réforme de l'assurance chomage
Assurance-emploi - Les objectifs de coupes sont plus élevés pour le Québec
7 février 2013 | Marie Vastel | Canada
Les fonctionnaires de Service Canada devront économiser cette année 430 millions de dollars en « paiements incorrects » d’assurance-emploi. De ce chiffre, quelque 120 millions auront été épargnés au Québec, selon les objectifs de prévention de la fraude fixés par Ottawa.
http://www.ledevoir.com/politique/canad ... -le-quebec" onclick="window.open(this.href);return false;
7 février 2013 | Marie Vastel | Canada
Les fonctionnaires de Service Canada devront économiser cette année 430 millions de dollars en « paiements incorrects » d’assurance-emploi. De ce chiffre, quelque 120 millions auront été épargnés au Québec, selon les objectifs de prévention de la fraude fixés par Ottawa.
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- ornitho-max
- Seigneur de la Causerie
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Re: réforme de l'assurance chomage
Les Maritimes et le Québec également...
- NainDeJardin
- Immortel du Domaine
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- Inscription : jeu. oct. 30, 2003 1:00 am
Ce sont des philippins.Stella a écrit : [...]
a mon mcdo on engage des philipiens (euh.. des gens des philippines) pour combler les postes! ils sont unilingues anglophones (mais sont dans les cuisines).
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Nain qui est aux Philippines depuis 1 mois.
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merci de la précision sur le nomNainDeJardin a écrit : [...]
Ce sont des philippins.J'savais pas qu'ils allaient à Québec.
D'après ce que j'ai compris, tous ceux qui viennent dans le plus meilleur pays du monde se ramassent à Vancouver et Toronto.
Nain qui est aux Philippines depuis 1 mois.
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C'est de pire en pire...
Publié le 20 février 2013
Visites surprises de fonctionnaires chez des chômeurs
FANNIE OLIVIER
La Presse Canadienne
Ottawa
On frappe à la porte et vous n'attendiez pas de visite? Si vous êtes un bénéficiaire de l'assurance-emploi, vous pourriez avoir la surprise de vous retrouver nez-à-nez avec un employé de Service Canada.
Car des fonctionnaires du gouvernement fédéral se livrent actuellement à des visites impromptues chez des prestataires de l'assurance-emploi. Alors que la méfiance à l'égard des changements au programme ne tarit pas, certains trouvent le moment de cette initiative bien mal choisi.
Au total, environ 1200 prestataires sélectionnés aléatoirement recevront la visite chez eux d'un représentant de Service Canada d'ici la fin du mois de mars.
C'est donc le hasard qui a fait en sorte qu'on frappe à la porte d'une travailleuse saisonnière oeuvrant dans les usines de poisson du Nouveau-Brunswick, actuellement au chômage en raison de la fin de la saison de la pêche. Cette bénéficiaire de l'assurance-emploi a accepté de répondre aux questions de La Presse Canadienne à condition que son nom ne soit pas publié.
Le 5 février, au moment où elle rentrait de faire des courses, elle a reçu la visite d'une fonctionnaire chez elle. «Ça m'a surprise quand elle a demandé pour moi. Ça m'a comme saisie», a-t-elle relaté.
«Elle a dit: "je suis venue t'amener un formulaire, tu vas remplir ça, et puis je veux avoir une entrevue avec toi mercredi". Je lui ai dit, "je serai"», a expliqué celle qui travaille dans les usines de poisson depuis pas moins de 35 ans.
Comme toutes les personnes actuellement au chômage, on lui demande de chercher activement un emploi, même si elle compte travailler à nouveau dans l'industrie de la pêche lorsque la saison recommencera.
«La seule chose que je peux faire, c'est de travailler dans une usine. Je vais voir partout pour de l'ouvrage [...]. Il n'y en a pas», a résumé la dame.
Son histoire est venue aux oreilles d'Alma Breau-Thibodeau, qui a fondé le Comité d'action assurance-emploi à la défense des travailleurs et travailleuses, un groupe du Nouveau-Brunswick qui organise notamment des manifestations pacifiques pour s'opposer à la réforme. À son avis, de telles visites ne font que jeter de l'huile sur le feu.
«Ça, c'est abuser. Ils nous abusent "au bout". On se sent tous agressés par cette loi-là», a-t-elle signalé.
«C'est un gros cas, quand tu es rendu que tu te fais vérifier à la maison. On a des téléphones, des bureaux de postes», s'est-elle indignée.
Confirmation
«Un examen pour assurer l'intégrité du régime d'assurance-emploi est présentement en cours», a confirmé par courriel à La Presse Canadienne une porte-parole du ministère des Ressources humaines et du Développement des compétences.
Des employés se rendent ainsi depuis janvier au domicile de bénéficiaires - sans préavis - pour leur remettre en main propre une convocation à une entrevue, a-t-on indiqué au ministère. Environ 50 employés seraient dévoués à cette tâche, en plus de leurs responsabilités quotidiennes.
Le député néo-démocrate Yvon Godin, lui-même en croisade contre la réforme de la ministre des Ressources humaines, Diane Finley, ne voit pas d'un bon oeil ces visites à domicile.
«C'est commencer à intimider les gens dans leur demeure», a tranché le député d'Acadie-Bathurst.
Selon M. Godin, les gens sont tellement en colère contre les changements récemment apportés au régime d'assurance-emploi que certains pourraient mal accueillir les employés de Service Canada se présentant chez-eux.
«Moi, je ne recommanderais pas aux représentants du gouvernement d'aller cogner aux portes présentement. C'est dangereux», a-t-il conclu, déplorant du même souffle que le gouvernement mette en danger ses fonctionnaires.
La déléguée syndicale Nathalie Paulin a elle-même constaté que l'agressivité des chômeurs grimpe en flèche, que ce soit dans les manifestations ou lors d'appels téléphoniques pour s'informer sur la réforme auprès de Service Canada.
Cela a d'ailleurs incité Mme Paulin à exprimer publiquement ses inquiétudes à l'égard des changements au programme.
«Le niveau d'agressivité monte, et moi, j'avais peur pour la santé et la sécurité des membres que je représente», a-t-elle noté.
«On comprend la détresse des gens, on la vit nous autres aussi», a-t-elle spécifié.
Pas terminé
En mai dernier, Mme Finley a annoncé une refonte importante de l'assurance-emploi, graduellement mise en oeuvre au cours des derniers mois.
Désormais, le chômeur fréquent doit accepter tout emploi pour lequel il est qualifié dans un rayon de 100 kilomètres de son domicile, et ce, même si le salaire ne représente que 70 pour cent de son salaire antérieur. Il doit également prouver qu'il recherche activement un emploi.
Les détracteurs de la réforme affirment que les changements heurtent particulièrement les travailleurs saisonniers du Québec et des provinces de l'Atlantique.
Alma Breau-Thibodeau juge que dans sa région du Nord-Est du Nouveau-Brunswick, l'économie semble tourner au ralenti en raison de l'incertitude entourant la réforme.
«C'est parce qu'on ne sait pas ce qui s'en vient. Le gens ont peur, ils vivent la crainte, ils sont tout stressés, ils vivent des colères. Ils ne sont pas à blâmer. Ils voient la réalité qui s'en vient. C'est ça qui est dur», a-t-elle illustré.
La ministre Finley a publié pour sa part un communiqué mardi pour calmer le jeu et «mettre les choses au point».
«Aucune personne ne perdra ses prestations si elle ne peut trouver un emploi, pourvu qu'elle entreprenne des démarches raisonnables pour trouver un emploi et qu'elle accepte un emploi convenable», peut-on lire dans le communiqué.
