Quelques news en vrac des anciens

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Nolwenn Leroy : à la conquête de l'Allemagne !

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Elle en a fait du chemin depuis la Star Academy la petite bretonne. Vous vous souvenez, c'était il y a 10 ans maintenant, la célèbre chanteuse avait remporté la deuxième édition de l'émission phare de TF1, aujourd’hui forte de son succès en France, elle s'attaque à l'Europe...Son succès n'est plus à prouver en France. Son album Bretonne, sorti fin 2010, a fait un véritable carton. Classé premier des charts pendant plusieurs semaines et certifié double disque de diamants (plus d'un million d'exemplaires vendus), l'album de la chanteuse est un succès retentissant ! Alors pourquoi s'arrêter en si bon chemin. La jolie bretonne de 29 ans a donc décidé de passer à la vitesse supérieure et de sortir son album dans plusieurs pays d'Europe et notamment en Allemagne, où elle se trouve en ce moment pour en faire la promotion.

Invitée à chanter sur plusieurs plateaux de TV, elle prend sa promo très à cœur puisqu'elle a même tweeté un lien vers une vidéo qui la montre sur le plateau de la célèbre émission allemande Frühstücksfernsehen.

Tout roule pour Nolwenn, après quelques jours de détente dans sa région natale avec son amoureux, le beau tennisman Arnaud Clément, la belle brune a repris le chemin des salles de concerts et des plateaux de TV.

Entré directement dans le top 20 des meilleures ventes, son album s'est positionné à la 17ème place du top Allemand la semaine même de sa sortie en janvier dernier. Belle performance pour un album qui reprend des classiques celtiques et bretons.

Alors effet de mode ou véritable engouement pour la bretonne en Allemagne?

C.R.

PS: Nolwenn fera les premières parties allemandes de Morten Harket, l'ex-chanteur du groupe norvégien a-ha, qui sera en tournée solo pour promouvoir son 4ème album solo "Out of My hands" (sortie le 14 avril)

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François Raoult (Nouvelle Star), malgré la sirène Elodie Frégé, ne s'égare pas

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Après avoir vogué aux vents divers et incertains des télé-crochets pour le début de son voyage, François Raoult a débarqué début mars 2012 avec Aux frais des quatre saisons, un premier single finistérien comme un étendard battant l'air et hissé haut sur son premier album : Toujours plus loin.


Le chanteur Breton de 27 ans, qui vient de chanter le 16 mars à Caen en première partie de la Bretonne Nolwenn Leroy, a dû ramer, mais est en passe d'arriver à bon port. On l'avait découvert sur W9 à l'occasion de la saison 1 de X Factor en France en 2009, où, après avoir récolté le triple oui des jurés Alain Lanty-Marc Cerrone-Julie Zenatti grâce à sa reprise d'Aston Villa (Raisonne), il avait étalé sa mélancolie en Calogero pour finalement échouer sur la dernière marche des sélections avant les épreuves en prime, sa coach Julie Zenatti louant son chant mais regrettant un manque de charisme et d'assurance. On l'avait retrouvé l'année suivante dans... Nouvelle Star, où, là, il était passé à l'abordage et avait tenu le cap jusqu'à la finale, remportée par Luce. Mais la terre était en vue...

Et alors qu'on l'a remarqué le temps d'un duo sur l'album à succès d'Elisa Tovati, Le Syndrome de Peter Pan (à noter que les paroles du single-titre étaient l'oeuvre de Bertrand Soulier... dont François Raoult fera la première partie le 2 avril à Paris au Café de la danse), François Raoult se présente désormais avec sa propre production : Toujours plus loin, réalisé à deux mains par Benjamin Constant et Benjamin Tesquet et avec la complicité de quelques plumes modernes (Bertrand Soulier, Pierre Dominique Burgaud, David Scrima, Jérôme Attal, Benjamin Tesquet).

Le texte du single Aux frais des quatre saisons, justement, est relativement sibyllin, travaillant comme une marée sauvage son décor et son pouvoir de suggestion, mais très sonore, houleux, enveloppé par le chant enivrant d'une sirène qui d'ailleurs s'y entend en matière d'écriture puisqu'il s'agit... d'Elodie Frégé, elle-même évadée de la télé-réalité. Sa voix, en écumes fantômes, plane et frôle les contours de ce titre qui se veut être "une chanson CV faisant le point sur l'homme et sa météo du coeur" en même temps qu'un hymne à Brest - "ma ville natale, mon code génétique", mais aussi "ma belle, ma tombe". Le sentiment d'appartenance du chanteur breton, qui chante là son mal du pays après avoir élaboré son album entre Paris et la Bretagne, se dessine dans le clip d'Aux frais des quatre saisons, matérialisé par un fil rouge, un fil d'Ariane pour ne pas se perdre dans la jungle parisienne du show-business, qui perfore le décor terni et tanné de couleurs surexposées. Une balise, un lien vital ("Je ne suis pas mort, je suis Breton") pour ne pas s'aliéner.

Un premier aperçu tempêtueux, pop-rock aux accents de guitare électrique nerveux et aux cloches du passé, de Toujours plus loin et ses treize morceaux "qui couvrent chaque hémisphère au gré des ressacs et des courants" : François Raoult "y chante les continents (l'Afrique récurrente avec Teranga ou D'Addis Abeba), les paradis artificiels et la folie en corollaire Mini Bar, Le Balto ivre, les amours déçues Banjo, Casino ou les amours alternatives L'Ombre de moi-même, Le Signalement. Côté musique, on navigue aussi. Ailleurs et dans le temps. Des incursions de cuivres latinos, des guitares britanniques et sixties, des touches électroniques, des violons européens."

G.J.

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Nouvelle Star : Le premier clip de François Raoult tourné à Brest (VIDEO)

Le finaliste de la Nouvelle Star en 2010, François Raoult, vient de sortir le clip de son tout premier single Au frais des quatre saisons, hommage à la ville de Brest.

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Les téléspectateurs Français ne jurent maintenant plus que par The Voice, le télé-crochet nouvelle génération de TF1. Mais avant l'arrivée du programme qui fait la joie chaque samedi soir de la chaîne privée, Nouvelle Star sur M6 était dans le coeur du public. L'émission musicale a révélé de nombreux talents dont Christophe Willem, Julien Doré, Amel Bent, Amandine Bourgeois ou encore Luce. La dernière gagnante du jeu s'était largement imposée face à François Raoult en 2010. Le candidat discret n'a pas pour autant démérité réussissant à se hisser jusqu'à la finale du télé-crochet. Deux ans après son passage dans Nouvelle Star, le jeune breton de 27 ans refait enfin surface, prêt à reconquérir le public.

