégé, on s'est croisées à l'époque de la promo de son album, mais sinon, on n'a pas du tout gardé contact.
> Comment vous êtes l’un et l’autre dans le travail ?
Sofia Essaïdi : Kamel est dans le travail : exigeant, perfectionniste, doux. Avec lui, il n'y a pas de stress, d'engueulades, il y a en revanche des regards qui disent tout !
Kamel Ouali : Moi, je dirai que le "plus" de Sofia est qu'elle ne reste jamais sur ses acquis. C'est une vraie bosseuse, elle est consciencieuse, elle est toujours à la recherche du "dépassement", et ça, c'est sa qualité première ! Et puis elle a cette facilité à faire les choses, on dirait que c'est naturel !
Sofia Essaïdi : Ben quand c'est bien demandé...
> Au resto ?
Sofia Essaïdi : Moi, je mange beaucoup ! (rires).
Kamel Ouali : On est hyper gourmand tous les deux !
Sofia Essaïdi : On goûte à tout, on est propre, on se tient bien...
Kamel Ouali : On est de bons amis, vous pouvez nous inviter ! (rires).
> En boîte de nuit ?
Sofia Essaïdi : Kamel, il danse tout le temps ! Il est toujours de bonne humeur ! Il ne boit pas une goutte d'alcool ! Il n'est jamais au bar, il a toujours la pêche ! Tu as l'impression qu'il a fait une sieste de cinq heures. Oui, c'est ça, pas d'alcool, pas de cigarette, pas de vices, il est chiant quoi ! (rires).
Kamel Ouali : Sofia, une soirée en boîte de nuit, c'est chez elle, avec une tisane, à 21H45 ! Après, elle dort ! Sérieusement, elle ne sort jamais !
> Dans le privé ?
Kamel Ouali : On rigole bien, et même dans le boulot d'ailleurs, on rigole bien !
Sofia Essaïdi : C'est ça qui est agréable, on mixe tout !
Kamel Ouali : En même temps je ne crois au fait d'avoir une relation professionnelle sans avoir une relation amicale. C'est une aventure humaine, un échange !
Sofia Essaïdi : Quand c'est un truc aussi important que ça, comment veux-tu séparer les deux ? Je pense aussi pour qu'une relation professionnelle tourne bien il faut une bonne base amicale.
Des vidéos là:
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29389.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29388.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29392.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29390.html" onclick="window.open(this.href);return false;
> Est-ce que jouer Cléopâtre est une revanche par rapport au succès mitigé de ton premier album solo (Mon Cabaret, sorti en 2005)?
Sofia Essaïdi : Oui, je pense qu'au fond de moi, il y a un côté "J'ai pris ma revanche", mais ça ne m'obsède pas plus que ça. Je ne le dis pas toute la journée, au contraire ! J'avais juste envie d'exprimer "mon art" et qu'on me découvre comme je suis, et pas de la façon dont j'apparaissais à la télé. Sur scène, on va vraiment me découvrir comme je suis : "artiste dans l'âme" et show-girl. C'est une revanche dans ce sens-là, dans le sens où l'on va me découvrir vraiment...
> Tu n'as pas peur, aux yeux du public, de passer à nouveau pour la starlette ambitieuse ?
Sofia Essaïdi : J'aimerais bien que les gens se disent : "Ah ben voilà, comme Cléopâtre, Sofia est une battante, ambitieuse". Il y a un côté positif énorme là-dedans, et un côté négatif peut-être. Mais moi, j'aimerais qu'on ne retienne que l'aspect positif de la chose.
> C'est quoi pour toi, une femme battante ?
C'est une femme qui ne laisse pas tomber ses projets en plein milieu, c'est tout. C'est une femme qui a envie de réussir. Je ne vois pas ce qu'il y a de négatif à vouloir réussir dans la vie ! Moi, c'est ça, j'ai envie de tout faire : d'être amoureuse, d'avoir un métier qui marche, j'ai envie d'être heureuse.
Si les gens me voient comme ça, ça me fait plaisir. Alors après, il y avait un côté négatif à la Star Ac, parce que c'était la Star Ac, qu'il y avait plein de choses autour... Mais là, j'aimerais qu'on le sorte de ce contexte-là et qu'on se dise "C'est une femme qui ne se laisse pas aller et qui gère" !
> Sofia, dans les clips de Cléopâtre (Femme d'aujourd'hui, Une autre vie, L'accord), tu es super sexy...
Sofia Essaïdi : J'assume ce que je fais. C'est uniquement scénique, c'est "le travail", quand je suis sur scène en guêpière, je ne suis pas dans la rue en guêpière ! Donc, j'aimerais que les gens comprennent que c'est un rôle, et que je ne suis pas comme ça dans la vie.
Non, je ne me balade pas comme ça dans la vie, avec des décolletés jusque-là, au contraire ! Dans la vie, je suis en jean et en pull, ce qui fait que je peux me lâcher complètement sur scène. J'adore quand Kamel me donne des robes dingues, même si elles sont un peu dénudées, parce que comme je ne le fais pas dans la vie, j'adore le faire sur scène !
> Comment le vit ta famille ?
Sofia Essaïdi : J'ai une famille qui est excessivement libérée et ouverte. Je suis ravie d'avoir grandi dans une famille bi-culturelle, ce qui fait que, que ce soit pour la religion, ou la vie, je suis très ouverte ! J'ai vraiment les "plus" de la double culture, et même plus ! Parce que si on va plus loin, j'ai une grand-mère allemande, j'ai des origines italiennes... Donc, je suis vraiment ouverte sur le monde !
> Serais-tu tentée par le cinéma ?
Sofia Essaïdi : Je rêve d'en faire ! Mais je ne peux pas, car pour un tournage, il faut partir (Ndlr : Sofia a signé un contrat pour Cléopâtre qui l'engage pour plusieurs années)... Oui, j'ai envie de faire du "grand écran", parce que là, j'ai tourné pour un téléfilm pour France 2, réalisé par Yamina Benguigui, qui est une femme délicieuse. J'ai eu le premier rôle, donc... Ca s'appelle Aïcha (diffusion prochainement). Merveilleuse expérience ! Premier tournage, premier premier rôle et je continuerai...
> As-tu le temps de tomber amoureuse ?
Sofia Essaïdi : Oui ! (rires). On est déjà bien partis !
> L'après Star Ac' n'a pas été facile à gérer...
Sofia Essaïdi : Je pense que ça n'est simple pour personne, y compris pour un gagnant ! C'est traumatisant, surtout quand on est jeune, et en général, on le fait quand on est jeune ! Moi, j'avais 19 ans, j'avais passé 18 ans au Maroc et j'arrive à Paris... Je pense que oui, c'est traumatisant ! Ta vie change, tu as de nouvelles choses à assumer, un nouvel avenir à construire.
Moi, j'étais à l'université Dauphine, je devais faire un DESS, et puis, plus rien à voir... Je me retrouve avec une nouvelle vie ! Puis, j'ai eu l'album. Ca n'a pas été un énorme succès... Donc, l'un dans l'autre, tout ça n'est pas facile ! Mais ce qui a vraiment été difficile, c'est le casting de Cléopâtre !
> Des nouvelles des anciens "star académiciens" ?
Kamel Ouali : En relations régulières, journalières, personne. Mais sinon, il y en a quelques-uns que je vois de temps en temps, ou un petit coup de fil, ça fait vraiment plaisir... Oui, il y a certains coups de coeur, il y en a plein !
Sofia Essaïdi : Moi, c'est plus avec les profs que j'ai gardé contact. J'ai par exemple été "entraînée" par Tiburce. J'ai aussi travaillé avec Oscar Sisto, c'est lui qui m'a fait bosser toutes les auditions de théâtre de Cléopâtre. Donc, il était avec moi dans l'aventure et c'était vraiment sympa ! Et puis, je donne des nouvelles à Raphie de temps en temps. C'est finalement avec eux que j'ai créé le plus de liens.
Sinon, j'ai aussi eu des nouvelles de Patxi, Michal... Avec Elodie Frégé, on s'est croisées à l'époque de la promo de son album, mais sinon, on n'a pas du tout gardé contact.
> Comment vous êtes l’un et l’autre dans le travail ?
Sofia Essaïdi : Kamel est dans le travail : exigeant, perfectionniste, doux. Avec lui, il n'y a pas de stress, d'engueulades, il y a en revanche des regards qui disent tout !
Kamel Ouali : Moi, je dirai que le "plus" de Sofia est qu'elle ne reste jamais sur ses acquis. C'est une vraie bosseuse, elle est consciencieuse, elle est toujours à la recherche du "dépassement", et ça, c'est sa qualité première ! Et puis elle a cette facilité à faire les choses, on dirait que c'est naturel !
Sofia Essaïdi : Ben quand c'est bien demandé...
> Au resto ?
Sofia Essaïdi : Moi, je mange beaucoup ! (rires).
Kamel Ouali : On est hyper gourmand tous les deux !
Sofia Essaïdi : On goûte à tout, on est propre, on se tient bien...
Kamel Ouali : On est de bons amis, vous pouvez nous inviter ! (rires).
> En boîte de nuit ?
Sofia Essaïdi : Kamel, il danse tout le temps ! Il est toujours de bonne humeur ! Il ne boit pas une goutte d'alcool ! Il n'est jamais au bar, il a toujours la pêche ! Tu as l'impression qu'il a fait une sieste de cinq heures. Oui, c'est ça, pas d'alcool, pas de cigarette, pas de vices, il est chiant quoi ! (rires).
Kamel Ouali : Sofia, une soirée en boîte de nuit, c'est chez elle, avec une tisane, à 21H45 ! Après, elle dort ! Sérieusement, elle ne sort jamais !
> Dans le privé ?
Kamel Ouali : On rigole bien, et même dans le boulot d'ailleurs, on rigole bien !
Sofia Essaïdi : C'est ça qui est agréable, on mixe tout !
Kamel Ouali : En même temps je ne crois au fait d'avoir une relation professionnelle sans avoir une relation amicale. C'est une aventure humaine, un échange !
Sofia Essaïdi : Quand c'est un truc aussi important que ça, comment veux-tu séparer les deux ? Je pense aussi pour qu'une relation professionnelle tourne bien il faut une bonne base amicale.
Des vidéos là:
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29389.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29388.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29392.html" onclick="window.open(this.href);return false;
http://teemix.aufeminin.com/mag/musique ... 29390.html" onclick="window.open(this.href);return false;
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
D'autres photos (de la première)
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Vidéo: "Sofia: Ma journée idéale (émission sur MCM)
http://de.sevenload.com/videos/hVsab5V- ... Ideale-MCM" onclick="window.open(this.href);return false;
http://de.sevenload.com/videos/hVsab5V- ... Ideale-MCM" onclick="window.open(this.href);return false;
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Lucie Bernardoni (finaliste SA4): elle tente sa chance pour faire produire son album par les internautes.
Message important de Lucie sur son myspace et son forum :
Mobilisez-vous pour que Mélancosmiaque voit le jour...
Depuis quelques heures, vous pouvez produire mon album sur AKAmusic.
Inscrivez-vous et laissez vous guider.
C'est ensemble que nous y arriverons...Depuis le début, ensemble...
Merci mes anges et 4, 3, 2, 1, GO...
Akamusic.com/
Projet Mélancosmiaque...
Etes vous prêts à devenir Mélancosmiaques ?
Après quatre années de réflexion, d’écriture et de création, (car je suis de ceux qui pensent qu’un album ne se commande pas mais se construit petit à petit), je peux aujourd’hui vous proposer de rejoindre ma tribu, faite d’innocence et de conscience, de rêves et réalité, de bouts de papiers déchirés, de notes de piano violentes ou douces. Vous pouvez me rejoindre à travers mon premier album qui porte ce nom imaginaire, qui, je l’espère, verra le jour grâce à vous. Les chansons sont dans mon ballotin, sur le dos, prêtent à pousser leur premier cri. Vous pourrez en écouter certaines ici et d’autres sont comme un secret qui attendent d’être chuchotées à une oreille… Alors, bienvenue à tous, ceux qui aimeront ma musique et même à ceux qui ne feront que passer, car tous les goûts sont dans la nature, c’est bien connu. Mais ma nature est vaste, promenez-vous…N’ayez pas peur des fées et des lutins sur votre chemin, ils sont comme moi, Mélancosmiaques
http://www.akamusic.com/charts/week" onclick="window.open(this.href);return false;
Interview radio:
http://www.dailymotion.com/search/le%25 ... doni_music" onclick="window.open(this.href);return false;
Lucie Bernardoni, de la Star Ac' 4, produite par... les internautes !
