Nouvelles en Vrac ( UFC - TKO - MMA )
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Après plus de huit ans comme dirigeant de la plus grande organisation de combats ultimes au Canada, le président de TKO, Stéphane Patry, a décidé d’orienter sa carrière vers autre chose que les sports de combats.
C’est à son retour de Chicago, où il s’était rendu pour l’affrontement de son poulain Patrick Coté contre Anderson Silva, qu’il a finalement muri et pris sa décision.
"Ca faisait longtemps que j’y songeais", admet-il. "Mais je commençais à éprouver des difficultés avec les gens de mon organisation."
C’est l’embauche possible de l’ex-olympien Nicolas Gill qui a fait renverser le vase. Patry avait une entente avec Gill et les deux avaient convenu d’un montant d’argent pour le mettre sous contrat. L'affaire n'a jamais pu être finalisée.
Même s’il n’organisera plus de combat pour le compte de TKO, cette association continuera à vivre. C’est du moins ce que croit Patry.
"J’ai annulé le programme du 5 décembre que nous devions présenter au Centre Bell, enchaîne Patry. C’est maintenant aux nouveaux dirigeants de TKO de prendre la relève."
La démission de Stéphane Patry prendra effet le 15 novembre prochain. Selon lui, la compagnie n’est pas en mauvaises affaires financièrement et quelqu’un d’autre prendra sa place. Quant à lui, il va se concentrer sur la carrière de sept athlètes en particulier qui sont toujours sous contrat avec lui. Il s’agit de Patrick Coté, Thierry Quenneville, Steve Bossé, Stéphane Vigneault, Derek Gauthier, Shawn Pearson et Bob Landry.
Patry continuera aussi à analyser et commenter les combats d’arts martiaux à TQS et à RDS.
Débuts en 2000
C’est en 2000 que Patry, flanqué de Pete Radley, a fondé l’Association UCC qui devait changer de nom pour TKO en 2003. Aujourd’hui, TKO est reconnue comme la plus importante association de combats d’arts martiaux professionnels au Canada.
Quand on a demandé à Patry si ses deux derniers galas à Montréal et celui d'Aruba avaient influencé sa décision, il a répondu catégoriquement : "NON. Le dernier événement au Centre Bell a attiré 4000 personnes payantes. Là où je me suis trompé, c’est en juin dernier, quand j’ai voulu présenter un gala en même temps que le Grand Prix. J’ai compris dès lors que les gens venaient à Montréal pour voir des courses d’auto et non pas pour autre chose."
Enfin, maintenant qu’il ne dirige plus les affaires de TKO, va-t-il continuer à analyser des combats à TQS? "Oui, je poursuis, prétend-il. Ça pourrait être avec des combats de TKO ou bien encore de l’UFC. On verra bien dans les semaines à venir."
C’est à son retour de Chicago, où il s’était rendu pour l’affrontement de son poulain Patrick Coté contre Anderson Silva, qu’il a finalement muri et pris sa décision.
"Ca faisait longtemps que j’y songeais", admet-il. "Mais je commençais à éprouver des difficultés avec les gens de mon organisation."
C’est l’embauche possible de l’ex-olympien Nicolas Gill qui a fait renverser le vase. Patry avait une entente avec Gill et les deux avaient convenu d’un montant d’argent pour le mettre sous contrat. L'affaire n'a jamais pu être finalisée.
Même s’il n’organisera plus de combat pour le compte de TKO, cette association continuera à vivre. C’est du moins ce que croit Patry.
"J’ai annulé le programme du 5 décembre que nous devions présenter au Centre Bell, enchaîne Patry. C’est maintenant aux nouveaux dirigeants de TKO de prendre la relève."
La démission de Stéphane Patry prendra effet le 15 novembre prochain. Selon lui, la compagnie n’est pas en mauvaises affaires financièrement et quelqu’un d’autre prendra sa place. Quant à lui, il va se concentrer sur la carrière de sept athlètes en particulier qui sont toujours sous contrat avec lui. Il s’agit de Patrick Coté, Thierry Quenneville, Steve Bossé, Stéphane Vigneault, Derek Gauthier, Shawn Pearson et Bob Landry.