Le garçon présente un premier single, Aux frais des quatre saisons extrait de l'album Toujours un peu plus loin qui n'a pas encore de date de sortie. Pour illustrer ce titre, le Landernéen s'est rendu à Brest, la ville de son enfance, son "code génétique", selon son site internet. Et cette chanson est un véritable hommage à la "cité du Ponant" qu'il parcourt à pied de la plage du Moulin Blanc au quartier de Recouvrance se lissant guider par un fil rouge qui l'emmènera jusqu'à sa dulcinée. À noter qu'Elodie Frégé, a posé sa voix sur ce premier single.

A noter que François Raoult sera en concert le 2 avril au Café de la Danse, à Paris.

Découvrez le clip de François de Nouvelle Star :

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Le blues des lolitas
Par CLÉMENT GHYS
Une fois leur adolescence et leur succès passés, quelques jeunes chanteuses, comme Jenifer ou Alizée, ont changé leur image et sorti des albums exigeants. Avec plus ou moins de réussite auprès du public. Description d’un phénomène.

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Un tantinet pervers mais plutôt clairvoyant, Serge Gainsbourg faisait chanter, en 1965, à une toute jeune France Gall, ces mots acidulés et cruels: «Chante, danse Baby pop/Comme si demain Baby pop/Ne devait jamais Baby pop/Jamais revenir (…) Un jour ou l’autre c’est obligé/ Tu seras une pauvre gosse/Seule et abandonnée.»

Si la petite blonde alors nattée a connu par la suite une carrière flamboyante, le génial musicien pointait du doigt le difficile passage à l’âge adulte des lolitas de la musique. Cinquante ans après, la question est toujours d’actualité, avec, pourtant, une nouveauté.

Pour marquer la fin de leur adolescence passée sur les plateaux des hit-parades et des émissions de divertissement du samedi soir, les ex-jeunes chanteuses d’aujourd’hui (Alizée, Jenifer, élodie Frégé, Lorie ou encore Nolwenn Leroy) délaissent leur étiquette «mainstream» pour s’acoquiner avec des producteurs et auteurs indés et branchés. Le résultat? Des albums, parfois aboutis ou novateurs, parfois ratés, qui rencontrent à peine un succès d’estime et se soldent par des échecs (relatifs) dans les bacs.

L’heure des choix des poupées de son
Mais qui sont ces chanteuses? Des filles tombées dans la marmite de la soupe musicale quand elles étaient petites, enchaînant les castings et les télé-crochets, entourées par des parents qui remplissent souvent tous les rôles, dont celui de manager. D’emblée, on les considère comme des singes savants, destinés à appâter un public à la fois adolescent et adulte. «Elles sont dans un perpétuel décalage, estime Jean-Louis Gérard, journaliste et auteur de documentaires. Ce sont évidemment des enfants mais elles jonglent avec des plannings qui ne sont pas de leur âge. Quand on les rencontre, on voit qu’elles ont des goûts d’adultes. Par exemple, Priscilla, toute petite, avait une vraie connaissance de la musique soul. »

Une fois la jeune fille repérée, la machinerie des agents et producteurs s’emballe. Elle est associée à un tube (Toujours pas d’amour pour Priscilla, Au soleil pour Jenifer, Je serai… pour Lorie ou Moi… Lolita pour Alizée) qui se vend par palettes entières. Mais au bout de quelques années pendant lesquelles la chanteuse a été résumée à un gimmick musical, le soufflé retombe.

D’autres donzelles sont passées par là, le public a grandi et vient l’heure des choix. Tout arrêter? Continuer à chanter des mélodies sirupeuses à un public qui vous considère comme «vieille»? Ou essayer d’assumer son âge et ses envies? C’est là que la sphère indé intervient.

Guillaume De Maria, du groupe parisien électro Chateau Marmont, évoque sa collaboration avec Alizée pour l’album Une enfant du siècle: «C’était un concours de circonstances, elle voulait travailler avec des musiciens de notre label d’alors, Institubes, et nous, ça nous intéressait de nous frotter à une personne mainstream, reconnaissable par tous.» Ils ont en tête la collaboration entre Madonna et le musicien Mirwais (ex-Taxi Girl) pour l’album American Life, soit l’alliance entre l’entertainment et l’underground.

«On a eu carte blanche, aucune limite, ajoute-t-il, c’était une véritable émulation collective, totalement décomplexée. Nous étions très enthousiastes, et pour elle c’était un univers complètement nouveau.» Ainsi les lolitas apprennent à chanter des mélodies plus sombres, plus ironiques. Alizée rend hommage à Edie Sedgwick, enfant perdue du New York des sixties, Jenifer avoue son goût pour la clope et la vodka, et Nolwenn Leroy se moque de son statut de vedette de télé-réalité dans un morceau signé Laurent Voulzy.

Ces jeunes filles s’idéalisent en vedettes pop, façon Elli Medeiros des années 80, et les producteurs/auteurs se rêvent en nouveaux Jacno, en faiseurs de tubes gratifiés de l’étiquette d’icône underground. Jean-Louis Gérard estime que toutes ces désormais jeunes femmes veulent «suivre le modèle de Vanessa Paradis, qui a débuté avec Joe le taxi et qui suit une carrière impeccable, artistiquement et commercialement». S’agissant de pop, l’aspect lucratif n’est jamais absent, Guilaume De Maria ajoute: «Quoi qu’il arrive, on savait que ça allait se vendre! D’où notre déception par la suite.»


Problème: le jeu de la séduction


A l’époque de la sortie de l’album d’Alizée, la machine se remet en marche. Les attachées de presse bombardent les rédactions de CD promotionnels marqués de slogans du type «L’ex-lolita a mûri». Des consultants et stylistes dessinent une nouvelle image à la jeune femme. Mais peu de crédit est accordé à l’album, et il n’y a eu quasiment aucune chronique des disques d’Alizée (à noter un portrait paru dans Next d’avril 2010), et plus largement de Jenifer ou d’Elodie Frégé.

Selon Jean-Louis Gérard, «dans le cas d’Une enfant du siècle, c’était presque honteux d’oser dire qu’on l’appréciait.» Didier Varrod, journaliste musical à France Inter, voit dans l’album d’Alizée «une recette très alléchante sur le papier, mais qui n’a pas pris, la chanteuse n’ayant pas dépassé le rôle qu’on lui connaissait». Ainsi les ex-lolitas se retrouvent face à une équation compliquée: comment séduire de nouveau le grand public avec des chansons plus marginales?

Jean-Louis Gérard estime que «la plus grande difficulté est d’arriver à ouvrir le champ en gardant toujours l’idée que l’on part d’une base populaire, qui achète des disques dans les hypermarchés… En France, un tournant à 360 degrés n’est pas possible». D’où la froideur de l’accueil réservé au relooking de Lorie, ancienne idole ado au look de participante aux JMJ, et aujourd’hui «marketée» comme un sex-symbol.

