Système de santé au Québec

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Placeress
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Re: Système de santé au Québec

Message par Placeress »

Nikki a écrit : [...]


Il arrive quoi si tu dis non?

Bien en fait...... pour les TSO, il y a deux règles qui se confrontent...... notre code de déontologie dit que nous pouvons refuser lorsque nous ne nous sentons pas en mesure de rester en TS.... mais une règle aussi stipule que nous ne pouvons pas laisser un ou des patients sans relève.

Bon, notre ordre professionnelle nous à écrit afin de nous prévenir que l'employeur (le gouvernement) ne peut pas utiliser la deuxième règle pour un manque de personnel connu à l'avance..... ce qui est tout de même le cas.

Donc, on peut refuser........ mais comme le dit Maya, si on quitte..... où c'est une autre infirmière qui devra rester en TSO.... ou ont laisse l'équipe en place s'occuper de tous les patients, ce qui n'est pas possible.... donc, on reste pour les patients, et pour notre équipe.....

Mais légalement, le TSO est non valable dans la forme où il est utilisé actuellement.....

On peut l'utiliser s'il y a une tempête de neige, et qu'une partie de l'équipe de relève ne peut pas entrer.... on peut l'utiliser pour des absences ponctuelles dans des conditions exeptionnelles..... mais dans sa forme actuelle, il n'est pas valable, puisque les établissements demandent aux infirmières d'effectuer du TSO alors que les manques de personnel sont connu depuis des semaines, voir des mois.....

Aussi, les jeunes infirmières ne savent pas qu'elles peuvent refuser de faire un TSO... donc, l'employeur en profite...... :/
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Rénatane
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Re: Système de santé au Québec

Message par Rénatane »

Bon la grève.....J'espère qu'on en arrivera pas la...... :( c'est encore nous au bloc opératoire qui écopperons......Car sur les étages et ailleurs ont doit respecter les services essentielles.....donc le personnel qui est déja la , mais au bloc , on ne fera que les urgences , donc une quarantaines d'infirmières sur le pictage et pas de salaires...... :(
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Placeress
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Re: Système de santé au Québec

Message par Placeress »

Rénatane a écrit : Bon la grève.....J'espère qu'on en arrivera pas la...... :( c'est encore nous au bloc opératoire qui écopperons......Car sur les étages et ailleurs ont doit respecter les services essentielles.....donc le personnel qui est déja la , mais au bloc , on ne fera que les urgences , donc une quarantaines d'infirmières sur le pictage et pas de salaires...... :(

Exactement.... quand j'étais dans les secteurs critiques, on avait plus de personnel en temps de grève car le patronat devrait respecter la lois sur les services essentiel qui est de 100 % du quotas.... mais s'il y a une grève, comme je suis en clinique, on va fermer.... donc, aucun salaire.....
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Nikki
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Re: Système de santé au Québec

Message par Nikki »

J'imagine qu'il faut l'avoir ancrée très fort la vocation pour persévérer dans ces conditions....

Chapeau :jap:
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Rénatane
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Re: Système de santé au Québec

Message par Rénatane »

Placeress a écrit : [...]



Exactement.... quand j'étais dans les secteurs critiques, on avait plus de personnel en temps de grève car le patronat devrait respecter la lois sur les services essentiel qui est de 100 % du quotas.... mais s'il y a une grève, comme je suis en clinique, on va fermer.... donc, aucun salaire.....
ah oui les cliniques , vous aussi :(
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Placeress
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Re: Système de santé au Québec

Message par Placeress »

Rénatane a écrit : [...]

ah oui les cliniques , vous aussi :(

Habituellement, les syndicats payent les employés en grève...... mais pas nous..... on se fait rembourser environ 1 an plus tard.... tk, c'est ce qui s'est passé la dernière fois.... j'espère qu'ils ont prévu le coups cette fois...
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maya213
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Re: Système de santé au Québec

Message par maya213 »

Placeress a écrit : [...]



Habituellement, les syndicats payent les employés en grève...... mais pas nous..... on se fait rembourser environ 1 an plus tard.... tk, c'est ce qui s'est passé la dernière fois.... j'espère qu'ils ont prévu le coups cette fois...
Nous on est considéré comme unité spéciale.. donc pas le choix d'avoir l'équipe complète.. on est toujours à l'équipe de base de toute façon, sauf quand il y a débordement..

