Prince William & Kate Middleton - Mariage et suite...
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MsPontchartrain
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Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Ils sont cassés, ils ont tout dépensé pour leur mariage
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
probable, mais ça doit pas être dans les règles de l'étiquetteMadeen a écrit : [...]
En effet, le Canada est encore techniquement sous la gouverne de The Queen. Ce qui explique pourquoi on a encore son royal profil sur les pièces de monnaie.
Si je me trompe pas, elle fait une visite de courtoisie au Canada chaque année, non?
Mais je maintiens qu'ils devraient dépenser eux-mêmes pour leurs voyages.
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Elise-Gisèle
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Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Je pense la même chose. Plusieurs personnes seront heureuses de les voir, alors pourquoi pas.bouquet a écrit : je vais préciser ce que je voulais dire; la royauté je trouve ça débile perso...mais à chaque fois que de l'argent se dépense de façon futile, on dit que cet argent serait mieux investi auprès des démunis, je suis d'accord. Mais en même temps , je pense que l'argent des taxes ne peut pas toujours être investis que pour les démunis. Puis faudrait voir les retombées économiques que cette visite amène, publicité pour le pays etc...Entk ça se peut bien que cette visite ne soit pas utile mais faut faire avec, à moins d'abolir la monarchie britannique et les siècles d'histoire qui nous y relient
Ils feront aussi une visite à Ste-Justine, ça mettra un peu de soleil dans la journée des enfants et des parents qui les accompagnent dans leurs maladies. La moitié des dépenses du gouvernement sont de trop ou inutile. Au moins, celle-ci aura des retombées pour le pays. 
Il y a 1000 journalistes et photographes d'accrédités pour cette visite. Les articles et photos feront le tour du monde.
La liberté n'est pas une marque de yogourt. - Pierre Falardeau
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Publié le 27 juin 2011 à 15h24 | Mis à jour à 19h04
Visite royale: le RRQ recrute des «gros bras» pour sa manifestation
Alexandre Robillard
La Presse Canadienne
Québec
Le Réseau de résistance du Québécois pourra compter sur des fiers-à-bras pour sa manifestation contre la visite du prince William et son épouse Kate dans la capitale, la semaine prochaine.
Ces sbires sélectionnés pour leur gabarit imposant n'auront pas pour mission de s'attaquer aux forces de l'ordre mais devront plutôt empêcher tout dérapage parmi les manifestants, a indiqué lundi le président du RRQ, Patrick Bourgeois.
«Même moi, s'ils me disent ce qu'il faut que je fasse, ils sont tellement gros que je vais les écouter», a-t-il dit lors d'une entrevue.
«On les choisit surtout au gabarit. Les 100 livres mouillés ne sont pas dedans.»
Le RRQ, un groupe souverainiste radical, prévoit qu'au moins 300 personnes participeront à une manifestation pour dénoncer la monarchie, dimanche prochain, à l'occasion de la visite du couple royal à l'hôtel de ville de Québec.
Pour la première fois lors d'une manifestation, le RRQ déploiera sur le terrain une quarantaine de ses membres au physique imposant pour assurer la sécurité.
Selon M. Bourgeois, les manifestants seront préparés à une action de désobéissance civile mais sans geste de violence.
«Le service de sécurité, ce pour quoi il n'est pas prévu, c'est pour se battre avec la police, a-t-il dit. Ce n'est absolument pas ça son mandat. Son mandat c'est de s'assurer que dans nos rangs, tout le monde se comporte comme nous on a décidé.»
Les sbires du RRQ vont calmer les esprits qui pourraient s'échauffer et contrer toute manoeuvre de la part d'agitateurs qui infiltreraient l'action militante.
«S'il y a un débile qui arrive et qu'il fait de la provocation avec la police, qu'il est en train de mettre en péril à la fois le scénario qu'on a prévu et à la fois la sécurité de nos militants, c'est sûr qu'on va s'assurer que cette personne soit repoussée en dehors de notre manifestation», a-t-il dit.
Malgré tout, M. Bourgeois s'est montré confiant que la situation demeurera sous contrôle, jugeant peu probable que des casseurs viennent interférer.
«À Québec, ce serait fort étonnant que des personnes comme ça se pointent», a-t-il dit.
En 2009, à Montréal, le RRQ et ses manifestants avaient perturbé le passage du prince Charles et son épouse Camilla en bloquant une caserne de l'armée, ce qui avait forcé le couple à entrer par une porte à l'arrière de l'édifice.
Tout en affirmant que des plans ont été faits, M. Bourgeois n'a pas voulu dévoiler ce qui est prévu pour la manifestation de Québec.
«Si on est capables avec la désobéissance civile de faire capoter le programme comme on l'a fait en 2009, on serait très contents», a-t-il dit.
Le prince William et son épouse, qui se sont mariés le 29 avril dernier, amorceront au pays jeudi une tournée de neuf jours qui les mènera à Montréal et Québec les 2 et 3 juillet.
Cette visite, dont les coûts sont défrayés par les contribuables, mobilisera 1396 représentants des médias, dont 274 provenant de l'extérieur du Canada.
Le gouvernement fédéral a récemment présenté le déplacement du couple royal comme une vitrine touristique pour le Canada. Mais M. Bourgeois considère que le premier ministre Stephen Harper souhaite plutôt utiliser la couronne pour prouver l'inanité des forces souverainistes.
«Si tout se passait dans l'harmonie la plus totale et que tout ce que William rencontrait sur son chemin c'est des ballounes, c'est sûr que le Canada le lendemain dirait: vous voyez, la situation évolue au Canada et au Québec, le Québec est capable maintenant d'apprécier lui aussi la monarchie britannique», a-t-il dit.
