Système de santé au Québec

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Chattou
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Message par Chattou »

C'est dommage car les rendez-vous sont juste pour la région de Montréal.
Cela devrait être comme ça partout en région.
"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité"
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Placeress
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Message par Placeress »

A MTL il y a un bassin d'omni et de cliniques sans rendez-vous assez important pour permettre ce genre de logistique. Dans les régions où de toute façon il manque d'omni et de clinique et que les md ne fournissent même pas `leur demande de base, ça ne pourrait pas être applicable à mon point de vu.
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nancy31f
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Message par nancy31f »

moi j'ai un bon doc a montreal j'ai toujours un RV dans les 1-2 semaines je le garde meme si j'ai deménagée a lavaltrie
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
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Chanlev
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Message par Chanlev »

Source : argent.canoe.ca
Auteur : Daniel Descoteaux
Tout lire >>Où ira votre taxe santé? 
Mercredi vous avez peut-être regardé, comme moi, l’épisode final du mauvais téléroman « les péripéties de la taxe santé ». Mettant en vedette des acteurs de série C, pas du tout convaincants. C’est enfin terminé. Pour une bonne partie d’entre nous, nous devrons continuer à payer 200 $ annuellement pour la taxe santé.

La question qui se pose maintenant : est-ce que cet argent va être bien dépensé? Si on se fie au vérificateur général, pas sûr…
Depuis qu'on a commencé à payer la taxe santé, quand je fais mon rapport d'impôt, j'ai tellement le goût de pas la payer (si je dois rembourser par exemple) et aller porter un chèque de 200$ directement à l'hôpital en demandant une justification précise que mon argent est véritablement allé supporter les soins de façon concrète et non pas perdu dans la bureaucratie !
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Anya
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Message par Anya »

Tout lire >>Réjean Hébert: «Je veux des solutions à l'extérieur de l'hôpital» 
Sara Champagne - La Presse
Le ministre de la Santé, le Dr Réjean Hébert, ne promet pas de miracles aux patients, mais il s'engage à faire de grands changements pour garantir l'accès à un médecin de famille.
Tout d'abord, a-t-il expliqué lors d'un entretien avec La Presse, il faut éliminer progressivement les heures obligatoires de pratique des médecins de famille à l'hôpital, ce qu'on appelle les activités médicales prioritaires (AMP). Mais pour y parvenir, il faut étendre les groupes de médecine familiale (GMF) dans tout le Québec.
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Anya
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Message par Anya »

[nouvelle=http://www.ledevoir.com/societe/sante/3 ... l|«Soigner public est un choix vital»
Le Dr Alain Vadeboncoeur explique ses convictions dans Privé de soins]Le gouvernement libéral au grand complet et Philippe Couillard en particulier, Lucien Bouchard et les lucides, les patrons d’hôpitaux, les collègues médecins qui se prennent pour des entrepreneurs, les médias… Tout le monde passe à la moulinette du Dr Alain Vadeboncoeur dans son essai Privé de soins.
Leur faute : avoir mis en oeuvre la régression tranquille du système de santé public. L’urgentologue à l’Institut de cardiologie de Montréal entretenait un certain espoir avec la nomination d’un « progressiste », le Dr Réjean Hébert, à la tête du ministère de la Santé. Le recul du gouvernement Marois sur la question de la taxe santé s’avère une première déception.[/nouvelle]
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Anya
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Message par Anya »

Tout lire >>Réjean Hébert veut accorder des pouvoirs de prescription aux infirmières 
Sara Champagne - La Presse
Les médecins et les pharmaciens ont intérêt à être ouverts à l'idée d'accorder des pouvoirs accrus de prescription aux infirmières, parce que le ministre de la Santé, le Dr Réjean Hébert, est prêt à modifier la loi régissant les actes permis aux infirmières pour y parvenir.
Dans le contexte où les soins à domicile sont devenus une priorité du gouvernement, il a affirmé hier, lors du congrès annuel de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ), qu'il a une «volonté ferme» à ce sujet. «Il faut arrêter le «taponnage», a affirmé le nouveau ministre de la Santé, gériatre de profession. Ça fait des années qu'on tergiverse, et ça n'aboutit jamais. Il va falloir que ça aboutisse, parce qu'on a besoin de donner des pouvoirs de prescription aux infirmières dans le suivi des patients, notamment pour le traitement des plaies et certaines maladies chroniques.»
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Anya
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Message par Anya »