On a retrouvé Lucie Bernardoni, finaliste de la 4e édition de la Star Academy face à Gregory Lemarchal... Et elle prépare son retour dans les bacs !
Après sa finale perdue en 2004, elle nous avait proposé le single Apprends-nous à rêver, puis en 2005 avait sorti Petit Rat, Petit Loup, en duo avec Mathieu Johann. Elle participe ensuite à la comédie musicale en préparation Rimbaud, et affirme sur scène son propre style musical, plus jazzy que ce que l'on avait pu entendre jusqu'ici.
Et récemment, on apprenait que Lucie faisait son grand come-back à la télé... en interprétant le générique de Seconde Chance, la série de TF1 (qui malheureusement s'arrête là...) !
A présent, Lucie revient à la musique, avec la préparation d'un album, qui sera produit par des internautes. En effet, la jeune Niçoise a décidé de faire confiance à l'un des labels collaboratifs qui fleurissent sur le Net et proposent aux internautes d'investir dans la production de l'album d'un artiste. Et Lucie réalise un très bon démarrage, puisqu'en une semaine, elle a déjà réuni plus de 30% des 50 000 euros nécessaires à la production de son futur album, pour lequel elle a déjà choisi un nom des plus... originaux : ce sera Mélancosmiaque !
Investisseurs en herbe et fans de Lucie, lancez-vous, il reste des parts à prendre ! Et pour avoir une idée de ce que la jeune artiste vous propose de promouvoir, rendez-vous sur son Myspace, où cinq titres sont en écoute !
CM
http://www.purepeople.com/article/lucie ... s_a26656/1" onclick="window.open(this.href);return false;
Message important de Lucie sur son myspace et son forum :
Mobilisez-vous pour que Mélancosmiaque voit le jour...
Depuis quelques heures, vous pouvez produire mon album sur AKAmusic.
Inscrivez-vous et laissez vous guider.
C'est ensemble que nous y arriverons...Depuis le début, ensemble...
Merci mes anges et 4, 3, 2, 1, GO...
Akamusic.com/
Projet Mélancosmiaque...
Etes vous prêts à devenir Mélancosmiaques ?
Après quatre années de réflexion, d’écriture et de création, (car je suis de ceux qui pensent qu’un album ne se commande pas mais se construit petit à petit), je peux aujourd’hui vous proposer de rejoindre ma tribu, faite d’innocence et de conscience, de rêves et réalité, de bouts de papiers déchirés, de notes de piano violentes ou douces. Vous pouvez me rejoindre à travers mon premier album qui porte ce nom imaginaire, qui, je l’espère, verra le jour grâce à vous. Les chansons sont dans mon ballotin, sur le dos, prêtent à pousser leur premier cri. Vous pourrez en écouter certaines ici et d’autres sont comme un secret qui attendent d’être chuchotées à une oreille… Alors, bienvenue à tous, ceux qui aimeront ma musique et même à ceux qui ne feront que passer, car tous les goûts sont dans la nature, c’est bien connu. Mais ma nature est vaste, promenez-vous…N’ayez pas peur des fées et des lutins sur votre chemin, ils sont comme moi, Mélancosmiaques
http://www.akamusic.com/charts/week" onclick="window.open(this.href);return false;
Interview radio:
http://www.dailymotion.com/search/le%25 ... doni_music" onclick="window.open(this.href);return false;
Lucie Bernardoni, de la Star Ac' 4, produite par... les internautes !
On a retrouvé Lucie Bernardoni, finaliste de la 4e édition de la Star Academy face à Gregory Lemarchal... Et elle prépare son retour dans les bacs !
Après sa finale perdue en 2004, elle nous avait proposé le single Apprends-nous à rêver, puis en 2005 avait sorti Petit Rat, Petit Loup, en duo avec Mathieu Johann. Elle participe ensuite à la comédie musicale en préparation Rimbaud, et affirme sur scène son propre style musical, plus jazzy que ce que l'on avait pu entendre jusqu'ici.
Et récemment, on apprenait que Lucie faisait son grand come-back à la télé... en interprétant le générique de Seconde Chance, la série de TF1 (qui malheureusement s'arrête là...) !
A présent, Lucie revient à la musique, avec la préparation d'un album, qui sera produit par des internautes. En effet, la jeune Niçoise a décidé de faire confiance à l'un des labels collaboratifs qui fleurissent sur le Net et proposent aux internautes d'investir dans la production de l'album d'un artiste. Et Lucie réalise un très bon démarrage, puisqu'en une semaine, elle a déjà réuni plus de 30% des 50 000 euros nécessaires à la production de son futur album, pour lequel elle a déjà choisi un nom des plus... originaux : ce sera Mélancosmiaque !
Investisseurs en herbe et fans de Lucie, lancez-vous, il reste des parts à prendre ! Et pour avoir une idée de ce que la jeune artiste vous propose de promouvoir, rendez-vous sur son Myspace, où cinq titres sont en écoute !
CM
http://www.purepeople.com/article/lucie ... s_a26656/1" onclick="window.open(this.href);return false;
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Emma Daumas aux Victoires d ela Musique
http://www.dailymotion.com/video/x8jdiy ... ma-d_music" onclick="window.open(this.href);return false;
Emma Daumas en concert: "Mon tombeur/if you seek Amy"
http://www.youtube.com/watch?v=0FJjzd_DzdU" onclick="window.open(this.href);return false;
"Secret Defense" nouveau single (Live)
http://www.youtube.com/watch?v=0j48VMS-Y2o" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.youtube.com/watch?v=N-MhtvHxyZs" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.dailymotion.com/video/x8jdiy ... ma-d_music" onclick="window.open(this.href);return false;
Emma Daumas en concert: "Mon tombeur/if you seek Amy"
http://www.youtube.com/watch?v=0FJjzd_DzdU" onclick="window.open(this.href);return false;
"Secret Defense" nouveau single (Live)
http://www.youtube.com/watch?v=0j48VMS-Y2o" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.youtube.com/watch?v=N-MhtvHxyZs" onclick="window.open(this.href);return false;
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
lundi 09 mars 2009
Gagnant de la dernière édition de la Star Academy, Mickels n'a pas vraiment le profil-type de l'émission. Auteur, compositeur et chanteur avant l'émission du groupe Rive Despleen, il entame une nouvelle vie "post-star ac" et nous raconte les anecdotes qui ont parsemé cette expérience et nous parle un peu de la réalisation de son futur album.
Tu es auteur compositeur, tu as des projets avec ton groupe, tu fais de la musique depuis 10 ans (tu en as 25), et tu t’es retrouvé à la Star Ac qui est plutôt faite pour les interprètes. Qu’est-ce qui t’a poussé à participer à cette émission ?
C’est un peu compliqué. Mon père m’a inscrit dans mon dos car il savait que j’aurais dit non. J’avais une barrière envers la télé-réalité, la Star Ac, et tout ce qui va avec. A l’époque je m’occupais de paperasseries pour mon père puisqu’on avait investi dans un studio d’enregistrement, et du coup je faisais moins de musique. Mon père m’a donc inscrit à plusieurs choses, notamment le casting de la comédie musicale Mozart. Je suis d’ailleurs arrivé dans les 2 derniers pour le rôle principal. Le but, c’était de me faire sortir du bureau et de me remettre le pied à l’étrier en espérant que quelqu’un flashe un peu sur moi. Alors je suis allé au casting de Mozart, j’ai passé trois ou quatre auditions, et là, je me fais repérer par la personne qui va devenir mon manager, Bruno Berbérès, le directeur de casting. Après le « non » en finale de Mozart, il m’a dit qu’il voulait m’aider. Entre temps, à la Star Academy, on m’avait dit non ! Je m’étais donc lancé à fond dans Mozart en me disant que je préférais faire mes armes dans une comédie musicale plutôt que dans une émission de télé-réalité. Mais finalement c’était non pour Mozart aussi ! Bruno me rappelle une semaine plus tard en me disant qu’il venait d’être embauché par la star ac pour la deuxieme partie du casting. Je l’informe qu’on m’a déjà dit non une fois. Là-dessus, Bruno, très surpris décide de me représenter à l’équipe d’Endemol et de TF1. Apres visionnage et faisant confiance à Bruno ils décident de me refaire passer le casting. Mais me disent non une deuxième fois ! C’est vrai que ma prestation n’était ni bonne, ni mauvaise, simplement pas investie, et ça ne m’étonne pas du tout d’ailleurs. Bruno était vraiment déçu, il s’était battu pour que je le fasse. Il me rappelle une semaine plus tard et m’explique qui y a eu un miracle ! Dans les dernières minutes de la réunion générale à TF1 pour décider de la dernière ligne, Bruno a insisté pour revisionner mon audition, Nonce Paolini a beaucoup aimé ma prestation, il y a eu un nouveau vote et là vous connaissez la suite ! Comme quoi, c’est vrai qu’il ne faut jamais lâcher dans ce métier !
Tu as donc été imposé par le président de TF1 ?
Pas vraiment imposé, disons plutôt que son avis compte beaucoup ! Mais il n’y a pas que lui, Pascal Nègre m’a dit qu’il avait aussi voté pour moi, car il avait le futur album en tête, et pas seulement l’émission de télé. Il préférait quelqu’un d’assez solide, avec un minimum d’expérience. Evidemment, tout l’aspect télé-réalité de l’émission ne sera pas axé sur moi. J’ai 25 ans, une vie à peu près normale, je ne suis ni clochard ni fils de, et la tranche du milieu ça n’intéresse personne.
Du coup on ne t’a pas vu pendant longtemps, sauf pour accompagner les autres !
Effectivement, pendant un mois ou un mois et demi. Jamais en avant mais accompagnateur officiel. On ne m’a pas vu parce que je n’étais jamais nominé ou pré-nominé, mais que je n’étais pas premier non plus ! Quand on est troisième ou quatrième on fait peu parler de soi. En plus je n’avais pas d’aventure, ou de conflit… En fait je faisais partie de ceux qui étaient choisis pour assurer, notamment sur les primes avec les artistes internationaux, et pas de ceux qui étaient choisis pour leur « personnalité ». J’étais intimement persuadé que j’allais rester un mois maximum, et ça me paraissait déjà beaucoup, mais finalement…
Mais quand vous n’étiez plus que 5 ou 6, il a bien fallu que tu apparaisses en pleine lumière. Qu’est-ce qui selon toi t’a permis d’aller au bout ?
Tout le monde me voyait perdant. On avait même eu un avis par un ami de Pascal Nègre comme quoi c’était sûrement une fille qui allait gagner cette année… Moi je n’avais vraiment pas conscience du nombre de votes que je pouvais déplacer. Mais je pense qu’une petite région (Charleville-Méziere, les Ardennes), peut avoir un comportement plus chauvin et se mobiliser plus facilement qu’une grosse métropole comme Paris ou Marseille.
C’est sûr que Marseille vibre plus pour l’OM que pour Alice…
C’est sûr. Je pense aussi que certains ont voté pour moi pour que la Star Ac ne soit pas remportée par quelqu’un qui avait encore tout à apprendre. De toute façon, j’ai déjà dit ce que je pensais d’Alice, ça a fait tout un foin d’ailleurs les jours qui ont précédé la finale, mais j’étais juste honnête. On m’a traité d’hypocrite parce que soi-disant je n’en avais jamais parlé avant, mais ce qu’il faut savoir, c’est qu’ils ne gardent que 20 secondes sur les interviews d’une heure qu’on faisait tous les soirs ! Tout ce que tu dis n’est pas forcément passé. S’ils décident de sortir quelque chose à la fin, ça apparaît comme une révélation. En attendant j’ai toujours dit ce que je pensais, de Gauthier par exemple. Que je ne m’entendais pas super bien avec lui, mais que je ne lui en voulais pas, car pour moi c’est un gamin sans repère, un chat sauvage, mais pas méchant, plus que sincère, limite premier degré. Ce que je ne pensais pas d’Alice. Mais je peux me tromper. Et ils ont décidé de passer tout ça à la fin ! Maintenant si Alice veut qu’on se voie pour en parler, il n’y a pas de souci. La question c’était : « pourquoi Alice devrait gagner ? ». Je leur avais répondu que si on était dans une optique télé-réalité, Alice avait toute sa place, mais si on voulait faire avancer quelqu’un d’un point de vue artistique, je méritais plus la victoire. Il y a une phrase que j’ai dite qui résume ce que je pense : « faites-moi perdre devant Johanna, mais pas devant Alice ». Pour moi, Johanna a vraiment quelque chose à faire dans ce métier. Elle a travaillé et retravaillé sa voix, elle a une prestance scénique… Elle est transcendée par la scène, elle a une vraie aura. J’aime aussi beaucoup Edouard, qui a un vrai talent, qui le cultive de plus en plus, ou des gens comme Quentin, graine de champion à 17 ans, notamment au niveau de l’écriture. Je me suis retrouvé à flirter entre deux eaux, celle des auteurs-compositeurs et celle des gens qui ne savaient pas trop ce qu’ils faisaient là. Alors oui, quand on me demande qui doit gagner, je ne vais pas me prononcer pour la télé-réalité… Mais je ne m’attendais pas à cette victoire. Quand j’en parlais avec mes potes avant de faire l’émission, ils me disaient « vas-y, mais de toute façon tu ne gagneras jamais, t’as pas le style ».