Patry continuera aussi à analyser et commenter les combats d’arts martiaux à TQS et à RDS.
Débuts en 2000
C’est en 2000 que Patry, flanqué de Pete Radley, a fondé l’Association UCC qui devait changer de nom pour TKO en 2003. Aujourd’hui, TKO est reconnue comme la plus importante association de combats d’arts martiaux professionnels au Canada.
Quand on a demandé à Patry si ses deux derniers galas à Montréal et celui d'Aruba avaient influencé sa décision, il a répondu catégoriquement : "NON. Le dernier événement au Centre Bell a attiré 4000 personnes payantes. Là où je me suis trompé, c’est en juin dernier, quand j’ai voulu présenter un gala en même temps que le Grand Prix. J’ai compris dès lors que les gens venaient à Montréal pour voir des courses d’auto et non pas pour autre chose."
Enfin, maintenant qu’il ne dirige plus les affaires de TKO, va-t-il continuer à analyser des combats à TQS? "Oui, je poursuis, prétend-il. Ça pourrait être avec des combats de TKO ou bien encore de l’UFC. On verra bien dans les semaines à venir."
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Trop drole ce "Baby Jay" Penn ... Parce que Dans la tête de Penn, il a battu GSP lors du premier affrontement ... Il s'est fait volé selon lui . Je l'ai revu pour la nìème fois hier et je suis désolé pour Mr Penn que je respecte énormément, mais GSP a perdu le premier round grace à un coup de pouce dans l'oeil et un magnifique uppercut qui lui a probablement casser le nez, car jamais GSP n'a autant saigné que dans ce round. Mais même en sang, les juges comptent les coups et les projections, et St-Pierre a démontré toute une force de caractère en dominant les 2ème et 3èmes round. BJ a de la peau très épaisse et il n'a jamais saigné, mais je suis certain que c'est lui qui a consommé le plus de motrin suite à ce combat qu'il a échappé
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ouais je sais hey je veux m'acheter un chandail sur le site affliction mais jsuis vraiment pas sur des grandeurs , jveux qui soye quand meme thigh le chandail , saurait du dans quel boutique il en vende pour que j'aille voir les grandeurs de cette marque la ? j'travaille a chateauguay c'est temps si pis j'ai vu un MMA fight shop mais j'pense pas mon boss veux s'arreter la pour que j'aille voir les chandails lol , j'habite a lachenaie mais j'ai aucune idée ou trouvé cette marque ? suggestions ?
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Les chandails de MMA sont générallement fait "Tight" dont si tu porte du Medium ou du Large fit toi a cette grandeur ca devrait etre Perfect . As-tu vu le nouveau chandail Affliction GSP ? http://www.afflictionclothingstore.com/ ... ts_id=1157
ouais ye vraiment nice j'ai toute regardé le site au complet cette semaine lol . moi c celui la que je veux http://www.afflictionclothingstore.com/ ... cts_id=809
jme suis acheté des beau ptit pant d'army bleu sa va etre terrible les 2 ensemble haha
jme suis acheté des beau ptit pant d'army bleu sa va etre terrible les 2 ensemble haha
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L’organisation XMMA a annoncé lundi que les combattants évoluant antérieurement avec la défunte organisation TKO auront la chance de poursuivre leur contrat sous la tutelle de XMMA et ce, jusqu’à la fin de leur contrat actuel.
Les combattants qui évolueront entre autre avec XMMA
dans un avenir rapproché sont : Syd Barnier, Jesse Bongfeldt, Pier-Olivier Braney, Marcus Célestin, Derek
Gauthier, Mike Ricci, Thierry Quenneville, Stéphane Vigneault, Tim Wadsworth, Stéphane Chrétien, Dimitri
Diavotopoulos, Daniel Ferguson, Mark Hominick, Yannick Galipeau, Ben Gallant, Martin Grandmont, Ben
Greer, Richard Ho, Christopher Hulme, Adam Kastner, Guillaume Lamarche, Bob Landry, Éric Leclerc, Danny Martinez, Yaotzin Meza, Noah Thomas, Aaron Tregear, Adrian Wooley, Tom Murphy.
Le prochain gala ainsi que les autres activités prochaines de XMMA seront annoncées prochainement.
Les combattants qui évolueront entre autre avec XMMA
dans un avenir rapproché sont : Syd Barnier, Jesse Bongfeldt, Pier-Olivier Braney, Marcus Célestin, Derek
Gauthier, Mike Ricci, Thierry Quenneville, Stéphane Vigneault, Tim Wadsworth, Stéphane Chrétien, Dimitri
Diavotopoulos, Daniel Ferguson, Mark Hominick, Yannick Galipeau, Ben Gallant, Martin Grandmont, Ben
Greer, Richard Ho, Christopher Hulme, Adam Kastner, Guillaume Lamarche, Bob Landry, Éric Leclerc, Danny Martinez, Yaotzin Meza, Noah Thomas, Aaron Tregear, Adrian Wooley, Tom Murphy.
Le prochain gala ainsi que les autres activités prochaines de XMMA seront annoncées prochainement.
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Le combattant Jonathan Goulet ne veut pas seulement être reconnu que pour sa coupe de cheveux excentriques, il veut aussi que les amateurs des sports martiaux mixtes parlent de lui comme d'un grand combattant. Sa quête de reconnaissance commence mercredi.
Son voeu d'être reconnu pour son talent ne l'empêchera tout de même pas de se coiffer pendant trois heures pour un combat d'un maximum de 15 minutes. Goulet, celui que l'ont surnomme The Road Warrior, grimpe toujours dans l'octogone avec une tête qui attire les regards. C'est sa marque de commerce. Il se bat généralement avec des cheveux teints, assortis d'une combinaison rasée et tourbillonne.
Dans quelques heures, Goulet fera les frais de la demi-finale du gala de l'UFC à Fayetteville en Caroline du Nord quand il sera opposé à Mike (Quick) Swick. Le Québécois de 29 ans participera à ce gala bénéfice Fight for the Troops qui permettra de recueillir des fonds pour un hôpital sur les lésions cérébrales traumatiques de l'armée américaine.
Goulet, un étranger qui se battra contre un Américain, sera fortement hué par une foule composée de nombreux militaires, lors de ce gala qui se déroulera près du Fort Bragg. La foule sera tapageuse si les Marines répètent le même numéro que lors d'un événement présenté près de San Diego en décembre 2006. "Les Américains sont très patriotiques, a dit Goulet. Je ne serai pas le gars le plus populaire mais après le combat, les choses vont changer."
Goulet, qui a un dossier de 22-9 dont 4-3 avec l'UFC, a l'habitude de se battre en territoire hostile. D'ailleurs, son sobriquet (The Road Warrior) lui a été collé à la peau en raison de ses nombreux combats sur la route.
Le combat principal opposera Josh Koscheck, qui a battu Goulet en août 2006, au Japonais Yoshiyuki Yoshida chez les mi-moyens. Quelques vétérans américains seront aussi de la carte, dont les anciens Marines Luigi Fioravanti, Steve Bruno, Tim Credeur, Dale Hartt et Brandon Wolff.
Goulet, originaire de Victoriaville mais qui habite maintenant à Montréal, s'attend à retrouver un adversaire en grande forme. Swick se battra pour une troisième fois seulement chez les 170 livres.
Swick (12-2), un Texan qui est maintenant basé à San Jose où il s'entraîne à l'American Kickboxing Academy, avait connu des débuts tranquilles - décision sur Josh Burkman - mais il s'est raplombé lors de son combat contre Marcus Davis, qui était affecté par une blessure l'épaule.
"Je suis prêt pour la guerre. Et je suis prêt pour Swick," a dit Goulet.
La dernière fois que nous avons vu Goulet, il avait la foule de son côté parce que c'était lors du UFC 83 le 19 avril dernier au Centre Bell quand il a affronté Kuniyoshi Hironaka. Il n'a rien oublié de ces instants magiques. "Ça été une soirée spéciale."
"Je n'avais pas seulement gagné le combat, j'avais aussi hérité de l'honneur du combat de la soirée, a dit Goulet, en faisant référence aux 75 000 dollars que lui et Hironaka avaient reçu en boni. C'était vraiment spécial. Je vais m'en souvenir très longtemps."