[nouvelle=http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/nation ... tml|Québec
Le métier d'infirmière a le vent en poupe]L'Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec (OIIQ) a émis un nombre record de permis d'exercer aux jeunes diplômés en 2011-2012.
Plus de 3000 permis ont été délivrés durant cette période, ce qui représente une augmentation de 17% par rapport à 2010-2011, du jamais vu depuis les années 1970.[/nouvelle]
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Anya
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Message par Anya »

Tout lire >>Les choix de Claude Castonguay 
Gérald Fillion
Claude Castonguay a des solutions pour le système de santé du Québec. Et plusieurs d’entre elles rejoignent celles du ministre actuel de la santé, Réjean Hébert. L’homme de 83 ans, qui vient de publier « Santé : l’heure des choix » était sur le plateau de RDI Économie il y a quelques jours. Toujours très actif et très engagé, c’est un homme pragmatique et réaliste que nous avons reçu à l’émission. Pourquoi ? Pour 2 raisons.

Michel Désautels
L'entrevue avec l'ancien ministre de la Santé et père de l'assurance maladie, Claude Castonguay

http://www.radio-canada.ca/audio-video/ ... 1807_1.asx" onclick="window.open(this.href);return false;
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Beppo
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Message par Beppo »

Publié le 15 novembre 2012 à 18h35 | Mis à jour à 18h35

Toujours plus de médecins au Québec

Daphné Cameron
La Presse
Il n'y a jamais eu autant de médecins au Québec et la province peut même se targuer d'avoir l'un des ratios de médecins par habitant les plus élevés parmi les provinces canadiennes, révèle une étude réalisée par l'Institut canadien d'information en santé (ICIS). Urgences qui débordent, difficulté à se trouver un médecin de famille, chirurgies sans cesse reportées: l'augmentation du nombre de médecins ne semble toutefois pas se traduire dans les soins à la population. Ce gouffre réside dans la manière d'organiser les soins et la division du travail, observent les experts.

Selon l'étude de l'ICIS rendue publique aujourd'hui, le nombre de médecins augmente plus rapidement que la population canadienne. En 2011, il y avait 72 529 médecins au Canada, soit une augmentation de 14% depuis 2007, alors que durant la même période, la population a connu une croissance de 4,7%.

Au Québec, le nombre de médecins est passé de 16 782 à 18 496 de 2007 à 2011.

La Belle Province comptait, en 2011, 231 médecins pour 100 000 habitants. Seule la Nouvelle-Écosse affiche un meilleur score. La moyenne canadienne est de 209 médecins par 100 000 habitants. L'écart est encore plus impressionnant comparativement à l'Ontario, où l'on dénombre 195 médecins par 100 000 habitants.
http://www.lapresse.ca/actualites/quebe ... quebec.php" onclick="window.open(this.href);return false;



Au plaisir!


«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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Lison48
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Message par Lison48 »

Beppo a écrit : Publié le 15 novembre 2012 à 18h35 | Mis à jour à 18h35

Toujours plus de médecins au Québec

Daphné Cameron
La Presse
Il n'y a jamais eu autant de médecins au Québec et la province peut même se targuer d'avoir l'un des ratios de médecins par habitant les plus élevés parmi les provinces canadiennes, révèle une étude réalisée par l'Institut canadien d'information en santé (ICIS). Urgences qui débordent, difficulté à se trouver un médecin de famille, chirurgies sans cesse reportées: l'augmentation du nombre de médecins ne semble toutefois pas se traduire dans les soins à la population. Ce gouffre réside dans la manière d'organiser les soins et la division du travail, observent les experts.

Selon l'étude de l'ICIS rendue publique aujourd'hui, le nombre de médecins augmente plus rapidement que la population canadienne. En 2011, il y avait 72 529 médecins au Canada, soit une augmentation de 14% depuis 2007, alors que durant la même période, la population a connu une croissance de 4,7%.

Au Québec, le nombre de médecins est passé de 16 782 à 18 496 de 2007 à 2011.

La Belle Province comptait, en 2011, 231 médecins pour 100 000 habitants. Seule la Nouvelle-Écosse affiche un meilleur score. La moyenne canadienne est de 209 médecins par 100 000 habitants. L'écart est encore plus impressionnant comparativement à l'Ontario, où l'on dénombre 195 médecins par 100 000 habitants.
http://www.lapresse.ca/actualites/quebe ... quebec.php" onclick="window.open(this.href);return false;


L'Outaouais fait exception:

Publié le 16 novembre 2012 à 05h21 | Mis à jour à 05h21

Moins de médecins de famille en Outaouais

Justine Mercier
Le Droit


L'Outaouais est la seule région du Québec qui comptait moins de médecins de famille en 2011 qu'en 2010.


Selon des données rendues publiques hier par l'Institut canadien d'information sur la santé (ICIS), l'Outaouais affichait en 2011 une perte nette de cinq médecins de famille par rapport à l'année précédente. En 2010, la région comptait 351 omnipraticiens, contre 346 l'an dernier.

Pendant que le nombre de médecins de famille diminuait ainsi d'environ 1,5% en Outaouais, la population a augmenté de près de 1,5% entre 2010 et 2011. Le taux de médecins de famille par 100 000 habitants a par conséquent diminué en Outaouais, alors que c'est la tendance inverse qui est observée au Québec et au Canada.

«Je pense que ça reflète la réalité qu'on connaît, que c'est difficile pour les gens de l'Outaouais de trouver un médecin de famille», souligne Érik Bourdon, analyste principal à l'ICIS.


Les données de l'ICIS montrent que le taux de médecins omnipraticiens en Outaouais est passé de 97 par 100 000 habitants, en 2010, à 94 par 100 000 habitants l'an dernier.

Pour l'année 2011, la région compte ainsi une douzaine de médecins de famille de moins que la moyenne québécoise par tranche de 100 000 personnes.

L'Estrie est la seule autre région du Québec à avoir vu son taux de médecins de famille reculer entre 2010 et 2011, passant de 132 à 131 par 100 000 habitants.

L'Outaouais a toutefois réalisé des gains chez les médecins spécialistes, où l'on observe même une progression plus marquée que celles observées au Québec et au Canada. Le taux observé en Outaouais demeure tout de même bien inférieur aux taux moyens à l'échelle provinciale ou nationale. En 2010, on dénombrait 55 médecins spécialistes dans la région, comparativement à 61 l'an dernier.

Sur la rive ontarienne, la région de Champlain, qui englobe Ottawa et l'Est ontarien, a vu ses taux augmenter, tant chez les médecins de famille que chez les spécialistes.

http://www.lapresse.ca/le-droit/actuali ... aouais.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Lison de Gatineau
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Anya
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Message par Anya »

Tout lire >>Une culture de caste? 
Josée Legault - L'actualité
La prochaine fois que vous ferez le pied de grue à une clinique sans rendez-vous parce que vous n’avez pas de médecin de famille ou que vous vous taperez un 21 heures d’attente à l’urgence – le temps moyen d’attente à Montréal -, vous aurez sûrement une pensée pour ceci.
Le Journal de Québec et le Journal de Montréal rapportent que dans plusieurs sociétés d’État, l’argent des contribuables couvrirait les frais de bilans annuels de santé pour un certain nombre de cadres. Ces bilans de santé se font à la clinique privée du choix du gestionnaire. Et ce, pour un coût moyen annuel de 1 000$ par cadre qui s’en prévaut.
À titre d’exemples seulement, l’article mentionne 140 cadres chez Hydro-Québec, 240 chez Loto-Québec, 800 à la SAQ et 7 vice-présidents à la SAAQ. Chez Hydro-Québec, cette pratique remonterait jusqu’à l’an 2000 – ce remboursement y étant ajouté au revenu imposable des cadres.

De telles politiques édictées par des sociétés d’État n’est pourtant pas sans effets délétères :

- Des cadres se font payer leurs bilans de santé annuels – ou un à tous les deux ans, selon les politiques de chaque société d’État -, à même les fonds publics en plus de leurs rémunérations déjà généreuses.

- Ce faisant, ces sociétés d’État contribuent aussi à nourrir le marché fort lucratif et en expansion des cliniques médicales et des tests diagnostics privés, nommons-les, «VIP» – dite «médecine personnalisée et prédictive» -, une pratique en croissance qui cannibalise, par définition, le système de santé public.

- En offrant ce remboursement, elles permettent aussi à ces cadres d’avoir un accès privilégié et rapide à des bilans de santé auxquels de nombreux citoyens n’osent même plus rêver.