Mais le ton rassurant du gouvernement ne parvient pas à apaiser les travailleurs inquiets. Des manifestations d'envergure pour dénoncer la refonte du programme sont organisées dans une dizaine de ville au Québec samedi.
http://www.lapresse.ca/le-soleil/affair ... ticle_POS2" onclick="window.open(this.href);return false;
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Publié le 20 février 2013
Visites surprises de fonctionnaires chez des chômeurs
FANNIE OLIVIER
La Presse Canadienne
Ottawa
On frappe à la porte et vous n'attendiez pas de visite? Si vous êtes un bénéficiaire de l'assurance-emploi, vous pourriez avoir la surprise de vous retrouver nez-à-nez avec un employé de Service Canada.
Car des fonctionnaires du gouvernement fédéral se livrent actuellement à des visites impromptues chez des prestataires de l'assurance-emploi. Alors que la méfiance à l'égard des changements au programme ne tarit pas, certains trouvent le moment de cette initiative bien mal choisi.
Au total, environ 1200 prestataires sélectionnés aléatoirement recevront la visite chez eux d'un représentant de Service Canada d'ici la fin du mois de mars.
C'est donc le hasard qui a fait en sorte qu'on frappe à la porte d'une travailleuse saisonnière oeuvrant dans les usines de poisson du Nouveau-Brunswick, actuellement au chômage en raison de la fin de la saison de la pêche. Cette bénéficiaire de l'assurance-emploi a accepté de répondre aux questions de La Presse Canadienne à condition que son nom ne soit pas publié.
Le 5 février, au moment où elle rentrait de faire des courses, elle a reçu la visite d'une fonctionnaire chez elle. «Ça m'a surprise quand elle a demandé pour moi. Ça m'a comme saisie», a-t-elle relaté.
«Elle a dit: "je suis venue t'amener un formulaire, tu vas remplir ça, et puis je veux avoir une entrevue avec toi mercredi". Je lui ai dit, "je serai"», a expliqué celle qui travaille dans les usines de poisson depuis pas moins de 35 ans.
Comme toutes les personnes actuellement au chômage, on lui demande de chercher activement un emploi, même si elle compte travailler à nouveau dans l'industrie de la pêche lorsque la saison recommencera.
«La seule chose que je peux faire, c'est de travailler dans une usine. Je vais voir partout pour de l'ouvrage [...]. Il n'y en a pas», a résumé la dame.
Son histoire est venue aux oreilles d'Alma Breau-Thibodeau, qui a fondé le Comité d'action assurance-emploi à la défense des travailleurs et travailleuses, un groupe du Nouveau-Brunswick qui organise notamment des manifestations pacifiques pour s'opposer à la réforme. À son avis, de telles visites ne font que jeter de l'huile sur le feu.
«Ça, c'est abuser. Ils nous abusent "au bout". On se sent tous agressés par cette loi-là», a-t-elle signalé.
«C'est un gros cas, quand tu es rendu que tu te fais vérifier à la maison. On a des téléphones, des bureaux de postes», s'est-elle indignée.
Confirmation
«Un examen pour assurer l'intégrité du régime d'assurance-emploi est présentement en cours», a confirmé par courriel à La Presse Canadienne une porte-parole du ministère des Ressources humaines et du Développement des compétences.
Des employés se rendent ainsi depuis janvier au domicile de bénéficiaires - sans préavis - pour leur remettre en main propre une convocation à une entrevue, a-t-on indiqué au ministère. Environ 50 employés seraient dévoués à cette tâche, en plus de leurs responsabilités quotidiennes.
Le député néo-démocrate Yvon Godin, lui-même en croisade contre la réforme de la ministre des Ressources humaines, Diane Finley, ne voit pas d'un bon oeil ces visites à domicile.
«C'est commencer à intimider les gens dans leur demeure», a tranché le député d'Acadie-Bathurst.
Selon M. Godin, les gens sont tellement en colère contre les changements récemment apportés au régime d'assurance-emploi que certains pourraient mal accueillir les employés de Service Canada se présentant chez-eux.
«Moi, je ne recommanderais pas aux représentants du gouvernement d'aller cogner aux portes présentement. C'est dangereux», a-t-il conclu, déplorant du même souffle que le gouvernement mette en danger ses fonctionnaires.
La déléguée syndicale Nathalie Paulin a elle-même constaté que l'agressivité des chômeurs grimpe en flèche, que ce soit dans les manifestations ou lors d'appels téléphoniques pour s'informer sur la réforme auprès de Service Canada.
Cela a d'ailleurs incité Mme Paulin à exprimer publiquement ses inquiétudes à l'égard des changements au programme.
«Le niveau d'agressivité monte, et moi, j'avais peur pour la santé et la sécurité des membres que je représente», a-t-elle noté.
«On comprend la détresse des gens, on la vit nous autres aussi», a-t-elle spécifié.
Pas terminé
En mai dernier, Mme Finley a annoncé une refonte importante de l'assurance-emploi, graduellement mise en oeuvre au cours des derniers mois.
Désormais, le chômeur fréquent doit accepter tout emploi pour lequel il est qualifié dans un rayon de 100 kilomètres de son domicile, et ce, même si le salaire ne représente que 70 pour cent de son salaire antérieur. Il doit également prouver qu'il recherche activement un emploi.
Les détracteurs de la réforme affirment que les changements heurtent particulièrement les travailleurs saisonniers du Québec et des provinces de l'Atlantique.
Alma Breau-Thibodeau juge que dans sa région du Nord-Est du Nouveau-Brunswick, l'économie semble tourner au ralenti en raison de l'incertitude entourant la réforme.
«C'est parce qu'on ne sait pas ce qui s'en vient. Le gens ont peur, ils vivent la crainte, ils sont tout stressés, ils vivent des colères. Ils ne sont pas à blâmer. Ils voient la réalité qui s'en vient. C'est ça qui est dur», a-t-elle illustré.
La ministre Finley a publié pour sa part un communiqué mardi pour calmer le jeu et «mettre les choses au point».
«Aucune personne ne perdra ses prestations si elle ne peut trouver un emploi, pourvu qu'elle entreprenne des démarches raisonnables pour trouver un emploi et qu'elle accepte un emploi convenable», peut-on lire dans le communiqué.
Mais le ton rassurant du gouvernement ne parvient pas à apaiser les travailleurs inquiets. Des manifestations d'envergure pour dénoncer la refonte du programme sont organisées dans une dizaine de ville au Québec samedi.
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l'employeur pourrait te payer plus . C'est pas que je suis contre l'assurance chômage non plus. C'est nécessaire, mais là c'est rendu ridicule. En ne voulant pas payer le monde qui travaillent saisonnier, que va-t-il arriver?. Le prix de tout ce qui est apporté par les travailleurs saisonniers va augmenter, car l'employeur pour garder son personnel va être obligé soit de payer plus ou d'étirer les heures. Résultat: le citoyen ordinaire va payer plus pour : vacances en région, piscine, déneigement, paysagement, travail maraîcher et la liste est longue. La pensée magique du gouvernement à savoir que tout ce beau monde peut se trouver une job pour compléter n'a aucune logique. Ce sont souvent des jobs qui ont lieu l'été , qui sont concurrentes dans le temps. On a juste à fermer la gaspésie. Ils vont pouvoir faire un beau champs d'huile dans le fleuve , il n'y aura plus personnes pour se plaindre. Le poisson c'est pas grave, ils feront des élevages dans le Richelieu. Harper..............................................................................Skarhet a écrit : [...]
Ah oui... Ainsi on pourrait administrer notre propre caisse... C'est juste qu'on perdrerait la part de l'employeur par contre.

bouquet a écrit : [...]
l'employeur pourrait te payer plus . C'est pas que je suis contre l'assurance chômage non plus. C'est nécessaire, mais là c'est rendu ridicule. En ne voulant pas payer le monde qui travaillent saisonnier, que va-t-il arriver?. Le prix de tout ce qui est apporté par les travailleurs saisonniers va augmenter, car l'employeur pour garder son personnel va être obligé soit de payer plus ou d'étirer les heures. Résultat: le citoyen ordinaire va payer plus pour : vacances en région, piscine, déneigement, paysagement, travail maraîcher et la liste est longue. La pensée magique du gouvernement à savoir que tout ce beau monde peut se trouver une job pour compléter n'a aucune logique. Ce sont souvent des jobs qui ont lieu l'été , qui sont concurrentes dans le temps. On a juste à fermer la gaspésie. Ils vont pouvoir faire un beau champs d'huile dans le fleuve , il n'y aura plus personnes pour se plaindre. Le poisson c'est pas grave, ils feront des élevages dans le Richelieu. Harper..............................................................................