À l'hôtel de ville, le duc et la duchesse de Cambridge assisteront à une cérémonie qui souligne la relation entre Québec et les membres du Royal 22e Régiment.
La police de Québec a indiqué qu'aucun périmètre de sécurité n'est prévu actuellement pour empêcher la manifestation du RRQ devant l'édifice.
«On doit toujours s'adapter en fonction de ce qui se présente devant nous et l'évolution de la situation, a dit la porte-parole Sandra Dion. Même si des fois on peut prévoir plan A, plan B, plan C, ça peut être autrement.»
La capitale a été marquée en 1964 par une visite de la reine Élizabeth II, durant laquelle les policiers de Québec avaient pourchassé et frappé des manifestants, ce qui avait valu à l'événement d'être surnommé par la suite «Le Samedi de la matraque».
http://www.cyberpresse.ca/international ... cueil_POS2" onclick="window.open(this.href);return false;
Visite royale: le RRQ recrute des «gros bras» pour sa manifestation
Alexandre Robillard
La Presse Canadienne
Québec
Le Réseau de résistance du Québécois pourra compter sur des fiers-à-bras pour sa manifestation contre la visite du prince William et son épouse Kate dans la capitale, la semaine prochaine.
Ces sbires sélectionnés pour leur gabarit imposant n'auront pas pour mission de s'attaquer aux forces de l'ordre mais devront plutôt empêcher tout dérapage parmi les manifestants, a indiqué lundi le président du RRQ, Patrick Bourgeois.
«Même moi, s'ils me disent ce qu'il faut que je fasse, ils sont tellement gros que je vais les écouter», a-t-il dit lors d'une entrevue.
«On les choisit surtout au gabarit. Les 100 livres mouillés ne sont pas dedans.»
Le RRQ, un groupe souverainiste radical, prévoit qu'au moins 300 personnes participeront à une manifestation pour dénoncer la monarchie, dimanche prochain, à l'occasion de la visite du couple royal à l'hôtel de ville de Québec.
Pour la première fois lors d'une manifestation, le RRQ déploiera sur le terrain une quarantaine de ses membres au physique imposant pour assurer la sécurité.
Selon M. Bourgeois, les manifestants seront préparés à une action de désobéissance civile mais sans geste de violence.
«Le service de sécurité, ce pour quoi il n'est pas prévu, c'est pour se battre avec la police, a-t-il dit. Ce n'est absolument pas ça son mandat. Son mandat c'est de s'assurer que dans nos rangs, tout le monde se comporte comme nous on a décidé.»
Les sbires du RRQ vont calmer les esprits qui pourraient s'échauffer et contrer toute manoeuvre de la part d'agitateurs qui infiltreraient l'action militante.
«S'il y a un débile qui arrive et qu'il fait de la provocation avec la police, qu'il est en train de mettre en péril à la fois le scénario qu'on a prévu et à la fois la sécurité de nos militants, c'est sûr qu'on va s'assurer que cette personne soit repoussée en dehors de notre manifestation», a-t-il dit.
Malgré tout, M. Bourgeois s'est montré confiant que la situation demeurera sous contrôle, jugeant peu probable que des casseurs viennent interférer.
«À Québec, ce serait fort étonnant que des personnes comme ça se pointent», a-t-il dit.
En 2009, à Montréal, le RRQ et ses manifestants avaient perturbé le passage du prince Charles et son épouse Camilla en bloquant une caserne de l'armée, ce qui avait forcé le couple à entrer par une porte à l'arrière de l'édifice.
Tout en affirmant que des plans ont été faits, M. Bourgeois n'a pas voulu dévoiler ce qui est prévu pour la manifestation de Québec.
«Si on est capables avec la désobéissance civile de faire capoter le programme comme on l'a fait en 2009, on serait très contents», a-t-il dit.
Le prince William et son épouse, qui se sont mariés le 29 avril dernier, amorceront au pays jeudi une tournée de neuf jours qui les mènera à Montréal et Québec les 2 et 3 juillet.
Cette visite, dont les coûts sont défrayés par les contribuables, mobilisera 1396 représentants des médias, dont 274 provenant de l'extérieur du Canada.
Le gouvernement fédéral a récemment présenté le déplacement du couple royal comme une vitrine touristique pour le Canada. Mais M. Bourgeois considère que le premier ministre Stephen Harper souhaite plutôt utiliser la couronne pour prouver l'inanité des forces souverainistes.
«Si tout se passait dans l'harmonie la plus totale et que tout ce que William rencontrait sur son chemin c'est des ballounes, c'est sûr que le Canada le lendemain dirait: vous voyez, la situation évolue au Canada et au Québec, le Québec est capable maintenant d'apprécier lui aussi la monarchie britannique», a-t-il dit.
À l'hôtel de ville, le duc et la duchesse de Cambridge assisteront à une cérémonie qui souligne la relation entre Québec et les membres du Royal 22e Régiment.
La police de Québec a indiqué qu'aucun périmètre de sécurité n'est prévu actuellement pour empêcher la manifestation du RRQ devant l'édifice.
«On doit toujours s'adapter en fonction de ce qui se présente devant nous et l'évolution de la situation, a dit la porte-parole Sandra Dion. Même si des fois on peut prévoir plan A, plan B, plan C, ça peut être autrement.»
La capitale a été marquée en 1964 par une visite de la reine Élizabeth II, durant laquelle les policiers de Québec avaient pourchassé et frappé des manifestants, ce qui avait valu à l'événement d'être surnommé par la suite «Le Samedi de la matraque».
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Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Publié le 27 juin 2011 à 05h00 | Mis à jour à 08h26
Visite royale: un couple glamour pour recréer des liens avec le Québec
Ian Bussières
Le Soleil
(Québec) La tournée canadienne du prince William et de sa femme, Kate Middleton, sera pour la famille royale une occasion de démontrer son attachement au Canada et de recréer des liens avec le Québec, estime Étienne Boisvert, étudiant à la maîtrise en sciences politiques à l'Université de Sherbrooke et porte-parole francophone de la Ligue monarchiste du Canada.
«Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de leur premier voyage officiel à l'extérieur du Royaume-Uni. Ça illustre clairement l'intérêt et l'attachement de la famille royale envers le Canada, surtout que c'est la troisième fois en trois ans, après le prince Charles en 2009 et la reine Élizabeth II en 2010, que des membres de la famille royale se rendent au Canada», explique M. Boisvert.
Celui-ci croit que la famille royale souhaite démontrer que la Couronne britannique est toujours présente au Canada et que le prince veut aussi présenter le Canada à sa femme.
«Kate Middleton ne s'est jamais rendue au Canada, dont elle deviendra éventuellement la reine. Sur cet aspect, ça ressemble beaucoup à la première visite canadienne de la princesse Élizabeth en 1951, deux ans avant son accession au trône. Les liens se tissent par les visites.»
«En pleine évolution»
Pour Étienne Boisvert, le passage du couple royal à Montréal le 2 juillet et à Québec le lendemain représente également un désir de reconstruire l'image de la famille royale dans la Belle Province.
«Au Québec, on a souvent l'impression que ce qui représente la famille royale, c'est le Samedi de la matraque en 1964, alors qu'une émeute avait éclaté lors de la visite de la reine Élizabeth II à l'Assemblée nationale. Ou alors on pense aux éléments négatifs liés à la mort de Lady Diana dans les années 90. Le prince William viendra rajeunir un peu le visage de la monarchie britannique. Chaque génération apporte quelque chose de nouveau, montrant que la famille royale est en pleine évolution», poursuit-il.
M. Boisvert estime que l'animosité envers la famille royale semble à la baisse au Québec malgré le désir de certains groupes souverainistes de manifester contre la visite. «Les groupes opposés sont plus petits et plus marginaux et dans les sondages, on note davantage d'indifférence que de sentiments négatifs ainsi qu'une petite hausse d'intérêt.»
Rockstar
Le prince William, dont le mariage a été fort médiatisé, serait la raison principale de cette hausse d'intérêt pour la monarchie. «Toutes les jeunes filles adorent William, et Kate a réussi à charmer la population elle aussi. Ça ajoute un côté glamour, un peu rockstar à la monarchie», poursuit Étienne Boisvert.
«Mais il faut garder à l'esprit qu'ils ne sont pas des vedettes de cinéma, mais bien des gens qui ont une tâche et un devoir beaucoup plus grand, notamment au niveau des oeuvres philanthropiques et pour contribuer à l'identité nationale», enchaîne-t-il.
Pour le Canada, Étienne Boisvert estime que les visites royales sont maintenant des occasions de célébrer ses réalisations.
«En 2009, le prince Charles avait visité le Cirque du Soleil et l'an passé, la reine Élizabeth II avait célébré la fête du Canada en terre canadienne, ce que fera aussi le prince William cette année», conclut-il.
1,79 $ pour la monarchie
Si les opposants à la monarchie promettent de manifester lors de la visite du couple princier, d'autres, comme la Ligue monarchiste canadienne, voient la visite de Kate et William comme un moment important pour le Canada.
«Moi, j'irai à Ottawa lors de leur visite et probablement que je les suivrai aussi à Québec et Montréal», avoue Étienne Boisvert, porte-parole francophone de la Ligue monarchiste du Canada.
Pour les monarchistes, les membres de la famille royale donnent leur vie au service public. «Et c'est un mythe de dire que ça coûte cher aux Canadiens, qui ne paient pas pour le palais de Buckingham ou les activités de la reine à l'extérieur du Canada», souligne-t-il.
Selon la Ligue monarchiste du Canada, la monarchie coûterait annuellement 1,79 $ à chaque Canadien. Quant à la tournée du couple, la Ligue évalue qu'elle coûtera de six à sept cents par Canadien, mais qu'elle provoquera des retombées économiques plus importantes.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/act ... ticle_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Visite royale: un couple glamour pour recréer des liens avec le Québec
Ian Bussières
Le Soleil
(Québec) La tournée canadienne du prince William et de sa femme, Kate Middleton, sera pour la famille royale une occasion de démontrer son attachement au Canada et de recréer des liens avec le Québec, estime Étienne Boisvert, étudiant à la maîtrise en sciences politiques à l'Université de Sherbrooke et porte-parole francophone de la Ligue monarchiste du Canada.
«Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de leur premier voyage officiel à l'extérieur du Royaume-Uni. Ça illustre clairement l'intérêt et l'attachement de la famille royale envers le Canada, surtout que c'est la troisième fois en trois ans, après le prince Charles en 2009 et la reine Élizabeth II en 2010, que des membres de la famille royale se rendent au Canada», explique M. Boisvert.
Celui-ci croit que la famille royale souhaite démontrer que la Couronne britannique est toujours présente au Canada et que le prince veut aussi présenter le Canada à sa femme.
«Kate Middleton ne s'est jamais rendue au Canada, dont elle deviendra éventuellement la reine. Sur cet aspect, ça ressemble beaucoup à la première visite canadienne de la princesse Élizabeth en 1951, deux ans avant son accession au trône. Les liens se tissent par les visites.»
«En pleine évolution»
Pour Étienne Boisvert, le passage du couple royal à Montréal le 2 juillet et à Québec le lendemain représente également un désir de reconstruire l'image de la famille royale dans la Belle Province.
«Au Québec, on a souvent l'impression que ce qui représente la famille royale, c'est le Samedi de la matraque en 1964, alors qu'une émeute avait éclaté lors de la visite de la reine Élizabeth II à l'Assemblée nationale. Ou alors on pense aux éléments négatifs liés à la mort de Lady Diana dans les années 90. Le prince William viendra rajeunir un peu le visage de la monarchie britannique. Chaque génération apporte quelque chose de nouveau, montrant que la famille royale est en pleine évolution», poursuit-il.
M. Boisvert estime que l'animosité envers la famille royale semble à la baisse au Québec malgré le désir de certains groupes souverainistes de manifester contre la visite. «Les groupes opposés sont plus petits et plus marginaux et dans les sondages, on note davantage d'indifférence que de sentiments négatifs ainsi qu'une petite hausse d'intérêt.»
Rockstar
Le prince William, dont le mariage a été fort médiatisé, serait la raison principale de cette hausse d'intérêt pour la monarchie. «Toutes les jeunes filles adorent William, et Kate a réussi à charmer la population elle aussi. Ça ajoute un côté glamour, un peu rockstar à la monarchie», poursuit Étienne Boisvert.
«Mais il faut garder à l'esprit qu'ils ne sont pas des vedettes de cinéma, mais bien des gens qui ont une tâche et un devoir beaucoup plus grand, notamment au niveau des oeuvres philanthropiques et pour contribuer à l'identité nationale», enchaîne-t-il.
Pour le Canada, Étienne Boisvert estime que les visites royales sont maintenant des occasions de célébrer ses réalisations.
«En 2009, le prince Charles avait visité le Cirque du Soleil et l'an passé, la reine Élizabeth II avait célébré la fête du Canada en terre canadienne, ce que fera aussi le prince William cette année», conclut-il.
1,79 $ pour la monarchie
Si les opposants à la monarchie promettent de manifester lors de la visite du couple princier, d'autres, comme la Ligue monarchiste canadienne, voient la visite de Kate et William comme un moment important pour le Canada.
«Moi, j'irai à Ottawa lors de leur visite et probablement que je les suivrai aussi à Québec et Montréal», avoue Étienne Boisvert, porte-parole francophone de la Ligue monarchiste du Canada.
Pour les monarchistes, les membres de la famille royale donnent leur vie au service public. «Et c'est un mythe de dire que ça coûte cher aux Canadiens, qui ne paient pas pour le palais de Buckingham ou les activités de la reine à l'extérieur du Canada», souligne-t-il.
Selon la Ligue monarchiste du Canada, la monarchie coûterait annuellement 1,79 $ à chaque Canadien. Quant à la tournée du couple, la Ligue évalue qu'elle coûtera de six à sept cents par Canadien, mais qu'elle provoquera des retombées économiques plus importantes.
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Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
scuser mais sa cest vraiment ridicule...Anya a écrit : Publié le 27 juin 2011 à 15h24 | Mis à jour à 19h04
Visite royale: le RRQ recrute des «gros bras» pour sa manifestation
c'est bin correct de pas aimer la monarchie ET de vouloir manifester (sans toutefois vouloir rien faire de ''mal'') et tout mais de vouloir faire des choses pour changer les plans de route du couple ou tout autre acte vraiment niaiseuse c'est vraiment stupide !! franchement
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MsPontchartrain
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- Inscription : mar. mai 04, 2010 1:55 am
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Comment on dit donc ..? Ah oui, toute dans les muscles, pis rien dans tête 
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Merci Anya pour les articles.Anya a écrit : Publié le 27 juin 2011 à 05h00 | Mis à jour à 08h26
Visite royale: un couple glamour pour recréer des liens avec le Québec
Ian Bussières
Le Soleil
(Québec) La tournée canadienne du prince William et de sa femme, Kate Middleton, sera pour la famille royale une occasion de démontrer son attachement au Canada et de recréer des liens avec le Québec, estime Étienne Boisvert, étudiant à la maîtrise en sciences politiques à l'Université de Sherbrooke et porte-parole francophone de la Ligue monarchiste du Canada.
«Il ne faut pas oublier qu'il s'agit de leur premier voyage officiel à l'extérieur du Royaume-Uni. Ça illustre clairement l'intérêt et l'attachement de la famille royale envers le Canada, surtout que c'est la troisième fois en trois ans, après le prince Charles en 2009 et la reine Élizabeth II en 2010, que des membres de la famille royale se rendent au Canada», explique M. Boisvert.
Celui-ci croit que la famille royale souhaite démontrer que la Couronne britannique est toujours présente au Canada et que le prince veut aussi présenter le Canada à sa femme.
«Kate Middleton ne s'est jamais rendue au Canada, dont elle deviendra éventuellement la reine. Sur cet aspect, ça ressemble beaucoup à la première visite canadienne de la princesse Élizabeth en 1951, deux ans avant son accession au trône. Les liens se tissent par les visites.»
«En pleine évolution»
Pour Étienne Boisvert, le passage du couple royal à Montréal le 2 juillet et à Québec le lendemain représente également un désir de reconstruire l'image de la famille royale dans la Belle Province.
«Au Québec, on a souvent l'impression que ce qui représente la famille royale, c'est le Samedi de la matraque en 1964, alors qu'une émeute avait éclaté lors de la visite de la reine Élizabeth II à l'Assemblée nationale. Ou alors on pense aux éléments négatifs liés à la mort de Lady Diana dans les années 90. Le prince William viendra rajeunir un peu le visage de la monarchie britannique. Chaque génération apporte quelque chose de nouveau, montrant que la famille royale est en pleine évolution», poursuit-il.
M. Boisvert estime que l'animosité envers la famille royale semble à la baisse au Québec malgré le désir de certains groupes souverainistes de manifester contre la visite. «Les groupes opposés sont plus petits et plus marginaux et dans les sondages, on note davantage d'indifférence que de sentiments négatifs ainsi qu'une petite hausse d'intérêt.»
Rockstar
Le prince William, dont le mariage a été fort médiatisé, serait la raison principale de cette hausse d'intérêt pour la monarchie. «Toutes les jeunes filles adorent William, et Kate a réussi à charmer la population elle aussi. Ça ajoute un côté glamour, un peu rockstar à la monarchie», poursuit Étienne Boisvert.
«Mais il faut garder à l'esprit qu'ils ne sont pas des vedettes de cinéma, mais bien des gens qui ont une tâche et un devoir beaucoup plus grand, notamment au niveau des oeuvres philanthropiques et pour contribuer à l'identité nationale», enchaîne-t-il.
Pour le Canada, Étienne Boisvert estime que les visites royales sont maintenant des occasions de célébrer ses réalisations.
«En 2009, le prince Charles avait visité le Cirque du Soleil et l'an passé, la reine Élizabeth II avait célébré la fête du Canada en terre canadienne, ce que fera aussi le prince William cette année», conclut-il.
1,79 $ pour la monarchie
Si les opposants à la monarchie promettent de manifester lors de la visite du couple princier, d'autres, comme la Ligue monarchiste canadienne, voient la visite de Kate et William comme un moment important pour le Canada.
«Moi, j'irai à Ottawa lors de leur visite et probablement que je les suivrai aussi à Québec et Montréal», avoue Étienne Boisvert, porte-parole francophone de la Ligue monarchiste du Canada.
Pour les monarchistes, les membres de la famille royale donnent leur vie au service public. «Et c'est un mythe de dire que ça coûte cher aux Canadiens, qui ne paient pas pour le palais de Buckingham ou les activités de la reine à l'extérieur du Canada», souligne-t-il.
Selon la Ligue monarchiste du Canada, la monarchie coûterait annuellement 1,79 $ à chaque Canadien. Quant à la tournée du couple, la Ligue évalue qu'elle coûtera de six à sept cents par Canadien, mais qu'elle provoquera des retombées économiques plus importantes.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/act ... ticle_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Je trouve intéressante la partie que j'ai surlignée.
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Zarmela a écrit : [...]
Merci Anya pour les articles.
Je trouve intéressante la partie que j'ai surlignée.
Ça me fait plaisir Zarmela
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Madeen a écrit : [...]
En effet, le Canada est encore techniquement sous la gouverne de The Queen . Ce qui explique pourquoi on a encore son royal profil sur les pièces de monnaie.
Si je me trompe pas, elle fait une visite de courtoisie au Canada chaque année, non?
Mais je maintiens qu'ils devraient dépenser eux-mêmes pour leurs voyages.
Si je ne me trompe pas, y a fort longtemps que la Reine a redonner toute liberté au Canada...
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Pas tant, c'est en 1982zeronorth a écrit : [...]
Si je ne me trompe pas, y a fort longtemps que la Reine a redonner toute liberté au Canada...
http://www.histori.ca/peace/page.do;jse ... pageID=259" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Ha, ben j etais en maternelle, donc, ca fait fort longtemps!!Mirianne a écrit : [...]
Pas tant, c'est en 1982
http://www.histori.ca/peace/page.do;jse ... pageID=259" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
En effet.zeronorth a écrit : [...]
Ha, ben j etais en maternelle, donc, ca fait fort longtemps!!
Comment dire... The Queen est comme une mère qui a laissé ses enfants quitté la maison, mais dont elle surveille toujours s'ils sont pas dans le trouble.
Je sais pas comment le dire, mais elle est encore attachée au Canada d'une certaine façon.
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Madeen a écrit : [...]
En effet.
Comment dire... The Queen est comme une mère qui a laissé ses enfants quitté la maison, mais dont elle surveille toujours s'ils sont pas dans le trouble.
Je sais pas comment le dire, mais elle est encore attachée au Canada d'une certaine façon.
C est plutot symbolique comme attachement je crois! Mais j aime bien ta comparaison!! 
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
C'est très drôle car à l'hôpital, on sait exactement quel chemin emprunteront le prince et sa femme en regardant la fraîcheur de la peinture sur les murs Ya eu un peu de décos ces derniers jours! Mon département est donc très partiellement réarangé, juste là où les visiteurs vont passer
Ya eu un peu de décos ces derniers jours! Mon département est donc très partiellement réarangé, juste là où les visiteurs vont passer Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Publié le 29 juin 2011 à 06h40 | Mis à jour à 06h40
La page couverture qui soulève la polémique
Richard Hétu, collaboration spéciale
La Presse
(New York) Du temps où elle dirigeait les magazines Vanity Fair et The New Yorker, Tina Brown était connue comme la reine du buzz, une allusion à son don de publier des articles dont tout le monde parle.
La journaliste d'origine britannique veut sans doute reconquérir ce titre avec l'hebdomadaire américain Newsweek, dont la page couverture soulève la polémique cette semaine aux États-Unis. On y voit une photo truquée de la princesse Diana à 50 ans - l'âge qu'elle aurait eu le 1er juillet si elle n'était pas morte -, marchant au côté de Kate, duchesse de Cambridge.
Tina Brown, qui a fait paraître en 2007 un livre intitulé The Diana Chronicles, signe dans les pages intérieures de l'hebdo un article dans lequel elle imagine ce que serait devenue Diana. Transplantée à New York, la princesse quinquagénaire n'aurait échappé ni au Botox ni à Facebook, et encore moins à Twitter, dont elle se serait notamment servie pour communiquer avec ses «followers» à partir de Davos.
Le reportage de Newsweek est également illustré d'une photo de Diana tenant un iPhone.
