Beppo a écrit : Zambito peut bien être allé voir Bibeau mais comment prouver qu'il lui a remis une enveloppe brune ou une liasse contenant 30 000$? Je trouve qu'on crée facilement le lien : il est allé le voir donc il lui a remis le motton. Comment une allégation peut devenir un fait vérifié ou vérifiable? Il faut se rappeler que Zambito est un ripou, un escroc, un criminel et ses déclarations, tout à coup, seraient limpides et crédibles à tout prix? Parole contre parole, on croit bien celui qui fitte dans le scénario.
Au début avec Zambito, j'avoue que je me disais, my god ça fait pas de bon sens de nommer, d'impliquer un paquet de monde de même sans avoir à fournir de preuves. Je crois qu'avec Surprenant on voit pas mal mieux comment la Commission organise ses flûtes, c'est comme une vaste toile d'araignée qui ne fait que commencer à se déployer. S'ils ont pris la peine de récolter ces vidéos en juin c'est fort probablement qu'ils détiennent assez de preuves pour fouiller plus loin..peut-être que ses coffres se verront fouiller comme ceux de Vaillancourt???? etc...et il sera certainement assigné à comparaître devant la Commission lui aussi ainsi que du monde de son entourage, sans cela je ne crois pas que les procureurs leur laisserait les nommer et accuser ainsi en public. On dirait bien que ceux qui sont impliqués par les témoignages de Zambito et là de Surprenant ont déjà été enquêté auparavant et ils vont y défiler les uns après les autres et on va finir par voir apparaître l'organigramme des liens underground de tout ce beau monde.
Tout lire >>C'est pire que je croyais, dit John Gomery Yves Boisvert - La Presse
L'ancien président de la commission d'enquête sur le programme de commandites (2004-2005) a fait de la politique pour la première fois de sa vie en 2009, pour combattre l'administration de Gérald Tremblay - il était impliqué avec le parti Projet Montréal de Richard Bergeron.
Déjà, «la fumée» et les odeurs de scandale recouvraient l'hôtel de ville. Il avoue toutefois que l'ampleur de la corruption révélée jusqu'ici est «au-delà de [ses] expectatives».
Dans toute entreprise, dit-il, quand une dérive malhonnête est constatée, «il faut blâmer le patron».
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L'ancien président de la commission d'enquête sur le programme de commandites (2004-2005) a fait de la politique pour la première fois de sa vie en 2009, pour combattre l'administration de Gérald Tremblay - il était impliqué avec le parti Projet Montréal de Richard Bergeron.
Déjà, «la fumée» et les odeurs de scandale recouvraient l'hôtel de ville. Il avoue toutefois que l'ampleur de la corruption révélée jusqu'ici est «au-delà de [ses] expectatives».
Dans toute entreprise, dit-il, quand une dérive malhonnête est constatée, «il faut blâmer le patron».
C'est exactement l'approche que je souhaite depuis le début de l'enquête..tsé pourquoi quand j'étais jeune une route refaite durait au moins 10 ans et que là ça se détruit après chaque hiver...???J'espère que la commission va pouvoir servir à faire un éclairage là-dessus.
je regardais le témoignage de Gilles Surprenant pendant le contre interrogatoire par l'avocat de la ville qui lui demandait dans quel jeu au casino il avait flambé 250 000$ et celui-ci de répondre dans une machine a sous
l'avocat répete ''dans une machine à sous 250 000$'' ?? vous avez pas développé une tendinite
luckystar a écrit : je regardais le témoignage de Gilles Surprenant pendant le contre interrogatoire par l'avocat de la ville qui lui demandait dans quel jeu au casino il avait flambé 250 000$ et celui-ci de répondre dans une machine a sous
l'avocat répete ''dans une machine à sous 250 000$'' ?? vous avez pas développé une tendinite
luckystar a écrit : je regardais le témoignage de Gilles Surprenant pendant le contre interrogatoire par l'avocat de la ville qui lui demandait dans quel jeu au casino il avait flambé 250 000$ et celui-ci de répondre dans une machine a sous
l'avocat répete ''dans une machine à sous 250 000$'' ?? vous avez pas développé une tendinite
j'ai éclaté de rire
C'est vrai qu'elle est bonne celle-là...
Par contre ce qui me fait moins rire, c'est qu'après avoir volé à tour de bras les Montréalais...ces derniers, maintenant qu'il est à la retraite, lui paient une pension à vie!
Tout lire >>Jusqu'où va l'immunité des témoins? Yves Boisvert - La Presse
Gilles Surprenant, comme tout le monde, a «l'immunité» pour témoigner devant la commission Charbonneau. Est-ce que ça veut dire qu'il ne peut être poursuivi pour les crimes dont il s'avoue coupable?
Pas du tout. Ce que l'immunité signifie, c'est que les paroles qu'il prononce ne peuvent pas être utilisées contre lui dans une poursuite. Point.
