LE DOMAINE BLEU

Kate apprend à devenir une arme de guerre
Mercredi 3 août 2011
Clément Mathieu - Parismatch.com



La duchesse de Cambridge suit actuellement une formation avec les forces spéciales pour se défendre en cas d'agression.

Si la jeune duchesse de Cambridge a l’air doux et gentil lorsqu’on la voit embrasser des enfants ou saluer la foule, ne vous y fier pas. Son élégance naturelle et son jolie sourire cache en réalité une femme forte et prête au combat. Et ce n’est pas la vie de cour au sein de la famille royale qui a endurci la simple Kate au point d’en faire une redoutable arme de guerre. Pire, ce sont les forces spéciales. L’épouse de William suit en effet actuellement une formation intensive de protection personnelle avec policiers et militaires, afin de pouvoir se défendre en cas d’agression. La jeune femme est depuis son mariage avec le prince, une figure toujours plus populaire et médiatique. Et si Kate a de très nombreux admirateurs, elle pourrait aussi devenir la cible de terroristes ou plus simplement de désaxés.
La couronne a toujours en mémoire la tentative d’enlèvement d’Anne, le 20 mars 1974. Alors qu’elle revenait d’un évènement de charité, son Austin Princess IV est forcée de s’arrêter par une Ford Escort. Le conducteur, sorti de son véhicule se met immédiatement à tirer. L’inspecteur James Beaton, officier de protection de la Princesse royale, puis Alex Callender, son chauffeur, et même le journaliste d’un tabloïd, Brian McConnell, qui passait par là, sont tous les trois touchés à la poitrine en essayant de défendre Anne. Il a fallu le courage d’un autre passant, Ron Russell, pour frapper l’assaillant et sauver la princesse. L’agresseur, Ian Ball, avait expliqué à la jeune femme de 24 ans qu’il allait l’enlever pour réclamer plusieurs millions de livres sterling, qu’il entendait remettre au National Health Service, le système de santé public britannique.

Apprendre à manier les armes, et à manipuler les ravisseurs

Heureusement, toutes les personnes touchées (auxquelles il faut ajouter un agent de police) ont survécu à l’attaque, et Anne a pu échapper à son kidnappeur. Mais l’histoire montre bien que, malgré la présence d’officiers de sécurité, une princesse peut se retrouver seule face à son agresseur. Kate devra donc apprendre à se battre et à manier les armes, comme l’on fait auparavant la Reine, Charles et Diana. Son époux a suivi une formation similaire en 1998 à la base des SAS d’Hereford. Avec les forces spéciales, il avait appris à 16 ans, a sauté en marche dans une voiture dans une simulation d’embuscade, et à tirer au pistolet-mitrailleur. Kate devra apprendre le même genre de joyeusetés, et probablement plus encore.
Dispensée par les SAS, mais aussi le service de protection des personnes de Scotland Yard et le MI5, le renseignement intérieur britannique, cette formation, réputée «très dure» physiquement et mentalement, enseigne un large éventail de techniques et de reflexes salvateurs. Kate devra donc apprendre à remarquer les choses inhabituelles, comment réagir lors d’une attaque, ou encore à conduire un véhicule sous la pression. La duchesse devra également apprendre à créer et transmettre des messages codés aux secours, ou à construire une relation avec un preneur d’otage. La formation psychologique comprend ainsi les réactions à avoir dans des situations singulières, «comme lorsque un étranger était entré dans la chambre de la Reine», le 9 juillet 1982, rappelle «le Sun». L’officier de police en faction était alors sorti promener les chiens de la souveraine. Elizabeth avait donc entamé une conversation d’une dizaine de minutes avant qu’on ne vienne arrêter l’intrus.

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pourquoi révéler ça alors que sa va juste encore plus attirer les malfaiteurs qui pourraient s'en prendre à elle. même si elle n'est généralement jamais seule, j'aurais personnellement doublement peur que qqn m'attaque vu qui savent que jai des cours de défense !
mon humble opinion

Je suis tombée là-dessus aujourd'hui. Je la trouvais comique!

Kate Middleton, le poids d’une couronne
Lucie Dancoing - Parismatch.com
Lundi 22 août 2011



D’après les médias britanniques, Kate Middleton est devenue une «égérie» des sites «pro-ana», qui vantent les bienfaits de l’anorexie.

Une princesse au cœur du scandale malgré elle. La duchesse de Cambridge serait devenue un modèle du mouvement «pro-ana» -contraction de «promotion» et «anorexie»-, qui prône les vertus du trouble alimentaire. D’après le «Daily Mail», Kate Middleton serait adulée sur de nombreux forums Internet et autres blogs pour sa silhouette filiforme.

En novembre dernier, le prince William annonçait ses fiançailles avec la discrète Kate Middleton, faisant de «Waity Katy» la cible favorite des paparazzi. Traquée, sujette au stress, la future épouse perdait du poids à mesure que la noce royale se préparait. La perte d’appétit se conjuguait, d’après la presse anglaise, avec un fâcheux penchant pour la cigarette. Sa bague de fiançailles, jadis portée par Lady Diana, en est même devenue trop grande. Elle avait ainsi sollicité les joaillers royaux, G. Collins & Fils, pour l’adapter à son annulaire.

Au même titre que Victoria Beckham et les sœurs Olsen, la comtesse de Strathearn figure depuis peu parmi les modèles qui fascinent les «pro-ana». Certains sites scrutent avec minutie les courbes de la princesse, élaborant des montages avec des photos datant de plusieurs années. «Elle a peut-être oublié de manger», s’amuse l’un des internautes. Si sa garde-robe a effectivement été renouvelée suite à ses fluctuations de poids, Kate Middleton ne présenterait aucun trouble du comportement alimentaire.

«Elle va être horrifiée»

Sportive aguerrie, la princesse s’habille en taille 4 –soit un 32/34 en France- contre une taille 10 –qui correspond à un 38/40- il y a quelques mois. «Kate est très mince, mais elle n'a certainement pas de problème alimentaire», a confié une source au journal britannique. Des proches de la duchesse ont révélé qu’elle allait être «horrifiée» en apprenant qu’elle figure parmi les égéries de ces sites controversés. «Oui, elle a maigri, mais c'est largement dû au stress, et au voyage [au Canada, Ndlr] qu'elle a fait récemment.»

Un porte-parole de Catherine Middleton a refusé de commenter ces faits, rapporte le «Daily Mail». Le représentant de l’association «Beat», qui lutte contre ces pratiques, dénonce une incitation fréquente des malades, qui revendiquent l’anorexie comme «un choix de vie». Cette polémique fait échos aux rumeurs sur la princesse Letizia d’Espagne. Depuis son mariage avec le prince Felipe en 2004, l’ancienne présentatrice –déjà longiligne- a considérablement maigri. La princesse Victoria de Suède avait quant à elle révélé souffrir d’anorexie durant l’adolescence. Preuve d’une pesante représentation pour ces nouvelles figures de la monarchie…

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J'avoue qu'elle est assez maigre, mais elle n'est pas anorexique pour autant. En tout cas je l'espère !

Pippa

Le prince Harry, le roi de la fiesta
Clément Mathieu - Parismatch.com
Lundi 29 août 2011



Le prince Harry, toujours aussi fêtard, s'est encore fait remarquer en boite...

Avec les années, Harry s’est assagi. A 17 ans, le prince embarrassait sa famille en remplissant presque chaque matin les colonnes des tabloïds avec ses exploits de la veille. Alcool, drogues et comportement douteux – personnes n’a oublié sa soirée déguisé en nazi… De «wild child» comme le surnommait la presse britannique, il s’est transformé en valeureux soldat. Ce mois-ci, Harry mettait même fin à sa relation avec un joli mannequin pour, a-t-il fait savoir par ses proches, se concentrer sur sa dernière année de formation de pilote d’hélicoptère de combat. Mais que l’on ne s’y trompe pas, Harry a gardé son titre de roi de la fiesta. La vidéo publiée par le «Sun» ce lundi est venu le réaffirmer. En goguette en Croatie ce week-end avec des amis, il a plongé tout habillé dans la piscine d’une discothèque...

«Il était hilarant»

A bien y regarder, le saut de l’ange du prince ressemble en réalité à un beau rattrapage. Juché pied nu sur le rebord d’un bassin, Harry se déhanchait sur un remix techno de «Freed from desire» de Gala, quand il apparemment perdu l’équilibre. Condamné à chuter, Harry a préféré se jeter à l’eau en plongeant. Sans se laisser démonter, le prince est remonté sur le bord pour continuer à danser, pendant qu’un de ses amis plongeait à son tour. «Tout le monde a trouvé ça vraiment drôle et Harry riait lui-même riait comme un fou», a expliqué un témoin de la scène au «Sun». «Il était trempé jusqu'à l’os, mais il s'en fichait. Il aime être au centre de l'attention. Il était hilarant». Rigolard, un brin éméché et très fêtard, c'est de ce prince charmeur que toutes les filles du club voulaient se rapprocher – avant d’être à leur grand désarroi écartées par ses gardes du corps.

De ses années de folies, Harry a su garder une bonhommie joviale et ses pitreries sont aujourd’hui connues pour égayer les soirées les plus engoncées de la royauté. Le soir du mariage de son frère, alors que la Reine et toutes les têtes couronnées avaient abandonnées la piste de danse à la jeunesse dorée, Harry avait transformé Buckingham en boite de nuit. Le prince s’était même jeté pour surfer à plat ventre sur les bras tendu de l’assistance, comme un vrai rocker. La veille, on dit qu’il avait quitté la pré-soirée de mariage, organisée par les jeunes au Goring Hotel, en sautant par-dessus le balcon. Le «Daily Mail» rapportait qu’il avait alors escaladé le mur du jardin du luxueux établissement pour rentrer tranquillement à pied vers Clarence House… Le jour du mariage, la presse britannique trouvait d'ailleurs au roux prince une mine un peu fatiguée... Que les Windsor soient rassurés, ils n’ont pas perdu le plus boute-en-train des princes.

D'autres photos sont à voir dans l'article du «Sun», à retrouver en cliquant ici...
http://www.thesun.co.uk/sol/homepage/ne ... RAVER.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Vidéo à l'appui...
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Avec les émeutes, Kate s’est trouvé une cause
Clément Mathieu - Parismatch.com
Mardi 30 août 2011



Kate pourrait s'engager dans une ouvre de charité autour des jeunes en difficulté.

Devant l’étendue des dégâts, l’avis du prince avait stupéfié l’Angleterre. En visite dans les quartiers de Croydon et Tottenham, au lendemain des émeutes de Londres, Charles avait estimé qu’entrer dans un gang été une façon de «crier à l’aide» pour les jeunes délinquants. Une analyse diamétralement opposée à l’avis général du pays et de ses médias, qui ne voyaient là qu’anarchie, bêtise et chaos. Une fois de plus, l’intervention de Charles, qui n’a pas autant de réserve que sa mère, a fait grincer des dents. Pourtant, une personne semble avoir été convaincue par l’héritier du trône qui jugeait quelques jours plus tard que l’on s’attaquait aux «symptômes, et pas à la cause du problème». Ce soutien, Charles l’a trouvé dans l’une des figures les plus populaires du Royaume, sa belle-fille.

Kate souhaiterait en effet s’engager dans une association qui viendrait en aide aux ados des quartiers défavorisés. «Catherine a très envie de faire tout ce qu’elle peut pour aider les jeunes à rester dans le droit chemin», a confié un ami de la duchesse au «Telegraph». A St James Palace, l’administration de la Couronne, on a simplement confirmé à la presse que Kate utilisait son temps pour trouver «où elle pourrait faire le plus la différence, pour une cause qui lui tient à cœur». En effet, depuis son retour du Canada, premier grand voyage officiel avec son époux William, Kate se cherche un cause. Avec la perte du pouvoir, les œuvres de charité sont devenus l’activité principale des membres de la famille royale, et la nouvelle duchesse se doit donc d’être la marraine d’une association.

Miss Middleton et les souffre-douleurs

«Une des choses qu'elle respecte le plus dans la famille de William, c’est l’effort fait pour aider les gens moins fortunés qu'eux», a assuré l’ami de Kate au «Telegraph». William, lui, est le parrain de Centrepoint, une association venant en aide aux jeunes SDF. Kate travaillerait donc elle aussi avec des jeunes. Kate aurait pu s’engager dans un premier temps pour les souffre-douleurs des écoles. Avant son mariage, Miss Middleton avait fait un geste en ce sens, en invitant ceux qui voulaient offrir un cadeau à elle et son mari à faire un don à des organismes, dont l’un était Beatbullying, une association de lutte contre le harcèlement moral à l’école. La presse y avait vu alors la confirmation des problèmes qu’avait rencontrés Kate avec ses camarades de classe dans sa jeunesse, et le signe d’un engagement personnel. Si rien ne l’empêche de soutenir à nouveau cette association, Kate devrait donc s’orientait vers les jeunes en difficulté. Son passage à Birmingham après les émeutes, dans un centre communautaire et auprès de victimes des violences, a été salué comme un vrai moment réconfortant et stimulant par les personnes présentes. Pour la duchesse aussi, la rencontre semble avoir été fructueuse.

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Visite hantée chez William et Kate
Le 31 août 2011



Une visite bien spéciale est proposée par le prince William et son épouse, Kate Middleton. Le couple royal ouvrira les portes de sa demeure de Londres dans le cadre de la fête de l’Halloween, selon le USA Today.