Tellement !!
De toute façon, c'est comme tuer une mouche avec un bazooka... Tu cibles les fraudeurs et ceux qui abusent et tu laisses les honnêtes gens tranquilles...
Non mais c'est toujours ben nous autres qui payent ça avec nos taxes!... 100km pour aller travailler, ça fait 200 km par jour, 1000 km par semaine. Ça fait combien de gaz ça?... 150?.. 200$?... Qui peut payer ça de gaz à un bas salaire?
Non mais c'est toujours ben nous autres qui payent ça avec nos taxes!... 100km pour aller travailler, ça fait 200 km par jour, 1000 km par semaine. Ça fait combien de gaz ça?... 150?.. 200$?... Qui peut payer ça de gaz à un bas salaire?
les fraudeurs trouvent toujours le moyen de frauder, c'est comme une maladie. Je soupçonne que l,on pourrait qualifier ça dans la même catégorie que l'alcoolisme , la consommation de drogues , le magasinage compulsif et le jeu. Les mêmes régions du cerveau doivent être stimulées. Je demande une étude.Nikki a écrit : De toute façon, c'est comme tuer une mouche avec un bazooka... Tu cibles les fraudeurs et ceux qui abusent et tu laisses les honnêtes gens tranquilles...
Non mais c'est toujours ben nous autres qui payent ça avec nos taxes!... 100km pour aller travailler, ça fait 200 km par jour, 1000 km par semaine. Ça fait combien de gaz ça?... 150?.. 200$?... Qui peut payer ça de gaz à un bas salaire?
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Qui sont les 1200 sélectionnés?
Des gens qui retirent du chômage pour la 1ère fois??? Des saisonniers (lesquels n'ont pas le choix d'être sur le chômage)?? Des gens qui ne crossent pas le système??
Est-ce qu'ils ont pris le temps au moins de sélectionner ceux qui abusent du chômage??? parce que ce genre de monde existe, tout comme le BS.
Des gens qui retirent du chômage pour la 1ère fois??? Des saisonniers (lesquels n'ont pas le choix d'être sur le chômage)?? Des gens qui ne crossent pas le système??
Est-ce qu'ils ont pris le temps au moins de sélectionner ceux qui abusent du chômage??? parce que ce genre de monde existe, tout comme le BS.
myrage22 a écrit : [...]
Oui mais en cotisan un maximum de 460 $ par année on va pas loin...
on cotise un maximum d'environ 680 me semble.
Ce que Harper essais de faire peut avoir noble a la base...car une assurance-emploi est une assurance qui te dit, lorsque tu perderas ton emploi, on va te donner de l'argent le temps que tu te retrouve une job....et non, reste chez vous payer en attendant que ca recommence. les travailleur saisonnier paye 700 $ de chomage et en retire 8000$...... Et ca a chaque année. Donc sur 30 ans...21 000 de payer et 240 000 de recu....C'est Weird....
Mais peut importe, ce qu'Harper essais de faire n'est pas bon. Je suis contre son 70% du salaire et a 100 km.... c'est exagéré.
Chaque cas est unique et un gouvernement ne peut controler ca.
Le seul controle qu'harper Devrait et Doit controler, c'est le chomeur travaillant au noir....ca c'est fréquent, trop fréquent. Le reste, et bien que ca reste comme c'était.
Re: réforme de l'assurance chomage
oups oui 720 mon erreur
Dernière modification par lolilou le lun. févr. 25, 2013 12:10 pm, modifié 1 fois.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem