Allégations de harcèlement ou d'agression
En fait de victime il n'y en a qu'une sur laquelle reposait toute l'affaire, son ex. Si elle se rétracte en bonne partie, et qu'on considère comme une victime une fille qu'il a cruisée en fin de soirée sur le coin d'une rue on peut se poser des questions je pense. On a aussi une Rosalie Vaillancourt qui a pesé lourd dans la balance, une autre femme qui elle-même a été mise en lumière pour des comportements douteux envers d'autres femmes, je pense qu'il y a un gros cocktail de jalousie et vengeance en toile de fond mais bien sûr elles vont s'en défendre.titine a écrit : Sur 9 il y en a combien qui recule ? 4 ? Il en reste quand même 5 victimes. On ne sais pas à quelle degrés par contre .
Je suis convaincue qu'il pouvait être déplacé JL, au même titre qu'une MPM. Mais perso c'est le deux poids deux mesures qui me déplait. MPM est en rédemption, elle est donc belle, bonne et courageuse, elle revient en madone sur les réseaux sociaux et voilà la marche repart. Mais on refuse la même chose à JL, pourquoi? Parce que c'est un homme? Il n'a pas été accusé au criminel et il reçoit une sentence à vie? Eric Lapointe a été accusé et reconnu coupable et il remplit encore des salles, poursuit sa carrière etc... il a perdu des contrats oui mais il peut encore exercer son métier.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
RÉACTION FORTEMENT INATTENDUE DE CATHERINE ÉTHIER SUR LES ACCUSATIONS CONTRE L'HUMORISTE FRED DUBÉ
Alors qu'on a tout récemment appris que l'humoriste Fred Dubé a répliqué aux accusations d'agression sexuelle à son endroit (voir notre article ci-dessous), une autre tuile est tombée sur sa tête.
https://www.linformateurqc.com/Vise-par ... end-178366
En effet, si vous avez vu les témoignages des deux jeunes femmes, elles semblaient blâmer l'artiste Catherine Éthier d'être de mèche avec lui pour le protéger.
Cette dernière est sortie de l'ombre, et pas pour le défendre, mais pas du tout. Voici ce qu'elle a partagé sur Facebook:
« Le texte que je m'apprête à écrire, j'ai toujours refusé de l'écrire. Je ne le fais pas sous supervision d'une équipe de relations publiques; c'est une introduction étrange, mais c'est très important pour moi d'être très claire à cet effet. Je ne suis pas une opération de relations publiques. Je suis un être humain que les événements récents forcent à sortir, elle aussi, publiquement pour dénoncer son agresseur.
J'ai toujours refusé de le faire, parce que pour moi, dénoncer ce que j'ai vécu était trop douloureux. Ça l'est encore. Forcer une personne à raconter son histoire publiquement est un acte d'une très grande violence. Je ne vous dois absolument pas mon histoire. Elle m'appartient. Comme elle appartient à chaque victime. Je le fais aujourd'hui parce que je sens que je n'ai pas le choix. Que je dois des explications aux gens qui me faisaient confiance et qui sont aujourd'hui déçus de lire les informations qui ont été partagées à mon égard hier, liées aux allégations d'agression sexuelle de Fred Dubé.
Je suis l'ancienne conjointe de Fred Dubé. Nous avons officiellement été 4 ans ensemble. C'est un homme que j'ai aimé profondément. C'est d'ailleurs la raison principale pour laquelle j'ai eu tant de mal à le quitter. Je l'ai quitté à de nombreuses reprises. Je suis revenue à autant de reprises, moins une. Je suis revenue quand j'aurais dû partir. J'y ai perdu des amis. Je me suis isolée de mon filet de sécurité. J'ai déçu beaucoup de proches. J'ai eu très honte. J'apprends d'ailleurs toujours à vivre avec cette honte qui ne devrait pourtant pas m'appartenir ni m'habiter. J'ai vécu dans la peur de nombreuses années. Même jusqu'à aujourd'hui. Au cours de cette relation, Fred Dubé m'a agressée sexuellement. Il m'a menacée physiquement, sans jamais me frapper. Ces gens-là savent quand arrêter le poing. J'ai vécu de la violence psychologique, verbale, sexuelle. Je ne compte plus les humiliations qu'il m'a fait subir, dans la sphère privée comme publique. Les trahisons. Il m'a aussi menacée, une fois, de nous tuer tous les deux.
Fred Dubé m'a été infidèle à de nombreuses reprises, dont un épisode avec sa victime, qui a hier rédigé sa dénonciation sous Dis son nom. Je connais l'existence de cette personne depuis 2018. Elle est venue vers moi pour me prévenir que mon conjoint de l'époque, Fred Dubé, avait eu une aventure avec elle. Nos échanges se sont essentiellement arrêtés là avant qu'elle me bloque de toutes ses plateformes. Je n'ai pas quitté Fred Dubé tout de suite. Habituée à l'humiliation, à passer l'éponge, aux torsions gastriques à la moindre évocation de son nom de la bouche d'une personne qui venait me prévenir que mon chum avait des comportements toxiques, j'ai d'abord absorbé le choc. On ne réagit pas toujours rapidement, dans ces situations-là.
C'est important pour moi de souligner, malgré la délicatesse de la situation, que la victime ne m'a pas d'abord écrit pour accuser Fred Dubé de viol. Elle avait sans doute besoin d'accuser le choc elle aussi. Elle n'avait pas de compte à me rendre non plus. Son histoire lui appartenait et lui appartient toujours.
Sa dénonciation pour agression sexuelle est venue à mes oreilles quand elle a écrit aux divers employeurs et amis de Fred Dubé pour les prévenir qu'ils côtoyaient un agresseur, quelques mois après que cette personne m'ait écrit pour m'informer que j'étais cocue. J'ai, à ce moment, quitté Fred Dubé. Je n'ai pas coupé tout contact avec lui parce que les relations toxiques sont complexes. Mais j'ai fini par couper les ponts
À aucun moment, je n'ai tenté de contacter ou dissuader cette personne de dénoncer Fred Dubé. C'est son droit le plus strict. Et j'ai beau retourner ça de tous les côtés, j'aurais été profondément tarte de tenter de la faire taire, étant donné ma position, ma posture publique, mes valeurs et ce que je défends presque chaque semaine à la radio. Empêcher quelqu'un de dénoncer est l'affaire la plus imbécile que j'aurais pu faire de ma carrière. Je ne suis peut-être pas parfaite, mais je ne suis pas épaisse.
J'ai appris que Fred Dubé aurait, en 2018, raconté à cette personne que nous (lui et moi) étions allés au poste de police pour dénoncer la présumée victime et tenter de la faire taire. C'est faux. Fred Dubé est allé seul au poste de police, est allé seul faire sa déposition, s'est organisé seul avec SES problèmes.
Près d'un an plus tard, le 2 décembre 2019, j'ai croisé la victime sur la rue, près du métro Laurier. Sur le coup, je ne l'ai pas reconnue parce que je ne l'avais jamais rencontrée. Je savais vaguement à quoi elle ressemblait. Elle était très agitée (je comprends aujourd'hui pourquoi, je ne le précise que pour le contexte), elle m'a accusée de défendre un agresseur, d'avoir fréquenté un agresseur, a souligné que tout le monde savait à quel point mon ancien conjoint me malmenait, m'a méprisée, tout y est passé, de mon physique à mon travail. Ça a été quelques minutes très difficiles. Inattendues. Je ne me souviens pas à la virgule près du verbatim de cet échange où je n'ai bien honnêtement pu placer que quelques mots, mais j'étais évidemment sur la défensive. J'ai eu peur pour ma sécurité. Je ne connaissais pas cette femme. Elle criait et les propos dont elle m'invectivait étaient sans appel. Je comprends mieux sa posture en sachant aujourd'hui que Fred Dubé lui-même lui avait raconté que nous étions allés ensemble au poste de police pour porter plainte contre elle. Je ne possédais pas cette information à ce moment-là. Je peux maintenant comprendre la trahison qu'elle a pu ressentir et l'urgence de venir me parler en m'apercevant. On ne réagit pas toujours parfaitement, en situation de stress.
Je rédige ce très long message sans doute décousu, parce que je refuse de payer le prix pour Fred Dubé. J'ai déjà assez payé, toutes ces années. Je refuse qu'il entache qui je suis. Je refuse qu'il piétine mes valeurs. Je refuse d'être entraînée dans le bourbier dont il est l'unique responsable. Et je lui en voudrai pour le reste de mes jours d'être la cause du bris de confiance de femmes qui auront lu le message de sa victime et qui, peut-être, entretiendront un doute à mon égard pour longtemps. Je les comprends. C'est ce qui me blesse le plus.
Fred Dubé s'est servi de moi et tente toujours de se servir de mon image et de mon nom pour se blanchir d'une situation dont il est le seul artisan. Je ne paierai pas pour ça. Je ne paierai plus pour sa violence, qui, même quatre ans après notre rupture, continue de faire son oeuvre, à distance.
J'encourage et encouragerai toujours toutes les personnes victimes d'agression sexuelle à dénoncer leur agresseur. Je les encourage aussi à choisir la voie qui leur est salutaire. Et cette voix peut tout aussi bien être le silence. Personne ne doit son histoire à quiconque.
Je ne répondrai d'ailleurs à aucune question sur le sujet. Ce message, je l'écris parce que je sens que je n'ai pas le choix. Ma vie personnelle m'appartient, les traumatismes que j'ai vécus ces dernières années, aussi. Je suis épuisée. Mais je continuerai de prendre parole au nom des femmes, des victimes, des allié.es.
Je suis devenue marraine du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale pour guérir mes blessures. Parce que ces femmes m'ont sauvée. Je n'évoque pas ce rôle pour me cacher derrière ma vertu. Je trouve ça d'ailleurs gênant de le mentionner dans ce texte; je sais de quoi ça peut avoir l'air. Je sais aussi, et c'est normal, que certain.es se demanderont pourquoi est-ce que je n'ai jamais dénoncé. D'abord, parce que c'est mon droit. Mais aussi parce que défendre les femmes est ma façon de guérir. D'apaiser ma souffrance. C'est la voix que j'avais choisi d'emprunter, même si je culpabilisais de ne pas, moi aussi, dénoncer mon agresseur. Mais voilà. Je le répète, dénoncer n'est pas une obligation. Je vivais parfaitement bien avec le droit au silence sur mon histoire personnelle et c'est le chemin que j'avais choisi d'emprunter. Pour me réparer autrement.
Alors voilà. Je ne suis pas certaine d'avoir parfaitement fait le tour de tout, rien ne nous prépare à ça. Mais je crois avoir dit l'essentiel. L'essentiel que je considère publiquement important en cette date précise. Le reste m'appartient.
Je termine en resoulignant que la personne qui est sortie publiquement contre mon ancien conjoint est et a toujours été libre de dénoncer Fred Dubé. Je comprends que cette opération a dû être terrifiante. Humiliante. Je comprends aussi son interprétation de la situation et le temps que ça a pris pour en parler publiquement. Personne n'est tenu de respecter l'horaire de la parfaite victime. Moi incluse. On fait ce qu'on peut. Et c'est rough en esti.
Merci beaucoup de m'avoir lue,
Catherine »
https://www.linformateurqc.com/Reaction ... ube-178369
Alors qu'on a tout récemment appris que l'humoriste Fred Dubé a répliqué aux accusations d'agression sexuelle à son endroit (voir notre article ci-dessous), une autre tuile est tombée sur sa tête.
https://www.linformateurqc.com/Vise-par ... end-178366
En effet, si vous avez vu les témoignages des deux jeunes femmes, elles semblaient blâmer l'artiste Catherine Éthier d'être de mèche avec lui pour le protéger.
Cette dernière est sortie de l'ombre, et pas pour le défendre, mais pas du tout. Voici ce qu'elle a partagé sur Facebook:
« Le texte que je m'apprête à écrire, j'ai toujours refusé de l'écrire. Je ne le fais pas sous supervision d'une équipe de relations publiques; c'est une introduction étrange, mais c'est très important pour moi d'être très claire à cet effet. Je ne suis pas une opération de relations publiques. Je suis un être humain que les événements récents forcent à sortir, elle aussi, publiquement pour dénoncer son agresseur.
J'ai toujours refusé de le faire, parce que pour moi, dénoncer ce que j'ai vécu était trop douloureux. Ça l'est encore. Forcer une personne à raconter son histoire publiquement est un acte d'une très grande violence. Je ne vous dois absolument pas mon histoire. Elle m'appartient. Comme elle appartient à chaque victime. Je le fais aujourd'hui parce que je sens que je n'ai pas le choix. Que je dois des explications aux gens qui me faisaient confiance et qui sont aujourd'hui déçus de lire les informations qui ont été partagées à mon égard hier, liées aux allégations d'agression sexuelle de Fred Dubé.
Je suis l'ancienne conjointe de Fred Dubé. Nous avons officiellement été 4 ans ensemble. C'est un homme que j'ai aimé profondément. C'est d'ailleurs la raison principale pour laquelle j'ai eu tant de mal à le quitter. Je l'ai quitté à de nombreuses reprises. Je suis revenue à autant de reprises, moins une. Je suis revenue quand j'aurais dû partir. J'y ai perdu des amis. Je me suis isolée de mon filet de sécurité. J'ai déçu beaucoup de proches. J'ai eu très honte. J'apprends d'ailleurs toujours à vivre avec cette honte qui ne devrait pourtant pas m'appartenir ni m'habiter. J'ai vécu dans la peur de nombreuses années. Même jusqu'à aujourd'hui. Au cours de cette relation, Fred Dubé m'a agressée sexuellement. Il m'a menacée physiquement, sans jamais me frapper. Ces gens-là savent quand arrêter le poing. J'ai vécu de la violence psychologique, verbale, sexuelle. Je ne compte plus les humiliations qu'il m'a fait subir, dans la sphère privée comme publique. Les trahisons. Il m'a aussi menacée, une fois, de nous tuer tous les deux.
Fred Dubé m'a été infidèle à de nombreuses reprises, dont un épisode avec sa victime, qui a hier rédigé sa dénonciation sous Dis son nom. Je connais l'existence de cette personne depuis 2018. Elle est venue vers moi pour me prévenir que mon conjoint de l'époque, Fred Dubé, avait eu une aventure avec elle. Nos échanges se sont essentiellement arrêtés là avant qu'elle me bloque de toutes ses plateformes. Je n'ai pas quitté Fred Dubé tout de suite. Habituée à l'humiliation, à passer l'éponge, aux torsions gastriques à la moindre évocation de son nom de la bouche d'une personne qui venait me prévenir que mon chum avait des comportements toxiques, j'ai d'abord absorbé le choc. On ne réagit pas toujours rapidement, dans ces situations-là.
C'est important pour moi de souligner, malgré la délicatesse de la situation, que la victime ne m'a pas d'abord écrit pour accuser Fred Dubé de viol. Elle avait sans doute besoin d'accuser le choc elle aussi. Elle n'avait pas de compte à me rendre non plus. Son histoire lui appartenait et lui appartient toujours.
Sa dénonciation pour agression sexuelle est venue à mes oreilles quand elle a écrit aux divers employeurs et amis de Fred Dubé pour les prévenir qu'ils côtoyaient un agresseur, quelques mois après que cette personne m'ait écrit pour m'informer que j'étais cocue. J'ai, à ce moment, quitté Fred Dubé. Je n'ai pas coupé tout contact avec lui parce que les relations toxiques sont complexes. Mais j'ai fini par couper les ponts
À aucun moment, je n'ai tenté de contacter ou dissuader cette personne de dénoncer Fred Dubé. C'est son droit le plus strict. Et j'ai beau retourner ça de tous les côtés, j'aurais été profondément tarte de tenter de la faire taire, étant donné ma position, ma posture publique, mes valeurs et ce que je défends presque chaque semaine à la radio. Empêcher quelqu'un de dénoncer est l'affaire la plus imbécile que j'aurais pu faire de ma carrière. Je ne suis peut-être pas parfaite, mais je ne suis pas épaisse.
J'ai appris que Fred Dubé aurait, en 2018, raconté à cette personne que nous (lui et moi) étions allés au poste de police pour dénoncer la présumée victime et tenter de la faire taire. C'est faux. Fred Dubé est allé seul au poste de police, est allé seul faire sa déposition, s'est organisé seul avec SES problèmes.
Près d'un an plus tard, le 2 décembre 2019, j'ai croisé la victime sur la rue, près du métro Laurier. Sur le coup, je ne l'ai pas reconnue parce que je ne l'avais jamais rencontrée. Je savais vaguement à quoi elle ressemblait. Elle était très agitée (je comprends aujourd'hui pourquoi, je ne le précise que pour le contexte), elle m'a accusée de défendre un agresseur, d'avoir fréquenté un agresseur, a souligné que tout le monde savait à quel point mon ancien conjoint me malmenait, m'a méprisée, tout y est passé, de mon physique à mon travail. Ça a été quelques minutes très difficiles. Inattendues. Je ne me souviens pas à la virgule près du verbatim de cet échange où je n'ai bien honnêtement pu placer que quelques mots, mais j'étais évidemment sur la défensive. J'ai eu peur pour ma sécurité. Je ne connaissais pas cette femme. Elle criait et les propos dont elle m'invectivait étaient sans appel. Je comprends mieux sa posture en sachant aujourd'hui que Fred Dubé lui-même lui avait raconté que nous étions allés ensemble au poste de police pour porter plainte contre elle. Je ne possédais pas cette information à ce moment-là. Je peux maintenant comprendre la trahison qu'elle a pu ressentir et l'urgence de venir me parler en m'apercevant. On ne réagit pas toujours parfaitement, en situation de stress.
Je rédige ce très long message sans doute décousu, parce que je refuse de payer le prix pour Fred Dubé. J'ai déjà assez payé, toutes ces années. Je refuse qu'il entache qui je suis. Je refuse qu'il piétine mes valeurs. Je refuse d'être entraînée dans le bourbier dont il est l'unique responsable. Et je lui en voudrai pour le reste de mes jours d'être la cause du bris de confiance de femmes qui auront lu le message de sa victime et qui, peut-être, entretiendront un doute à mon égard pour longtemps. Je les comprends. C'est ce qui me blesse le plus.
Fred Dubé s'est servi de moi et tente toujours de se servir de mon image et de mon nom pour se blanchir d'une situation dont il est le seul artisan. Je ne paierai pas pour ça. Je ne paierai plus pour sa violence, qui, même quatre ans après notre rupture, continue de faire son oeuvre, à distance.
J'encourage et encouragerai toujours toutes les personnes victimes d'agression sexuelle à dénoncer leur agresseur. Je les encourage aussi à choisir la voie qui leur est salutaire. Et cette voix peut tout aussi bien être le silence. Personne ne doit son histoire à quiconque.
Je ne répondrai d'ailleurs à aucune question sur le sujet. Ce message, je l'écris parce que je sens que je n'ai pas le choix. Ma vie personnelle m'appartient, les traumatismes que j'ai vécus ces dernières années, aussi. Je suis épuisée. Mais je continuerai de prendre parole au nom des femmes, des victimes, des allié.es.
Je suis devenue marraine du Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale pour guérir mes blessures. Parce que ces femmes m'ont sauvée. Je n'évoque pas ce rôle pour me cacher derrière ma vertu. Je trouve ça d'ailleurs gênant de le mentionner dans ce texte; je sais de quoi ça peut avoir l'air. Je sais aussi, et c'est normal, que certain.es se demanderont pourquoi est-ce que je n'ai jamais dénoncé. D'abord, parce que c'est mon droit. Mais aussi parce que défendre les femmes est ma façon de guérir. D'apaiser ma souffrance. C'est la voix que j'avais choisi d'emprunter, même si je culpabilisais de ne pas, moi aussi, dénoncer mon agresseur. Mais voilà. Je le répète, dénoncer n'est pas une obligation. Je vivais parfaitement bien avec le droit au silence sur mon histoire personnelle et c'est le chemin que j'avais choisi d'emprunter. Pour me réparer autrement.
Alors voilà. Je ne suis pas certaine d'avoir parfaitement fait le tour de tout, rien ne nous prépare à ça. Mais je crois avoir dit l'essentiel. L'essentiel que je considère publiquement important en cette date précise. Le reste m'appartient.
Je termine en resoulignant que la personne qui est sortie publiquement contre mon ancien conjoint est et a toujours été libre de dénoncer Fred Dubé. Je comprends que cette opération a dû être terrifiante. Humiliante. Je comprends aussi son interprétation de la situation et le temps que ça a pris pour en parler publiquement. Personne n'est tenu de respecter l'horaire de la parfaite victime. Moi incluse. On fait ce qu'on peut. Et c'est rough en esti.
Merci beaucoup de m'avoir lue,
Catherine »
https://www.linformateurqc.com/Reaction ... ube-178369
Dernière modification par Anya le dim. nov. 20, 2022 9:25 pm, modifié 1 fois.
Nuance: Éric Lapointe a plaidé coupable et il a obtenu une absolution conditionnelle... dans le fond, il a été quasiment acquitté.Malike a écrit : [...]
En fait de victime il n'y en a qu'une sur laquelle reposait toute l'affaire, son ex. Si elle se rétracte en bonne partie, et qu'on considère comme une victime une fille qu'il a cruisée en fin de soirée sur le coin d'une rue on peut se poser des questions je pense. On a aussi une Rosalie Vaillancourt qui a pesé lourd dans la balance, une autre femme qui elle-même a été mise en lumière pour des comportements douteux envers d'autres femmes, je pense qu'il y a un gros cocktail de jalousie et vengeance en toile de fond mais bien sûr elles vont s'en défendre.
Je suis convaincue qu'il pouvait être déplacé JL, au même titre qu'une MPM. Mais perso c'est le deux poids deux mesures qui me déplait. MPM est en rédemption, elle est donc belle, bonne et courageuse, elle revient en madone sur les réseaux sociaux et voilà la marche repart. Mais on refuse la même chose à JL, pourquoi? Parce que c'est un homme? Il n'a pas été accusé au criminel et il reçoit une sentence à vie? Eric Lapointe a été accusé et reconnu coupable et il remplit encore des salles, poursuit sa carrière etc... il a perdu des contrats oui mais il peut encore exercer son métier.
Nuance pourquoi? Peu importe le résultat juridique, il est coupable sans l'ombre d'un doute lui, c'est passé par le processus de justice. Il ne peut pas nier ce qu'il a fait, il a été condamné en bonne et due forme. S'il y a de quoi il devrait être crissement plus canceled que d'autres et pourtant il n'a pas arrêté de se produire même s'il s'est vu refuser certaines participations.Alegria a écrit : [...]
Nuance: Éric Lapointe a plaidé coupable et il a obtenu une absolution conditionnelle... dans le fond, il a été quasiment acquitté.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
Non, ce que je voulais dire, c'est qu'il a juste eu une tape sur les doigts. Il a eu une absolution, donc pas de casier judiciaire, donc rien ne l'empêche de voyager. C'était ça que je voulais dire.
Si son métier avait été mécanicien et que voyager n'était pas une option, aurait-il eu une absolution? C'est plutôt ça que je questionne. Sans rancune.
Si son métier avait été mécanicien et que voyager n'était pas une option, aurait-il eu une absolution? C'est plutôt ça que je questionne. Sans rancune.
Ahhh d'accord! Je n'avais pas compris le sens de ton intervention. Il y a eu tellement de monde pour minimiser les gestes de notre ti-cuir national et même s'il a perdu quelques contrats je trouve qu'il s'en est quand même bien sorti. Il se produit encore et sa base de fans continue à le suivre et l'admirer.Alegria a écrit : Non, ce que je voulais dire, c'est qu'il a juste eu une tape sur les doigts. Il a eu une absolution, donc pas de casier judiciaire, donc rien ne l'empêche de voyager. C'était ça que je voulais dire.
Si son métier avait été mécanicien et que voyager n'était pas une option, aurait-il eu une absolution? C'est plutôt ça que je questionne. Sans rancune.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Simon Houle de retour en cour
Simon Houle est de retour en cour au Palais de justice de Saint-Jérôme, cet ingénieur qui avait obtenu une absolution conditionnelle controversée l'été dernier.
Il est maintenant accusé de ne pas avoir respecté les conditions de sa probation.
Il aurait empoigné les fesses d’une femme alors qu’il était dans un séjour à Cuba.
Simon Houle n’était pas présent au Palais de justice vendredi, il était plutôt représenté par son avocat.
S’il était trouvé coupable de bris de probation, il pourrait perdre cette absolution conditionnelle.
«Dans le cas des accusations qui sont portées dans le dossier de M. Houle c’est un bris de probation donc de ne pas avoir respecté les conditions qui avaient été rendues dans le cadre d’une autre ordonnance», explique la procureure de la couronne dans le dossier.
Simon Houle sera de retour en cour en février prochain.
https://www.tvanouvelles.ca/2022/12/02/ ... ur-en-cour
Simon Houle est de retour en cour au Palais de justice de Saint-Jérôme, cet ingénieur qui avait obtenu une absolution conditionnelle controversée l'été dernier.
Il est maintenant accusé de ne pas avoir respecté les conditions de sa probation.
Il aurait empoigné les fesses d’une femme alors qu’il était dans un séjour à Cuba.
Simon Houle n’était pas présent au Palais de justice vendredi, il était plutôt représenté par son avocat.
S’il était trouvé coupable de bris de probation, il pourrait perdre cette absolution conditionnelle.
«Dans le cas des accusations qui sont portées dans le dossier de M. Houle c’est un bris de probation donc de ne pas avoir respecté les conditions qui avaient été rendues dans le cadre d’une autre ordonnance», explique la procureure de la couronne dans le dossier.
Simon Houle sera de retour en cour en février prochain.
https://www.tvanouvelles.ca/2022/12/02/ ... ur-en-cour
Dernière modification par Anya le ven. déc. 02, 2022 6:23 pm, modifié 1 fois.
Backstreet Boys
Nick Carter accusé d’agression sexuelle
Entre la diffusion des deux émissions de La semaine des 4 Julie qui devaient mettre en vedette les Backstreet Boys, le membre du groupe Nick Carter a été accusé jeudi d’inconduites sexuelles qu’il nie fermement.
Shannon Ruth, 39 ans, a officiellement déposé jeudi une plainte contre le chanteur.
Elle l’accuse de l’avoir agressée en 2001 alors qu’elle avait 17 ans.
Nick Carter aurait fait monter la jeune femme, qui souffre d’autisme et de paralysie cérébrale, à bord de l’autobus de tournée de son groupe. Il lui aurait servi de l’alcool en lui disant que c’était du jus spécial. Et il lui aurait ensuite demandé de lui faire une fellation avant de l’agresser.
En conférence de presse avec ses avocats, Shannon Ruth a relaté que Nick Carter l’aurait insultée sur son handicap.
Nick Carter nie formellement ces accusations selon une déclaration officielle de son avocat, Michael Holtz, que nous a fait parvenir le relationniste américain Jack Ketsoyan. Selon Me Holtz, Shannon Ruth a été manipulée pour accuser faussement Nick Carter.
Jeudi soir, ce dernier et les membres des Backstreet Boys — interviewés mercredi par La Presse — devaient prendre part à La semaine des 4 Julie, mais l’émission n’a pas été diffusée. Nick Carter devait se confier sur la mort de son frère Aaron Carter, le 5 novembre dernier. L’enregistrement avait eu lieu mercredi. Selon nos informations, la diffusion a été annulée à la dernière minute.
Récemment, Nick Carter a aussi participé à l’émission Chanteurs masqués.
Ce n’est pas la première fois que Nick Carter est accusé d’inconduites sexuelles, mais il n’a jamais été déclaré coupable.
https://www.lapresse.ca/arts/musique/20 ... xuelle.php
Aussi :
https://www.lesoleil.com/2022/12/08/nic ... 59e6f3e901
Nick Carter accusé d’agression sexuelle
Entre la diffusion des deux émissions de La semaine des 4 Julie qui devaient mettre en vedette les Backstreet Boys, le membre du groupe Nick Carter a été accusé jeudi d’inconduites sexuelles qu’il nie fermement.
Shannon Ruth, 39 ans, a officiellement déposé jeudi une plainte contre le chanteur.
Elle l’accuse de l’avoir agressée en 2001 alors qu’elle avait 17 ans.
Nick Carter aurait fait monter la jeune femme, qui souffre d’autisme et de paralysie cérébrale, à bord de l’autobus de tournée de son groupe. Il lui aurait servi de l’alcool en lui disant que c’était du jus spécial. Et il lui aurait ensuite demandé de lui faire une fellation avant de l’agresser.
En conférence de presse avec ses avocats, Shannon Ruth a relaté que Nick Carter l’aurait insultée sur son handicap.
Nick Carter nie formellement ces accusations selon une déclaration officielle de son avocat, Michael Holtz, que nous a fait parvenir le relationniste américain Jack Ketsoyan. Selon Me Holtz, Shannon Ruth a été manipulée pour accuser faussement Nick Carter.
Jeudi soir, ce dernier et les membres des Backstreet Boys — interviewés mercredi par La Presse — devaient prendre part à La semaine des 4 Julie, mais l’émission n’a pas été diffusée. Nick Carter devait se confier sur la mort de son frère Aaron Carter, le 5 novembre dernier. L’enregistrement avait eu lieu mercredi. Selon nos informations, la diffusion a été annulée à la dernière minute.
Récemment, Nick Carter a aussi participé à l’émission Chanteurs masqués.
Ce n’est pas la première fois que Nick Carter est accusé d’inconduites sexuelles, mais il n’a jamais été déclaré coupable.
https://www.lapresse.ca/arts/musique/20 ... xuelle.php
Aussi :
https://www.lesoleil.com/2022/12/08/nic ... 59e6f3e901
«Le monde à l’envers»: Julien Lacroix accordera sa première entrevue télé cette semaine
L’humoriste déchu Julien Lacroix accordera, vendredi soir, sa première entrevue télévisuelle depuis que des allégations d’inconduites sexuelles pèsent contre lui. Absent des ondes depuis deux ans et demi, l'artiste de 30 ans se posera sur le plateau de l’émission «Le monde à l’envers» pour un tête-à-tête avec Stéphan Bureau, a appris l’Agence QMI.
Bien que l’angle de l’entrevue n’ait pas été dévoilé, Julien Lacroix devrait somme toute revenir sur les dénonciations qui ont fait ombrage à sa carrière ces dernières années, y aborder son cheminement loin de la consommation et y promouvoir son retour en salle.
Rappelons que l’humoriste a quitté la vie publique en juillet 2020 à la suite d’allégations de violences sexuelles perpétrées à l’endroit de neuf femmes qui l’ont dénoncé dans une enquête du quotidien «Le Devoir».
L’humoriste avait ensuite tenté de revenir dans la sphère médiatique à plusieurs reprises et sous différentes approches. Il a notamment essayé d'y aller d'une première prise de parole publique sur les réseaux sociaux, affirmant qu’il suivait «un processus thérapeutique pour vaincre sa dépendance à l’alcool», puis, près de 11 mois plus tard, il a accordé une entrevue au «Devoir» dans laquelle il s’était maladroitement défendu des faits reprochés.
Après avoir annulé un premier retour sur scène cet été, l’humoriste a, peu avant Noël, commencé à se produire devant de petites salles (environ 30 places) pour l’enregistrement d’un balado, «Humour et confession», façon questions-réponses.
Peu de temps avant, un dossier controversé de «La Presse+» et du «98,5» a jeté un nouveau souffle à l’affaire, discréditant les témoignages de certaines victimes, tout en débroussaillant le passage pour le retour de l’humoriste sur les planches.
L’émission «Le monde à l’envers» est présentée en direct chaque vendredi, à 20 h, sur les ondes de TVA.
https://www.journaldequebec.com/2023/01 ... te-semaine
L’humoriste déchu Julien Lacroix accordera, vendredi soir, sa première entrevue télévisuelle depuis que des allégations d’inconduites sexuelles pèsent contre lui. Absent des ondes depuis deux ans et demi, l'artiste de 30 ans se posera sur le plateau de l’émission «Le monde à l’envers» pour un tête-à-tête avec Stéphan Bureau, a appris l’Agence QMI.
Bien que l’angle de l’entrevue n’ait pas été dévoilé, Julien Lacroix devrait somme toute revenir sur les dénonciations qui ont fait ombrage à sa carrière ces dernières années, y aborder son cheminement loin de la consommation et y promouvoir son retour en salle.
Rappelons que l’humoriste a quitté la vie publique en juillet 2020 à la suite d’allégations de violences sexuelles perpétrées à l’endroit de neuf femmes qui l’ont dénoncé dans une enquête du quotidien «Le Devoir».
L’humoriste avait ensuite tenté de revenir dans la sphère médiatique à plusieurs reprises et sous différentes approches. Il a notamment essayé d'y aller d'une première prise de parole publique sur les réseaux sociaux, affirmant qu’il suivait «un processus thérapeutique pour vaincre sa dépendance à l’alcool», puis, près de 11 mois plus tard, il a accordé une entrevue au «Devoir» dans laquelle il s’était maladroitement défendu des faits reprochés.
Après avoir annulé un premier retour sur scène cet été, l’humoriste a, peu avant Noël, commencé à se produire devant de petites salles (environ 30 places) pour l’enregistrement d’un balado, «Humour et confession», façon questions-réponses.
Peu de temps avant, un dossier controversé de «La Presse+» et du «98,5» a jeté un nouveau souffle à l’affaire, discréditant les témoignages de certaines victimes, tout en débroussaillant le passage pour le retour de l’humoriste sur les planches.
L’émission «Le monde à l’envers» est présentée en direct chaque vendredi, à 20 h, sur les ondes de TVA.
https://www.journaldequebec.com/2023/01 ... te-semaine
Le chanteur Corneliu accusé d’avoir drogué deux personnes
Lila Dussault - La Presse
Le chanteur Corneliu, connu depuis son passage à Star Académie en 2004, est accusé d’avoir drogué deux personnes à deux occasions différentes, en 2013 et 2016.
Les procédures judiciaires concernant Corneliu Monteanu ont débuté à Montréal mercredi, a confirmé Me Audrey Roy-Cloutier, porte-parole pour le Directeur des poursuites criminelles et pénales.
Corneliu est accusé, à trois ans d’intervalle en 2013 puis en 2016, d’avoir administré ou fait en sorte que ses victimes consomment « un poison, une substance destructive [ou] une substance délétère avec l’intention d’affliger ou de tourmenter cette personne », indique l’acte d’accusation.
L’homme de 39 ans avait fait l’objet d’un mandat d’arrestation le 10 novembre 2022 à Montréal, et avait été arrêté quelques jours plus tard, soit le 14 novembre.
Le dossier a été reporté au 14 février prochain pour la suite des procédures.
En juillet 2019, des procédures judiciaires avaient été abandonnées contre le chanteur dans une affaire de vol dans un Canadian Tire de Laval et de complot, selon le Journal de Montréal.
Corneliu s’était fait connaître du public québécois avec sa participation à la deuxième saison de Star Académie, en 2004.
https://www.lapresse.ca/actualites/just ... sonnes.php
Lila Dussault - La Presse
Le chanteur Corneliu, connu depuis son passage à Star Académie en 2004, est accusé d’avoir drogué deux personnes à deux occasions différentes, en 2013 et 2016.
Les procédures judiciaires concernant Corneliu Monteanu ont débuté à Montréal mercredi, a confirmé Me Audrey Roy-Cloutier, porte-parole pour le Directeur des poursuites criminelles et pénales.
Corneliu est accusé, à trois ans d’intervalle en 2013 puis en 2016, d’avoir administré ou fait en sorte que ses victimes consomment « un poison, une substance destructive [ou] une substance délétère avec l’intention d’affliger ou de tourmenter cette personne », indique l’acte d’accusation.
L’homme de 39 ans avait fait l’objet d’un mandat d’arrestation le 10 novembre 2022 à Montréal, et avait été arrêté quelques jours plus tard, soit le 14 novembre.
Le dossier a été reporté au 14 février prochain pour la suite des procédures.
En juillet 2019, des procédures judiciaires avaient été abandonnées contre le chanteur dans une affaire de vol dans un Canadian Tire de Laval et de complot, selon le Journal de Montréal.
Corneliu s’était fait connaître du public québécois avec sa participation à la deuxième saison de Star Académie, en 2004.
https://www.lapresse.ca/actualites/just ... sonnes.php
[LETTRE OUVERTE] L’arbre qui cache la forêt
La lettre qui suit a été écrite par des victimes présumées de Julien Lacroix et transmise à 24 heures.
https://www.24heures.ca/2023/01/17/lett ... e-la-foret" onclick="window.open(this.href);return false;
Ca m'agace qu'elles continuent à rester dans l'ombre à dénoncer et revenir à la charge pour lui refuser toute forme de réhabilitation alors qu'il a reconnu ses torts, qu'il s'est excusé, qu'il a apporté des correctifs pour régler ses problèmes de dépendances, etc.. Si elles estiment que ce n'est encore pas assez, pourquoi ne pas se tourner vers la justice? J'ai toujours un a priori positif envers les victimes, mais là je me demande jusqu'où on peut aller à vouloir se servir de l'espace publique comme d'un tribunal. Il vient de passer plus de 2 ans sur la touche en paria, a tout perdu etc... c'est plus qu'il n'aurait reçu comme sentence d'une cour de justice, elles veulent quoi de plus rendu là? On prône la réhabilitation des criminels et lui n'y aurait pas droit? Et pourtant, aux yeux de la loi, il n'en est même pas un. Eric Lapointe a été reconnu coupable lui, devant la justice, pourtant il se produit encore en spectacle et les fans sont au rendez-vous.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Je suis tellement d'accord avec toi!Malike a écrit : Ca m'agace qu'elles continuent à rester dans l'ombre à dénoncer et revenir à la charge pour lui refuser toute forme de réhabilitation alors qu'il a reconnu ses torts, qu'il s'est excusé, qu'il a apporté des correctifs pour régler ses problèmes de dépendances, etc.. Si elles estiment que ce n'est encore pas assez, pourquoi ne pas se tourner vers la justice? J'ai toujours un a priori positif envers les victimes, mais là je me demande jusqu'où on peut aller à vouloir se servir de l'espace publique comme d'un tribunal. Il vient de passer plus de 2 ans sur la touche en paria, a tout perdu etc... c'est plus qu'il n'aurait reçu comme sentence d'une cour de justice, elles veulent quoi de plus rendu là? On prône la réhabilitation des criminels et lui n'y aurait pas droit? Et pourtant, aux yeux de la loi, il n'en est même pas un. Eric Lapointe a été reconnu coupable lui, devant la justice, pourtant il se produit encore en spectacle et les fans sont au rendez-vous.
Je suis tout à fait d'accord avec toi, même si moi aussi à priori j'ai plutôt tendance à être du côté des victimes.. La dénonciation publique a peut-être ses bons côtés lorsque la justice échoue à rendre justice aux victimes, mais à ce que je sache, même les criminels les plus endurcis ont aussi des droits. Et franchement je ne crois pas qu'on parle ici d'un criminel si endurci que ça..Malike a écrit : Ca m'agace qu'elles continuent à rester dans l'ombre à dénoncer et revenir à la charge pour lui refuser toute forme de réhabilitation alors qu'il a reconnu ses torts, qu'il s'est excusé, qu'il a apporté des correctifs pour régler ses problèmes de dépendances, etc.. Si elles estiment que ce n'est encore pas assez, pourquoi ne pas se tourner vers la justice? J'ai toujours un a priori positif envers les victimes, mais là je me demande jusqu'où on peut aller à vouloir se servir de l'espace publique comme d'un tribunal. Il vient de passer plus de 2 ans sur la touche en paria, a tout perdu etc... c'est plus qu'il n'aurait reçu comme sentence d'une cour de justice, elles veulent quoi de plus rendu là? On prône la réhabilitation des criminels et lui n'y aurait pas droit? Et pourtant, aux yeux de la loi, il n'en est même pas un. Eric Lapointe a été reconnu coupable lui, devant la justice, pourtant il se produit encore en spectacle et les fans sont au rendez-vous.
Finalement ça va finir par faire l'effet inverse de celui recherché où des potentiels abuseurs vont se retrouver avec un capital de sympathie venant de personnes comme toi et moi qui généralement sont plutôt acquises aux supposées victimes..
Je ne l'aime pas particulièrement Julien Lacroix, même que franchement je ne le trouve pas très drôle, il est même un peu insupportable mais je ne crois pas qu'en l'enfonçant à toutes les fois qu'il tente quelque chose la société va en ressortir gagnante..
À réfléchir en tout cas.. Ça me permet au moins de cheminer dans mes pensées personnelles concernant la dénonciation publique..
Tu as vraiment raison, puis ca n'aide même pas à faire avancer la cause des victimes, pire ça peut finir par nuire puisque ca peut être perçu comme de l'acharnement. Il y a des abuseurs qui ne reconnaissent rien, exemple Gilbert Rozon et Eric Salvail, même traduits devant la justice. Je comprends que pour des personnes comme cela on veuille continuer de les dénoncer parce que clairement la justice a failli, ils ont gagné leurs procès seulement sur des points de droit et non parce qu'ils ont réellement prouvé leur innocence.Nikki a écrit : [...]
Je suis tout à fait d'accord avec toi, même si moi aussi à priori j'ai plutôt tendance à être du côté des victimes.. La dénonciation publique a peut-être ses bons côtés lorsque la justice échoue à rendre justice aux victimes, mais à ce que je sache, même les criminels les plus endurcis ont aussi des droits. Et franchement je ne crois pas qu'on parle ici d'un criminel si endurci que ça..
Finalement ça va finir par faire l'effet inverse de celui recherché où des potentiels abuseurs vont se retrouver avec un capital de sympathie venant de personnes comme toi et moi qui généralement sont plutôt acquises aux supposées victimes..
Je ne l'aime pas particulièrement Julien Lacroix, même que franchement je ne le trouve pas très drôle, il est même un peu insupportable mais je ne crois pas qu'en l'enfonçant à toutes les fois qu'il tente quelque chose la société va en ressortir gagnante..
À réfléchir en tout cas.. Ça me permet au moins de cheminer dans mes pensées personnelles concernant la dénonciation publique..
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Re: Allégations de harcèlement ou d'agression
A chaque fois qu’il tente un retour (que je comprends plus ou moins) mais on pourra pas dire qu’il a pas essayé, y’a les victimes qui sortent. Elles veulent quoi au bout de la ligne ? C’est quoi la suite ?
Ça serait pas mon choix premier de revenir dans la sphère médiatique. Tant mieux si lui croit qu’il peut faire encore carrière. Après qu’il fasse des similis spectacles devant public consentant ou qu’il soit caissier chez walmart, je pense que le gars a le droit de travailler pour subvenir à ses besoins. Y’a été jugé sur la place publique et même si je crois à 100% les victimes, y’a été accusé criminellement de rien. Des fois, je me dis qu’on va apprendre qu’il s’est suicidé à force d’acharnement sur son cas.
Ça serait pas mon choix premier de revenir dans la sphère médiatique. Tant mieux si lui croit qu’il peut faire encore carrière. Après qu’il fasse des similis spectacles devant public consentant ou qu’il soit caissier chez walmart, je pense que le gars a le droit de travailler pour subvenir à ses besoins. Y’a été jugé sur la place publique et même si je crois à 100% les victimes, y’a été accusé criminellement de rien. Des fois, je me dis qu’on va apprendre qu’il s’est suicidé à force d’acharnement sur son cas.
J’avoue qu’en regardant l’entrevue avec Stéphane Bureau je me doutais que ça allait attiser le feu de certaines. Il n’assumait pas grand chose et était plutôt revanchard … assez mauvais comme première entrevue pour souhaiter un retour après ce type d’événement. On peut pas dire qu’il baigne dans l’humilité
J’étais de celles qui avaient appréciée les nuances de La Presse et du balado mais là on dirait que le direct démontrait son vrai cheminement très peu avancé
J’étais de celles qui avaient appréciée les nuances de La Presse et du balado mais là on dirait que le direct démontrait son vrai cheminement très peu avancé
Dernière modification par Placeress le mer. janv. 18, 2023 6:27 pm, modifié 1 fois.
- gingerstar
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Il s'est rabattu sur le regret de certaines victimes qui disaient ne pas avoir souhaité tout ce qui lui est arrivé par la suite et se questionnaient sur leur témoignage. Il aurait été mieux de le souligner mais d'ajouter que de son côté il regrettait sincèrement tout ce qu'il avait pu leur faire subir, qu'il comprenait mieux maintenant l'impact de ses gestes, ce qui l'a mené là... Et non s'en servir pour essayer d'alléger sa responsabilité et faire voir que c'est la faute des journalistes...Placeress a écrit : J’avoue qu’en regardant l’entrevue avec Stéphane Bureau je me doutais que ça allait attiser le feu de certaines. Il n’assumait pas grand chose et était plutôt revanchard … assez mauvais comme première entrevue pour souhaiter un retour après ce type d’événement. On peut pas dire qu’il baigne dans l’humilité
J’étais de celles qui avaient appréciée les nuances de La Presse et du balado mais là on dirait que le direct démontrait son vrai cheminement très peu avancé
gingerstar a écrit : [...]
Il s'est rabattu sur le regret de certaines victimes qui disaient ne pas avoir souhaité tout ce qui lui est arrivé par la suite et se questionnaient sur leur témoignage. Il aurait été mieux de le souligner mais d'ajouter que de son côté il regrettait sincèrement tout ce qu'il avait pu leur faire subir, qu'il comprenait mieux maintenant l'impact de ses gestes, ce qui l'a mené là... Et non s'en servir pour essayer d'alléger sa responsabilité et faire voir que c'est la faute des journalistes...
C’est exactement ça. 2 personnes sont revenues sur leur témoignage, il fallait qu’il pense aux 5-6 autres en faisant l’entrevue. La partie n’est pas gagné mais il l’a joué ainsi,