Mais bon.. C'est pénible pour toutes les autres sans salaire.. et quand on ignore en prime ce que le gouvernement va faire pour nous pénaliser encore plus ou juste nous écoeurer davantage :(
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Anya
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Re: Système de santé au Québec

Message par Anya »

Santé
45% des diplômés quittent le Québec

Sébastien Ménard
Le Journal de Montréal
03/05/2010 04h59

Un grand nombre de médecins formés à l'Université McGill aux frais des contribuables québécois continuent de fuir la province au terme de leurs études.

Des statistiques fournies par l'Association des facultés de médecine du Canada (AFMC) révèlent que 45 % des diplômés de la Faculté de médecine de McGill avaient quitté le Québec, en juillet 2009, deux ans après avoir complété leur résidence.

Même si cela semble élevé, cette proportion est en baisse par rapport aux statistiques révélées par le Journal l'an dernier.

En juillet 2008, c'était plutôt 52% des diplômés de McGill qui avaient choisi de pratiquer la médecine ailleurs qu'au Québec.

Environ 6,7 M$

Les médecins formés à McGill et qui désertent le Québec s'installent principalement en Ontario. Mais 13% d'entre eux exercent leur profession aux États-Unis ou ailleurs dans le monde, selon les statistiques de l'AFMC.

L'an dernier, le ministère de l'Éducation avait indiqué que la formation de chaque étudiant en médecine coûtait près de 160 000 $ aux contribuables québécois, «peu importe leur provenance géographique.»

Cela représente une facture d'environ 6,7 M$ pour les 42 diplômés de McGill qui avaient quitté la province, en juillet 2009.

Même si les frais de scolarité sont plus élevés pour les étudiants provenant de l'extérieur du Québec, ils ne couvrent qu'une partie des coûts de leur formation.

Au bureau du ministre de la Santé, Yves Bolduc, on dit être au courant de la situation qui prévaut à l'Université McGill. «On connaît la situation et on essaie de faire mieux pour retenir davantage de diplômés dans la province», dit l'attachée de presse du ministre, Karine Rivard.

«À McGill, il peut y avoir certains étudiants qui viennent de l'extérieur et qui souhaitent retourner vers leur province d'origine, souligne-t-elle. Les étudiants peuvent travailler plus aisément dans les provinces de langue anglaise.»

12 médecins de plus par an

Karine Rivard se dit un peu «surprise» par les statistiques de l'AFMC, puisqu'une récente étude du Ministère démontrerait que 83% des médecins résidents s'installent au Québec après leur formation, toutes universités confondues.

Mais selon cette même étude, le taux atteindrait seulement 65 % à McGill, avoue Mme Rivard.

Malgré les départs de certains diplômés, le Québec accueille en moyenne 12 médecins de plus qu'il n'en perd chaque année, soutient Karine Rivard. «En 1997, on perdait 80 médecins par année, dit-elle. Il y a beaucoup d'efforts qui ont été faits.»

* Les diplômés de McGill sont plus nombreux à demeurer au Québec lorsqu'ils y effectuent aussi leur résidence. Selon l'AFMC, deux tiers des médecins résidents qui complètent leur formation dans cette université restent dans la province, deux ans plus tard.

* Au total, 27 % des diplômés en médecine des universités québécoises exercent leur profession à l'extérieur de la province, deux ans après leur résidence. Mais cette statistique tient compte des données de l'Université de Sherbrooke, où une partie des étudiants fréquentent le centre de for mation de Moncton, au Nouveau-Brunswick, précise Steve Slade de l'AFMC.

Avec la collaboration de Jonatan Larochelle, notre recherchiste à Ottawa

http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/a ... 45900.html" onclick="window.open(this.href);return false;
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Anya
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Re: Système de santé au Québec

Message par Anya »

Santé
36 heures sur 72 à l'hôpital
Éric Yvan Lemay
Le Journal de Montréal
11/05/2010 05h42

Alors que la direction assure que la situation s'améliore, une infirmière a effectué 36 heures de travail en fin de semaine et une autre a passé 16 heures à l'hôpital le jour de la fête des Mères.

«C'est des mères, même si leurs enfants sont grands», dit une infirmière qui préfère garder l'anonymat. «Si elles n'avaient pas accepté de le faire, d'autres auraient été forcées de le faire.»

Selon les informations obtenues par le Journal, une infirmière du département de pédiatrie a dû faire trois jours de suite des quarts de douze heures plutôt que huit. Une autre a dû faire deux quarts de seize heures entre vendredi et dimanche.

