Trauma......radio-canada
Modérateur : Elise-Gisèle
Re: Trauma......radio-canada
Julie tombe enceinte. Voici le père de son enfant.
- geneviève-2
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Re: Trauma......radio-canada
lol mdrmatou19 a écrit : Julie tombe enceinte. Voici le père de son enfant.
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Trauma......radio-canada
KESSÉ..dernier épisode de l,année ..?? ..:ça vient juste de commencer...et les intrigues sont encore toutes là ..c,est baclé ..ou c,est pareil comme quand on a le temps de juste lire 2-3 pages de resumé dans une salle d'attente de dentiste. .
- parlezenpas
- Illustre Pie
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Re: Trauma......radio-canada
Mon dieu,ça a bien mal fini! le pere de julie qui se suicide mais pourquoi? Et elle est enceinte de qui?
Un autre téléroman qui va se terminer en queue de poisson.
Un autre téléroman qui va se terminer en queue de poisson.
Re: Trauma......radio-canada
Spécial quand même... Le gars reçoit des injections dans les testicules et il ne se réveille même pas
Edit : Ah okay! Je viens de catcher que le doc castrateur a dû lui administrer de quoi pour l'endormir juste avant
Edit : Ah okay! Je viens de catcher que le doc castrateur a dû lui administrer de quoi pour l'endormir juste avant
Dernière modification par Zarmela le mer. mars 09, 2011 12:48 pm, modifié 1 fois.
Re: Trauma......radio-canada
Pour moi, il n'y a pas de doute, elle est enceinte de son mari.parlezenpas a écrit : Mon dieu,ça a bien mal fini! le pere de julie qui se suicide mais pourquoi? Et elle est enceinte de qui?
Un autre téléroman qui va se terminer en queue de poisson.
Son père s'est suicidé parce qu'il n'est pas bien, c'est évident.
Trauma sera de retour l'an prochain.
Lison de Gatineau
Re: Trauma......radio-canada
zzz zzz zzzz
Re: Trauma......radio-canada
James Hyndman a dit ce matin à la radio que ce n'était pas officiellement confirmé pour le retour l'an prochain, même s'il y avait de bonnes chances que ca arrive
Re: Trauma......radio-canada
Ca serait vraiment trop ordinaire qu'il n'y ait pas de suite.. Ca m'énerve quand les émissions terminent tout croche de meme..
Re: Trauma......radio-canada
Skarhet a écrit : Retour de Trauma pour une 3e saison
Spectacles - Télévision Rue Frontenac.com
Écrit par Pascale Lévesque
Jeudi, 27 janvier 2011 17:12
La salle d’urgence de l’hôpital Saint-Arsène créée par Fabienne Larouche sera de nouveau de service pour une troisième fois. La productrice a confirmé avoir eu le OK de la société d’État pour une troisième saison de Trauma, ce que la SRC a corroboré.
Il faut dire que la seconde saison de la série, en ondes depuis la première semaine de janvier, conserve une bonne cote de popularité chez les téléspectateurs. Les quatre derniers épisodes ont rassemblé une moyenne de 872 000 fidèles. Et ce ne sont que les calculs faits à partir des données préliminaires de BBM, qui ne comprennent pas l’écoute en rattrapage.
L'équipe des comédiennes et comédiens de la populaire série.
L’épisode mettant en vedette Karine Vanasse dans la peau d’une jeune femme assez troublée, qu’on croit victime d’une agression lorsqu’elle débarque à l’urgence, a été le plus regardé, avec 1 087 000 téléspectateur – en données confirmées, cette fois –, ce qui en a fait la 9e émission parmi les plus regardées du petit écran entre le 10 et le 16 janvier.
Radio-Canada avait annoncé il y a quelques jours le retour de plusieurs de ses émissions, dont Mirador, tel que révélé par La Presse, Les Boys, L’Auberge du chien noir, Providence, Les Parent, Mauvais karma du côté des dramatiques, ainsi que Les Lionnes et Pour le plaisir du côté des émissions de service.
Je remonte
Lison de Gatineau
Re: Trauma......radio-canada
James Hyndman en avait fumé du bon dans ce cas
Re: Trauma......radio-canada
Excuse-moi, Malinnix, ç'a été plus fort que moi.Malinnix a écrit : James Hyndman en avait fumé du bon dans ce cas
Re: Trauma......radio-canada
C'est quoi il fait au juste le doc castrateur Pas certaine de bien comprendre hihihi
Re: Trauma......radio-canada
Le doc, après lui avoir injecté un produit pour que Martel s'endorme, il lui a injecté un produit directement dans les testicules, je crois et celles-ci deviendront nécrosées, finies, séchées, atrophiées, autrement dit! Je crois bien que sa carrière de violeur vient de se terminer là!
[color=#0040BF]Toute porte de sortie, est une porte d'entrée pour autre chose.[/color]
- lllBeautifulll
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Re: Trauma......radio-canada
Trauma reviendra sûrement, oubliez pas que c'est écrit par la Papesse de la SRC, celle qui y fait depuis de nombreuses années la pluie et le beau temps.
En audition, Ron Jeremy a toujours une ''longueur d'avance'' sur le autres.
Re: Trauma......radio-canada
Gaffe a écrit : Le doc, après lui avoir injecté un produit pour que Martel s'endorme, il lui a injecté un produit directement dans les testicules, je crois et celles-ci deviendront nécrosées, finies, séchées, atrophiées, autrement dit! Je crois bien que sa carrière de violeur vient de se terminer là!
Merci de l'explication.. Ben bon pour lui
Re: Trauma......radio-canada
Louise Cousineau «n’entend pas» à rire!
Notre chroniqueuse télé préférée s’insurge cette semaine contre le manque de clarté de certaines émissions, comme Trauma, dont les comédiens, qui marmonnent sous un masque chirurgical, nous font perdre bien des répliques. Mme Cousineau se plaît toutefois à mentionner quelques émissions particulièrement bien montées qui prouvent qu’il n’est pas nécessaire de pratiquer la confusion volontaire pour garder une aura de mystère.
http://www.tvhebdo.com/" onclick="window.open(this.href);return false;
Demain je vais revenir ici vous poster cet article de la Cousineau.
Notre chroniqueuse télé préférée s’insurge cette semaine contre le manque de clarté de certaines émissions, comme Trauma, dont les comédiens, qui marmonnent sous un masque chirurgical, nous font perdre bien des répliques. Mme Cousineau se plaît toutefois à mentionner quelques émissions particulièrement bien montées qui prouvent qu’il n’est pas nécessaire de pratiquer la confusion volontaire pour garder une aura de mystère.
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Demain je vais revenir ici vous poster cet article de la Cousineau.
Re: Trauma......radio-canada
La télé vue par Madame Louise
Est-ce assez clair pour vous? Besoin d’un GPS?
Louise Cousineau / TV Hebdo - 2011-03-10 14:04:54
«Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement
et les mots pour le dire arrivent aisément.» — Nicolas Boileau-Despréaux
Comme vous, j’adore les histoires bien racontées. Je les cherche à tous les réseaux et, quand je tombe sur une merveille, je perds la notion du temps. Ou plutôt je voudrais que ce plaisir ne s’arrête jamais.
Cela m’est arrivé avec Mad Men, la série américaine dont Télé-Québec nous repasse la première saison, histoire de nous mettre en appétit pour la deuxième, qui prendra l’antenne début juin.
Plus dure sera la chute
Mad Men — pour hommes de Madison Avenue, La Mecque de la publicité à New York — raconte une histoire qui se déroule dans les années 60. Le héros s’appelle Don Draper; c’est un roi de la création dans une agence. Durant la première saison, on apprend qu’il ne s’appelle pas vraiment Don Draper. Il a usurpé l’identité d’un collègue soldat mort à ses côtés.
Il s’est donc réinventé, et tout lui réussit. Une épouse parfaite en banlieue, toujours tirée à quatre épingles même au petit-déjeuner, une maîtresse bohême à Manhattan, et plein de conquêtes féminines en cours de route.
Mais juste à voir le générique d’ouverture, où un homme dégringole en bas d’une tour, on sait que la chute de Don sera spectaculaire.
C’est comme les épisodes de Columbo: on sait que les coupables seront démasqués. Le plaisir, c’est de voir comment cela arrivera.
Une reconstitution impeccable
Et la super aubaine, c’est la reconstitution des années 60. Depuis l’évocation des événements marquants jusqu’aux vêtements. Ceux de Betty Draper excitent bien des filles de notre temps, qui courent les boutiques rétro. Une designer américaine a même lancé une collection de répliques.
Paradoxal, tout de même, que nos femmes libérées trippent sur les robes qui ont habillé des femmes qui étaient encore loin de l’égalité des sexes si chère à notre époque…
Il y a aussi l’omniprésence de la cigarette: les médecins tirent une poffe dans leur bureau pendant une consultation! Mais là, attention! Ces choses-là sont maintenant interdites à notre époque de lumière.
Une intrigue limpide… tout comme les dialogues
La beauté de Mad Men, c’est que tout y est clair. Les flash-backs expliquent l’action au lieu de dérouter le téléspectateur, comme c’est hélas le cas dans Trauma, notre série hospitalière — ou plutôt inhospitalière. Le son est impeccable, et on ne rate aucune réplique, contrairement à Trauma qu’il faut enregistrer et repasser plusieurs fois pour tout entendre. Et même là, ce n’est pas garanti. Marmonner, avec un masque chirurgical en plus, ce n’est pas évident.
Je n’arrive pas à comprendre pourquoi des diffuseurs consentent à nous présenter des scènes incompréhensibles. Le premier cas de 30 vies était difficile à suivre tellement les bruits ambiants masquaient les dialogues. En plus, l’ado qui sniffait de l’essence n’a jamais prononcé une phrase claire. Pourtant, dans la deuxième histoire où son cas était réglé, sa diction s’était nettement améliorée.
Des sauts dans le temps déroutants
Pour se rendre intéressants, certains auteurs adorent nous compliquer la vie. La série Nos étés, à TVA, nous a imposé des sauts dans le temps qui finissaient par être agaçants en diable.
Plus récemment, les mêmes auteurs ont lancé Yamaska avec un sadisme évident: les premiers épisodes étaient mêlants à souhait. On ne savait plus qui était qui. Dieu merci, ça s’est tassé. Mais je n’ai pas pu m’attacher à cette saga, qui était trop déroutante au début.
Brouiller les pistes
Question: pourquoi la clarté du propos fait-elle si peur?
Je ne parviens pas à trouver une réponse.
La série Providence est un autre cas étonnant. Les parents qui ne sont pas vraiment les parents de leurs enfants, les morts qui ressuscitent, ça n’en finit plus! Tellement que Radio-Canada nous a pris en pitié et a publié un arbre généalogique des personnages. L’équivalent d’un GPS pour voyageurs égarés. Ça se peut-tu!
Allez le consulter sur le site de Radio-Canada.
Pourtant, la clarté est possible. 19-2 nous fait pénétrer dans l’univers très secret des policiers, des gens qui n’ont pas l’habitude d’étaler leurs états d’âme sur la place publique et qui sont devenus des experts dans l’art de brouiller les pistes de leurs erreurs. Mais voilà: l’écriture est limpide. On n’essaie pas de nous faire rater des répliques. Et la réalisation de Podz nous fait découvrir la réalité hyper-stressante que vivent ces flics qui doivent conserver la tête froide alors que tout le monde autour d’eux perd les pédales.
Résultat: notre méfiance envers la police risque de diminuer quand nous apprendrons comment et pourquoi ils risquent leur peau et leur santé mentale.
Le bonnet d’âne…
Le pire cas de confusion volontaire des téléspectateurs dont je me souvienne m’a été fourni par le réseau CBC il y a une trentaine d’années. Il s’agissait de Jalna, une adaptation de la saga familiale écrite par Mazo De La Roche.
C’était tellement obscur — on avait notamment utilisé les mêmes acteurs pour plusieurs personnages à différentes époques — qu’un guide de l’utilisateur était nécessaire. On a effectué un remontage plus éclairant pour les reprises.
Comme quoi la confusion volontaire du spectateur n’est pas nouvelle.
Est-ce assez clair pour vous? Besoin d’un GPS?
Louise Cousineau / TV Hebdo - 2011-03-10 14:04:54
«Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement
et les mots pour le dire arrivent aisément.» — Nicolas Boileau-Despréaux
Comme vous, j’adore les histoires bien racontées. Je les cherche à tous les réseaux et, quand je tombe sur une merveille, je perds la notion du temps. Ou plutôt je voudrais que ce plaisir ne s’arrête jamais.
Cela m’est arrivé avec Mad Men, la série américaine dont Télé-Québec nous repasse la première saison, histoire de nous mettre en appétit pour la deuxième, qui prendra l’antenne début juin.
Plus dure sera la chute
Mad Men — pour hommes de Madison Avenue, La Mecque de la publicité à New York — raconte une histoire qui se déroule dans les années 60. Le héros s’appelle Don Draper; c’est un roi de la création dans une agence. Durant la première saison, on apprend qu’il ne s’appelle pas vraiment Don Draper. Il a usurpé l’identité d’un collègue soldat mort à ses côtés.
Il s’est donc réinventé, et tout lui réussit. Une épouse parfaite en banlieue, toujours tirée à quatre épingles même au petit-déjeuner, une maîtresse bohême à Manhattan, et plein de conquêtes féminines en cours de route.
Mais juste à voir le générique d’ouverture, où un homme dégringole en bas d’une tour, on sait que la chute de Don sera spectaculaire.
C’est comme les épisodes de Columbo: on sait que les coupables seront démasqués. Le plaisir, c’est de voir comment cela arrivera.
Une reconstitution impeccable
Et la super aubaine, c’est la reconstitution des années 60. Depuis l’évocation des événements marquants jusqu’aux vêtements. Ceux de Betty Draper excitent bien des filles de notre temps, qui courent les boutiques rétro. Une designer américaine a même lancé une collection de répliques.
Paradoxal, tout de même, que nos femmes libérées trippent sur les robes qui ont habillé des femmes qui étaient encore loin de l’égalité des sexes si chère à notre époque…
Il y a aussi l’omniprésence de la cigarette: les médecins tirent une poffe dans leur bureau pendant une consultation! Mais là, attention! Ces choses-là sont maintenant interdites à notre époque de lumière.
Une intrigue limpide… tout comme les dialogues
La beauté de Mad Men, c’est que tout y est clair. Les flash-backs expliquent l’action au lieu de dérouter le téléspectateur, comme c’est hélas le cas dans Trauma, notre série hospitalière — ou plutôt inhospitalière. Le son est impeccable, et on ne rate aucune réplique, contrairement à Trauma qu’il faut enregistrer et repasser plusieurs fois pour tout entendre. Et même là, ce n’est pas garanti. Marmonner, avec un masque chirurgical en plus, ce n’est pas évident.
Je n’arrive pas à comprendre pourquoi des diffuseurs consentent à nous présenter des scènes incompréhensibles. Le premier cas de 30 vies était difficile à suivre tellement les bruits ambiants masquaient les dialogues. En plus, l’ado qui sniffait de l’essence n’a jamais prononcé une phrase claire. Pourtant, dans la deuxième histoire où son cas était réglé, sa diction s’était nettement améliorée.
Des sauts dans le temps déroutants
Pour se rendre intéressants, certains auteurs adorent nous compliquer la vie. La série Nos étés, à TVA, nous a imposé des sauts dans le temps qui finissaient par être agaçants en diable.
Plus récemment, les mêmes auteurs ont lancé Yamaska avec un sadisme évident: les premiers épisodes étaient mêlants à souhait. On ne savait plus qui était qui. Dieu merci, ça s’est tassé. Mais je n’ai pas pu m’attacher à cette saga, qui était trop déroutante au début.
Brouiller les pistes
Question: pourquoi la clarté du propos fait-elle si peur?
Je ne parviens pas à trouver une réponse.
La série Providence est un autre cas étonnant. Les parents qui ne sont pas vraiment les parents de leurs enfants, les morts qui ressuscitent, ça n’en finit plus! Tellement que Radio-Canada nous a pris en pitié et a publié un arbre généalogique des personnages. L’équivalent d’un GPS pour voyageurs égarés. Ça se peut-tu!
Allez le consulter sur le site de Radio-Canada.
Pourtant, la clarté est possible. 19-2 nous fait pénétrer dans l’univers très secret des policiers, des gens qui n’ont pas l’habitude d’étaler leurs états d’âme sur la place publique et qui sont devenus des experts dans l’art de brouiller les pistes de leurs erreurs. Mais voilà: l’écriture est limpide. On n’essaie pas de nous faire rater des répliques. Et la réalisation de Podz nous fait découvrir la réalité hyper-stressante que vivent ces flics qui doivent conserver la tête froide alors que tout le monde autour d’eux perd les pédales.
Résultat: notre méfiance envers la police risque de diminuer quand nous apprendrons comment et pourquoi ils risquent leur peau et leur santé mentale.
Le bonnet d’âne…
Le pire cas de confusion volontaire des téléspectateurs dont je me souvienne m’a été fourni par le réseau CBC il y a une trentaine d’années. Il s’agissait de Jalna, une adaptation de la saga familiale écrite par Mazo De La Roche.
C’était tellement obscur — on avait notamment utilisé les mêmes acteurs pour plusieurs personnages à différentes époques — qu’un guide de l’utilisateur était nécessaire. On a effectué un remontage plus éclairant pour les reprises.
Comme quoi la confusion volontaire du spectateur n’est pas nouvelle.
Pascale Picard chantera «Trauma 3»
Publié le 06 octobre 2011 à 07h33
Hugo Dumas
La Presse
La voix douce d'Ariane Moffatt, qui a notamment repris les classiques Be My Baby des Ronettes et Everybody Hurts de R.E.M., a bercé les deux premières saisons de la série médicale Trauma de Fabienne Larouche.
Pour la troisième année, qui démarre en janvier à Radio-Canada, l'auteure et productrice a embauché une nouvelle chanteuse, tout aussi dans le vent, pour rythmer les drames qui secoueront l'hôpital Saint-Arsène: il s'agit de Pascale Picard, a appris La Presse.
«Pascale Picard est un peu plus rockeuse et fait les chansons un peu plus country, mais toujours en version acoustique, guitare et voix», confie Fabienne Larouche.
Et pourquoi Ariane Moffatt ne reprend-elle pas le micro? «Ariane a été extraordinaire et cela a été un bonheur de travailler avec elle. On a fait deux saisons ensemble et Ariane a beaucoup aimé sa voix en anglais. Je trouvais ça intéressant de passer le relais à quelqu'un d'autre. Ariane est en écriture de son prochain album», précise Fabienne Larouche.
Les morceaux de Trauma 3 qu'interprétera Pascale Picard ont presque tous été choisis. On y entendra Mr Curiosity de Jason Mraz, As Tears Go By des Rolling Stones, I Love How You Love Me des Paris Sisters, Don't Think Twice de Bob Dylan, Hope There's Someone d'Antony and The Johnsons, Strangers de The Kinks et Hospital Vespers de The Weakerthans.
Le premier épisode s'ouvrira sur Lullaby de Tom Waits afin de souligner l'arrivée du nouveau bébé de Julie Lemieux (Isabel Richer) et Mathieu Darveau (Jean-François Pichette). Pascale Picard commence les enregistrements aujourd'hui, dans un studio de Saint-Zénon.
La bande sonore de Trauma1 et 2, dont Fabienne Larouche a assuré la direction artistique, a obtenu un disque d'or et mise en nomination au prochain gala de l'ADISQ dans la catégorie «album de l'année - reprises». Trauma se frottera alors aux disques de Pierre Lapointe, Roch Voisine, Les charbonniers de l'enfer et Susie Arioli.
Et pourrait-on éventuellement entendre une voix masculine dans des épisodes de Trauma? «J'aime ce que donnent les voix de filles. Mais je pense que ça pourrait être intéressant. Je ne haïrais pas ça, je pense», glisse Fabienne Larouche.
http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/ ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Publié le 06 octobre 2011 à 07h33
Hugo Dumas
La Presse
La voix douce d'Ariane Moffatt, qui a notamment repris les classiques Be My Baby des Ronettes et Everybody Hurts de R.E.M., a bercé les deux premières saisons de la série médicale Trauma de Fabienne Larouche.
Pour la troisième année, qui démarre en janvier à Radio-Canada, l'auteure et productrice a embauché une nouvelle chanteuse, tout aussi dans le vent, pour rythmer les drames qui secoueront l'hôpital Saint-Arsène: il s'agit de Pascale Picard, a appris La Presse.
«Pascale Picard est un peu plus rockeuse et fait les chansons un peu plus country, mais toujours en version acoustique, guitare et voix», confie Fabienne Larouche.
Et pourquoi Ariane Moffatt ne reprend-elle pas le micro? «Ariane a été extraordinaire et cela a été un bonheur de travailler avec elle. On a fait deux saisons ensemble et Ariane a beaucoup aimé sa voix en anglais. Je trouvais ça intéressant de passer le relais à quelqu'un d'autre. Ariane est en écriture de son prochain album», précise Fabienne Larouche.
Les morceaux de Trauma 3 qu'interprétera Pascale Picard ont presque tous été choisis. On y entendra Mr Curiosity de Jason Mraz, As Tears Go By des Rolling Stones, I Love How You Love Me des Paris Sisters, Don't Think Twice de Bob Dylan, Hope There's Someone d'Antony and The Johnsons, Strangers de The Kinks et Hospital Vespers de The Weakerthans.
Le premier épisode s'ouvrira sur Lullaby de Tom Waits afin de souligner l'arrivée du nouveau bébé de Julie Lemieux (Isabel Richer) et Mathieu Darveau (Jean-François Pichette). Pascale Picard commence les enregistrements aujourd'hui, dans un studio de Saint-Zénon.
La bande sonore de Trauma1 et 2, dont Fabienne Larouche a assuré la direction artistique, a obtenu un disque d'or et mise en nomination au prochain gala de l'ADISQ dans la catégorie «album de l'année - reprises». Trauma se frottera alors aux disques de Pierre Lapointe, Roch Voisine, Les charbonniers de l'enfer et Susie Arioli.
Et pourrait-on éventuellement entendre une voix masculine dans des épisodes de Trauma? «J'aime ce que donnent les voix de filles. Mais je pense que ça pourrait être intéressant. Je ne haïrais pas ça, je pense», glisse Fabienne Larouche.
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Bleu, blanc et rouge sang
29 octobre 2011 à 09h37
Hugo Dumas
La Presse
Réglons un cas tout de suite. Avoir les yeux bleu clair comme presque tous les comédiens de Trauma, ce n'est pas un préalable pour jouer dans la série médicale de Fabienne Larouche et se fondre, par la suite, au décor épuré blanc et bleuté. Il s'agit d'un pur hasard si les Laurence Leboeuf, Isabel Richer et maintenant Isabelle Blais affichent toutes un regard de mer des Caraïbes au petit écran.
C'est la directrice artistique de notre Grey's Anatomy québécois, Louise-Marie Beauchamp, qui le confirme alors que nous nous baladons dans les décors hyperréalistes de l'hôpital Saint-Arsène, tous recréés avec beaucoup de minutie dans un hangar de Saint-Hubert, près de l'aéroport principal de la Rive-Sud. À l'extérieur, c'est un immense garage gris et anonyme, mais à l'intérieur, où le tournage de Trauma 3 s'achève, c'est un univers aseptisé quasiment fonctionnel et bourré d'équipement chirurgical dernier cri importé de Baltimore.
Contrairement aux deux saisons précédentes, le réalisateur François Gingras n'a pas pu, par manque d'espace, s'installer à l'hôpital du Sacré-Coeur, dans le nord de Montréal, pour mettre en boîte certains scènes de Trauma 3. Direction studio, alors. Pour le reste, ça ne bouge pas: les extérieurs demeurent ceux du pavillon des sciences biologiques de l'UQAM, derrière la Place des Arts.
Côté intrigues, l'action de Trauma 3 redémarrera (en janvier sur la SRC) un an après le suicide par pendaison du père de Julie Lemieux (Isabel Richer). Eh non, Marc Lemieux, campé par Marcel Sabourin, n'a pu être sauvé. Sur une note plus positive, Julie Lemieux, qui découvrait sa grossesse à la fin de la deuxième saison, et Mathieu Darveau (Jean-François Pichette) seront les parents de la petite Marie-Gisèle, âgée d'à peine 3 mois. Quel impact aura ce bébé sur leurs carrières et leur rythme de vie disons atypique?
L'auteure et productrice Fabienne Larouche, qui souhaite faire peur, rire et pleurer avec ce troisième volet, résume Trauma avec cette phrase: «Pourquoi l'éthique en médecine» ?
«J'aime ça, l'éthique. De la grand-maman au criminel le plus endurci, tout le monde a le droit d'être soigné et tout le monde a le droit à la même sollicitude. En théorie. Car les médecins sont tous des êtres humains», remarque la prolifique scénariste.
Rassurez-vous, les réponses philosophiques à ces questions ne sortiront pas de la bouche du psychiatre Antoine Légaré (Gilbert Sicotte), dont tous les séminaires ont été retranchés du scénario. Excellente décision. «Tout avait été dit, tout avait été fait», explique Fabienne Larouche, vêtue de noir des pieds à la tête. Le réalisateur François Gingras ajoute: «Et nos résidents ont tous gradué.»
Ce qui ne disparaît pas, par contre, ce sont les flash-backs qu'expérimente Julie Lemieux depuis l'an un. «Nous allons en apprendre plus sur elle. Qui est-elle? Et pourquoi une fille a-t-elle pu choisir un métier comme celui-là?», indique Fabienne Larouche.
Une nouvelle infirmière mystérieuse, jouée par Isabelle Blais, fera battre le coeur de Pierre Meilleur (James Hyndman). «Non, le Dr Meilleur ne sera pas moins bête pour autant. Mais il est plus fragile. Isabelle Blais joue une fille douée, mais énigmatique, qui ne se mêle pas beaucoup aux autres», note François Gingras.
Au département de traumatologie de Saint-Arsène, où le chaos s'installe, les mutilés se succéderont: un juif orthodoxe pris en flagrant délit d'adultère, un boxeur au régime alimentaire étrange, un motocycliste écrabouillé et même une danseuse nue victime d'un accident de poteau. Petit scoop ici: le Dr Gilles Laprade (Luc Guérin) retombera dans l'enfer de la drogue. Après avoir nécrosé les testicules du violeur de Sophie Léveillée (Laurence Leboeuf), Laprade s'est évanoui dans la nature.
«Il y aura plus d'action dans Trauma 3. Nous allons voir les accidents avant que la personne arrive aux urgences. Ce sera encore plus rythmé, plus dynamique et un peu plus trash», s'avance François Gingras.
En terminant, un secret du métier, pour copier l'expression de Pierre Brassard dans (feu) 3600 secondes d'extase. Le sang dans Trauma, c'est du sirop de maïs coloré. «Mais c'est la recette originale employée dans les films du Parrain», souffle Stéphane Tessier, le responsable des effets spéciaux sur Trauma.
Un truc de pro pour ajouter une touche d'hémoglobine et de réalisme à votre costume d'Halloween ce week-end. Ne me remerciez pas, ça me fait plaisir.
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29 octobre 2011 à 09h37
Hugo Dumas
La Presse
Réglons un cas tout de suite. Avoir les yeux bleu clair comme presque tous les comédiens de Trauma, ce n'est pas un préalable pour jouer dans la série médicale de Fabienne Larouche et se fondre, par la suite, au décor épuré blanc et bleuté. Il s'agit d'un pur hasard si les Laurence Leboeuf, Isabel Richer et maintenant Isabelle Blais affichent toutes un regard de mer des Caraïbes au petit écran.
C'est la directrice artistique de notre Grey's Anatomy québécois, Louise-Marie Beauchamp, qui le confirme alors que nous nous baladons dans les décors hyperréalistes de l'hôpital Saint-Arsène, tous recréés avec beaucoup de minutie dans un hangar de Saint-Hubert, près de l'aéroport principal de la Rive-Sud. À l'extérieur, c'est un immense garage gris et anonyme, mais à l'intérieur, où le tournage de Trauma 3 s'achève, c'est un univers aseptisé quasiment fonctionnel et bourré d'équipement chirurgical dernier cri importé de Baltimore.
Contrairement aux deux saisons précédentes, le réalisateur François Gingras n'a pas pu, par manque d'espace, s'installer à l'hôpital du Sacré-Coeur, dans le nord de Montréal, pour mettre en boîte certains scènes de Trauma 3. Direction studio, alors. Pour le reste, ça ne bouge pas: les extérieurs demeurent ceux du pavillon des sciences biologiques de l'UQAM, derrière la Place des Arts.
Côté intrigues, l'action de Trauma 3 redémarrera (en janvier sur la SRC) un an après le suicide par pendaison du père de Julie Lemieux (Isabel Richer). Eh non, Marc Lemieux, campé par Marcel Sabourin, n'a pu être sauvé. Sur une note plus positive, Julie Lemieux, qui découvrait sa grossesse à la fin de la deuxième saison, et Mathieu Darveau (Jean-François Pichette) seront les parents de la petite Marie-Gisèle, âgée d'à peine 3 mois. Quel impact aura ce bébé sur leurs carrières et leur rythme de vie disons atypique?
L'auteure et productrice Fabienne Larouche, qui souhaite faire peur, rire et pleurer avec ce troisième volet, résume Trauma avec cette phrase: «Pourquoi l'éthique en médecine» ?
«J'aime ça, l'éthique. De la grand-maman au criminel le plus endurci, tout le monde a le droit d'être soigné et tout le monde a le droit à la même sollicitude. En théorie. Car les médecins sont tous des êtres humains», remarque la prolifique scénariste.
Rassurez-vous, les réponses philosophiques à ces questions ne sortiront pas de la bouche du psychiatre Antoine Légaré (Gilbert Sicotte), dont tous les séminaires ont été retranchés du scénario. Excellente décision. «Tout avait été dit, tout avait été fait», explique Fabienne Larouche, vêtue de noir des pieds à la tête. Le réalisateur François Gingras ajoute: «Et nos résidents ont tous gradué.»
Ce qui ne disparaît pas, par contre, ce sont les flash-backs qu'expérimente Julie Lemieux depuis l'an un. «Nous allons en apprendre plus sur elle. Qui est-elle? Et pourquoi une fille a-t-elle pu choisir un métier comme celui-là?», indique Fabienne Larouche.
Une nouvelle infirmière mystérieuse, jouée par Isabelle Blais, fera battre le coeur de Pierre Meilleur (James Hyndman). «Non, le Dr Meilleur ne sera pas moins bête pour autant. Mais il est plus fragile. Isabelle Blais joue une fille douée, mais énigmatique, qui ne se mêle pas beaucoup aux autres», note François Gingras.
Au département de traumatologie de Saint-Arsène, où le chaos s'installe, les mutilés se succéderont: un juif orthodoxe pris en flagrant délit d'adultère, un boxeur au régime alimentaire étrange, un motocycliste écrabouillé et même une danseuse nue victime d'un accident de poteau. Petit scoop ici: le Dr Gilles Laprade (Luc Guérin) retombera dans l'enfer de la drogue. Après avoir nécrosé les testicules du violeur de Sophie Léveillée (Laurence Leboeuf), Laprade s'est évanoui dans la nature.
«Il y aura plus d'action dans Trauma 3. Nous allons voir les accidents avant que la personne arrive aux urgences. Ce sera encore plus rythmé, plus dynamique et un peu plus trash», s'avance François Gingras.
En terminant, un secret du métier, pour copier l'expression de Pierre Brassard dans (feu) 3600 secondes d'extase. Le sang dans Trauma, c'est du sirop de maïs coloré. «Mais c'est la recette originale employée dans les films du Parrain», souffle Stéphane Tessier, le responsable des effets spéciaux sur Trauma.
Un truc de pro pour ajouter une touche d'hémoglobine et de réalisme à votre costume d'Halloween ce week-end. Ne me remerciez pas, ça me fait plaisir.
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