Réactions partagées
Le buzz entourant le spécial Diana de Newsweek est loin d'être unanime, si l'on se fie à des sondages menés auprès des lecteurs du Los Angeles Times et du site internet The Huffington Post. Près de la moitié des lecteurs du Times estiment que la couverture de l'hebdo est «horriblement offensante».
Depuis le début de l'année, Tina Brown est à la tête d'un curieux mariage entre son site internet The Daily Beast, lancé en 2008, et le Newsweek, un hebdo en perte de vitesse qui a été racheté du Washington Post l'an dernier par le milliardaire Sidney Harman.
«Je vois Newsweek et The Beast comme un mariage entre la profondeur journalistique de Newsweek et la vitalité polyvalente que The Daily Beast a installée sur le web», avait fait valoir Tina Brown en novembre dernier.
Sur Twitter, Janice Turner, chroniqueuse du London Times, a probablement offert la critique la plus féroce de la couverture de Newsweek: «Renversant. Pourquoi Newsweek n'a-t-il pas ramé jusqu'à l'île d'Althrop, exhumé et photographié le cadavre pourri de Diana?»
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La page couverture qui soulève la polémique
Richard Hétu, collaboration spéciale
La Presse
(New York) Du temps où elle dirigeait les magazines Vanity Fair et The New Yorker, Tina Brown était connue comme la reine du buzz, une allusion à son don de publier des articles dont tout le monde parle.
La journaliste d'origine britannique veut sans doute reconquérir ce titre avec l'hebdomadaire américain Newsweek, dont la page couverture soulève la polémique cette semaine aux États-Unis. On y voit une photo truquée de la princesse Diana à 50 ans - l'âge qu'elle aurait eu le 1er juillet si elle n'était pas morte -, marchant au côté de Kate, duchesse de Cambridge.
Tina Brown, qui a fait paraître en 2007 un livre intitulé The Diana Chronicles, signe dans les pages intérieures de l'hebdo un article dans lequel elle imagine ce que serait devenue Diana. Transplantée à New York, la princesse quinquagénaire n'aurait échappé ni au Botox ni à Facebook, et encore moins à Twitter, dont elle se serait notamment servie pour communiquer avec ses «followers» à partir de Davos.
Le reportage de Newsweek est également illustré d'une photo de Diana tenant un iPhone.
Réactions partagées
Le buzz entourant le spécial Diana de Newsweek est loin d'être unanime, si l'on se fie à des sondages menés auprès des lecteurs du Los Angeles Times et du site internet The Huffington Post. Près de la moitié des lecteurs du Times estiment que la couverture de l'hebdo est «horriblement offensante».
Depuis le début de l'année, Tina Brown est à la tête d'un curieux mariage entre son site internet The Daily Beast, lancé en 2008, et le Newsweek, un hebdo en perte de vitesse qui a été racheté du Washington Post l'an dernier par le milliardaire Sidney Harman.
«Je vois Newsweek et The Beast comme un mariage entre la profondeur journalistique de Newsweek et la vitalité polyvalente que The Daily Beast a installée sur le web», avait fait valoir Tina Brown en novembre dernier.
Sur Twitter, Janice Turner, chroniqueuse du London Times, a probablement offert la critique la plus féroce de la couverture de Newsweek: «Renversant. Pourquoi Newsweek n'a-t-il pas ramé jusqu'à l'île d'Althrop, exhumé et photographié le cadavre pourri de Diana?»
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Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Publié le 29 juin 2011 à 06h57 | Mis à jour à 06h57
Jeunes, royaux et cool?
Sylvie St-Jacques
La Presse
Les photos de noces sont encadrées, les cadeaux ont trouvé leur place dans le cottage de l'île d'Anglesey, le chapeau de Béatrice a trouvé preneur sur eBay et le mariage de l'année est immortalisé à jamais sur les assiettes commémoratives. Alors que Catherine, duchesse de Cambridge, et son prince William se préparent à traverser l'Atlantique et à fouler le sol canadien, une question cruciale s'impose: la lune de miel durera-t-elle entre le jeune couple royal et les observateurs de la monarchie 2.0?
Elaine Lui, journaliste pour le magazine à potins eTalk sur CTV et créatrice du site Lainey Gossip, scrutera les moindres faits et gestes de Kate et William pendant leur visite canadienne. Reconnue pour ses commentaires truculents et pas toujours flatteurs, cette potineuse professionnelle s'est fait une réputation dans le circuit des TMZ, Perez Hilton et compagnie, grâce à ses observations aussi justes qu'impitoyables sur les célébrités contemporaines.
Lainey, au contraire de certains chasseurs de potins qui préfèrent concentrer leur attention sur les allées et venues de Pippa ou les frasques d'Harry, est convaincue que Kate et William sauront alimenter les rédacteurs de chroniques mondaines. Mettant en veilleuse son cynisme, elle a adoré suivre le conte de fées que Buckingham a orchestré.
«Ils sont une excellente matière à potins!», s'enthousiasme Elaine Lui, jointe au téléphone à Toronto, où elle se prépare pour le tourbillon médiatique de la visite royale.
«Bien sûr, ils ne sont pas aussi délinquants que le prince Harry. Ils se comportent de manière impeccable et comprennent bien leur fonction.»
On a beau vouloir réinventer la monarchie et faire oublier les catastrophes du passé, certaines choses ne changeront jamais. Elaine Lui note que, à l'instar de la défunte Diana, Kate est scrutée pour sa taille de guêpe. «Elle semble avoir perdu du poids», note Lui, qui prédit toutefois que la nouvelle femme de William est mieux outillée pour composer avec la pression. En revanche, cette spécialiste des potins doute que l'avenir de la duchesse de Cambridge soit parfumé de scandales. Pas de clichés compromettants à la Fergie à se mettre sous la dent ou de rumeurs de liaisons avec des membres du personnel, à la Lady Di et compagnie.
«Elle a sans doute des secrets qui restent à découvrir», concède Elaine Lui, qui nous informe que la nouvelle princesse camoufle à ses sujets un petit défaut assez mal vu: elle fume la cigarette. «Dans les cercles de potins, tout le monde sait que Kate fume pour composer avec le stress.»
Marketing royal
On sait qu'au moment où elle est apparue au monde entier dans sa robe Sarah Burton pour Alexander McQueen, des dessinateurs du monde entier se sont précipités sur leur planche à dessin pour copier la tenue nuptiale royale. Au Québec, où la ferveur monarchique est nettement moins forte qu'ailleurs au pays, on peut aussi retrouver des robes d'inspiration Kate (et Pippa) au Château, qui lance cette semaine deux modèles inspirés du mariage royal.
Les toilettes offertes par Le Château ne portent pas les noms de Kate et Pippa, mais s'inspirent manifestement du mariage de l'année. «Nous ciblons la cliente qui magasine chez nous, ainsi que toutes les femmes à la recherche d'une robe inspirée du mariage royal. Nous croyons qu'en offrant à nos clientes des options de longueurs et de couleurs, nous attirerons tous les âges, puisque le style est intemporel chez Le Château», indique Courtenay Fishman, directrice de création de la bannière.
Kate Middleton, au contraire de Diana qui aimait sortir en Yves Saint Laurent et en Valentino, se présente dans les fonctions officielles dans des styles plus jeunes (et moins exclusifs). Lors d'un dîner avec les Obama, Kate portait une robe Reiss évaluée à 340$. Au moment de la publication des photos de Kate discutant avec Michelle Obama, le site de Reiss a été inondé de commandes et est même tombé en panne à deux reprises.
Page Facebook, blogues et, prochainement, une visite canadienne mettant en valeur leur jeunesse et leur dynamisme: Kate et William réussiront-ils à dépoussiérer la monarchie sans scandales ni faux pas?
Selon Elaine Lui, cette stratégie se manifeste jusque dans le choix des célébrités - Elton John, David et Victoria Beckhamet compagnie- avec lesquelles le jeune couple socialise. «En frayant avec de telles personnalités associées à un «branding british», il est clair que le prince veut que la monarchie soit vue comme cool», estime Lui.
Il reste à voir si leur rencontre avec les jeunes chefs de l'ITHQ et leur visite à Sainte-Justine, pendant leurs 24 heures à Montréal, redoreront leur blason auprès des jeunes Québécois.
Si, dans six mois, on trouve les tenues nuptiales à la Kate dans la section «solde» du Château, on aura un peu la réponse...
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Jeunes, royaux et cool?
Sylvie St-Jacques
La Presse
Les photos de noces sont encadrées, les cadeaux ont trouvé leur place dans le cottage de l'île d'Anglesey, le chapeau de Béatrice a trouvé preneur sur eBay et le mariage de l'année est immortalisé à jamais sur les assiettes commémoratives. Alors que Catherine, duchesse de Cambridge, et son prince William se préparent à traverser l'Atlantique et à fouler le sol canadien, une question cruciale s'impose: la lune de miel durera-t-elle entre le jeune couple royal et les observateurs de la monarchie 2.0?
Elaine Lui, journaliste pour le magazine à potins eTalk sur CTV et créatrice du site Lainey Gossip, scrutera les moindres faits et gestes de Kate et William pendant leur visite canadienne. Reconnue pour ses commentaires truculents et pas toujours flatteurs, cette potineuse professionnelle s'est fait une réputation dans le circuit des TMZ, Perez Hilton et compagnie, grâce à ses observations aussi justes qu'impitoyables sur les célébrités contemporaines.
Lainey, au contraire de certains chasseurs de potins qui préfèrent concentrer leur attention sur les allées et venues de Pippa ou les frasques d'Harry, est convaincue que Kate et William sauront alimenter les rédacteurs de chroniques mondaines. Mettant en veilleuse son cynisme, elle a adoré suivre le conte de fées que Buckingham a orchestré.
«Ils sont une excellente matière à potins!», s'enthousiasme Elaine Lui, jointe au téléphone à Toronto, où elle se prépare pour le tourbillon médiatique de la visite royale.
«Bien sûr, ils ne sont pas aussi délinquants que le prince Harry. Ils se comportent de manière impeccable et comprennent bien leur fonction.»
On a beau vouloir réinventer la monarchie et faire oublier les catastrophes du passé, certaines choses ne changeront jamais. Elaine Lui note que, à l'instar de la défunte Diana, Kate est scrutée pour sa taille de guêpe. «Elle semble avoir perdu du poids», note Lui, qui prédit toutefois que la nouvelle femme de William est mieux outillée pour composer avec la pression. En revanche, cette spécialiste des potins doute que l'avenir de la duchesse de Cambridge soit parfumé de scandales. Pas de clichés compromettants à la Fergie à se mettre sous la dent ou de rumeurs de liaisons avec des membres du personnel, à la Lady Di et compagnie.
«Elle a sans doute des secrets qui restent à découvrir», concède Elaine Lui, qui nous informe que la nouvelle princesse camoufle à ses sujets un petit défaut assez mal vu: elle fume la cigarette. «Dans les cercles de potins, tout le monde sait que Kate fume pour composer avec le stress.»
Marketing royal
On sait qu'au moment où elle est apparue au monde entier dans sa robe Sarah Burton pour Alexander McQueen, des dessinateurs du monde entier se sont précipités sur leur planche à dessin pour copier la tenue nuptiale royale. Au Québec, où la ferveur monarchique est nettement moins forte qu'ailleurs au pays, on peut aussi retrouver des robes d'inspiration Kate (et Pippa) au Château, qui lance cette semaine deux modèles inspirés du mariage royal.
Les toilettes offertes par Le Château ne portent pas les noms de Kate et Pippa, mais s'inspirent manifestement du mariage de l'année. «Nous ciblons la cliente qui magasine chez nous, ainsi que toutes les femmes à la recherche d'une robe inspirée du mariage royal. Nous croyons qu'en offrant à nos clientes des options de longueurs et de couleurs, nous attirerons tous les âges, puisque le style est intemporel chez Le Château», indique Courtenay Fishman, directrice de création de la bannière.
Kate Middleton, au contraire de Diana qui aimait sortir en Yves Saint Laurent et en Valentino, se présente dans les fonctions officielles dans des styles plus jeunes (et moins exclusifs). Lors d'un dîner avec les Obama, Kate portait une robe Reiss évaluée à 340$. Au moment de la publication des photos de Kate discutant avec Michelle Obama, le site de Reiss a été inondé de commandes et est même tombé en panne à deux reprises.
Page Facebook, blogues et, prochainement, une visite canadienne mettant en valeur leur jeunesse et leur dynamisme: Kate et William réussiront-ils à dépoussiérer la monarchie sans scandales ni faux pas?
Selon Elaine Lui, cette stratégie se manifeste jusque dans le choix des célébrités - Elton John, David et Victoria Beckhamet compagnie- avec lesquelles le jeune couple socialise. «En frayant avec de telles personnalités associées à un «branding british», il est clair que le prince veut que la monarchie soit vue comme cool», estime Lui.
Il reste à voir si leur rencontre avec les jeunes chefs de l'ITHQ et leur visite à Sainte-Justine, pendant leurs 24 heures à Montréal, redoreront leur blason auprès des jeunes Québécois.
Si, dans six mois, on trouve les tenues nuptiales à la Kate dans la section «solde» du Château, on aura un peu la réponse...
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Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Ils arrivent au Canada demain! 
Re: Prince William & Kate Middleton's Royal Wedding
Publié le 29 juin 2011 à 12h59 | Mis à jour à 12h59
Harper dévoile un drapeau pour la visite royale au Canada
La Presse Canadienne
Ottawa
Le premier ministre Stephen Harper dévoile un nouveau drapeau personnel à utiliser au Canada pour le prince William, duc de Cambridge.
Ce drapeau sera hissé pour la première fois jeudi lorsque le duc et Kate Middleton, duchesse de Cambridge, arriveront à Ottawa pour entamer leur tournée royale de neuf jours au Canada, jusqu'au 8 juillet.
Dans un communiqué, le premier ministre affirme que ce drapeau est un témoignage des liens privilégiés qui unissent le Canada et la famille royale et qu'il rend hommage à notre histoire, à nos traditions et à nos institutions communes.
Il a été élaboré par l'Autorité héraldique du Canada à la résidence du Gouverneur général, à Ottawa. Lorsque le duc de Cambridge sera au Canada, son drapeau flottera jour et nuit sur les édifices dans lesquels il résidera ainsi que sur tous les véhicules dans lesquels il prendra place.
Le nouveau drapeau se compose des Armoiries royales du Canada auxquelles s'ajoute, au centre, le monogramme personnel du duc de Cambridge dans une couronne de feuilles d'érable et de coquilles. Ce symbole a été emprunté à ses armoiries personnelles.
La couronne de son monogramme, qui surmonte la lettre W, indique qu'il est le fils de l'héritier présomptif de la Couronne. La marque héraldique distinctive du duc de Cambridge, une bannière blanche à trois pointes ornée d'une coquille rouge en son centre, figure au faîte.
C'est le premier drapeau personnel créé pour un membre de la famille royale au Canada depuis 1962, moment où on a annoncé que la reine Élisabeth II avait adopté un drapeau personnel pour son propre usage au Canada.
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Harper dévoile un drapeau pour la visite royale au Canada
La Presse Canadienne
Ottawa
Le premier ministre Stephen Harper dévoile un nouveau drapeau personnel à utiliser au Canada pour le prince William, duc de Cambridge.
Ce drapeau sera hissé pour la première fois jeudi lorsque le duc et Kate Middleton, duchesse de Cambridge, arriveront à Ottawa pour entamer leur tournée royale de neuf jours au Canada, jusqu'au 8 juillet.
Dans un communiqué, le premier ministre affirme que ce drapeau est un témoignage des liens privilégiés qui unissent le Canada et la famille royale et qu'il rend hommage à notre histoire, à nos traditions et à nos institutions communes.
Il a été élaboré par l'Autorité héraldique du Canada à la résidence du Gouverneur général, à Ottawa. Lorsque le duc de Cambridge sera au Canada, son drapeau flottera jour et nuit sur les édifices dans lesquels il résidera ainsi que sur tous les véhicules dans lesquels il prendra place.
Le nouveau drapeau se compose des Armoiries royales du Canada auxquelles s'ajoute, au centre, le monogramme personnel du duc de Cambridge dans une couronne de feuilles d'érable et de coquilles. Ce symbole a été emprunté à ses armoiries personnelles.
La couronne de son monogramme, qui surmonte la lettre W, indique qu'il est le fils de l'héritier présomptif de la Couronne. La marque héraldique distinctive du duc de Cambridge, une bannière blanche à trois pointes ornée d'une coquille rouge en son centre, figure au faîte.
C'est le premier drapeau personnel créé pour un membre de la famille royale au Canada depuis 1962, moment où on a annoncé que la reine Élisabeth II avait adopté un drapeau personnel pour son propre usage au Canada.
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