Ainsi, durant toute la fin de semaine de la fête des Morts, soit du 28 au 31 octobre prochain, les visiteurs profiteront d’une soirée bien spéciale au Kensington Palace. D’une durée d’une heure trente, la visite intitulée «Eerie Evening Tours of the Enchanted Place» en effrayera sûrement plus d’un.

On raconte depuis longtemps que le Kensington Palace est hanté, et ce, par l’esprit d’une ancêtre de William, la reine Mary. On devine qu’il s’agit de Marie Tudor, dite «la reine sanglante».

Le prix d’une entrée pour cette visite bien spéciale est d’environ 33$. On ne mentionne pas, toutefois, si William et Kate seront de la partie.

http://fr.canoe.ca/voyages/nouvelles/ar ... 20929.html" onclick="window.open(this.href);return false;

La monarchie décorative
Le blogue de Jean-François Lisée
31 août 2011

Je ne vous laisserai pas me dire que mon propos est politiquement incorrect. D’abord, j’ai des chiffres. De plus, j’ai des photos. J’ose affirmer qu’il y a un lien de causalité entre les photos et les chiffres.

Voici les photos:



Voici les chiffres:

47 % des Canadiens veulent le couple de gauche.

Seulement 18% veulent celui de droite.

Même les Québécois, qui à 58% affirment vouloir couper tous les liens avec la monarchie britannique (et qui à 70% aboliraient les reliquats monarchistes au Canada) se font tirer l’oreille, lorsqu’un choix est disponible. (Tout cela selon un sondage Angus Reid/Gesca).

Leur dédain pour la monarchie chute de 15 points lorsqu’on leur offre de choisir entre William et Kate (31%) ou Charles et Camilla (11%). Imaginez si Angelina Jolie et Brad Pitt avaient été de la course !

Ma conclusion: la survie de la monarchie repose essentiellement sur la beauté de la descendance, en particulier de la descendante.

Institutionnellement, la monarchie ne fait que représenter, en chair et en os, la permanence de l’État. Si ce n’est que cela, n’importe quel Charles ferait l’affaire. Mais il ne s’agit plus d’instituti0n, de monarchie constitutionnelle. Il s’agit de monarchie télévisuelle, de monarchie décorative.

Dans cette nouvelle ère, laiderons et bègues sont priés de s’abstenir. Et si les Québécois n’avaient d’autre choix que Charles et Camilla, leur volonté de se départir de la monarchie serait assurément plus forte encore.

Comment sauver le Canada



Je propose, à l’inverse, un test. Les fédéralistes pensaient avoir frappé un véritable coup de circuit en choisissant Michaëlle Jean comme Gouverneure générale. “J’ai été choisie — a-t-elle admis lors d’un discours célèbre — parce que je suis ‘hot’.”

Ce qui ne l’a pas empêché, ensuite, de faire un excellent travail — et de faire suffisamment d’ombre au Premier ministre pour qu’il ne souhaite pas renouveler son mandat et trouve à sa place un homme encore plus ennuyeux que lui.

Mais si les fédéralistes souhaitaient réellement moderniser leur pays et faire faire un pas au Canada dans le cœur des Québécois, ils annonceraient leur intention de modifier la constitution canadienne pour nommer reine du Canada… Michaëlle Jean.

Ils s’assureraient ensuite que chaque Reine suivante ait d’égales qualités esthétiques. Plus tard, peut-être, on pourrait changer le mot “Reine” pour le mot “Présidente”, un poste honorifique comme il en existe en plusieurs pays.

Des rénovateurs sensés étendraient cette formule aux lieutenant-gouverneurs des provinces.

Que Stephen Harper ait l’intelligence de nommer Marina Orsini prochaine lieutenant-gouverneur du Québec (vous avez remarqué que je n’ai pas dit Caroline Néron — il faut un peu de profondeur quand même) et les ministres et députés, les maires et les gens d’affaires seront beaucoup plus enclins à aller la rencontrer. Même les souverainistes ne seront pas si pressés d’abolir le poste.

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Anya a écrit : Visite hantée chez William et Kate
Le 31 août 2011



Une visite bien spéciale est proposée par le prince William et son épouse, Kate Middleton. Le couple royal ouvrira les portes de sa demeure de Londres dans le cadre de la fête de l’Halloween, selon le USA Today.

Ainsi, durant toute la fin de semaine de la fête des Morts, soit du 28 au 31 octobre prochain, les visiteurs profiteront d’une soirée bien spéciale au Kensington Palace. D’une durée d’une heure trente, la visite intitulée «Eerie Evening Tours of the Enchanted Place» en effrayera sûrement plus d’un.

On raconte depuis longtemps que le Kensington Palace est hanté, et ce, par l’esprit d’une ancêtre de William, la reine Mary. On devine qu’il s’agit de Marie Tudor, dite «la reine sanglante».

Le prix d’une entrée pour cette visite bien spéciale est d’environ 33$. On ne mentionne pas, toutefois, si William et Kate seront de la partie.

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C'est cool ça! Mais un peu cher.

Merci pour les articles Anya!

Ça me fait plaisir Madeen

Le cadeau tout-terrain de William et Kate
Antoine Delthil - Parismatch
Mardi 6 septembre 2011



Ils avaient pourtant prévenu. Le Prince William et la princesse Kate Middleton avaient fait savoir aux invités du «mariage du siècle» que, plutôt que de recevoir des cadeaux, ils souhaitaient les voir aider des associations apportant du soutien aux plus démunis. Cela n’a pas empêché certains de les gâter. Une attention délicate… mais inutile. Le couple princier vient en effet de se séparer d’un 4x4 de la marque Land Rover, offert par l’un des hôtes de la célébration du 29 avril dernier.

Mais que le mystérieux donateur se rassure, le duc et la duchesse de Cambridge n’ont pas revendu le véhicule tout-terrain flambant neuf: ils en ont fait don aux Sauveteurs de montagne d’Angleterre et du Pays de Galles, qui sont bien plus amenés qu’eux à s’en servir. Cette organisation créée il y a plus de 80 ans (1928), et placée sous l’autorité de la police, intervient dans le pays en collaboration avec les pompiers et ambulanciers britanniques pour venir en aide aux personnes victimes d’accidents sur les terrains escarpés de l’île. Ces connaisseurs de la montagne publient aussi des ouvrages, dans lesquels ils prodiguent des conseils aux randonneurs, bien souvent mal préparés à affronter les dangers de ces zones pentues. Le Prince William connait très bien les Sauveteurs de montagne d’Angleterre et du pays de Galles, pour en être l’un des parrains depuis plusieurs années. Il avait même pris part à plusieurs sauvetages dans la semaine suivant son mariage avec Catherine Middleton. Avec ce geste, Il prouve à nouveau qu’il ne prend pas ce titre honorifique à la légère.

Tirage au sort à Clarence House

Forte de ce présent inhabituel, l’association a organisé un tirage au sort à la maison royale de Clarence House, pour désigner celle des 26 équipes qui se verrait offrir la voiture. Et ce n’est autre que la main innocente du Prince Harry qui a désigné les heureux vainqueurs, l’équipe de Patterdale, de la région des lacs (Nord-Ouest de l’Angleterre). Mais dans un esprit de solidarité visiblement communicatif, ces derniers, estimant en avoir moins besoin que certains de leurs collègues, ont préféré réorganiser un tirage au sort, cédant finalement la voiture à l’équipe de l’antenne de Glossop, au centre du pays. «Le véhicule sera grandement apprécié», a expliqué dans un communiqué Keith Montgomery, secrétaire d’honneur des Sauveteurs de montagne de Glossop. «Notre véhicule actuel aurait sans doute lâché dans les six prochains mois, et nous étions sur le point d’organiser une collecte de fonds, pour récolter 50 000 euros et le remplacer. Une tâche assez compliquée pour notre petite équipe, dont la santé financière est assez précaire. Cela nous enlève un énorme poids», a-t-il conclu.

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Anya a écrit : La monarchie décorative
Le blogue de Jean-François Lisée
31 août 2011

Je ne vous laisserai pas me dire que mon propos est politiquement incorrect. D’abord, j’ai des chiffres. De plus, j’ai des photos. J’ose affirmer qu’il y a un lien de causalité entre les photos et les chiffres.

Voici les photos:



Voici les chiffres:

47 % des Canadiens veulent le couple de gauche.

Seulement 18% veulent celui de droite.

Même les Québécois, qui à 58% affirment vouloir couper tous les liens avec la monarchie britannique (et qui à 70% aboliraient les reliquats monarchistes au Canada) se font tirer l’oreille, lorsqu’un choix est disponible. (Tout cela selon un sondage Angus Reid/Gesca).

Leur dédain pour la monarchie chute de 15 points lorsqu’on leur offre de choisir entre William et Kate (31%) ou Charles et Camilla (11%). Imaginez si Angelina Jolie et Brad Pitt avaient été de la course !

Ma conclusion: la survie de la monarchie repose essentiellement sur la beauté de la descendance, en particulier de la descendante.

Institutionnellement, la monarchie ne fait que représenter, en chair et en os, la permanence de l’État. Si ce n’est que cela, n’importe quel Charles ferait l’affaire. Mais il ne s’agit plus d’instituti0n, de monarchie constitutionnelle. Il s’agit de monarchie télévisuelle, de monarchie décorative.

Dans cette nouvelle ère, laiderons et bègues sont priés de s’abstenir. Et si les Québécois n’avaient d’autre choix que Charles et Camilla, leur volonté de se départir de la monarchie serait assurément plus forte encore.

C'est bien beau parler de beauté, de tout ramener simplement à la beauté ... mais est-ce que ce n'est pas davantage parce que le couple de droite représente la ''vieille'' monarchie guindée, et celui de gauche est simplement rafraîchissant ? Et résolument ''modernes'' ? Combien d'années de concubinage avant le mariage, déjà ? Je ne sais pas, mais moi je comprends l'engouement pour ce couple qui, bien qu'ils respectent la tradition, se chargent également d'en modifier parfois les conditions et incarnent très bien le passé et le futur de la monarchie anglaise. Je pousse même l'audace jusqu'à comparer cet exemple à celui de l'Église. On sait que les Québécois rejettent massivement la religion catholique en raison des contraintes ou de son ''archaïsme''. Mais ne sommes-nous pas étonnés et plein d'admiration lorsque les Raymond Gravel et les Marie-Paul Ross, dont le grand charisme (malgré qu'ils ne soient pas de la ''jeunesse'') mais surtout le discours résolument progressiste fait balancer le coeur de certains ? Combien seraient-ils à retourner dans les églises si les gens qui les représentaient étaient tous aussi ouverts, dynamiques, tournés vers l'avenir ...

La mauvaise passe du prince Harry
Yannick Vely - Parismatch
Lundi 12 septembre 2011



Si l’année 2011 restera dans l’Histoire comme le millésime du magnifique mariage du prince William et de Kate Middleton, elle sera sans doute à oublier au plus vite pour le prince Harry. A 26 ans passés, l’ex-trublion de la Couronne, dont les frasques de jeunesse ont fait le bonheur et les choux gras de la presse anglaise, ne semble pas encore avoir atteint l’âge de raison. Redevenu célibataire après avoir quitté Florence Brudenell-Bruce – cette dernière a une version différente des causes de la rupture -, le cadet du Prince Charles s’est encore illustré fin août dans une boîte de nuit croate. Saoul et peu en rythme, il titubait longuement au bord d’une piscine, avant de s’effondrer dans le bassin.

Chelsy Davy sort avec l’un de ses amis

Des images qui ont fait le tour du monde et qui ont fortement déplu à sa belle-sœur, la pimpante Pippa Middleton. Depuis le mariage de William et Kate, les tabloids rêvaient d’une belle histoire d’amour entre les deux témoins. Cela parait compromis. Si dans un premier temps, on évoquait une vraie complicité entre eux – ils s’appelaient fréquemment au téléphone et se donnaient des surnoms affectueux -, aujourd’hui, cela paraît bel et bien fini de cette amitié. Selon le magazine People «Now», Pippa lui aurait même envoyé un texto salé après son tour de danse croate. «Elle lui a conseillé de commencer à agir comme un véritable homme, et non comme un adolescent mal élevé», a indiqué une source anonyme. Il faut dire que notre ami Harry avait noyé son «chagrin» ou sa liberté retrouvée, c’est selon, en quittant l’établissement en charmante compagnie, les belles Ana Simovic et Svetlana Gavrilovic – deux mannequins-hôtesses de discothèque (sic) –, à ses bras.

Mais comme une déception sentimentale n’arrive jamais seule, voilà que le premier véritable amour de sa vie, la blonde Chelsy Davy, avec qui il a entretenu une liaison tumultueuse de 2004 à 2009, s’affiche publiquement avec un autre. La belle Zimbabwéenne a assisté vendredi dernier à une soirée caritative donnée au Musée d’histoire naturelle de Londres. Dans ses pas, un beau brun du nom de Taylor McWilliams, avec lequel elle aurait dansé tout l’été, notamment à Ibiza. Et comme pour torturer un peu plus notre prince, il s’agit d’un de ses amis proches…

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William raconte "sa" reine d’Angleterre
Antoine Delthil - Parismatch
Samedi 24 septembre 2011



Dans un livre de l’auteur britannique Robert Hartman à paraître le 6 octobre, le duc de Cambridge se confie sur sa relation avec sa grand-mère, la reine Elisabeth II.

La scène se passe à quelques mois du «mariage du siècle» en Angleterre. Le prince William et Catherine Middleton viennent d’officialiser leurs fiançailles. Le fils aîné du Prince Charles doit donc dresser la liste des invités. «Je suis donc allé à la première réunion «post-fiançailles» avec des conseillers de la Couronne», raconte-t-il dans une interview à l’auteur Robert Hartman pour le livre «Notre Reine» dont le «Daily Mail» publie des extraits. «On m’a donné cette liste officielle de 777 noms, des dignitaires, des dirigeants… Je n’en connaissais pas un». «Ils m’ont dit "Ce sont les gens que vous devriez inviter"».

Son premier réflexe? Demander conseil à sa grand-mère, la reine d’Angleterre en personne. «Je l’ai appelé le lendemain, lui demandant "on est vraiment obligé de convier tous ces gens?", et elle m’a répondu "Non, commence par tes amis", me conseillant de jeter la liste». De la reine, William a beaucoup appris, et tous deux ont établi une relation de confiance et de profonde complicité.

«Une aide immense»

Une relation qui ne s’est pas faite en un jour. «Quand j’étais plus jeune, et plus timide, c’était difficile pour moi de lui parler des questions importantes», reconnaît le prince. «Je me disais "ma grand-mère est la reine, tout cela est bien sérieux"». «Notre entente n’a fait que se renforcer avec les années», poursuit-il. «Au fur et à mesure, elle a pris une place de plus en plus importante dans ma vie, et c’est devenu plus facile. Et je dois bien reconnaître que pour le mariage, elle m’a été d’une aide immense». Le rôle d’Elisabeth a bien sûr dû changer à la mort de Lady Diana, la mère de William, en 1997.

Au point qu’aujourd’hui, la barrière entre grand-mère et petit-fils que pouvait constituer le statut royal de celle qui règne sur l’Angleterre depuis 1952 n’existe plus. Le nouveau duc de Cambridge, 29 ans, résume cela en une phrase. «Je dis toujours aux gens: c’est ma grand-mère, et ensuite c’est la reine».

«Elle a dû tracer sa propre route»

Pour autant l’enfant de Lady Diana n’en oublie pas ni le passé, ni la stature de cette «nanny» pas comme les autres. «Je sais apprécier à leur juste valeur les mots qu’elle m’adresse. Je les apprécie», explique-t-il. «Pour un gamin comme moi, savoir que je peux poser toutes les questions à ma grand-mère et qu’elle me donnera toujours de bons conseils, c’est très rassurant». «Elle a dû tracer sa propre route, et elle l’a fait fantastiquement pendant soixante-ans», rappelle William.

Une immense expérience que la reine transmet avec parcimonie à ses descendants. «Elle nous encourage à trouver certaines réponses nous-même, et nous rappelle qu’il n’y a pas de règles établies». «Elle n’a que faire de la célébrité» reprend le jeune marié. «Ce n’est pas à ça que sert la monarchie. Il s’agit de nous servir de notre position pour faire le bien, et pour aider notre pays».

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C'est un beau texte ça. Merci Anya.

De rien Madeen

Pippa, le blanc lui va si bien
Lucie Dancoing - Parismatch
Mardi 27 septembre 2011



La rumeur d’un mariage entre Pippa Middleton et son compagnon de longue date enfle outre-Manche.

Her «Royal Hotness» multiplie les apparitions avec son cher et tendre. Samedi dernier, Philippa –dite Pippa- Middleton a paradé avec Alex Loudon aux noces d’un couple d’amis, Rose Laing et Jake French, célébré au cœur de l’Ecosse, dans le Perthshire. Dans une robe signée Alexander McQueen, la sœur cadette de la duchesse de Cambridge a rivalisé d’élégance –faisant inopinément de l’ombre à la mariée, selon la presse britannique.

Un énième mariage pour la nouvelle star du gotha. Les tumultes des noces princières et ses escapades nocturnes avec son ex-petit ami George Percy apparentant au passé, Pippa Middleton pourrait prochainement marcher jusqu’à l’autel. Si les médias anglais spéculent sur un hypothétique mariage, la question primordiale du choix de la créatrice anime davantage les médias.

Pour la réception royale donnée à Buckingham Palace le 29 avril dernier, Pippa Middleton avait sollicité la créatrice Alice Temperley. La styliste avait réalisé une splendide robe longue drapée verte émeraude, à la taille empire, soulignée par un bijou.

Lors de la Fashion Week londonienne, Pippa a de nouveau démontré son admiration à la designer britannique, squattant le premier rang de son défilé Temperley London. La jeune femme de 28 ans arborait pour l’occasion un modèle de la marque –acheté le jour-même 1250 livres, d’après le «Daily Express»- noir et crème baptisé «Classic Fan Dress» de la collection Automne/Hiver 2011.

«Elles a des fesses parfaites»

Interrogée sur la possibilité d’être l’heureuse élue, Alice Temperley n’a pas caché son enthousiasme. «J’adorerais être choisie pour créer la robe de mariée de Pippa au moment venu, a-t-elle confié au "Telegraph". Elle est si belle –elle est parfaite et ses fesses sont parfaites-, ce serait un honneur !» La styliste a expliqué que «c’était très flatteur» que l’ancienne étudiante de l’université d’Edimbourg et sa sœur –inconditionnelle de Daniella Issa Helayel- portent ses vêtements.

L’histoire dit qu’Alexander Guy Rushworth Loudon envisageait d’épouser Pippa l’an passé. L’ancien joueur de cricket reconverti dans la finance s’était effacé après avoir appris les projets de mariage du prince William. Amoureux depuis trois ans, le couple envisagerait d’emménager ensemble, rapporte le «Daily Mail». La jeune fille de bonne famille aurait accepté d’abandonner son appartement cosu de Chelsea. Après la vie conjugale, Pippa Middleton pourrait caresser le doux rêve de la vie maritale…

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Kate, princesse en Vogue
Lucie Dancoing - Parismatch
Lundi 26 septembre 2011



Anna Wintour, rédactrice en chef de l’édition américaine de «Vogue», rêverait de collaborer avec la duchesse de Cambridge.

Elle a réussi à charmer la papesse de la mode. Celle qui a inspiré la terrifiante Miranda Priestly dans «Le diable s’habille en Prada» a littéralement succombé à l’élégance de la duchesse de Cambridge. D’après la célèbre page Six du «New York Post», Anna Wintour envisagerait de faire de Kate Middleton sa prochaine «cover-girl».

La rédactrice en chef de l’édition américaine de «Vogue» jouerait de ses relations pour approcher l’épouse du prince William. Fameux collaborateur du magazine depuis deux décennies, Mario Testino est un proche de la Couronne britannique. En 1997, le photographe originaire du Pérou avait réalisé une série de clichés de Diana dans l’intimité pour «Vanity Fair», publiés un mois avant le décès tragique de la «Princesse des Cœurs». Et pour immortaliser ses fiançailles avec Kate Middleton en novembre dernier, le prince William avait sollicité cet homme de confiance –et de talent.

«Anna a confié ses intentions à Mario, a expliqué une source au journal. Elle le presse de "shooter" Kate pour la couverture. De nombreux magazines espèrent avoir Catherine en "cover-girl". Mais beaucoup pensent que c’est Vogue qui raflera la mise.» Reste que Buckingham Palace doit approuver cette surmédiatisation.

La duchesse avait déjà refusé d’être la star du «Vogue» britannique avant le mariage princier. L’homologue anglaise d’Anna Wintour, Alexandra Shulman, espérait qu’elle soit photographiée par Testino pour un numéro spécial. Invitation que la jeune femme de 29 ans avait poliment déclinée. D’après le «New York Post», les représentants du Palais et du célèbre magazine ont refusé de commenter ces allégations.

Kate, reine contestée de la mode ?

Celle que l’on surnomme «The Ice Queen» s’est inclinée devant l’élégance de la princesse, subtile harmonie entre tradition et modernité, honorant avec fierté le savoir-faire des créateurs anglais. «Il n'y a rien de trash ou vulgaire à son sujet, avait-t-elle lancé. Elle s’habille comme une fille de son âge.» Un véritable compliment formulé par Anna Wintour.

Cet engouement autour du style de Kate n’est pas partagé par certains stylistes et éditeurs. Si Vivienne Westwood avait rétorqué vouloir attendre que la comtesse de Strathearn ait «davantage de style» pour en faire son modèle, d’autres soulignent que la jeune femme n’a nullement révolutionné la mode. Lors de la Fashion Week new-yorkaise, la journaliste du «Daily Mail» Liz Jones s'est faite l'écho de cette salve de critiques concernant les goûts vestimentaires de l'ancienne roturière.

Adepte d'«High Street», revendiquant son indépendance en matière de style –osant parader à plusieurs reprises dans une robe verte Diane de Furstenberg ou avec ses escarpins nude LK Bennett-, la duchesse de Cambridge est reste assujettie au protocole. Elle ne court pas les défilés à la recherche du dernier «it-bag» et autres créations tendances. Et à la spécialiste du journal britannique de conclure: «Son large sourire est le meilleur accessoire qu’elle ne pourra jamais avoir».

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