Ou à celui de l’album de Jenifer, Appelle-moi Jen, dont Jean-Louis Gérard note avec humour «qu’on est passé de chansons de la gagnante de la Star Ac 1 qui disait qu’elle voulait aller “au soleil” à des morceaux où les paroles sont “ ils pissent partout et s’en vont” ». Public perdu, marché en pleine crise du disque, et proposition musicale en décalage: les ventes des albums ne décollent pas.

Entre indépendance et variété
La question n’est pas qu’une simple histoire de promotion, de chanteuses kleenex et de ventes d’albums, mais bel et bien un enjeu culturel. Ces flops relatifs sont la preuve que l’indé se distille toujours rarement dans le «mainstream». A propos d’Une enfant du siècle d’Alizée, Guillaume De Maria avance l’idée qu’«aux Etats-Unis, un virage artistique de ce type aurait été accueilli différemment».

L’exemple de Justin Timberlake est frappant. Ancien gamin-star du Mickey Mouse Club (avec Ryan Gosling, Britney Spears et Christina Aguilera), le jeune homme a modifié son image au point d’incarner, avec l’album Future-Sex/LoveSounds une forme de dandysme moderne, jusqu’à apparaître au cinéma (chez David Fincher notamment). Mais Jean-Louis Gérard se dit «pessimiste quant aux oreilles françaises».

Le genre qu’est la variété interdirait aux artistes qui en sont issus toute incursion vers la pop. Plus tempéré, Didier Varrod estime que «dans certains cas précis, comme celui d’Etienne Daho, l’alliance des deux domaines peut mener à d’immenses succès commerciaux, critiques et artistiques… Et Olivia Ruiz montre que l’on peut s’affranchir d’une étiquette».

Il rappelle que Nolwenn Leroy, avant de connaître l’immense succès de Bretonne, avait connu un échec cuisant avec Le Cheshire Cat & Moi: «Un excellent album, qui lui a donné une légitimité, une respectabilité pour la suite.» Comme si, au fond, les poupées de son vivaient ces flops comme des chagrins d’amour, douloureux sur le moment mais nécessaires pour aller de l’avant. La jeune Alizée est actuellement en train d’enregistrer un autre album avec la crème de l’électro, preuve que dans la pop rien n’est jamais fichu.

Et les garçons?
Le mot «lolita» n’a pas d’équivalent masculin, les jeunes chanteurs ne représentant jamais des objets, «au sens malléable du terme», de fantasmes. Ainsi, nombreux sont les exemples de garçons qui, une fois le vent de leurs tubes passé, sont tombés aux oubliettes, sans aucun espoir d’un retour ou d’une reconversion indé (Billy Crawford, remember?).

Ces dernières années, seul l’inénarrable Matt Pokora a connu une expérience similaire à celles de ses consœurs. Son album MP3, dont quelques titres avaient été produits par le célèbre Timbaland,
et qui devait l’introniser Justin Timberlake français, n’a pas
eu l’effet escompté, et ses ventes n’ont été dopées que grâce à un partenariat avec une marque de téléphone.

Les filles en chiffres
«Nous ne communiquons pas sur ce sujet.» «La comptabilisation n’est pas encore terminée.» C’est ce qu’on entend lorsque l’on demande aux labels les chiffres exacts des ventes. Voici en tout cas des estimations du nombre d’exemplaires vendus et de l’évolution des ventes estimées de trois ex-chanteuses pour adolescent(e)s.

Alizée: Gourmandises, 1 300 000, Mes courants électriques 400 000, Psychédélices 50 000, Une enfant du siècle 12 000.

Lorie: Près de toi 940 000, Tendrement 1 000 000, Attitude 600 000, Rester la même 460 000, 2lor en moi? 120 000, Regarde-moi 8 000.

Jenifer : Jenifer 1 000 000, Le Passage 600 000, Lunatique 300 000, Appelle-moi Jen 100 000.

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Ely (Star Academy 5) a refusé Les Anges

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Candidate de la cinquième saison de la Star Academy en 2005, Elyanne Breton, connue sous le nom de Ely, avait été éliminée par Magalie Vaé en demi-finale. Ces sept dernières années, la jolie Canadienne a poursuivi sa carrière musicale en participant notamment à la comédie musicale Don Juan. Elle a travaillé avec Julie Zenatti sur la réalisation d'un titre de cette dernière. En 2007, elle intègre la troupe du Cirque du Soleil où elle se produit dans le show « Delirium ». Après un break pour revenir à ses études et obtenir un diplôme en communication à Montréal, Ely achève la préparation d'un album intitulé En flagrant d'Ely dont la sortie est attendue en fin d'année.

Si la jeune femme de 26 ans ne regrette rien de son parcours, elle dit ne plus vouloir participer à une téléréalité. « La téléréalité, c'est derrière moi, affirme-t-elle auprès du magazine Oops. J'avais été contactée pour faire Les Anges de la téléréalité et ça ne m'a pas pris plus de cinq secondes pour décider de refuser ».

Ely sur Internet
- Site officiel (ely-music.com)
- Facebook

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Magalie Vaé : "je suis nomophobe" !

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L'ancienne gagnante de la Star Ac' vient de l'annoncer, elle est nomophobe. Vous ne savez sans doute pas à quoi ce mot fait référence, la solution dans la suite de l'article...Notre Magalie Vaé nationale serait-elle malade ? La jeune chanteuse de 25 ans qui a donné naissance à son premier enfant en novembre dernier, vient de découvrir qu'elle était nomophobe!? Qu'est ce qui se cache derrière ce terme un peu barbare ? On vous explique…

Vous êtes accro à votre cher téléphone portable, la simple idée de ne pas l'avoir sur vous vous donne des sueurs froides et vous ne pouvez pas vous passer de celui-ci; ne cherchez plus, vous êtes atteint de nomophobie ! Magalie a tenu à avertir ses fans de cette nouvelle qui va sûrement changer le cours de l'histoire :

Je viens d apprendre que je suis nomophobe Loool !

— Magalie Vaé Officiel (@magalievae) https://twitter.com/magalievae/status/1 ... 8292249600" onclick="window.open(this.href);return false;" data-datetime="2012-04-10T11:25:35+00:00">April 10, 2012Assez peu présente dans les médias depuis la naissance de sa fille, la jeune chanteuse est actuellement en train de préparer la sortie de son nouvel album qui devrait arriver dans les bacs dans le courant de l'année.

C.R.

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La chanteuse Magalie Vaé est venue départager les chanteurs amateurs, vendredi, au Pub Rochefort

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Ils chantent du soir au matin et pas seulement dans leur salle de bains : ils ont le courage d’en faire profiter les copains…. Immersion dans le chaudron du pub Rochefort, spot creusois de la discipline.
Le club des ceintures noires de karaoké

Withney Houston a ressuscité, vendredi soir, à Guéret. Il suffisait de fermer les yeux et d'écouter Magalie Vaé, qui remporta naguère une édition de la Star Academy. Toujours chanteuse mais moins exposée médiatiquement, la jeune femme poursuit son chemin (dernier titre L'homme-shampooing). La championne de télé-crochet a fait autorité en tant que présidente du concours de karaoké du pub Rochefort.

Cette vieille maison creusoise cache bien son jeu. Tapisseries et boiseries lui offrent un décor XVIIe que pourraient jalouser d'authentiques pubs anglais. Dans une arrière-salle est installé un matériel de sonorisation et de vidéoprojection dernier cri : chaque semaine le pub Rochefort est le repaire des amateurs creusois de karaoké. La saison culminait avec le concours annuel : « On a une vingtaine de candidats, c'est un peu plus que pour les soirées du jeudi », évalue Stéph. Éric et Nathalie Gallerand, les patrons de l'établissement, ont confié l'animation des soirées à ce professionnel. Et ça fait sept ans que ça marche. Pour que sa copine Magalie Vaé ne se sente pas trop seule, Steph'a formé un jury avec des pointures locales : le producteur Dominique Bouqueteau, la chanteuse Candice Marais et le compositeur Alain Dubannet. La salle est bondée. Spectateurs et candidats sont en pays de connaissance. Benji vient chaque semaine d'Ahun depuis six ans et a déjà gagné le concours trois fois. Belle gueule, look soigné, Benji reprend le répertoire des chanteurs dits « à voix », Florent Pagny ou Garou. Pour lui, émulation ne veut pas dire rivalité : « Au karaoké, tu chantes, tu rigoles, c'est familial. »

Prime aux chanteuses canadiennes
Yann ; 35 ans, a débarqué l'année dernière au Rochefort et ne dément pas son copain Benji, qu'il a rejoint sur la première marche du podium l'an passé : « Je revenais sur Guéret je ne connaissais personne. J'ai vu de la lumière, je suis rentré, j'ai chanté du Dave et je me suis pris au jeu. Je m'entraîne sérieusement. » Yann a évolué vers un répertoire plus rock. Vendredi soir, il a magistralement interprété Paint it black des Rolling Stones. Son style énergique ne fait pas vraiment d'émules. Aux tempos binaires, les amateurs de karaoké semblent définitivement préférer la performance vocale. Ils poussent leurs propres organes jusqu'à atteindre le régime des chanteuses canadiennes (Natasha Saint-Pier, Isabelle Boulay), des "barytontons" de la variété française ou de la spectaculaire Adele.

Vanessa, 24 ans, qui travaille dans une pizzeria guérétoise, affectionne la robuste diva britannique. Elle en a reproduit presqu'à la perfection l'un des tubes pour le concours. « Je chante du matin au soir », s'amuse la jeune femme, qui reconnaît qu'elle cherche à donner une touche plus personnelle à ses interprétations. Le concours guérétois n'est pas réservé aux habitués : Damien, Castrais de La Châtre (Indre) et non castrat, a remporté la mise avec de viriles vocalises à la mode Garou-Pagny. Le karaoké, art ou sport de combat ? Entre performance et émotion, chacun doit trouver sa voix.

Julien Rapegno

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Liège: record de dédicaces pour Quentin Mosimann


Des centaines de personnes ont fait la file mercredi devant notre studio de la RTBF et devant la Médiacité pour obtenir une dédicace de l'un des talents de The Voice Belgique ou de Quentin Mosimann. Celui-ci a par ailleurs établi un nouveau record puisque l'artiste a signé des autographes pendant 10h30, de midi à 22h30.

Des clameurs et surtout des jupons, des centaines de jeunes admiratrices ont fait la file mercredi. La plupart sont des inconditionnelles: "Ça fait trois heures que j'attends". "Moi je veux une photo, un bisou et qu'il me chante une chanson".

A l'intérieur, les fans ne sont pas déçus, malgré parfois jusqu'à 5 heures d'attente: "Ça valait la peine d'attendre, Quentin est vraiment beau, vraiment gentil. Les talents aussi. On a même pu parler un peu avec eux".

L'artiste s'est dit lui-même surpris par un tel succès. Un Quentin Mosimann à l'écoute de son public: "Elles me disent qu'elles viennent me voir ce week-end en club, qu'elles sont contentes de voir qu'il y a plein de nouveaux festivals, notamment les francofolies de Spa, qu'elles suivent les talents de The Voice et elles disent toutes qu'elles vont voter pour Roberto, évidemment!".

Mercredi, Quentin Mosimann a signé des autographes pendant 10h30, de midi à 22h30, établissant ainsi un nouveau record.



J. Crémers
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Roberto, this is The Voice !

REPORTAGE > Mardi soir, le public de la RTBF a rendu son verdict. L’un des plus jeunes de l’aventure, Roberto Bellarosa, 17 ans, devient LA voix de la Fédération Wallonie-Bruxelles, et gagne un contrat chez Sony Entertainment.

Ils étaient plus de 2.000 sur les startingblocks à avoir tenté leur chance lors des castings sur le web, dès leur lancement en juillet dernier. Après trois phases de sélection et 17 semaines de compétition, un seul talent remporte « The Voice », et c’est Roberto Bellarosa.

A vrai dire, on s’attendait un peu qu’un garçon gagne le télécrochet. C’est un enseignement que l’on tire de la « Star’Ac » et autre « Nouvelle Star ». Les midinettes votent en masse. Alors que les hommes préfèrent apprécier le spectacle et les qualités vocales du talent sans pour autant aller jusqu’à voter par SMS ou par téléphone. D’ailleurs, au trois-quarts du prime, les deux filles se sont faites éliminer. Déjà sur i-Tunes, c’est Rénato qui semblait avoir la cote et qui avait le plus de téléchargements de son single. Pour rappel, les coachs n’avaient pas le droit de voter en finale.

Le jeune, origianire de Wanze, près de Huy, entre donc dans l’histoire. Après Luc de Wacter et Mélanie Martins, Roberto Bellarosa marque de son empreinte l’un des rares télécrochet de la télévision belge. Son jeune âge, seulement 17 ans, pourrait peut-être devenir un handicap, même si le chanteur à la niaque depuis déjà tout jeune. Je ne m’y attendais vraiment pas, explique le talent. J’ai beaucoup travaillé pour y arriver aujourd’hui. C’est juste énorme, et je suis vraiment content d’avoir gagné. Depuis tout petit je rêve de grandir dans le milieu et de travailler avec des professionnels du métier. Je n’ai pas fait « The Voice » par hasard.