On ne s’en sort pas, la culture de gestion qui sous-tend ces politiques s’apparente à celle d’une caste.
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Anya
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Message par Anya »

Tout lire >>Je veux voir un bon docteur, vite! 
Francis Vailles - La Presse
(Montréal) Mettons que je fais du jogging dans le bois. Je me foule la cheville gauche, qui devient grosse comme un pamplemousse. J'ai très mal et je crains une fracture. Vite, aux urgences?
Pas si vite, justement. Au Québec, il faut 17 heures pour voir un médecin dans un hôpital, selon les chiffres officiels. Et encore, s'agit-il du temps d'attente des patients installés sur une civière.
Pendant ce temps, en Alberta, le temps d'attente est de moins de deux heures, en moyenne. En fait, au moment précis où j'écris ces lignes, il faut patienter 57 minutes aux urgences du Rockyview General Hospital, de Calgary.
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Fanfoi
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Message par Fanfoi »

Anya a écrit :
Tout lire >>Une culture de caste? 
Josée Legault - L'actualité
La prochaine fois que vous ferez le pied de grue à une clinique sans rendez-vous parce que vous n’avez pas de médecin de famille ou que vous vous taperez un 21 heures d’attente à l’urgence – le temps moyen d’attente à Montréal -, vous aurez sûrement une pensée pour ceci.
Le Journal de Québec et le Journal de Montréal rapportent que dans plusieurs sociétés d’État, l’argent des contribuables couvrirait les frais de bilans annuels de santé pour un certain nombre de cadres. Ces bilans de santé se font à la clinique privée du choix du gestionnaire. Et ce, pour un coût moyen annuel de 1 000$ par cadre qui s’en prévaut.
À titre d’exemples seulement, l’article mentionne 140 cadres chez Hydro-Québec, 240 chez Loto-Québec, 800 à la SAQ et 7 vice-présidents à la SAAQ. Chez Hydro-Québec, cette pratique remonterait jusqu’à l’an 2000 – ce remboursement y étant ajouté au revenu imposable des cadres.

De telles politiques édictées par des sociétés d’État n’est pourtant pas sans effets délétères :

- Des cadres se font payer leurs bilans de santé annuels – ou un à tous les deux ans, selon les politiques de chaque société d’État -, à même les fonds publics en plus de leurs rémunérations déjà généreuses.

- Ce faisant, ces sociétés d’État contribuent aussi à nourrir le marché fort lucratif et en expansion des cliniques médicales et des tests diagnostics privés, nommons-les, «VIP» – dite «médecine personnalisée et prédictive» -, une pratique en croissance qui cannibalise, par définition, le système de santé public.

- En offrant ce remboursement, elles permettent aussi à ces cadres d’avoir un accès privilégié et rapide à des bilans de santé auxquels de nombreux citoyens n’osent même plus rêver.

On ne s’en sort pas, la culture de gestion qui sous-tend ces politiques s’apparente à celle d’une caste.
Je ne veux pas faire la défense de ce système, mais disons que je comprend un peu, pourquoi. Si M. Chose était VP chez Bell ou à la Banque Nationale, il aurait droit à ce service, donc pour attirer des gens compétents, les sociétés d'état se doivent d'offrir aux candidats des bénéfices comparables, sinon les seules personnes qui vont vouloir devenir directeur chez Hydro-Québec ou à la SAQ vont être ceux qui ne sont pas capables de se trouver un job dans le privé.
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Fanfoi
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Message par Fanfoi »

Anya a écrit :
Tout lire >>Je veux voir un bon docteur, vite! 
Francis Vailles - La Presse
(Montréal) Mettons que je fais du jogging dans le bois. Je me foule la cheville gauche, qui devient grosse comme un pamplemousse. J'ai très mal et je crains une fracture. Vite, aux urgences?
Pas si vite, justement. Au Québec, il faut 17 heures pour voir un médecin dans un hôpital, selon les chiffres officiels. Et encore, s'agit-il du temps d'attente des patients installés sur une civière.
Pendant ce temps, en Alberta, le temps d'attente est de moins de deux heures, en moyenne. En fait, au moment précis où j'écris ces lignes, il faut patienter 57 minutes aux urgences du Rockyview General Hospital, de Calgary.
Moi ce qui m'a fait sauter dans l'article c'est ceci:
En Ontario, les médecins spécialistes sont également mis à contribution et une partie de la rémunération du personnel est notamment fonction des résultats aux urgences. De tels bonis à la performance sont encore une hérésie au Québec. De plus, les membres du personnel de certains hôpitaux sont tous équipés d'un iPhone pour avoir un accès plus rapide aux données critiques.
Me semblait qu'on risquait de faire exploser l'hôpital si on laissait notre téléphone allumé!!!!
Je sais que ce n'est pas vrai, et que ce n'est que pour une raison de courtoisie de ne pas avoir le gars qui est en train de régler sa journée au bureau dans la salle d'attente. D'ailleurs, à Ste-Justine, dans les salles d'accouchement, il y a router wi-fi pour que les instruments puissent communiquer avec le système de gestion des dossiers, et en salle d'op, le doc "en charge", a passé tout son temps à prendre des notes sur son iPad, pendant que les résidents s'occupaient à éventrer ma femme et y sortir Fiston.
Dernière modification par Fanfoi le lun. janv. 21, 2013 11:32 am, modifié 1 fois.
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maya213
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Message par maya213 »