C'était le premier combat de la soirée présentée à Montréal et le travail de Goulet avait contribué à soulever une foule fière et enthousiaste. Il était grimpé dans l'octogone avec un chandail du Canadien. Puis, il avait survécu aux attaques de Hironaka au premier round avant de l'emporter à 2:07 du deuxième assaut.
L'oeil droit tuméfié et décoloré, Goulet a envoyé le Japonais au tapis avec une droite au menton. "Après le combat, je marchais comme un homme de 90 ans, a ajouté gaiement le vainqueur. C'est toujours comme ça après un combat."
Goulet lance la pierre aux combattants qui passent, selon lui, trop de temps à célébrer dans le vestiaire plutôt que d'étirer leurs muscles. Lui, il a eu besoin d'un peu de temps après le 83e gala de l'UFC avant de retourner en gymnase pour aider Patrick Côté à se préparer pour son combat. Mais ça n'a pas duré longtemps parce que Goulet s'est blessé au pied droit et il a été absent pendant deux mois.
Puis, l'homme s'est de nouveau blessé. Cette fois en jouant avec son chien.
Goulet veut que les amateurs parlent que de ses cheveux mais il préfère qu'ils parlent de ses exploits comme lorsqu'il avait battu Paul Georgieff par soumission lors de son dernier combat en 2007.
Goulet a livré huit combats en 2007. Et pendant qu'il se forgeait une fiche de 5-2 avec un no contest, il s'est rendu compte qu'il avait négligé l'entraînement et qu'il n'avait pas passé assez de temps en gymnase. Sept de ses combats n'avaient pas franchi le deuxième round alors que l'autre s'était terminé dès l'assaut initial lors du TKO 29, quand il a été atteint par un méchant coup de pied à la tête après seulement huit secondes.
L'année 2008 a été plus calibrée, en partie à la suite de ses blessures aux pieds. Mais une victoire contre Swick lui permettrait de terminer 2008 sur une bonne note.
C'est avec le champion Georges St. Pierre qu'il s'est entraîné sous les ordres de Jon Chaimberg. "Je suis plus fort et plus vite," a soutenu Goulet, qui a profité de l'expérience de GSP pour prendre quelques trucs. "Je l'ai envoyé une seule fois au sol alors que lui m'a envoyé au plancher à environ 20 reprises," a ajouté le combattant.
Son voeu d'être reconnu pour son talent ne l'empêchera tout de même pas de se coiffer pendant trois heures pour un combat d'un maximum de 15 minutes. Goulet, celui que l'ont surnomme The Road Warrior, grimpe toujours dans l'octogone avec une tête qui attire les regards. C'est sa marque de commerce. Il se bat généralement avec des cheveux teints, assortis d'une combinaison rasée et tourbillonne.
Dans quelques heures, Goulet fera les frais de la demi-finale du gala de l'UFC à Fayetteville en Caroline du Nord quand il sera opposé à Mike (Quick) Swick. Le Québécois de 29 ans participera à ce gala bénéfice Fight for the Troops qui permettra de recueillir des fonds pour un hôpital sur les lésions cérébrales traumatiques de l'armée américaine.
Goulet, un étranger qui se battra contre un Américain, sera fortement hué par une foule composée de nombreux militaires, lors de ce gala qui se déroulera près du Fort Bragg. La foule sera tapageuse si les Marines répètent le même numéro que lors d'un événement présenté près de San Diego en décembre 2006. "Les Américains sont très patriotiques, a dit Goulet. Je ne serai pas le gars le plus populaire mais après le combat, les choses vont changer."
Goulet, qui a un dossier de 22-9 dont 4-3 avec l'UFC, a l'habitude de se battre en territoire hostile. D'ailleurs, son sobriquet (The Road Warrior) lui a été collé à la peau en raison de ses nombreux combats sur la route.
Le combat principal opposera Josh Koscheck, qui a battu Goulet en août 2006, au Japonais Yoshiyuki Yoshida chez les mi-moyens. Quelques vétérans américains seront aussi de la carte, dont les anciens Marines Luigi Fioravanti, Steve Bruno, Tim Credeur, Dale Hartt et Brandon Wolff.
Goulet, originaire de Victoriaville mais qui habite maintenant à Montréal, s'attend à retrouver un adversaire en grande forme. Swick se battra pour une troisième fois seulement chez les 170 livres.
Swick (12-2), un Texan qui est maintenant basé à San Jose où il s'entraîne à l'American Kickboxing Academy, avait connu des débuts tranquilles - décision sur Josh Burkman - mais il s'est raplombé lors de son combat contre Marcus Davis, qui était affecté par une blessure l'épaule.
"Je suis prêt pour la guerre. Et je suis prêt pour Swick," a dit Goulet.
La dernière fois que nous avons vu Goulet, il avait la foule de son côté parce que c'était lors du UFC 83 le 19 avril dernier au Centre Bell quand il a affronté Kuniyoshi Hironaka. Il n'a rien oublié de ces instants magiques. "Ça été une soirée spéciale."
"Je n'avais pas seulement gagné le combat, j'avais aussi hérité de l'honneur du combat de la soirée, a dit Goulet, en faisant référence aux 75 000 dollars que lui et Hironaka avaient reçu en boni. C'était vraiment spécial. Je vais m'en souvenir très longtemps."
C'était le premier combat de la soirée présentée à Montréal et le travail de Goulet avait contribué à soulever une foule fière et enthousiaste. Il était grimpé dans l'octogone avec un chandail du Canadien. Puis, il avait survécu aux attaques de Hironaka au premier round avant de l'emporter à 2:07 du deuxième assaut.
L'oeil droit tuméfié et décoloré, Goulet a envoyé le Japonais au tapis avec une droite au menton. "Après le combat, je marchais comme un homme de 90 ans, a ajouté gaiement le vainqueur. C'est toujours comme ça après un combat."
Goulet lance la pierre aux combattants qui passent, selon lui, trop de temps à célébrer dans le vestiaire plutôt que d'étirer leurs muscles. Lui, il a eu besoin d'un peu de temps après le 83e gala de l'UFC avant de retourner en gymnase pour aider Patrick Côté à se préparer pour son combat. Mais ça n'a pas duré longtemps parce que Goulet s'est blessé au pied droit et il a été absent pendant deux mois.
Puis, l'homme s'est de nouveau blessé. Cette fois en jouant avec son chien.
Goulet veut que les amateurs parlent que de ses cheveux mais il préfère qu'ils parlent de ses exploits comme lorsqu'il avait battu Paul Georgieff par soumission lors de son dernier combat en 2007.
Goulet a livré huit combats en 2007. Et pendant qu'il se forgeait une fiche de 5-2 avec un no contest, il s'est rendu compte qu'il avait négligé l'entraînement et qu'il n'avait pas passé assez de temps en gymnase. Sept de ses combats n'avaient pas franchi le deuxième round alors que l'autre s'était terminé dès l'assaut initial lors du TKO 29, quand il a été atteint par un méchant coup de pied à la tête après seulement huit secondes.
L'année 2008 a été plus calibrée, en partie à la suite de ses blessures aux pieds. Mais une victoire contre Swick lui permettrait de terminer 2008 sur une bonne note.
C'est avec le champion Georges St. Pierre qu'il s'est entraîné sous les ordres de Jon Chaimberg. "Je suis plus fort et plus vite," a soutenu Goulet, qui a profité de l'expérience de GSP pour prendre quelques trucs. "Je l'ai envoyé une seule fois au sol alors que lui m'a envoyé au plancher à environ 20 reprises," a ajouté le combattant.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
L'ancien président de l'organisation TKO, Stéphane Patry, est de retour dans le monde des sports de combat.
Patry dévoilera jeudi la mise sur pied d'une nouvelle organisation de sports de combats. On parle ici d'un sport qui sera différent des arts martiaux mixtes.
Lors du point de presse de jeudi, les règlements de ce sport seront présentés par l'arbitre international, Yves Lavigne.
Patry dévoilera jeudi la mise sur pied d'une nouvelle organisation de sports de combats. On parle ici d'un sport qui sera différent des arts martiaux mixtes.
Lors du point de presse de jeudi, les règlements de ce sport seront présentés par l'arbitre international, Yves Lavigne.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Fidèle à son surnom, Mike "Quick" Swick a fait ça vite mercredi soir contre le Québécois Jonathan Goulet.
Swick a passé le K.-O. à Goulet dès la 33e seconde du premier round, mercredi dans un gala du UFC organisé en Caroline du Nord.
Swick (13-2) a envoyé Goulet (22-10) au tapis avec une percutante droite avant de lui asséner une quinzaine de coups au sol, forçant l’arbitre Dan Miragliotta à mettre fin au massacre.
Il s’agit d’une troisième victoire de suite pour Swick dans la catégorie des 170 livres.
Dans le combat principal de la soirée, Josh Koscheck n’a eu besoin que de deux solides droites pour envoyer le Japonais Yoshiyuki Yoshida au pays des rêves avec 2:15 d’écoulées au premier round.
Swick a passé le K.-O. à Goulet dès la 33e seconde du premier round, mercredi dans un gala du UFC organisé en Caroline du Nord.
Swick (13-2) a envoyé Goulet (22-10) au tapis avec une percutante droite avant de lui asséner une quinzaine de coups au sol, forçant l’arbitre Dan Miragliotta à mettre fin au massacre.
Il s’agit d’une troisième victoire de suite pour Swick dans la catégorie des 170 livres.
Dans le combat principal de la soirée, Josh Koscheck n’a eu besoin que de deux solides droites pour envoyer le Japonais Yoshiyuki Yoshida au pays des rêves avec 2:15 d’écoulées au premier round.
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
Stéphane Patry n'est pas demeuré bien longtemps à l'extérieur des sports de combat. L'ancien président de l'organisation des arts martiaux mixtes, TKO, a décidé de lancer une nouvelle discipline : le Strikeboxing.
Ce sport ressemblera aux arts martiaux mixtes, à la différence que les combattants ne pourront se battre au sol. Dès que l’un des combattants est au tapis, que ce soit à la suite d’un coup ou à la suite d’une projection, les deux athlètes reviennent en position debout.
Patry présentera le premier événement de sa nouvelle organisation, Strikebox, le 6 février prochain à Montréal. Steve Bossé fera les frais de la finale. Martin Grandmont, Thierry Quenneville, Duane Ludwing et Bob Landry prendront aussi part à l'événmement.
Les règlements importants de ce sport
Durée des combats :
Combat régulier 5 rounds de 3 minutes
Combat de championnat 5 rounds de 5 minutes
*pause de 1 minute entre les rounds
Catégories de poids :
Poids mouche (125.9 livres et moins)
Poids coqs (entre 126 et 134.9 livres)
Poids plumes (entre 135 et 144.9 livres)
Poids légers (entre 145 et 154.9 livres)
Poids mi-moyens (entre 155 et 169.9 livres)
Poids moyens (entre 170 et 184.9 livres)
Poids mi-lourds (entre 185 et 204.9 livres)
Poids lourds (205 livres et plus)
*Il est à noter que selon la règlementation en vigueur au Québec par la Régie des Alcools, des courses et des jeux, un combat ne peut avoir lieu si il y a une différence de 15 livres et plus entre les deux athlètes. Bien sûr, cette règle ne s’applique pas chez les poids lourds.
Aire de combat :
Les combats présentés par Strikebox se feront dans une arène à huit côtés avec treillis plastifiés semblable à ce qui se fait en arts martiaux professionnels. L’aire de combat mesurera 24 pieds.
Bandages et gants :
Les gants utilisés seront des gants avec les doigts ouverts afin de faciliter le travail au corps à corps notamment au niveau des projections. Tout comme les gants utilisés en
arts martiaux professionnels, ces gants offrent une protection adéquate et sécuritaire pour les athlètes.
Les juges :
Si un combat se rend à la limite du temps règlementaire, tout comme dans les autres sports de combat, les trois juges auront à rendre une décision. Le système de pointage
utilisé est le système international mieux connu sous l’appellation « 10 points Must System » avec lequel un gagnant doit être couronné à chacun des rounds.
Un round gagné de façon serré par un athlète lui vaut un score de 10-9, un round clairement gagné par un athlète est considéré un 10-8 et une domination complète et totale d’un round est tant qu’à lui considéré un 10-7.
Les critères de pointages des juges sont les suivants, et dans l’ordre d’importance :
-Efficacité des coups portés;
-Efficacité des projections au sol;
-Contrôle de l’aire de combat;
-Agressivité;
-Les techniques défensives.
Les techniques et coups permis :
-Coup de poing (tous les types de coup de poing);
-Coup d’avant-bras (interdit avec la pointe du coude);
-Coup de pied (tous les types de coup de pied – sauf « stomping »);
-Coup avec les jambes (interdit avec la pointe du genou);
-Tous les types de projection (sauf celles tête première);
Quelques-unes des fautes pouvant mener à un avertissement ou une disqualification :
• Tenir les cordes ou le treillis;
• Retenir les culottes ou les gants de l’adversaire;
• Frapper de quelque façon que ce soit avec la tête;
• Frapper intentionnellement son adversaire au niveau des yeux;
• Frapper son adversaire dans les parties génitales;
• Frapper derrière la tête;
• Frapper un adversaire qui est au sol (un combattant est considéré au sol lorsqu’une
partie de son corps autre que ses pieds touche le sol);
• Tout comportement antisportif;
• Timidité (c'est-à-dire un athlète qui évite le combat, qui laisse tomber
continuellement son protecteur buccal ou qui simule une blessure);
• Projeter son adversaire au sol tête première
Comment un combat peut se terminer?
• K.-O. ou K.-O. technique
• Décision des juges
• Combat nul
• Disqualification
*il est à noter que seul l’arbitre et le médecin peuvent mettre fin à un combat, par contre l’entraîneur et l’athlète peuvent aussi signifier à l’arbitre de mettre fin au combat.
Chute au tapis
Lors d’une chute au tapis, l’arbitre doit séparer les combattants, amener le combattant dans son coin neutre et si l’adversaire ne peut continuer le combat, ne peut se relever
ou ne peut plus se défendre intelligemment, l’arbitre met fin au combat.
Ce sport ressemblera aux arts martiaux mixtes, à la différence que les combattants ne pourront se battre au sol. Dès que l’un des combattants est au tapis, que ce soit à la suite d’un coup ou à la suite d’une projection, les deux athlètes reviennent en position debout.
Patry présentera le premier événement de sa nouvelle organisation, Strikebox, le 6 février prochain à Montréal. Steve Bossé fera les frais de la finale. Martin Grandmont, Thierry Quenneville, Duane Ludwing et Bob Landry prendront aussi part à l'événmement.
Les règlements importants de ce sport
Durée des combats :
Combat régulier 5 rounds de 3 minutes
Combat de championnat 5 rounds de 5 minutes
*pause de 1 minute entre les rounds
Catégories de poids :
Poids mouche (125.9 livres et moins)
Poids coqs (entre 126 et 134.9 livres)
Poids plumes (entre 135 et 144.9 livres)
Poids légers (entre 145 et 154.9 livres)
Poids mi-moyens (entre 155 et 169.9 livres)
Poids moyens (entre 170 et 184.9 livres)
Poids mi-lourds (entre 185 et 204.9 livres)
Poids lourds (205 livres et plus)
*Il est à noter que selon la règlementation en vigueur au Québec par la Régie des Alcools, des courses et des jeux, un combat ne peut avoir lieu si il y a une différence de 15 livres et plus entre les deux athlètes. Bien sûr, cette règle ne s’applique pas chez les poids lourds.
Aire de combat :
Les combats présentés par Strikebox se feront dans une arène à huit côtés avec treillis plastifiés semblable à ce qui se fait en arts martiaux professionnels. L’aire de combat mesurera 24 pieds.
Bandages et gants :
Les gants utilisés seront des gants avec les doigts ouverts afin de faciliter le travail au corps à corps notamment au niveau des projections. Tout comme les gants utilisés en
arts martiaux professionnels, ces gants offrent une protection adéquate et sécuritaire pour les athlètes.
Les juges :
Si un combat se rend à la limite du temps règlementaire, tout comme dans les autres sports de combat, les trois juges auront à rendre une décision. Le système de pointage
utilisé est le système international mieux connu sous l’appellation « 10 points Must System » avec lequel un gagnant doit être couronné à chacun des rounds.
Un round gagné de façon serré par un athlète lui vaut un score de 10-9, un round clairement gagné par un athlète est considéré un 10-8 et une domination complète et totale d’un round est tant qu’à lui considéré un 10-7.
Les critères de pointages des juges sont les suivants, et dans l’ordre d’importance :
-Efficacité des coups portés;
-Efficacité des projections au sol;
-Contrôle de l’aire de combat;
-Agressivité;
-Les techniques défensives.
Les techniques et coups permis :
-Coup de poing (tous les types de coup de poing);
-Coup d’avant-bras (interdit avec la pointe du coude);
-Coup de pied (tous les types de coup de pied – sauf « stomping »);
-Coup avec les jambes (interdit avec la pointe du genou);
-Tous les types de projection (sauf celles tête première);
Quelques-unes des fautes pouvant mener à un avertissement ou une disqualification :
• Tenir les cordes ou le treillis;
• Retenir les culottes ou les gants de l’adversaire;
• Frapper de quelque façon que ce soit avec la tête;
• Frapper intentionnellement son adversaire au niveau des yeux;
• Frapper son adversaire dans les parties génitales;
• Frapper derrière la tête;
• Frapper un adversaire qui est au sol (un combattant est considéré au sol lorsqu’une
partie de son corps autre que ses pieds touche le sol);
• Tout comportement antisportif;
• Timidité (c'est-à-dire un athlète qui évite le combat, qui laisse tomber
continuellement son protecteur buccal ou qui simule une blessure);
• Projeter son adversaire au sol tête première
Comment un combat peut se terminer?
• K.-O. ou K.-O. technique
• Décision des juges
• Combat nul
• Disqualification
*il est à noter que seul l’arbitre et le médecin peuvent mettre fin à un combat, par contre l’entraîneur et l’athlète peuvent aussi signifier à l’arbitre de mettre fin au combat.
Chute au tapis
Lors d’une chute au tapis, l’arbitre doit séparer les combattants, amener le combattant dans son coin neutre et si l’adversaire ne peut continuer le combat, ne peut se relever
ou ne peut plus se défendre intelligemment, l’arbitre met fin au combat.
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : ven. sept. 28, 2007 12:00 am
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Re: Nouvelles en Vrac ( UFC - TKO - MMA )
La finale du premier événement de l'organisation STRIKEBOX opposera le Québécois Steve Bossé à l'Anglais James Thompson. L'affrontement aura lieu le 6 février prochain au Studio Mel's de Montréal.
Originaire de Bristol en Angleterre, Thompson possède 14 victoires à sa fiche. L'athlète de 6 pieds 5 pouces et 255 livres se spécialise dans les mises hors de combat comme en témoignent ses 11 gains obtenus par K-.O. Il a affronté des adversaires aussi coriaces que Kimbo Slice, Don Frye, Eric « Butterbean » Esch, Hidehiko Yoshida et Dan Severn.
Pour ce qui est de Bossé, il présente une fiche de 4-1. Trois de ses gains ont été enregistrés par K.-O.
Parmi les autres combats de la soirée, Pete Pratt fera face à Martin Grandmont, alors que Hosier Bruno croisera le fer avec Bob Landry.
Originaire de Bristol en Angleterre, Thompson possède 14 victoires à sa fiche. L'athlète de 6 pieds 5 pouces et 255 livres se spécialise dans les mises hors de combat comme en témoignent ses 11 gains obtenus par K-.O. Il a affronté des adversaires aussi coriaces que Kimbo Slice, Don Frye, Eric « Butterbean » Esch, Hidehiko Yoshida et Dan Severn.
Pour ce qui est de Bossé, il présente une fiche de 4-1. Trois de ses gains ont été enregistrés par K.-O.
Parmi les autres combats de la soirée, Pete Pratt fera face à Martin Grandmont, alors que Hosier Bruno croisera le fer avec Bob Landry.