Quentin Mosimann, le coach de Roberto n’est pas peu fier. Et il l’avoue, c’est sa connaissance des rouages des télécrochets qui lui a permis de faire avancer et évoluer Roberto. Je crois que les gens qui me suivent, conclut le coach, et qui aiment Roberto, ont retrouvé en lui le coté chanson et variété qu’ils attendaient de moi, alors que je me suis tourné vers le deejaying.

Ce mercredi, Roberto Bellarosa fait la tournée des radios du service public, pour la promo « vainqueur de ‘The Voice’« . Dès jeudi, c’est Sony qui le prend sous son aile. On attend avec impatience les deux singles et l’album promis dans le contrat offert.



Pierre Bertinchamps

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The Voice Belgique : La victoire d'un coach plus que celle d'un talent?

La victoire de Roberto à "The Voice Belgique", c'est aussi la victoire de son coach Quentin Mosimann. Et ce dernier n'est pas peu fier de sa prouesse.
http://www.cinetelerevue.be/fr/the-voic ... s_id=16248" onclick="window.open(this.href);return false;

On le sait: les quatre finalistes de "The Voice Belgique" ne partaient pas avec les mêmes chances. Tous les télé-crochets qui ont précédé le confirment: c'est le public féminin qui influence les votes en grande partie et les garçons partent avec un avantage certain, surtout s'ils sont jeunes et mignons. Car plus elles sont jeunes, plus elles votent à plusieurs reprises.

Ici, un autre élément non négligeable a joué: la popularité des coachs. Et ils en sont parfaitement conscients. "On en a discuté entre nous avant la finale", reconnaît BJ Scott. "Je suis beaucoup moins connue que Quentin, qui draine un public de jeunes. Cela a certainement beaucoup joué dans les votes. Ceci dit, je suis contente pour Roberto. Il est jeune, mais avec le temps, il va trouver son style musical. Renato est un artiste plus établi. J'ai eu un véritable coup de cœur pour lui. Il ne devrait pas non plus avoir trop de mal par la suite."

"J'espère bien que Roberto a bénéficié des votes de mon public!" affirme Quentin Mosimann, exalté par la victoire de son poulain. "C'est un jeune chanteur talentueux et on a beaucoup travaillé ensemble en partant de ce que je connais de ce genre d'émission. Je compte bien participer à son album. Et j'espère que les 100.000 fans de mon groupe Facebook ont pesé dans la balance!"

En voilà un qui n'a pas la victoire modeste, tout le contraire de Roberto...

Propos recueillis par Magali Veronesi

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Il y a quelques jours, l'association Grégory Lemarchal annonçait sur son site internet qu'un concert hommage aura lieu le 19 juin prochain à l'occasion des cinq ans de l'association !





Lors de ce concert, de nombreux artistes, des personnes de l'association mais aussi de son combat contre la mucoviscidose se produiront sur la scène de l'Olympia. Plusieurs artistes et amis dont Patrick Fiori, Hélène Ségare, Julie Zenatti, Quentin Mosimann et Davide Esposito et Nikos Aliagas ont accepté de participer à l'évènement intitulé "Sous son regard" et seront donc présents pour l'ange parti trop tôt





Quant aux places, elles sont actuellement en vente et l'intégralité des bénéfices seront bien évidemment reversés à l'Association Grégory Lemarchal.

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Des artistes à l'Olympia le 19 juin pour les 5 ans de l'association Grégory Lemarchal

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Pour les cinq ans de l'Association Grégory Lemarchal, un concert événement rassemblera plusieurs artistes sur la scène de l'Olympia, le 19 juin prochain, à 20h.

Patrick Fiori, Hélène Ségara, Julie Zenatti, Quentin Mosimann et Davide Esposito ont déjà accepté de venir offrir, bénévolement, leur soutien à l'association qui oeuvre pour apaiser le quotidien des personnes atteintes de mucoviscidose.

Grégory s'était produit à l'Olympia lors de sa tournée solo en 2006.

Il y a "sans nul doute vécu ses plus grandes émotions sur scène", explique le communiqué.

Tous les bénéfices de la soirée seront reversés à l'Association Grégory Lemarchal.

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Myriam Abel casse The Voice
La chanteuse trouve que Jenifer n'est pas crédible


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En dépits de son succès incontestable, The Voice suscite encore quelques critiques, notamment sur le choix des coachs. Cependant qui aurait cru qu'une énième critique sur le choix de Jenifer comme juré surviendrait de Myriam Abel. L'ancienne gagnante de Nouvelle Star, plus connue, ces derniers temps, pour sa participation à des téléréalités sur NRJ12 (Les Anges de la téléréalité)que comme chanteuse, estime que Jenifer n'a pas sa place sur le plateau de The Voice. « J'aime beaucoup Jenifer, mais elle n'est vraiment pas crédible comme coach. Toutes les candidates chantent mieux qu'elle », avoue la chanteuse au magazine Télé 2 semaines. Elle ajoute : « Elle est mignonne, mais personne n'a jamais trouvé qu'elle avait une voix extraordinaire. Pourtant, c'est une émission sur la voix, non ? Pourquoi ne pas avoir choisi Chimène Badi ou Amel Bent ? ». Fondées ou pas, les critiques de Myriam Abel sont plus qu'étonnantes étant donné son absence de la scène musicale ces derniers mois.

La chanteuse, qui se dit black-listée à cause d'une mésentente avec son ancienne maison de disques Sony, ne s'arrête pas là puisqu'elle juge également les autres coachs : « Pour moi, Garou et Florent Pagny sont les deux seuls crédibles ». Pauvre Louis Bertignac, raillé par une chanteuse frustrée. Les 7,6 millions de téléspectateurs (samedi dernier) de The Voice semblent ne pas être de l'avis de l'ancienne gagnante de la Nouvelle Star.

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Dalida fait décoller les Castafiores
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On ne présente plus le groupe carcassonnais Les Castafiores. Après avoir écumé les salles de concerts du département, de la région, et même de la France entière, voilà que Mr Guitare, Mr Accordéon et Mr Batterie partent à la conquête du monde grâce à… Dalida.

"Il y a un an, Universal nous a contactés pour nous demander l'autorisation d'utiliser notre reprise de 'Mourir sur scène', dans un album à sortir pour les 25 ans de la disparition de la chanteuse", racontent les artistes.


Avec Fiori, Lara Fabian...


Universal avait entendu le morceau sur internet. Il faut dire depuis quelque temps, tous les titres des Castafiores sont téléchargeables, grâce au label Believe Digital.

L'album hommage, qui s'intitule "Depuis qu'elle est partie…", sera dans les bacs dès le 23 avril. C'est un double album. Sur le premier CD, des artistes chantent Dalida. On retrouve notamment Christophe Willem, Hélène Ségara, Patrick Fiori, Lara Fabian, Christophe, etc. Et au milieu d'une liste de noms très connus, les Castafiores. Sur le second CD, c'est Dalida qui chante ses plus grands titres.

Mais l'année 2012 ne se limite pas à cet événement, aussi prestigieux soit-il.

Nouveaux titres et nouveau spectacle
Depuis le mois de septembre, Mr Guitare, Mr Accordéon et Mr Batterie sont retournés en studio. "On prépare huit nouvelles reprises, précisent les artistes. On a d'abord travaillé dans le home studio de Nicolas pour les compositions et les arrangements. Puis ces derniers jours, on était à Limoux, au studio Seven Vibrations, pour enregistrer les titres. Ils sortiront petit à petit, au cours de l'année, en CD 2-titres". Une sortie à épisode qui annonce l'arrivée d'un nouvel album complet l'an prochain.

Et qui dit nouveaux titres, dit nouveau spectacle. Les Castafiores seront en résidence au Chapeau Rouge du 7 au 11 mai pour tout préparer. "On garde d'anciens morceaux tout en intégrant les nouveaux. On va en particulier travailler les éclairages, les vidéos, les sketches…".

Le résultat, qui s'intitulera "Les plus grands tubes partent en live", est à découvrir sur la scène du Chapeau Rouge, le 11 mai, en première partie du concert de Marcel et son orchestre.

En attendant, on peut déjà annoncer que les Castafiores abandonnent le noir et blanc pour passer à la couleur… et qu'ils s'enfoncent encore un peu plus dans le registre de la musique festive ! Cette fois, c'est sûr, les Castafiores partent vraiment en live !

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Christophe Willem: Les dates de sa tournée "Willem Barrière Sessions"
Publiée le 19/03/2012 à 17:15 dans la catégorie Pop/Rock

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.Christophe Willem présente cette semaine sur la radio la version remix de sa chanson « Si Mes Larmes Tombent », réalisée par le DJ Alex One. Le chanteur annonce par la même occasion les prochaines dates de sa tournée française qui se fera dans les casinos du groupe Barrière.

Écrit par la chanteuse Zaho, la réalisation de Steve Anderson et Sarah de Courcy, tous deux collaborateurs de Kylie Minogue, offrent, aux fans du chanteur, une chanson pleine de douceur et d'intimité. « Si mes larmes tombent », de Christophe Willem est une chanson qui s'inscrit dans la lignée des balades de l'artiste, comme « Jacques A Dit » ou encore « Entre Nous Et Le Sol ». Pour Christophe Willem, « Si mes larmes tombent » est « une bulle d'intimité dans cet opus plutôt produit, une ode au passé, à cette nostalgie d'un temps meilleur, à la mélancolie dans laquelle il est parfois bon de se noyer ».

Après son Olympia le 22 mai prochain, Christophe Willem investit les scènes des casinos Barrière pour une grande tournée à travers toute la France. Une tournée évènement avec pas moins de 22 dates. C'est la première fois qu'un artiste s'installe dans les salles de jeux. De la salle de 300 places au plein air de 3 000 personnes la « Willem Barrière Sessions » effectue un tour de France et une escapade en Suisse de 22 dates du 23 mai au 14 août 2012.

Voici la liste des concerts 2012 de Christophe Willem

23/05 Théâtre Casino Barrière d'ENGHIEN-LES-BAINS
25/05 Casino Barrière de MONTREUX
27/05 Casino Barrière de MENTON – Palais de l'Europe
28/05 Casino Barrière de DAX – Théâtre Atrium
31/05 Casino Barrière de RIBEAUVILLE
01/06 Casino Barrière de BLOTZHEIM – Palais Beaubourg
03/06 Casino Barrière de LA ROCHELLE – Le Diane's
07/06 Casino Théâtre Barrière de BORDEAUX
08/06 Casino Barrière de LA BAULE – Atlantia
09/06 Les Atlantes – Casino Barrière des SABLES D'OLONNE
10/06 Casino Théâtre Barrière de BIARRITZ
12/06 Casino Barrière de NICE – Théâtre de Verdure Plein Air
13/06 Casino Barrière de CARRY LE ROUET – Espace Fernandel
15/06 Casino Barrière de JONZAC
16/06 Casino Barrière de BENODET – La Butte du Fort Plein Air
23/06 Casino Barrière de SAINT MALO – Palais des Congrès
24/06 Casino Théâtre Barrière de LILLE
27/06 Casino Théâtre Barrière de TOULOUSE
28/06 Casino Barrière de PERROS GUIREC – Palais des Congrès
17/07 Casino Théâtre Barrière de DEAUVILLE
14/08 Casino Barrière de SAINT RAPHAEL – Agora Plein Air

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Soan : "Sous les yeux de Sophie" - Interview vidéo
Après la tournée de "Tant pis..." qui a duré près d'un an, Soan s'est vite mis au boulot pour enregistrer un nouvel album : "Sous les yeux de Sophie".

"Sous les yeux de Sophie" est une nouvelle perle de la musique française mêlant rock et chansons à texte. Heureusement, parce qu'on commençait sérieusement à remettre en question l'aptitude de nos jeunes artistes nationaux à faire du bruit et chanter dans la langue de Molière en même temps.

Le temps d'une demi-journée, Soan et son équipe ont squatté le Truskel (Paris) pour présenter en avant-première "Sous les yeux de Sophie" à un public toujours fidèle, en lui jouant quelques titres de l'album en question, dont le single À tire-d'aile.
C'était l'occasion de poser deux ou trois questions à celui qui a réalisé le double exploit de jouer les marginaux anticonformistes une fois par semaine sur une chaîne nationale, et de me faire regarder un télé-crochet en entier, et pas uniquement pour les casseroles du casting !

En 2009, j'ai suivi assidûment chaque prime de la Nouvelle Star pour avoir ma dose hebdomadaire de Soan. Apparemment, nous étions plusieurs puisque, contre toute attente, le bonhomme a remporté la finale et s'est aujourd'hui (presque) entièrement débarrassé de son étiquette de star de la télé-réalité, que d'autres n'arrivent pas à décoller même avec de l'acétone.

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Soan : son nouvel album ''Sous les yeux de Sophie'' est dans les bacs

Premier auteur-compositeur à sortir vainqueur de la "Nouvelle Star", Soan avait sorti son premier album "Tant pis" en 2009. Après une grande tournée à travers la France, Soan a repris le chemin des studios. Il en ressort un album à la poésie incontestable, parfois corrosive, parfois tendre, mais toujours viscérale. "Sous les yeux de Sophie" nous dresse l’étonnant portrait d’un artiste en folle liberté qui mêle chansons neuves et vieilles compagnes de route, humeurs éthyliques et vents d’azur, fraternité de la nuit et sérénités de l’aube.

Découvrez une version live du nouveau single "A tire d'aile", filmée au Truskel à Paris !

Avant d’être Soan, il avait été pompier, routard, ouvrier, dealer, aventurier de comptoir et aspirant-chanteur – des vies dont les échos se mêlent tout au long de l’album. Soan s’affirme clairement aujourd’hui comme une valeur sûre et talentueuse de la chanson française.

Il sera en concert à la Maroquinerie de Paris du 8 au 10 mai et en tournée dans toute la France.

Pour en savoir plus sur Soan, visitez son site officiel !

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«Je suis une vraie artiste, pas un produit de la télé»Amandine Bourgeois avait remporté «Nouvelle Star» en 2008. Elle revient avec un album qui lui ressemble vraiment.

Ressentez-vous une pression particulière avec la sortie de votre second album, «Sans amour, mon amour»?

Amandine Bourgeois: Oui, on l'a toujours. Sur mon premier disque, je bénéficiais de la surmédiatisation de «Nouvelle Star» alors qu'aujourd'hui ça s'est un peu estompé. Mais ce n'est pas plus mal, car cela a été un tremplin pour moi. Maintenant, j'ai envie d'exister en tant qu'Amandine Bourgeois. Je ne suis pas un produit de la téléréalité, je suis une vraie artiste.

Vos chansons sont-elles autobiographiques?

Si on mélange tous les titres de cet album dans un shaker, il en ressort Amandine. Il y a plein de choses de ma personnalité qu'on retrouve. Mais ce n'est pas à prendre au premier degré (rires).

Vos proches ont-ils changé d'attitude depuis que vous êtes célèbre?

Je ne pense pas qu'ils soient impressionnés par ce que je fais. Mon père et mon beau-père sont musiciens. Ils se demandent si je vais arriver à aller jusqu'au bout. Car pour l'instant c'est fragile. Je débute à peine ma carrière et on ne sait pas ce que ça va donner.

Avez-vous la crainte de ne pas durer?

Oui, car ce que je fais est une passion et j'aimerais pouvoir en vivre. Du coup, je me dis qu'il faut profiter du moment présent. Je me suis éclatée à réaliser ce disque!

Qu'auriez-vous fait si vous n'aviez pas été chanteuse?

J'ai été serveuse, mais j'étais si maladroite que je cassais souvent les verres. J'aurais pu travailler dans la musicothérapie parce que j'aime écouter et aider les gens.

Regardez la vidéo de l'interview d'Amandine Bourgeois:


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Amandine Bourgeois: «The Voice? De belles voix»
Avec son second album Sans amour mon amour*, Amandine Bourgeois signe un retour très soul. L'occasion de parler musique et télé avec la gagnante de Nouvelle star

Amandine Bourgeois, autant sur votre premier album vous preniez le contre-pied de ce que vous aviez fait dans le télé-crochet de M6, autant avec ce deuxième album, on a l'impression que vous y revenez avec délice...
En fait, tout le monde m'attendait dans ce registre soul après Nouvelle Star mais je ne pouvais pas rivaliser avec « With A Little Help From My Friends » ou les autres tubes que j'avais interprétés ! Il aurait fallu beaucoup plus de temps. Là, j'ai pu rencontrer des gens avec lesquels j'aurais voulu travailler dès le premier album, comme Boris Bergman, mais, à l'époque, cela n'avait pas pu se faire.

La production de Sans amour mon amour fait penser à celles de Amy Winehouse. Est-ce une artiste qui vous a inspirée ?
Beaucoup. Tout comme Janis Joplin. Je suis amoureuse de leurs voix. Quand Amy Winehouse a sorti son album et que j'ai découvert ses chansons, j'étais comme une folle. J'ai regardé toutes ces prestations live sur Internet. Adolescente, j'écoutais aussi beaucoup Ricky Lee Jones, ça a été une des premières à m'influencer. Ou Aretha Franklin... même si je suis incapable de chanter comme elle.

Avant son lancement, vous disiez être impatiente de voir The Voice. Alors** ?
Déjà il y a de très belles voix. J'ai eu les frissons sur « Ma gueule » interprétée par Dominique Magloire. C'est mon coup de cœur. Je retiens aussi Al.Hy : je me retrouve un peu dans ce genre de voix. Et le p'tit gars branché qui a chanté Lana Del Rey [NDRL : Louis]. Le choix était sympa. Après, le concept... Ce n'est pas pour défendre mon truc, mais je préférais Nouvelle Star.

Pourquoi ?
Parce que, dans ces émissions, c'est le jury qui fait le jeu. À mon époque, il y avait André Manoukian, le poète déjanté qui avait toujours la bonne répartie. Et Philippe Manœuvre : super attachant, super touchant et très crédible parce que grand monsieur et grand journaliste musical de Rock & Folk. Je trouvais qu'avec Lio et Sinclair, ils formaient une équipe sympa. Tout comme j'aimais bien l'époque avec Marianne James et Dove Attia. Je ne dénigre pas pour autant le jury de The Voice. Après, je ne sais pas si je vais regarder parce que, j'avoue, depuis que j'ai fait Nouvelle Star, c'est derrière moi tout ça.

Vous êtes allée sur le tournage du clip d'Ycare. Vous êtes restée en contact ?
En fait, ce qui était marrant, c'est que le réalisateur du clip était mon pote. Il m'a dit de passer. On était hyper contents de se voir. Ensemble, on a vécu une aventure forte en émotion donc, à chaque fois, il y a quelque chose qui nous relie. Une petite magie.

Prochainement, vous avez deux dates à Paris...
Le 30 mars, je fais la première partie de Thomas Dutronc à l'Olympia et le 21 mai, je suis au New Morning. Je veux faire des concerts où ça peut partir en impro, où ça joue à l'énergie. Voilà, on y va, quoi : rock soul à fond, on embarque les gens, et on envoie toute l'énergie.

Stéphanie Raïo
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J’arrive dans la loge, il est alors dix-huit heures. Ycare, allongé, se redresse et nous accueille (ma photographe et moi) en nous proposant quelque chose à boire. Dans une ultime cigarette d’avant entretien, il nous invite à nous mettre à l’aise, et bien que sa voix, cassée par le poids des concerts enchaînés, ne trompe pas quant à son état de fatigue, rien ne semble pouvoir atteindre son naturel sympathique et sa gentillesse. L’interview prend rapidement des allures de conversation entre amis. Avant de donner son concert, ce samedi 31 mars 2012 au Forum de Vauréal, Ycare nous ouvre les portes de son être et revient avec nous sur sa tournée et son nouvel album « Lumière noire ». Entretien.




Cergyvie : Comment allez-vous ?

Ycare : On a joué à Nantes hier. On a fait six heures de route et la fatigue se fait sentir mais on fera comme si de rien n’était tout à l’heure.





C. : Ce n’est pas un peu difficile ?

Y. : Physiquement si. Surtout que je ne m’économise pas. Je veille mais je dors peu. C’est un choix et ce soir je devrai assumer. Il faut leur donner la même chose qu’hier voire plus.





C. : Justement, en ce moment vous êtes en train de défendre votre deuxième album …

Y. : Je ne le défends pas.





C. : De le présenter ?

Y. : Voilà ! Parce que personne ne m’a attaqué (rire). J’essaie de le faire évoluer sur scène dans le sens où je rajoute des titres à chaque concert. Je les teste pour le prochain disque. Les disques on les fait pour les gens donc il est intéressant de leur proposer plusieurs titres différents. Ce soir je vais en chanter un que je n’ai jamais chanté. Je l’ai écrit il y a quelques jours. Donc il faut que je fasse un exercice de mémoire car je ne le connais pas encore par cœur.





C. : Vous venez de sortir un album, « Lumière noire », mais vous êtes déjà dans la perspective de préparer le prochain ?

Y. : Toujours ! C’était déjà comme ça durant la première tournée. Dès la première date il y avait déjà de nouveaux morceaux. Ensuite ils figurent ou non sur les albums suivants en fonction de la manière dont ils sont accueillis.


C. : Vous avez pris du temps pour préparer cet album comparativement au précédent ; qu’y racontez-vous ?

Y. : Du temps, oui, pour les arrangements. Pour ce qui est de l’écriture ça reste quelque chose de spontané. J’écris une trentaine de titres et après je m’arrange pour faire en sorte qu’il y ait un espèce de fil rouge dans le disque, afin de raconter quelque chose. Pour ce disque, j’ai mis plus de temps à trouver le titre de l’album qu’à écrire l’album lui même. « Lumière Noire » n’est pas le titre d’une chanson qui est dans l’album et à aucun moment je ne dis ces mots dans cet album. C’est pourtant ce qui est le plus représentatif du disque. Ce sont des musiques assez entrainantes, joyeuses avec des mots un peu amers. J’ai du mal à écrire des chansons joyeuses.



C. : Pourquoi ? Etes-vous triste ?

Y. : Non je ne suis pas triste mais c’est dans des moments de doute, d’anxiété que je viens à écrire. Quand je suis heureux, je suis trop occupé à regarder mon bonheur quand il est là, pour prendre le temps de l’écrire.



C. : Y’a t-il une chanson dans l’album qui ait une résonnance particulière pour vous ?

Y. : Oui, c’est « Une vie », le nouvel extrait. On fait le clip bientôt. C’est la clef de voûte du disque car c’est ce qui m’effraie le plus dans ma condition de jeune adulte. Enfin « jeune adulte »… je ne suis plus tellement jeune, j’ai 27 ans. C’est la perspective de l’anéantissement, c’est la fin de l’existence. Ce n’est même pas la mort. C’est le temps qui passe…ça m’effraie. Ne plus récupérer comme avant, des nuits blanches qu’on faisait quand on avait vingt ans. Là, on se couche à quatre heures du matin et on est foutu ! Regarde, on est tous KO ; il n’y a même pas de musique dans la loge. Mais voilà, cette chanson me touche particulièrement. Je la chante en fin de concert.



C. : C’est pour nous tenir en haleine ?

Y. : Non, c’est parce qu’après avoir chanté ça, je n’ai plus de force. C’est juste avant de faire le rappel donc j’ai un quart d’heure pour reprendre mon souffle parce que je me brûle dessus.


C. : Quand vous êtes sur scène à quoi pensez-vous ?

Y. : Aux gens qui sont en face de moi. Je les regarde dans les yeux le plus possible. Je ne les affronte pas. Il n’y a pas de défiance. J’ai beaucoup de respect et d’estime pour ces gens qui chaque fois un peu plus, depuis quatre ans déjà, se déplacent. Ils viennent de loin pour assister à ce concert. Je leur dois le plus grand respect. Il faut les choyer, les respecter, écouter leurs attentes. Tu peux les charrier aussi parce que ça crée un espèce de proximité, nécessaire pour moi. Je me vois mal faire un stade, même si le succès m’invite à en faire un, un jour. Me retrouver à ne plus voir d’yeux. Je veux voir les gens, leurs visages. Je veux voir le mec qui décroche son téléphone parce qu’il en marre de mon concert. Là j’arrête le morceau et je dis « Qu’est ce que j’ai fait ? Qu’est ce qui ne t’a pas plu dans ce que j’ai fait ? « .



C. : L’avez-vous vraiment fait ?

Y. : Ah oui je l’ai déjà fait, m’arrêter alors que le mec ne faisait que mettre son téléphone sur silencieux. Je lui ai mis la honte le pauvre (rire). Par exemple hier à Nantes, je me suis trompé de paroles. J’ai arrêté le morceau et j’ai dit « À trois, sifflez-moi de toutes vos forces ! ». Ils m’ont sifflé très fort. Et voilà. Je n’ai pas d’égo, je ne vais pas leur mentir. J’ai le droit de me planter et dans ce cas je m’arrête et je recommence. Ca m’arrive rarement mais quand je le fais, je l’avoue. Je ne suis pas Superman. En fait, je suis le mec lambda, tout ce qu’il y a de plus commun. Je tire juste ma satisfaction dans le fait que les gens écoutent ce que j’écris chez moi.



C. : En somme vous êtes juste « un artiste » ?

Y. : C’est un grand mot. Je suis un mec du public et le public m’a donné la chance d’être sur scène à mon tour pendant un certain temps et j’essaie de faire en sorte qu’il soit le plus long possible.



C. : Quand proposerez-vous un album aux sonorités africaines ?

Y. : C’est mon rêve de faire un duo avec Tiken Jah Fakoly. J’attends d’être prêt pour parler de l’Afrique. J’ai vécu dix-sept ans là bas. Pour l’instant je fais mon blanc (rire). Mais dès que je vais me mettre en mode Afrique, je ferai un album entier reggae/roots. Je n’écoute que du roots d’ailleurs et je saoule tous les musiciens avec ça dans le bus. Mais je n’arrive pas à tous les convertir.



C. : Pour conclure, êtes-vous content de votre album ?

Y. : Un album est un prétexte pour aller faire de la scène c’est tout ! Uniquement cela et spécialement les petites salles car moins on est, plus on est en communion. D’ailleurs avant de signer chez ma maison de disque, je faisais « Ycare chez vous » et j’allais jouer chez les gens. Ils m’invitaient à l’apéro, c’est tout ce que je demandais et chacun cotisait deux, trois euros pour le taxi. J’allais tester mes chansons chez eux et je pouvais voir s’ils décrochaient ou non et c’est comme ça que j’ai fait mon premier album. Avant tout de même, on vérifiait juste si les gens ne voulaient pas me tuer, car après Nouvelle Star beaucoup y ont songé (rire).



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