Annouk a écrit : [...]
Ne soit pas si dure, ils ont une bonne estime de soi parce qu'ils n'ont jamais eu d'échec


Annouk a écrit : [...]
Ne soit pas si dure, ils ont une bonne estime de soi parce qu'ils n'ont jamais eu d'échec
Ben wala, là tu l'as l'affaireMalike a écrit : [...]
Désolée, je voudrais pas les traumatiser si y en a qui sont capables de nous lire. Vous bons pis vous êtes capables, pis si vous l'êtes pas vous allez l'être pareil!!
Je ne comprend pas cet acharnement.... Si un jeune a des difficultés d'apprentissage, ne serait-il pas mieux à apprendre un métier, comme un DEP? Certains offrent un très bon taux de placement et des perpectives salariales intéressantes. Je ne comprend pas pourquoi le système tient absolument à ce que tous les cas spéciaux graduent du Cégep et/ou de l'Université. En tant que société, il n'est pas souhaitable que tous aient des diplômes de haut niveau.Malike a écrit : [...]
C'est aussi ce que cet article m'inspire. Je me demande ce qu'on vise là-dedans, les traîner jusqu'à l'Université et là aussi tout adapter pour qu'ils performent. Je ne comprends pas ce principe de l'instruction à tout prix peu importe les aptitudes.
Biche Pensive a écrit : [...]
Je ne comprend pas cet acharnement.... Si un jeune a des difficultés d'apprentissage, ne serait-il pas mieux à apprendre un métier, comme un DEP? Certains offrent un très bon taux de placement et des perpectives salariales intéressantes. Je ne comprend pas pourquoi le système tient absolument à ce que tous les cas spéciaux graduent du Cégep et/ou de l'Université. En tant que société, il n'est pas souhaitable que tous aient des diplômes de haut niveau.
Je n'ai absolument rien contre un jeune qui travaille très fort et qui, malgré son handicap, arrive à décrocher un diplôme universitaire, mais je pense qu'il s'agit d'une minorité. À chacun ses aptitudes.
Ça me fait tellement rire..Anya a écrit : Hausse des frais de scolarité — Une taxe déguisée pour la classe moyenne
Nouvelles générales - Éducation
Écrit par David Patry-Cloutier
Jeudi, 10 mars 2011 10:30
La nouvelle hausse des frais de scolarité promise par le gouvernement de Jean Charest s’avère une taxe déguisée pour la classe moyenne car elle affectera aussi les parents, estiment les étudiants collégiaux et universitaires.
Dans un document d’analyse présenté jeudi, la Fédération universitaire du Québec (FEUQ) et son homologue collégiale, la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), estiment que les familles subiront une pression financière supplémentaire en cas de hausse des frais de scolarité.
C'est que la loi oblige les parents d’étudiants universitaires à contribuer aux études de leurs enfants. Le montant qu’ils doivent fournir est notamment consigné dans le régime de prêts et bourses.
« La classe moyenne a été beaucoup affectée par le dernier budget du Québec. C’est une taxe de plus qui vient la frapper directement », indique le président de la FEUQ, Louis-Philippe Savoie.
D’après les règles du programme d’Aide financière aux études, dès que le revenu familial atteint 30 000 $, les parents doivent commencer à contribuer. Alors que deux parents travaillant au salaire minimum à temps plein gagnent près de 40 000 $ par an. Ils seraient donc forcés de contribuer.
Scénario irréaliste
La FEUQ et la FECQ trouvent ce scénario irréaliste. Selon leurs calculs, quelque 48 % des étudiants dont les parents gagnent entre 30 000 $ et 60 000 $ ne recevraient aucune aide familiale. Et pour ceux qui en reçoivent, la moyenne de ce coup de pouce s’élèverait à seulement 2000 $. « L’autre moitié ne donne pas un rond, alors que sa contribution est pourtant calculée », affirme Louis-Philippe Savoie.