Fanfoi a écrit : [...]


Moi ce qui m'a fait sauter dans l'article c'est ceci:
En Ontario, les médecins spécialistes sont également mis à contribution et une partie de la rémunération du personnel est notamment fonction des résultats aux urgences. De tels bonis à la performance sont encore une hérésie au Québec. De plus, les membres du personnel de certains hôpitaux sont tous équipés d'un iPhone pour avoir un accès plus rapide aux données critiques.
Me semblait qu'on risquait de faire exploser l'hôpital si on laissait notre téléphone allumé!!!!
Je sais que ce n'est pas vrai, et que ce n'est que pour une raison de courtoisie de ne pas avoir le gars qui est en train de régler sa journée au bureau dans la salle d'attente. D'ailleurs, à Ste-Justine, dans les salles d'accouchement, il y a router wi-fi pour que les instruments puissent communiquer avec le système de gestion des dossiers, et en salle d'op, le doc "en charge", a passé tout son temps à prendre des notes sur son iPad, pendant que les résidents s'occupaient à éventrer ma femme et y sortir Fiston.
Souvent, les docs et les résidents sont sur leur Iphone pour valider des valeurs. Par exemple, il ne se souvient plus de la dose suggérée pour X médicament, il va voir sur son application du CPS qui est mise à jour et a des valeurs suggérées. Idem pour un examen, une pathologie un peu floue, un calendrier indiquant la DPA selon la DDM, etc. C'est un outil assez pratique, qui leur permet d'avoir accès à des informations probantes sans devoir traîner 32 livres différents.

Ceci dit, certaines salles sont spécifiées ''SANS CELLULAIRE'', mais il n'est pas rare de voir des gens parler, texter, surfer sur leur téléphone un peu partout..
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Placeress
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Message par Placeress »

Fanfoi a écrit : [...]


Moi ce qui m'a fait sauter dans l'article c'est ceci:
En Ontario, les médecins spécialistes sont également mis à contribution et une partie de la rémunération du personnel est notamment fonction des résultats aux urgences. De tels bonis à la performance sont encore une hérésie au Québec. De plus, les membres du personnel de certains hôpitaux sont tous équipés d'un iPhone pour avoir un accès plus rapide aux données critiques.
Me semblait qu'on risquait de faire exploser l'hôpital si on laissait notre téléphone allumé!!!!
Je sais que ce n'est pas vrai, et que ce n'est que pour une raison de courtoisie de ne pas avoir le gars qui est en train de régler sa journée au bureau dans la salle d'attente. D'ailleurs, à Ste-Justine, dans les salles d'accouchement, il y a router wi-fi pour que les instruments puissent communiquer avec le système de gestion des dossiers, et en salle d'op, le doc "en charge", a passé tout son temps à prendre des notes sur son iPad, pendant que les résidents s'occupaient à éventrer ma femme et y sortir Fiston.

Les anciennes ondes avaient un possible impact sur des appareils médicaux. Maintenant, c'est permis dans plusieurs secteurs, mais il y en a encore où cela est interdit. Maintenant au CHUM, c'est indiqué que le cellulaire est permis mais de rester discret.. et de respecter les zones où des appareillages pourraient en être affectés.
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Anya
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Message par Anya »