«On rentre à la maison et on a envie de pleurer», dit l'infirmière, qui ne veut pas être nommée par crainte de représailles.

«Ça se répète quotidiennement, ce n'est plus une situation qui ne se produit que les fins de semaine, mais même la semaine, on se fait demander, pour ne pas dire harceler, pour faire du TS (temps supplémentaire).»

Des solutions à l'étude

La direction reconnaît que la situation n'est pas idéale, mais dit travailler pour l'améliorer. «C'est une situation qui n'est pas souhaitable. On souhaite en arriver à des solutions», dit la directrice des ressources humaines par intérim, France Lavoie- Marcotte.

Vendredi dernier, le syndicat a fait une proposition à la direction pour faire du rehaussement de postes. La direction dit qu'elle doit également ajuster ses effectifs en fonction d'une hausse de la demande pour des soins.

Malgré tout, on souligne que parmi 22 établissements comparables, on se retrouve au huitième rang parmi ceux qui font le moins de temps supplémentaire.

Attention aux excès

À l'Ordre des infirmières du Québec, la présidente Gyslaine Desrosiers refuse de commenter le cas précis, mais indique que les infirmières doivent être prudentes quand elles acceptent de faire beaucoup de temps supplémentaire.

«L'infirmière doit répondre à son code de déontologie qui dit qu'elle doit être dans un état de santé compatible avec la profession. Elle doit être particulièrement en forme, mais je ne peux pas tirer de conclusions», dit-elle. «Ça peut paraître surprenant, je l'avoue, mais ça ne veut pas dire qu'elle est dangereuse pour autant.»

Il n'existe pas de normes provinciales à ce sujet, reconnaît-elle, invitant toutefois les employeurs et les infirmières qui acceptent du temps supplémentaire à faire preuve de gros bon sens. «Dans le contexte actuel, il y a des infirmières qui acceptent de faire beaucoup d'heures et certaines font des revenus incroyables. Mais il ne faut pas que ce soit au détriment de la qualité.»

* Le syndicat local affilié à la FIQ a tenu une manifestation qui a réuni quelques dizaines d'infirmières, samedi.

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Anya
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Re: Système de santé au Québec

Message par Anya »

Santé
Des bonis aux médecins pour garder les urgences ouvertes
Mise à jour : 11/05/2010 08h03

Garder les urgences ouvertes durant l'été coûte cher. Pour éviter que des urgences soient forcées de fermer, le ministère de la Santé offre aux médecins omnipraticiens des bonis de près de 4000$ par semaine qui s'ajoutent à leur rémunération.

Depuis le 5 mai, un avis de la RAMQ a été distribué auprès des médecins de famille pour recruter des volontaires dans l'espoir de prévenir d'éventuelles ruptures de services.

C'est la sixième année de suite que le gouvernement doit signer ce genre d'entente avec la Fédération des médecins omnipraticiens (FMOQ). En plus du montant forfaitaire de 3915$, on paie aussi des frais de déplacement et le temps passé dans ces déplacements.

Quelques heures d'avis

Pour le médecin qui aurait engagé sa disponibilité et qui n'est pas appelé à faire des remplacements, un montant compensatoire hebdomadaire de 4545$ est prévu. Depuis quelques années, plusieurs urgences se retrouvent en manque de docteurs durant la période des congés estivaux.

«On appelle ça l'entente pompier parce qu'on a ces médecins-là en réserve pour éviter une rupture de services à la dernière minute. Par exemple, si un médecin est malade dans un établissement en grande difficulté et qu'ils n'ont pas trouvé de médecin dépanneur», explique le président de la FMOQ, le Dr Louis Godin.

Un omnipraticien peut ainsi être envoyé à Baie-Comeau, Saint- Jérôme ou Matane à quelques heures d'avis.

L'entente de service couvre la période du 21 juin au 5 septembre 2010, mais c'est la période entourant les vacances de la construction qui est souvent la plus critique. «À ce moment, il y a des établissements plus précaires et on ne peut pas se permettre que ça pète», dit-il.

Pas assez de volontaires

Ainsi, pendant une bonne partie de l'été, on garde deux médecins sur l'entente «pompier». «Malgré ça, il arrive qu'on a des semaines à découvert, qu'on ne trouve pas de médecins. Dans ce temps-là, on se croise les doigts», indique le Dr Godin.

Cette situation perdure à cause de la grande pénurie de médecins omnipraticiens. Au Québec, 2400 des 2500 médecins qui pratiquent à l'urgence sont des médecins de famille.

Au ministère de la Santé, on reconnaît que la situation est problématique, mais qu'une telle entente permet d'éviter le pire. «C'est moins grave d'année en année. On a vécu des années vraiment difficiles vers 2003, mais, en même temps, on doit s'assurer d'offrir les services sur tout le territoire », dit la porte-parole, Karine White.

Pour le Dr Godin, le phénomène a évolué. «Avant, c'était souvent les urgences les plus éloignées où il y avait le plus de crises; maintenant ça se rapproche des grands centres comme à Lachute, Saint-Eustache ou Saint-Jérôme», cite-t-il en exemples.

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Re: Système de santé au Québec

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Publié le 12 mai 2010 à 05h00 | Mis à jour à 09h42
Les médecins de famille lancent une campagne choc

Sara Champagne
La Presse

La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) brise avec sa tradition de discrétion en lançant un court-métrage choc sur l'état de la médecine familiale. Le documentaire sera diffusé à compter d'aujourd'hui sur YouTube dans le cadre d'une vaste campagne dans les médias sociaux et traditionnels qui s'étendra jusqu'aux salles de cinéma.

Le court-métrage de neuf minutes, intitulé Diagnostic, présente cinq médecins de famille durant une journée de travail typique.

http://www.youtube.com/medecindefamille" onclick="window.open(this.href);return false;

On y voit notamment le Dr Claude Rivard, omnipraticien dans la fin de la quarantaine qui pratique aux soins intensifs de l'hôpital Pierre-Boucher, en Montérégie. La Dre Guylaine Laguë, qui pratique en obstétrique à Drummondville, explique qu'elle sait quand ses journées commencent mais jamais quand elles vont se terminer. Il y a aussi le Dr Bill Barakett, qui, à l'âge de la retraite, a du mal à trouver de la relève pour son millier de patients atteints de maladie chronique.

Les cinq médecins, qui pratiquent qui en cabinet, qui aux urgences, qui en CLSC ou à domicile, se désolent des délais, souvent de plusieurs semaines, que doivent endurer leurs patients pour obtenir une consultation.

En plus de la campagne publicitaire d'un mois, la FMOQ ouvrira aujourd'hui une page Facebook «pour les Québécois sans médecin de famille». Les gens qui en deviendront membres pourront y donner leur opinion, appuyer les médecins ou revendiquer de meilleurs soins de santé. Mais la page n'aura évidemment pas le pouvoir de trouver un médecin de famille aux gens qui n'en n'ont pas.

Le Dr Louis Godin, président de la FMOQ, a rappelé lors d'un entretien avec La Presse, cette semaine, qu'il manque 1100 médecins présentement au Québec. «Si rien n'est fait, dit-il, on va frapper un mur. Il y a quelques années, la pénurie de médecins de famille ne concernait que les grandes villes. Maintenant, toutes les régions de la province sont touchées.»

En négociations

Cette campagne survient alors que les médecins sont en négociations avec le gouvernement de Jean Charest, un peu plus de deux ans après la publication par la FMOQ d'un énoncé de principes pour une «politique nationale sur la médecine familiale». Au centre des enjeux : la formation des médecins de famille, une meilleure organisation des soins et la rémunération. À ce chapitre, les omnipraticiens soulignent qu'ils gagnent 55 % de moins que les spécialistes au Québec - rien pour attirer les candidats vers la médecine familiale plutôt qu'une spécialité.

À la FMOQ, on déplore par ailleurs le fait que les facultés universitaires dénigrent la médecine familiale. Pour remédier à cela, on a déjà proposé une série de recommandations au gouvernement, dont un stage d'observation obligatoire au cours de la première année d'étude en médecine familiale.

«L'argent n'est pas le seul problème, précise le Dr Godin. Nous ne sommes pas parvenus à combler 250 postes en résidence au cours des quatre dernières années. Je ne peux pas croire que le gouvernement et le ministre de la Santé, Yves Bolduc, soient insensibles aux besoins en médecine familiale, avec la nécessité d'investir dans les soins de première ligne.»
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Dernière modification par Anya le mer. mai 12, 2010 11:51 am, modifié 1 fois.
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Anya
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Re: Système de santé au Québec

Message par Anya »

Publié le 13 mai 2010 à 10h41 | Mis à jour à 22h33
Le réseau de la santé mal adapté à la hausse des maladies chroniques

Denis Lessard
La Presse

Le réseau québécois de la santé n'est pas bien adapté à l'augmentation du nombre de malades chroniques, déplore le commissaire à la santé et au bien-être, Robert Salois.

