La charte de la laïcité Québécoise: Pour ou contre ?
Publié en février dernier...
On peut trouver une video et le texte d'un discours de Madame Lesbet dans les pages qui précèdent.
Qui a peur de Leila?
Marie-Claude Lortie
La Presse
Leila Lesbet est arrivée à Montréal il y a 12 ans. «Je suis venue ici parce qu'en Algérie, en tant que femme, ce n'était plus possible de vivre.»
Avec mari et enfants, en octobre 2001, Leila s'installe dans la région métropolitaine. Enseignante dans son pays d'origine, elle trouve un emploi ici comme technicienne en éducation spécialisée dans une école. En gros, on lui confie les cas difficiles et son rôle est de désamorcer les crises, de rendre studieux des enfants qui ruent dans les brancards.
Rapidement, elle s'engage aussi dans le mouvement féministe. Militante un jour, militante toujours. Avoir vu son nom affiché dans les mosquées en Algérie, invitant les fidèles à l'assassiner parce qu'elle a organisé des manifestations contre le pouvoir, notamment la marche du 8 mars 1994, n'a pas réussi à la faire taire.
Elle devient membre de la Fédération des femmes du Québec (FFQ). Écrit des lettres d'opinion. S'engage dans les discussions. En 2009, elle se désole de voir la Fédération prendre une position controversée sur le port du voile dans la fonction publique.
La FFQ est pour ce que certains appellent la «laïcité ouverte», donc en faveur du port du voile par les agents de l'État, pour celles qui le veulent. Leila, musulmane, est de celles qui ne veulent pas que l'État ouvre la porte à ce symbole.
Elle est de celles qui trouvent que le voile n'est pas un accessoire ni même un insigne religieux. «C'est un islam que je ne connais pas, même si j'ai grandi avec des parents très croyants, très conservateurs.»
Selon elle, le voile est plutôt un message. Un message de soumission, un message politique qui a cours depuis la révolution iranienne de 1979. Un recul. Dans les pays musulmans, des femmes sont violées parce qu'elles refusent de le porter, rappelle-t-elle. «Ce voile et cette burqa qu'on défend ici sont entachés du sang de toutes les adolescentes et les femmes qui ont voulu dire non.»
Leila va même plus loin. Très loin. «Le voile, c'est notre étoile jaune», dit-elle en faisant référence au tragique symbole utilisé par les nazis pour identifier les juifs. «Je ne peux pas soutenir une oppression, une atteinte à la dignité humaine.»
Leila a des idées qu'on entend peu souvent formulées par des musulmanes, comme elle, sur la place publique. Dans la communauté à Montréal, dit-elle, ses idées sont partagées, mais en privé surtout. Pourquoi? «Nous sommes fatiguées», dit-elle, en parlant de ces femmes musulmanes qu'elle côtoie et qui partagent son opinion, mais qui se démènent pour mener de front travail, famille et intégration à bon port. Monter au créneau demande du temps, un dévouement, une capacité à encaisser les coups, que plusieurs n'ont pas. Tout le monde n'a pas le cran et l'éloquence d'une Djemila Benhabib, auteure de Ma vie à contre-Coran. Se battre est épuisant.
Mais Leila, dont les enfants sont aujourd'hui partis travailler en Europe, a du temps. Et elle tient tellement à ses idées qu'elle voulait les faire entendre à la Fédération des femmes du Québec dans le cadre des états généraux que l'organisme a convoqués afin de déterminer ses orientations politiques pour les 20 prochaines années.
Après avoir participé à certaines activités, dont un colloque en mai dernier, Leila s'est toutefois fait dire par les organisatrices de ce vaste mouvement de réflexion qu'elle n'aurait pas sa place aux «tables» de discussion qui ont cours actuellement en vue du grand forum final de novembre prochain.
«Comportement problématique», lui a écrit la coordonnatrice des états généraux, Alice Lepetit.
En lisant le courriel où c'était annoncé, Leila a cru être de nouveau en Algérie. «Vivre l'exclusion, ici, par des femmes, après ce que j'ai vécu, ce fut pénible», raconte-t-elle. Choquée, elle réplique: «Si j'ai choisi l'exil, ce n'est pas pour accepter, ici au Québec, des agissements de potentats... Qui m'a représentée à ce procès» Alexa Conradi, présidente de la FFQ, était au courant du dossier quand je l'ai jointe jeudi. Son explication: la décision d'exclure deux personnes des tables de discussion - elle n'a pas voulu les nommer, mais il s'agit de Leila Lesbet et de l'anthropologue Michèle Sirois - est liée à des questions pratiques, assure la présidente. «Le comité d'orientation devait veiller à ce que les tables soient fonctionnelles», a-t-elle affirmé sans préciser la nature des problèmes de «fonctionnalité» posés par les deux féministes, dont les opinions sur le voile sont à l'opposé de celles mises de l'avant par la FFQ.
Prive-t-on les états généraux de points de vue importants? D'idées qu'on entend peu en public de la bouche de musulmanes féministes? Pas du tout, réplique Mme Conradi. «Cette voix est déjà présente dans le mouvement des femmes.»
Et puis, dit-elle, il y a encore de la place pour la discussion, des événements publics à venir, de l'espace sur le web pour publier des lettres...
Leila, elle, n'arrive pas à croire que ses idées, son temps, son énergie, sa volonté de participer aient ainsi été mis de côté. «Comment peuvent-elles parler d'inclusion, d'intersection, d'égalité? demande-t-elle. Quelle hypocrisie...»
Bonne question
On peut trouver une video et le texte d'un discours de Madame Lesbet dans les pages qui précèdent.
Qui a peur de Leila?
Marie-Claude Lortie
La Presse
Leila Lesbet est arrivée à Montréal il y a 12 ans. «Je suis venue ici parce qu'en Algérie, en tant que femme, ce n'était plus possible de vivre.»
Avec mari et enfants, en octobre 2001, Leila s'installe dans la région métropolitaine. Enseignante dans son pays d'origine, elle trouve un emploi ici comme technicienne en éducation spécialisée dans une école. En gros, on lui confie les cas difficiles et son rôle est de désamorcer les crises, de rendre studieux des enfants qui ruent dans les brancards.
Rapidement, elle s'engage aussi dans le mouvement féministe. Militante un jour, militante toujours. Avoir vu son nom affiché dans les mosquées en Algérie, invitant les fidèles à l'assassiner parce qu'elle a organisé des manifestations contre le pouvoir, notamment la marche du 8 mars 1994, n'a pas réussi à la faire taire.
Elle devient membre de la Fédération des femmes du Québec (FFQ). Écrit des lettres d'opinion. S'engage dans les discussions. En 2009, elle se désole de voir la Fédération prendre une position controversée sur le port du voile dans la fonction publique.
La FFQ est pour ce que certains appellent la «laïcité ouverte», donc en faveur du port du voile par les agents de l'État, pour celles qui le veulent. Leila, musulmane, est de celles qui ne veulent pas que l'État ouvre la porte à ce symbole.
Elle est de celles qui trouvent que le voile n'est pas un accessoire ni même un insigne religieux. «C'est un islam que je ne connais pas, même si j'ai grandi avec des parents très croyants, très conservateurs.»
Selon elle, le voile est plutôt un message. Un message de soumission, un message politique qui a cours depuis la révolution iranienne de 1979. Un recul. Dans les pays musulmans, des femmes sont violées parce qu'elles refusent de le porter, rappelle-t-elle. «Ce voile et cette burqa qu'on défend ici sont entachés du sang de toutes les adolescentes et les femmes qui ont voulu dire non.»
Leila va même plus loin. Très loin. «Le voile, c'est notre étoile jaune», dit-elle en faisant référence au tragique symbole utilisé par les nazis pour identifier les juifs. «Je ne peux pas soutenir une oppression, une atteinte à la dignité humaine.»
Leila a des idées qu'on entend peu souvent formulées par des musulmanes, comme elle, sur la place publique. Dans la communauté à Montréal, dit-elle, ses idées sont partagées, mais en privé surtout. Pourquoi? «Nous sommes fatiguées», dit-elle, en parlant de ces femmes musulmanes qu'elle côtoie et qui partagent son opinion, mais qui se démènent pour mener de front travail, famille et intégration à bon port. Monter au créneau demande du temps, un dévouement, une capacité à encaisser les coups, que plusieurs n'ont pas. Tout le monde n'a pas le cran et l'éloquence d'une Djemila Benhabib, auteure de Ma vie à contre-Coran. Se battre est épuisant.
Mais Leila, dont les enfants sont aujourd'hui partis travailler en Europe, a du temps. Et elle tient tellement à ses idées qu'elle voulait les faire entendre à la Fédération des femmes du Québec dans le cadre des états généraux que l'organisme a convoqués afin de déterminer ses orientations politiques pour les 20 prochaines années.
Après avoir participé à certaines activités, dont un colloque en mai dernier, Leila s'est toutefois fait dire par les organisatrices de ce vaste mouvement de réflexion qu'elle n'aurait pas sa place aux «tables» de discussion qui ont cours actuellement en vue du grand forum final de novembre prochain.
«Comportement problématique», lui a écrit la coordonnatrice des états généraux, Alice Lepetit.
En lisant le courriel où c'était annoncé, Leila a cru être de nouveau en Algérie. «Vivre l'exclusion, ici, par des femmes, après ce que j'ai vécu, ce fut pénible», raconte-t-elle. Choquée, elle réplique: «Si j'ai choisi l'exil, ce n'est pas pour accepter, ici au Québec, des agissements de potentats... Qui m'a représentée à ce procès» Alexa Conradi, présidente de la FFQ, était au courant du dossier quand je l'ai jointe jeudi. Son explication: la décision d'exclure deux personnes des tables de discussion - elle n'a pas voulu les nommer, mais il s'agit de Leila Lesbet et de l'anthropologue Michèle Sirois - est liée à des questions pratiques, assure la présidente. «Le comité d'orientation devait veiller à ce que les tables soient fonctionnelles», a-t-elle affirmé sans préciser la nature des problèmes de «fonctionnalité» posés par les deux féministes, dont les opinions sur le voile sont à l'opposé de celles mises de l'avant par la FFQ.
Prive-t-on les états généraux de points de vue importants? D'idées qu'on entend peu en public de la bouche de musulmanes féministes? Pas du tout, réplique Mme Conradi. «Cette voix est déjà présente dans le mouvement des femmes.»
Et puis, dit-elle, il y a encore de la place pour la discussion, des événements publics à venir, de l'espace sur le web pour publier des lettres...
Leila, elle, n'arrive pas à croire que ses idées, son temps, son énergie, sa volonté de participer aient ainsi été mis de côté. «Comment peuvent-elles parler d'inclusion, d'intersection, d'égalité? demande-t-elle. Quelle hypocrisie...»
Bonne question
Jannic a écrit : J'aurais préféré mettre la video directement ici mais, je n'y arrive pas.
Donc, le lien:
http://www.youtube.com/watch?v=P3A-CDgT ... pp=desktop" onclick="window.open(this.href);return false;
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=P3A-CDgTHDg[/youtube]
Tu vois, pour moi, la partie "signes ostentatoires" par les employés de l'état me rejoint plus que jamais.Placeress a écrit : [...]
Exactement..
Personnellement.. la charte des valeurs.. jusqu'aux signes ostentatoires me va dans ce qu'on en sait.... c'est la partie "signes ostentatoires" dans la fonction publique (que tout le monde vont pouvoir en déroger de toute manière) qui me heurte... pour le reste.. à ce qu'on en sait.. je suis en accord..
Si je m'en tiens qu'au voile et à ses dérivés, je comprends maintenant que voilà des symboles qui n'ont
RIEN de religieux de surcroît. POLIQUE. En écoutant, en lisant les avis sur la question par les tenants
du voile et &, jamais on invoque le nom de Allah ou même le Coran. On parle de droit individuel avant tout.
On est dans le droit, pas dans la conviction religieuse d'autant plus, je le comprends mieux aussi maintenant,
qu'historiquement, le voile apparaît en force qu à la fin du 20e siècle, autrement dit hier. Il faut traiter le voile
comme à part à cause de son véritable sens. Il est le symbole ostentatoire visé le plus percutant entre tous.
J'ai le sentiment qu'après ces dernières semaines de grand bruit médiatique contre le projet de la charte,
de plus en plus les voix émergentes se font entendre, particulièrement celles de femmes et d'hommes
ayant émigré ici, au Québec, justement pour des raisons liées aux dictatures de l'Islam politique.
Ces voix, ce sont celles que moi, en tout cas, je prends en compte. Jusqu'à ce début de débat, j'ai toujours
fait partie des frileux, craignant les glissades xénophobes. Maintenant, beaucoup mieux informée sur
les vrais tenants et aboutissants de ce triste symbole, je n'hésite même plus à appuyer cette partie
du projet bien plus inclusive que le contraire. Aucune partie du Monde n'est à l'abri de l'islamisation.
On a affaire là à un monstre aux tentacules sans limite. Le message doit être clair au niveau du principe.
L'application, elle, pourra tenir compte de l'incarnation humaine concrète de ce passage aux mesures en cause.
C'est ce qui me semble être le sens des possibilités de dérogation temporaire. Le ministre a bien dit
que le renouvellement après 5 ans serait plus qu'exceptionnel. Il faut bien commencer quelque part.
Quant à la xénophobie, aux manifestions de racisme, elles sommeillent en chaque être humain d'où qu'ils soit
sur la Planète. Elles n'ont jamais leur place et doivent être aussi combattues comme une maladie grave.
C'est dans l'ignorance de l'autre qu'elles prennent leur source. Jamais je n'endosserai et les tenants de la
future chartre qui l'appuient pour les mauvaises raisons ne m'inspirent aucun respect.
je pense que pas mal tout le monde ici et dans le public en général est assez d'accord avec certains principes de la charte. Les accommodements déraisonnables n'ont plus leurs places, on ne veut pas non plus que dans un monde idéal la femme soit l'inférieur de l'homme. On ne veut pas que les islamistes prennent le contrôle du Québec. On ne peut aller contre le gros bon sens. On parle là du pourquoi...
Moi, c'est le comment qui me dérange. On a créé ici un débat qu'on a tr`s peu de chances de gagner au niveau juridique, puisque tout est mis dans le même sac. Un débat qui occupera l'espace public pendant des années, créera de la tension, sur lequel reposera les prochaines élections. Me semble qu'il y aurait d'autres sujets autrement plus importants , l'économie, la santé l'éducation. La taille de l'état, sans aller dans le spécifique. Le PQ ne pouvait y aller avec son indépendance, alors ils ont choisis d'y aller avec ça. Ça aurait pu se faire de façon plus graduelle et moins dramatique.
Pour y aller avec une métaphore, ce n'est pas parce qu,il y a de l'infection au niveau des orteils qu'il faut couper la jambe au niveau du genou.
Moi, c'est le comment qui me dérange. On a créé ici un débat qu'on a tr`s peu de chances de gagner au niveau juridique, puisque tout est mis dans le même sac. Un débat qui occupera l'espace public pendant des années, créera de la tension, sur lequel reposera les prochaines élections. Me semble qu'il y aurait d'autres sujets autrement plus importants , l'économie, la santé l'éducation. La taille de l'état, sans aller dans le spécifique. Le PQ ne pouvait y aller avec son indépendance, alors ils ont choisis d'y aller avec ça. Ça aurait pu se faire de façon plus graduelle et moins dramatique.
Pour y aller avec une métaphore, ce n'est pas parce qu,il y a de l'infection au niveau des orteils qu'il faut couper la jambe au niveau du genou.
Dernière modification par bouquet le ven. sept. 20, 2013 2:53 pm, modifié 2 fois.
Re: La charte de la laïcité Québécoise: Pour ou contre ?
http://www.lapresse.ca/actualites/polit ... ations.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Pour moi c'est le genre de situation qui m'inquiete pas mal plus que la montée de l'Islam au Quebec et que je trouve pas mal plus dangeurese que deux trois imams extremistes. Manipulation des organismes publics pour introduire sournoisement des idées et des lois.
L'étau de notre democratie se resserre tranquilement depuis que ce gouvernement est au pouvoir !
Pour moi c'est le genre de situation qui m'inquiete pas mal plus que la montée de l'Islam au Quebec et que je trouve pas mal plus dangeurese que deux trois imams extremistes. Manipulation des organismes publics pour introduire sournoisement des idées et des lois.
L'étau de notre democratie se resserre tranquilement depuis que ce gouvernement est au pouvoir !
je suis d'accord avec ce que tu dis, sauf avec la partie où tu dis que l'étau se resserre depuis que le pq est là. Les libéraux n'ont pas donné leur place à ce chapitre. Et ils continuent en tentant d'influencer le déroulement de la commission.lucide a écrit : http://www.lapresse.ca/actualites/polit ... ations.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Pour moi c'est le genre de situation qui m'inquiete pas mal plus que la montée de l'Islam au Quebec et que je trouve pas mal plus dangeurese que deux trois imams extremistes. Manipulation des organismes publics pour introduire sournoisement des idées et des lois.
L'étau de notre democratie se resserre tranquilement depuis que ce gouvernement est au pouvoir !
bouquet a écrit : [...]
je suis d'accord avec ce que tu dis, sauf avec la partie où tu dis que l'étau se resserre depuis que le pq est là. Les libéraux n'ont pas donné leur place à ce chapitre. Et ils continuent en tentant d'influencer le déroulement de la commission.
Voilà
Dernière modification par Placeress le ven. sept. 20, 2013 4:05 pm, modifié 1 fois.
De quelle façon?bouquet a écrit : [...]
je suis d'accord avec ce que tu dis, sauf avec la partie où tu dis que l'étau se resserre depuis que le pq est là. Les libéraux n'ont pas donné leur place à ce chapitre. Et ils continuent en tentant d'influencer le déroulement de la commission.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
j'aurais du dire l'UPACBeppo a écrit : [...]
De quelle façon?
http://www.lapresse.ca/actualites/polit ... rgeron.php" onclick="window.open(this.href);return false;
- Thewinneris
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. avr. 02, 2003 1:00 am
Re: La charte de la laïcité Québécoise: Pour ou contre ?
Les féministes sont choisis par rapport à la position sur l'égalité des hommes et des femmes, ce qui est tout à fait normal. Je ne vois pas de mal la dedans, au contraire, c'est plutôt logique.
et sur l'autre post avant celui-ci..bouquet a écrit : [...]
je suis d'accord avec ce que tu dis, sauf avec la partie où tu dis que l'étau se resserre depuis que le pq est là. Les libéraux n'ont pas donné leur place à ce chapitre. Et ils continuent en tentant d'influencer le déroulement de la commission.
Sans commentaire...
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... pp=desktop" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.youtube.com/watch?feature=pl ... pp=desktop" onclick="window.open(this.href);return false;
bouquet a écrit : [...]
je suis d'accord avec ce que tu dis, sauf avec la partie où tu dis que l'étau se resserre depuis que le pq est là. Les libéraux n'ont pas donné leur place à ce chapitre. Et ils continuent en tentant d'influencer le déroulement de la commission.
Je parlais des lois et regles qu'ils tentent de passer .... mais c'est un autre débat... qui se présentera lors des prochaines élections...
Bien logique.... le conseil du statut de la femme est divisée 50-50 comme la société et tu nommes 4 personnes qui sont sur ton bord pour écraser le vote et faire taire les autres et eviter le débatThewinneris a écrit : Les féministes sont choisis par rapport à la position sur l'égalité des hommes et des femmes, ce qui est tout à fait normal. Je ne vois pas de mal la dedans, au contraire, c'est plutôt logique.
Voila pour l'integrité , l'honneteté et la liberté de pensée et d'idée.
http://www.ledevoir.com/societe/educati ... organisent" onclick="window.open(this.href);return false;
Charte des valeurs québécoises - Les voix pro-Charte s’organisent
Une coalition sera lancée mardi
21 septembre 2013 |Lisa-Marie Gervais
Un front commun pro-Charte des valeurs québécoises s’organise, a appris Le Devoir. Lancé mardi prochain lors d’une conférence de presse, le « Rassemblement pour la laïcité », composé d’une quinzaine d’organismes et d’une cinquantaine de personnalités, tentera de contrebalancer la vive opposition au projet de Charte des valeurs du gouvernement.
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Charte des valeurs québécoises - Les voix pro-Charte s’organisent
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21 septembre 2013 |Lisa-Marie Gervais
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