Des nouvelles d'Alexandre Bélair:
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Modérateur : Elise-Gisèle
catherineh a écrit : Des nouvelles d'Alexandre Bélair:
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C'est un académicien?Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois 
Dans le journal de Montréal et Québec
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Je trouve Sophie la plus cute de SA 2012 suivie de près par Andréanne A. Et encore plus quand elle est tout en jambes comme au gala d'hier. Mais j'ai souvent de la difficulté à reconnaitre le visage de Sophie à la télé comme en photo, tellement je lui trouve des looks différents.
Encore une fois, sur les photos de l'album de SA (dans un des posts précédents), même s'ils sont tous méga-photoshoppés, je les ai tous reconnus au premier coup d'oeil.... sauf Sophie.
J'en ai déduit que c'était bien elle en me fiant sur ses cheveux foncés et qu'elle n'a pas les grands yeux ni le sourire de la brune Joannie.
Je la trouve toujours jolie... mais insaissable à la fois. Insaissisable autant dans son look que dans son caractère. Pas facile à "sizer" la Sophie et je sais pas trop pourquoi. Mais j'aime bien être intrigué.
Encore une fois, sur les photos de l'album de SA (dans un des posts précédents), même s'ils sont tous méga-photoshoppés, je les ai tous reconnus au premier coup d'oeil.... sauf Sophie.
J'en ai déduit que c'était bien elle en me fiant sur ses cheveux foncés et qu'elle n'a pas les grands yeux ni le sourire de la brune Joannie.
Je la trouve toujours jolie... mais insaissable à la fois. Insaissisable autant dans son look que dans son caractère. Pas facile à "sizer" la Sophie et je sais pas trop pourquoi. Mais j'aime bien être intrigué.
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peppermintpatty
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Re: Tous les articles
On peut voir sur l'enregistrement de Bureau du Médecin qu'elle chante avec Les Trois Accord,
il y a des prises de son visage qui sont vraiment très, très belles.
il y a des prises de son visage qui sont vraiment très, très belles.
Re: Tous les articles
Voici un article très intéressant de Marc Cassivi dans La Presse
Rester authentique.
Rester authentique dans sa démarche artistique. S'il y a un conseil que les psychologues peuvent donner à un artiste qui a connu un échec ou un passage à vide, c'est celui-là.
L'époque est au succès instantané. Les candidats de Star Académie se retrouvent du jour au lendemain à l'avant-scène, devant quelque deux millions de téléspectateurs. On fait miroiter la lune à ces chanteurs amateurs. Pour une minorité, il s'agira d'une fabuleuse rampe de lancement. Pour la plupart, ce sera le moment fort d'une carrière qui n'ira malheureusement qu'en déclinant.
«Il n'y a pas de livre d'instructions sur comment gérer son succès», rappelle le psychologue Bruno Ouellette, qui travaille entre autres avec des artistes et des athlètes de haut niveau. «Les concurrents d'émissions comme Star Académie n'ont pas la chance d'apprivoiser la célébrité. Ils sont parachutés devant les projecteurs. Ce n'est pas une célébrité méritée.»
La psychologue Nathalie Lacaille, qui enseigne la psychologie de la performance artistique à la faculté de musique de l'Université de Montréal, fait un parallèle entre l'expérience que vivent les chanteurs de Star Académie et les gymnastes qui se préparent aux Jeux olympiques. «Combien de jeunes sacrifiés pour obtenir une médaille?», demande-t-elle.
«En musique populaire, dit la psychologue, ce n'est pas tant l'individu qui compte que l'argent qu'il peut faire rapporter en peu de temps. Les chanteurs sont interchangeables. L'un prend la place de l'autre sans que le public ne s'en formalise. C'est un piège dangereux. Ceux qui retombent dans l'oubli vivent souvent une forme de honte.»
Comment garder la tête froide lorsque, à 24 ou 30 ans, l'on n'est déjà plus la «saveur du moment» d'une industrie ingrate qui se lasse, comme du reste le public, de ses idoles après un ou deux albums?
«Plusieurs passent instantanément d'inconnu à vedette, avec une machine derrière qui leur bâtit une image, constate Bruno Ouellette. Lorsqu'ils deviennent célèbres, ils se préoccupent souvent de ce que les gens pensent d'eux. Ils peuvent développer une passion obsessive pour tout ce qui touche au succès, aux ventes, à la critique. La descente peut être longue et pénible. Certains ne s'en remettent pas.»
Rose-Marie Charest, présidente de l'Ordre des psychologues du Québec, se sert souvent de l'image de la poupée russe pour illustrer le danger du succès instantané. «La seule poupée qui est solide, c'est la plus petite. Les plus grosses poupées sont fragiles, surtout si elles ne peuvent pas s'appuyer sur la plus petite.»
Comment survivre, comme artiste, à l'inévitable ressac qui accompagne un succès populaire? Aux années de disette et de remise en question? «Ce qui aide les artistes, c'est de donner un sens à ce qui leur arrive, croit Bruno Ouellette. De se rappeler qu'ils ne font pas de la musique que pour leur public, mais d'abord pour eux, par passion.»
La question fondamentale que les artistes doivent se poser, selon le psychologue, est la suivante: être ou paraître? «C'est l'écart entre l'image que l'on projette et ce que l'on est réellement qui est parfois difficile à concilier, dit-il. Les jeunes artistes doivent bien identifier qui ils sont. Sinon, ils risquent de se perdre dans les standards auxquels l'industrie veut les identifier. Dans une société qui valorise le résultat et le dépassement de soi, il faut bien s'entourer de gens sur qui l'on peut compter, qui ne sont pas là seulement pour des raisons économiques. Quand les artistes se retrouvent seuls après un grand succès, c'est là que c'est le plus difficile. Il faut qu'ils soient soutenus par les bonnes personnes, pour les bonnes raisons.»
Rose-Marie Charest donne l'exemple de Céline Dion, qui a été encouragée et conseillée depuis le début de sa carrière par sa mère et par son mari, René Angélil. «Céline Dion a été bien entourée. Elle est restée en contact avec ce qu'elle est réellement. Elle n'a pas été fragilisée par le succès.
Elle ne se définit pas que par les apparences. Il est très tentant, pour un artiste qui connaît la popularité, de se valoriser par les apparences.»
Le succès a bien sûr de nombreuses conséquences positives, entre autres sur l'estime de soi, constate Rose-Marie Charest. Surtout lorsqu'il est à la mesure du talent d'un artiste. «Le succès contribue à notre image. Sauf qu'aujourd'hui, avec Facebook par exemple, on se définit très jeune par l'image que l'on projette. La réelle estime de soi est la racine de ce que l'on est comme personne. Et l'on n'est pas seulement une image.»
«Notre société divise les gens entre gagnants et perdants, remarque Nathalie Lacaille. N'importe qui dont le visage est à la télé passe pour quelqu'un qui réussit. Le succès gonfle l'ego. Pour une personne qui a confiance en elle de façon saine, dont l'estime de soi n'est pas seulement construite sur la reconnaissance des autres, retourner dans l'ombre sera moins difficile. Pour les autres, qui sont adulées tout d'un coup, ne plus avoir de succès peut donner l'impression de ne plus rien valoir.»
La meilleure façon pour un artiste de durer, et de survivre à la fois au succès et à l'échec, c'est que sa démarche soit authentique et personnelle, croit le psychothérapeute Michel Brais. «Plus un artiste se trouve dans une logique où il veut combler les attentes des autres, plus il sera difficile pour lui de se remettre d'un échec.»
Rester authentique.
Rester authentique dans sa démarche artistique. S'il y a un conseil que les psychologues peuvent donner à un artiste qui a connu un échec ou un passage à vide, c'est celui-là.
L'époque est au succès instantané. Les candidats de Star Académie se retrouvent du jour au lendemain à l'avant-scène, devant quelque deux millions de téléspectateurs. On fait miroiter la lune à ces chanteurs amateurs. Pour une minorité, il s'agira d'une fabuleuse rampe de lancement. Pour la plupart, ce sera le moment fort d'une carrière qui n'ira malheureusement qu'en déclinant.
«Il n'y a pas de livre d'instructions sur comment gérer son succès», rappelle le psychologue Bruno Ouellette, qui travaille entre autres avec des artistes et des athlètes de haut niveau. «Les concurrents d'émissions comme Star Académie n'ont pas la chance d'apprivoiser la célébrité. Ils sont parachutés devant les projecteurs. Ce n'est pas une célébrité méritée.»
La psychologue Nathalie Lacaille, qui enseigne la psychologie de la performance artistique à la faculté de musique de l'Université de Montréal, fait un parallèle entre l'expérience que vivent les chanteurs de Star Académie et les gymnastes qui se préparent aux Jeux olympiques. «Combien de jeunes sacrifiés pour obtenir une médaille?», demande-t-elle.
«En musique populaire, dit la psychologue, ce n'est pas tant l'individu qui compte que l'argent qu'il peut faire rapporter en peu de temps. Les chanteurs sont interchangeables. L'un prend la place de l'autre sans que le public ne s'en formalise. C'est un piège dangereux. Ceux qui retombent dans l'oubli vivent souvent une forme de honte.»
Comment garder la tête froide lorsque, à 24 ou 30 ans, l'on n'est déjà plus la «saveur du moment» d'une industrie ingrate qui se lasse, comme du reste le public, de ses idoles après un ou deux albums?
«Plusieurs passent instantanément d'inconnu à vedette, avec une machine derrière qui leur bâtit une image, constate Bruno Ouellette. Lorsqu'ils deviennent célèbres, ils se préoccupent souvent de ce que les gens pensent d'eux. Ils peuvent développer une passion obsessive pour tout ce qui touche au succès, aux ventes, à la critique. La descente peut être longue et pénible. Certains ne s'en remettent pas.»
Rose-Marie Charest, présidente de l'Ordre des psychologues du Québec, se sert souvent de l'image de la poupée russe pour illustrer le danger du succès instantané. «La seule poupée qui est solide, c'est la plus petite. Les plus grosses poupées sont fragiles, surtout si elles ne peuvent pas s'appuyer sur la plus petite.»
Comment survivre, comme artiste, à l'inévitable ressac qui accompagne un succès populaire? Aux années de disette et de remise en question? «Ce qui aide les artistes, c'est de donner un sens à ce qui leur arrive, croit Bruno Ouellette. De se rappeler qu'ils ne font pas de la musique que pour leur public, mais d'abord pour eux, par passion.»
La question fondamentale que les artistes doivent se poser, selon le psychologue, est la suivante: être ou paraître? «C'est l'écart entre l'image que l'on projette et ce que l'on est réellement qui est parfois difficile à concilier, dit-il. Les jeunes artistes doivent bien identifier qui ils sont. Sinon, ils risquent de se perdre dans les standards auxquels l'industrie veut les identifier. Dans une société qui valorise le résultat et le dépassement de soi, il faut bien s'entourer de gens sur qui l'on peut compter, qui ne sont pas là seulement pour des raisons économiques. Quand les artistes se retrouvent seuls après un grand succès, c'est là que c'est le plus difficile. Il faut qu'ils soient soutenus par les bonnes personnes, pour les bonnes raisons.»
Rose-Marie Charest donne l'exemple de Céline Dion, qui a été encouragée et conseillée depuis le début de sa carrière par sa mère et par son mari, René Angélil. «Céline Dion a été bien entourée. Elle est restée en contact avec ce qu'elle est réellement. Elle n'a pas été fragilisée par le succès.
Elle ne se définit pas que par les apparences. Il est très tentant, pour un artiste qui connaît la popularité, de se valoriser par les apparences.»
Le succès a bien sûr de nombreuses conséquences positives, entre autres sur l'estime de soi, constate Rose-Marie Charest. Surtout lorsqu'il est à la mesure du talent d'un artiste. «Le succès contribue à notre image. Sauf qu'aujourd'hui, avec Facebook par exemple, on se définit très jeune par l'image que l'on projette. La réelle estime de soi est la racine de ce que l'on est comme personne. Et l'on n'est pas seulement une image.»
«Notre société divise les gens entre gagnants et perdants, remarque Nathalie Lacaille. N'importe qui dont le visage est à la télé passe pour quelqu'un qui réussit. Le succès gonfle l'ego. Pour une personne qui a confiance en elle de façon saine, dont l'estime de soi n'est pas seulement construite sur la reconnaissance des autres, retourner dans l'ombre sera moins difficile. Pour les autres, qui sont adulées tout d'un coup, ne plus avoir de succès peut donner l'impression de ne plus rien valoir.»
La meilleure façon pour un artiste de durer, et de survivre à la fois au succès et à l'échec, c'est que sa démarche soit authentique et personnelle, croit le psychothérapeute Michel Brais. «Plus un artiste se trouve dans une logique où il veut combler les attentes des autres, plus il sera difficile pour lui de se remettre d'un échec.»
[nouvelle=http://fr.canoe.ca/divertissement/tele- ... .html|STAR ACADÉMIE
Jason Mraz charmé par les candidats]MONTRÉAL – Même si la renommée du chanteur Jason Mraz se fait sentir aux quatre coins de la planète, l'artiste américain est resté ébahi devant les prestations des académiciens, dimanche, à la suite de son passage au septième variété de Star Académie.
«Mes partenaires de duo ont été extraordinaires», a-t-il lancé, après avoir partagé son micro avec Sophie, Andrée-Anne L. et Jean-Marc.[/nouvelle]
Jason Mraz charmé par les candidats]MONTRÉAL – Même si la renommée du chanteur Jason Mraz se fait sentir aux quatre coins de la planète, l'artiste américain est resté ébahi devant les prestations des académiciens, dimanche, à la suite de son passage au septième variété de Star Académie.
«Mes partenaires de duo ont été extraordinaires», a-t-il lancé, après avoir partagé son micro avec Sophie, Andrée-Anne L. et Jean-Marc.[/nouvelle]
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Elise-Gisèle
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- Inscription : sam. oct. 25, 2003 12:00 am
Je trouve que l'article de Cassivi est un peu du n'importe quoi. 
Personne ne fait croire à ces jeunes qu'ils auront une carrière internationale. Rendu à la cinquième édition, ces jeunes artistes savent très bien à quoi s'attendre suite à Star Académie. Je me souviens d'un dîner avec René Angélil, il a dit si vous pensez faire de l'argent suite à votre passage à l'Académie, oubliez ça. Les jeunes sont très réalistes et savent très bien qu'il y aura très peu d'élu parmi eux.
Pierre Lapointe disait comme Cassivi lors de son passage à C'est juste de la télé. J'aime beaucoup Pierre, mais je le trouve très hautain et prétentieux. Est-ce qu'il se rend compte qu'il est privilégié. Il y a une tonne d'artiste qui aimerait avoir du succès. Ce n'est vraiment pas facile pour eux, le marché est petit au Québec. Aussi, est-ce que Pierre oublie qu'il vient d'un concours lui aussi?
Personne ne fait croire à ces jeunes qu'ils auront une carrière internationale. Rendu à la cinquième édition, ces jeunes artistes savent très bien à quoi s'attendre suite à Star Académie. Je me souviens d'un dîner avec René Angélil, il a dit si vous pensez faire de l'argent suite à votre passage à l'Académie, oubliez ça. Les jeunes sont très réalistes et savent très bien qu'il y aura très peu d'élu parmi eux.
Pierre Lapointe disait comme Cassivi lors de son passage à C'est juste de la télé. J'aime beaucoup Pierre, mais je le trouve très hautain et prétentieux. Est-ce qu'il se rend compte qu'il est privilégié. Il y a une tonne d'artiste qui aimerait avoir du succès. Ce n'est vraiment pas facile pour eux, le marché est petit au Québec. Aussi, est-ce que Pierre oublie qu'il vient d'un concours lui aussi?
La liberté n'est pas une marque de yogourt. - Pierre Falardeau
Je l'ai écouté comme à tous les vendredis et il n'a pas dit qu'il n'aimait pas le style '' CONCOURS'' mais plutôt le fait qu'on mette l'emphase sur ACADÉMIE=École c'est pas ça apprendre le métier et e n'est pas vrai qu'ils vont tout apprendre en 2 mois avec des caméras sur eux 24/24 !Elise-Gisèle a écrit : Je trouve que l'article de Cassivi est un peu du n'importe quoi.
Personne ne fait croire à ces jeunes qu'ils auront une carrière internationale. Rendu à la cinquième édition, ces jeunes artistes savent très bien à quoi s'attendre suite à Star Académie. Je me souviens d'un dîner avec René Angélil, il a dit si vous pensez faire de l'argent suite à votre passage à l'Académie, oubliez ça. Les jeunes sont très réalistes et savent très bien qu'il y aura très peu d'élu parmi eux.
Pierre Lapointe disait comme Cassivi lors de son passage à C'est juste de la télé. J'aime beaucoup Pierre, mais je le trouve très hautain et prétentieux. Est-ce qu'il se rend compte qu'il est privilégié. Il y a une tonne d'artiste qui aimerait avoir du succès. Ce n'est vraiment pas facile pour eux, le marché est petit au Québec. Aussi, est-ce que Pierre oublie qu'il vient d'un concours lui aussi?
Gisèle je pensais comme toi quand il a commencé a parler (je l'aime pas point P.L.) mais il n'a tellement pas tord!! je vais aller réécouter le segment musique car c'était ds ce celui-ci qu'on parlait comme ça!
"Le plus sur moyen de vaincre la tentation, c'est d'y succomber."
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flashgordon
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- Inscription : sam. mars 21, 2009 5:22 pm
Je pense pas que Star Académie a la prétention d'en faire des artistes complets en 2 mois, je crois que le but premier c'est de donnner aux académiciens des outils pour les aider. En tout cas moi je vois ça de même.Kaylee a écrit : [...]
Je l'ai écouté comme à tous les vendredis et il n'a pas dit qu'il n'aimait pas le style '' CONCOURS'' mais plutôt le fait qu'on mette l'emphase sur ACADÉMIE=École c'est pas ça apprendre le métier et e n'est pas vrai qu'ils vont tout apprendre en 2 mois avec des caméras sur eux 24/24 !
Gisèle je pensais comme toi quand il a commencé a parler (je l'aime pas point P.L.) mais il n'a tellement pas tord!! je vais aller réécouter le segment musique car c'était ds ce celui-ci qu'on parlait comme ça!
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flashgordon
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- Inscription : sam. mars 21, 2009 5:22 pm
La personne qui a écrit l'article devrait se relire, il a écrit que Andrée-Anne Leclerc a reçu une étoile parce qu'elle a été sauvée par les juges en chantant sa composition Les cons. Je veux bien croire que c'est mêlant 2 Andrée-Anne, mais quand même...Anya a écrit : [nouvelle=http://fr.canoe.ca/divertissement/tele- ... .html|STAR ACADÉMIE
Jason Mraz charmé par les candidats]MONTRÉAL – Même si la renommée du chanteur Jason Mraz se fait sentir aux quatre coins de la planète, l'artiste américain est resté ébahi devant les prestations des académiciens, dimanche, à la suite de son passage au septième variété de Star Académie.
«Mes partenaires de duo ont été extraordinaires», a-t-il lancé, après avoir partagé son micro avec Sophie, Andrée-Anne L. et Jean-Marc.[/nouvelle]
flashgordon a écrit : [...]
La personne qui a écrit l'article devrait se relire, il a écrit que Andrée-Anne Leclerc a reçu une étoile parce qu'elle a été sauvée par les juges en chantant sa composition Les cons. Je veux bien croire que c'est mêlant 2 Andrée-Anne, mais quand même...
En effet...Je vois souvent des articles qui parlent d'artistes et souvent ils se mêlent avec un autre ou bien ils écrivent les noms tout croche...-
Elise-Gisèle
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- Inscription : sam. oct. 25, 2003 12:00 am
Ce qui me choque de Monsieur Lapointe c'est qu'il fait parti des chanceux pour qui la carrière fonctionne, donc il se permet de cracher sur SA. Je me souviens du rapport Académie=École, dans un sens oui c'est une école, les jeunes suivent des cours intensifs, comme j'ai déjà fait dans d'autres matières. Ils ne partent pas de rien quand même, la majorité de ces jeunes chantent et jouent de la musique depuis leur enfance. Pour ce qui est des caméras, je n'ai jamais compris le but mais bien des gens aiment ça, et passent leurs journées et soirées à observer et commenter tout ce qui s'y passe. Ce n'est pas ma tasse de thé mais je n'ai pas à juger ceux qui aiment ça.Kaylee a écrit : [...]
Je l'ai écouté comme à tous les vendredis et il n'a pas dit qu'il n'aimait pas le style '' CONCOURS'' mais plutôt le fait qu'on mette l'emphase sur ACADÉMIE=École c'est pas ça apprendre le métier et e n'est pas vrai qu'ils vont tout apprendre en 2 mois avec des caméras sur eux 24/24 !
Gisèle je pensais comme toi quand il a commencé a parler (je l'aime pas point P.L.) mais il n'a tellement pas tord!! je vais aller réécouter le segment musique car c'était ds ce celui-ci qu'on parlait comme ça!
Les jeunes savent que Star Académie c'est 10 semaines intensives + l'album + la tournée. Ensuite c'est chacun pour soi. Je n'ai jamais entendu PJ faire croire à quiconque qu'ils auraient le public à leurs pieds et que leur carrière était lancé.
La liberté n'est pas une marque de yogourt. - Pierre Falardeau