Page 2 sur 2

Publié : lun. sept. 28, 2015 3:59 pm
par Rose-des-bois
Tout lire >>De l’eau salée s’écoulerait sur la planète Mars 
La NASA avait fait miroiter il y a quelques jours une « découverte scientifique majeure » concernant Mars. Depuis lors, les spéculations allaient bon train sur la webosphère, toujours prête à s’enflammer lorsqu’il est question de la Planète rouge : détection d’une forme de vie, de sources d’eau liquide, etc. ? Le suspense a pris fin, avec la mise en ligne d’un article présenté lors du Congrès européen de science planétaire, qui se tient à Nantes jusqu’au 2 octobre. Parallèlement, la revue Nature Geoscience a publié, lundi 28 septembre, des travaux de la même équipe détaillant les observations conduites par la sonde américaine Mars Reconnaissance Orbiter (MRO).

Quel était donc ce « mystère martien » enfin résolu, évoqué par l’agence américaine – à qui il a pu arriver par le passé de « survendre » certaines découvertes ? Il concerne la nature de coulées saisonnières sombres observées sur des pentes de Mars, lorsque la température y devient plus clémente. Selon Lujendra Ojha (Georgia Tech, Atlanta) et ses collègues, ces écoulements sont constitués de saumures de différentes compositions, faites de chlorate et perchlorate de magnésium et de perchlorate de sodium, mêlés à un peu d’eau.

image: http://s2.lemde.fr/image/2015/09/28/534 ... d58c74.jpg" onclick="window.open(this.href);return false;

Les traces sombres visibles sur ce paysage martien seraient dues à des coulées intermittentes de saumure.
Un mélange salé pour rester à l’état liquide

La découverte de telles saumures n’étonnera guère les spécialistes : MRO et son prédécesseur Mars Global Surveyor ont observé depuis longtemps des coulées qui ravinent Mars, en été, sur les versants exposés au soleil. Or on sait que les conditions de température et de pression à la surface de Mars ne permettent pas la stagnation ou l’écoulement d’eau liquide en surface, qui soit gèle, soit s’évapore immédiatement. Il a donc fallu imaginer des combinaisons de sels qui puissent maintenir le mélange à l’état liquide : sulfate de fer, sels de sodium et d’ammonium, etc. Plusieurs modélisations avaient été avancées ces dernières années.

Parallèlement, l’atterrisseur de la NASA Phoenix – actif près de la calotte polaire Nord de Mars en 2008 – y avait confirmé la présence de perchlorates, également subodorée sur les sites d’atterrissage des missions Viking, lors de nouvelles analyses des données datant de la fin des années 1970. Enfin, en mai 2015, la revue Nature Geoscience annonçait déjà la présence de telles saumures dans l’environnement du rover Curiosity.

image: http://s1.lemde.fr/image/2015/09/28/534 ... e30130.jpg" onclick="window.open(this.href);return false;

Les traînées sombres sur les pentes du cratère martien Garni, longues de quelques centaines de mètres, seraient des coulées de saumure.
Pourraient-elle être sources de vie ? « Si nous combinons ces observations avec la thermodynamique de la formation de ces saumures à nos connaissances actuelles sur les organismes terrestres, est-il possible pour des organismes de survivre sur ces saumures martiennes ?, s’interrogeait Vincent Chevrier (université de l’Arkansas), qui avait cosigné cette étude. Ma réponse est non. »

« L’ACTIVITÉ DE L’EAU DANS LES SOLUTIONS DE PERCHLORATE POURRAIT ÊTRE TROP FAIBLE POUR SERVIR DE SUPPORT À LA VIE TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS SUR TERRE »
La nouvelle étude de Nature Geoscience ne dit pas autre chose : « L’activité de l’eau dans les solutions de perchlorate pourrait être trop faible pour servir de support à la vie telle que nous la connaissons sur Terre », rappelle-t-elle, même si elle mentionne une sorte d’analogue sur Terre, dans le désert de l’Atacama, où des bactéries extrêmophiles parviennent à survivre.

L’étude détaille la façon dont une nouvelle méthode d’analyse des données recueillies par le spectromètre de MRO a permis de déterminer la composition des coulées intermittentes. « Ce que le spectromètre a analysé, ce ne sont pas les coulées liquides elles-mêmes, précise Marion Massé, du laboratoire Planétologie et géodynamique (université de Nantes-CNRS), cosignataire de l’article, mais la signature des sels une fois l’eau évaporée. »

image: http://s2.lemde.fr/image/2015/09/28/534 ... 7eacbf.jpg" onclick="window.open(this.href);return false;

Ces coulées intermittentes sont situées sur une des pentes du cratère Horowitz.
Le mécanisme imaginé est le suivant : les chlorates et perchlorates présents dans le sol agiraient comme les sels utilisés sur les routes pour prévenir le verglas, ou ceux employés pour lutter contre la condensation dans certaines pièces humides : ils absorberaient l’eau présente dans la rosée du soir et du matin, en quantité suffisante pour alourdir le sol et entraîner son écoulement lent sur des pentes dépassant 30°. « Nous allons tenter de reproduire ce phénomène en laboratoire », précise Marion Massé, qui insiste sur la nécessité de vérifier que la faible teneur en eau de l’atmosphère martienne ne contredit pas cette théorie. Et de procéder avec prudence, car les perchlorates ont une fâcheuse tendance à exploser...

Contrairement à ce que laissait supposer la NASA, le mystère n’est donc pas entièrement résolu. Ces résultats portent sur quatre sites, dont les signataires de l’étude estiment qu’il serait « justifié » de les explorer pour valider cette hypothèse. Nul doute que l’agence américaine, toujours en quête de crédits pour ses missions d’exploration, veillera à relayer cette demande.

image: http://s1.lemde.fr/image/2014/03/28/24x ... 0c8fc5.jpg" onclick="window.open(this.href);return false;
Hervé Morin
Pôle Science et Médecine Suivre Aller sur la page de ce journaliste Suivre ce journaliste sur twitter
Abonnez vous à partir de 1 € Réagir ClasserPartager (1 691)Tweeter

Ailleurs sur le webContenus sponsorisés par Outbrain
image: http://images.outbrain.com/imageserver/ ... 81x124.jpg" onclick="window.open(this.href);return false;

PAGES JAUNES
Comment enlever les points noirs sans y laisser sa peau
image: http://images.outbrain.com/imageserver/ ... 81x124.jpg" onclick="window.open(this.href);return false;

ELITESINGLES
Les conseils pour trouver l'amour quand on est senior
image: http://images.outbrain.com/imageserver/ ... 81x124.jpg" onclick="window.open(this.href);return false;

LE CAHIER
Prendre le contrôle de sa garde-robe

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/cosmos/article/20 ... UoRq7ax.99" onclick="window.open(this.href);return false;
Ou suivre ce lien : http://www.lemonde.fr/cosmos/article/20 ... 50695.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Re: Astronomie - Pluton, comme on ne l’a jamais vue

Publié : lun. sept. 28, 2015 4:50 pm
par Citron500
Pourquoi "s'écoule-RAIT"? C'est comme si c'était pas certain. :/

Publié : lun. sept. 28, 2015 6:41 pm
par Rose-des-bois
Tout lire >>De l'eau coule encore sur Mars 
Mars n'est plus le monde mort et désertique que l'on pensait connaître depuis son survol par Mariner 4 en 1965, a claironné lundi soir la Nasa lors d'une grande conférence de presse. Des analyses réalisées par la sonde Mars Reconnaissance Orbiter (MRO), de l'agence spatiale américaine, viennent d'apporter la première preuve indirecte que de l'eau, sous forme liquide, coule encore régulièrement à la surface de la planète rouge. Des écoulements sur des flancs de cratères rendus possibles par une forte concentration en sels, qui permettent d'abaisser la température de fusion de l'eau.
Des traces d'écoulements sur des pentes martiennes avaient déjà été découvertes en 1997, mais on s'est depuis aperçu qu'ils étaient provoqués par de la glace carbonique et non pas par un quelconque liquide. Les écoulements aujourd'hui étudiés sont très différents: ils sont plus petits, ne creusent pas les pentes sur lesquelles ils descendent, et surtout, ils apparaissent en été et disparaissent en hiver, preuve que le phénomène est non seulement actif en ce moment même, mais aussi sensible aux variations de température. Ce qui fait penser à l'action d'un liquide, plutôt qu'à n'importe quel autre processus, que ce soit le vent ou de simples glissements de terrain superficiels.
Traces d'écoulement sur les flancs du cratère Garni.
Depuis la découverte de ces écoulements saisonniers en 2011 par l'équipe d'Alfred McEwen à l'université de Tucson (Arizona), sur des images à très haute résolution de MRO, la plupart des spécialistes pensaient bien que le liquide en question devait être de l'eau, mais sans en avoir aucune preuve. Et notamment, le spectromètre de MRO ne détecte pas la signature spectrale de l'eau dans ces régions. «Le problème est que ces coulées sombres qui apparaissent en été sur les pentes chaudes des cratères font au maximum 5 mètres de large, or le spectromètre CRISM avec lequel nous travaillons n'a qu'une résolution de 18 m de large, explique Marion Massé, post-doctorante au Laboratoire de planétologie et géodynamique de Nantes, et l'une des auteur de l'étude publiée lundi après-midi dans la revue Nature Geoscience. Il est donc théoriquement très difficile de dire si ce qu'on observe est bien réel ou dû à un artefact. Mon collègue Lujendra Ohja a résolu cette difficulté en observant le même point à des moments différents, ce qui permet de détecter les variations saisonnières.»
Comme dans un déshumidificateur

«C'est de cette manière qu'en plein été martien, pendant la période d'activité des écoulements, on détecte des sels hydratés, des perchlorates, qui disparaissent ensuite en hiver», précise Marion Massé. Une preuve indirecte que de l'eau très salée, de la saumure, s'écoule à ces endroits. «C'est une observation très intéressante, car la présence de sels explique comment de l'eau peut être liquide sur Mars, où la pression atmosphérique est beaucoup trop faible», commente Nicolas Mangold, spécialiste de la géologie martienne au Laboratoire de planétologie et géodynamique de Nantes. D'autre part, la détection de perchlorates est loin d'être absurde, car ces sels ont déjà été détectés directement dans le sol de Mars, par le rover Curiosity mais aussi l'atterrisseur Phoenix de la Nasa.»
Mais découvrir de l'eau sous forme liquide fait aussi naître bien des questions. En particulier, d'où cette eau provient-elle? L'hypothèse favorite de Lujendra Ohja et ses coauteurs est de faire appel à un phénomène de déliquescence: le sel contenu dans les sols absorberait l'humidité de l'atmosphère, comme le font les pastilles blanches que l'on utilise dans un déshumidificateur, et se met à couler sous forme d'eau salée quand il est saturé.
«Les cibles prioritaires des prochaines missions»

«C'est très intéressant, se réjouit Nicolas Thomas, spécialiste d'imagerie spatiale à l'université de Berne (Suisse), ces zones d'écoulements saisonniers sont clairement devenus les cibles prioritaires des prochaines missions martiennes.»
En revanche, en dépit de l'enthousiasme de la Nasa qui laisse entendre que ce type d'environnement humide pourrait héberger des formes de vie primitives, l'idée paraît très farfelue. Car les sels en question contiennent du chlore, un puissant antibactérien. De quoi «nettoyer» immédiatement toute forme de vie qui tenterait d'émerger.
«Les cibles prioritaires des prochaines missions»

«C'est très intéressant, se réjouit Nicolas Thomas, spécialiste d'imagerie spatiale à l'université de Berne (Suisse), ces zones d'écoulements saisonniers sont clairement devenus les cibles prioritaires des prochaines missions martiennes.»
En revanche, en dépit de l'enthousiasme de la Nasa qui laisse entendre que ce type d'environnement humide pourrait héberger des formes de vie primitives, l'idée paraît très farfelue. Car les sels en question contiennent du chlore, un puissant antibactérien. De quoi «nettoyer» immédiatement toute forme de vie qui tenterait d'émerger.

La rédaction vous conseille :
Un Français part en mission sur Mars... à Hawaii
La Nasa a l'exploration de Mars en ligne de mire
Le «cadavre» de Beagle 2 retrouvé à la surface de Mars
Rosetta: l'eau de la comète est bien étrange
Première mesure de l'atmosphère primitive de Mars
Ou suivre ce lien : http://www.lefigaro.fr/sciences/2015/09 ... r-mars.php" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : lun. sept. 28, 2015 6:46 pm
par Rose-des-bois
Citron500 a écrit : Pourquoi "s'écoule-RAIT"? C'est comme si c'était pas certain. :/
Je ne sais pas Citron, possiblement qu'il faudrait des preuves plus tangile. Comme une visite humaine sur cette planète !? :saispas2:

Re: Astronomie - Pluton, comme on ne l’a jamais vue

Publié : mar. sept. 29, 2015 9:17 am
par Fanfoi
Malheureusement, on ne peut pas aller sur Mars. En fait, on est prisonnier du champs magnétique de notre planète. Dès qu'on en sors, on est condamné à mort, à cause des radiations cosmiques.

Il y a des gens qui se disent prêts à avoir le cancer pour y aller, mais il y a des gros problèmes d'éthique face à ça... en plus du prix prohibitif, mon rève de petit garçon ne se réalisera probablement jamais. :(

Publié : mar. sept. 29, 2015 11:33 am
par Nikki
On me donnerait mille millions de $ que je n'embarquerais jamais dans un module qui m'emmènerait pour toujours loin de la terre!... Elle n'est pas parfaite, mais c'est la seule que j'ai!!...

Publié : sam. oct. 03, 2015 2:31 am
par Citron500
Moi non plus... je serais beaucoup trop peureux de m'endommager de façon permanente. À moins que ça devienne assuré que ça soit safe... mais ça va prendre beaucoup d'années et je serai probablement plus en vie... Mais j'aimerais bien envoyé mon propre petit engin sur mars pis le faire promener moi meme par exemple. xD

Publié : lun. oct. 05, 2015 7:22 pm
par Rose-des-bois
La Lune

[nouvelle=http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/ ... inition/|5 octobre 2015
Plusieurs milliers de photos des missions Apollo en haute définition]Il est de ces photos qu'on trouve par hasard dans un vieil album, en faisant le ménage dans le grenier. On s'y plonge un moment, parfois des heures, avec cette sensation d'observer le cours de l'Histoire. Et s'il s'agissait non pas des souvenirs de votre famille mais de ceux qui ont marché sur la Lune ? Et si ce n'était pas une centaine de photos mais plus de dix mille ?

Kipp Teague, qui gère le Project Apollo Archive, nous offre de quoi avoir la tête dans la lune pour de bonnes semaines. Il a publié sur le site de partage Flickr l'ensemble des clichés pris pendant les missions Apollo de la NASA, qui avaient pour but d'envoyer des hommes sur notre satellite. Soit 11 191 photos argentiques, devenues autant de documents historiques.

Une des photos en haute définition des astronautes de la Nasa sur la lune. Photo Nasa.
Une des photos en haute définition des astronautes de la NASA sur la Lune. Photo NASA.
De 1961 à 1975, d'Apollo 1 à Apollo 17, la NASA a équipé ses astronautes d'appareils photo Hasselblad, particulièrement performants pour capturer les détails, explique The Verge. En 2004, le Johnson Space Center entreprend de scanner à nouveau tous ces films. Kipp Teague les travaille, ajuste les couleurs ou la luminosité et, à la demande des fans, pousse la résolution à 1800 dpi au moment de la numérisation, soit des images d'une définition dépassant les 4 000 pixels par 4 000 pixels – une définition digne d'appareils photos numériques contemporains. Une décennie plus tard, les milliers de photos s'offrent enfin en très haute qualité, nous donnant un nouvel aperçu de l'infiniment grand.

Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.

Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.

Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.
Photo NASA.[/nouvelle]


Ou suivre ce lien : http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/ ... efinition/" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : lun. oct. 05, 2015 7:24 pm
par Rose-des-bois
Tout lire >>8 400 photos du programme Apollo en accès libre 
Flickr propose la totalité des clichés en haute résolution réalisés par les astronautes du programme Apollo entre 1961 et 1975.
Le programme Apollo (1961-1975) permit aux Etats-Unis d'envoyer le premier homme sur la Lune. En l'espace de quinze ans, les astronautes ont réalisé des milliers de clichés dont certains sont devenus cultes : la Terre vue depuis l'espace, le premier pas de l'homme sur la lune... Quarante ans après la fin du programme Apollo, la Nasa a choisi la plateforme Flickr pour diffuser, en accès libre, 8 400 clichés en haute résolution réalisés par les astronautes entre 1961 et 1975.

Les passionnés d'astronomie y trouveront leur bonheur : prises de vue à l'intérieur des vaisseaux spatiaux, clichés de la surface lunaire, gros plans sur le matériel, et même un astronaute en train de se raser...

Un total de 11 191 clichés sur Flickr
De qualité inégale, ces archives photographiques sont parfois floues ou sur-exposées mais elles rendent compte de la fantastique aventure humaine et scientifique de la conquête spatiale.

Au total, le "Project Apollo Archive" propose 11 191 clichés sur Flickr. Les archives des différentes missions Apollo y sont présentées dans des albums disponibles en libre accès.

Sur le même sujet : Les archives de la Nasa placées sur orbite

Ou suivre ce lien : http://www.archimag.com/archives-patrim ... %A8s-libre" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : jeu. oct. 08, 2015 1:31 am
par Rose-des-bois
Je sais que vous avez possiblement lu cet article mais le voici quand même ici ! ;)

[nouvelle=http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/region ... |Recherche
L'UdeM reçoit 1 M$ pour trouver de la vie extraterrestre]Agence QMI
L'Université de Montréal a reçu 1 million $ de la Fondation Trottier pour financer la recherche sur les exoplanètes.

Agence QMI
L'Université de Montréal a reçu 1 million $ de la Fondation Trottier pour financer la recherche sur les exoplanètes.

Avec ce don, les chercheurs du nouvel Institut de recherche sur les exoplanètes (iRex) espèrent «être les premiers à trouver une preuve de vie extraterrestre», a annoncé mercredi l'Université de Montréal.

Le don d'un million de dollars servira à créer des bourses de recherche au sein de l'iRex qui rassemble une vingtaine de chercheurs de l'Université de Montréal. Les bourses cibleront les étudiants, locaux et étrangers, du baccalauréat au postdoctorat.


«Cette volonté d'être les premiers n'a rien de fantaisiste ou d'exagéré, a indiqué par voie de communiqué René Doyon, professeur d'astrophysique à l'Université de Montréal et directeur du nouvel institut. C'est notre équipe de recherche qui a été la première au monde, en 2008, à photographier un système de planètes hors de notre système solaire.»

L'équipe de l'iREx pense réussir à trouver une preuve de vie extraterrestre sur une exoplanète d'ici 10 ans.(photo: ESO/L. Calçada)

L'iRex pense réussir à trouver une preuve de vie extraterrestre d'ici 10 ans. Pour ce faire, l'Institut espère récolter 15 millions $ et prévoit recruter 50 chercheurs.[/nouvelle]

Ou suivre ce lien : http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/region ... 61844.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Publié : mer. oct. 14, 2015 11:45 pm
par Rose-des-bois
Tout lire >>La NASA dévoile une vidéo extrêmement détaillée de Jupiter 
EN IMAGES
La NASA a dévoilé mardi 13 octobre de nouvelles images haute définition de Jupiter, capturées par le télescope spatial Hubble, montrant la rotation de la planète et des détails jamais vus auparavant.
Ces images confirment que la Grande Tache rouge continue de rétrécir et devient de plus en plus circulaire, un phénomène observé depuis des années : l’axe de cette tempête caractéristique fait en effet 240 kilomètres de moins qu’en 2014.
La NASA a mis à disposition une version en ultra haute définition (4K) de la vidéo pour en observer tous les détails.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2015 ... Lg0FjGw.99" onclick="window.open(this.href);return false;
Ou suivre ce lien : http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2015 ... 50695.html" onclick="window.open(this.href);return false;