Selon lui, beaucoup de familles n’ont déjà pas les moyens d’aider leur progéniture à payer leur formation. Le mouvement étudiant demande donc de mettre fin à la hausse des frais de scolarité en vigueur actuellement en 2012.
Il souhaite aussi que l’AFE soit bonifiée et que la contribution parentale soit prise en compte seulement lorsque le revenu familial s’élève à 45 000 $, soit un peu plus que le salaire minimum. « Ce serait beaucoup plus réaliste », conclut Louis-Philippe Savoie.
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C'est une bonne idée à condition d'apprécier ton prof, car j'ai déjà eu des profs qui expliquaient tellement mal que c'était quésiment pénible de suivre le cour pendant 1 année.. Je n'imagine pas 4 ansAnya a écrit : Publié le 13 mars 2011 à 06h00 | Mis à jour à 06h00
Une réussite: le même enseignant pendant quatre ans
http://www.cyberpresse.ca/opinions/2011 ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Annouk a écrit : [...]
Ne soit pas si dure, ils ont une bonne estime de soi parce qu'ils n'ont jamais eu d'échec
Je suis désolée pour ta fille, sincèrement. Mais ici, on parle de la tendance de l'éducation en général...On parle de toute sorte d'enfant avec toutes sortes de difficultés qui sont intégrés aux classes régulières. Je suis consciente que ta fille a des droits, que les enfants différents en ont....asterisque a écrit : [...]
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Là, ça me touche...ma fille est dyspraxique...C'est un trouble moteur, qui touche sa motricité fine tout particulièrement. Pour un enfant dyspraxique, écrire un mot, former une lettre, c'est un vrai calvaire, danser, situer son corps dans l'espace aussi, planifier une tâche...Par contre elle a une mémoire d'enfer...Faire passer un test à l'écrit, écrire une phrase pour ces enfants là, c'est comme une scéance de torture, cela leur demande tellement d'effort de coordination. Si on fait épeler la même phrase, ils auront tout bon ou presque...
Ce sont des enfants qui se rendent compte que les choses ne fonctionne pas comme il faut, ils vivent régulièrement des échecs, leur estime d'eux-même est très fragile...
Est-ce qu'adapter leur environnement, en leur donnant plus de temps pour réaliser leurs examens ou bien rendre un ordinateur accessible pour la prise de notes ou bien pour seulement tester s'ils savent écrire le mot maison c'est trop leur accorder???
Sérieusement, je suis très réaliste, ma fille ne sera probablemtn jamais chirurgienne, mais si un jour elle souhaite avoir accès à la formation collégiale, qu'est-ce que ça vous enlève à vous si elle se respecte dans ses compétences???
Je mets ici un lien sur ce que ces enfants et leurs parents ont à vivre...
http://www.dyspraxieetcie.com/2010/02/u ... uteur.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Annouk a écrit : [...]
Je suis désolée pour ta fille, sincèrement. Mais ici, on parle de la tendance de l'éducation en général...On parle de toute sorte d'enfant avec toutes sortes de difficultés qui sont intégrés aux classes régulières. Je suis consciente que ta fille a des droits, que les enfants différents en ont....
Mais on fait quoi avec les enfants doués qui s'emmerdent durant justement que tous les accommodements sont fait pour les élèves en difficulté. Que toute une réforme est bâtie pour ces mêmes enfants et que RIEN n'est mis en place pour les stimuler?
Ici, j'ai eu le problème inverse...Ma fille était douée, très douée...Elle a passé la totalité de son primaire jumelée à des élèves qui ne pouvaient pas lire une seule syllabe ou presque rendu par exemple en 4e année...Tu avoueras qu'à la longue, ça ne devient pas très stimulant pour une enfant qui aurait pu avancer 4 fois plus vite...
Alors des services pour les élèves en difficulté oui, des classes spéciales oui mais le nivellement par la bas pour que tous se sentent pareil non, désolée mais pour moi, ça ne sera jamais la solution...Parce que ce sont les jeunes doués qui finissent par décrocher de cette école plate qui n'a plus rien à leur offrir à un moment donné
Annouk a écrit : ridiculiser par des adultes? Perso je n'ai lu cela nul part....
Mais de faire croire à des enfants qu'ils sont aptes à aller au collégial quand ils ne maitrisent pas le français écrit, parlé, qu'ils ne maitrisent pas la matière dans aucune des matières mais qui ont tout de même obtenus un diplôme d'étude secondaire parce que tout à coup, dans cette réforme, le redoublement n'existait plus ou pratiquement plus, tu ne vas pas venir me dire que c'est normal?
Des enfants qui arrivent au secondaire sans savoir lire, c'est normal et souhaitable? Et pourtant, c'est ce qu'on voit aujourd'hui et ce ne sont pas des cas hyper isolés....
Je regrette, je comprend que tu te bats pour ta fille et je ne souhaite pas parler d'un enfant en particulier d'autant plus que je te sens sur la défensive et que ton ton devient agressif. Je pense que je ne suis pas la pire bitch parce que je veux le meilleur système d'éducation possible au Québec pas seulement pour mes propres enfants comme tu sembles le vouloir mais pour tous les enfants.asterisque a écrit : Les jeunes plus doués ne devraient pas avoir à servir de TES...Tout comme les enfants ayant des diffucultés devraient avoir le droit aux services auxquels ils ont besoins...Les choses ne devraient pas être faites à moitié... Et je crois sincèrements que les enfants qui se rendent au collégial, n'ont pas d'affaire à se faire ridiculiser par des adultes...
Ha pis tiens, au passage, je m'excuse de la part de ma fille auprès de tous les enfants surdoués qu'elle ralentira, car elle n'est pas assez handicapée pour intégrer les classes spéciales, mais trop pour être capable de suivre sans service (que le gouvernement ne donne pas et que l'on essaie du mieux que l'on peut de lui payer, car à 90$ de l'heure, on s'entend que le budget est assez limité)...
C'est parcequ'il n'est pas question dans le texte de baisser les critères de réussite, mais bien d'offrir de l'aide aux étudiants ayant ces troubles...Des adaptations...Dans le cas de ma fille, avoir droit à l'ordinateur pour écrire des textes, un peu plus de temps pour réaliser les exercices, vérifier les connaissances à l'oral au lieu de l'écrit...en bout de ligne, elle rencontrera les mêmes critères que tout le monde et finira son secondaire avec les mêmes connaissances, c'est juste qu'il aura fallu dévelloper d'autres techniques d'apprentissages et de vérification des connaissances.Annouk a écrit : ridiculiser par des adultes? Perso je n'ai lu cela nul part....
Des enfants qui arrivent au secondaire sans savoir lire, c'est normal et souhaitable? Et pourtant, c'est ce qu'on voit aujourd'hui et ce ne sont pas des cas hyper isolés....
Avec ce qui est proposé maintenant comme critère de réussite à atteindre, on a lu que les notes seraient "normalisée" pour que des élèves ne maitrisant pas la matière et n'ayant pas obtenu la note de passage verront leurs notes augmentées parce que ce sont les examens qui devaient être trop difficiles...Avec cette manière de faire, les écoles atteindraient le seuil imposé de réussite...
Ben il est justement là le problème, tu est libre de ne pas partager mon avis mais l'intégration de tous ces élèves dans des classes régulières impose un rythme plus lent à tous le groupe et se sont les élèves qui n'ont pas de difficultés d'apprentissage qui s'en trouve pénalisés.asterisque a écrit : [...]
C'est parce qu'ils ne parlent pas des enfants sans troubles diagnostiqués, ceux qui passent «free» dans le système sans que personne ne se rende compte de quoi que ce soit, mais bien de ceux ayant des troubles diagnostiqués:
«La clientèle émergente est composée de personnes atteintes de troubles d'apprentissage (dont les plus connus sont la dyslexie, la dysorthographie et la dyscalculie) et de maladies mentales diverses (schizophrénie, psychose, etc.)»