Tout lire >>Des médecins veulent contrer les frais accessoires abusifs 
Un groupe de médecins revient à la charge pour contrer la prolifération des frais accessoires dans le système de santé québécois.
Un nouvel outil d’information devrait permettre aux patients de s’y retrouver plus facilement pour savoir quels sont les services de santé assurés par la province et ceux pour lesquels les médecins peuvent légitimement imposer des frais à leurs patients.
Les Médecins québécois pour le régime public (MQRP) jugent que les patients, en général, connaissent mal leurs droits. MQRP a réalisé un tableau récapitulatif des frais illégaux. Cet outil sera disponible sur leur site Internet et diffusé sur les réseaux sociaux.
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Anya
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Message par Anya »

Prescriptions des pharmaciens: les Québécois paieront-ils de leur poche?
La Presse

Les Québécois pourraient bientôt devoir payer de leur poche pour consulter un pharmacien.
C'est du moins la menace brandie par les pharmaciens propriétaires, qui craignent voir apparaître une brèche au principe de la gratuité des soins de santé, si Québec ne clarifie pas les règles du jeu d'ici le 3 septembre.

À compter de cette date, les pharmaciens seront autorisés à effectuer certains actes jusqu'ici réservés aux médecins, comme de prescrire des médicaments, ou prolonger et ajuster certaines ordonnances.

Or, la majorité des patients qui vont se rendre à la pharmacie plutôt qu'à la clinique médicale pour demander un conseil sur le médicament à prendre vont devoir payer pour obtenir ce service, à moins que Québec intervienne, selon l'Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP).

Les pharmaciens vont exiger des honoraires allant de 12,50 $ à 30 $ pour chaque consultation effectuée en vertu des nouveaux pouvoirs qui leur ont été dévolus dans la loi 41.

Il reste à savoir qui payera la facture: l'État québécois? Les assureurs privés? Le patient lui-même? Impossible à dire pour l'instant...

http://www.lapresse.ca/actualites/sante ... -poche.php" onclick="window.open(this.href);return false;
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Anya
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Message par Anya »

Médicaments Ranbaxy: bannis aux États-Unis, bienvenus au Canada
Marie-Claude Malboeuf - La Presse

Des médicaments vendus aux malades à la suite de tests bidon. D'autres, pleins d'impuretés ou qui se dégradent trop vite. Des mensonges à répétition et de faux rapports - artificiellement vieillis à la vapeur - pour berner les inspecteurs.

Malgré cette fraude spectaculaire, qui l'empêche de vendre des dizaines de médicaments aux États-Unis, le géant du générique Ranbaxy continue d'occuper une part croissante du marché canadien. Et trois de ses quatre usines indiennes jugées inadéquates par les Américains ont toujours la bénédiction de Santé Canada.

Une situation «préoccupante» pour l'Ordre des pharmaciens du Québec, et une attitude carrément «négligente» selon des experts en santé publique.....

http://www.lapresse.ca/actualites/sante ... canada.php" onclick="window.open(this.href);return false;




Médicaments: la pilule amère de la mondialisation
Marie-Claude Malboeuf - La Presse

Ranbaxy n'est pas la seule entreprise étrangère à vendre des remèdes qui éveillent les soupçons du milieu de la santé. Chaque année, les médecins, infirmiers et pharmaciens des hôpitaux québécois se plaignent par dizaines que certains médicaments sont de mauvaise qualité, voire inefficaces, révèle le président du comité des pharmaciens du plus grand groupe d'achat de la province, Sigmasanté.

Pour Jean-François Bussières, les ratés restent occasionnels et certains sont inévitables. La situation lui semble toutefois «préoccupante» depuis que la majorité des médicaments est fabriquée à l'étranger - surtout en Inde et en Chine, où les lois sont moins strictes et où les inspecteurs nord-américains se rendent de façon rarissime.

«Il y a des risques associés à la mondialisation, alors il faut être plus vigilant», estime M. Bussières. Dans certains cas, précise-t-il, des groupes de pharmaciens ont eu vent de problèmes grâce à une veille électronique sur le web, sans avoir jamais été alertés par leur fournisseur.

Parfois, le danger est grand. Ces derniers mois, deux entreprises, Apotex (fabricant d'Alysena) puis Mylan Pharmaceuticals (Esme-28 et Freya-28), ont dû rappeler des boîtes de pilules contraceptives fabriquées à l'étranger, parce qu'un comprimé ne contenait pas d'ingrédient actif alors qu'il aurait dû en contenir. Ce qui a exposé près d'un demi-million de Canadiennes à une grossesse non désirée. Les deux derniers rappels concernaient la même usine indienne.....

http://www.lapresse.ca/actualites/sante ... ticle_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
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