En tant que vainqueur de la Star Academy, te voilà donc signé chez Universal, et plus précisément chez Mercury. Quels sont les termes de ton contrat ?
5 albums sur 10 ans. 2 ans par album, le temps de la réalisation, de la sortie, de la promo, des tournées…
Tu vas faire la tournée de la Star Ac ?
Non. J’ai refusé parce que j’avais quantité d’autres choses à faire, et que ça ne faisait pas partie de mes obligations. Ca n’est pas que je renie la Star Ac, je suis très content de l’avoir faite, et je ne regrette rien mais je n’ai pas envie d’y passer ma vie. J’y ai passé déjà trois mois, j’ai pris des risques par rapport aux préjugés qui circulent sur ces émissions et qui vont me coller à la peau pendant encore quelques années sûrement, et peut-être aussi que le public de cette tournée n’est pas vraiment mon public. Mais la principale raison c’est que je préfère être en studio à préparer mon album qu’être en tournée à chanter des reprises.
Justement tu es aujourd’hui en pleine pré-prod de l’album. Tu as les mains libres d’un point de vue artistique ?
Pour te dire comment ça s’est passé, j’ai eu quinze jours de « vacances » pour passer les fêtes tranquillement. On s’est retrouvé début janvier avec Bertrand Lamblot (directeur artistique chez Mercury) qui est venu au studio. Je lui ai fait écouter 4 ou 5 titres, les plus barrés, pour qu’il voie où ça peut aller. Il écoute et il me dit « l’univers musical me plaît, pas de souci, mais il n’y a pas encore les tubes ». Evidemment, je lui ai fait écouter des titres de 12 minutes… Il m’a fait comprendre qu’il fallait continuer à travailler, et que si jamais on n’avait pas les tubes il pourrait me faire peut-être travailler avec d’autres compositeurs. Je lui ai dit que j’avais 15 titres à poser en maquette et qu’il fallait qu’il me laisse les lui proposer. J’ai travaillé en studio et je les lui ai envoyés il y a quelques jours. Il m’a dit que c’était super, que tout allait bien. Il a envie de me faire confiance, mais c’est vrai qu’il ne peut pas prendre n’importe quel risque. Aujourd’hui, il me tient toujours un discours très positif, il m’a félicité pour le boulot, etc. Il y aura peut-être des co-écritures sur les textes (en français, sauf peut-être un ou deux titres en anglais). Je ne suis pas contre. J’ai déjà pas mal évolué en musique, il me reste du chemin à faire certes, mais je sais que niveau texte, il y a encore beaucoup de boulot, alors ça ne me dérange pas du tout de collaborer avec des gens dont c’est la spécialité. Je vais travailler notamment avec Vincent Baguian pour cultiver un petit côté second degré. J’aime beaucoup son esprit et sa personne.
Comment se passe la préparation de l’album, puisque le maquettage se fait dans ton studio ?
Je bouche les trous du planning pour travailler et élaborer mes maquettes avec mon groupe ! On fera dans la foulée la réalisation de l’album dans ce studio, sauf peut-être s’il y a trop de cordes, s’il faut un orchestre complet, là on aura besoin de plus de place…
Tu as gardé des amis de la Star Ac ?
Oui bien sûr. Au début de l’aventure j’étais surtout ami avec Edouard et Harold. On nous appelait les Trois Mousquetaires, expression que j’avais sorti à l’improviste à un journaliste qui a fait son beurre avec (on a beaucoup de rencontres ou d’interviews au téléphone avec les journalistes à la Star Ac, pendant les « heures CSA » non filmées). Mais Harold est parti très vite. Edouard est resté plus longtemps et c’est vraiment devenu un ami. Avec Johanna on a le même manager et on s’entend très bien. Avec Quentin aussi. Ils sont ensemble d’ailleurs, du coup on se voit souvent tous ensemble, ils passent souvent au studio...
Johanna ne t’en veut pas de l’avoir privée de finale ?
Non. Avant la demi-finale on se disait déjà que le gagnant serait soit Alice soit Gauthier. Mais quand on est tombé l’un contre l’autre, on a vécu une vraie finale avant la lettre (d’ailleurs Philippe Lelièvre l’a dit en direct le soir même). En fait, on voulait surtout partir ! On se disait qu’il y en a un qui devrait rester seul avec les deux autres, sachant qu’on n’avait d’affinité avec aucun des deux. Pour ça elle m’a limite remercié, mais on s’était dit aussi que celui qui arriverait en finale devait tout faire pour gagner !
Avais-tu conscience du décalage entre l’image que tu voulais donner de toi et l’image qui était donné par la production, le montage ?
Je ne voyais pas les images ! En plus ce qui n’aidait pas, c’est que je n’avais jamais vraiment regardé la Star Academy. Comme tout le monde j’étais tombé dessus, mais pas suffisamment pour comprendre le système. Quand tu es d’un côté ou de l’autre, tu ne peux pas voir le rapport. Le seul moyen que j’ai, c’est de regarder toutes les images. Mes parents ont tout enregistré. Peut-être que je regarderai tout ça et là je pourrai te répondre. Mais quand tu es sur place, tu vies ta vie. La seule chose que j’ai essayé de faire, c’est comme quand tu es reçu chez quelqu’un que tu ne connais pas, tu fais attention à ta manière de t’exprimer, tu essayes de présenter le mieux possible, mais sans pousser le bouchon non plus.
Tu n’étais pas comme certains participants, dans le pathos ou le caprice…
Certes, mais certaines réactions peuvent paraître fausses mais sans l’être, je pense surtout à ce qui peut se passer au moment du prime, quand quelqu’un doit partir. Je n’étais pas dans les larmes sur commande, mais quand Edouard est parti, j’ai vraiment eu l’impression qu’il me laissait seul en prison, et ça m’a tiré les larmes. Parce que c’est très perturbant d’être à ce point en dehors du monde réel. Certes, on est nourri logé blanchi, mais quand tu le vis, tu te rends compte que tu perds tous tes repères. La seule personne qui te ramène à la réalité c’est la psy qu’on voit toutes les semaines, pour savoir comment on appréhende la suite ou qui gère quand des soucis arrivent à nos proches. Un très bon ami à moi est décédé pendant l’émission. C’est la psy qui décide s’il faut que l’élève sorte, pour aller à l’enterrement par exemple. Moi, on ne m’a prévenu qu’à la fin. La psy jugeait que j’étais assez mature pour supporter ça, mais les parents de mon ami ainsi que les miens ont pensé à l’aspect médiatique et ils avaient complètement raison. Il ne fallait surtout pas que ça devienne une information publique, un coup médiatique à partir du simple fait qu’on informe une personne privée qu’il vient de perdre un ami. Il ne fallait surtout pas rentrer là-dedans.
Les ventes de disques des gagnants de la Star Ac n’ont globalement fait que baisser année après année depuis Jenifer. Te sens-tu capable d’inverser la tendance ?
Je le souhaite ! Pas par rapport aux précédents gagnants, mais avant tout pour réussir, comme tout le monde je pense. Quentin Mosimann a relancé un peu les ventes néanmoins. Pas plus tard qu’hier j’étais chez Picard. Une dame m’arrête, me félicite, etc. Elle me dit que je suis le premier depuis Grégory Lemarchal qui a réussi à transmettre quelque chose. On me le dit souvent en fait. Ca m’encourage. Pascal Nègre et Bertand Lamblot m’ont dit que c’était la première fois depuis les débuts de la Star Ac qu’ils signaient avec un artiste, qu’ils allaient vivre un truc nouveau, car d’habitude ils doivent décider de qui va composer, écrire, réaliser, dans quel studio etc. Moi je leur fournis tout sur un plateau ! C’est un vrai travail d’équipe car je leur soumets plein de propositions et on en discute, comme un contrat d’artiste normal (contrat signé entre la maison de disque et l’artiste, sans l’intermédiaire de structures de production, contrairement aux contrats de licence ou de distribution, NDLR). D’habitude le gagnant de la Star Ac est fourré dans les bureaux d’Universal tous les jours, parce qu’il est paumé. On lui présente des compositeurs, on l’envoie en studio… Je pense que mon album aura moins une étiquette de « produit », il me correspondra de toute façon beaucoup plus que ceux des précédents gagnants de la Star Ac, puisque j’aurai composé et écrit la totalité ou presque des titres. Sachant qu’il n’y aura que des compositions originales je suis prêt à accepter le fait que ça se vende moins facilement.
Du coup est-ce que la maison de disques a intérêt à travailler ton album avec ses réseaux habituels (partenariat NRJ, promo dans la presse people…) ?
Les radios visées sont Virgin, RTL2 et NRJ pour différents créneaux. Il y a l’optique matraquage, et l’optique plus classe où tu passes entre Pink Floyd et Radiohead, pour un public plus âgé. Pascal Nègre m’a dit qu’il ne fallait pas que je tombe dans le piège de la presse people. J’ai joué le jeu à la sortie parce que ça faisait partie du deal, mais dès que je n’ai plus eu d’obligations j’ai refusé les apparitions, les séances de dédicaces, même bien rémunérées. Je m’étais fixé comme règle de ne rien faire qui ne soit que pour l’argent.
Normal, quand on vient de gagner 500.000 euros ! Qu’en as-tu fait d’ailleurs ?
Ouh la, c’est un peu un mythe ça… Effectivement on les touche, mais sur 10 ans, ce sont des avances qu’on renégocie au fur et à mesure. Mais si je meure ma famille doit les toucher intégralement ! (rires) En attendant, avec la première avance j’ai pu m’acheter une voiture, mais le reste va surtout servir à investir dans l’immobilier, et bien sûr à acheter quelques guitares (et une belle bague de fiançailles !).
« Mickels » c’est un pseudo ?
Et non, c’est mon prénom ! Ca se prononce « maïkeuls ». Mes parents voulaient m’appeler Michael pour Michael Corleone, le fils le plus sage de la famille (au départ). Pour l’orthographe, ma mère était dans le gaz et mon père a demandé à une amie présente à la maternité comment s’écrivait « Michael » à l’américaine, et voilà ce qu’elle lui a répondu ! Mais j’en ai trouvé d’autres qui portent ce prénom, surtout aux Etats-Unis.
L’album portera-t-il le nom de ton groupe (Rive Despleen), le tien, ou bien les deux ?
Je préfèrerais que ça soit « Rive Despleen » tout court mais le nom n’est pas assez connu. Mais je suis content parce que l’image du groupe est vraiment présente auprès des gens qui me soutiennent, notamment sur les forums, etc. Je ne sais pas comment la maison de disque va gérer ça en termes de marketing, mais si on ne peut pas avoir le nom du groupe seul j’aimerais au moins que ça soit « Mickels Rea & Rive Despleen », et peut-être imposer le nom du groupe après. En tout cas mes musiciens s’en foutent, ils veulent juste jouer. C’est plus moi qui tiens à l’image du groupe. Et puis c’est un risque auquel on s’était préparé bien avant. Certaines des personnes qui auraient pu me faire refuser la Star Ac étaient notamment mon groupe puisque je m’étais investi avec eux. Mais ils étaient pour, alors qu’ils viennent d’une culture plus rock que moi finalement. Avec le recul ils sont contents que j’aie fait la Star Ac plutôt que la comédie musicale Mozart !
Est-ce que tu as un conseil à donner à un jeune artiste pour réussir ?
Quand tu as l’impression que tu as avancé, dis-toi que ce n’est que le début ! Il faut bien être conscient qu’on a choisi la voie la plus difficile de réussite professionnelle, car c’est la plus aléatoire. Au début j’avais l’impression que le moindre moment que je ne passais pas à faire de la musique était du temps perdu. Je m’en suis même rendu malade, j’étais coupé du monde… Un peu le cliché du mec qui ne sait pas comment faire pour y arriver et qui s’enferme dans le travail, mais un peu trop. Si j’ai un conseil à donner, c’est surtout aux gens qui entourent pour qu’ils soutiennent. Le soutien ça n’est pas la complaisance. Mes parents m’ont souvent dit « c’est pas mal ». A chacun de savoir que « c’est pas mal » n’est pas « c’est très bien ». Les proches doivent t’aider à prendre conscience de ton potentiel et à aller plus loin, en évitant la complaisance. Et puis le travail… Très vite j’ai eu la passion des instruments, batterie, guitare, piano, chant… J’ai pris une année de chant au conservatoire de Charleville et 5 ans de guitare au conservatoire donc c’est sûr, j’ai bossé. Le travail est tout. Le talent, ce qui fait que tu vas faire passer quelque chose sur scène, c’est un point de départ, mais derrière il n’y a que du travail. Une personne en particulier m’a ouvert les oreilles, et m’a permis de casser ce mur du solfège, un peu rébarbatif. J’ai passé le cap grâce à José Souc, guitariste hors pair (il a notamment joué pour Ella Fitzgerald) que j’ai rencontré via les ateliers Alice Donna quand je suis arrivé à Paris. Il m’a fait aimer la théorie musicale. Tu cherches la bonne combinaison comme s’il y avait une réponse. C’est ça la passion. Quand on faisait des dictées harmoniques, j’en pleurais si je ne trouvais pas l’accord ! Quand je compose, je suis en permanence en confrontation avec la musique. Tu ne peux avoir ça que quand tu as passé le cap, que tu es vraiment passionné. Certains disent très vite qu’ils sont passionnés, parce qu’ils prennent quelques cours de guitare, mais la vraie passion, celle qui te fait te taper la tête contre les murs, elle arrive plus tard, si elle arrive. Avant, tu peux faire machine arrière. Après c’est devenu impossible. Alors au quotidien, tu as des problèmes pour t’accorder du temps, ne serait-ce que pour faire du sport, partir en vacances… Tu es avec quelqu’un que tu aimes, mais le temps où tu la vois te paraît suffisant. J’ai de la chance car elle me comprend (je ne sais pas comment elle fait d’ailleurs !) et elle a réussi à me rendre raisonnable. C’est comme dans la drogue, il faut aller au fond pour s’apercevoir que le fond, c’est pas bien. Mais une fois que tu as touché ce fond-là qui n’est plus constructif ni créatif, tu reviens à des normes un peu plus raisonnables, avec toujours autant de passion, mais que tu arrives à canaliser. Et là, quand tu lâches les chevaux, tu peux devenir bon.
Interview réalisée par Fabrice
© 2009 SING CITY
http://www.singcity.fr/interview-edito/ ... .php?id=61" onclick="window.open(this.href);return false;
Gagnant de la dernière édition de la Star Academy, Mickels n'a pas vraiment le profil-type de l'émission. Auteur, compositeur et chanteur avant l'émission du groupe Rive Despleen, il entame une nouvelle vie "post-star ac" et nous raconte les anecdotes qui ont parsemé cette expérience et nous parle un peu de la réalisation de son futur album.
Tu es auteur compositeur, tu as des projets avec ton groupe, tu fais de la musique depuis 10 ans (tu en as 25), et tu t’es retrouvé à la Star Ac qui est plutôt faite pour les interprètes. Qu’est-ce qui t’a poussé à participer à cette émission ?
C’est un peu compliqué. Mon père m’a inscrit dans mon dos car il savait que j’aurais dit non. J’avais une barrière envers la télé-réalité, la Star Ac, et tout ce qui va avec. A l’époque je m’occupais de paperasseries pour mon père puisqu’on avait investi dans un studio d’enregistrement, et du coup je faisais moins de musique. Mon père m’a donc inscrit à plusieurs choses, notamment le casting de la comédie musicale Mozart. Je suis d’ailleurs arrivé dans les 2 derniers pour le rôle principal. Le but, c’était de me faire sortir du bureau et de me remettre le pied à l’étrier en espérant que quelqu’un flashe un peu sur moi. Alors je suis allé au casting de Mozart, j’ai passé trois ou quatre auditions, et là, je me fais repérer par la personne qui va devenir mon manager, Bruno Berbérès, le directeur de casting. Après le « non » en finale de Mozart, il m’a dit qu’il voulait m’aider. Entre temps, à la Star Academy, on m’avait dit non ! Je m’étais donc lancé à fond dans Mozart en me disant que je préférais faire mes armes dans une comédie musicale plutôt que dans une émission de télé-réalité. Mais finalement c’était non pour Mozart aussi ! Bruno me rappelle une semaine plus tard en me disant qu’il venait d’être embauché par la star ac pour la deuxieme partie du casting. Je l’informe qu’on m’a déjà dit non une fois. Là-dessus, Bruno, très surpris décide de me représenter à l’équipe d’Endemol et de TF1. Apres visionnage et faisant confiance à Bruno ils décident de me refaire passer le casting. Mais me disent non une deuxième fois ! C’est vrai que ma prestation n’était ni bonne, ni mauvaise, simplement pas investie, et ça ne m’étonne pas du tout d’ailleurs. Bruno était vraiment déçu, il s’était battu pour que je le fasse. Il me rappelle une semaine plus tard et m’explique qui y a eu un miracle ! Dans les dernières minutes de la réunion générale à TF1 pour décider de la dernière ligne, Bruno a insisté pour revisionner mon audition, Nonce Paolini a beaucoup aimé ma prestation, il y a eu un nouveau vote et là vous connaissez la suite ! Comme quoi, c’est vrai qu’il ne faut jamais lâcher dans ce métier !
Tu as donc été imposé par le président de TF1 ?
Pas vraiment imposé, disons plutôt que son avis compte beaucoup ! Mais il n’y a pas que lui, Pascal Nègre m’a dit qu’il avait aussi voté pour moi, car il avait le futur album en tête, et pas seulement l’émission de télé. Il préférait quelqu’un d’assez solide, avec un minimum d’expérience. Evidemment, tout l’aspect télé-réalité de l’émission ne sera pas axé sur moi. J’ai 25 ans, une vie à peu près normale, je ne suis ni clochard ni fils de, et la tranche du milieu ça n’intéresse personne.
Du coup on ne t’a pas vu pendant longtemps, sauf pour accompagner les autres !
Effectivement, pendant un mois ou un mois et demi. Jamais en avant mais accompagnateur officiel. On ne m’a pas vu parce que je n’étais jamais nominé ou pré-nominé, mais que je n’étais pas premier non plus ! Quand on est troisième ou quatrième on fait peu parler de soi. En plus je n’avais pas d’aventure, ou de conflit… En fait je faisais partie de ceux qui étaient choisis pour assurer, notamment sur les primes avec les artistes internationaux, et pas de ceux qui étaient choisis pour leur « personnalité ». J’étais intimement persuadé que j’allais rester un mois maximum, et ça me paraissait déjà beaucoup, mais finalement…
Mais quand vous n’étiez plus que 5 ou 6, il a bien fallu que tu apparaisses en pleine lumière. Qu’est-ce qui selon toi t’a permis d’aller au bout ?
Tout le monde me voyait perdant. On avait même eu un avis par un ami de Pascal Nègre comme quoi c’était sûrement une fille qui allait gagner cette année… Moi je n’avais vraiment pas conscience du nombre de votes que je pouvais déplacer. Mais je pense qu’une petite région (Charleville-Méziere, les Ardennes), peut avoir un comportement plus chauvin et se mobiliser plus facilement qu’une grosse métropole comme Paris ou Marseille.
C’est sûr que Marseille vibre plus pour l’OM que pour Alice…
C’est sûr. Je pense aussi que certains ont voté pour moi pour que la Star Ac ne soit pas remportée par quelqu’un qui avait encore tout à apprendre. De toute façon, j’ai déjà dit ce que je pensais d’Alice, ça a fait tout un foin d’ailleurs les jours qui ont précédé la finale, mais j’étais juste honnête. On m’a traité d’hypocrite parce que soi-disant je n’en avais jamais parlé avant, mais ce qu’il faut savoir, c’est qu’ils ne gardent que 20 secondes sur les interviews d’une heure qu’on faisait tous les soirs ! Tout ce que tu dis n’est pas forcément passé. S’ils décident de sortir quelque chose à la fin, ça apparaît comme une révélation. En attendant j’ai toujours dit ce que je pensais, de Gauthier par exemple. Que je ne m’entendais pas super bien avec lui, mais que je ne lui en voulais pas, car pour moi c’est un gamin sans repère, un chat sauvage, mais pas méchant, plus que sincère, limite premier degré. Ce que je ne pensais pas d’Alice. Mais je peux me tromper. Et ils ont décidé de passer tout ça à la fin ! Maintenant si Alice veut qu’on se voie pour en parler, il n’y a pas de souci. La question c’était : « pourquoi Alice devrait gagner ? ». Je leur avais répondu que si on était dans une optique télé-réalité, Alice avait toute sa place, mais si on voulait faire avancer quelqu’un d’un point de vue artistique, je méritais plus la victoire. Il y a une phrase que j’ai dite qui résume ce que je pense : « faites-moi perdre devant Johanna, mais pas devant Alice ». Pour moi, Johanna a vraiment quelque chose à faire dans ce métier. Elle a travaillé et retravaillé sa voix, elle a une prestance scénique… Elle est transcendée par la scène, elle a une vraie aura. J’aime aussi beaucoup Edouard, qui a un vrai talent, qui le cultive de plus en plus, ou des gens comme Quentin, graine de champion à 17 ans, notamment au niveau de l’écriture. Je me suis retrouvé à flirter entre deux eaux, celle des auteurs-compositeurs et celle des gens qui ne savaient pas trop ce qu’ils faisaient là. Alors oui, quand on me demande qui doit gagner, je ne vais pas me prononcer pour la télé-réalité… Mais je ne m’attendais pas à cette victoire. Quand j’en parlais avec mes potes avant de faire l’émission, ils me disaient « vas-y, mais de toute façon tu ne gagneras jamais, t’as pas le style ».
En tant que vainqueur de la Star Academy, te voilà donc signé chez Universal, et plus précisément chez Mercury. Quels sont les termes de ton contrat ?
5 albums sur 10 ans. 2 ans par album, le temps de la réalisation, de la sortie, de la promo, des tournées…
Tu vas faire la tournée de la Star Ac ?
Non. J’ai refusé parce que j’avais quantité d’autres choses à faire, et que ça ne faisait pas partie de mes obligations. Ca n’est pas que je renie la Star Ac, je suis très content de l’avoir faite, et je ne regrette rien mais je n’ai pas envie d’y passer ma vie. J’y ai passé déjà trois mois, j’ai pris des risques par rapport aux préjugés qui circulent sur ces émissions et qui vont me coller à la peau pendant encore quelques années sûrement, et peut-être aussi que le public de cette tournée n’est pas vraiment mon public. Mais la principale raison c’est que je préfère être en studio à préparer mon album qu’être en tournée à chanter des reprises.
Justement tu es aujourd’hui en pleine pré-prod de l’album. Tu as les mains libres d’un point de vue artistique ?
Pour te dire comment ça s’est passé, j’ai eu quinze jours de « vacances » pour passer les fêtes tranquillement. On s’est retrouvé début janvier avec Bertrand Lamblot (directeur artistique chez Mercury) qui est venu au studio. Je lui ai fait écouter 4 ou 5 titres, les plus barrés, pour qu’il voie où ça peut aller. Il écoute et il me dit « l’univers musical me plaît, pas de souci, mais il n’y a pas encore les tubes ». Evidemment, je lui ai fait écouter des titres de 12 minutes… Il m’a fait comprendre qu’il fallait continuer à travailler, et que si jamais on n’avait pas les tubes il pourrait me faire peut-être travailler avec d’autres compositeurs. Je lui ai dit que j’avais 15 titres à poser en maquette et qu’il fallait qu’il me laisse les lui proposer. J’ai travaillé en studio et je les lui ai envoyés il y a quelques jours. Il m’a dit que c’était super, que tout allait bien. Il a envie de me faire confiance, mais c’est vrai qu’il ne peut pas prendre n’importe quel risque. Aujourd’hui, il me tient toujours un discours très positif, il m’a félicité pour le boulot, etc. Il y aura peut-être des co-écritures sur les textes (en français, sauf peut-être un ou deux titres en anglais). Je ne suis pas contre. J’ai déjà pas mal évolué en musique, il me reste du chemin à faire certes, mais je sais que niveau texte, il y a encore beaucoup de boulot, alors ça ne me dérange pas du tout de collaborer avec des gens dont c’est la spécialité. Je vais travailler notamment avec Vincent Baguian pour cultiver un petit côté second degré. J’aime beaucoup son esprit et sa personne.
Comment se passe la préparation de l’album, puisque le maquettage se fait dans ton studio ?
Je bouche les trous du planning pour travailler et élaborer mes maquettes avec mon groupe ! On fera dans la foulée la réalisation de l’album dans ce studio, sauf peut-être s’il y a trop de cordes, s’il faut un orchestre complet, là on aura besoin de plus de place…
Tu as gardé des amis de la Star Ac ?
Oui bien sûr. Au début de l’aventure j’étais surtout ami avec Edouard et Harold. On nous appelait les Trois Mousquetaires, expression que j’avais sorti à l’improviste à un journaliste qui a fait son beurre avec (on a beaucoup de rencontres ou d’interviews au téléphone avec les journalistes à la Star Ac, pendant les « heures CSA » non filmées). Mais Harold est parti très vite. Edouard est resté plus longtemps et c’est vraiment devenu un ami. Avec Johanna on a le même manager et on s’entend très bien. Avec Quentin aussi. Ils sont ensemble d’ailleurs, du coup on se voit souvent tous ensemble, ils passent souvent au studio...
Johanna ne t’en veut pas de l’avoir privée de finale ?
Non. Avant la demi-finale on se disait déjà que le gagnant serait soit Alice soit Gauthier. Mais quand on est tombé l’un contre l’autre, on a vécu une vraie finale avant la lettre (d’ailleurs Philippe Lelièvre l’a dit en direct le soir même). En fait, on voulait surtout partir ! On se disait qu’il y en a un qui devrait rester seul avec les deux autres, sachant qu’on n’avait d’affinité avec aucun des deux. Pour ça elle m’a limite remercié, mais on s’était dit aussi que celui qui arriverait en finale devait tout faire pour gagner !
Avais-tu conscience du décalage entre l’image que tu voulais donner de toi et l’image qui était donné par la production, le montage ?
Je ne voyais pas les images ! En plus ce qui n’aidait pas, c’est que je n’avais jamais vraiment regardé la Star Academy. Comme tout le monde j’étais tombé dessus, mais pas suffisamment pour comprendre le système. Quand tu es d’un côté ou de l’autre, tu ne peux pas voir le rapport. Le seul moyen que j’ai, c’est de regarder toutes les images. Mes parents ont tout enregistré. Peut-être que je regarderai tout ça et là je pourrai te répondre. Mais quand tu es sur place, tu vies ta vie. La seule chose que j’ai essayé de faire, c’est comme quand tu es reçu chez quelqu’un que tu ne connais pas, tu fais attention à ta manière de t’exprimer, tu essayes de présenter le mieux possible, mais sans pousser le bouchon non plus.
Tu n’étais pas comme certains participants, dans le pathos ou le caprice…
Certes, mais certaines réactions peuvent paraître fausses mais sans l’être, je pense surtout à ce qui peut se passer au moment du prime, quand quelqu’un doit partir. Je n’étais pas dans les larmes sur commande, mais quand Edouard est parti, j’ai vraiment eu l’impression qu’il me laissait seul en prison, et ça m’a tiré les larmes. Parce que c’est très perturbant d’être à ce point en dehors du monde réel. Certes, on est nourri logé blanchi, mais quand tu le vis, tu te rends compte que tu perds tous tes repères. La seule personne qui te ramène à la réalité c’est la psy qu’on voit toutes les semaines, pour savoir comment on appréhende la suite ou qui gère quand des soucis arrivent à nos proches. Un très bon ami à moi est décédé pendant l’émission. C’est la psy qui décide s’il faut que l’élève sorte, pour aller à l’enterrement par exemple. Moi, on ne m’a prévenu qu’à la fin. La psy jugeait que j’étais assez mature pour supporter ça, mais les parents de mon ami ainsi que les miens ont pensé à l’aspect médiatique et ils avaient complètement raison. Il ne fallait surtout pas que ça devienne une information publique, un coup médiatique à partir du simple fait qu’on informe une personne privée qu’il vient de perdre un ami. Il ne fallait surtout pas rentrer là-dedans.
Les ventes de disques des gagnants de la Star Ac n’ont globalement fait que baisser année après année depuis Jenifer. Te sens-tu capable d’inverser la tendance ?
Je le souhaite ! Pas par rapport aux précédents gagnants, mais avant tout pour réussir, comme tout le monde je pense. Quentin Mosimann a relancé un peu les ventes néanmoins. Pas plus tard qu’hier j’étais chez Picard. Une dame m’arrête, me félicite, etc. Elle me dit que je suis le premier depuis Grégory Lemarchal qui a réussi à transmettre quelque chose. On me le dit souvent en fait. Ca m’encourage. Pascal Nègre et Bertand Lamblot m’ont dit que c’était la première fois depuis les débuts de la Star Ac qu’ils signaient avec un artiste, qu’ils allaient vivre un truc nouveau, car d’habitude ils doivent décider de qui va composer, écrire, réaliser, dans quel studio etc. Moi je leur fournis tout sur un plateau ! C’est un vrai travail d’équipe car je leur soumets plein de propositions et on en discute, comme un contrat d’artiste normal (contrat signé entre la maison de disque et l’artiste, sans l’intermédiaire de structures de production, contrairement aux contrats de licence ou de distribution, NDLR). D’habitude le gagnant de la Star Ac est fourré dans les bureaux d’Universal tous les jours, parce qu’il est paumé. On lui présente des compositeurs, on l’envoie en studio… Je pense que mon album aura moins une étiquette de « produit », il me correspondra de toute façon beaucoup plus que ceux des précédents gagnants de la Star Ac, puisque j’aurai composé et écrit la totalité ou presque des titres. Sachant qu’il n’y aura que des compositions originales je suis prêt à accepter le fait que ça se vende moins facilement.
Du coup est-ce que la maison de disques a intérêt à travailler ton album avec ses réseaux habituels (partenariat NRJ, promo dans la presse people…) ?
Les radios visées sont Virgin, RTL2 et NRJ pour différents créneaux. Il y a l’optique matraquage, et l’optique plus classe où tu passes entre Pink Floyd et Radiohead, pour un public plus âgé. Pascal Nègre m’a dit qu’il ne fallait pas que je tombe dans le piège de la presse people. J’ai joué le jeu à la sortie parce que ça faisait partie du deal, mais dès que je n’ai plus eu d’obligations j’ai refusé les apparitions, les séances de dédicaces, même bien rémunérées. Je m’étais fixé comme règle de ne rien faire qui ne soit que pour l’argent.
Normal, quand on vient de gagner 500.000 euros ! Qu’en as-tu fait d’ailleurs ?
Ouh la, c’est un peu un mythe ça… Effectivement on les touche, mais sur 10 ans, ce sont des avances qu’on renégocie au fur et à mesure. Mais si je meure ma famille doit les toucher intégralement ! (rires) En attendant, avec la première avance j’ai pu m’acheter une voiture, mais le reste va surtout servir à investir dans l’immobilier, et bien sûr à acheter quelques guitares (et une belle bague de fiançailles !).
« Mickels » c’est un pseudo ?
Et non, c’est mon prénom ! Ca se prononce « maïkeuls ». Mes parents voulaient m’appeler Michael pour Michael Corleone, le fils le plus sage de la famille (au départ). Pour l’orthographe, ma mère était dans le gaz et mon père a demandé à une amie présente à la maternité comment s’écrivait « Michael » à l’américaine, et voilà ce qu’elle lui a répondu ! Mais j’en ai trouvé d’autres qui portent ce prénom, surtout aux Etats-Unis.
L’album portera-t-il le nom de ton groupe (Rive Despleen), le tien, ou bien les deux ?
Je préfèrerais que ça soit « Rive Despleen » tout court mais le nom n’est pas assez connu. Mais je suis content parce que l’image du groupe est vraiment présente auprès des gens qui me soutiennent, notamment sur les forums, etc. Je ne sais pas comment la maison de disque va gérer ça en termes de marketing, mais si on ne peut pas avoir le nom du groupe seul j’aimerais au moins que ça soit « Mickels Rea & Rive Despleen », et peut-être imposer le nom du groupe après. En tout cas mes musiciens s’en foutent, ils veulent juste jouer. C’est plus moi qui tiens à l’image du groupe. Et puis c’est un risque auquel on s’était préparé bien avant. Certaines des personnes qui auraient pu me faire refuser la Star Ac étaient notamment mon groupe puisque je m’étais investi avec eux. Mais ils étaient pour, alors qu’ils viennent d’une culture plus rock que moi finalement. Avec le recul ils sont contents que j’aie fait la Star Ac plutôt que la comédie musicale Mozart !
Est-ce que tu as un conseil à donner à un jeune artiste pour réussir ?
Quand tu as l’impression que tu as avancé, dis-toi que ce n’est que le début ! Il faut bien être conscient qu’on a choisi la voie la plus difficile de réussite professionnelle, car c’est la plus aléatoire. Au début j’avais l’impression que le moindre moment que je ne passais pas à faire de la musique était du temps perdu. Je m’en suis même rendu malade, j’étais coupé du monde… Un peu le cliché du mec qui ne sait pas comment faire pour y arriver et qui s’enferme dans le travail, mais un peu trop. Si j’ai un conseil à donner, c’est surtout aux gens qui entourent pour qu’ils soutiennent. Le soutien ça n’est pas la complaisance. Mes parents m’ont souvent dit « c’est pas mal ». A chacun de savoir que « c’est pas mal » n’est pas « c’est très bien ». Les proches doivent t’aider à prendre conscience de ton potentiel et à aller plus loin, en évitant la complaisance. Et puis le travail… Très vite j’ai eu la passion des instruments, batterie, guitare, piano, chant… J’ai pris une année de chant au conservatoire de Charleville et 5 ans de guitare au conservatoire donc c’est sûr, j’ai bossé. Le travail est tout. Le talent, ce qui fait que tu vas faire passer quelque chose sur scène, c’est un point de départ, mais derrière il n’y a que du travail. Une personne en particulier m’a ouvert les oreilles, et m’a permis de casser ce mur du solfège, un peu rébarbatif. J’ai passé le cap grâce à José Souc, guitariste hors pair (il a notamment joué pour Ella Fitzgerald) que j’ai rencontré via les ateliers Alice Donna quand je suis arrivé à Paris. Il m’a fait aimer la théorie musicale. Tu cherches la bonne combinaison comme s’il y avait une réponse. C’est ça la passion. Quand on faisait des dictées harmoniques, j’en pleurais si je ne trouvais pas l’accord ! Quand je compose, je suis en permanence en confrontation avec la musique. Tu ne peux avoir ça que quand tu as passé le cap, que tu es vraiment passionné. Certains disent très vite qu’ils sont passionnés, parce qu’ils prennent quelques cours de guitare, mais la vraie passion, celle qui te fait te taper la tête contre les murs, elle arrive plus tard, si elle arrive. Avant, tu peux faire machine arrière. Après c’est devenu impossible. Alors au quotidien, tu as des problèmes pour t’accorder du temps, ne serait-ce que pour faire du sport, partir en vacances… Tu es avec quelqu’un que tu aimes, mais le temps où tu la vois te paraît suffisant. J’ai de la chance car elle me comprend (je ne sais pas comment elle fait d’ailleurs !) et elle a réussi à me rendre raisonnable. C’est comme dans la drogue, il faut aller au fond pour s’apercevoir que le fond, c’est pas bien. Mais une fois que tu as touché ce fond-là qui n’est plus constructif ni créatif, tu reviens à des normes un peu plus raisonnables, avec toujours autant de passion, mais que tu arrives à canaliser. Et là, quand tu lâches les chevaux, tu peux devenir bon.
Interview réalisée par Fabrice
© 2009 SING CITY
http://www.singcity.fr/interview-edito/ ... .php?id=61" onclick="window.open(this.href);return false;
Dernière modification par Slenderframe le jeu. mars 12, 2009 7:59 am, modifié 1 fois.
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Lucie Bernardoni produite par 602 internautes !
Après de nombreuses expériences musicales, celle qui a été découverte grâce à "Star Academy" va reprendre le chemin des studios d'enregistrement. La jeune artiste vient en effet de réunir les 50 000 euros nécessaires à la réalisation de son opus grâce aux internautes du label participatif Akamusic, en seulement 16 jours !
16 jours et demi, c'est le temps qu'aura nécessité le rassemblement des 50 000 euros nécessaires à la réalisation du premier album de Lucie Bernardoni . Les internautes d'Akamusic ont ainsi massivement soutenu l'auteur et l'interprète, ainsi que son compagnon de compositeur, à la ville comme à la scène, Pedro Alves ("Les dix commandements").
Entourée de ce dernier, François Welgryn et Nicolas Reinhardt entre autres, Lucie Bernardoni livre ses états d'âme en chansons. Elle invite le public à découvrir son univers entre innocence et conscience, entre force et fragilité... un univers "Mélancosmiaque" comme elle aime le définir.
"Mélancosmiaque" sera d'ailleurs le titre de cet opus qui deviendra prochainement une réalité grâce aux internautes d'Akamusic ; ce dernier ne bénéficiant par ailleurs que d'un développement moyen sur le long terme pour ces artistes, livrés à eux-même, à l'inverse de Spidart que gère la société de promotion Music Media Consulting. Les labels participatifs semblent avoir trouvé un réel écho auprès des internautes. Ce ne sont pas les producteurs d'un certain Grégoire qui diront le contraire.
Cependant, une question se pose : Lucie Bernardoni a été découverte du grand public en participant à "Star Academy" en 2004 (elle n'était au départ qu'une remplaçante mais les circonstances vont lui donner sa chance, et intégrant ainsi le château de Dammarie-les-Lys, elle va prouver son talent aux enseignants ; les téléspectateurs la soutiendront jusqu'en finale face au regretté Grégory Lemarchal), mais aujourd'hui, avec notamment Jessica Marquez (produite elle via sa page Spidart), les ex-candidats de télé-réalité ayant déjà un public ne deviendraient-ils pas la cible privilégiée des labels participatifs au détriment des autres (rappelons que sur certains, notamment MyMajorCompagny ou Spidart, ces derniers doivent passer par un comité de sélection avant d'être intégrés au site) ?
Cela dit, désormais sur le chemin des studios pour son album "Mélancosmiaque", nul doute que Lucie Bernardoni ne laissera pas passer la chance qui lui offrent son public et les internautes d'Akamusic.
Depuis "Star Academy", Lucie Bernardoni a publié le single "Apprends-nous à rêver" qu'elle a écrit et composé, puis un duo avec Mathieu Johann sur "Petit rat, petit loup", le rôle de Mathilde Verlaine dans le spectacle musical "Rimbaud", une série de concerts au Sentier des Halles et enfin le générique de la série "Seconde chance" en 2008. Des expériences qui auront marqué son parcours ; la jeune fille n'ayant jamais cessé de travailler.
Nikolas LENOIR, le mardi 17 mars 2009
Chartsinfrance
Après de nombreuses expériences musicales, celle qui a été découverte grâce à "Star Academy" va reprendre le chemin des studios d'enregistrement. La jeune artiste vient en effet de réunir les 50 000 euros nécessaires à la réalisation de son opus grâce aux internautes du label participatif Akamusic, en seulement 16 jours !
16 jours et demi, c'est le temps qu'aura nécessité le rassemblement des 50 000 euros nécessaires à la réalisation du premier album de Lucie Bernardoni . Les internautes d'Akamusic ont ainsi massivement soutenu l'auteur et l'interprète, ainsi que son compagnon de compositeur, à la ville comme à la scène, Pedro Alves ("Les dix commandements").
Entourée de ce dernier, François Welgryn et Nicolas Reinhardt entre autres, Lucie Bernardoni livre ses états d'âme en chansons. Elle invite le public à découvrir son univers entre innocence et conscience, entre force et fragilité... un univers "Mélancosmiaque" comme elle aime le définir.
"Mélancosmiaque" sera d'ailleurs le titre de cet opus qui deviendra prochainement une réalité grâce aux internautes d'Akamusic ; ce dernier ne bénéficiant par ailleurs que d'un développement moyen sur le long terme pour ces artistes, livrés à eux-même, à l'inverse de Spidart que gère la société de promotion Music Media Consulting. Les labels participatifs semblent avoir trouvé un réel écho auprès des internautes. Ce ne sont pas les producteurs d'un certain Grégoire qui diront le contraire.
Cependant, une question se pose : Lucie Bernardoni a été découverte du grand public en participant à "Star Academy" en 2004 (elle n'était au départ qu'une remplaçante mais les circonstances vont lui donner sa chance, et intégrant ainsi le château de Dammarie-les-Lys, elle va prouver son talent aux enseignants ; les téléspectateurs la soutiendront jusqu'en finale face au regretté Grégory Lemarchal), mais aujourd'hui, avec notamment Jessica Marquez (produite elle via sa page Spidart), les ex-candidats de télé-réalité ayant déjà un public ne deviendraient-ils pas la cible privilégiée des labels participatifs au détriment des autres (rappelons que sur certains, notamment MyMajorCompagny ou Spidart, ces derniers doivent passer par un comité de sélection avant d'être intégrés au site) ?
Cela dit, désormais sur le chemin des studios pour son album "Mélancosmiaque", nul doute que Lucie Bernardoni ne laissera pas passer la chance qui lui offrent son public et les internautes d'Akamusic.
Depuis "Star Academy", Lucie Bernardoni a publié le single "Apprends-nous à rêver" qu'elle a écrit et composé, puis un duo avec Mathieu Johann sur "Petit rat, petit loup", le rôle de Mathilde Verlaine dans le spectacle musical "Rimbaud", une série de concerts au Sentier des Halles et enfin le générique de la série "Seconde chance" en 2008. Des expériences qui auront marqué son parcours ; la jeune fille n'ayant jamais cessé de travailler.
Nikolas LENOIR, le mardi 17 mars 2009
Chartsinfrance
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Visionnez le teaser du nouvel opus d'Olivia Ruiz
Le météore, c’est, selon la définition officielle, un corps céleste qui traverse l’atmosphère en produisant un phénomène lumineux. C’est un nom masculin. Mais le jour où le météore décidera de changer de genre, il pourra se rebaptiser Olivia Ruiz, parce que la définition va aussi très bien à la chanteuse dont le nouvel album sera en bacs le 13 avril : découvrez le teaser !
"Miss Météores", donc. La miss, c’est Olivia Ruiz, éternelle chipie canaille des bords de l’Aude qui, malgré la gloire et les honneurs, et parce que ce n’est toujours pas de son âge, refuse qu’on l’appelle « madame ».
Il y a quelques années-lumière, on l’avait découverte étoile fuyante, star pas très académique, ni forcément très heureuse, de la première édition d’un célèbre concours de chansons télévisé. Après ce passage un brin forcé en zone de turbulence, dans le trou noir de l’over médiatisation, Olivia Ruiz avait eu le courage de ramasser ses dents et de reprendre sa trajectoire : la passion du spectacle et du chant rivée aux tripes, celle d’une enfant de la balle, et fille d’un musicien, qui faisait de la radio, des chansons et de la scène à l’âge où les autres petites filles jouent à la poupée. Aujourd’hui, sur la pochette de "Miss Météores", c’est au tour d’Olivia Ruiz de jouer à la poupée – mais à sa façon bien particulière, on y reviendra.
Visionnez le teaser de l'album d'Olivia Ruiz : http://www.chartsinfrance.net/actualite/news-67662.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Pour ce troisième opus, c’est donc encore une histoire de familles. Famille de sang – son père et son frère sont sur l’album. Famille de cœur – elle a co-réalisé l'album avec les fidèles, Mathias Malzieu et Alain Cluzeau, ainsi qu’Olivier Daviaud pour tout arranger. Famille élargie aux musiciens croisés sur la route. Olivia reçoit : le rappeur-producteur canadien Buck 65, les anglais félins et furax des Noisettes (rencontrés sur la tournée de "La femme chocolat", et il est sûr que le chocolat avec des Noisettes, c’est bon), les français américanophiles de Coming Soon, le groupe austro-espagnol de cabaret à ciel ouvert Lonely Drifter Karen…
«Je n’aime pas l’idée de faire un disque pour moi, j’avais envie de partager un truc, c’était aussi le moment d’inviter des gens que j’avais envie de soutenir» dit-elle.
Par ailleurs, avant d’enregistrer "Miss Météores", la chanteuse a fait un grand voyage humanitaire au Burkina Faso avec son petit frère (un album est né du projet, et tout est dit sur fasoburkina.com, ou sur notre lien).
"Miss météores" sera en bacs dès le 13 avril prochain, actuellement porté en radios par le premier extrait "Elle panique".
Olivia Ruiz partira de nouveau sur les routes en tournée à partir du 7 mai, pour poser ses valises à l'Olympia de Paris le 29 mai prochain.
Merci à Stéphane Deschamps (lesinrocks.com).
Thierry CADET, le lundi 16 mars 2009
Chartsinfrance
Le météore, c’est, selon la définition officielle, un corps céleste qui traverse l’atmosphère en produisant un phénomène lumineux. C’est un nom masculin. Mais le jour où le météore décidera de changer de genre, il pourra se rebaptiser Olivia Ruiz, parce que la définition va aussi très bien à la chanteuse dont le nouvel album sera en bacs le 13 avril : découvrez le teaser !
"Miss Météores", donc. La miss, c’est Olivia Ruiz, éternelle chipie canaille des bords de l’Aude qui, malgré la gloire et les honneurs, et parce que ce n’est toujours pas de son âge, refuse qu’on l’appelle « madame ».
Il y a quelques années-lumière, on l’avait découverte étoile fuyante, star pas très académique, ni forcément très heureuse, de la première édition d’un célèbre concours de chansons télévisé. Après ce passage un brin forcé en zone de turbulence, dans le trou noir de l’over médiatisation, Olivia Ruiz avait eu le courage de ramasser ses dents et de reprendre sa trajectoire : la passion du spectacle et du chant rivée aux tripes, celle d’une enfant de la balle, et fille d’un musicien, qui faisait de la radio, des chansons et de la scène à l’âge où les autres petites filles jouent à la poupée. Aujourd’hui, sur la pochette de "Miss Météores", c’est au tour d’Olivia Ruiz de jouer à la poupée – mais à sa façon bien particulière, on y reviendra.
Visionnez le teaser de l'album d'Olivia Ruiz : http://www.chartsinfrance.net/actualite/news-67662.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Pour ce troisième opus, c’est donc encore une histoire de familles. Famille de sang – son père et son frère sont sur l’album. Famille de cœur – elle a co-réalisé l'album avec les fidèles, Mathias Malzieu et Alain Cluzeau, ainsi qu’Olivier Daviaud pour tout arranger. Famille élargie aux musiciens croisés sur la route. Olivia reçoit : le rappeur-producteur canadien Buck 65, les anglais félins et furax des Noisettes (rencontrés sur la tournée de "La femme chocolat", et il est sûr que le chocolat avec des Noisettes, c’est bon), les français américanophiles de Coming Soon, le groupe austro-espagnol de cabaret à ciel ouvert Lonely Drifter Karen…
«Je n’aime pas l’idée de faire un disque pour moi, j’avais envie de partager un truc, c’était aussi le moment d’inviter des gens que j’avais envie de soutenir» dit-elle.
Par ailleurs, avant d’enregistrer "Miss Météores", la chanteuse a fait un grand voyage humanitaire au Burkina Faso avec son petit frère (un album est né du projet, et tout est dit sur fasoburkina.com, ou sur notre lien).
"Miss météores" sera en bacs dès le 13 avril prochain, actuellement porté en radios par le premier extrait "Elle panique".
Olivia Ruiz partira de nouveau sur les routes en tournée à partir du 7 mai, pour poser ses valises à l'Olympia de Paris le 29 mai prochain.
Merci à Stéphane Deschamps (lesinrocks.com).
Thierry CADET, le lundi 16 mars 2009
Chartsinfrance
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
"Roméo & Juliette" de retour à Paris en 2010 !
Le spectacle musical qui avait triomphé en France en 2000/2001, sera de retour à Paris près de dix ans après sa création, du 1er février au 4 avril 2010 au Palais des Congrès avec toujours Damien Sargue dans le rôle-titre, et Joy Esther campant Juliette.
Porté par les tubes "Aimer" et "Les Rois du monde" (N°1 des ventes en France pendant 17 semaines), le spectacle musical de Gérard Presgurvic a battu de nombreux records depuis sa création en 2000. De surcroît, l'album studio fut la plus grosse vente de disques en 2001. "Roméo & Juliette" s'est depuis exporté en Asie, en Russie, au Mexique ainsi que dans de nombreux pays européens. Ces déclinaisons ont également su attirer les ferveurs de leurs publics.
Aujourd'hui, à l'instar de "Starmania" (joué à Paris en 1979, 1988, 1993, 1998, et 2005 avec différentes troupes), de nouvelles représentations sont prévues à Paris en 2010, au Palais des Congrès du 1er février au 4 avril, précisément dans la salle même où il avait été créé il y a dix ans. S'inspirant des versions jouées dans différents pays, c'est cependant un show inédit qui sera proposé au public.
Parmi le casting : Damien Sargue reste fidèle au rôle de Roméo, une décennie plus tard, Joy Esther (révélée par "Belles belles belles" en 2004) interprète Juliette, et enfin c'est un rescapé de la quatrième saison de "Star Academy" que l'on retrouve dans le rôle de Mercutio : John Eyzen remplace ainsi Philippe D'Avilla.
Une nouvelle version de l'album est également prévue avec les titres originaux, quelques chansons empruntées à la version asiatique (la troupe revient d'une tournée marathon à Séoul), ainsi qu'un nouvel extrait intitulé "Avoir 20 ans"
Ecouter: http://www.chartsinfrance.net/Romeo-Et- ... 67665.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Thierry CADET, le lundi 16 mars 2009
Chartsinfrance
Site off : http://www.romeoetjuliette.eu/" onclick="window.open(this.href);return false;
MySpace: http://www.myspace.com/romeoetjuliettemusical" onclick="window.open(this.href);return false;
Le spectacle musical qui avait triomphé en France en 2000/2001, sera de retour à Paris près de dix ans après sa création, du 1er février au 4 avril 2010 au Palais des Congrès avec toujours Damien Sargue dans le rôle-titre, et Joy Esther campant Juliette.
Porté par les tubes "Aimer" et "Les Rois du monde" (N°1 des ventes en France pendant 17 semaines), le spectacle musical de Gérard Presgurvic a battu de nombreux records depuis sa création en 2000. De surcroît, l'album studio fut la plus grosse vente de disques en 2001. "Roméo & Juliette" s'est depuis exporté en Asie, en Russie, au Mexique ainsi que dans de nombreux pays européens. Ces déclinaisons ont également su attirer les ferveurs de leurs publics.
Aujourd'hui, à l'instar de "Starmania" (joué à Paris en 1979, 1988, 1993, 1998, et 2005 avec différentes troupes), de nouvelles représentations sont prévues à Paris en 2010, au Palais des Congrès du 1er février au 4 avril, précisément dans la salle même où il avait été créé il y a dix ans. S'inspirant des versions jouées dans différents pays, c'est cependant un show inédit qui sera proposé au public.
Parmi le casting : Damien Sargue reste fidèle au rôle de Roméo, une décennie plus tard, Joy Esther (révélée par "Belles belles belles" en 2004) interprète Juliette, et enfin c'est un rescapé de la quatrième saison de "Star Academy" que l'on retrouve dans le rôle de Mercutio : John Eyzen remplace ainsi Philippe D'Avilla.
Une nouvelle version de l'album est également prévue avec les titres originaux, quelques chansons empruntées à la version asiatique (la troupe revient d'une tournée marathon à Séoul), ainsi qu'un nouvel extrait intitulé "Avoir 20 ans"
Ecouter: http://www.chartsinfrance.net/Romeo-Et- ... 67665.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Thierry CADET, le lundi 16 mars 2009
Chartsinfrance
Site off : http://www.romeoetjuliette.eu/" onclick="window.open(this.href);return false;
MySpace: http://www.myspace.com/romeoetjuliettemusical" onclick="window.open(this.href);return false;
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
Re: Tout sur la Star Academy ICI
merci beaucoup pour ces news
Moi le Nichael pas capable. pftttttttt
il y as des passages ou il me fait dressé les cheveux sur la tete
Moi le Nichael pas capable. pftttttttt
il y as des passages ou il me fait dressé les cheveux sur la tete
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Merci pour les articles très intéressants
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Quentin Mosimann : un succès au Baiser Salé !
Le chanteur issu de la septième saison de "Star Academy" poursuit son chemin ; et même si la réédition de son premier album avec de nombreux bonus incluant le single "Il y a je t'aime et je t'aime" ne fait pas mouche au Top, Quentin Mosimann se produit sur scène et remplit les salles, comme en atteste son récent succès au Baiser Salé de Paris.
Quentin Mosimann, dont le premier album a récemment été réédité avec de nombreux bonus, incluant le single "Il y a je t'aime et je t'aime" (Top 2 en 2008), continue son chemin par le biais de la scène, dans le cadre de sa tournée "Duel Tour". Il était récemment en concert au Baiser Salé de Paris pour sept dates complètes, et sur lesquelles de nombreux invités sont venus le rejoindre.
Ainsi, Raphaëlle Ricci, est venue le soutenir pour la première, suivie le lendemain par Anne Ducros venue interpréter avec lui sur scène le morceau "Summertime". Le lauréat de la septième saison de "Star Academy" y a proposé la plupart des titres de son opus, parmi lesquels "Switzerland", "Ose", "Exercices de Mate", ou bien encore son premier hit "Cherchez le garçon" (Top 4 en 2008), repris en chœur par le public.
Le chanteur poursuit actuellement sa tournée en France, notamment à Dunkerque, Marseille, Lille, Laon... son "Duel Tour" repassant par Paris au printemps prochain, les 6 et 7 juin à l'Alhambra et le 10 décembre au Casino de Paris.
Thierry CADET, le jeudi 19 mars 2009
ChartsInFrance
Le chanteur issu de la septième saison de "Star Academy" poursuit son chemin ; et même si la réédition de son premier album avec de nombreux bonus incluant le single "Il y a je t'aime et je t'aime" ne fait pas mouche au Top, Quentin Mosimann se produit sur scène et remplit les salles, comme en atteste son récent succès au Baiser Salé de Paris.
Quentin Mosimann, dont le premier album a récemment été réédité avec de nombreux bonus, incluant le single "Il y a je t'aime et je t'aime" (Top 2 en 2008), continue son chemin par le biais de la scène, dans le cadre de sa tournée "Duel Tour". Il était récemment en concert au Baiser Salé de Paris pour sept dates complètes, et sur lesquelles de nombreux invités sont venus le rejoindre.
Ainsi, Raphaëlle Ricci, est venue le soutenir pour la première, suivie le lendemain par Anne Ducros venue interpréter avec lui sur scène le morceau "Summertime". Le lauréat de la septième saison de "Star Academy" y a proposé la plupart des titres de son opus, parmi lesquels "Switzerland", "Ose", "Exercices de Mate", ou bien encore son premier hit "Cherchez le garçon" (Top 4 en 2008), repris en chœur par le public.
Le chanteur poursuit actuellement sa tournée en France, notamment à Dunkerque, Marseille, Lille, Laon... son "Duel Tour" repassant par Paris au printemps prochain, les 6 et 7 juin à l'Alhambra et le 10 décembre au Casino de Paris.
Thierry CADET, le jeudi 19 mars 2009
ChartsInFrance
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
C'est vrai qu'il devrait faire attention à ce qu'il dit des anciens gagnants mais je suis inscrite sur son forum de soutien et il est en fait très simple et pas du tout grosse tête, Vivii. Il vient régulièrement donner des nouvelles (sa fiancée aussi) et discuter en tchat avec les fans. Il a même pas mal d'humour, ce qui ne se voyait pas nécessairement à l'académie...ViViiii a écrit : merci beaucoup pour ces news
Moi le Nichael pas capable. pftttttttt
il y as des passages ou il me fait dressé les cheveux sur la tete
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Découvrez en exclusivité la sublime Sofia Essaïdi et la troupe de Cléopâtre, sur le tournage du clip du Sidaction !
"A l'occasion d'un prime time exceptionnel diffusé le 21 mars prochain sur France 2 au profit du Sidaction, de nombreux artistes français se sont mobilisés pour un clip inédit réalisé par Fabrice Laffont... et dont nous vous avons déjà diffusé le superbe making of !
Ainsi, c'est à travers la capitale française que nous aurons l'occasion de découvrir, entre autres, Régine et Didier Wampas, Ophélie Winter, Charles Aznavour, Carla Bruni, Jenifer ou encore la troupe de Cléopâtre, filmés devant les plus beaux monuments de Paris.
Et justement, petits veinards, nous vous proposons les photos exclusives du tournage de ce clip lors de la séquence avec Sofia Essaïdi, Chris Stills et les autres têtes d'affiche de la comédie musicale de Kamel Ouali, tous très élégants devant la pyramide du Louvre.
La beauté brune, splendide et tout de noir vêtue, a donné le ton : le clip sera utile certes, mais aussi glamour !
Admirez ces clichés empreints de beauté, de classe et de solidarité !
purepeople
"A l'occasion d'un prime time exceptionnel diffusé le 21 mars prochain sur France 2 au profit du Sidaction, de nombreux artistes français se sont mobilisés pour un clip inédit réalisé par Fabrice Laffont... et dont nous vous avons déjà diffusé le superbe making of !
Ainsi, c'est à travers la capitale française que nous aurons l'occasion de découvrir, entre autres, Régine et Didier Wampas, Ophélie Winter, Charles Aznavour, Carla Bruni, Jenifer ou encore la troupe de Cléopâtre, filmés devant les plus beaux monuments de Paris.
Et justement, petits veinards, nous vous proposons les photos exclusives du tournage de ce clip lors de la séquence avec Sofia Essaïdi, Chris Stills et les autres têtes d'affiche de la comédie musicale de Kamel Ouali, tous très élégants devant la pyramide du Louvre.
La beauté brune, splendide et tout de noir vêtue, a donné le ton : le clip sera utile certes, mais aussi glamour !
Admirez ces clichés empreints de beauté, de classe et de solidarité !
purepeople
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
la suite des photos:
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
scan mickels.starac8.net
Dernière modification par Slenderframe le lun. mars 30, 2009 5:14 am, modifié 1 fois.
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
News publiée Aujourd'hui, Le Mercredi 15 Avril 2009 à 10:38 0 commentaires9 photos0 vidéos
Hoda, Cynthia, Harold de la Star Ac' ou Lucile et Pierrick de la Nouvelle Star : ils s'affrontent aujourd'hui... en musique !
Aujourd'hui est un grand jour pour certains anciens candidats de différentes émissions de télé-réalité !
Le Parisien nous apprend que cet après-midi, au Divan du Monde (dans le 18e arrondissement de Paris), aura lieu l'enregistrement de Deuxième Chance, une émission diffusée sur Direct 8 dans le courant du mois prochain et qui opposera les différents chanteurs !
Présentée par Lorie Cholewa, elle permettra aux ex-participants de Popstars, Star Academy et Nouvelle star d'être rejugés par trois personnes, à savoir un adolescent, un quadragénaire et un septuagénaire.
Ainsi, la talentueuse Hoda (Star Ac 4), Cynthia Brown (issue de la Star Ac 6 et qui a sorti un album l'an dernier), l'adorable Bertrand (Star Ac 7) et Harold (candidat de la Star Ac 8 et marié à la charmante Marie Orlandi) affronteront la magnifique voix de Jean-Sébastien (Nouvelle Star 2003), Pierrick (Nouvelle Star 2005), la pétillante Lucile (Nouvelle Star 2008) et Claire du groupe L5 !
L'enjeu ? Le vainqueur remportera le droit de se produire seul, sur la scène du Divan du Monde !
Et ce n'est pas rien !
L.R
purepeople.com
Hoda, Cynthia, Harold de la Star Ac' ou Lucile et Pierrick de la Nouvelle Star : ils s'affrontent aujourd'hui... en musique !
Aujourd'hui est un grand jour pour certains anciens candidats de différentes émissions de télé-réalité !
Le Parisien nous apprend que cet après-midi, au Divan du Monde (dans le 18e arrondissement de Paris), aura lieu l'enregistrement de Deuxième Chance, une émission diffusée sur Direct 8 dans le courant du mois prochain et qui opposera les différents chanteurs !
Présentée par Lorie Cholewa, elle permettra aux ex-participants de Popstars, Star Academy et Nouvelle star d'être rejugés par trois personnes, à savoir un adolescent, un quadragénaire et un septuagénaire.
Ainsi, la talentueuse Hoda (Star Ac 4), Cynthia Brown (issue de la Star Ac 6 et qui a sorti un album l'an dernier), l'adorable Bertrand (Star Ac 7) et Harold (candidat de la Star Ac 8 et marié à la charmante Marie Orlandi) affronteront la magnifique voix de Jean-Sébastien (Nouvelle Star 2003), Pierrick (Nouvelle Star 2005), la pétillante Lucile (Nouvelle Star 2008) et Claire du groupe L5 !
L'enjeu ? Le vainqueur remportera le droit de se produire seul, sur la scène du Divan du Monde !
Et ce n'est pas rien !
L.R
purepeople.com
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Direct8:voici les candidats de TVRéalité qui seront en prime
Il y a quelques jours, jeanmarcmorandini.com vous informait en exclusivité qu'une grande émission était préparation, qui va réunir tous les candidats les plus connus de tous les télé-crochets diffusés jusqu'à aujourd'hui à la télé française.
De la Nouvelle Star à la Star Academy en passant par Popstars tous seront représentés.
Il s'agira d'une grande émission qui sera diffusée en Prime Time sur Direct 8 avec les anciens candidats qui feront le show en live accompagnés d'un orchestre. Tous ont accepté d'être jugés une nouvelle fois par un jury, qui sera composé d'un adolescent, d'un quadragénaire, et d'un septuagénaire. Seuls ceux qui ont marqué ces émissions ont été sélectionnés pour y participer.
A la clé ? Le droit de se produire en concert, en solo, au Divan du Monde, à Paris...
Mais quels candidats participeront à ce programme qui sera diffusé fin mai?
La réponse: Hoda (« Star Ac » 4), Cynthia (« Star Ac » 6), Bertrand (« Star Ac » 7), Harold (« Star Ac » 8), Jean-Sébastien (« Nouvelle Star » 2003), Pierrick (« Nouvelle Star » 2005), Lucile (« Nouvelle Star » 2008), et Claire des L5 (« Popstars » 1).
jeanmarcmorandini.tele7.f
Il y a quelques jours, jeanmarcmorandini.com vous informait en exclusivité qu'une grande émission était préparation, qui va réunir tous les candidats les plus connus de tous les télé-crochets diffusés jusqu'à aujourd'hui à la télé française.
De la Nouvelle Star à la Star Academy en passant par Popstars tous seront représentés.
Il s'agira d'une grande émission qui sera diffusée en Prime Time sur Direct 8 avec les anciens candidats qui feront le show en live accompagnés d'un orchestre. Tous ont accepté d'être jugés une nouvelle fois par un jury, qui sera composé d'un adolescent, d'un quadragénaire, et d'un septuagénaire. Seuls ceux qui ont marqué ces émissions ont été sélectionnés pour y participer.
A la clé ? Le droit de se produire en concert, en solo, au Divan du Monde, à Paris...
Mais quels candidats participeront à ce programme qui sera diffusé fin mai?
La réponse: Hoda (« Star Ac » 4), Cynthia (« Star Ac » 6), Bertrand (« Star Ac » 7), Harold (« Star Ac » 8), Jean-Sébastien (« Nouvelle Star » 2003), Pierrick (« Nouvelle Star » 2005), Lucile (« Nouvelle Star » 2008), et Claire des L5 (« Popstars » 1).
jeanmarcmorandini.tele7.f
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
- Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Re: Tout sur la Star Academy ICI
Le marathon d’Olivia Ruiz
Le nouvel album très attendu de la chanteuse, « Miss Météores », sort aujourd’hui. Vendredi, nous avons suivi pas à pas sa promo d’un plateau télé à une émission de radio.
Elle est partout. Elle le mérite bien. Depuis quelques jours, Olivia Ruiz occupe le terrain. Presse, radio, télé : la chanteuse défend son troisième album, le formidable « Miss Météores »*. Oublié la star academycienne rebelle. A 29 ans, l’artiste est devenue une interprète populaire, après avoir vendu près d’un million d’albums de « la Femme chocolat » depuis 2005.
Alors, tout le monde la veut. L’occasion de la suivre lors de son marathon médiatique.
La Plaine-Saint-Denis, studio 107, vendredi, 14 heures. Ça commence mal. Dans les loges de l’émission « Au Field de la nuit » pour TF 1, la demoiselle se maquille, se coiffe... Dans le couloir, la productrice s’arrache gentiment les cheveux. « Tous les invités sont sur le plateau et attendent, il faudrait y aller, là. » Olivia Ruiz se glisse enfin dans une mini-robe crème et court les rejoindre. Ouf ! L’émission démarre, la chanteuse attend son tour, en essayant de maîtriser… une envie pressante. « Cela m’a pris dix minutes après le début. » Mais impossible de quitter le plateau avant son interview et sa version en guitare-voix du single « Elle panique » pour le plus grand bonheur de Michel Field : « J’aime le rapport d’Olivia à l’écriture : un côté occitan espagnol qui me rappelle Nougaro. »
Dans un taxi, Paris, 16 h 30. Petit point sur un planning plus chargé qu’à la sortie de « la Femme chocolat », entamée doucement en 2005. « Cette fois, je participe déjà à certaines émissions que j’ai décrochées seulement à la fin de la dernière tournée, comme Thé ou Café.
» La télé, Olivia connaît, elle qui a fait la première « Star Ac » en 2001. « Je l’ai découverte par le pire, aujourd’hui je fais de la télé saine. On ne m’invite pas pour racoler ou parler de ma vie privée. » En revanche, aller au casse-pipe face aux snipers de Ruquier, non merci. « Je suis courageuse mais pas téméraire, à moins de trouver une robe en forme de cible. »
Maison de la radio, 18 heures. Olivia Ruiz enchaîne des rendez-vous pour le Mouv’, la station rock de Radio France, dont « Mouv’ l’actu », magazine animé par Aïda Touihri. Les séquestrations de chefs d’entreprise, la loi contre le téléchargement illégal : l’artiste s’exprime mais garde ses distances. « Je n’ai pas un avis pertinent sur tout. Il y a une partie de mon discours politique que je veux garder privé. Les gens qui m’écoutent doivent conserver leur libre arbitre. Et moi je fais du divertissement. »
Europe 1, 21 heures. La chanteuse découvre le numéro des « Inrockuptibles » à paraître après-demain. Elle est en couverture et « raconte tout », annonce le journal des branchés. Moue perplexe de l’intéressée, néanmoins ravie. « C’est un gain de crédibilité énorme. Mais le truc qui me touche le plus, c’est une petite mamie qui vient m’aborder fébrilement dans un supermarché. » A 22 h 30, elle répète avec ses trois musiciens pour son premier live acoustique dans « On connaît la musique », l’émission de Thierry Lecamp sur Europe 1. Elle enchaîne en direct trois titres. L’artiste a le trac, comme Juliette Gréco à qui elle vient d’offrir deux superbes textes. « Elle m’a dit : Si tu as toujours envie de vomir, ne t’inquiète pas, moi aussi. » L’auditeur n’y a entendu que du feu. Seul couac, un minuscule oubli vestimentaire : « J’avais la braguette ouverte. Ça va, c’était de la radio. »
* « Miss Météores » Polydor, 15,99 €. En concert le 29 mai à Paris à l’Olympia (complet), les 18 et 19 novembre au Zénith, Le 7 mai à Reims, le 13 à Ramonville, le 14 à Montfavet, le 15 à Saint-Etienne. En tournée à partir du 21 octobre.
Vidéo: Olivia Ruiz en studio:http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafJKaG.html
Le nouvel album très attendu de la chanteuse, « Miss Météores », sort aujourd’hui. Vendredi, nous avons suivi pas à pas sa promo d’un plateau télé à une émission de radio.
Elle est partout. Elle le mérite bien. Depuis quelques jours, Olivia Ruiz occupe le terrain. Presse, radio, télé : la chanteuse défend son troisième album, le formidable « Miss Météores »*. Oublié la star academycienne rebelle. A 29 ans, l’artiste est devenue une interprète populaire, après avoir vendu près d’un million d’albums de « la Femme chocolat » depuis 2005.
Alors, tout le monde la veut. L’occasion de la suivre lors de son marathon médiatique.
La Plaine-Saint-Denis, studio 107, vendredi, 14 heures. Ça commence mal. Dans les loges de l’émission « Au Field de la nuit » pour TF 1, la demoiselle se maquille, se coiffe... Dans le couloir, la productrice s’arrache gentiment les cheveux. « Tous les invités sont sur le plateau et attendent, il faudrait y aller, là. » Olivia Ruiz se glisse enfin dans une mini-robe crème et court les rejoindre. Ouf ! L’émission démarre, la chanteuse attend son tour, en essayant de maîtriser… une envie pressante. « Cela m’a pris dix minutes après le début. » Mais impossible de quitter le plateau avant son interview et sa version en guitare-voix du single « Elle panique » pour le plus grand bonheur de Michel Field : « J’aime le rapport d’Olivia à l’écriture : un côté occitan espagnol qui me rappelle Nougaro. »
Dans un taxi, Paris, 16 h 30. Petit point sur un planning plus chargé qu’à la sortie de « la Femme chocolat », entamée doucement en 2005. « Cette fois, je participe déjà à certaines émissions que j’ai décrochées seulement à la fin de la dernière tournée, comme Thé ou Café.
» La télé, Olivia connaît, elle qui a fait la première « Star Ac » en 2001. « Je l’ai découverte par le pire, aujourd’hui je fais de la télé saine. On ne m’invite pas pour racoler ou parler de ma vie privée. » En revanche, aller au casse-pipe face aux snipers de Ruquier, non merci. « Je suis courageuse mais pas téméraire, à moins de trouver une robe en forme de cible. »
Maison de la radio, 18 heures. Olivia Ruiz enchaîne des rendez-vous pour le Mouv’, la station rock de Radio France, dont « Mouv’ l’actu », magazine animé par Aïda Touihri. Les séquestrations de chefs d’entreprise, la loi contre le téléchargement illégal : l’artiste s’exprime mais garde ses distances. « Je n’ai pas un avis pertinent sur tout. Il y a une partie de mon discours politique que je veux garder privé. Les gens qui m’écoutent doivent conserver leur libre arbitre. Et moi je fais du divertissement. »
Europe 1, 21 heures. La chanteuse découvre le numéro des « Inrockuptibles » à paraître après-demain. Elle est en couverture et « raconte tout », annonce le journal des branchés. Moue perplexe de l’intéressée, néanmoins ravie. « C’est un gain de crédibilité énorme. Mais le truc qui me touche le plus, c’est une petite mamie qui vient m’aborder fébrilement dans un supermarché. » A 22 h 30, elle répète avec ses trois musiciens pour son premier live acoustique dans « On connaît la musique », l’émission de Thierry Lecamp sur Europe 1. Elle enchaîne en direct trois titres. L’artiste a le trac, comme Juliette Gréco à qui elle vient d’offrir deux superbes textes. « Elle m’a dit : Si tu as toujours envie de vomir, ne t’inquiète pas, moi aussi. » L’auditeur n’y a entendu que du feu. Seul couac, un minuscule oubli vestimentaire : « J’avais la braguette ouverte. Ça va, c’était de la radio. »
* « Miss Météores » Polydor, 15,99 €. En concert le 29 mai à Paris à l’Olympia (complet), les 18 et 19 novembre au Zénith, Le 7 mai à Reims, le 13 à Ramonville, le 14 à Montfavet, le 15 à Saint-Etienne. En tournée à partir du 21 octobre.
Vidéo: Olivia Ruiz en studio:http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafJKaG.html
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]