Dans son second rapport annuel, déposé hier à l'Assemblée nationale, le commissaire Salois brosse aussi un tableau bien mitigé de la qualité des soins offerts dans les établissements québécois. Pour lui, il faut «revoir la façon dont nous dispensons les soins et mieux évaluer la pertinence des services donnés».

La performance du réseau de santé québécois «demeure sous la moyenne canadienne», et le Québec «perd du terrain comparativement aux autres provinces». Par rapport à d'autres pays - les pays d'Europe, les États-Unis et la Nouvelle-Zélande -, le Québec accuse des «retards importants quant aux meilleures façons d'organiser les soins».

Cette année, le commissaire s'est penché plus particulièrement sur le phénomène des maladies chroniques, qui occupent de plus en plus les professionnels du réseau. Cinq pour cent des malades mobilisent la moitié des soins, une réalité nouvelle amenée par les progrès de la médecine, qui ont amélioré la longévité. Désormais, 53% de la population est atteinte de maladie chronique, et bien des gens ont plusieurs maladies en même temps. Les soins que requièrent ces malades représentent 65% des coûts du système de santé.

D'autre part, le commissaire constate une amélioration des habitudes de vie au Québec, même si le taux d'obésité rattrape celui des autres provinces canadiennes. Dans l'ensemble, la réponse aux maladies chroniques s'est améliorée, sauf pour le cancer et le diabète.

Sous l'angle de la prévention, le Québec obtient une note moyenne comparativement au reste du Canada. C'est au Québec que les infirmières interviennent le moins pour les maladies chroniques - 20% au Québec, contre 26% en Ontario. Au Royaume-Uni, les infirmières sont deux fois plus sollicitées pour la gestion des maladies chroniques.

Le rapport révèle même la performance relative des régions. À Montréal, les taux de cancer sont les plus bas du Québec. Le cancer du poumon, par exemple, atteint 73,8 Montréalais sur 100 000; c'est 10 cas de moins que la moyenne québécoise. Les résultats sont moins bons pour les maladies respiratoires chroniques et le diabète, où la métropole a le moins bon score de toutes les régions disposant d'un hôpital universitaire.

C'est au Québec qu'on éprouve le plus de difficulté à avoir accès aux soins autrement qu'en passant par les urgences. Ainsi, 61% des Québécois jugent qu'il est très ou assez difficile d'entrer dans le système par une autre porte que les urgences. Les Canadiens sont du même avis dans une proportion de 55%, et 34% des Allemands pensent la même chose.

Le Québec fait mauvaise figure aussi dans l'utilisation des dossiers électroniques, dont on se sert une fois sur cinq, soit deux fois moins qu'en Ontario. En Europe, ces dossiers servent dans la très grande majorité des cas. C'est encore au Québec qu'il est le plus difficile d'obtenir une liste complète de tous les médicaments pris par un patient. Le coût des soins est un obstacle à leur accessibilité pour 17% des patients seulement, un score comparable à la moyenne canadienne, et deux fois moins élevé qu'aux États-Unis.

Selon M. Salois, le système québécois, conçu «autour des médecins et de l'hôpital», vise avant tout à soigner des patients qui éprouvent un problème de santé aigu et temporaire. Le système n'est pas conçu pour le patient qui, diabétique à 35 ans, aura besoin de soins toute sa vie, observe-t-il.

Quant au projet du gouvernement d'imposer une «franchise» à l'utilisation des services de santé, M. Salois ne cache pas sa réticence: cette méthode ne réduit pas la pression sur la demande, selon lui. Dans une consultation faite auprès de 200 spécialistes sur les façons d'améliorer le système, «personne n'a recommandé un ticket modérateur», observe-t-il. Selon le Dr Jean-Frédéric Lévesque, commissaire adjoint à l'appréciation et à l'analyse, un tel système aurait à coup sûr un impact négatif sur l'accès aux soins. Cette mesure pourrait même avoir des effets néfastes, selon le Dr Lévesque.

«S'il y a des gens qui consultent de manière inappropriée, il y aussi des gens qui auraient besoin de soins et qui, face à certaines dépenses complémentaires, pourraient retarder ou même ne pas obtenir du tout leurs services. Évidemment, lorsque les gens retardent leurs services, nous nous inquiétons», a expliqué le Dr Lévesque.

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Re: Système de santé au Québec

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Publié le 14 mai 2010 à 07h43 | Mis à jour à 07h45
Le Dr Yves Lamontagne tire sa révérence

Sara Champagne
La Presse

Le Dr Yves Lamontagne, président du Collège des médecins du Québec depuis 12 ans, annoncera aujourd'hui qu'il tire sa révérence, a appris La Presse. Il en fera l'annonce à Montréal, dans le cadre d'un colloque annuel dont l'ouverture a été confiée au ministre de la Santé, Yves Bolduc.

Selon nos sources, le Dr Lamontagne aurait l'intention de rester en poste jusqu'à la fin de son troisième mandat, au mois d'octobre prochain. Des médecins seraient déjà en train de se positionner pour assurer sa succession à ce poste hautement politique.



Joint en fin de journée hier, le Dr Lamontagne n'a pas nié qu'il ne solliciterait pas de nouveau mandat. Sans vouloir s'aventurer dans les détails, il a expliqué qu'il ferait part de ses «réflexions» sur la profession au moment de l'annonce officielle de son départ.

Le président du Collège des médecins du Québec est élu pour quatre ans par les membres du conseil d'administration, dont il doit faire partie. Chaque année, il est appelé à rendre des comptes en assemblée générale.

Psychiatre formé dans une grande institution d'enseignement de Londres, le Dr Lamontagne a été élu pour la première fois en 1998. Il est le premier psychiatre au Canada à avoir instauré des programmes de recherche et d'enseignement sur les techniques de thérapie comportementale. Il a participé à la création du Centre de recherche Fernand-Seguin en psychiatrie et de la Fondation des maladies mentales.

Reconnu pour son franc-parler, le Dr Lamontagne ne s'est jamais gêné pour critiquer le réseau de la santé quand il estimait qu'il le fallait, notamment lorsque les services privés ont commencé à prendre leur essor.

Ticket modérateur

Dans la foulée du récent projet du gouvernement d'imposer un ticket modérateur aux patients, le Dr Lamontagne a également clairement indiqué qu'il ne fallait pas financer le réseau en puisant davantage dans les poches des contribuables. Il a aussi appelé à un débat sur la santé au Québec pour remédier à la pénurie de médecins de famille et à la crise dans les urgences.

Au colloque d'aujourd'hui, organisé par le Dr Lamontagne lui-même sur le thème Les choix des médecins répondent-ils aux besoins des patients?, de nombreux médecins influents seront présents, dont l'urgentologue Alain Vadeboncoeur, représentant de l'Association des médecins pour un régime public. Même s'il n'a pas confirmé sa présence, Gaétan Barrette, président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ), est aussi attendu, de même que des dirigeants du ministère de la Santé, dont le Dr Michel Bureau, chef de la Direction des services de santé et de la médecine universitaire.

À l'occasion du colloque, un prix sera décerné au vice-doyen aux études médicales prédoctorales de la faculté de médecine de l'Université de Sherbrooke, le Dr Paul Grand'Maison.

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Re: Système de santé au Québec

Message par Anya »

Publié le 23 mai 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

Des candidats refusés dans des établissements de santé de la Chaudière-Appalaches

Ian Bussières
Le Soleil

(Québec) En matière de santé mentale, les établissements de santé de la région de la Chaudière-Appalaches ne pratiqueraient pas toujours ce qu'ils prêchent. Plusieurs personnes qui auraient tenté de se faire embaucher dans des établissements de la région 12 depuis l'automne auraient vu leur candidature être rejetée en raison d'un dossier médical passé relié à la santé mentale.

La situation est suffisamment sérieuse pour que l'A-Droit, l'organisme de défense des droits des personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale dans la Chaudière-Appalaches, écrive à la pdg de l'agence de la santé et des services sociaux régionale afin de lui demander de faire cesser cette pratique.

«Nous avons reçu plusieurs demandes, particulièrement depuis l'automne dernier, de personnes ayant effectué des démarches afin de se faire embaucher, que ce soit à titre d'employé régulier ou comme stagiaire, dans le réseau de la santé en Chaudière-Appalaches. On a refusé un emploi à ces personnes relativement à leur dossier médical passé relié à la santé mentale», signale François Winter, coordonnateur de l'A-Droit.

Il ajoute que d'autres organismes comme le sien ont fait le même constat dans leurs régions respectives.

«Nous avons été extrêmement surpris et choqués que de telles contraintes existent, car il est de notoriété publique que le réseau de la santé manque de personnel ces années-ci», poursuit-il.

François Winter précise que les personnes qui ont fait appel à l'aide de l'A-Droit avaient un problème de santé mentale reconnu, mais qu'elles étaient, selon leur médecin, dans une condition leur permettant d'exercer leur profession. Elles hésiteraient cependant à intenter des recours devant les tribunaux, craignant des conséquences négatives pour leur

carrière.

«Leurs démarches de recherche d'emploi se sont révélées infructueuses et on leur a laissé entendre que c'était relatif à leur dossier psychiatrique, bien qu'aucune personne ne se soit fait confirmer par écrit cette situation», poursuit-il en rappelant que l'article 16 de la Charte des droits et libertés stipule que refuser un emploi à quelqu'un sous prétexte qu'il a un passé psychiatrique peut constituer de la discrimination dans l'embauche.

L'A-Droit dénonce le système de deux poids, deux mesures qui existerait dans le réseau de la santé. «Un employé du réseau de la santé qui quitte en congé de maladie en raison d'un problème de santé mentale peut reprendre son poste après son congé», souligne M. Winter.

«Nous n'avons jamais été informés qu'une personne avait été congédiée en raison d'une problématique de santé mentale. Un tel congédiement aurait de toute manière été inacceptable. Quelle est la différence entre l'embauche d'une personne qui avait une problématique avant son emploi et une autre qui la développe durant son emploi dans le réseau de la santé?» se demande-t-il.

François Winter rappelle aussi que le Plan d'action en santé mentale 2005-2010 du ministère de la Santé et des Services sociaux fait référence à la lutte contre la stigmatisation de même qu'à la mise en place de pairs aidants dans les équipes de santé mentale des établissements de santé.

«Parfois, le bras droit fait le contraire du bras gauche!» illustre-t-il.

«Puisque les politiques gouvernementales font une place à l'intérieur du réseau de la santé pour les personnes ayant un diagnostic psychiatrique, pourquoi certains établissements refusent-ils d'embaucher ces personnes?»

En plus de ses démarches auprès de l'Agence de santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches, l'A-Droit a également l'intention d'effectuer des actions publiques au cours des prochaines semaines afin de sensibiliser la population à cette situation.

L'Agence régionale de la santé et des services sociaux de Chaudière-Appalaches a confirmé hier réception de la lettre de l'A-Droit et a signalé que la question serait abordée lors de la prochaine assemblée vendredi.

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Cass!
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Re: Système de santé au Québec

Message par Cass! »

Reste a savoir quel était ses problemes de santé psychiatrique.

Je ne suis pas d'accord avec ce qu'ils disent, normal qu'un employé qui développe un probleme APRES son engagement on ne le met pas dehors mais on courra surement pas apres le trouble d'aller engager quelqu'un qui est susceptible de se retrouver en congé de maladie a cause d'un probleme assez grave.

Normal qu'on effectue une sélection ce n'est pas parce que on manque de personnel qu'on doit engagé n'importe qui.

Je l'ai vécu moi en 2000 dans le monde de la petite enfance, un paquet de place a 7$ avait été ouverte d'un seul coup et beaucoup de pression avait été mis pour les distribué le plus rapidement possible, par la suite un nombre annormalement élevé d'éducatrice ont du etre suivis de tres pres parce qu'elle ne rencontrais pas vraiment les criteres mais un coup entrée dans le systeme les faires sortir était tres difficile, ca prenait un dossier tres étoffer pour retirer l'accréditation. Il était clair que les accréditations avait été distribué tres largement et a des éducatrices qui ne les auraient pas eux si ce n'avait été du besoin de crée le plus de place a 7$ possible.

Je ne souhaite vraiment pas qu'une telle situation se reproduise dans le systeme de santé simplement sous prétexte qu'on manque de personnel voyons ca fait pas de sens.
Dernière modification par Cass! le dim. mai 23, 2010 3:10 pm, modifié 2 fois.
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Placeress
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Re: Système de santé au Québec

Message par Placeress »

Avoir eu un problème de santé mentale est très vaste comme terme...

Une femme, homme qui a vécu une dépression majeure ou situationnelle est considéré comme ayant eu un problème de santé mentale... alors que dans les faits, une fois remis, tout est ok....

C'est dans ce sens qu'on parle de discrimination... et c'est tout à fait ok qu'on s'en préoccupe...
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Soleil47
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Re: Système de santé au Québec

Message par Soleil47 »

Une personne (homme ou femme) qui a eu des problèmes de santé mental, ne veut pas dire automatiquement qu'elle n'est pas en condition de travailler, une fois remis (se), de soit: burnout, dépression situationnelle, etc...

S'il fallait mettre de côté tous les employés qui ont eu ce genre de problème, ce serait la catastrophe.

Oui, c'est de la discrimination, ce n'est pas engager n'importe qui, puisque ces personnes ont les qualifications requises pour occuper le poste et c'est pas parce que tu as eu une dépression que tu en feras nécessairement une autre.

Entre ne pas engager une personne qui ne possède pas les critères de base et engager quelqu'un qui a déjà fait ce travail et qui a été malade, il y a (selon moi) une grosse marge.
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Cass!
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Re: Système de santé au Québec

Message par Cass! »

C'est pour cela que je me suis dit que surement les raisons étaient plus grave qu'une simple dépression.

Je me demandais a un endroit dans l'article on parle de dossier psychiatrique, quelqu'un qui fait un burn out a-t-il absoluement un "dossier psychiatrique" ou bien ce terme est directement relié a quelqu'un qui a été assez malade pour devoir consulté en psychiatrie?

Une personne qui fait une dépression ou un burn out bien souvent n'est vu que par son médecin de famille et n'a pas nécessairement besoin de voir un psychiatre est ce que a ce moment la on peu parlé de "dossier psychiatrique"?

C'est sur que si on parle d'etre refusé pour une simple dépression je connais plein de gens qui ont fait des dépression et qui sont tout a fait remis sans récidive par la suite, ce n'est pas un critere pour etre refusé dans un emploi a moins de récidive sévere qui revienent chaque année avec des arrets de travail répété dans les dernieres année je comprendrais un employeur de ne pas vouloir mais une simple dépression non c'est sur que ce n'est pas un motif pour refusé une candidature.
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Placeress
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Re: Système de santé au Québec

Message par Placeress »

Cass! a écrit : C'est pour cela que je me suis dit que surement les raisons étaient plus grave qu'une simple dépression.

Je me demandais a un endroit dans l'article on parle de dossier psychiatrique, quelqu'un qui fait un burn out a-t-il absoluement un "dossier psychiatrique" ou bien ce terme est directement relié a quelqu'un qui a été assez malade pour devoir consulté en psychiatrie?

Une personne qui fait une dépression ou un burn out bien souvent n'est vu que par son médecin de famille et n'a pas nécessairement besoin de voir un psychiatre est ce que a ce moment la on peu parlé de "dossier psychiatrique"?

C'est sur que si on parle d'etre refusé pour une simple dépression je connais plein de gens qui ont fait des dépression et qui sont tout a fait remis sans récidive par la suite, ce n'est pas un critere pour etre refusé dans un emploi a moins de récidive sévere qui revienent chaque année avec des arrets de travail répété dans les dernieres année je comprendrais un employeur de ne pas vouloir mais une simple dépression non c'est sur que ce n'est pas un motif pour refusé une candidature.

Pour une dépression majeure, ou encore, un bunr out, terme plus cute pour dire..... dépression majeure.. peuvent facilement avoir un dossier p^suchiatrique, puisqu'une dépression majeure, si la personne à un bon médecin de famille, va être généralement référé à un psychiatre.... une dépression majeure étant plus grave qu'une dépression situationnelle.

Lorsqu'il y a idées suicidaires ou autre... un psychiatre est de mise généralement.... et oui, on parle d'un DX en santé mentale... dès qu'il y a un diagnostique du type....

Un problème en santé mentale, dans le DSM, (bible médicale du diagnostique mdicale), tout DX de santé mentale entre dans ce groupe... dépression majeure, trouble d'adaptation (anciennement dépression situationnelle, etc..) Même, dépression post-partum... entre dans un DX en santé mentale....
Dernière modification par Placeress le dim. mai 23, 2010 5:13 pm, modifié 1 fois.
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Cass!
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Re: Système de santé au Québec

Message par Cass! »

merci pour les éclaircissements :) .
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