Publié : jeu. août 23, 2007 5:05 am
Lu aujourd'hui sur Canoe
Ce que je retient du texte suivant est le dernier paragraphe.
Un an après l'évasion de Natascha Kampusch, l'intérêt du public mais aussi des médias pour l'histoire de la jeune femme séquestrée pendant huit ans et demi ne faiblit pas.
Natascha avait 10 ans quand elle a été enlevée sur le chemin de l'école à Vienne le 2 mars 1998 par Wolfgang Priklopil, qui l'a retenue prisonnière chez lui dans un pavillon de banlieue.
Le 23 août 2006, la jeune fille, aujourd'hui âgée de 19 ans, a réussi à s'enfuir. Son geôlier, un électricien de 44 ans, s'est suicidé quelques heures plus tard, en se jetant sous un train.
Depuis, journaux, magazines, radios, sites Internet, blogs et forums de discussion s'emparent de chaque élément nouveau. Le premier anniversaire de son évasion n'a pas dérogé à la règle.
Le père de la jeune femme a d'ailleurs profité de l'occasion pour annoncer son intention de poursuivre son ex-épouse pour la manière dont elle le dépeint dans un livre publié il y a quelques semaines. Le couple avait divorcé après l'enlèvement.
«L'histoire sans fin», titre ainsi cette semaine l'hebdomadaire autrichien Profil. Natascha, note-t-il d'un ton désabusé, a vécu «une année de liberté, et une année de fuite».
Dans son dossier consacré à l'anniversaire, le magazine News publie des photos montrant la manière dont Natascha essaie de rattraper le temps perdu. Elle prend ainsi des cours de conduite et des leçons de tir à l'arc. Sur l'une, on la voit en simple adolescente, vêtue d'une robe d'été et d'un chapeau de paille.
«Il est possible qu'une sorte de métamorphose se soit produite en moi, d'abord une chenille, puis un papillon», a souligné la jeune femme dans un entretien télévisé diffusé en début de semaine.
Reste qu'elle est confrontée à une attention qui n'est pas toujours la bienvenue. Ses avocats ont demandé aux médias de respecter sa vie privée après qu'un photographe l'ait photographiée en train de danser avec un jeune homme dans une discothèque de Vienne.
A la télévision, Natascha Kampusch a confié qu'elle était mal à l'aise avec certaines choses racontées par son père, Ludwig Koch, notamment le fait qu'elle porte sur elle une photo du cercueil contenant le corps de son ravisseur.
Il y a pourtant eu des moments émouvants. Après la disparition le 3 mai dernier de la petite Madeleine McCann au Portugal, la mère de Natascha, Brigitta Sirny, a écrit à ses parents pour leur dire de ne jamais perdre espoir. Elle les a également encouragés à ne pas cesser les apparitions publiques «parce que la pire chose qui puisse arriver à un enfant enlevé, c'est l'oubli».
http://www.canoe.com/infos/internationa ... 05450.html
Je crois qu'il est permi de garder espoir et si j'étais les parents de Cédrika, je garderais en moi cet espoir parce que cet espoir serait pour moi la flamme de vie de ma fille.
Courage aux parents de Cédrika. --Message edité par topazebleu le 2007-08-23 11:06:29--
Ce que je retient du texte suivant est le dernier paragraphe.
Un an après l'évasion de Natascha Kampusch, l'intérêt du public mais aussi des médias pour l'histoire de la jeune femme séquestrée pendant huit ans et demi ne faiblit pas.
Natascha avait 10 ans quand elle a été enlevée sur le chemin de l'école à Vienne le 2 mars 1998 par Wolfgang Priklopil, qui l'a retenue prisonnière chez lui dans un pavillon de banlieue.
Le 23 août 2006, la jeune fille, aujourd'hui âgée de 19 ans, a réussi à s'enfuir. Son geôlier, un électricien de 44 ans, s'est suicidé quelques heures plus tard, en se jetant sous un train.
Depuis, journaux, magazines, radios, sites Internet, blogs et forums de discussion s'emparent de chaque élément nouveau. Le premier anniversaire de son évasion n'a pas dérogé à la règle.
Le père de la jeune femme a d'ailleurs profité de l'occasion pour annoncer son intention de poursuivre son ex-épouse pour la manière dont elle le dépeint dans un livre publié il y a quelques semaines. Le couple avait divorcé après l'enlèvement.
«L'histoire sans fin», titre ainsi cette semaine l'hebdomadaire autrichien Profil. Natascha, note-t-il d'un ton désabusé, a vécu «une année de liberté, et une année de fuite».
Dans son dossier consacré à l'anniversaire, le magazine News publie des photos montrant la manière dont Natascha essaie de rattraper le temps perdu. Elle prend ainsi des cours de conduite et des leçons de tir à l'arc. Sur l'une, on la voit en simple adolescente, vêtue d'une robe d'été et d'un chapeau de paille.
«Il est possible qu'une sorte de métamorphose se soit produite en moi, d'abord une chenille, puis un papillon», a souligné la jeune femme dans un entretien télévisé diffusé en début de semaine.
Reste qu'elle est confrontée à une attention qui n'est pas toujours la bienvenue. Ses avocats ont demandé aux médias de respecter sa vie privée après qu'un photographe l'ait photographiée en train de danser avec un jeune homme dans une discothèque de Vienne.
A la télévision, Natascha Kampusch a confié qu'elle était mal à l'aise avec certaines choses racontées par son père, Ludwig Koch, notamment le fait qu'elle porte sur elle une photo du cercueil contenant le corps de son ravisseur.
Il y a pourtant eu des moments émouvants. Après la disparition le 3 mai dernier de la petite Madeleine McCann au Portugal, la mère de Natascha, Brigitta Sirny, a écrit à ses parents pour leur dire de ne jamais perdre espoir. Elle les a également encouragés à ne pas cesser les apparitions publiques «parce que la pire chose qui puisse arriver à un enfant enlevé, c'est l'oubli».
http://www.canoe.com/infos/internationa ... 05450.html
Je crois qu'il est permi de garder espoir et si j'étais les parents de Cédrika, je garderais en moi cet espoir parce que cet espoir serait pour moi la flamme de vie de ma fille.
Courage aux parents de Cédrika. --Message edité par topazebleu le 2007-08-23 11:06:29--