La Loi sur les commissions d'enquête prévoit en effet que «nulle réponse donnée par une personne [...] entendue comme témoin ne peut être invoquée contre elle dans une poursuite en vertu d'une loi, sauf le cas de poursuites pour parjure ou pour témoignages contradictoires».
luckystar a écrit : je regardais le témoignage de Gilles Surprenant pendant le contre interrogatoire par l'avocat de la ville qui lui demandait dans quel jeu au casino il avait flambé 250 000$ et celui-ci de répondre dans une machine a sous
l'avocat répete ''dans une machine à sous 250 000$'' ?? vous avez pas développé une tendinite
j'ai éclaté de rire
J'ai eu la même réaction que toi, et tant qu'à y être j'trouve que cet avocat là justement, ressemble beaucoup à celui qui incarnait Jean-Pierre Steven dans '' Ma sorcière bien aimée '' .
Le rang et le sort de chaque homme établi, non seulement sur la quantité des biens et le pouvoir de servir ou de nuire, mais sur l’esprit, la beauté, la force ou l’adresse, sur le mérite ou les talents, et ces qualités étant les seules qui pouvaient attirer de la considération, il fallut bientôt les avoir ou les affecter. Il fallut pour son avantage se montrer autre que ce qu’on était en effet. Être et paraître devinrent deux choses tout à fait différentes, et de cette distinction sortirent le faste imposant, la ruse trompeuse, et tous les vices qui en sont le cortège. D’un autre côté, de libre et indépendant qu’était auparavant l’homme, le voilà par une multitude de nouveaux besoins assujetti, pour ainsi dire, à toute la Nature, et surtout à ses semblables dont il devient l’esclave en un sens, même en devenant leur maître ; riche, il a besoin de leurs services ; pauvre, il a besoin de leurs secours, et la médiocrité ne le met point en état de se passer d’eux. Il faut donc qu’il cherche sans cesse à les intéresser à son sort, et à leur faire trouver en effet ou en apparence leur profit à travailler pour le sien : ce qui le rend fourbe et artificieux avec les uns, impérieux et dur avec les autres, et le met dans la nécessité d’abuser tous ceux dont il a besoin, quand il ne peut s’en faire craindre, et qu’il ne trouve pas son intérêt à les servir utilement. Enfin l’ambition dévorante, l’ardeur d’élever sa fortune relative, moins par un véritable besoin que pour se mettre au-dessus des autres, inspire à tous les hommes un noir penchant à se nuire mutuellement, une jalousie secrète d’autant plus dangereuse que, pour faire son coup plus en sûreté, elle prend souvent le masque de la bienveillance; en un mot, concurrence et rivalité d’une part, de l’autre opposition d’intérêt, et toujours le désir caché de faire son profit aux dépens d’autrui. Tous ces maux sont le premier effet de la propriété et le cortège inséparable de l’inégalité naissante.
J'ai eu la même réaction que toi, et tant qu'à y être j'trouve que cet avocat là justement, ressemble beaucoup à celui qui incarnait Jean-Pierre Steven dans '' Ma sorcière bien aimée '' .
Ah merci!!!! Je me suis tellement demandée à qui il me faisait penser celui-là....T'as ben raison!!! hi! hi! hi!
J'ai eu la même réaction que toi, et tant qu'à y être j'trouve que cet avocat là justement, ressemble beaucoup à celui qui incarnait Jean-Pierre Steven dans '' Ma sorcière bien aimée '' .
c'est drôle, moi aussi, en le voyant, j'ai trouvé une ressemblance marquée avec Jean-Pierre Stevens!
Tout lire >>Un ex-fonctionnaire cède sa maison à son ex-femme BROSSARD - Luc Leclerc, un ex-fonctionnaire de la Ville de Montréal, s'est départi de sa luxueuse demeure de la Rive-Sud de Montréal le 23 août dernier pour la céder à son ex-femme, a appris TVA Nouvelles, dimanche.
TVA Nouvelles a obtenu l'acte notarié qui prouve que l'ingénieur à la retraite a procédé à la transaction devant le notaire, exactement neuf jours après qu'un jugement de divorce a été rendu.
Tout lire >>Le coffre-fort qui ne fermait pas Michèle Ouimet - La Presse
Le ministre des Affaires municipales, Sylvain Gaudreault, est tombé à la renverse quand il a entendu parler du coffre-fort.
«C'est hallucinant», m'a-t-il dit quelques minutes après le témoignage saisissant de Martin Dumont, ex-organisateur d'Union Montréal, parti politique du maire Tremblay. Un soir, en 2004, Bernard Trépanier, directeur du financement d'Union Montréal, était incapable de fermer la porte du coffre-fort parce qu'il contenait trop d'argent. Pas des 10$ ou des 20$, mais des liasses de billets de 50$, 100$ et 1000$.
En 2004, le maire Tremblay était au pouvoir depuis trois ans.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem